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1.

Definition de l’investissement:

Nous avons deux definitions de l’investissement:

a.La définition de l’investissement en économie:

En économie, un investissement est une dépense destinée à augmenter la richesse de celui qui
l’engage.

Un investissement est une dépense immédiate dont l’objectif est d’obtenir un effet positif
quantifiable à long terme.
Une entreprise investit :
pour augmenter sa productivité (investir dans des machines-outils supplémentaires...)
pour gagner de nouveaux clients ou soigner son image de marque (investir dans une campagne de
communication...)
pour gagner du temps (investir dans un logiciel d’automatisation des tâches...)
pour, à terme, baisser les coûts, c’est-à-dire augmenter son bénéfice (investir dans un outil de suivi
de sa consommation d’énergie, par exemple pour trouver où et comment faire des économies...)
L’investissement peut aussi être nécessaire pour maintenir un chiffre d’affaires (renouvellement des
équipements obsolètes) ou pour moderniser des équipements : plus récents et plus efficaces ou plus
écologiques…

b. La définition comptable de l’investissement

D’un point de vue comptable, l’investissement représente l’acquisition ou la création d’un bien
durable destiné à rester au moins un an sous la même forme. La valeur du bien doit être au moins
égale à 500 euros. En comptabilité, l’investissement :

augmente la valeur du patrimoine de l’entreprise (actif du bilan comptable)


fait l’objet d’un amortissement dont la durée et le taux sont fonction de sa nature (différents types
d’investissements)

C.Quelle sont les 3 types d’investissements ?

Le Plan Comptable Générale (PCG) classifie les investissements selon leur nature. Il existe 3 qui sont :

Les investissements corporels : les achats de biens meubles et immeubles : terrains, bâtiments,
usines, machines, matériels...
Les investissements incorporels : les achats qui augmentent la valeur du patrimoine de l’entreprise,
mais qui ne sont pas palpables (contrairement aux investissements corporels), comme les brevets,
licences, fonds de commerce ...
Les investissements financiers : les achats d’actions, d’obligations, etc. qui augmentent le patrimoine
financier de l’entreprise
Notez que le bilan comptable de l’entreprise fait apparaître les investissements qu’elle a opérés pour
leur montant déprécié à la date de réalisation du bilan, appelé « valeur actuelle nette ». La valeur
actuelle nette d’un investissement représente plus exactement sa valeur d’acquisition minorée de
l’amortissement.
Quel est le rôle de l'investissement ?

L’investissement est un moyen financier permettant d’accroître son capital par le biais d’un
placement rentable. Lorsqu’il est élevé, on parle alors de croissance économique. L’investissement
joue un rôle important dans la technologie, la compétitivité des entreprises, l’emploi et surtout dans
la croissance économique des particuliers, des entreprises et des pays. Une entreprise peut favoriser
le financement permettant l’investissement en ayant des prélèvements obligatoires moindres, des
charges et des salaires moins forts permettant de le favoriser en déclenchant justement in fine, des
salaires plus forts et des dépenses plus importantes pour la pérennité de ces entreprises. Les
investissements sont mesurés en volume et en France par la FBCF. Ainsi, l’investissement est
synonyme de croissance et d'efficacité dans le travail. Il permet d’améliorer les techniques de
production des entreprises, mais dépend de leur rentabilité.

Classification des Investissements :

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Importence de l’investissement

Complexite de l’investissement

Etapes concernent lelaboration d’un plan d’investissement.

2.CUMP
Le coût moyen pondéré du capital1 (CMPC), ou weighted average cost of capital (WACC)
en anglais, est le taux de rentabilité annuel moyen attendu par les actionnaires et les
créanciers, en retour de leur investissement.
Le CMPC mesure ce que l'entreprise doit à tous ceux qui ont apporté des capitaux. Pour
l'entreprise, c'est une aide au choix du mode de financement ; pour les associés, il apporte
une information sur l'opportunité d'investir dans une entreprise ; pour les créanciers, c'est une
mesure du risque qu'ils prennent en faisant crédit à une entreprise.
Une entreprise dispose de trois sources de financement principales : ses associés, qui
apportent des capitaux propres ; les tiers (banques, institutions financières, prêteurs divers),
qui apportent des capitaux externes (sous forme de prêts et de dettes que l'entreprise aura à
rembourser) ; l'autofinancement, essentiellement composé du résultat non distribué de son
activité passée (bénéfices des années précédentes). Les capitaux apportés par les associés et
les tiers sont souvent plus intéressants que l'autofinancement, limité dans son montant et
disponible de manière incertaine, puisqu'il dépend des résultats de l'activité.
Les enjeux du CMPC peuvent s'envisager selon différents points de vue :
 l'entreprise qui recherche de nouveaux financements va s'adresser à ses associés ou à des
prêteurs ; elle devra, entre autres, comparer le coût de ses sources de financement pour faire
appel à la source la moins chère et utilisera le CMPC comme indicateur de référence ;
 pour les associés, le coût des capitaux propres est souvent assimilé au rendement attendu
par les propriétaires (ou les associés, dans le cas d'une société dont le capital est divisé en
parts sociales) exprimé en pourcentage ; il est donc lié à leur coût d'opportunité, autrement
dit le rendement des placements similaires qu'ils peuvent faire ;
 pour les créanciers, le coût des dettes financières équivaut à l'intérêt demandé par les
prêteurs.
Dans l'hypothèse d'un univers sans impôt, le coût du capital est la moyenne pondérée par la
valeur de marché des dettes et des fonds propres des deux coûts :

3 Flux de trésorerie :

Le flux de trésorerie d'une entreprise correspond aux entrées et sorties d'argent. Ces flux sont
analysés et exploités en finance et en comptabilité pour comprendre la situation d'une entreprise
et identifier des pistes d’amélioration.Le flux de trésorerie est donc à la fois un indicateur de
performance mais aussi un outil utile à la prise de décision au sein d'une entreprise.

Nous vous expliquons tout dans cet article.

Qu'est-ce que le flux de trésorerie ?


Le terme flux de trésorerie désigne les montants d'argent entrant et sortant des comptes d’une
entreprise.

Plus concrètement, ce terme désigne les mouvements d'argent sur les comptes d'une entreprise :
ce qu'elle encaisse et ce qu'elle dépense.
Il y a donc deux types de flux :

Les flux entrants : l'argent qui entre dans les caisses de l'entreprise comme les paiements des
clients par exemple.
Les flux sortants : l'argent qui sort sous forme de dépenses de fonctionnement de l'entreprise.
Il s'agit d'une mesure de performance qui permet d'évaluer les besoins ou non de liquidités de
l'entreprise compte tenu d'un projet donné. Il permet aussi d'identifier les problèmes de
rentabilité.

Le flux de trésorerie d'une entreprise doit toujours être positif. En d'autres termes, les
encaissements doivent être supérieurs aux décaissements.

Cela signifie en effet que les activités de l'entreprise lui ont permis de générer des liquidités pour
rémunérer les actionnaires, par exemple. Elle dégage donc des bénéfices.

Avoir un flux de trésorerie positif sur une longue période est important car cela témoigne de la
bonne santé d'une entreprise. Qui dit bonne santé financière dit facilité pour obtenir des crédits
pour financer ses investissements.Les banques sont en effet plus enclines à accorder des crédits à
une entreprise dont elle est sûre qu'elle pourra les rembourser. Elles étudient les flux de trésorerie
pour décider du montant qu'elles sont prêtes à allouer.

Inversement, une entreprise qui affiche des flux de trésorerie négatifs pendant une longue période
est en mauvaise posture. Elle est considérée par les banques comme insolvable. Si une telle
situation se pérennise, elle peut déboucher sur la faillite de l'entreprise.

Elle devra alors trouver d’autres moyens de se financer.

Qu'est-ce que le cash flow ?


En anglais, on utilise le terme cash-flow pour désigner les flux de trésorerie. C'est d'ailleurs un
concept de plus en plus utilisé en français.

Il existe différents types de cash flow :

Le free cash flow


Le cash flow from operation
Le cash flow from equity
Etc
Chaque type de cash flow correspond à un indicateur étudié par les financiers.

Quelle est l’utilité d’un tableau de flux de trésorerie ?


Avec le bilan et le compte de résultat, le tableau de flux de trésorerie est l’un des trois grands états
financiers que les dirigeants d'entreprise utilisent et analysent pour prendre leurs décisions.

Définition
Un tableau de flux de trésorerie (TFT) est un outil financier qui met en relief les entrées et les
sorties d'argent d'une entreprise sur une période déterminée (mois, trimestre, année, etc.). Il s'agit
d'un document de synthèse qui permet de voir les variations des entrées et sorties d'argent dans
une entreprise.

CTA TFT
L'établissement d'un tableau de flux de trésorerie n'est obligatoire que dans les entreprises
soumises à l'obligation de tenir des comptes consolidés.

Analyse de rentabilité.

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