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SOMMAIRE
Pages
Introduction 3
1. Importance de la pédagogie expérimentale 3
2. Objectifs généraux de la pédagogie expérimentale 3
3. Subdivision de la pédagogie expérimentale 3
Chapitre 1 : Aperçu général sur la pédagogie expérimentale 4
1. Objectifs 4
2. Objet de la pédagogie expérimentale 4
3. Définition de la pédagogie expérimentale 5
4. Pédagogie expérimentale comme une pédagogie de laboratoire 5
5. Différence entre la pédagogie expérimentale et la pédagogie expériencée 6
6. Différence entre la pédagogie expérimentale et la pédagogie scientifique 6
7. Pédagogie expérimentale et recherche éducationnelle 7
8. Définition de la recherche éducationnelle 7
Chapitre 2 : Démarche scientifique en pédagogie 8
1. Objectifs 8
2. Identification et formulation du problème 8
3. Travaux antérieurs 9
4. Hypothèse du travail 10
Chapitre 3 : Instruments de la recherche pédagogique 12
1. Objectifs 12
2. Bref historique 12
3. Méthode et ses différents aspects 13
4. Modes d’approche 19
5. Techniques de récolte et d’analyse des données 22
6. Test 27
Chapitre 4 : Construction des plans expérimentaux 29
1. Objectifs 29
2. Analyse critique de construction des plans 29
3. Plans pseudo-expérimentaux 30
4. Plans quasi-expérimentaux 30
5. Plans expérimentaux proprement dits 30
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INTRODUCTION
1. Importance de la pédagogie expérimentale
La pédagogie expérimentale permet, à l’étudiant, de présenter un travail
scientifique valable en pédagogie, en y respectant la méthodologie scientifique
dans la recherche pédagogique, en utilisant correctement le vocabulaire
fondamental qui y est approprié et en émettant des idées correctes, lors d’une
discussion pédagogique ou d’une réunion en matière d’éducation.
La recherche scientifique en pédagogie s’intéresse à la production des
connaissances et des techniques, à la découverte des lois et à leur application
dans les problèmes éducatifs. Elle est donc une activité systématique, dirigée et
orientée vers la découverte et le développement des connaissances éducatives.
2. Objectifs généraux de la pédagogie expérimentale
A l’issue de ce cours, l’étudiant doit savoir décrire :
a) L’aperçu général sur la pédagogie expérimentale
b) La démarche scientifique en pédagogie
c) Les instruments de la recherche pédagogique
d) La construction des plans expérimentaux
e) L’élaboration, l’interprétation et la généralisation des résultats.
3. Subdivision du cours
Le présent cours de pédagogie expérimentale est subdivisé en cinq
grands principaux chapitres comportant chacun différents points selon le cas.
Le premier chapitre, « Aperçu général sur la pédagogie
expérimentale », décrit l’objet de la pédagogie expérimentale, la définition de la
pédagogie expérimentale, la pédagogie expérimentale comme une pédagogie de
laboratoire, la différence entre la pédagogie expérimentale et la pédagogie
expériencée, la différence entre la pédagogie expérimentale et la pédagogie
scientifique, la pédagogie expérimentale et la recherche éducationnelle, la
définition de la recherche éducationnelle
Le deuxième chapitre, « Démarche scientifique en pédagogie »,
définit l’identification et la formulation du problème d’étude, les travaux
antérieurs, l’hypothèse du travail
Le troisième chapitre, « Instruments de la recherche
pédagogique », parcourt le bref historique de ces instruments, leur méthode et
ses différents aspects, leurs modes d’approche, les techniques de récolte ou
d’analyse des données, le test
Le quatrième chapitre, « Analyse critique de construction des
plans expérimentaux, plans pseudo-expérimentaux, plans quasi-
expérimentaux et plans expérimentaux proprement dits », prend en
compte tous ces différents concepts majeurs
Le cinquième chapitre étudie, à tour de rôle, « Elaboration des
résultats, leur interprétation, leur généralisation ». Il se termine par une
courte définition de « conclusion » et de « bibliographie ».
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Dans ce cadre, le chercheur doit porter son attention sur chaque étape du
travail pour apprécier la relation existant entre l’étape précédente et l’étape
actuelle, le procédé par lequel chaque auteur aborde et traite les différentes
étapes de la recherche antérieure.
L’ensemble de toutes ces démarches permet, au chercheur, de maitriser,
à la longue, le processus de la recherche scientifique et d’éviter l’improvisation,
l’aventurisme et le tâtonnement.
4. Hypothèse du travail
a. Sens de l’hypothèse
Dans le domaine scientifique, « l’hypothèse » peut avoir des sens divers.
Mais, prise comme une des étapes de la méthode expérimentale, l’hypothèse a
deux sens ci-après :
1- L’hypothèse est l’interprétation anticipée des phénomènes de la nature
(Bernard Claude)
2- L’hypothèse est une solution ou une réponse anticipée ou provisoire.
C’est bien cette anticipation à toute confrontation avec les faits
expérimentalement manipulés qui donne le caractère spécifique à l’hypothèse.
De ce fait, l’hypothèse est, à la fois, une création de l’esprit ou de l’invention et
une conception provisoire jusqu’à ce qu’une vérification soigneuse avec les faits
lui enlève son caractère d’anticipation et, par là même, son état provisoire pour la
repousser (la rejeter) ou pour l’accepter (la confirmer) définitivement au rang de
vérité scientifique. Claude-Bernard a bien montré le rôle de l’hypothèse dans la
recherche scientifique. Depuis lors, son utilité n’est plus mise en doute.
Les chercheurs contemporains sont d’accord pour souscrire au précepte
de Claude Bernard demandant l’usage de l’hypothèse, quand il s’agit d’instituer
l’expérimentation. En effet, c’est l’idée préalable qui est le principe de tout
raisonnement et de toute invention.
L’hypothèse est la phase créatrice des raisonnements expérimentaux,
celle dans laquelle le chercheur imagine la relation qui pourrait exister entre deux
faits. L’élaboration de l’hypothèse est l’œuvre de la pensée.
Le problème étant posé, il faut le traduire en termes d’hypothèses.
L’hypothèse du travail permet, au chercheur, de mieux préciser ou de mieux
pénétrer le travail. Autrement dit, une hypothèse est une explication ou une
réponse provisoire, anticipative, a priori, à la question posée. Une hypothèse est
aussi une proposition formulée de telle manière qu’elle soit véritable ou testable,
qu’elle soit également à mesure de prédire la relation entre deux ou plusieurs
variables.
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C. Méthode historique
a. Définition et objectif
C’est une méthode qui consiste à reconstituer le passé d’une manière
objective et exacte en relation avec l’hypothèse. C’est une méthode qui permet
d’établir les effets en vue d’arriver à un résultat.
En quelques sortes, c’est une méthode qui est basée sur les données qui
existent déjà et qu’on ne peut pas modifier. Le chercheur n’a aucun contrôle de la
manière dont les données étaient recueillies.
L’objectif de la méthode historique est d’établir des relations probables
entre les variables, à partir des documents et des matériels qui ont existé.
b. Caractéristique essentielles de la méthode historique
1- La méthode historique est la seule à être effectuée à partir d’observation
qu’on ne peut pas reproduire
2- Elle implique presque toujours la consultation de documents conservés à la
bibliothèque. C’est pourquoi elle exige une patience hors du commun
3- Elle dépend essentiellement du raisonnement inductif : il faut partir du
particulier au général
4- Elle utilise le style de communication moins rigide et beaucoup plus narratif
que le style dans lequel sont habituellement rédigés les rapports ou les études
dans le domaine de sciences de l’éducation.
c. Avantages de la méthode historique
1- Il y a certains problèmes ou situations qu’on ne peut plus reproduire et qui ne
peuvent être résolus que par la méthode historique. Par exemple, la guerre
2- Elle peut, quelques fois, apporter l’information sur une situation conflictuelle
présente ou parfois même fournir les éléments de solution. Par exemple, le
conflit entre deux pays.
d. Inconvénients de la méthode historique
1- La difficulté d’apparier les événements passés et présents, parce que les
contextes ne sont pas les mêmes
2- Seuls les faits très prononcés peuvent être décelés par cette méthode
3- Le chercheur ne dispose d’aucun critère lui indiquant la quantité de données
nécessaires qu’il doit accumuler, avant de pouvoir tirer des conclusions valides
4- Avec la méthode historique, on n’a pas souvent confiance à un seul individu.
On recourt souvent à un grand nombre de personnes.
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D. Méthode expérimentale
a. Observation
1° Introduction
L’observation joue un rôle capital dans les sciences jeunes et dans les
problèmes nouveaux. On oppose en général « observation » à
« expérimentation ». Ainsi, selon Maurice GEX, l’observation est la constatation
des faits tels qu’ils se produisent naturellement, sans que le chercheur
n’intervienne pour modifier le cours du problème. Tandis que l’expérimentation
est l’étude des faits dans les conditions fournies par le chercheur. Observer, selon
Robert PET, c’est regarder avec attention, c’est porter son intérêt sur un objet
donné.
2° Sortes d’observation
D’une manière générale, BACON a distingué deux sortes d’observations, à
savoir : l’observation passive ou vulgaire et l’observation active ou savante.
a)Observation passive ou vulgaire
Elle se caractérise par les faits ci-après :
1- Un manque de critique et de précision dans la manière d’observer
2- Une ignorance de la nature et des causes de ce dont on a été témoin
3- Une incapacité d’émettre une hypothèse plausible sur la cause dont le fait
dépend. Par exemple, une mangue qui tombe n’étonne pas un passant qui, au
besoin, peut la ramasser et la manger sans se demander le pourquoi de cette
chute.
b)Observation active ou savante
Elle se caractérise par les critères suivants :
1- La certitude que l’observation est basée sur des faits dûment contrôlés
2- L’effort pour comprendre les faits, c’est-à-dire l’esprit scientifique recourt aux
explications par les causes et tend à établir des relations objectives entre les
phénomènes. Par exemple, pourquoi la mangue est-elle tombée ?
3- Ces deux observations, selon BACON, empiètent sur l’expérimentation. Claude
BERNARD voit, dans l’observation et l’expérimentation, les deux moments de la
recherche scientifique. Il y a recoupement entre ces deux phases. FRAISSE
distingue que, dans l’observation, la question demeure ouverte et que, dans
l’expérimentation, la question est une hypothèse.
3° Circonstance de l’observation
L’observation peut être occasionnelle (par exemple, un homme qui est
témoin d’un accident), systématique et continue ou systématique et non
continue. Dans l’observation systématique et continue, le chercheur peut
remarquer une certaine constance de faits. Par exemple, dans le cours de
statistique de 2 heures, le professeur prononce 2000 fois : « Je me suis trompé ».
Dans l’observation systématique et non continue, le chercheur peut
examiner un fait pendant un moment précis et concis. Par exemple, il peut
examiner le comportement d’un étudiant au réveil du sommeil.
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Pour Jean PIAGET, la méthode clinique est la plus souple. Elle est
intermédiaire entre la simple observation et l’expérience interrogatoire.
L’approche clinique ne peut donc démontrer l’existence des lois, mais elle peut
fournir des indices et susciter des hypothèses.
Il y a trois caractéristiques de la recherche dans l’approche clinique :
l’interrogatoire pour provoquer l’effet, la prise du protocole (énoncé d’une
question dans un test psychopédagogique) et le traitement des résultats.
L’interrogatoire clinique est essentiellement individuel et casuistique (qui
étudie les cas de conscience ou de morale). Les informations doivent être de
nature à apporter un renseignement maximal.
L’approche clinique consiste à converser librement avec le sujet, au lieu de
se borner à des questions fixes et standardisées. Les questions viennent au fur et
à mesure qu’on avance dans la conversation. L’entreprise est adaptée à chaque
sujet. Une adaptation réciproque est également nécessaire entre le sujet et celui
qui interroge. Converser librement avec le sujet implique de même une certaine
restriction de la part du chercheur qui ne pourra pas dire n’importe quoi. La
méthode de test, au contraire, préconise une consigne très standardisée et bien
précise. En conclusion, un bon expérimentateur doit savoir observer (laisser
parler, sans contrainte, le sujet), savoir chercher quelque chose de précis et avoir,
à chaque instant, une théorie, une hypothèse à contrôler.
E. Approche génétique
Le propre de l’approche génétique est d’analyser le comportement ou la
conduite d’un individu aux différents âges, en partant de ses origines. Cette
analyse peut être étudiée selon le point de vue longitudinal ou selon le point de
vue horizontal ou transversal. Les études génétiques analysant les formes du
comportement concernent la hiérarchisation (le point de vue longitudinal) ou le
développement séquentiel (le point de vue horizontal) de ce comportement dans
le temps, la réaction de sa transformation et le processus de son changement.
F. Approche statistique
L’approche statistique se borne à une analyse des résultats chiffrés et
suppose presque toujours des connaissances théoriques et pratiques des calculs
statistiques. Leur mise en ordre, leurs représentations et leurs interprétations
réclament l’usage continuel de cette démarche dans tous les domaines de la
pédagogie positive.
Un chercheur ne peut plus ignorer dorénavant la façon de construire des
courbes de répartition, des calculs de tendance centrale, des indices de dispersion
et des mesures de corrélation.
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4-Pré-test du questionnaire
Tout questionnaire doit être essayé auprès d’un petit échantillon stratifié,
de façon à voir ce qui doit être corrigé. Après le pré-test, le chercheur peut se
poser quelques-unes des questions ci-après :
a) Toutes les questions sont-elles comprises de la même manière par tous
b) Les réponses aux questions fermées recouvrent-elles toutes les réponses
possibles ?
c) N’y a –t-il pas de questions inutiles ?
d) Quelle est la réaction du sujet à l’ensemble du questionnaire trop long, difficile,
ennuyeux, très simple ?
5- Etapes d’une enquête par questionnaire
Il existe 14 étapes à observer pour mener une enquête par questionnaire :
1ère Etape : Définition de l’objet de l’enquête : par exemple, enquête en milieu
estudiantin
2ème Etape : Inventaire des moyens matériels mis à la disposition des
réalisateurs de l’enquête
3ème Etape : Recherche de la documentation sur le sujet ou sur les autres
enquêtes déjà menées
4ème Etape : Détermination des objectifs et des hypothèses : « Que veut-on
démontrer ? »
5ème Etape : Détermination de la population-cible au niveau de l’enquête
6ème Etape : Constitution de l’échantillon
7ème Etape : Rédaction du projet du questionnaire
8ème Etape : Mise à l’épreuve du projet de questionnaire
9ème Etape : Rédaction du questionnaire définitif
10ème Etape : Formation des enquêteurs
11ème Etape : Réalisation matérielle de l’enquête : collecte et contrôle des
questionnaires
12ème Etape : Dépouillement, traitement des questionnaires ou utilisation des
machines
13ème Etape : Analyse des résultats, choix des méthodes statistiques
14ème Etape : Rédaction du rapport.
Remarquons toutefois que la première étape et la deuxième étape
peuvent se traiter en une étape et que la sixième étape et la septième étape
peuvent se traiter en une étape également.
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6. Test
A. Définition
Selon l’Association Internationale de psychométrie en 1933, un test est
une épreuve définie, impliquant une tâche à remplir, identique pour tous les
sujets à examiner avec une technique précise pour l’appréciation du succès ou de
l’échec ou pour la notation numérique de la réussite. La tâche peut comporter la
mise en œuvre soit des connaissances acquises (test pédagogique), soit des
fonctions sensori-motrices ou mentales (test psychologique).
En 1946, selon PICHOT, « On appelle test mental une situation
expérimentale standardisée servant à stimuler un comportement ». Ce
comportement est évalué par une comparaison statistique avec celui d’autres
individus placés dans la même situation permettant ainsi de classer les sujets
examinés.
Les idées essentielles qui se dégagent des éléments communs à ces
différentes définitions sont que les tests ont pour objet de différencier les
individus appartenant à une population déterminée et de les distinguer de
manière objective et contrôlable. Les tests différent des examens scolaires en ce
sens qu’ils sont construits en accord avec les objectifs visés, en suivant une
méthodologie précise pour l’élaboration des questions et l’interprétation des
résultats.
1- Histoire du test
Le terme « test mental » fut proposé pour la première fois par le
psychologue américain J.M. CATTELL, en 1890. A cette époque, l’anglais Francy
GALTON jeta la base des méthodes statistiques qui permirent le développement
de la psychométrie.
C’est en 1905 que parut le mémoire fondamental de A. BINET sur des
enfants anormaux, décrivant la première série des tests mentaux d’utilisation
pratique. L’idée centrale de tous ces auteurs fut que le développement mental
passe par des phases successives qui sont toujours les mêmes. Ainsi, au moyen
d’épreuves psychologiques, on peut déterminer l’âge mental d’un individu et
comparer celui-ci à son âge réel.
Le test de BINET et de SIMON est critiquable à maints égards. Toutefois, il
a été à la base du développement de la méthode de test. Plus tard, apparut la
notion du quotient intellectuel (QI), grâce à STERN, en 1912. Au début du
siècle, les travaux de SPEARMAN, en 1904, jetèrent la base de l’analyse factorielle
ouvrant ainsi la voie à une étude plus analytique de l’intelligence. Cette étude,
d’une importance capitale, se concrétisa, ensuite, par les travaux remarquables
de THURSTONE, en 1938, concernant la mesure des composantes de
l’intelligence.
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5. Conclusion
La conclusion consiste à présenter le résumé du travail avec des
applications pratiques et des suggestions. Les recommandations sur les
recherches futures se situent également à ce niveau. Une bonne conclusion doit
être brève, complète et claire. Elle doit donc refléter tout le travail et non pas ses
quelques aspects seulement.
6. Bibliographie
De manière générale, dans la bibliographie, il faut mentionner le nom de
l’auteur, le titre de l’ouvrage et le souligner, la ville et la maison d’édition, la
l’année de parution, éventuellement le nombre de pages de l’ouvrage. Faisons
remarquer que la façon de présenter la bibliographie dépend du modèle de
présentation choisi et de la nature du document lu : ouvrage, article, document
inédit... Le modèle choisi doit être utilisé du début à la fin du travail.
S’agissant d’un article publié dans une revue ou dans un bulletin ou
encore dans un cahier scientifique, ce n’est pas le titre dudit article qui est
souligné, mais plutôt le nom de cette revue ou de ce bulletin ou encore de ce
cahier scientifique.
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BIBLIOGRAPHIE GENERALE
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éducation. Kinshasa : P.U.Z.
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