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Dr Paul Rodolphe
Médecine Interne – Endocrinologie
Diabétologie
Plan du cours
Introduction
Définition des concepts: endocrinologie, glandes endocrines,
hormones.
Fonction des glandes endocrines
Nature chimique des hormones
Propriétés des hormones
Types de glandes endocrines
Régulation hormonale
Principe de feed-back en endocrinologie
Réseaux de communication hormonale
Rythmes biologiques
Mode d’action des hormones
Protéines G: son rôle
Effets physiologiques des hormones
Objectifs
1) Hormones peptidiques
2) Hormones stéroïdes
2) Hormones stéroïdes
• Demi-vie longue
• Pas de stockage.
• Tests de stimulation qui évaluent les capacités de synthèse
• Récepteurs nucléaires
• Hormones gonadiques, du cortex surrénalien, hormones dérivées de la
vitamine D3.
d) Communication autocrine
• Une cellule libère ou sécrète une hormone qui infère sur sa propre activité
(rétroaction).
• Quand le cortisol est sécrété par les surrénales, son taux sanguin influe sur
sa sécrétion : si le taux sanguin est élevé, il va inhiber la sécrétion
surrénalienne.
e) Interactions cellule-cellule et cellule-matrice extracellulaire
• Des protéines de la membrane plasmique, des cellules peuvent
s’organiser en jonctions serrées qui sont établies pour permettre la
communication cellules-cellules au travers d’échange de substances
organiques et inorganiques.
f) Communication intracrine
• L’action s’exerce à l’intérieur même de la cellule qui a produit
l’hormone: la prostate. Transformation de la DHEA d’origine
surrénalienne en androgènes actifs.
Rythmes biologiques
Considérations
• En raison de leur transport par voie sanguine, on penserait que les
hormones aient une action non sélective.
• Seules les cellules cibles de l’hormone y sont sensibles car elles seules
possèdent des récepteurs spécifiques de l’hormone.
• Ces récepteurs sont présents soit dans la membrane plasmique pour les
hormones peptidiques, soit dans la cellule pour les stéroïdes et les hormones
thyroïdiennes.
Définition:
• Un récepteur est une protéine de la membrane cellulaire, du
cytoplasme ou du noyau cellulaire qui se lie spécifiquement à un
facteur spécifique (un ligand, tels un neurotransmetteur, une
hormone, ou une autre substance), induisant une réponse cellulaire
à ce ligand.
• Les modifications du comportement du récepteur protéique induites
par le ligand conduisent à des modifications physiologiques qui
constituent les « effets biologiques » du ligand.
Processus de l’action hormonale
Récepteurs de surface :
• Protéines localisées au niveau de la membrane plasmique de la cellule cible.
• Forment avec leur ligand une liaison stéréospécifique, de haute affinité qui
est saturable et réversible
II. Le domaine de liaison avec l'ADN qui permet au récepteur de se lier avec
une région bien spécifique de l'ADN.
III. Le domaine carboxyl terminal qui est la région de liaison du récepteur avec
son hormone spécifique.
Régulation des récepteurs
Les hormones déterminent la sensibilité des tissus cibles par la
régulation du nombre des récepteurs ou leur sensibilité.
• La sous-unité peut lier soit le GDP ou GTP. Quand le GDP est lié à
la sous-unité alpha, la protéine G est inactive. Quand le GTP est lié à
la sous-unité alpha, la protéine G est active.
• L’AMPc est dégradée en AMP-5’ par phosphodiestérase, qui est inhibée par la
caféine et la théophylline.
Mécanismes impliquants l’Inositol triphosphate (IP3)
Calcitonine Os Calcification
,Homéostasie Ca++
CCK Appareil digestif Stimule la sécrétion de la bile
Testostérone ″ ″