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2- différence entre communication financière et marketing

financier :
Définition communication financière
La communication financière peut être définie comme l’ensemble des actions de
communication réalisées par des entreprises ou organismes de placement et ayant
trait à leur activité et résultats économiques et financiers.
Définition marketing financière
Le marketing financier regroupe l’ensemble des techniques marketing ayant pour
but le placement et la commercialisation de produits et services financiers auprès
du grand public, sociétés de financement et autres investisseurs institutionnels. Le
marketing financier peut également avoir pour cible la communauté financière
(experts, analystes, organisations, etc.).
Les techniques de marketing financier sont généralement mises en œuvre par de
grandes entreprises cotées ou par des sociétés financières.

Principales différences
Une partie de la communication fine est une obligation légale surtout pour les
entreprises cotées. Le marketing vise la vente des titres de l’entreprise.

Comment faire du Profit et detruire la valeur ???


Une entreprise peut dégager un résultat positif et détruire sa valeur. (Cours) : une
entreprise peut être bénéficiaire et destructrice de sa valeur si elle ne prend pas en
compte la rémunération des fonds propres.
Supposant les données suivantes réalisées par une entreprise X :
CMPC : 9%
Rentabilité économique : 6%
CI : 100K
Selon la formule EVA
EVA : (6%-7%)*100K= -2000
Meme si Rentabilité économique >0 il y a une destruction de la valeur puisque
EVA est négative

La critique financière de la stratégie de diversification :


-Cette dernière invite les entreprises à réduire le niveau de risque sur leur métier
plutôt qu’à multiplier les risques au nom de leur diversification.

Glissement vers l’aval :


-Une des stratégies économiques et organisationnelles mise en œuvre dans le but
d’agir sur le levier de création de valeur : rendement des actifs économiques.
-Elle stipule le contrôle du produit final uniquement.
-cette stratégie se fait par recours à la sous-traitante, l’externalisation et au
partenariat.

Le capital immatériel :
-C’est un élément non monétaire et sans substance physique, constitué par les
informations et connaissances détenues, et ayant une valeur positive, par une
organisation.
-Le capital immatériel se décompose en trois catégories de facteurs d’appréciation :
• Le Capital humain, Le Capital structurel (la culture de l’entreprise, la
communication interne, l’organisation), Le Capital relationnel (les relations avec
les actionnaires, les partenaires, les clients, les fournisseurs).

La financiarisation :
-En général le phénomène désigne le recours aux financements extérieurs et en
particulier à l'endettement.
-Le mouvement dit de financiarisation de l'économie met l’accent sur la croissance
des activités financières (services de banque, d'assurance et de placements) dans le
PIB des pays développés. Elle s'explique par la multiplication exponentielle des
types d'actifs financiers et un développement spectaculaire de la pratique des
opérations financières.

Les conditions de réussite des opérations LBO :


Le LBO est le rachat d'une société cible par l'intermédiaire d'une société holding
qui reçoit des apports et souscrit une dette pour financer l'acquisition. Par la suite la
dette est remboursée par les flux financiers que la société achetée verse à la holding
d'acquisition (opération à effet de levier financier).
-La viabilité du montage dépend donc directement de l'aptitude de la société cible à
générer des bénéfices proportionnels à l'endettement de la société holding.
-L’association de l'équipe de management et des investisseurs financiers est l’une
des clés majeures du succès de l’opération. Ils jouent en effet un rôle non
négligeable dans la réalisation effective du montage puisqu’ils apportent non
seulement les capitaux qui permettent pour partie l’acquisition des actions de la
société cible, mais aussi une ingénierie financière (validation du business plan et du
montage financier, recherche des financements bancaires).
-La démonstration de la viabilité d'une opération de LBO repose sur un business
plan détaillé, dressant un diagnostic chiffré de la société cible.

Les différentes composantes de l’actif gazeux de


l’entreprise :

En réalité, les actifs de l’entreprise sont comparables aux trois états naturels des
choses : les actifs solides (les immobilisations, par exemple), des actifs liquides (la
trésorerie et l’actif circulant) et des actifs gazeux (les actifs immatériels).

Le capital immatériel ou patrimoine immatériel est un élément non monétaire et sans


substance physique, constitué par les informations et connaissances détenues, et
ayant une valeur positive, par une organisation.
Afin de donner une connotation comptable au terme, il est possible d'utiliser la
notion d'actif immatériel.

 Les actifs intangibles sont alors des actifs immatériels qui ne sont pas toujours
comptabilisables (c'est-à-dire difficilement identifiables) ;

 Les actifs incorporels sont des actifs immatériels comptabilisables car


identifiables par le prix d'acquisition (appelés immobilisations incorporelles
constituées aussi par convention comptable du goodwill) ;

 Le capital intellectuel notion de management et de microéconomie est intégré


dans le concept de capital immatériel depuis une normalisation comptable de
la Commission européenne et de l'OCDE ;

 Le capital cognitif propre à la société de la connaissance est l'équivalent du


capital intellectuel au niveau macroéconomique.

Un autre classement qu’on peut effectuer lors d'une démarche d'évaluation de la


valeur réelle de l'entreprise, si qu’on retient 5 classes d'actifs intangibles définissant
le capital immatériel :

 Le capital client
 Le capital humain
 La capacité à innover
 Le capital développement
 Le capital organisationnel

Pour gérer les risques de l’investissement, les organismes du


capital investissement utilisent des techniques et mécanismes
juridico-financières, lesquels ?

Le Capital Investissement est une activité financière qui consiste pour un


investisseur professionnel à entrer, pour une durée déterminée, dans le capital
d’entreprises, non cotées sur le marché boursier, ayant besoin de fonds propres.
Mécanismes financiers :

Capital Amorçage – Seed Capital


Les investisseurs en Capital Amorçage apportent du capital ainsi que leurs réseaux
et expériences à des projets entrepreneuriaux qui n’en sont encore qu’au stade de
Recherche & Développement. Exemple : Netpeas, entreprise spécialisée dans les
nouvelles technologies et, plus précisément, dans la sécurité Internet.

Capital Risque – Venture Capital


Les investisseurs apportent un financement en fonds propres ou quasi fonds propres
dans des entreprises en création ou en phase de démarrage de l’activité. Selon la
maturité du projet à financer, le Capital Risque se subdivise comme suit :
•la Création finance le démarrage de l’activité de l’entreprise
•la Post-Création intervient lorsque l’entreprise a déjà achevé le développement
d’un produit et a besoin de capitaux pour démarrer la production et la
commercialisation Exemples : TECMOM, société de fabrication d’emballages et
SEFCAM, production de pièces élémentaires de tôlerie et traitement de surface pour
l’industrie aéronautique. En quoi consiste le Capital Investissement ?
Guide Pratique pour Entrepreneurs
Capital Développement – Growth ou Expansion Capital

Les investisseurs apportent un financement en fonds propres ou quasi-fonds propres,


en général minoritaire, destiné à financer le développement d’une entreprise ou le
rachat de positions d’actionnaires. A ce stade, l’entreprise partenaire est
généralement une société arrivée à maturité qui a atteint son seuil de rentabilité et
présente des perspectives de croissance importantes. Cette opération vise à
accompagner le dirigeant dans le financement de la croissance organique et externe
de l’entreprise avec un objectif de création de valeur et de liquidité à moyen
terme.Exemples : Aixor, HPS, Webhelp, Labinal, Valyans, et autres.

Capital Transmission – Buy Out

Les opérations de Capital Transmission consistent à acquérir la majorité du capital


d’une entreprise à maturité grâce à une combinaison de capitaux et de financements
bancaires (dette structurée). Les opérations les plus connues sont celles avec effet de
levier ou LBO (Leveraged Buy-Out). Elles permettent à un dirigeant associé à un
fonds de Capital Investissement de transmettre son entreprise ou, plus généralement,
de préparer sa succession en cédant son entreprise en plusieurs étapes.Exemples :
Mobilia, chaîne de distribution de mobilier d’intérieur et Univers Motors,
distributeur de véhicules automobiles.

Capital Retournement – Turnaround


Les investisseurs apportent un financement en fonds propres à des entreprises en
difficulté. Grâce à ce mode de financement, l’investisseur donne aux dirigeants
l’opportunité et les moyens de mettre en place des mesures de redressement de
l’activité permettant le retour aux bénéfices.

Mécanismes juridiques :
Le véhicule d’investissement est le moyen mis à la disposition des gestionnaires
pour la collecte des capitaux et la réalisation des investissements.

Les structures juridiques adoptées par les fonds d’investissement appartiennent à


une des deux catégories suivantes :
•véhicules classiques
•organismes de Placement en Capital Risque (OPCR)

Au Maroc, la majorité des fonds d’investissements sont constitués en :


•société Anonyme (SA)
•société par Actions Simplifiée (SAS)
•sociétés étrangères (Limited Partnership, Limited Liability Company et autres)
•sociétés en Commandite par Actions (SCA)

Parallèlement, il existe au Maroc, depuis la promulgation de la Loi 41-05 relative


aux OPCR, deux véhicules propres au Capital Investissement :

• la Société de Capital Risque (SCR)


• le Fonds Commun de Placement à Risque (FCPR)

La Société de Capital Risque est une société par actions qui a la forme d’une société
anonyme ou d’une société en commandite par actions.

Le Fonds Commun de Placement à Risque est une copropriété de valeurs mobilières


et de liquidités qui n’a pas de personnalité morale et dont les parts sont émises et
cédées dans les formes et conditions fixées par le règlement de gestion.
Les SCR et FCPR, agréés par l’Autorité Marocaine des Marchés de Capitaux (ex-
CDVM), présentent l’avantage majeur de bénéficier de la transparence fiscale qui
leur permet d’être exonérés de l’impôt sur les sociétés (IS).

La méthode d’évaluation par options réelles


En quoi consiste-t-elle ?
L'évaluation par les options réelles est un outil financier d'aide à la décision en
matière d'investissement, directement inspiré des techniques d’options financières («
call » ou « put »). L’option réelle permet de prendre une décision stratégique
d'investissement relative à un actif sous-jacent non financier. Ce sous-jacent peut
être un projet ou un actif réel du type : bien d'équipement, usine de production,
projet R&D, activité en phase de démarrage ou de croissance, ou bien encore
propriété intellectuelle.
Dans quel contexte peut-on l’utiliser ?
L'analyse par les options réelles facilite la prise de décision dans des contextes à
faible visibilité. Elle permet d'identifier la valeur de flexibilité managériale et de
l’incertitude dans laquelle évolue le projet. Cette valeur tient compte de toutes les
possibilités du projet, y compris celle de ne pas poursuivre.
Typologie des Options Réelles
Les Options Réelles sont généralement classées en 6 catégories :
Option de existe lorsque l'on peut augmenter la capacité du projet.
croissance ex. : investissements industriels, infrastructures, produits évolutifs,
croissance externe
Option existe lorsque l'on peut se séparer de certains projets non rentables,
d’abando à condition qu'ils possèdent un prix de revente.
n ex. : investissements cessibles pour d’autres usages
Option de existe lorsque le projet peut être réalisé dans des conditions
report identiques à une période ultérieure, le laps de temps gagné permet
de collecter de l'information utile à la décision.
ex. : investissements en extraction de ressources naturelles,
construction immobilière
Option de existe lorsque le projet propose une structure flexible qui permet
changeme d’adapter les outputs à la demande.
nt ex. : produits de mode, produits à cycles courts ou variables,
d’échelleservices
Option existe lorsque le projet permet une flexibilité des processus ou des
d’échangemoyens de production. Le transfert doit pouvoir s’effectuer sous
forme d’aller-retour.
ex. : installation permettant l’utilisation de deux sources d’énergie
Options existent lorsque le projet est décomposé en plusieurs étapes
composée ponctuées de jalons de décision (go/no-go), et dont l’issue dépend
s de la réussite des étapes précédentes.
ex. : Ces options sont surtout utilisées en R&D pour les choix
d’investissements dans de nouveaux prototypes ou de nouvelles
technologies, et aussi dans l’industrie pharmaceutique pour les
phases de tests de médicaments

En quoi consiste la décote d’illiquidité ?


 La décote d'illiquidité consiste à appliquer une décote sur la valeur d'une
société, dès lors que les actions de cette dernière, font l'objet de restrictions
d'accès sur les marchés ou d'une absence de cotation. La décote d'illiquidité
peut atteindre jusqu'à 15 à 20 % de la valeur d'un titre dès lors qu'il s'agit de
la cession de participations minoritaires.
 La décote d'illiquidité correspond au différentiel de valorisation entre une
entreprise cotée dont les titres sont liquides et une entreprise comparable non
cotée. L'existence d'un marché d'échange de titres par la loi de l'offre et la
demande pour une entreprise cotée par rapport à une entreprise comparable
non cotée est valorisée par les investisseurs sur le marché. Il convient donc
d'appliquer une décote d'illiquidité à la société non cotée par rapport à une
entreprise comparable cotée
 Décote pour absence de liquidité des titres "illiquidité"

Les titres représentatifs de sociétés non cotées sont relativement peu liquides en

regard d’actions faisant l’objet de cotations sur une ou plusieurs places financières.

Comme nous l’avons déjà développé, la vente de titres non cotés peut nécessiter

plusieurs mois sans certitude d’aboutissement, Engendrer des frais conséquents


(évaluation, due diligence, avocats, …), Demander un investissement personnel

important et Impliquer des modes de payements différents.

Deux possibilités s’offrent à l’analyste dans la prise en considération du manque de


liquidité.
 La première possibilité consiste à appliquer une décote (décote d’illiquidité)
sur le résultat final de l’évaluation.
Il s’agit alors d’évaluer la société comme si celle-ci était cotée pour lui
appliquer une décote finale.
Cette procédure est attractive car il existe de nombreuses études et données
concernant ce que la littérature qualifie de « lack of immediate marketability
».
 La deuxième possibilité consiste à traduire le manque de liquidité en terme
de prime de risque supplémentaire (et par là dans le taux d’actualisation
employé).
Cette pratique peut trouver son application lors de l’évaluation de « très
petites » sociétés non cotées. La personne investissant dans une PME a en
effet davantage tendance à traduire l’illiquidité en terme de taux de
rendement supplémentaire par rapport à un investissement de risque
moindre.

1- Morale, éthique, déontologie ?


La morale: réfère à un ensemble de valeurs et de principes qui permettent de
différencier le bien du mal, l'acceptable de l'inacceptable, et auxquels il faudrait se
conformer.

Éthique : c'est une réflexion argumentée des valeurs morale en vue de les appliquer
pour bien-agir.

Déontologie : la morale professionnelle, renvoie aux obligations que des personnes


sont tenues de respecter dans leur travail.
3- restructuration et redressement ?

La restructuration: processus évolutif mener par entreprise pour répondre aux


mutations du secteur, ex: delocalisation, regroupement, création ou suppression
d'une filiale.

Le redressement : appliqué dans le cas d'un état de cessation de paiement. Il est


établit pour lui donner la possibilité de continuer son activité.

En quoi consiste le marketing mix d'un produit


financier(action)
Dans le cadre du marketing mix d'un produit financier(action), nous
pouvons construire une stratégie marketing en construisant le produit puis en
définissant son prix, sa politique de communication et de commercialisation.

– produit :Concrètement au niveau de la gamme de produits, certains peuvent être


liquidés, fusionnés avec d’autres ou subir des réajustements afin de relancer la
collecte.

– Les prix: ils doivent être contrôlés mais ce facteur n’est pas grandement
modifiable, les réglementations de l’AMF fixent en effet des limites.

– La communication: elle aura un impact fort. Puisque ce sont des services


intangibles, l’image reflétée par une campagne publicitaire par exemple devra être
claire, séduisante et pousser à l’action. Plus largement, l’image de la société de
gestion est tout aussi importante que celle du produit. La communication va être un
moyen de se différencier de la concurrence.

–commercialisation: Les moyens de distributions doivent être nombreux du fait de


l’éclatement géographique des clients. Un réseau d’agences, des conseillers en
gestion de patrimoine indépendants ainsi des canaux de distributions nouveaux
doivent être si possible utilisés conjointement.

La différence entre la communication financière et le


marketing financière:

La communication financière peut être définie comme l’ensemble des actions de


communication réalisées par des entreprises ou organismes de placement et ayant
trait à leur activité et résultats économiques et financiers.
Le marketing financier regroupe l’ensemble des techniques marketing ayant pour
but le placement et la commercialisation de produits et services financiers auprès
du grand public, sociétés de financement et autres investisseurs institutionnels. Le
marketing financier peut également avoir pour cible la communauté financière
(experts, analystes, organisations, etc.).

La différence entre la valeur et le prix:

Le prix d’un objet n’est que rarement équivalent à sa valeur. La valeur d’un objet
est liée aux services et au plaisir qu’il nous apporte, alors que son prix c’est
l’étiquette qui se trouve dessus. La valeur dépend de notre propre estimation
avant tout : c’est le prix qu’on pourrait lui donner et non le prix affiché.

La différence entre les obligations conventionnelles et sukuks


islamiques

Le sukuk est un titre financier islamique, similaire à une obligation conventionnelle,


respectant les préceptes religieux de la charia.
Etant donné que le système de versement d’intérêt d’une obligation traditionnelle est
interdit, l’émetteur d’un sukuk vend le titre à un groupe d’investisseurs, qui le reloue
à l’émetteur pour un loyer fixé à l’avance. L’émetteur s’engage également à racheter
les obligations à une date précise et au prix d’émission.
Les sukuks doivent être en mesure de justifier que leur rendement provient bien
directement de l’achat d’un actif, ou bien du retour sur investissement lié à l’achat
d’un actif.
En effet, l’échange de créances sur les marchés étant interdit par la charia, on ne
peut recourir au financement obligataire que pour des actifs clairement identifiables.

Le Goodwill
Le Goodwill est la traduction anglaise de survaleur. On rencontre également le
terme d'écart d'acquisition. Le goodwill est la différence entre le montant de l'actif
figurant au bilan d'une entreprise et la valeur marchande de son capital matériel et
immatériel. Le goodwill s'adresse aux investisseurs souhaitant acquérir une
entreprise, par exemple via une fusion. En comparant l'actif et la valeur marchande,
on met en avant la présence ou non d'une survaleur. Si survaleur il y a, elle sera
inscrite en tant qu'immobilisation incorporelle par l'acheteur.
La question du goodwill est souvent soulevée lors de l’acquisition d’une entreprise
par une autre. Il est d’ailleurs également appelé « survaleur » ou « écart
d’acquisition ». Lors d’une acquisition, le goodwill correspond généralement au
montant qui a été payé au-delà de la valeur de l’actif net (book value).
L’écart entre le prix d’acquisition d’une société et sa valeur économique peut-être
positif (goodwill) ou négatif (badwill).
PSR
Ratio boursier se calculant en divisant la capitalisation boursière d'un titre par le
chiffre d'affaires de l'entreprise. Telle entreprise vaut ainsi une fois, deux fois, etc.
son chiffre d'affaires. Ce type de ratios n'est ni plus ni moins utile qu'un autre. Il
doit toujours être utilisé dans une comparaison sectorielle et comparé à d'autres
ratios. Le terme PSR est aussi utilisé pour le désigner. Ainsi que le ratio p/sales.
Taux d’actualisation

Le taux d’actualisation ou coût de capital est un taux qui correspond à la


rentabilité attendue par l’ensemble des apporteurs de fonds (les actionnaires et
les créanciers) de l’entreprise, il est appelé également coût moyen pondéré du
capital.
En matière d’investissement, le taux d’actualisation est l’un des paramètres
essentiels du calcul de la VAN. Il permet d’actualiser les flux de trésorerie potentiels
à générer par un projet d’investissement afin d’évaluer sa rentabilité tout en tenant
compte de la valeur de l’argent dans le temps. Il permet
également d’arbitrer entre les différents projets d’investissement potentiels pour
l’entreprise.

Aucun investissement ne doit être retenu si sa rentabilité est inférieure aux


exigences de rentabilité minimum de l’ensemble des pourvoyeurs de fonds,
simplement car si c’est le cas le projet ne créera pas de valeur et ne serait donc
pas rentable pour l’entreprise.

Due diligence

Le due diligence désigne un ensemble de vérifications qu'opère un investisseur en vue


d'une transaction. Concept anglo-saxon, le due diligence permet à un futur acquéreur
de se faire une idée de la situation précise d'une entreprise avant de se prononcer sur
son investissement. Cela peut notamment permettre de vérifier la stratégie d'une
entreprise, sa situation fiscale, comptable, sociale, environnementale, etc.
SUKUK DÉFINITION SUKUK ISLAMIQUE :

Un Sukuk est défini comme l’équivalent d’un certificat d’investissement islamique


qui n’est pas différent des obligations conventionnelles dans le principe mais dans
sa structure qui est conforme à la Charia islamique, c’est-à-dire que les
investissements ne sont effectués que dans des secteurs licites et non-spéculatifs.
Le Sukuk équivaut à des obligations islamiques structurées de manière à générer
des rendements pour les investisseurs et sont émis et échangés conformément aux
principes de la charia, qui interdisent le Riba ou les intérêts.
Qu’est-ce que le droit au bail ?
Le droit au bail fait généralement partie intégrante du fonds de commerce. Il
représente le montant que l’acheteur verse ou doit au locataire précédent, afin de
bénéficier des dispositions et droits garantis par les baux commerciaux (droit à
renouvellement, indemnité d’éviction…). Il peut également représenter la sous-
évaluation des loyers par rapport au prix de marché.

Le vendeur va donc monnayer le fait que le loyer qu’il a négocié antérieurement un


loyer sous-évalué par rapport au prix de marché.

L’achat du droit au bail va permettre à l’acquéreur de reprendre le bail conclu entre


le précédant occupant et le propriétaire, dans des conditions similaires et pour la
durée restant à courir.

Une précision s’impose : lorsque la somme est versée par le locataire au profit du
propriétaire lors de l’entrée en jouissance, on parle de « pas-de-porte » ou encore
de « droit d’entrée ». Le traitement fiscal du pas-de-porte est différent de celui du
droit au bail, que nous aborderons un peu plus loin. La loi prévoit que pour le
cédant, la vente du droit au bail est imposée dans les conditions de droit commun
dans la catégorie des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC).

Cela signifie donc que le produit tiré de la vente du droit au bail ne sera pas imposé
suivant des règles particulières, mais comme les autres produits courants de
l’entreprise. Le droit au bail revêt essentiellement un grand intérêt principal : Il
permet à son détenteur d’obtenir face au bailleur une garantie de renouvellement du
bail. Grâce au droit au bail en effet, le renouvèlement est assuré par le bailleur qui
ne peut s’y soustraire au risque de devoir s’acquitter d’une indemnité d’éviction
dont le montant peut être relativement important pour lui.
La valeur patrimoniale est le premier élément de valorisation
d'une entreprise.
L'avantage de cette méthode est sa facilité de mise en œuvre : elle consiste à
déterminer le prix d'une entreprise en additionnant la valeur réelle de tous les biens
qui la composent et en retranchant toutes les dettes. On parle d'actif net comptable
corrigé. Ce calcul se fait à partir du bilan de l'entreprise que l'on aura retraité
auparavant.
La valeur patrimoniale, pour un particulier légataire, est la valeur de la quotité dont
il hérite. Pour une entreprise, la valeur patrimoniale peut être sa valeur de marché, si
la vente se déroule dans un délai suffisant. Lorsque sa valeur patrimoniale est sa
valeur liquidative, elle est décotée pour tenir compte de l'urgence. Enfin, la valeur
patrimoniale peut être sa valeur d'usage, c'est-à-dire les flux entrants qu'elle génère
par rapport à ses flux sortants.

La valeur patrimoniale peut être très différente de la valeur comptable, soit au


contraire parce que des actifs se sont dépréciés, soit parce que l'entreprise possède
un nom commercial et des marques très connus.
Valeur liquidative
La valeur liquidative s’apparente à une valeur à la casse. Il s’agit du prix que l’on
peut retirer d’un actif vendu avec une décote pour que la vente se déroule
rapidement.
Tous les particuliers cherchant à acheter ou vendre un véhicule d’occasion savent ce
que représente cette valeur liquidative.
C’est l’argus qui détermine théoriquement la valeur d’un véhicule sur le marché de
l’occasion. Toutefois, pour s’en débarrasser plus rapidement, certains vendeurs
acceptent de le vendre sous son niveau argus. La différence entre la cote et le prix de
cession réel correspond à la valeur liquidative du véhicule.
La méthode des comparables est une méthode de valorisation qui permet de
déterminer à une date « t » la valeur financière d'une entreprise par comparaison
avec la valeur d'autre société « référent » ayant des caractéristiques similaires et
comparables évoluant dans le même secteur d'activité.

Elle peut être calculée par la formule suivante :

Valeur de l'entreprise = multiple retenu × critère retenu


La méthode des comparables permet d’évaluer une entreprise en la
comparant avec un échantillon constitué d’entreprises aux caractéristiques
comparables :

Même secteur d’activité,


Même taille,
Zone géographique similaire,
Même perspective de croissance
Etc...
Le but est de calculer la valeur marchande estimative de l'entreprise en question.
C'est une méthode simple et rapide, qui utilise la règle de trois pour obtenir ses
résultats. Si les entreprises servant à la comparaison valent tant, l'entreprise en
question vaut tant.

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