Vous êtes sur la page 1sur 2

TRAVAUX DIRIGES

MATIERE : DROIT DES TRANSPORTS

NGEA NDENDE DIADY Henri

Année académique 2021-2022 FILIERE : ASSURANCE Enseignant-Chercheur

Définitions : Contrat, contrat de transport, intermédiaire de commerce, mandat,


mandataire, acte de commerce par nature, commerçant, RCCM, connaissement,
fret, transport multimodal, droit de rétention, responsabilité civile délictuelle,
force majeure, faute dolosive, commissaire d’avaries, subrogation, arbitrage,
clause compromissoire, prescription, auxiliaire de transport
1 – Pourquoi dit-on que le contrat de transport est un contrat synallagmatique ?
2 – Quelles sont les sources du droit des transports ?
3 – Quel est le champ d’application de la convention de Varsovie, de Bruxelles
et d’Hambourg ?
4 – Pourquoi dit-on que le droit des transports est un droit hétérogène ?
5 – Quels sont les caractères du contrat de transport ?
6 – Quelle est la force probante des documents de transport ?
7 – S’il est admis que le contrat de transport a un caractère commercial, quelles
sont les conséquences sur le plan du droit commercial ?
8 – En quoi le contrat de transport est un contrat d’adhésion ?
9 – Quelle est la différence fondamentale qui existe entre le transporteur et le
déménageur, entre le transporteur et le commissionnaire de transport, entre le
transporteur et le conducteur ?
10 – Pourquoi dit-on que le commissaire de transport est un intermédiaire de
commerce ?
11 – Quels sont les critères de qualification du contrat de transport ?
12 – Quelles sont les différentes parties susceptibles d’intervenir dans la
conclusion d’un contrat de transport d’une part et dans son exécution d’autre
part ?
13 – Le transporteur est-il un commerçant ? Justifiez votre réponse
14 – Quelles sont les mentions que doit contenir le connaissement ?
15 – Quelles sont les obligations du transporteur ?
16 – Quelles sont les obligations de l’expéditeur, du destinataire et du
mandataire ?
17 – Pourquoi dit-on que le commissionnaire de transport est un organisateur de
transport ?
18 – En quoi l’obligation de prise en charge de la marchandise par le
transporteur est une obligation juridique ?
19 – Contrat conclu en port du ou en port payé, quelle est la différence ?
20 – Quelle est la conséquence du non-respect de l’obligation de sincérité de
l’expéditeur ?
21 – Quels sont les droits du transporteur sur la marchandise ?
22 – Le transporteur est-il tenu à une obligation de moyen ou à une obligation de
résultat ? Justifiez clairement votre réponse
1
23 – Qu’entend-on par responsabilité de plein droit du transporteur ?
24 – Quel est le fondement de la réparation des dommages dans le transport de
personnes ?
25 – Quelles sont les conditions de mise en œuvre de l’action en responsabilité
du transporteur ?
26 – Quels sont les types de dommages pouvant affecter la marchandise ?
27 – Quel est le principe de la réparation des dommages subis par la
marchandise du fait du transporteur ?
28 – De façon générale, quelles sont les causes d’exonération de la
responsabilité du transporteur de marchandises ?
29 – Quelles sont les personnes susceptibles de mettre en œuvre l’action en
responsabilité du transporteur ?
30 – Quelles sont les types de juridictions susceptibles de connaître du
contentieux de transport ?
CAS PRATIQUE :
La société FAITOUT, est une entreprise de transport routier. Elle a conclu
à titre gratuit un contrat de transport avec M. et Mme SIMO qui viennent
d’acheter du matériel de construction à Yaoundé pour l’ouverture de leur
quincaillerie sise au lieu-dit Carrefour-Maçon à Bertoua. Le contrat stipule que
la marchandise doit être livrée à Bertoua le lundi 2 Juin à 10h30 minutes
précises car ledit matériel doit être présenté au public pour les circonstances
d’inauguration. Une clause du contrat précise clairement que le transporteur à la
liberté de choisir l’itinéraire qui lui convient, à charge pour lui de respecter les
délais de livraison.
1 – Est-on en présence d’un contrat de transport ? Pourquoi ?
2 – Comment se prouve l’existence d’un contrat de transport ?
CAS PRATIQUE
M. SANDJO propriétaire de la société de transport maritime BITRANS
SA, a récemment accepté de livrer 30 conteneurs appartenant à la société
PLANCAM, qui exploite une entreprise de fabrication des tuiles, suite à un
contrat de transport conclu en bonne et due forme. Seulement, à la prise de
livraison de ladite marchandise par le destinataire, ce dernier émet des réserves,
motif pris de ce qu’au lieu de 30 conteneurs, il lui est présenté plutôt 27
conteneurs. Alors que la société PLANCAM entend engager une action en
responsabilité du transporteur, M. SANDJO clame que le contrat de transport
qui lie sa société à la société PLANCAM n’a été constaté par aucun écrit, ni
document de transport, qu’il n’existe aucune preuve de la transaction
commerciale et donc que cette action en justice ne peut prospérer. Cet argument
est-il valable. Justifiez votre réponse.

Vous aimerez peut-être aussi