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19-09-2022

On peut observer un changement dans la finalité du droit du travail en offrant des garanties
individuelle et des garanties collectifs au salarié depuis 1970 la finalité change en raison des
crises sa nouvelle finalité est de permettre le développement de l’emploi. Il y aurait l’idée
que le droit protecteur cause le chômage car il est trop protecteur des salariés il faudrait
assouplir du côté du contrat de travail pour l’employeur en facilitant notamment la rupture
du contrat de travail. On parle de Flex sécurité c’est l’idée qu’il faut rendre le marché du
travail plus flexible pour relancer l’emploi.
Dans les ordonnances Macron de 2017 il ya eu des plafonds d’indemnisation , le salarié
licencié abusivement peut demander des indemnisations , l’ordonnance Macron a mis en
place un barème des indemnisations.
La finalité de l’écologie aussi, le droit du travail a un rôle a joué dans la protection de
l’environnement car le travail nuit à l’environnement on a de plus en plus des signes de
dispositions qui permettrait de mieux protéger l’environnement. Article en ligne à consulter.
Pour le CC la protection de l’environnement est un Objectif à valeur constitutionnelle, le
législateur doit atteindre ce but, il ya aussi l’OVC logement décent. La loi transition écologie ,
la loi climat et résilience de 2013, cette loi instaure un droit d’alerte mais en matière
sanitaire et environnemental.
L’uberisation du droit du travail est conséquence des plateformes numériques collaboratives
pour les employés et les salariés, sur cette plateforme pas d’employeur et de salarié il ya des
partenaires dont les consommateurs font partie on se pose des questions sur la
dématérialisation du travail.

Chapitre 2 : Les sources du droit du travail.

Section 1 ; La présentation des sources

§1 : les sources internationales


IL ya 3
A- Norme issue de L’organisation du droit du travail

L’OIT est une organisation crée en 1919 par le traité de » Versailles rattaché à l’Onu qui est à
Genève organisation tripartite avec des représentants des gouvernements et des
organisations syndicales qui représentes les salariés et les organisation salariales qui
représentent les employeurs, l’OIT crée des normes qui sont des conventions ou des
recommandations. On en compte à peu près 200 avec la conventionnalité de la loi,
l’obligation qu’a le juge judiciaire de s’assurer des contrôle de conformité a des conventions
un particulier à l’occasion d’un litige pourrait invoquer la non-conformité de la loi a une
norme de l’OIT. Cela est arrivé pour le contrat nouvel embauche établit par une loi de 2009
qui permettait la mise en place d’un CDI particulier la C cass dit que le contrat a un niveau de
ses règles de licenciements n’est pas conforme aux règle de l’OIT.

B- Les normes issues du conseil de l’Europe

La Conv CEDH nous intéresse, c’est un texte dans lequel on trouve la liberté syndicale ,vie
‘l’interdiction du travail forcé l’interdiction d’atteinte à la vie privée et familiale . SI la CEDH
condamne elle ne peut pas forcer à rectifier le tir , la France si elle veut être bon élève va
faire une nouvelle jpdce ou va prendre une loi. LES arrêts de la CEDH sont traduits dans
toutes les langues des membres de la CEDH.
Il ya la Conv EDH , et il ya aussi la charte sociale européenne du conseil de l’Europe, de 1961,
Cette charte n’a pas d’effet direct n’est pas invocable directement par un particulier.

C- Les normes issues du droit de l’UE


Il ya les sources primaires , les traités il n’ya pas grand choses dans les traités c’est pour cette
raison que en 2000 il ya une charte des droits fondamentaux qui est établit en 1989, chartes
des droits sociaux fondamentales des travailleurs en et 2000 la charte des droits
fondamentaux la charte des droits fondamentaux Depuis 2007, a la même valeur que les
traités. Elle est invocable.
Il ya dans les sources secondaires, les directives, un texte que chaque état membre doit
transposer dans son droit nation al on parle d’un ordre juridique intégré avec l’UE, il ya une
obligation de transposer les directives.
Il ya des directives en matière de non-discrimination d’autres ne matière de santé…
Une directive n’est pas directement invocable par les particuliers, les juridictions nationales
appliquent les règles nationales en conformité avec les directives.

§2 : Les sources internes traditionnelles

A- Les normes issues du droit constitutionnel du travail


On ne parle pas de la constitution sans parler su bloc de constitutionnalité on va évoquer
l’art 34 il donne le domaine de la loi , dans cet article il ya la question du rapport de travail.
Dans le bloc de constitutionnalité il ya le préambule de la C de 1958, le préambule de la C de
1946, la DDHC de 1789 dans la DDHC on a la liberté syndicale la liberté du travail, le droit de
grève , le droit au repos et à la santé , droit au travail, c’est par l’intermédiaire de ce bloc
qu’on parle d’une constitutionnalisation du droit du travail a partir de ces textes, le juge va
protéger de manière constitutionnelle ces droits.
Le droit du travail est un OBJECTIF à Valeur Constitutionnelle, ce droit est un droit subjectif
comme droit au respect de la vie privée un droit objectif permet d’évoquer un manquement
au respect de ce droit ce sont des droit efficace mais le droit au travail est un OVC n’a pas la
vrai nature d’un droit subjectif. Ce droit au travail est un objectif qui revient au législateur
qui va chercher à faciliter l’accès à un emploi et protéger l’occupation à un emploi.

B- La loi et le règlement

Art 34 de la Constitution de 1958, on peut coter la partie la loi se limite à la « détermination


des principes fondamentaux du droit du travail du droit syndicale et de la sécurité sociale »
Dans les faits le législateur dépasse son champ de compétence il ya une inflation législative,
me code du travail en est la preuve il a une partie législative et une règlementaire. Ce code a
fait l’objet d’une refonte importante a la suite d’une ordonnance du 12 mars 2007 et une loi
du 21 janvier 2008. Une refonte à droit constant. On reprend les acquis jurisprudentielle il va
avoir des modifications plus importantes il va avoir la loi su 8 out 2007 et les ordonnances
macron du 22 septembre 2017, les ordonnances de 2017 ont modifié plus structurellement
le code du travail.
En droit du travail il ya cette loi négocié, la loi es préalablement négocié loi du 31 janvier
2007, c’est le 1 er article du code du travail copier art L1 code du travail.
Il a avoir la notion de loi négocié la loi en principe est une émanation populaire il est bizarre
de dire qu’il faut la négocier alors qu’elle est censé représenter le peuple. Il ya une certaine
défiance envers lames partenaires sociaux la loi n’est pas toujours négociés
- L’extension du domaine réglementaire la tendance à légiférer par ordonnance en
droit du travail que ce soit ordonnance arrêté , décret comme les ordonnances
Macron, il ya eu aussi des textes établis par ordonnance durant la période COVID.

C- La jurisprudence
Il ya une juridiction compétent e en matière de droit du travail le prud’homme il, pour avoir
des litiges qui relèvent des juridictions civiles, TJ, CA c Cass. Le conseil ;des prud’hommes est
compétent pour régler les litiges qui se lèvent en raison d’un contrat de travail. Il ya une
procédure prud’hommal particulière, elle est oral, or les procédure commun devant les
juridictions judiciaires sont écrites .
Il ya d’abord une phase de conciliation obligatoire. Le Conseil des prud’homme est paritaire
elle n’est pas composé par principe de juge professionnel , elle est composé de juges élus
pour moitié par les salariés et pour l’autre par les employeurs, il ya un juge professionnel au
prud’homme juge départiteur, il n’intervient que si les juges n’arrivent pas à départager ce
juge départiteur sort de ENM.

Il a le plus de refonte des décisions par la cour d’appel, des décision du conseil des
prud’homme plus de 48%.
La C Cass nous intéresse plus elle produit du droit, on s’intéresse à la chambre sociale de la C
cass, la C cas a un rôle, premier d’unifier l’interprétation des règles existantes, la C cass
exerce aussi un pouvoir normative en créant de nouvelle règles notamment en droit du
travail et il ya des obligations qui viennent de la c cass il ya une obligation de sécurité mise
en œuvre par l’employeur. Il ya l’obligation de reclassement. Le législateur va parfois
prendre des JPDCE en les intégrant dans les lois on parle de codification à droit constant.
Parfois le législateur brise une JPDCE, on voit des exemples en matière de temps de travail, il
ya aussi le dialogue des juges.
Dialogue entre CEDH, CJUE, la cour cass repend les acquis des sources européennes.

D- L’Usage et la coutume
Il ya 2 types d’usages en droit du travail, il ya l’usage professionnelle ou local, il correspond à
la définition de la coutume en droit civil. On s’intéresse à une pratique dans une profession
ou un territoire, qui va devenir la règle par la force de l’habitude.
La plus part du temps ces usages sont repris par des conventions collectifs et perdent toute
leur valeur.
Il ya des usages en matière de préavis en matière de CDD. Cela est repris souvent par les
conventions collectifs.
Il ya aussi les usages d’entreprises c’est la pratique constante dans une entreprise donnée.
Et qui va octroyer un avantage supplémentaire à un employé , la prime de noël, la prime de
naissance d’enfants. On encadre l’usage pour qu’il soit reconnu il faut que la pratique soit
constante , générale et fixe.

Il ya un caractère unilatéral de l’usage , il vient de l’employeur, l’employeur ne peut instituer


un usage si l’usage existe avant l’employeur, il peut accepter un usage, les salariés peuvent
venir vers lui pour demander cette usage, quand on parle de hiérarchie , les usages sont en
dessous des normes négociés que sont les conventions collectives. Une convention collective
qui a le même effet que l’usage va s’appliquer à la place de l’usage en raison de la hiérarchie
des normes. Et cela même si l’usage est moins favorable aux salariés.

§3 : Les sources spécifiques au droit du travail

A – les normes négociés

Il s’agit de convention et des accords collectives, ces 2 mots sont synonyme, ils ont le même
régime. Les mêmes conditions . Ce sont des textes conclus entre des organisations
syndicales de salarié et des employeurs ou des groupements professionnels, car plusieurs
employeurs, les conventions traitent des conditions d’emploi de travail ce sont les même
régimes donc on emploie un ou l’autre. Ces textes ont un double caractère , caractère
conventionnelle et il s’applique aux autres personnes que les parties c pour ca qu’on parle
d’effet réglementaire ou normatif de ces conventions ils deviennent une norme ou une règle
pour d’autres personnes qui ne l’ont pas négocié. Une convention dans l’hôtellerie tous les
employeurs de cette branche se voient appliquer cette convention. QU’IL ait ratifié ou non.
IL ya une dérogation à l’effet relatif qui veut que les contrats ne concernent que les parties
et que le contrat ne peut ni déroger ni nuire au tiers au contrat. Dans le C travail on les
dispositions relatives à l’ensembles des convention collective 2221-1 et suivants.
Notamment dans ces articles l’objet des conventions est conditions d’emploi conditions de
travail , garantie sociale

3 niveau de convention collectif en fonction de l’objet du niveau.


- 1 ère type : les conventions collectives de branche ou convention de branche ce sont
des textes qui régissent l’ensemble d’une profession. ( métallurgie textile…) il ya des
sujets sur lesquels la convention collective de branche e une compétence exclusive
seul elle peut régir ces objets la notamment les mesures relatives à la durée du
travail , l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes condition, de
renouvellement de la période d’essai.
- Puis les accord d’entreprises : ce sont des conventions collectives négociés au niveau
de l’entreprise. Et qui sont négociés par les délégués syndicaux. Il ya un affrontement
dans les sources entre ces 2 sources collectives. LA loi a mis un principe de primauté
de l’accord collective de branche sur l’accord d’entreprise cela est en train de
changer et n’est pas au bénéfice des salariés car les entreprises sont soumis a des
objectifs financiers

- Accords national interprofessionnels (ANI) le niveau de négociation de l’accord est


au niveau national. Il ya une hiérarchie des normes ces normes étatiques priment sur
les conventions collectives. C’est moins le cas il va avoir une spécifié à ces normes car
elles ont acquis une place extraordinaire dans ces normes.

B- Le règlement intérieur

On l’appelle acte unilatérale à destination collective, catégorie doctrinale, mais l’idée de ces
actes est qu’ils émanent de l’employeur, mais ce sont des actes qui sont sources de droits et
d’obligations pour les salariés. Dans ces catégorie d’acte unilatéraux à destination collective
on a le règlement intérieur, qui fixent des règles à respecter dans l’entreprises et qui est
obligatoire en fonction de la taille de l’entreprise (entreprise de 50 salariés RI obligatoire) ce
règlement à un contenu obligatoire. Il ya des dispositions en matière de santé et de sécurité
, les procédures disciplinaires, ( sanctions disciplinaires , prononcé par des professionnels sur
d’autre professionnels).
Dans les mentions obligatoires les dispositions en matière de harcèlement sexuels morales
les comportements sexistes aussi sont visées et les dispositions sur les droit s de défenses
des salariés.
Et des droits qui vont apporter des restrictions. Les restrictions doivent être justifier par la
nature de la tâche à accomplir et proportionné au but recherché. IL ya un contrôle sur le
règlement intérieur et qui est fait par le juge. Un employé dans une bijouterie ne porte pas
de jogging est justifié et proportionné.
Il ya d’autres types d’actes unilatéraux
- Le plan sauvegarde de l’emploi
- Plan de licenciement collectif
- Les chartes et les codes de bonnes conduites les textes dans lesquels une entreprises
va définir les règles communes , les règles d’utilisation… elles ont une plus grande
valeur aujourd’hui on parle de droit souple.

C- Le contrat individuel de travail.

Un contrat aussi individuel soit-il est une source du droit du contrat car il a aussi un effet
normatif.

Section 2 : L’articulation des sources

Une fois qu’on pose les sources il se pose la question de leur valeur et de leur hiérarchie.
Il ya des sources spécifiques en droit du travail il faut déterminer la place spécifique de
chacun, le problème de l’articulation se pose ne cas de conflit de normes, il ya 2 normes
différentes qui peuvent régir la même situation et qu’il faut choisir. Un travail pour les
praticiens ou les juges. EN droit du travail il ya un caractère stratégique cat toutes les
sources ne protègent pas de la même façon les intérêts des salariés. En cela la négociation
est très important et notamment les modalités de la négociation dans les conventions
collectives par ex un accord d’entreprise est moins protecteur qu’un accord de branche car
en entreprise la négociation est plus déséquilibré les enjeux sont plus économiques.

Il ya un principe celui de hiérarchie de normes, Ce principe veut que toute norme inférieures
soit soumise à la norme qui lui est supérieur et la norme supérieure prime sur la norme
inférieure, il existe une hiérarchie des sources en droit du travail
- Les normes internationales
- Le bloc de constitutionnalité
- La loi et le règlement
- La jurisprudence
- Les conventions collectives ( les normes négociés)
- Les usages et la coutume
- Le règlement intérieur
- Le contrat individuel de travail.
Cette hiérarchie a-t-elle d sens aujourd’hui, la plu part du temps pour présenter l’articulation
des sources on gravite autour de 2 idées
Il ya des règles d’ordre public qui sont en principe impérative. On parle souvent de source
législative
Et la 2 e on constate des dérogations qui sont plus défavorables au droit des salariés

§1 : les règles liées à l’ordre public

Toutes les matières de droit ont un ordre public, on s’intéresse spécialement à l’articulation
des sources négociés convention collective avec les sources internes. La loi règlement
jurisprudence en principe, quand on apprend la hiérarchie des normes la règle est cens é
s’expliqué par l’ordre public l’ordre pub en droit privé est mentionné à l’article 6 c civ et est
utile pour les conventions , les contrats, on ne peut pas déroger par des conventions
particulières au lois qui intéressent l’ordre public. Dans le code civil il est question des
contrats et aussi des conventions collectives il ya des dispositions législatives auxquels on ne
peut pas déroger c’est l’ordre public toute loi d’ordre public mentionne elle-même qu’elle
est d’ordre public art 16 et suiv c civ : protection d’ordre public.
Auparavant la plus part des lois était d’ordre public quand on parle de dispositions d’ordre
public , il est législative, la jurisprudence elle aussi peut créer des dispositions d’ordre public
on parle de pouvoir créateur de la cour c ass ou d’ordre public virtuel.
La C cass elle-même a érigé des règles d’ordre public en l’absence de toutes lois ch soc 18
mai 2011 la C cass a émis en rang de valeur absolue qu’une organisation syndicale pour être
représentative devait obtenir au moins 10% des suffrages exprimés.
EN droit du travail il ya 2 ordres public

1) L’ordre public absolue


C’est exactement la même logique que ce qui fut définit, l’ordre public absolue participe de
la même logique que l’ordre public de droit commun on parle cans ce cas d’ordre pub absolu
Cette ordre public absolu vise des règles absolues auquel révèlent un caractère impérative et
aucun accord ne peut y déroger ordre pub comme celui de l’art 6 c civ mais en droit du
travail art L2251-1 code travail. Cette ordre pub absolue à des contours définit par un avis du
CE du 22 mars 1973 qui va lister 3 séries de dispositions qui sont d’ordre public absolue
d’abord les dispositions impératives par leur terme même
C a d dans les mots il est reconnu une formule impératives des règles qui posent des
interdictions. .
Il ya des règles impératives sui dépassent le domaine du droit du travail car ils ont des liens
avec les droits fondamentaux comme les règles qui relèvent le principe de non-
discrimination.
Les règles qui intéressent des avantages ou des garanties qui échappent par leur nature au
rapport conventionnel. Comme les règles de compétence en matière de prud’hommes.

2) Ordre public social


Il bouleverse le principe car il traduit ce qui s’appelle la règle de faveur, ça va être l’idée
qu’une norme inférieure peut primer sur une norme supérieure parce qu’elle est plus
favorable aux salariés. Pour le droit du travail ce n’est pas une dérogation mais un ordre
public social.

Des dispositions réglementaires ou législatives seront écartés au profit de règles qui sont
plus profitable au salarié. C’est ne ça que consiste la règle de faveur. La règle fut consacré
par le C d’état dans l’avis 73 la C cass dans arrêt ch soc c cass 27 mars 2001, dans un arrêt du
la C cass y a vu un principe du droit du travail , un principe jurisprudentielle, mais pas au
niveau constitutionnelle car le CC refuse de lui donner une valeur supra législative. Dans une
décision du 13 janvier 2003. Il ya un exemple de cette consécration arrêt SNCF ch soc 17
juillet 1993.

Il ya possibilité de déroger à ces règles d’ordre public mais elle doit être allé à l’avantage du
salarié comme dérogation sur le SMIC l’employeur peut y déroger mais doit proposer alors
un meilleur salaire.
Dans le rapport entre la loi et les conventions collectives art L2251-1. C du travail.
Cette règles de faveur permet de résoudre les conflits de normes.

§2 : l’application de règles plus défavorable aux salariés


Expression ordre public dérogeable dans certains manuels. Comme ici les normes inférieurs
vont primer alors qu’elles sont défavorables aux salariés on ne peut pas parler d’ordre
public. Ce sont des règles qui alors même qu’elles sont plus défavorables aux salariés
certaines normes vont s’appliquer on a des dispositions qui vont primer sur la règles légale
et les conflits entre les accords de branche et les accords d’entreprises.

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