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Le droit du travail va s’appliquer au sein de toute les entreprises du moment qu’on est dans le
secteur privée, on va avoir l’application des règles en droit du travail.
Il y également dans le secteur publique de plus en plus de salarié, qui même si il travail dans le
secteur publique vont être recruté non pas sous le statut de fonctionnaire mais dans le cadre d’un
contrat de travail de droit privée et seront soumis à la protection du droit de travail.
Un peu comme en matière de droit de la consommation, l’objectif à été de prévoir des règles
particulière qui ont pour objectif avant tout de protéger le salarié.
Initialement pourquoi le droit du travail à émerger ? Car il fallait prévoir des règles qui protège les
salarié et les travailleur. le droit du travail vise à protéger les salarié, les travailleurs, et qui essaie
d’attendre, en tout cas d’encadrer ce déséquilibre qu’il y a entre le chef d’entreprise (l’employeur)
et le salarié.
Initialement, le droit du travail à émerger au sein de certaine profession, corporation et n’avait pas
du tout une dimension nationale —- initialement c’était dans des région particulière, dans des
métiers particulier qu’on retrouvait le droit du travail, au fur et à mesure il a pris une dimension
nationale car on a eu la révolution française, c’est à partir de ce moment là qu’a commencer
1ère loi : loi d’allarde de mars 1791 qui a posé le principe de la liberté de travail, cette loi disait
que tout le monde est libre d’exercer tout métier, profession qu’il trouvera bon.
On à eu des loi marquante tel que la loi « le chapelier » de juin 1791 qui avait restreint le droit au
syndicalisme, du droit de grève, c’était une loi particulièrement peu favorable au salarié.
Progressivement on eu l’industrie qui c’est développer au 19ème siècle et par cette émergence
de l’industrie, on a eu des condition de travail de plus en plus rude pour les salarié et donc de
plus en plus de mouvement, de revendication qui émergeaient par les ouvriers, ils revendiquaient
une hausse de salaire, rémunération réduite, quasi aucun droit, une amélioration des conditions
de travail, une protection des travailleurs limité.
À partir de la fin du 19ème siècle on a eu l’autorisation des syndicat, en 1884, avec des loi sur le
risque d’accident de travail, sur la durée de travail.
En 1936 les accord Matignon qui on poser le principe des congé payé, déléguer du personnelle,
la semaine de 40 heures.
Après la seconde guerre mondiale on a l’apparition progressive des droits sociaux et notamment
une accélération de cette acquisition de droit sociaux a la suite de la crise de mai 68.
En 1982, loi Auroux, qui ont vraiment apporté un grande révision, une grande réforme du droit du
travail, pour favoriser le droit d’expression des salariée, limité la précarité au travail et on fait
passée les semaine de travaille de 40 à 39 heures. —-
Plusieurs réformes successive qui ont suivie les alternance politique car on sait qu’au grès des
gouvernement successif apporte des modification au droit du travail.——-
Le code du travail est entré en vigueur en novembre 1973, auparavant on avait un éparpillement
des texte et donc tout à été codifié au sein du code du travail et à été recodifié le premier mai
2008.
Plusieurs loi et notamment entre 2012 et 2017 un mouvement important de réforme du droit du
travail qu’on a voulu décomplexifié. On partait du constat qu’une des causes du chômage serait
la complexité du code de travail et donc par des mouvements successif, par des lois successif,
entre 2012 et 2017 on a eu un ministre différent par an, —- une des réformes sont 5 ordonnance
dite Macron du 22 septembre 2017 qui ont réformé en profondeur le droit du travail. La dernière
réforme importante du droit du travail est une loi du 5 septembre 2018, sur l’apprentissage et la
formation professionnel.
On a pas de perspective jusqu’a la fin du quinquennat 2017, mais en tout cas il n‘est pas
envisager à court terme un réforme du doit du travail.
- Bloc de conventionnalité : ce sont tout les textes internationaux, en droit du travail on a donc
les convention de l’OIT, qui mettent des actions pour vérifier les conditions de travail à Traver le
monde, et au cour duquel des conventions permettent à chaque salarié— quelque soit le lieux
ou il travail un minimum de protection, au niveau européen on a différent texte qui seront
directement applicable au salarié ou des textes au niveau de l’UE, des textes qui vont influencé
le législateur français —on eu un impact sur le droit du travail interne .
- Sur le bloc législative = toutes les lois qui sont voté par le parlement (parlement = l’assemblé
nationale et le sénat le sénateur) qui est composé en France de chambre l’assemblé nationale
et le sénat. —- . toute les règles applicable dans le droit du travail ne sont pas intégrer au code
du travail, il y d’autre règles qui seront applicable tel que le code du commerce, le code civil, le
code l’environnement … Mais c’est principalement dans dans le code travail qu’on va retrouver
l’immense partie des règles qui sont applicable dans le droit du travail. Le code du travail à
vocation à occuper un place décroissante en droit du travail et au profits des règles qui vont
directement être négocié par les salarié et les employeurs c’est ce qu’on appelle la négociation
collective, l’objectif est que tout ces texte qui sont négocié issue de la négociation collective,
occupe une place de plus en plus importante pour que le DT soit négocié, car si c’est négocier
s’a sera mieux accepter. Aujourd’hui le code du travail poursuis un triple de objectif.
- La place du code du travail dans l’encadrement — aujourd’hui le code du travail à un triple
objet
- définir les règles dites d’ordre publique qui s’imposeront et s’appliqueront pour
l’ensemble des salarié quelque soit leur entreprise, quelque soit le poste occupé, c’est
le « matelas » qui va s’appliquer à l’ensemble des travailleurs. Et c’est par exemple le
fait que chaque salarié doit être payée au SMIC (peut importe l’entreprise, le secteur
activité … on aura se bénéfice là)
- Fixé les règles d’organisation, de déroulement de l’organisation collective au sein de
l’entreprise : c’est la négociation entre partenaire sociaux d’accord et de convention
collective et cette négociation collective à vocation à prendre une place croissante. La
négociation collective : soit des accord collectif ou des conventions collective qui vont
être négocié entre les partenaire sociaux ( partenaire sociaux = sont des représentant
entre les employeurs et les salariés)
- Le troisième rôle est ce qu’on appelle les disposition suplétives : si aucune règles —-
dans ce cas là qu’est ce qui sera applique, ce sont les disposition supplétive
Un usage ou un engament
CHAPITRE 1 : les relations individuelles du travail
L’employeur n’a pas l’obligation d’avoir recours au service publique de l’emploie lorsqu’il va mené
à bien un processus de recrutement, c’est à dire —- au delà de cette obligation particulière
l’employeur est libre de procéder —-
Sauf cas exceptionnel, lorsqu’il va souhaiter engager un salarié étranger et qui n’a
L’employeur est libre de procéder comme il l’entend, lorsqu’il mène ce processus de recrutement
Il a plusieurs hypothèse qui s’offre à lui :
- gérer la procédure en interne via un service RH
- Faire appelle à des consultant —-
- Faire appel aux services publique de l’emploie : pôle emploie , France travail
Pour ce qui est de l’offre d’emploie on n’a pas de nombre
La seule précision qui devra être mentionner c’est si le poste à pouvoir est en intérim ou en CDD.
— dans ce cas sa devrais être mentionner, au delà de sa aucune obligation de mentionner le
salaire….
Simplement —-
Au moins une version en langue française et ne doit comporter de mention discriminatoire.
Car il existe un principe fondamentale dans le droit du travail et qui est le principe de non
discrimination. Ce principe est le suivant, il nous dit qu’aucune personnes ne pourra être écarter
d’un processus de recrutement ou même de l’accès à un stage et de manière générale, qui serait
fonder sur un critère de discrimination—-,
On va se concerter sur 3 clauses ; qui sont les 3 clauses les plus courante
- La clause de mobilité : le lieu de travail du salariée pourra être modifiée dès lors qu’on reste
dans cette notion de secteur géographique—- deux option :
- Pas de clause de mobilité prévue et il faut donc l’accord du salariée
- Il y a une clause de mobilité et dans ce cas, l’employeur pourra modifier
La principale obligation en terme de rédaction c’est quelle puisse prévoir et définir très
précisément sont champs d’application, elle doit expliquer très clairement, très précisément là ou
la salarié doit être muté car loue le salariée va signer sont contrat —- il ne faut pas que la
rédaction de clause puisse permettre à l’employeur —- à défaut la clause est inopposable —- et
donc il n’est pas obliger de l
Sur la mise en oeuvre de la clause de mobilité ; il faut que cette mise en ouvre de la clause soit de
bonne foie, donc elle doit être mise levure dans l’intérêt de l’entreprise en non pas que pour nuire
au salariée
Il faut également tenir compte de la situation du salarié et donc lui laisser un délai raisonnable
dans la mise en oeuvre et donc sa ne doit pas intervenir du jour au lendemain
Lorsque l’employeur va modifié le lieu de travail — il ne pourra modifiée que le lieu de travail et il
ne pourra pas modifiée en plus la rémunération ou un autre élément essentiel du contrat.
La clause de formation :
Au préalable par principe, l’employeur à l’obligation de former ses salariées et de maintenir ce
quo’n appelle leur employabilité, maintient de ‘employabilité. Parfois l’employeur va souhaiter en
quelques sortes misée sur un salariée et il va souhaiter aller au delà se sont obligation générale de
formation en permettant au salariés de bénéficié d’une formation qui va lui permettre non pas de
maintenir ses compétence mais d’en acquérir d’autre et d’être e capacité d’occupé un nouveau
poste, de prendre de nouvelle responsabilité, exemple une salariée qui occupe le poste de
comptable depuis longtemps on va lui financer une formation de RH, en contrepartie du
financement de la formation, l’employeur va attendre du salarié qu’il reste dans son service
durant une durée déterminé et si le salariée ne respecte pas sont engagement, si il démissionne
avant l’échéance prévue, il devra rembourser tout ou partis de la formation.
Cette clause de formation doit être signé avant le début de la formation et elle devra mentionner
la date de la formation, sa nature, les dates de la formations, la durée, le coût réel pour
l’employeurs et donc la pénalité que le salarié devrait payé en cas de manquement, cette pénalité
est appeler l’indemnité de dédit. Sur le montant de l’indemnité, peut être fixé au hasard, au
maximum cette pénalité devra être en un montant au cout qui correspond au cout pour — — le
prix de la formation déduction faites des aides dont il aurais pue bénéficier. On ne rentre pas dans
ses coûts —- et cette pénalité va être dégressive, c’est à dire qu’elle va baisser au fur et à mesure
du temps passer par le salarié au service de l’employeur après la fin de la formation. Exemple ; si
sa à couter 10 mille € à l’employer —-
La possibilité pour un employeur vis à vis de ses salarié de lui données des directives d’en
contrôler la bonne exécution et de sanctionner les manquement du salariée à ses obligations.
Schématiquement l’employeur va bénéficié de 3 pouvoir :
- un pouvoir de contrôle
- Un pouvoir réglementaire : qui va se matérialiser par l’élaboration et la mise en place d’un
règlement intérieur
- Un pouvoir disciplinaire : c’est l’employeur qui va déterminer si ou non il une faute et qui va
déterminer la sanction
1 : le pouvoir de contrôle
2 : Le pouvoir réglementaire
3 : Le pouvoir disciplinaire
Ce qui caractérise le salariat, cette relation entre un employeur et un salarié c’est l’existence de
ce liens de suborination.
A : le pouvoir de contrôle
Il va donnée des directive, si. No donne des directive c’est qu’on attend que les directive soit
respecter, qu’on puisse contrôler le respect des ses directive, l’employeur aura se pouvoir de
contrôle
De manière plus générale que les salarié
Et ces obligations ont plusieurs fondements, plusieurs origines, elles ont pour origines, les
différentes sources du droit. Sa peu être des obligations conventionnelle, donc qui sont issue d’un
contrat
On peut avoir une origine réglementaire
Différentes obligations,
Un point majeur ;
Ce qui pose difficulté c’est la question des nouvelle technologie et donc du matérielle mis à
disposition par l’employeur au bénéfice de ses salarié. Sa vise la messagerie professionnelle,
ordinateur professionnelle, téléphone professionnelle.
Sa peut prendre différent forme cette information, sa peut par exemple prendre la forme d’une
charte informatique, peut prendre la forme d’une clause, ou encore dans le réglaient intérieur
Si c’est le cas
Autre principe ; il ne faut pas que l’employeur, lorsqu’il exerce le pouvoir de contrôle consulte les
ficher, les mail qui ont été identifié par l’employer comme personnelle. Il ne faut pas non plus que
l’employer , si il y a un abus du salariée dans l’identification des plus garantie.
La CNIL :
La commission nationale et informatique liberté . La CNIL
Beaucoup de document très utile et notamment on a
Désormais l’employeur devra mettre en place un règlement intérieur dès lors que le seuil de 50
salarié
Et ce seuil ne doit pas avoir été battaient durant seulement un fois
À quoi sert un règlement intérieur, quel va être sont contenue, le contenue du réellement intérieur
est prévue , l’article L 1321-1 du code du travail, cet article prévoit et fixe le contenue qui doit
être celui du règlement intérieur.
Abord il doit prévoir les règle en terme de santé et sécurité au travail, discipline (quel sont les
horaire de travail, comment on va utiliser le matériel de travail.
Troisième domaine tout le qui concerne
Quatrième thématique : tout ce qui concerne
Santé et sécurité
Règle relative à la disciple
Point important : si l’inspection du travail ne fait aucun retour à l’employeur, pendant ce délais ca
ne va pas bloquer l’entré en vigueur du règlement intérieur
Le règlement intérieur n’est pas le seul document qui est établis par l’entreprise pour fixé des
règles, on a des chartes, des notes de services, des guides de bonnes conduites, qui vont faire
références à des thématique du règlement intérieur. Dans ce cas la ses document vont être
considérer comme des adjonctions, comme des annexe au régiments intérieur, pour que ses
documents entres en vigueur il devront respecter
Étapes
- élaboration par l’employeur d’un projet de règlement intérieur
- Consultation du CSE
- Diffusion du régiment intérieur (envoie au greffe, communication …
- Respect d’un délais d’un mois pour permettre
- Entré en vigueur du régalement intérieur
Étape 1 :
Convocation du salarié à un entretiens au préalable, plusieurs décision, cette convocation doit
impérativement intervenir dans un délais de deux mois et la convocation va interrompre le délais
de prescription de deux mois
Étape 2 :
Le respect d’un délais de 5 jour ouvrable pour permettre au salariée de préparer son entretient.
Étape 3 :
Entretient préalable au cour duquel le salarié va pouvoir s’exprimé, présenter sa défense, sont
argumentation. Donnée des explication a l’employeur, employeur qui aura préalablement
expliquer au salarié
Lors de ses entretiens le salarié pourra être assisté si l’employeur est assisté
Étape 5 :
La notification de la sanction qui ne pourra intervenir pas avant deux jour ouvrable de l’entretient
et au plus tard un mois après le jour fixé par entretient.
La notification devra être motivé, l’employeur
La lettre de sanction doit être motivé, elle doit bien détailler tout les faits reprocher au salarié, si il
y a un contentieux, employeur ne pourra se prévaloir que des faits
On dit que la lettre de sanction fixe les termes de litiges. Dans le cadre du touriers de convocation
l’employeur n’a pas a exposer, n’a pas à détailler les fait que l’employeur
Deux potentiel :
- le conseil de prud’homme, dès lors q’il y a litige entre un employée et un employeur
- Infraction pénale —> un délit, jugée par le tribunal correctionnelle.
Ce n’est pas un droit qui est absolue
Les exception :
- D
- `restriction qui peuvent tenir a la nationalité, l’âge
La rédaction d’un contrat de travail est -elle
Pour un CDI a temps complet
Pour certain type de contrat on a un formalisme particulier
Question 4 :
Chaque convention collective dans ses premiers articles va évoquer la question du périmètre
avec qui sont visée par l’application de cette convention collective.
Des entreprises et donc des salariées
Sa peut exister
On a sur le site
Question 6 :
L’employeur peut aller au de la de sont obligation
Question 7 :
Non, on peut pas imposer une clause au salarié
Une simple augmentation du chiffre d’affaire ne peut pas justifier en sois un recours au CDD.
Il faut une augmentation significative du CDD
Question 9:
Évidement, oui, tan qu’on est dans
Si on dépasse, on sort de ce secteur géographique,
Question 10 :
C’est faux , quand il y a une promotion on ne parle pas de période d’essaie mais de période
probatoire, car dans le cadre d’un période probatoire,
On aura simplement un retour au poste occuper avec l’ancien salaire …
Accepter a hauteur de ce qui existe en période d’essaie. On considérera que l’employeur connais
déjà sont salarié.
Là on a un salarié qui a commis quelque chose d’assez grave et qui a en plus une ancienneté
dans l’entreprise.
On est plutôt sur un licenciement pour faute grave.
Si on avait eu un salarié qui avait 10 ans d’ancienneté, alors le licenciement ne tenais pas on
aurais été sur un disciplinaire
Première précision —> lorsqu’un employeur envisage de licencié sont employer pour faute grave,
il est possible en même temps que vous allez le convoquer a un entretiens, de le mettre à pied à
titre conservatoire (et non disciplinaire), le salarié reste chez lui, il n’est pas payer et ce tout au
long de la procédure disciplinaire et jusqu’a la notification de licenciement —> deux option : il est
licencier pour faute grave dans ce cas toute la période
de mise à pied demeure impaire, deuxième option, l’employeur opte pour une sanction moins
importante ou ne le sanctionne pas, dans ce cas rétroactivement il faudra tout lui payer (il est
quand même licencié si il avais vraiment tord).
Première précision —> le délais de 5 jours ouvrable va commercer à être décompter soit le jour
ou remet la convocation en main propre au salarié, soit si c’est envoyer par courrier recommandé,
au jour ou la poste vient pour la première fois sonné chez le salarié.
La demission
Il faut simplement que le salarié expose de façon claire et non équivoque sa volonté de
démissionner et il devra respecter un préavis dont la duré dépend de sont ancienneté du poste
occupé.
Le départ à la retraite :
C’est le salarié qui est en droit de liquidé sa pension de retraite (calcule définitif de sa pension de
retraite) et qui va donc partir en raison de la survenance de cette événement. Il percevra une
indemnité de départ à la retraite.
La mise à la retraite :
C’est l’employeur qui prend l’initiative du départ lorsque sont salarié peut liquider sa pension de
retraite, qu’il ne veut pas partir spontanément, qu’il ne veut pas partir à la retraite et qu’il a l’âge
de 70 ans, (en dessous de 70 ans on ne peut pas lui imposer), le salarié perçoit une indemnité.
Chapitre 2 : les relations collectives du travail
On va aborder tout les droits des salariées qui sont collectifs, c’est à dire tout les droits des
salariées dans le cadre de la négociations collective.
I : la représentation du personnel :
Quel type de personne vont pouvoir dans l’entreprise aidée les salariée ayant des problème
II : la négociation collective
I : la représentation du personnel :
De l’autre coter on a la représentation désigner, désigner par les syndicats. On verra que dans
l’entreprise il va coexister deux type de représentation du personnel. Chacun aura des mission
bien définis.
Le comité sociale et économique c’est une instance récente car on a eu en septembre 2017 une
réforme importante du droit du travail, plusieurs ordonnance sont passer, les ordonnance dites
Macron, ses ordonnance ont réformé le droit du travail et notamment les instance de
représentation du personnelle et on a eu une fusion de plusieurs instance qui préexistait.
Avant 2017 on avait 3 types d’instances élue, on avait d’abord les déléguer du personnelle qui
eux avait pour mission de porter es réclamations auprès de l’employeurs et de veiller à ce que le
droit du travail soit correctement appliquer par l’employeur.
Ensuite on avait le comité d’entreprise, le CE, lui était une instance charger de grande thématique
et notamment, il était informé consulté par l’employeurs sur les thématique en question et
notamment la marche générale de l’entreprise, la formation professionnelle, la qualité liée au
travail…
Enfin on avait ce qu’on appelait le CHSCT, qui était donc le comité d’hygiène de sécurité et des
conditions de travails.
Ce comité est obligatoire dès lors que le seuil de 11 salariées ai été atteint pendant 12 mois
consécutif et il y aura des mission plus ou moins importante selon que l’effectifs de l’entreprise
dépasse ou non 50 salariés.
Le CSE est présent au niveau de l’entreprise mais si l’entreprise est structuré en plusieurs
établissent qui bénéficies chacun d’une certaine autonomie, dans ce cas là on aura des comités
d’établissement et en plus un CSE centrale.
Sur le calcule de l’effectif peut importe q’un salariée soit en CDD ou en CDI, toutefois si il est en
CDD on va proratiser(= diminue) et vérifier quelle à été sa présence au cour des 12 derniers mois.
(un CDD qui est là depuis 6 mois compote pour 0,5 et en plus si c’est un CDD de remplacement il
ne comptera pas) . Si le salarié est à temps partiel là encore on proratise en fonction de sont de
travail donc si un salarié travail 17h30 par semaine alors il compte pour 0,5.
(un salarié en générale compte pour 1)
Le CSE est composer de la façon suivante ; il y a d’un coter l’employeur et de l’autre on a une
délégation du personnelle qui est élue par les salarié par principe tout les 4 ans car la durée des
mandats des membres du CSE est de 4ans.
Les élections des membres du CSE sont organisé par le chef d’entreprise, c’est lui qui aura la
charge de l’organisation, il doit faire preuve de neutralité, c’est également lui qui gère la charge
financière. Attention si l’employeur refuse de mettre en place un CSE et plus généralement si
l’employeur porte atteinte au droit des représentant du personnel, il sera coupable d’un délit
d’entrave et ce délit d’entrave est un délit qui peut renvoyer l’employeur devant le tribunal
correctionnelle et la sanction courue est 1 an d’emprisonnement et 3 550€ d’amende.
Pour définir les règles de déroulement du scrutin il va devoir invité des syndicat à la fois ceux qui
sont implanté dans l’entreprise et à la fois ceux qui sont représentatif au niveau nationale, ce sont
les 5 syndicats vue en introduction CGT, CTC, CFDT, CFCGC et CFO.
Il va donc réunir les syndicats pour que des négociations ai lieux sur l’organisation des élections
et l’objectif c’est que les syndicats et l’employeurs arrive à conclure ce qu’on appelle un protocole
d’accord pré électorale soit le PAP, et ce protocole va avoir pour objectif de définir le calendrier
des élections, de définir comment ce déroulera la campagne électorale et surtout la répartition
des salariés entre les collèges électoraux et surtout la répartition des sièges à pourvoir entre les
collèges électoraux. Il y a cette obligation car il faut généralement qu’il y ait 2 collèges électoraux,
un pour les cadres et un pro les non cadre et donc on répartis les salarié entre les collèges et
proportionnellement qu’on est une représentation équitable.
On a pue se rendre compte qu’on avait une sur représentation des salarié au CSE.
Si les syndicats et l’employeurs n’arrive pas à se mettre d’accord, dans ce cas là l’employeurs
devra saisir le tribunal, c’est le juges qui va rendre un jugement auquel duquel sera
Conditions :
Sur l’organisation on a généralement deux tour espacer de maximum 15 jour, au premier tour, ne
pourront être candidats soutenue par au second tour qui aura lieux soit et c’est souvent le
cas si aucun syndicat n’a présenter de liste, soit si tout les postes ne sont pas remplie. Au
seconde tour
L’article L 2312-8 du code du travail en résumer le CSE va avoir pour mission d’assurer une
expression collective des salariés et pour cela il va être soit périodiquement soit ponctuellement
informé et consulté par l’employeur.
Tout d’abord chaque année il va être consulté par l’employeur sur 3 grand domaine
- d’abord sur les orientation stratégique de l’entreprise
- Sur la situation économique et financières de l’entreprise
- Sur la politique sociale de l’entreprise, les conditions de travail et l’emploie
Chaque année, soit au cour de la même réunion soit au cour de 3 réunion on va avoir l’employeur
qui va faire le point sur ses 3 points et au cour de ses consultations le comité doit être informé
des conséquences environnementale de l’activité de l’entreprise.
Il doit être informé soit périodiquement soit ponctuellement.
Le CSE va rendre un avis, mais aucun des avis du CSE ne s’impose à l’employeur, on dit que le
CSE ne rend pas des avis conforme.
Pour être informer et pouvoir mener à bien ces missions le CSE va bénéficier d’un accès à une
base de donné que l’on appelle la BDESE qui est la base de donné environnementale sociale et
économique.
Cette base de donné qui est généralement dématérialiser est de type intranet
Tout les document qui vont permettre au CSE d’être
Autre mission, le CSE va gérer ce qu’on appelle les activité sociale et culturelle, c’est à dire les
arbres de Noel, les avantages offert au salarié, les colonie de vacance….
Les moyens d’agir des CSE :
Afficher et diffuser informations aux salariés: avec l’accord de l’employeur ça peut être via
adresse mail professionnelle.
- Formation
- Local
- Protection contre le licenciement: et plus généralement protection contre la rupture de leurs
contrat de travail puisque pour tous licencient et même pour une rupture conventionnelle
lorsqu’elle concerne un représentant su personnelle, il faudra préalablement que le CSE soit
consulté ( pour rendre un avis) et que l’inspection du travail donne son accord. L’inspection du
travail va— 3 choses:
1) Régularité de la procédure
2) Licenciement justifié
3) Décision de l’employeur n’est pas motivé par le fait que le salarié soit un représentant
du personnelle
Enfin lorsque l’effectif de l’entreprise est d’au moins 50 salariés le CSE va avoir une double
subvention d’abord une subvention de fonctionnement et ensuite une subvention au titre de la
gestion des activités sociale et culturel.
Les syndicats on généralement un statut d’association
Un syndicat doit se déclarer en préfecture, cela permet d’être enregistrer et de s’implanter
La liberté
On a des pays ou pour avoir certain droit il faut impérativement que le salarié adhère au syndicat.
L’employeur doit faire preuve de neutralité, il ne doit pas favoriser ou défavoriser
L’employeur doit également s’abstenir de tout discrimination syndicale et il ne doit en aucun cas,
lorsqu’il prend une décision, prendre en considération l’appartenance d’un salarié à tel ou tel
syndicats.
Chaque syndicat à le droit de librement s’implanter dans une entreprise. On a au niveau nationale
un haut conseil du dialogue sociale qui relève du ministère charger du travail et qui va notamment
veiller à ce que tout les doits des syndicats soit correctement mis en oeuvre car on a eu en 2008
une réforme qui à revue
Ne participeront dans l’entreprise à la négociation. Que les syndicats qui ont obtenue plus de
10%.
Les déléguer syndicaux ont le monopole de la négociation, c’est à dire que dès lors qu’il y a un ou
plusieurs DS dans l’entreprise, obligatoirement l’employeur devra négocié avec ses DS. Même si
on verra ou on peut pratiquer la négociation dérogatoire, sinon le principe est que dès lors qu’il y
a un DS
On sait que la négociation collective avait une place de plus en plus importante
Sur les moyens des syndicats, au niveau nationale les syndicats on des ressources qui sont de
différents ordre, on a notamment des ressources issue de fond paritaires au niveau de l’état qui va
en partit fiancer les syndicats, on a également le financement
Et on a également les entreprise qui doivent contribuer au financement du dialogue sociale donc
au fiancent des syndicats.
Dès lors qu’un syndicat est implanter dans l’entreprise il va crée se qu’on appelle une section
syndicale. La section syndicale à pour mission de crée, d’assurer, d’encadrer la présence,
l’influence du syndicats dans l’entreprise, autrement dit, cette section syndicale va assurer la
représentation des interêts moraux et syndicales
La section syndicale va disposer de moyens, notamment d’une liberté d’expression, cette section
syndicale va être crée dès lors qu’il y a deux adhérents dans l’entreprise.
La simple information de l’employeur suffis. Il n’y a pas besoin de listé les salarié adhérents, en
fait l’employeur pourra contester en justice cette section syndicale dans ce cas c’est le juges qui
va vérifié.
Cette section syndicale à une liberté d’expression, ils peuvent indiquer toutes les informations
qu’il souhaitent dans des panneaux aux préalable et l’employeur
Par contre si l’employeur estime que les propos qui sont tenue dans affiche sont injurieux ou
diffamatoire, il pourra saisir le juge pour faire retirer l’affiche en question.
Exemple : dire l’employeur ne respecte pas nos droits —> n’est ni injurieux ni déclamatoire.
Le syndicat va également pouvoir organiser des réunion syndicale et il pourra y avoir une réunion
une fois par moi dans les locaux de l’entreprise et avec un accord au préalable avec l’employeur
et sui il n’y a pas d’accord c’est le juges qui tranche. ‘employeur à une interdiction d’assister à
ces réunions sauf si on lui autorise.
Dans les entreprise d’au moins 50 salarié, si le syndicat n’est pas représentatif il ne peut pas
désigner un DS mais le syndicats va pouvoir désigner un RSS, un représentant de la section
syndicale qui va bénéficier d’heures de délégations.
Les syndicats vont également bénéficier d’un local syndicale dans les entreprise d’au moins 200
salariés, c’est un local qui sera commun toute les sections syndicale et si l’effectif est d’au moins
1000 salarié, chaque section syndicale devra avoir sont propre locale.
Lorsque le syndicat est le représentatif (donc il a obtenue au moins 10%) et que l’entreprise à un
effectif d’au moins 50 salariés, le syndicat va pouvoir désigner ce qu’on appelle un déléguer
syndicale qui va participer à la négociation collective et qui sera donc le relais du syndicat dans
l’entreprise.
Le déléguer syndicale va être désigner parmi les candidats au dernier
Avant 2008 dans chaque entreprise, les 5 principaux syndicats pouvaient désigner un déléguer
syndicale.
Il faut que l’employeur soit informer de la désignation, et que tant qu’il n’ya pas d’information d
Ne peut se prévaloir des prorogatifs inhérante à sont mandat
Dans un délais de 15 jours si il estiment , passer ce délais la contestation n’est plus modifiable.
On a dans la négociation collective qui va être une discussion entre les partenaire sociaux, donc a
la fois les partenaire salarié et les organisation patronale qui on pour objectif de parvenir à la
conclusion soit d’accord collectif soit de convention collective.
Pour appelle une convention collective va porter sur toutes les thématique en droit du travail,
c’est un mini code du travail.
Un accord collectif ; ne va porter que sur un thème particulier, par exemple le salaire, la qualité de
vie au travail, la négociation collective va pouvoir intervenir à différents niveaux.
En plus il y a une 3ème thématique : dans les entreprises qui ont un effectifs d’au moins 300
salarié. Ce thème de négociation est ce qu’on appelle la gestion des emploie et des parts
professionnelle ( = la formation et l’évolution des salariés).
Au delà de ses négociations obligatoire, les partenaire sociaux peuvent négocié sur les thèmes
qu’ils souhaitent quand ils le souhaitent.
Si ce seuil de 50% n’est pas atteint l’accord n’est pas mort pour autant. Si il a été signé par un ou
plusieurs syndicats qui on obtenue au moins 30% au dernière élections, dans ce cas, les
syndicats signataire en question pourront décidé dans un délais d’un mois après la signature qu’il
souhaite soumettre cet accord à la validation directe par les salarié donc par référindhomme
La grève = La grève c’est une cessation collective et concerter du travail en vue d’appuyer des
revendication professionnelle, donc pour qu’une grève soit caractériser, licite, on doit avoir 3
conditions :
- il faut une cessation du travail qui soit collective
- et concerter
- et qui ait pour objectif d’appuyer des revendication professionnelle
Si ses 3 conditions sont réunis le salariés est protéger contre les représailles de l’employeur et
cette protection consiste à une interdiction pour l’employeur de licencier le salarié gréviste sauf si
le salarié commet une faute lourde.
Si la grève remplis les 3 conditions elle sera considérer comme étant licite et donc le salarié va
bénéficier d’une protection contre sont employeur, il ne peut donc pas être licencié. La grève a
pour effet la suspension du travail, le salarié ne travail pas et l’employeur n’a pas a rémunérer le
salarié.
L’employeur peut également licencier un salariée pour faute lourde si une telle faute est commise,
il peut également licencier disciplinairement un salariée qui participe à un grève qui n'est pas
licite, sui ne rempli pas les conditions et il peut agir en justice à la fois sur le plan civil et sur le
plan pénale :
- il peut déposer plainte si il y a des dégradation
- Il peut solliciter le licenciement des salaries qui occupe les locaux
- Il peut engager la responsabilité des syndicats si il est démonter qu’il ont une responsabilité
particulière sur la grève qui a dégénérer.
Les grévistes peuvent voir engager leurs responsabilités pénale sur plusieurs fondement, il y a
plusieurs infractions qu’il encourent
- Le délits d’entrave à la libérer du travail (on empêche les salaries non gréviste de travaillé)
- La séquestration, si le personnel d’encadrement est séquestration
- L’effet de violence, de dégradation de bien
La faute lourde :
En matière de grève elle est apprécié assez restrictivement et c’est par exemple la destruction de
matériel, de marchandise.
Si un salarié est licencier pour faute lourde et qu’on considère qu’il n’y en avait pas, le salarié
pourra se prémunir de la nullité de sont licenciement , il pourra demander sa réintégration et les
salaires qu’il aurait perçue depuis sont licenciement.
Fin de la grève :
Lorsque la grève est levé il est parfois possible de conclure se qu’on appelle un accord de fin de
conflits qui peut prévoir plusieurs chose notamment le paiement de tout ou partit des salaire
impayé des grévistes.