Mise en œuvre

d’applications de
systèmes de conversion
de puissance

1
PARTIE I. COMMANDE DES MOTEURS A COURANT CONTINU

Figure 1: Chaine cinématique

2
Figure 2: Moteur à courant continu
Figure 3: Schéma électrique équivalent de la machine à courant continu

3
Figure 4: Modèle de la machine avec charge

4
5
6
7
Figure 5: Caractéristique électromécanique Te (Ω)
8
Figure 6: Caractéristique électromécanique Te (Ω)

9
Figure 7: Action conjuguée sur la tension et le flux

10
Figure 8: Point de fonctionnement

11
Figure 9: Fonctionnement de la machine dans les quatre quadrants
12
Figure 10: Schéma synoptique d’un variateur de vitesse pour moteur à courant continu en BO
13
 14
Figure 11: Différentes structures d’un variateur de vitesse pour moteur à courant continu
 Module de contrôle

Figure 12: Structure générale d’un variateur de vitesse électronique

15
16
Figure 13: Pont mixte en monophasé

17
Figure 14: Pont mixte en triphasé

18
Figure 15: Pont PD2T

19
Figure 16: Pont PD3T

20
Figure 17: Double Ponts complets

21
22
Figure 18: Hacheur série

23
Figure 19: Hacheur en pont

24
Figure 20: Fonctionnement en boucle fermée

25
26
27
Figure 21: Régulation de la vitesse d’une machine à courant continu

28
Figure 22: Régulation en cascade

29
30
Figure 23: Machine alimentée à partir de l’induit

31
Figure 24: Modèle de la machine alimentée à partir de l’induit

32
Figure 25: Machine alimentée à partir de l’inducteur

33
 Figure 26: Schéma de principe de
la commande linéaire

Figure 27: Signal de commande

des composants de puissance

34
Figure 28: Circuit de commande à base de circuit de TCA 785 35
Figure 29: Circuit de commande à base de circuit des AOP

36
Figure 30: Chronogrammes des signaux de v1, u et vgk

37
Figure 31: Modèle du convertisseur et sa commande

38
39
PARTIE II. COMMANDE DES MOTEURS ASYNCHRONES
1. Constitution. Principe de fonctionnement
1.1 Définition
Machine électrique tournante réalisant la transformation de la puissance électrique reçue
sous forme de courant alternatif en puissance mécanique. Ayant 2p pôles et étant reliée à un
réseau de fréquence f, cette machine tourne à une fréquence légèrement inférieure à la
fréquence synchrone ns définie par: ns= f ⁄p.
1.2 Constitution
Circuit magnétique : Composé de deux armatures cylindriques concentriques (l’une creuse,
l’autre pleine) séparées par un entrefer étroit.
Stator : Armature immobile ; elle porte un enroulement triphasé à (p) paires de pôles relié au
réseau d’alimentation.
Rotor : C’est l’armature tournante qui n’est reliée électriquement à aucune source d’énergie.
On y loge un enroulement polyphasé mis en court-circuit. Cette armature peut être de
diverses sortes : bobinée, à cage, massive.
1.3 Principe
Les courants statoriques de fréquence f (pulsation w = 2π.f) créent un champ tournant à la
vitesse synchrone W= w ⁄p. Ce flux balayant le bobinage rotorique y induit des f.e.m. Ce
bobinage étant en court-circuit, ces f.e.m. y produisent des courants. C’est l’action du flux
tournant statorique sur les courants rotoriques qu’il a lui-même induit qui crée le couple.
C’est pour cela que ce moteur est souvent appelé moteur d’induction.

40
41
42
43
44
45
46
47
48
49
50
51
52
53
54
55
56
57
58
59
60
61
62
63
64
65
66
67
68
Fig. II.18

69
70
71
72
73