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Contexte :
1880-1914 : système étalon-or
1944-1971 : système monétaire BW – Étalon change or
1971 : Système financier internationale avec régimes de changes fixes et régimes de change
flexibles.
Quels raisonnant derrière le triangle d’incompatibilité de Mundell ?
(M.Obstfeld 1997) « trilemme politique » appliqué par la macro international
Hypothèses : Change fixe – Profit monétaire – capitaux mobiles
Si la masse monétaire augmente le taux d’intérêt va diminuer : le prix sur le marché de la
monnaie sortie de capitaux SCAP la monnaie va se déprécier
le taux d’intérêt va diminuer : Les intérêt augmentent la demande augmente la
monnaie s’apprécie balance commerciale diminue balance globale négative. la
monnaie va se déprécier
La banque centrale intervient achat de monnaie nationale et vend la devise : risque
d’épuisement de réserve. masse monétaire diminue
a : Exemple de régime de change fixe : la
chine : contrôle les entrées et les sorties de
capitaux et la Venezuela
C : les états unis, Angleterre, la zone euro avec
l’extérieur – la France
B : Hong Kong
Exemple :
Priorité (absolue) est la confiance :
Si volonté d’ajustement : risque d’attaque spéculative lorsque les marchés
suspecteront que la politique de stabilisation est moins efficace (sans contrôle de
capitaux)
Confiance : risque de subir volatilité du taux de change flottant et donc doit renoncer à
mobilité parfaite de k.
o Endettement extérieur
Les PED tendent à opter pour changes fixes car pour éviter que le cours d'une monnaie sur le marché des
changes ne soit soumis à des fluctuations amples, il faut que les A du taux de change exerce une action
immédiate sur l'O et la D de devises. (Guillaumont-Jeanneney, 2015). Cela peut passer par le mouvement des
marchandises mais réaction lente ; ou par mouvement des K mais PED mal intégrés aux marchés financiers.
Les PED optent pour des régimes de changes intermédiaires avec flexibilité controlée du taux de change possible
grâce à un contrôle des capitaux. Les pays peuvent choisir un ancrage monétaire (faciliter le commerce, maitriser
l'inflation...) mais risques (appréciation réelle qui conduit à une crise de balance des paiements, ou dégradation
du secteur des biens échangeables).
Question 4 : sur quelle hypothèse s’appuie H. Rey pour remettre en cause le trilemme ?
quel est le dilemme auquel sont confronté les pays ?
- En 2004 : Obstfeld et Taylor dans un mode ou les capitaux (K) circulent librement,
l’objectif d’indépendance de la politique monétaire exige nécessairement le flottement
de la monnaie.
- En 2013, conférence Jackson Hole, H. Rey remet en question le trilemme monétaire
dans un contexte d’ouverture croissante des pays émergents et un développement aux
flux de K.
Elle déclare que la mondialisation financière remet cette théorie en question :
L’indépendance de la politique monétaire n’est possible qu’en contrôlant les mouvements de
capitaux (k) ; quel que soit le régime de change
La politique monétaire du pays centre se transmet aux pays périphériques (Brésil et
Thaïlande) (alignement des politiques monétaires) la politique monétaire de la FED influe sur
le cycle financier mondial qui s’impose aux politiques monétaires quel que soit le régime de
change.
Possible solution : contrôle des capitaux(contrepartie ; un risque d’inefficacité de la location d
l’épargne ; épargne mal investit … on peut pas jouer sur le solde financier pour équilibrer ;
restaurer de l’équilibre de la balance courante) , politiques macroprudentielles ; toutes les
politiques qui visent à assurer la stabilité du système financier
Dans les capitaux il y a les ADE, investissement de portefeuille. Les capitaux à CT sont les plus
importants et les plus volatiles
Si on veut avoir une indépendance de la politique monétaire en doit contrôler les capitaux et la deuxième
politique c’Ets la politique macroprudentielle (assurer la stabilité du système financier)
Risque d’inefficacité de l’allocation de l’épargne pour les capitaux et assurer l’équilibre du solde de la
balance courante.
Question 5 : pourquoi le débat de l’existence d’un trilemme ou d’un dilemme n’est-il pas
tranché parmi les économistes ?
- Qu’est-ce l’autonomie de la politique monétaire ? argument de Nelson : monétariste
(2017) - second texte sur la plaquette- (examen)
Taux de change flexible autonomie monétaire
- Défense du trilemme monétaire par M. Obstfeld et pris e compte du
trilemme financier. (Schoenmaker 2013) Possibilité d’une quadrilemme ? les
interdépendances dans les relations financières internationales – la mise en œuvre de
pol de stabilité financière : macroprudentielle – le degré d’intégration dans le marché
de capitaux
- M.Obefled : nuancer le trilemme monétaire avec configurations hybrides (se située
n’importe où dans le triangle ; à l’intérieur on parle de trilemme 2.5 : si on veut
garantir l’autonomie de la politique monétaire, soit on passe au régime de change
flexible soit contrôle de capitaux, mais ce qui est plus efficace est le contrôle)
Le trilemme :
Interdépendance financière internationale
Stabilité financière (macroprudentiel)
Degré élevé d’interaction avec le marché monétaire