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: exa-
men
Caractéristiques :
→ OUVERTE : tout le monde peut voir ce que fais l’autre, il y a pas d’intimité entre les
interlocuteurs.
Un code = une sorte de convention entre 2 personnes qui dis tel geste signifie ça, tel son, cris
signifie quelque chose. Associe une signification à des sons, gestes, couleurs.
(si on connaît pas le code on ne peut pas communiquer)
Code= BARRAGE (appauvrit)
Code= OUTIL (enrichit)
Forces :
-Le code qu’elle détient qui est celui d’une communication verbale et gestuelle ( fait partis
des premiers codes qui sont apparus)
-Ce mode de communication enrichit car les interlocuteurs parlent avec des sons ce qui rends
la communication plus sophistiquée.
Faiblesses :
- Par rapport au CODE, dès que la communication respecte un code, elle n’’est plus aussi ac-
cessible pour tout le monde car si quelqu’un ne connaît pas le code, il ne peut pas commu-
niquer avec les autres.
- La communication orale n’est pas pratique pour communiquer àn distance.
- Il faut ajouter des outils à ce type de communication sinon elle ne sera pas performante.
MUNDSCHAU (journaliste) : les médias ont permis de sortir d’une com locale pour avoir
une com plus large (communiquer avec une masse d’individus qu’on ne connaît pas)->
problème d’accès. Ses outils ne sont pas accessibles pour tout le monde, la communication est
plus fermée que la communication primitive.
LAVIOLETTE : média beaucoup trop vague car on mélange toutes sortes de choses quand on
parle de média, ce sont des techniques, parfois aussi des domaines d’activités. Quand on parle
de média, il faut préciser de quoi l’on parle.
BALLE :
-Média AUTONOME qu’on peut emporter avec soi car on ne dépend d’aucune connexion
exemple : livre, CD.
-Média de DIFFUSION, l’interlocuteur doit être lié à une connexion pour utiliser ce média
exemple : la radio nécessite des ondes avec l’émetteur. Il faut être connecté ce qui aujourd’hui
devient de pire en pire exemple : musique en streaming (dépendant).
+ Avancée technologique
- On perd de l’autonomie
La radio et télé = flot d’information. On est dépendant car on nous « oblige » à être en
connexion mais on peut y accéder quand on veut donc → autonomie.
Qui était Marshall Macluhan (époque) ? Pourquoi dit-il que le média c’est l e
message ? Pourquoi certains chercheurs ne sont pas d’accord avec lui, le cri-
tique ?
Mcluhan est un auteur canadien du 20ème siècle qui a observé l’arrivé de la radio et de la
télé. «Le média c’est le message » car pour lui c’est plus la façon dont on transmet le
message qui affecte le public consommateur et non le contenu lui-même. Donc, le ca-
nal de communication utilisé constitue le véritable message. Par exemple l’imprimé
est un média car il peut transmettre une information depuis un émetteur vers un récep-
teur.
Les médias changent nouvelle technologie (électricité). Il était inquiet par rapport à
l’évolution de la tv, le média n’est pas neutre, il faut se poser la question de l’impact
social des médias dans la société.
Certains chercheurs critiquent l’intérêt de Mcluhan pour la BD car pour eux c’est une
forme de média qui n’est « pas sérieux ». Ils n’aiment pas non plus sa manière de se
comporter en public car il avait tendance à donner des idées provocantes (exemple :
lors d’une interview pour le magazine érotique Playboy).
Macluhan a remis certaines idées en question.
Distance avec le public qui ne savent pas lire -> car on transforme l’oral en écris donc
→ exclusion (négatif), on ne sait pas tous se comprendre, on devrait avoir tous la
même écriture.
Chiffre, eux se rependent mieux grâce au commerce.
Le système d’écriture a défini des territoires linguistiques. Il s’agit d’un élément qui
rassemble la société et la différencie. L’alphabet fait partie de l’écriture et contient se-
lon les langues ou moins de lettres, malheureusement celui qui ne connaît pas cet al-
phabet est exclu il y a donc un regroupement de personnes.
Son invention a un impact dans le sens où elle bannit peu à peu les pratiques tradition-
nelles de lecture à haute voix et on avait plus besoin d’écrire d’ouvrage à la main.
L’ouvrage le plus connu sorti de son invention est la Bible.
Cela va permettre une circulation plus grande des textes et donc plus de liberté ->
d’abord pour les privilégiés car majorité de la population analphabète.
Pour la population -> plus de connaissances, évolution d’apprendre à lire.
Quels avantages et inconvénient d’une mise en page sobre, serrée, sans intertitre ?
Avantage : avec cette mise en page compacte il y avait une chronologie des faits, les
plus importants étaient au début et les moins importants à la fin. Cette mise en page
obligeait aussi les gens à lire une bonne partie s’ils voulaient être informé. Ils ne pou-
vaient pas se limier aux titres.
Inconvénient : les gens étaient rapidement fatigués de cette lecture qui demandait un
certain effort car les paragraphes étaient compacts et écrit très petits.
Quels sont les moyens utilisés par certains souverains pour freiner la circulation
d’imprimés ?
- Taxes-> taxer le papier → devient cher (contrainte pour ceux qui n’on pas beau-
coup d’argent) → donc on limite la circulation.
Eglise catho, riche, rois → bloquaient les textes et éliminaient les individus
se pliaient pas à leur règles (torture, peine de mort).
Au début, beaucoup de penseurs, n’osaient pas publier leur livres, au fil du
temps la pression à diminué.
philosophe, écrivain…(1713-1784)
18ème siècle= siècle des Lumières (trouve ses fondements dans la sciences et les tech-
niques et non dans les croyances)
Les philosophes disent que dans un système politique juste, moderne il ne faut pas
donner le pouvoir à une seule personne.
Exécutif → gouvernement : dirige la pays, fais en sorte que les lois soient
bien respectées et appliquées de manière concrète.
La presse → permet aux citoyens d’influencer les élus, elle a fait bouger le
pouvoir.
Système pensé aux siècles des lumières par les philosophes : Il ne faut pas donner le
pouvoir législatif à une seule personne, c’est un citoyen élu par le peuple qui doit faire
les lois, d’autres personnes les mettent en pratique et un juge doit être indépendant.
Les révolutionnaires ont utilisé l’imprimerie pour faire connaître leurs idées-> journalisme
est né a la fin du siècle des lumières par des révolutionnaires. Publier n’est pas un privilège
mais un DROIT.
Consécration du 4ème pouvoir : « La libre communication des pensées et des opinions est
un des droits les plus précieux de l’homme. Tout citoyen peut donc parler, écrire, impri-
mer librement, sauf à répondre à l’abus de cette liberté dans les cas déterminé par la
loi », Article 11 de la constitution de 1789.
Quel était le point de vue des révolutionnaires français de la fin du 18ème siècle à pro-
pose de la presse ?
Pierre Brissot-> révolutionnaire Français a dit « Un journal doit instruire tous les
Français, sans cesse, à peu de frais et sous une forme qui ne les fatigue pas » « C’est
l’unique moyen d’instruction pour une nation nombreuse, qui chercher à sortir de l’igno-
rance ou de l’esclavage. Sans les gazettes, la Révolution de l’Amérique ne serait jamais
faite ».
La presse doit instruire les Français, les textes doivent être bon marché et ne doivent pas
fatiguer, il faut changer la mise en page pour pouvoir lire mieux. La presse est l’unique
moyen d’instruire une masse de personnes. Les caricatures appariassent peu à peu, ce qui
donne encore plus de légèreté à la lecture.
19ème siècle = accélération au niveau des échanges → il faut trouver des moyens pour ac-
célérer le transport et faciliter la communication.
(Adam Smith prônait des échanges ay niveau mondial, chacun produit ce en quoi il est bon
et va chercher des biens ailleurs).
L’invention de l’électricité → un + pour les machines car plus vite, quantité plus impor-
tante. Milieu du 20ème siècle → impression rapide, plus beaucoup d’employés, allège le tra-
vail des ouvriers → AUTOMATISATION
Qui était Emile De Girardin, époque ? Quels futs ces apports à l’univers des médias ? En quoi
était-il un homme moderne ? Quelles critiquent lui fut adressé ?
Emile De Girardin (1806-1881) est homme politique français et journaliste influencé par les
idées révolutionnaires (liberté de la presse).
Il voulait une presse accessible à tous et bon marché.
Il intègre de la publicité dans les journaux comme des annonces publicitaires ou des feuille-
tons pour financer la presse. Pour lui, cela permettait à la presse d’être plus libre et indépen -
dante. Il veut que la presse soit sérieuse, plus facile et accessible à tous.
On lui reproche de donner la parole aux femmes, les intellectuels le méprisent. Un journal ne
doit pas choquer ou déplaire comme la presse de Girardin.
L’alphabétisation des masse et le temps libre sont un avantage pour les médias. Une partie de
la presse soutient les revendications des ouvriers d’usines qui travaillent dans de mauvaises
conditions.
Vers la fin du 19ème, début du 20ème siècle, l’école devient obligatoire ce qui mène à une majo-
rité de la population alphabétisée. La consommation des médias augmente et le livre de poche
est diffusé en masse.
- Pilier catholique → l’église a créé une presse pour garder son pouvoir → jour-
nal le Patriote pour revendiquer les idées de l’église.
- Pilier libéral → presse pour les patrons-> La DH malgré les rubriques sportives
et politique, c’est un journal avec de l’actualité à sensation.
Quels problèmes apparurent dans l’univers des médias lors de la guerre 14-18 ?
Pourquoi les USA sont-ils devenus dominants dans l’univers des média à partir de la
fin de la révolution industrielle ?
Les USA introduisent la bande dessinée dans l’univers des médias. Les droits de
bande dessinée sont vendus à plusieurs journaux américains. Les ventes aux USA aug-
mentent et le public se fidélise. Les médias européens veulent aussi avoir de la bande
dessinée dont les droits sont détenus par les américains.
Avec la BD apparut un nouveau langage. Le but de ce langage est qu’il doit être com-
pris par tout le monde (un grand nombre). Le code de ce langage est défini via des
images fixes qui définissent des mouvements, du son et des émotions.
Qu’entend par autocensure ? Quelle est la différence avec a censure ? Illustrez l’au-
tocensure par un exemple.
L’autocensure est pratiquée par les éditeurs pour rester dans limites du politiquement cor-
rect. C’est une censure que les éditeurs se font eux-mêmes pour éviter la censure.
La censure est imposée par la loi, elle peut empêcher les éditeurs de publier s’ils ne res-
pectent pas les mesures du politiquement correct.
Qu’est-ce que le comics code ? Pourquoi ce code apparut-il ? Quelles furent les réac-
tions ?
Un self-média peut-être par exemple, une cassette audio, ma création d’un blog…
Le terme self-média vient de CLOUTIER, il s’agit d’un média que chaque citoyen peut
« contrôler » lui même, tout le monde peut créer de l’information.
Les selfs-média ont mené à l’ère Emerec une ère qui permet aux individus d’être émet-
teur de l’information en plus d’être déjà récepteur.
Au 20ème siècle , le travail des médias peut être réalisé par tout le monde-> public AUTO-
NOME, il prend du pouvoir, il a de plus en plus de liberté ( il est de + en + actif et non
passif).
Exemple :
1950-> magnétoscope va transformer la télé en self-média car les gens pourront enregis-
trer un audio, signal vidéo, ce qui va permettre au public de décider de regarder ce qu’ils
veulent et quand ils veulent. On peut enregistrer avec le magnétoscope et regarder le len-
demain.
Quel outil Samuel MORSE a-t-il mis au point ? A quelle époque a-t-il vécu ? Qu’est-ce-
qui caractérise cette époque ? Qui était le plus intéressé par cet outil ? Quelles sont les
qualités et quelles sont les limites de cet outil ?
Morse a mis au point le télégraphe. Il a vécu après la Révolution Française. Durant cette
époque, la science devient plus importante et le clergé s’affaiblit davantage. L’individu
devient plus important et des inventions voient le jour. Le militaire américain est in-
téressé par ce mode de communication révolutionnaire.
Les armées vont s’intéresser au Morse car ce système est très fermé.
Les qualités :’il s’agit d’un mode de communication qui fonctionne rapidement d’un en-
droit à l’autre (l’info).
Les limites : sont que ce mode détient un code et qu’il n’est donc pas accessible à tout le
monde car il faut maitriser ce code pour l’utiliser. C’est une communication éphémère,
c’est un signal qui disparaît. Le télégraphe n’est pas très pratique (câble, code, …).
Quel outil Gugliemo Marconi a-t-il mis au point ? A quelle époque a-t-il vécu ?
Qu’est-ce qui caractérise cette époque ? Quelles sont les qualités et les limites de cet
outil ?
Les qualités : sont qu’il est possible de communiquer sans fils et à plus longue distance.
Les limites : sont que tout le monde ne peut pas émettre car sinon les ondes partent dans
tout les sens. C’est une transmission avec antennes donc un système « ouvert ». C’est
pourquoi l’Etat définit qui peut émettre et qui ne le peut pas.
Quel outil Nicéphore NIEPCE a-t-il mis au point ? A quelle époque a-t-il vécu ?
qu’est-ce qui caractérise cette époque ? En quoi son invention a-t-elle eu un im-
pact sur l’univers des médias ?
Le brevet est comme une « protection » d’une invention. A chaque fois que quelqu’un
veut l’utiliser, il devra payer une somme à l’inventeur.
C’est une façon de protéger son invention pour que personne ne la « vole » et d’en tirer
profit en même temps.
Quel outil George EASTMAN a-t-il mis au point ? Où et à quelle époque a-t-il vécu ?
Qu’est-ce qui caractérise cette époque ? En quoi son invention a-t-elle eu un im-
pact sur l’univers des médias ?
Qui était Thomas EDISON ? Où et à quelle époque a-t-il vécu ? Qu’est-ce qui carac-
térise cette époque ? Quels furent ses apports à l’univers des médias ? Comment
s’y prit-il pour innover toujours plus ?
Qu’est ce que le code HAYS ? A quelle époque fut-il rédigé et pour quelle raison ?
Quelles furent les conséquences de son utilisation ?
Le code Hays vient de William HAYS qui a demande à deux ecclésiastiques de rédiger
un code, pour protéger le temple du cinéma de tout débordement, en 1922 et va continuer
d’exister jusqu’en 1950.
IL a été rédigé durant la Révolution industrielle, il n’y a plus de liberté en matière de
contenu sexuel mais aussi en matière de critique social et politique.
Qui était WALT DISNEY ? Où et à quelle époque a-t-il vécu ? Qu’est ce qui caracté-
rise cette époque ? Quels furent ses apports à l’univers des médias ? Que peut-on
lui reprocher ?
Walt DISNEY est le fondateur des studios DISNEY. Il a vécu aux Etats-Unis au début
du 20ème siècle. Cette époque se caractérises par différentes guerres (mondiales et la
guerre froide) et est rythmée par des bouleversements politiques.
Les réalisations de Disney ont contribué à l’univers de la bande dessinée. Il dépose un
dossier de marque sur Mickey Mouse. On peut lui reprocher de vouloir tirer profit de
tout quitte à faire travailler ses employés dans de mauvaises conditions (pour le
film « Dumbo »). Durant la « guerre des studios Disney », Walt veut se faire passer
pour un Américain irréprochable.
Pour que les ondes émises soient stables, l’Etat doit contrôler car tout le monde ne
peut pas émettre. Le nombre de fréquences est limité donc si 2 émetteurs ont la même
fréquence, les ondes se brouillent, l’Etat doit donc organiser ce système.
Exemple :
-Le télégraphe inventé par Morse, qui permet de transmettre des messages à longue
distance d’un endroit à un autre.
-Le téléphone inventé par Bell, qui permet de communiquer des sons à distance en
langage naturel.
·Qui était Paul OTLET ? Où et à quelle époque a-t-il vécu ? Qu’est-ce qui caracté-
rise cette époque ? Quels furent ses apports à l’univers des médias ?
Qu’entend-on par « hypertexte » ? Quels sont les points forts et quels sont les points
faibles de cette innovation ?
L’hypertexte est un moyen pour relier des infos ente elles de manière électronique.
C’est un moteur de recherche qui permet de pointer ce qui nous intéresse.
Point fort : il est facile de trouver des infos dont on a besoin (rapidité)
Points faibles :
- ça permet aux lecteurs de zapper, de ne pas tout lire
- il y a une déstructure de l’information au niveau de la presse écrite
- on renforce la culture mosaïque.
En quoi média et pouvoir politique sont-ils interdépendants ?
Le pouvoir politique dépend des médias pour transmettre ses idées au peuple plus ra-
pidement et efficacement. Par exemple en faisant de la propagande pour les cam-
pagnes politiques.
Souvent, pour crédibiliser, les journalistes donnent de données chiffrées. Une vague de
sondages a envahi les médias ces dernières années. Il faut toujours se demander s’il a
été réalisé à l’initiative d’un média ou d’un milieu extérieur aux médias. Se demander
aussi :
-Qui a payé le sondage ?
-Quelle est la crédibilité de l’institut de sondages ?
-Quand le sondage a été réalisé, à quel moment ?
- Comment a-t-on interroger les sondés ? Quel type de contrat a eu lieu entre les 2 ?
- Qui a été sondé ? Combien étaient-ils ?
Dans les sondages ce qui est important c’est le nombre de personnes sondées. Atten-
tion, les gens changent de position en fonction des sondages, ils sont devenus indis-
pensables pour mesurer l’opinion politique (critiqué).
Droit à l’image : Tout citoyen peut s’opposer à la publication de son image s’il n’y a pas eu
autorisation SAUF si c’est une photo de groupe, ce n’est pas un zoom sur la personne.
Droit d’être informé : Pas de tout et n’importe quoi mais de choses qui peuvent nous rendre
meilleur (exemple : meilleur connaisseur de la politique, de la situation économique). Par la
contre la vie privée de Madame X ou monsieur Y ne concerne pas le citoyen.
Texte adopté par les représentants des syndicats des journalistes des 6 pays membre s
de la Communauté Européenne à Munich, le 24 et 25 novembre 1971, et adopté en-
suite par la Fédération internationale des Journalistes (FJI) au Congrès d’Istanbul en
1972.
Préambule : Le droit à l’information, à la libre expression et à la critique est une des
libertés fondamentales e tout être humain. De ce droit du public à connaître les fiats
et les opinions procède l’ensemble des devoirs et des droits des journalistes.
La responsabilité des journalistes vis-à-vis du public prime toute autre responsabilité,
en particulier à l’égard de leurs employeurs et des pouvoirs publics.
La mission d’information comporte nécessairement des limites que les journalistes
eux-mêmes s’imposent spontanément. Tel est l’objet de la déclaration des devoirs for-
mulée ici.
Mais ces devoirs ne peuvent être effectivement respectés dans l’exercice de la profes-
sion de journaliste que si les conditions concrètes de l’indépendance et de la dignité
professionnelle sont réalisées. Tel est l’objet de la déclaration des droits.
Canal= par exemple la télévision (avec différentes chaines), la presse écrite (avec dif-
férents quotidiens).
QUI dit : Personnes ou groupe qui décide ou contrôle les communications médiatiques
et sur un plan social (statut, profession, sexe).
QUOI : Le contenu :
Avec ce schéma, Laswell croyait à une mécanique, si on donne des infos, cela à un
impact sur le citoyen. Aujourd’hui cela a changé, le modèle est simple car on ne se
pose pas la question du POURQUOI, DANS QUEL BUT, DANS QUEL
CONTEXTE.
- C’est eux qui décident qui peut devenir journaliste professionnel et qui ne peut
pas l’être.
- Pourquoi eux ? -> Liberté de la presse dans l’institution : démocratie.
- C’est eux qui vont délivrer les cartes de presses aux journalistes.
⎝Traite des problèmes de déontologie : Les citoyens qui se sentent victimes des
journalistes peuvent porter plainte au CDJ s’ils estiment qu’ils ont été maltraités.
⎝Suggère des nouvelles possibilités pour le journaliste afin de faire correctement
le métier : rôle de conseil.
La différence entre CDJ et AJP -> Ils ne défendent pas les mêmes intérêts.
Les agences de presses : regroupent des journalistes pour récolter des infos vérifiées
mais pas encore travaillées.
Elles existent depuis le 19ème siècle car les journaux ne pouvaient pas envoyer des
journalistes partout dans le monde.
Il existe des agences mondiales, une agence dans chaque pays +-, parfois un seul jour-
naliste pour un groupe de pays (car pays plus petits).
Dommage pour la liberté car les entreprises refusent les gens qui ne sont pas d’accord
avec eux -> fort critiqués.
Le journaliste devrait avoir le droit d’interroger qui il veut.
ALTER est une agence régionale, spécialisée (francophone belge) et est thématique.
Elle traite des sujets économiques et sociaux entre les citoyens, l’enseignement chez
les jeunes. Elle se limite à un thème.
AFP (Agence de Presse Fançaise), c’est une agence de presse mondiale, donc elle a
beaucoup de journalistes. Parle plus de problèmes dans le monde entier.
-Les locaux qui sont sur le terrain (connaît le terrain, le réseau, comprend mieux).
Source sûr = application en ligne qui permet aux citoyens de déposer une info+
les preuves (sources de l’info), ils peuvent dire leur identité ou pas.
Ca été crée pour que les infos déposées soit vraies (sécurité).
Il a déclaré sur TF1, que le téléspectateurs doivent être là en sorte d’être prêt à regar-
der les pubs.
-Les mauvaises nouvelles sont placées au début du journal.
-Les choses plus positives sont à la fin du programme pour que public soit
mieux préparé à regarder les publicités.
Après avoir sélectionné l’information il doit la mettre en forme soit de manière très
brute en étant dans le factuel soit en la scénarisant, beaucoup de lecteurs préfère une
histoire dans l’information.
Beaucoup de journalistes vont scénariser l’information pour leur donner une forme
d’histoire.
Ils peuvent faire un documentaire présenté sous forme de fiction grâce à des acteurs
qui jouent le rôle des personnes qui l’ont vraiment vécu-> cela devient une fiction.
Mais dans un documentaire traditionnel on ne va pas faire ça on va interviewer.
·Pourquoi certains disent que Closer ne fait pas de journalisme ? Et pourquoi lui
prétend le contraire ?
-Closer n’aide pas le citoyen à s’émanciper.
-Il fouille dans la vie privée (pas dans le code de déontologie journalistique)
-MAIS il enquête (investigation), recherche donc -> JOURNALISME
-Les photos s’analysent aussi en terme d’unité de temps, de lieu, et pourrait-on dire d ’ac-
tion.
-Voyez aussi plus haut pour les questions de cadrage, de profondeur et d’éclairage (+ effets
de ces choix= signifiés)
On ne décode pas une photo de la même manière selon qu’elle est publiée dans la Libération
ou dans Vers l’avenir, même, en faisant abstraction de la légende. Le contexte de la publica-
tion ancre le sens. D’abord, par la politique rédactionnelle générale du support (voyez plus as
ce qui concerne la propagation). Ensuite à cause de la perception que nous avons du support :
elle créer des attentes.
• Plan moyen : on se focalise sur les personnages mais on les voit en entier.
• Plan américain : inventé car cela s’arrêtait au klit avant : on voit jusqu’au
dessus des genoux.
• Plusieurs plans : par exemple dans un salon, les gens, la table et le tableau
encore derrière.
CIM-> Centre d’information sur les médias est la principale source de médiamétrie
indépendante en Belgique.
Au service du monde la pub, il recueille des données sur les médias pour que les an-
nonceurs puissent choisir un média qui correspond à leur campagne. Les annonceurs
peuvent donc savoir quels médias sont intéressant pour eux.
Il récolte :
- la diffusion des médias (tirages, placement d’affiche)
- l’audience des médias (qui écoute, qui regarde la télé, radio, presse)
Médiamétrie et médiaplanning ?
Médiamétrie-> mesurer l’audience, c’est ce que fait la CIM entre autre. Elle étudie le
public des médias « ABOVE » : télévision, radio, presse, affichage, cinéma et internet.
Elle essaie de déterminer quels segments de population il touche.
Médiaplanning-> rôle est de choisir les bons supports pour un produit, une marque.
Pour cela, les annonceurs exigent des données fiables, c’est le rôle de la médiamétrie
de leur en donner.
Le périodique Axel édité par Vie Féminine, association crée dans les années 20, une
association de l’éducation, d’émancipation des femmes adultes. Elle existe toujours et
elle est féministe.
-Le tirage
-La fréquence de lecture
-La lecture totale ou contraire partielle
-Le mode d’acquisition et de circulation
-La manière de lire le titre
-L ‘équipement
-Le lieu de consultation
-La fréquence de consultation des sites internet, des emails…
Le travail de programmation à faire et pour cela le public doit accepter les cookies sur
les sites. Mais le problème est que les gens nettoient régulièrement leur ordi et donc
tout s’efface.
Le GSM :
La propagande montre beaucoup d’images chocs qui renforcent les craintes du public.
Les messages de propagandes sont simplistes, la dynamique est conflictuelle. Ils vont
aussi choisir un ennemi (exemple : Les juifs pendant la 2ème guerre mondiale)
Les journalistes de propagation ont une idéologie MAIS ils font le lien entre leurs
croyances et l’actualité. La fonction référentielle est très présente dans la presse de pro-
pagation CONTRAIREMENT à la presse de propagande.
- Des éditeurs de services (RTBF, télé locales, télé et radio privée, web TV, we-
bradadio…)
- Voir l’offre de médias en FWB sur le site « pluralisme » extrait du site csa.be
Avantage : il y a une grande diversité
Inconvénient : l’aide financière va quasiment que à la RTBF
La radio est gratuite alors que les quotidiens sont payants et qui vont d’ailleurs mourir
faute d’argent. Si plus de lecteurs, il n’y a plus d’argent.
D’autres quotidiens vont être racheté par leur concurrent (qui a plus d’argent). Tout au
long du 20ème siècle, ce mouvement va se poursuivre. A un certain moment, pour em-
pêcher que ces quotidiens meurent, l’état va intervenir et donner des subsides à cer-
tains quotidiens. Ce sont les journaux les plus commerciaux qui ont de l’argent pour
les racheter.
Quand on crée une entreprise, il faut des capitaux et donc on a des personnes qui vont
apporter du capital -> ce sont les actionnaires.
Si j’apporte 1000euros de capital, je reçois un document qui prouve que j’ai apporté
cet argent -> ce sont les actions
Participation = ce sont des actions que l’on a achetées et qui donne du pouvoir.
Donc, le capital est représenté par des actions. Toute personne qui a des actions peut
participer à l’assemblée générale. Une action donne 1 voix.
Le pouvoir de l’assemblée générale est détenu par les actionnaires. Donc, celui qui a
le plus d’action à le plus de pouvoir. L’assemblée générale désigne un conseil d’ad-
ministration.
La manière dont Rossel vend les espaces publicitaires, c’est via une régie.
Dans la vente, il y a la régie, dans ce cas si : la régie Rossel.
La régie= c’est un organe commercial qui s’adresse aux annonceurs en disant « Qui
voulez-vous atteindre ? »
Régie de média : Est une société qui récolte la publicité pour la RTBF, elle en a 98.
Le conseil d’administration RTB sont des personnes mandatés par les partis politiques.
A chaque élection, la composition du conseil change.
La diversité est plus grande en presse périodique, le nombre de titres (articles) est plus
important. Pas de difficulté car -> peu couteuse. L’Etat ne joue aucun rôle dans la
presse périodique.
Mais elle a suivit le même mouvement que la presse quotidienne, on est dans une lo-
gique commerciale.
Elle est beaucoup plus ciblée, spécialisée.
La presse quotidienne, a suivit le même chemin que la presse périodique, elle est plus
en difficulté car -> fort couteuse. Peu de diversité, moins de titre (d’articles) que la
presse périodique. Elle bénéficie d’une aide sans quoi elle risquerait de disparaître en
raison de problème de rentabilité.
Dans la presse écrite, l’Etat ne joue aucun rôle (sauf pour la presse quotidienne qui
reçoit de l’aide), or dans la radio et la télé, l’Etat joue un rôle important car il décide
qui diffuse quoi et à quel moment.
-
lui qui parle va faire part de ses émotions et de ses état d’âmes, il ne cherche pas à
produire un effet sur le public mais plus à dire ce qu’il a sur le cœur.
-
bouger l’interlocuteur. Exemple : VENEZ MANIFESTER DIMANCHE A BXL. Le
journaliste veut faire bouger son public en donnant des « ordres » en essayant de
convaincre les gens.
-
dre le message attirant ou effrayant, faire passer un message de manière parlante au
public. Les publicitaires l’utilisent beaucoup.
-
placer le message dans son contexte, un bon journaliste utilise cette fonction. Ils uti-
lisent cette fonction pour que le public comprenne bien le sujet, la problématique.
-
reliée a la fonction référentielle, se ressemble beaucoup, c’est souvent une définition.
Exemple : Dans un article sur le pacte migratoire, on explique d’abord ce qu’est un
pacte. Pour que les gens comprennent bien le sujet. Certains médias l’utilisent plus
que d’autres.