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SAM 2 : Rappel des Objectifs d’Apprentissage
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LES SOURCES DU DROIT DU TRAVAIL
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LES SOURCES DU DROIT DU TRAVAIL
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LES SOURCES DU DROIT DU TRAVAIL
des accords bilatéraux conclus entre la France et un pays étranger et qui définissent le
régime du travail des salariés migrants
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LES SOURCES DU DROIT DU TRAVAIL
ONU
OIT
BIT
Conférence
Bureau
Internationale
International
du Travail
du Travail
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LES SOURCES DU DROIT DU TRAVAIL
Deux représentants
du gouvernement
Employeurs Travailleurs
(1 délégué) (1 délégué)
Ses missions :
Elaboration des normes : des conventions sur des problèmes généraux (inspection du
travail, durée du travail, droit syndical…), ou des conventions pour des catégories
particulières des salariés ( femmes, jeunes, travailleurs agricoles…).
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LES SOURCES DU DROIT DU TRAVAIL
Sources Européennes
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LES SOURCES DU DROIT DU TRAVAIL
Sources européennes
Les traités
Les chartes
La jurisprudence
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LES SOURCES DU DROIT DU TRAVAIL
Sources européennes
Les règlements sont directement applicables dans les Etats membres.
Les directives : l’Acte unique Européen de 1986 a donné une importance accrue aux
directives, notamment dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail. Elles fixent
des objectifs et un délai, les gouvernements sont libres de déterminer les moyens (lois,
décrets…)
Les chartes
- La charte des droits sociaux fondamentaux des travailleurs : programme social adopté en
1989 sous le présidence française.
- La charte des droits fondamentaux de l’Union européenne : depuis le traité de Lisbonne et
de la charte, le juge fonde ses décisions sur la charte. Elle se voit reconnaître la même
valeur que les traités.
La jurisprudence du juge de l’UE assure la primauté du droit européen sur le droit national
(reconnaissance du droit à congés payés à un salarié en arrêt de maladie). Cette
jurisprudence est une source importante du droit du travail. Elle apporte une certaine
édification à l’Europe sociale.
Les Accords collectifs européens sont conclus par les partenaires sociaux.
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LES SOURCES DU DROIT DU TRAVAIL
Sources nationales
Dans le code du travail figure des textes d’origine législative (Lettre L), des dispositions
résultant des décrets (décret en Conseil d’Etat : R, décret simple : D), Cour de Cassation,
chambre sociale (jurisprudence) : SOC.
Les accords collectifs : la convention collective est l’une des sources importantes du droit
du travail. Elle peut couvrir une branche d’activité (métallurgie) ou une entreprise. Au-delà
des conventions collectives existent des accords nationaux interprofessionnels (ANI). Les
dispositions couvrent presque l’ensemble des salariés du pays quel que soit leur domaine
d’activité.
Les accords individuels : c’est le contrat de travail conclu entre l’entreprise et le salarié.
C’est une source importante du droit qui régit les relations individuelles du travail.
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ARTICULATION DES SOURCES DU DROIT DU TRAVAIL
Le règlement intérieur :
Est obligatoire pour les entreprises de plus de 50 salariés, facultatif pour les autres,
Est élaboré unilatéralement par l’employeur,
Doit être soumis pour avis aux représentants du personnel,
Comprend les règles relatives à l’hygiène, à la sécurité, ainsi qu’à la discipline.
Ne peut comprendre de dispositions contraires à la convention collective.
- Le contrat de travail doit respecter les règles professionnelles écrites. L’avantage qui
trouve sa source dans le contrat de travail ne peut être mis en cause par la signature d’un
accord collectif. Lien de subordination.
- Les salariés ne peuvent individuellement renoncer aux avantages qu’ils tiennent d’un
accord collectif.
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ARTICULATION DES SOURCES DU DROIT DU TRAVAIL
Droit
International
Droit de l’UE
Traités
Constitution
Loi
Règlements
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LA CONCLUSION DU CONTRAT DE TRAVAIL
Le salarié doit :
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Le temps légal
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Les 35 heures …
Il ne s’agit :
ni d’une durée minimale (les salariés peuvent être employés à temps
partiel),
ni d’un maximum : des heures supplémentaires peuvent être
accomplies dans le respect des durées maximales au-delà desquelles
aucun travail ne peut être demandé.
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Les temps de travail comptabilisés dans la durée légale
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Les temps de travail comptabilisés dans la durée légale
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Les astreintes
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Les astreintes
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Quelles sont les durées maximales de travail ?
Il existe des durées maximales au-delà desquelles aucun travail effectif ne peut être
demandé.
Ces durées maximales de travail s’imposent également au salarié qui cumule plusieurs
emplois.
En outre, les salariés doivent bénéficier d’un repos quotidien de 11 heures au minimum
et d’un repos hebdomadaire de 24 heures.
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Le temps du repos
Définition du droit communautaire « Toute période qui n’est pas du temps de travail »
Repos quotidien,
Repos hebdomadaire,
Jours fériés,
Congés payés,
Congés spéciaux,
Compte épargne-temps
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Jours fériés
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Le temps de pause minimum
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Les conventions de forfait
Une convention individuelle de forfait doit être conclue entre chaque salarié
concerné et son employeur après un accord collectif et doit faire l’objet d’un
écrit.
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Congés : Période d’acquisition
Le congés sont gérés directement par la Caisse de congés payés du bâtiment (CCPB).
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Prise des congés
Les salariés ne peuvent pas prendre leurs congés quand ils le souhaitent :
vous devez en fixer les dates en respectant les différents critères de prise
de congés payés.
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Durée des congés
La durée du congé est de 2,5 jours ouvrables par mois de travail, soit 30 jours ouvrables (5
semaines) pour une année de travail complète.
Lorsque le nombre de jours ouvrables obtenu n'est pas un nombre entier, la durée du congé
est portée au nombre entier immédiatement supérieur (Code du travail, art. L. 3141-7).
Un salarié qui a accompli 5 mois de travail dans une entreprise a droit à 12,5 jours
ouvrables de congés arrondis à 13 jours.
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Durée maximale du congé principal
La durée des congés pouvant être pris en une seule fois ne peut excéder 24 jours
ouvrables,
La loi autorise des dérogations individuelles à cette règle pour les salariés qui justifient de
contraintes géographiques particulières (notamment les travailleurs étrangers ou
originaires des DOM et des collectivités territoriales d'outre-mer).
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Fractionnement des congés
- Si la durée du congé ne dépasse pas douze jours, ce congé ne peut être fractionné.
- Le salarié doit prendre au moins douze jours de congé continu entre le 1er mai et le 31
octobre.
Les congés pris en dehors de cette période, à l'exception de la cinquième semaine,
donnent droit à des jours supplémentaires :
Deux jours supplémentaires si le congé hors période dépasse six jours,
Un jour supplémentaire s'il est compris entre trois et cinq jours,
Ces jours supplémentaires sont dus, que le fractionnement soit à l'initiative du salarié ou
de l'employeur.
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Congés d’ancienneté
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Notion de fautes et hiérarchie
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Notion de fautes et hiérarchie
Sanction : toute mesure, autre que les observations verbales, prises par
l’employeur à la suite d’un agissement du salarié(e) considéré par
l’employeur comme fautif.
Une sanction ne peut être prononcée que si elle est prévue par le
règlement intérieur (Soc.26 oct. 2010).
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Le droit disciplinaire
-L’avertissement
-La mise à pied disciplinaire
-La mise à pied conservatoire
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Le droit disciplinaire
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Le droit disciplinaire
-Faute lourde :
qui traduit une intention de nuire à l’entreprise, (séquestration, détournements de
fichiers),
préavis + indemnités de licenciement perdus.
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Notion de fautes et hiérarchie
Inscription au dossier professionnel du salarié
Sanctions Fautes Modalités
Avertissement Faute légère Mise en garde
Mise à pied conservatoire Faute grave voire lourde Suspension du contrat de travail
et du salaire pendant la mise à
pied. Mesure provisoire avant
une éventuelle procédure de
sanction qui peut aboutir à un
licenciement pour faute grave
voire lourde.
Licenciement disciplinaire Faute grave : pas de préavis Faute lourde : pas de préavis
de licenciement, pas de licenciement, pas indemnité
indemnité de préavis et de de préavis et de licenciement.
licenciement. Indemnité de Indemnité de congés payés39
:
congés payés : oui. oui.
Le licenciement pour motif personnel : procédure
La convocation :
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Le licenciement pour motif personnel : procédure
1 Objet de l’entretien
L’employeur doit informer le salarié qu’il envisage à son encontre une mesure de
licenciement
2 Date de l’entretien
L’entretien préalable ne peut avoir lieu moins de 5 jours ouvrables après la présentation
de la lettre recommandée ou la remise en main propre de la lettre de convocation.
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Le licenciement pour motif personnel : procédure
4 Assistance du salarié
L’employeur doit informer le salarié qu’il peut se faire assister par :
5 Le déroulement de l’entretien
L’employeur indique au salarié le ou les motifs qui l’amènent à envisager un licenciement
à son encontre,
Il recueille les explications de l’intéressé.
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Le licenciement pour motif personnel : notification
1 Délais de la notification
La lettre de licenciement ne peut être expédiée moins de deux jours ouvrables après la
date de l’entretien préalable.
3 Effets de la notification
Elle rend la rupture définitive,
La date de présentation de la lettre AR fixe le point de départ du préavis
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Les motifs de licenciement
• Insuffisance professionnelle,
• Insuffisance professionnelle stricto sensu,
• Insuffisance de résultats,
• Inaptitude aux fonctions,
• Etat de santé,
• Absence provoquée par la maladie
• Inaptitude physique,
• Perte de confiance,
• Mésentente et incompatibilité d’humeur,
• Insubordination,
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Les motifs de licenciement
•Manquement à la probité,
•Manquement à l’obligation de loyauté,
•Conflit d’intérêt,
•Indélicatesses,
•Manquement à l’obligation générale de non-concurrence,
•Comportements violents,
•Tenue vestimentaire,
•Etat d’ébriété,
•Absence injustifiée,
•Abandon de poste.
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En résumé
-reposer sur une cause réelle et sérieuse, quel que soit le motif invoqué par
l’employeur,
-respecter la procédure de licenciement qui repose sur le principe contradictoire.
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Le contrat de formation en alternance
et
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Depuis janvier 2020 : accès au marché de l’apprentissage libre
mais règlementé
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L’ apprentissage
Activité libre sans contrôle à priori, (dépôt d’une demande d’activité joignant le
1er contrat d’apprentissage et sous réserve que le statut soit conforme à
l’activité).
Paiement au contrat. Les CFA ne pourront plus compter sur les subventions des
Régions, (dites d’équilibre), qui venaient compléter les versements insuffisants
au titre de la taxe d’apprentissage dans le cadre du système actuel.
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L’apprentissage
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Le contrat de formation en alternance : apprentissage
Depuis le 1er janvier 2019, les jeunes âgés de 16 à 29 ans révolus peuvent entrer en
apprentissage
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Le contrat d’apprentissage : les modalités
Le contrat d’apprentissage est un contrat écrit qui comporte des clauses et des
mentions obligatoires, notamment :
- renseignements concernant le maître d’apprentissage ;
- la durée de l’apprentissage ;
- l’indication du centre de formation où sera dispensé l’enseignement
professionnel ;
- La rémunération de l’apprenti.
Le contrat est signé par les deux parties contractantes préalablement à l’emploi de
l’apprenti (L.6222-4, L.117-12).
En cas d’échec à l’examen, l’apprentissage peut être prolongé pour une durée d’un
an au plus (L.6222-11, L.117-9).
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Le contrat d’apprentissage
Enregistrement du contrat
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Le contrat d’apprentissage
Durée du contrat
Sous la forme d’un CDD, il peut varier entre 1 et 3 ans selon le type de
diplôme préparé. La durée normale est de 2 ans.
Par dérogation, cette durée peut varier entre 6 mois et 1 an, pour
l’acquisition d’un diplôme ou d’un titre inférieur.
Lorsque la durée du contrat est fixée à 2 ans au moins, elle est réduite d’un
an pour les personnes ayant bénéficié d’un enseignement technologique ou
titulaires de certains diplômes (R.117-7 à R.117-7-2)
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Le contrat d’apprentissage
Rupture du contrat
Le contrat peut être rompu par l’une ou l’autre des parties durant les 45 jours de
l’apprentissage. C’est l’équivalent de la période d’essai prévue par un contrat de
travail ordinaire.
Ce délai est suspendu pendant les périodes d’absence pour maladie de l’apprenti.
Passé ce délai, le contrat est censé arriver à son terme (comme dans le cas d’un
CDD).
La résiliation peut intervenir avant l’arrivée du terme, dans 3 cas ( L.6222-18, L117-17,
L.115-2) :
- si les 2 parties en sont expressément d’accord par écrit (signature du
représentant légal pour un mineur).
- si l’une des parties commet une faute grave ou des manquements.
- Si l’apprenti est inapte à exercer le métier auquel il voulait se préparer.
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Le contrat d’apprentissage
Rupture du contrat
En cas de rupture anticipée du contrat par l’employeur, hors des règles légales,
celui-ci est tenu de payer les salaires jusqu’à la fin du contrat ou au jour de la
décision du CPH.
Si l’apprenti a obtenu le diplôme préparé, il peut mettre seul fin à son contrat avant le
terme fixé initialement (L.622-19, L.115-2).
Embauche en CDI
Si le contrat d’apprentissage est suivi de la signature d’un CDI dans la même
entreprise, aucune période d’essai ne peut être imposée, sauf dispositions
conventionnelles contraires.
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Le contrat d’apprentissage
Statut de l’apprenti
Santé et sécurité
• La visite médicale* d’embauche doit être réalisée dans les 2 mois suivant l’embauche
Temps de travail
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Le contrat d’apprentissage
Un apprenti(e) de moins de 18 ans bénéficie de la même protection que les
autres jeunes travailleurs :
Quels bénéficiaires ?
Quelles durées ?
Le contrat peut prendre la forme d’un CDD dont la durée varie de 6 à 12 mois. Cette
durée peut être portée à 24 mois, notamment pour les personnes sorties du système
éducatif sans qualification professionnelle reconnue, ou lorsque la nature des
qualifications visées l'exige.
Le temps passé en centre de formation peut occuper 15 à 25% des horaires au contrat
avec un minimum de 150 h. Ces minima peuvent être relevés par la branche pour
certaines formations et pour certains publics.
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Le contrat de professionnalisation
Quelles rémunérations ?
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Le contrat de professionnalisation
Quels financements ?
La formation est financée par l’OPCO auquel l’entreprise cotise à défaut de forfait
défini par accord collectif (entreprise ou branche). Ce forfait couvre les frais de
formation, la rémunération et les frais de transport. En cas de dépassement,
(coût réel de la formation à l’école), c’est l’entreprise qui prend en charge la
différence.
L’OPCO peut prendre en charge une partie des actions de formation (dans
la limite de 15 € par heure de formation et pour 40 h maximum qui aide le
tuteur à appréhender sa nouvelle fonction.
L’OPCO peut octroyer une aide pour les dépenses relatives à l’exercice du
tutorat, dans la limite de 230 € par mois et par salarié et pour 6 mois
maximum.
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PRO A : reconversion ou promotion par l’alternance
Quels bénéficiaires ?
Les salarié(e)s bénéficiaires d’un parcours emploi compétences (PEC) à durée indéterminée. Il
remplace le CUI.
Quelles conditions ?
Le contrat peut être conclu en CDI. Les règles de durée maximale (12 ou 24 mois) pour un
salarié d’une entreprise : la première phase du contrat s’effectue en alternance, à l’issue de
laquelle le contrat de travail se poursuit en CDI dans son entreprise.
Le temps passé en centre de formation peut occuper 15 à 25% des horaires au contrat avec un
minimum de 150 h. Ces minima peuvent être relevés par la branche pour certaines formations
et pour certains publics.
La conclusion d’un avenant au contrat de travail est obligatoire. Il précise la durée et l’objet de
l’action de formation. 66
Le Comité Social et Economique
Les membres du CSE : élus pour 4 ans par l’ensemble du personnel des
entreprises et établissements de plus de 10 salariés (= 11 salariés pendant 12
mois consécutifs). Tous les syndicats (représentatifs ou non dans l’entreprise
peuvent présenter des candidats dés le 1er tour des élections du CSE)
Il est présidé par le chef d’entreprise ou son représentant
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Les centrales syndicales nationales interprofessionnelles
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Le rôle du CSE
Les élus du CSE arrêtent les modalités de fonctionnement dans un règlement intérieur et se
répartissent dans des commissions prédéfinies :
Formation
Economique
Aide au logement
Égalité professionnelle
…
En fonction du nombre de salariés (supérieur ou inférieur à 50 salariés), des règles
s’appliquent (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F34474)
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Le CSE : les changements
Le CSE est mis en place dans toutes les entreprises d’au moins 11 salariés depuis le 1er
janvier 2020.
- au-delà de 50 salariés, le CSE acquiert la personnalité morale (gestion d’un budget pour
fonctionner et œuvres sociales) et s’approprie les compétences des DP, celles du CE et du
CHSCT.
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Le CSE : les changements
Le CHSCT disparait en tant qu’instance à part entière et laisse la place à une commission
santé, sécurité et conditions de travail (CSSCT) intégrée au CSE dans les entreprises de plus de
300 salariés ou à haut risque,
La durée du mandat des membres du CSE est fixée à 4 ans. Cette durée peut être réduite à
3 ou 2 ans par accord collectif.
Le nombre de mandats successifs est fixé à 3, excepté pour les entreprises de moins de 50
salariés ou sauf accord collectif dérogatoire.
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Le CSE : les changements
Le nombre de réunions du CSE est fixé par accord collectif, sans pouvoir être inférieur à 6 par
an.
Formation
Les salariés qui sont élus au CSE pour la première fois bénéficient d'un stage de formation d'une
durée maximale de 5 jours.
Le temps passé en formation est rémunéré comme du temps de travail. Il n'est pas déduit de ces
heures de formation.
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LES DIFFERENTS REPRESENTANTS DU PERSONNEL, LEURS RÔLES,
LEURS PREROGATIVES, LEURS LIMITES
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