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Professeur Assistant
Sciences Economiques et de Gestion
El Mehdi BELABBES
belabbeselmehdi@gmail.com
Objectifs du cours
Plan du cours
➢ Chapitre I : La Qualité, historique et présentation
Références bibliographiques
5
Introduction générale
Les entreprises se sont adaptées en adoptant des approches qualité de plus en plus
sophistiquées et qui permettent de fournir des produits conformes aux attentes
clients. Ces approches ont évolué à partir du contrôle final de conformité des
produits dans les années 40, les méthodes statistiques dans les années 60, en
passant par l’assurance qualité dans les années 80 et en aboutissant aux méthodes
de management de la qualité actuellement et plus précisément la Qualité Totale.
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Note1 : Le terme «qualité » peut être utilisé avec des qualificatifs tels que médiocre, bon ou
excellent.
Note 2 : intrinsèque, par opposition à attribué, signifie présent dans chaque chose, notamment
en tant que caractéristique permanente.
▪ ISO 8402 (1987) : « Ensemble des propriétés et des caractéristiques d’un produit ou d’un
service qui lui confèrent l’aptitude à satisfaire les besoins de l’utilisateur »
▪ ISO 8402 (1994) : « Ensemble des caractéristiques d’une entité qui lui confèrent
l’aptitude à satisfaire des besoins exprimés et implicites »
▪ ISO 9000 (2000) : « Aptitude d’un ensemble de caractéristiques à satisfaire des
exigences»
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➢ la notion de satisfaction des clients et surtout celle des autres parties intéressées est
désormais intégrée dans la définition même.
➢ les aspects d’exigences qui couvrent les besoins et attentes (la définition du terme «
exigence »dans l’ISO 9000 est la suivante : « besoin ou attente qui peut être
formulé, habituellement implicite ou imposée »).
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Grâce à ces travaux, certaines entreprises ont introduit des méthodes plus performantes pour
contrôler leurs produits. Le contrôle statistique appliqué aux produits remplaçait graduellement
l’inspection classique. Les plans d’échantillonnage permettaient d’estimer la qualité des lots
produits à partir d’un échantillon représentatif du produit.
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➢ Une réelle concurrence s’instaurait alors entre les entreprises pour réduire les coûts de
production car accroître la production sans maîtrise des coûts devenait suicidaire.
On peut dire enfin que cette période correspond à celle de la recherche de la maîtrise des processus
de production.
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➢ Durant cette période la concurrence ne se joue plus sur des marchés intérieurs acquis.
➢ De plus, des alliances se créent pour réduire les coûts de recherche, de développement, de
production et de distribution. L’objectif est d’accroître la performance globale de l’entreprise
pour faire face à la concurrence.
➢ D’autre part, les mouvements de consommation coordonnent leurs forces et réclament non
seulement des produits techniquement performants, mais encore des produits sécuritaires
accompagnés d’un service. Ils sont fidèles à une marque tant qu’elle représente une valeur. La
qualité a un prix, mais plus n’importe quel prix.
Les conditions conjoncturelles de cette période permettent d’innover au niveau des approches
qualité. En effet, les deux concepts: assurance de la qualité et qualité totale deviennent une
base importante pour la construction et le déploiement de la fonction qualité dans l’entreprise.
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L’assurance de la qualité: consiste à établir des mesures et des règles dans un système qualité
qui englobe la majorité des activités d’une entreprise. Il s’agit de prévenir et de détecter les
problèmes de non qualité et de démontrer l’efficacité des mesures prises afin d’inspirer
confiance au client au sujet de ses exigences.
A cet effet, l’élaboration des normes ISO 9000 par l’ISO en 1987 et leur révision en 1994,
2000, 2008, et 2015 a permis de répondre aux attentes des entreprises industrielles et de service
de disposer de référentiels sur le management de la qualité qui permettent d’améliorer leur
efficacité, fonctionnement et performance économique, ainsi que la qualité de leurs produits et
services.
Elle est à l’origine d’économies provenant de la détection et la réduction de coûts souvent sous-
estimés et pourtant considérables : les coûts relatifs à qualité comprenant des dépenses directes et
indirectes liées à la non-qualité ainsi que des dépenses d’investissement.
Elle présente enfin des enjeux humains et sociaux, notamment par la réduction de risques liés à la
non-qualité : défauts de conception et/ou de réalisation du produit, erreurs d’utilisation du
produit.
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3.1.1 La différenciation
Une entreprise dont la stratégie est basée sur la qualité peut se différencier de différentes manières.
Elle peut agir notamment sur une ou plusieurs des 8 dimensions de la qualité de son produit (la
performance, la durabilité, la fiabilité…) et/ou sur une ou plusieurs des 8 dimensions de la qualité
de son service (le temps, la courtoisie, l’accessibilité…). Il s’agit de se positionner non pas sur toutes
ces dimensions, ce qui serait impossible et coûteux, mais sur quelques dimensions, celles que les
clients perçoivent comme importantes afin de rencontrer au mieux leurs attentes.
Le but d’une stratégie de différenciation est d’offrir un produit (service) dont le caractère unique
est perçu et valorisé par des clients appartenant à un segment de marché donné. oncurrents et
obtenir des profits plus élevés.
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3.1.1 La différenciation
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Un autre moyen pour l’entreprise d’être performante sur son marché consiste à bâtir et maintenir
une position avantageuse sur le plan des coûts.
Des diminutions de coûts peuvent être obtenues au travers d’économies d’échelle ou d’autres
sources.
Sur le plan de la qualité, l’idée principale est que la qualité du produit est importante dans la
mesure où elle traduit une certaine efficacité de la production se traduisant par des améliorations
de la productivité et ainsi par des réductions des coûts.
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❑ Le Coût de la non-qualité (CNQ) : Il correspond à tout ce qu’il en coûte de mal faire les
choses, de ne pas bien les faire du premier coup. Il est la somme de coûts de non-qualité interne
et externe. CNQ = CNQi + CNQe
➢ Les Coûts de non-qualité interne (CNQi) : Ils désignent toutes les dépenses résultant du
fait que le produit n’est pas conforme aux spécifications. Ce sont des coûts constatés à l’intérieur
de l’entreprise, avant que le produit se trouve chez le client.
➢ Les Coûts de la non-qualité externe (CNQe) : Ce sont aussi toutes les dépenses résultant
du fait que le produit n’est pas conforme aux spécifications. En revanche, ce sont des coûts
détectés à l’extérieur de l’entreprise, chez le client.
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❑ Le Coût d’investissement dans la qualité (CIQ) : Il représente tout ce que l’on dépense
pour assurer un niveau de qualité conforme aux spécifications. Il est la somme de coûts
d’évaluation et de prévention. CIQ = CE + CP
➢ Les Coûts d’évaluation (ou de détection) (CE) : Ce sont les coûts associés à des activités
d’évaluation du produit à différentes étapes allant de la conception jusqu’à la livraison. Ils
peuvent se définir aussi comme les dépenses engagées pour vérifier la conformité des produits
aux spécifications, c’est-à-dire pour financer la recherche des défauts. Ce sont essentiellement
des coûts de contrôle relativement faciles à évaluer.
➢ Les Coûts de prévention (CP) : Ce sont les coûts associés aux activités de prévention des
défauts du produit, les investissements humains et matériels engagés pour financer les actions
menées au niveau des causes des défauts. Ces coûts sont difficiles à interpréter car tout ce que
l’on fait pour « bien faire le produit du premier coup », pour éviter les défauts, les erreurs, les
mécontentements relève d’une certaine façon de la prévention. Néanmoins, il est d’usage de
compter au titre de la prévention des coûts d’activités spécifiques de caractère fonctionnel.
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❑ Le Coût d’investissement dans la qualité (CIQ) : Il représente tout ce que l’on dépense
pour assurer un niveau de qualité conforme aux spécifications. Il est la somme de coûts
d’évaluation et de prévention. CIQ = CE + CP
➢ Les Coûts d’évaluation (ou de détection) (CE) : Ce sont les coûts associés à des activités
d’évaluation du produit à différentes étapes allant de la conception jusqu’à la livraison. Ils
COQ = coûts des anomalies internes + coûts des anomalies externes + coûts de
détection + coûts de prévention.
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Remarque
❑ Coût de détection : dépenses engagées pour vérifier la conformité des produits aux exigences
de la qualité .
Exemple : Contrôle réception, en cours de fabrication, final, essais avant lancement
production, laboratoire …
❑ Coûts des anomalies internes: frais encourus lorsque le produit ne satisfait pas aux
exigences avant d’avoir quitté l’entreprise.
Exemple : défauts fabrication, défauts conception, défaillances fournisseur, déclassement
produits, retouches...
❑ Coûts des anomalies externes: frais encourus lorsque le produit ne répond pas aux
exigences de qualité après avoir quitté l’entreprise.
Exemple : réclamation des clients, service après vente, retour marchandises, remplacement,
perte client…
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L’idée est un produit conçu et réalisé conformément aux spécifications ne provoque de dommages
ni à ceux qui conçoivent et réalisent le produit, ni à ceux qui l’utilisent.
La qualité présente également des enjeux sociaux car, outre les aspects économiques évoque les
plus haut, elle permet une amélioration du bien-être des individus grâce à une meilleure
adéquation des produits et services à leurs attentes.
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3- La démarche qualité
Ceci inclut généralement l’établissement d’une politique qualité et d’objectifs qualité, la maîtrise de
la qualité, l’assurance de la qualité et l’amélioration de la qualité.
Le management de la qualité possède sept principes qui peuvent être utilisés par la Direction pour
mener l’organisme vers les meilleures performances.
Ces principes ne sont pas présentés par ordre de priorité. L’importance relative de chaque principe
est susceptible de varier d’un organisme à l’autre et d’évoluer au fil du temps.
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Les organismes dépendent de leurs clients, il convient donc qu’ils en comprennent les besoins
présents et futurs, qu’ils satisfassent leurs exigences et qu’ils s’efforcent d’aller au-devant de leurs
attentes.
Le principal objectif du management de la qualité est de satisfaire aux exigences des clients et de
s’efforcer d’aller au-delà de leurs attentes
Des performances durables sont obtenues lorsqu’un organisme obtient et conserve la confiance des
clients et des autres parties intéressées. Chaque aspect de l’interaction avec les clients offre une
opportunité de créer plus de valeur pour le client. Comprendre les besoins présents et futurs des
clients et des autres parties intéressées contribue aux performances durables de l’organisme.
Bénéfices
➢ Augmentation de la valeur pour le client
➢ Augmentation de la satisfaction du client
➢ Amélioration de la fidélité du client
➢ Amélioration de l’activité commerciale récurrente
➢ Amélioration de l’image de l’organisme
➢ Élargissement du panel des clients
➢ Augmentation des ventes et des parts de marché
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Actions possibles
➢ Identifier les clients directs et indirects pour lesquels l’organisme est créateur de
valeur.
➢ Comprendre les besoins et attentes, présents et futurs, des clients.
➢ Lier les objectifs de l’organisme aux besoins et attentes des clients.
➢ Communiquer les besoins et attentes des clients à tous les niveaux de l’organisme.
➢ Planifier, concevoir, développer, produire, fournir et supporter les produits et services
de manière à répondre aux besoins et attentes des clients.
➢ Mesurer et surveiller la satisfaction du client et prendre les mesures appropriées.
➢ Déterminer les besoins et attentes des parties intéressées susceptibles d’avoir une
incidence sur la satisfaction du client et prendre les mesures appropriées.
➢ Gérer activement les relations avec les clients afin d’obtenir des performances
durables.
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Les dirigeants établissent la finalité et les orientations de l’organisme. Il convient qu’ils créent et
maintiennent un environnement interne dans lequel les personnes peuvent pleinement s’impliquer
dans la réalisation des objectifs de l’organisme.
À tous les niveaux, les dirigeants établissent la finalité et les orientations et créent des conditions
dans lesquelles le personnel est impliqué pour atteindre les objectifs qualité de l’organisme.
Bénéfices
➢ Augmentation de l’efficacité et de l’efficience à atteindre les objectifs qualité de
l’organisme
➢ Meilleure coordination des processus de l’organisme
➢ Amélioration de la communication entre les différents niveaux et fonctions de
l’organisme
➢ Développement et amélioration de la capacité de l’organisme et de son personnel
à fournir les résultats escomptés
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Actions possibles
➢ Communiquer la mission, la vision, la stratégie, les politiques et les processus de
l’organisme au sein de l’organisme et à tous les niveaux.
➢ Créer et soutenir des valeurs partagées, des modèles de comportement en termes
d’équité et d’éthique à tous les niveaux de l’organisme.
➢ Établir une culture de confiance et d’intégrité.
➢ Encourager l’engagement dans la qualité à tous les niveaux de l’organisme.
➢ S’assurer que les dirigeants, à tous les niveaux, sont des exemples positifs pour le
personnel de l’organisme.
➢ S’assurer que le personnel dispose des ressources, de la formation et de l’autorité
nécessaires pour agir de façon responsable.
➢ Motiver, encourager et reconnaître la contribution du personnel
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Les personnes à tous les niveaux sont l’essence même d’un organisme et une totale implication de
leur part permet d’utiliser leurs aptitudes au profit de l’organisme.
Pour gérer un organisme de façon efficace et efficiente, il est important de respecter et d’impliquer
l’ensemble du personnel à tous les niveaux et de respecter chaque personne individuellement. La
reconnaissance, l’habilitation et l’amélioration des compétences facilitent l’implication du
personnel dans l’atteinte des objectifs qualité de l’organisme.
Un personnel compétent, habilité et impliqué à tous les niveaux de l’organisme est essentiel pour
améliorer sa capacité à créer et fournir de la valeur.
Bénéfices
➢ Meilleure compréhension des objectifs qualité de l’organisme par le personnel
de l’organisme et amélioration de la motivation à les atteindre
➢ Plus forte implication du personnel dans les activités d’amélioration
➢ Amélioration du développement personnel, des initiatives et de la créativité
➢ Amélioration de la satisfaction du personnel
➢ Amélioration de la confiance et de la collaboration à tous les niveaux de
l’organisme
➢ Amélioration de l’intérêt porté aux valeurs partagées et à la culture à tous les
niveaux de l’organisme
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Actions possibles
Bénéfices
➢ Plus grande aptitude à porter ses efforts sur les processus clés et opportunités
d’amélioration
➢ Résultats cohérents et prévisibles au moyen d’un système de processus alignés
avec les orientations stratégiques
➢ Optimisation des performances par un management efficace des processus, une
utilisation efficiente des ressources et une réduction des obstacles
interfonctionnels
➢ Possibilité pour l’organisme d’assurer la confiance des parties intéressées en ce
qui concerne sa cohérence, son efficacité et son efficience
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Actions possibles
➢ Définir les objectifs du système et les processus nécessaires pour les atteindre.
➢ Définir les autorités, les responsabilités et les obligations relatives au
management des processus.
➢ Comprendre les capacités de l’organisme et déterminer les contraintes en
matière de ressources avant d’agir.
➢ Déterminer les interdépendances entre processus et analyser l’effet des
modifications de processus individuels sur l’ensemble du système.
➢ Gérer les processus et leurs interrelations comme un système pour atteindre les
objectifs qualité de l’organisme de manière efficace et efficiente.
➢ S’assurer de la disponibilité des informations nécessaires pour mettre en œuvre
et améliorer les processus et pour surveiller, analyser et évaluer les
performances du système dans son ensemble.
➢ Gérer les risques susceptibles d’avoir une incidence sur les éléments de sortie
des processus et les résultats globaux du SMQ.
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Bénéfices
➢ Amélioration de la performance des processus, de la capacité de l’organisme et
de la satisfaction des clients
➢ Amélioration de la recherche et de la détermination des causes profondes,
suivies d’actions préventives et correctives
➢ Plus grande aptitude à anticiper et réagir à des risques et à des opportunités
internes et externes
➢ Meilleure prise en compte de l’amélioration aussi bien progressive que par
rupture
➢ Meilleure utilisation de l’apprentissage à des fins d’amélioration
➢ Accroissement de l’effort d’innovation
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Actions possibles
➢ Encourager la définition d’objectifs d’amélioration à tous les niveaux de
l’organisme.
➢ Instruire et former le personnel à tous les niveaux sur la façon d’appliquer les
outils et méthodes de base pour atteindre les objectifs d’amélioration.
➢ S’assurer que le personnel est compétent pour promouvoir et réaliser avec succès
les projets d’amélioration.
➢ Développer et déployer des processus pour mettre en œuvre les projets
d’amélioration à tous les niveaux de l’organisme.
➢ Suivre, passer en revue et auditer la planification, la mise en œuvre, la
réalisation et les résultats des projets d’amélioration.
➢ Prendre en compte l’amélioration dans le développement de produits, de
services et de processus, nouveaux ou modifiés.
➢ Identifier et reconnaître l’amélioration.
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Bénéfices
➢ Amélioration des processus décisionnels
➢ Amélioration de l’évaluation de la performance des processus et de l’aptitude à
atteindre les objectifs
➢ Amélioration de l’efficacité et de l’efficience opérationnelles
➢ Plus grande aptitude à passer en revue, remettre en question et changer les
opinions et les décisions
➢ Plus grande aptitude à démontrer l’efficacité de décisions antérieures
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Actions possibles
➢ Déterminer, mesurer et surveiller des indicateurs clés pour démontrer les
performances de l’organisme.
➢ Assurer la disponibilité de toutes les données nécessaires auprès des personnes
concernées.
➢ S’assurer que les données et les informations sont suffisamment exactes, fiables
et sûres.
➢ Analyser et évaluer les données et les informations à l’aide de méthodes
appropriées.
➢ S’assurer, si nécessaire, que les personnes sont compétentes pour analyser et
évaluer les données.
➢ Prendre des décisions et entreprendre des actions fondées sur des preuves, tout
en tenant compte de l’expérience et de l’intuition.
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Bénéfices
➢ Amélioration des performances de l’organisme et de ses parties intéressées par
la prise en compte des opportunités et des contraintes liées à chaque partie
intéressée
➢ Compréhension commune des objectifs et des valeurs par les parties intéressées
➢ Augmentation de la capacité à créer de la valeur pour les parties intéressées par
le partage des ressources et des compétences et par le management des risques
liés à la qualité
➢ Meilleure gestion de la chaîne d’approvisionnement assurant un flux stable de
produits et services
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Actions possibles
➢ Identifier les parties intéressées pertinentes (telles que prestataires, partenaires,
clients, investisseurs, employés ou la société dans son ensemble) et leur relation
avec l’organisme.
➢ Identifier et hiérarchiser les relations avec les parties intéressées qui doivent être
gérées.
➢ Établir des relations qui équilibrent les gains à court terme et les considérations
à long terme.
➢ Mettre en commun et partager les informations, l’expertise et les ressources avec
les parties intéressées pertinentes.
➢ Mesurer les performances et assurer, le cas échéant, un retour d’information sur
les performances aux parties intéressées afin d’accroître les initiatives en matière
d’amélioration.
➢ Mettre en place une collaboration en matière d’activités de développement et
d’amélioration avec les prestataires, les partenaires et les autres parties
intéressées.
➢ Encourager et reconnaître les améliorations et les résultats obtenus par les
prestataires et les partenaires
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3.1. Définition
Parler de la démarche qualité nous emmène d’abord à rappeler la définition sur la qualité.
En effet, la qualité vise pour un organisme quelconque à satisfaire les besoins des clients implicites
ou explicites à travers ses prestations, son fonctionnement.
Parmi les outils de la qualité figure cette démarche qualité.
Si la qualité se définit comme l’aptitude d’un ensemble de caractéristiques à satisfaire des
exigences, il appartient donc à chaque organisme de prendre en charge ces caractéristiques :
➢ Qualité externe : c’est lorsque le produit ou le service répond aux besoins et
attentes des clients
➢ Qualité interne : qui est la maîtrise et l'amélioration du fonctionnement de
l'entreprise. Les bénéficiaires en sont la direction, le personnel de l'entreprise, les
actionnaires… et bien sûr les clients
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La démarche qualité s'appuie sur un système de management de la qualité (SMQ) qui consiste en
un ensemble d'activités liées à la gestion de la qualité au sein d'une entreprise ou une organisation.
Elle se caractérise par les points suivants :
➢ Elle s’inscrit dans la durée et permet de suivre en continu les choix de l’entreprise, les
décisions prises et leur impact sur l’activité et son fonctionnement
➢ Elle est participative, car elle engage le responsable et emmène l’implication du
personnel
➢ Elle est dynamique, puisqu'elle crée un état d’esprit collaboratif, soucieux de
l’amélioration des pratiques. Cette dynamique crée une certaine émulation au sein
des collaborateurs et amène à partager un certain nombre de valeurs.
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a. Préparer le terrain
Pour mener à bien la démarche qualité, il est nécessaire de préparer le terrain en faisant un
diagnostic qualité.
Celui est mené souvent par un prestataire externe, expert dans le domaine.
Il va examiner le fonctionnement de l'entreprise, le niveau de maîtrise des activités, l’efficacité des
processus, les points faibles, les points forts... de l’organisation.
Ce diagnostic qualité vous apporte ces réponses :
➢ Sur le niveau de conformité par rapport au(x) référentiel(s) visé(s)
➢ Sur les conditions de réussite de vote projet
➢ Sur les forces et faiblesses de votre organisation
➢ Sur la meilleure stratégie pour la conduite de votre projet
➢ Sur le plan d’actions personnalisé
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b. Formaliser l'engagement
La norme exige que chaque collaborateur faisant partie du personnel de l’entreprise soit formé,
compétent, sensibilisé à l’importance de son activité et à sa contribution à la qualité des produits et
des services fabriqués.
Des justifications doivent être tracées dans les dossiers individuels du personnel.
Cela se traduit par des actions de formation et de sensibilisation du personnel sur :
➢ Les enjeux et l’importance du SMQ
➢ La méthodologie de réalisation du SMQ, sa finalité et la nécessité d’impliquer les
acteurs sur le SMQ afin d’atteindre les objectifs attendus
➢ Les outils de surveillance de la qualité
Une sensibilisation réussie facilite le changement des pratiques de l'organisme.
Un salarié qui comprend quels sont les avantages qu'il peut retirer d'une organisation qualité,
commence à s'interroger sur ses pratiques professionnelles et son comportement.
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Il existe différents types d’outils et tous n’ont pas le même objectif. Il est donc nécessaire de choisir
les outils qui vont correspondre à vos besoins. Les principaux outils Qualité :
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Le diagnostic par le questionnement QQOQCCP (ou Quoi, Qui, Où, Quand, Comment,
Combien, Pourquoi) est une méthode simple et néanmoins très efficace qui permet
de faire le diagnostic d’une situation ou d’un problème de façon précise et exhaustive. On
l’appelle parfois aussi “méthode du questionnement”.
Cette méthode peut avoir des finalités diverses et variées.
Les professionnels de la qualité l’utilisent fréquemment pour résoudre différentes problématiques
comme :
Modéliser un processus ou une procédure
Établir le diagnostic d’un dysfonctionnement
Animer une séance d’idéation…
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Où cela se passe-t-il ? Dans quel service? Sur Identification la plus précise possible du lieu
Où ?
quelle machine ? d’occurrence, des ressources mobilisées
Quel est le coût associé? Combien de fois cette Mise en évidence des ressources financières dédiées à
Combien ?
procédure est-elle exécutée chaque année ? cette procédure. Identification des gains potentiels.
1D : Préparer le processus 8D
Mettre en place une équipe qui a les compétences, le temps et l’autorité nécessaires à la résolution
du problème.
Désigner un animateur et un rapporteur au sein de l’équipe.
Clarifier les objectifs et les responsabilités.
Présenter la méthodologie
2D : Décrire le problème
Utiliser la méthode QQOQCP pour définir le problème.
Préciser les enjeux.
Identifier les contraintes.
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Nous avons tous entendu parler des normes, qui font partie de notre
quotidien, mais que sont-elles ?
➢ Les normes codifient les technologies les plus avancées et facilitent leur
transfert. Elles sont donc une source précieuse de savoir.
➢ Elles assurent la cohérence dans tout système global, soit dans un cadre de
normes mutuellement compatibles, soit en tant que normes reconnues
formellement par d’autres organismes à activités normatives.
➢ Elles facilitent le commerce entre les pays et le rendent plus équitable car
les mêmes spécifications sont adoptées et doivent être utilisées dans les
différents pays en tant que normes nationales ou régionales.
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5.1.5. Un standard
Un standard est un référentiel publié par une entité privée autre qu’un organisme de
normalisation national ou international ou non approuvé par un de ces organismes
pour un usage national ou international
• La norme est établi par un organisme officiel reconnu et accrédité par les états ou
institutions. Çà peut être organisme national (l'AFNOR en France) ou
communautaire (CEN en Europe, ISO pour l'international).
• Un standard est plus souvent établi par un fabricant qui voit son système propre
s'imposer sur le marché et devenir de fait le système repris par bon nombre d'autres
fabricants,
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5.1.7. La normalisation
Définition de la normalisation :
La réglementation relève des pouvoirs publics. Elle est l’expression d’une loi,
d’un règlement et son application est imposée. A contrario, les normes
revêtent un caractère volontaire. S’y conformer n’est pas une obligation.
Elles traduisent l’engagement des entreprises à satisfaire un niveau de
qualité et sécurité reconnu et approuvé
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L’IMANOR contribue à :
• La production des normes marocaines ;
• La certification de conformité aux normes et aux référentiels normatifs ;
• L’édition et la diffusion des normes et des produits associés et des informations s’y
rapportant ;
• La formation sur les normes et les techniques de leur mise en œuvre.
• La représentation du Maroc auprès des organisations internationales et régionales de
normalisation
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Structure de (IMANOR)
Stratégie de (IMANOR)
➢ Développer toutes les activités par l’internet notamment les enquêtes publiques, la vente
des produits, les échanges avec les autres organismes et la mise en ligne de l’offre de
formation;
5.2. L’accréditation
5.2.1. Définition
5.2. L’accréditation
5.2.1. Définition
5.2. L’accréditation
5.2.2. Processus d’accréditation
5. 3- La certification
5.3.1 Définition
• l’organisme certificateur,
• l’organisme accréditeur
• l’organisme qui demande à être certifié
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Il est chargé de délivrer le certificat qui est la confirmation de la mise en œuvre d’un
système de management de la qualité conforme au référentiel choisi par
l’organisme candidat à la certification.
Dans la plupart des cas, la détention d’un Diplôme Universitaire, d’un Diplôme de
Formation Professionnelle ou d’un Certificat de Qualification Professionnelle validant
les acquis de l’expérience suffisent à l’obtention de la certification.
93
Une telle certification a pour objet d’attester que l’organisme met effectivement en
œuvre un système de management de la qualité conforme à un référentiel pour une
gamme de fournitures donnée.
1. Définition
2. Domaine d’application
3. Les différentes normes qualité ISO 9000
4. Avantages d'un système qualité ISO 9000
5. Structure de la norme iso 9001
6. L’évolution de la norme ISO9001 version 2015
7. La structure des normes HLS
96
1. Définition
2. Domaine d’application
La présente Norme internationale spécifie les termes et définitions s’appliquant à toutes les
normes
relatives au management de la qualité et aux systèmes de management de la qualité élaborées
par
l’ISO/TC 176, elle décrit les concepts fondamentaux et les principes du management de
la qualité qui sont applicables à toutes les entités suivantes:
➢ Organismes recherchant des performances durables par la mise en œuvre d’un système de
management de la qualité;
➢ Clients cherchant à s’assurer de l’aptitude d’un organisme à fournir régulièrement des
produits et services conformes à leurs exigences;
➢ Organismes cherchant à s’assurer que leur chaîne d’approvisionnement satisfera leurs
exigences relatives aux produits et services;
➢ Organismes et parties intéressées cherchant à améliorer la communication par une
compréhension mutuelle du vocabulaire utilisé dans le domaine du management de la qualité;
➢ Organismes chargés de l’évaluation de la conformité aux exigences de l’ISO 9001;
➢ Prestataires assurant une formation, une évaluation ou fournissant des conseils dans le
domaine du management de la qualité;
➢ Personnes élaborant des normes apparentées.
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Remarque:
Seule la norme ISO 9001 peut servir de base à audit et certification. Les deux autres ne sont
pas auditables. Des sociétés d'audit et de certification proposent des prestations aux
organismes qui le souhaitent. Ces derniers peuvent alors faire état d'un certificat de
conformité à ISO 9001
99
Remarque :
Avant l’an 2000 il existaient deux normes ISO 9002 et ISO 9003 qui faisaient
partie des normes ISO 9000 de maîtrise de la qualité
ISO 9002 et ISO 9003 ont été intégrées à la refonte de ISO 9001 en 2000 (référence
ISO 9001:2000) et n'existent plus.
▪ En plus de
la planification des objectifs,
l’organisme planifie les actions mise
en place pour réduire les risques et
saisir les opportunités.
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Art. 8 – Fonctionnement
Contexte de l’organisme
D’une part, la norme ISO 9001 v 2015 demande de définir les enjeux internes et
externes qui ont un impact sur le système de management de la qualité sans
oublier l’amélioration de la satisfaction des clients. De plus, il faut assurer que
ces enjeux sont pertinents et réviser les informations lors de la revue de la
direction. D’autre part une nouvelle exigence est ajoutée qui consiste à identifier
les parties intéressées qui sont pertinentes dans le cadre du SMQ et leurs
exigences.
115
7.1. Définition
• La nouvelle structure des normes HLS (High Level Structure) est un cadre
pour les normes de système de management qui définit des termes, des notions
et des chapitres commun
• HLS propose un cadre commun pour les normes relatives aux systèmes de
management.
Certaines sont déjà alignées sur la HLS, comme la norme ISO 9001 :2015 et la
norme, ISO 14001 d’autre le seront dès leur prochaine édition comme la norme
ISO 17025 (compétence des laboratoires d'étalonnages et d'essais
Elle repose sur 10 articles :
Les 3 premiers sont généraux et sans exigences.
Les suivants s’intègrent au modèle PDCA ( Plan: 4,5,6,7; Do: 8; Check: 9; Act: 10)
116
La Structure du HLS
117
Remarque :
La structure HLS n’est pas appliqué de manière stricte, car bien que tous les articles soient
forcément présents, chaque norme de systèmes de management introduit ses propres notions et
nécessite des exigences supplémentaires, notamment pour l’article 8 traitant des activités
opérationnelles
Chaque norme de système de management ajoute à la structure HLS les exigences spécifiques
nécessaires.
1.1. Définition :
L’approche processus est une méthode visant à décomposer les activités étape par étape pour en
étudier le fonctionnement et leurs interactions afin d’améliorer l’organisation de l’entreprise.
Le processus peut être défini dans une fiche de données processus (« data sheet » en
anglais) qui pourra documenter les caractéristiques du processus et apporter un
complément d'information nécessaire à une compréhension la plus complète possible
du fonctionnement du processus y compris, lorsque nécessaire, les objectifs à atteindre.
Dans le cas de processus complexe il pourra être adjoint une représentation graphique
ainsi qu'une cartographie complète des processus
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"Pilote de processus" est une responsabilité nouvelle. Le plus souvent ces rôles de pilotes de
processus sont confiés à des chefs de services, chefs de département, membres de direction... mais
rien n'interdit qu'ils soient attribués à d'autres niveaux de responsabilités. Quelque soit le cas de
figure, il est fortement recommandé de décrire clairement leurs responsabilités respectives pour
éviter toute ambiguïté. En outre, un pilote de processus doit pouvoir disposer de l'autorité, de la
compétence et des moyens nécessaires pour accomplir sa mission.
La cartographie des processus d’une entreprise est une représentation graphique de tous les
processus liés entre eux par des liens logiques d’informations, de matière ou de production. Elle
donne une vue d’ensemble de l’activité de l’entreprise et permet d’appréhender de façon objective
l’organisation du travail.
Faire une cartographie des processus consiste à modéliser l’ensemble des activités permettant
d’étudier de les étudier plus précisément afin de garantir le meilleur produit et/ou service à vos
clients.
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L’ISO 9001 n’impose pas directement l’approche processus mais elle encourage fortement
l’adoption de cette méthode. Il est particulièrement important de l’utiliser dans le cadre de
l’amélioration de l’efficacité du système de management par la qualité (SMQ).
Les exigences liés à cette approche processus sont regroupés dans le §4.4 de la norme ISO 9001.
Il est nécessaire de :
➢ Identifier les processus,
➢ Documenter chacun des processus (fiche processus, cartographie, …)
➢ Détailler les cartographie des processus (objectif globale du processus, macro-activités,
informations, ressources, données d’entrée et de sortie, …)
➢ Tenir la cartographie des processus à jour en fonction des évolutions de l’organisme
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L’approche processus nécessite des informations documentées (§4.4 de la norme ISO 9001).
Principalement, la norme de référence ISO 9001 exige quelques données :
➢ De déterminer les processus nécessaires au Système de Management de la Qualité
➢ Mais aussi leur application dans tout l’organisme (l’application des processus) ;
➢ Identifier pour tous processus du périmètre les éléments entrants (données d’entrée) ;
➢ De même, en sortie : ses produits ou services (éléments / données de sortie) ;
➢ Déterminer la séquence et les interactions de ces processus (approche système) ;
➢ Déterminer les critères et les méthodes pour assurer la maîtrise des processus (principalement
des outils, procédures, modes opératoires, …) ;
➢ Maîtriser les ressources et les informations nécessaires au bon fonctionnement des processus ;
➢ Surveiller, mesurer et analyser les processus ;
➢ Mettre en œuvre les actions nécessaires pour atteindre les objectifs et l’amélioration continue.
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