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Chargé du cours :
KI Jean Marie
Email :kdipan@yahoo.fr Novembre 2020
Tel : 226 70008783/ 78462498
Objectifs de l’enseignement
Plan Sommaire
I. INTRODUCTION
II. CONCEPTS DE LA QUALITE
III. LE MANAGEMENT DE LA QUALITE
IV. LES OUTILS DE LA QUALITE
La devise « Le client est roi » se vérifie encore plus de nos jours. A mesure que
s'améliore la qualité de la vie, la demande de produits et de services de meilleure
qualité augmente également. Partout dans le monde, les clients exigent que le
produit ou le service pour lequel ils ont payé corresponde à leurs spécifications,
réponde à leurs attentes ; et qu'il fonctionne comme prévu. La qualité est alors vue
comme la capacité de répondre aux attentes du consommateur à un coût et à un
prix, tous les deux, « acceptables » l'un par l'entreprise, l'autre par le client.
C'est pour faciliter cette activité, qu'est arrivée la série de normes ISO 9000, se
présentant comme une alternative de management, susceptible de conduire une
entreprise à l'efficacité et à l'efficience, et ainsi donc vers l'excellence. L'objectif de
Pour plus d’efficacité, ce cours sera subdivisé en deux grandes parties. La première
partie portera sur les concepts de la qualité. Tandis que la deuxième partie sera
consacré aux outils de la qualité.
I. Généralités
1 – HISTOIRE DE LA QUALITE
1. Evolution de la qualité
1.1. De l’improvisation à l’organisation – l’ère du tri
Au début du XXe siècle, Frederick W. Taylor (1856-1915), père du management
scientifique, fit passer l’industrie de l’improvisation à l’organisation rationnelle,
notamment grâce à la mesure du temps exigé par chaque tâche. La productivité fut
multipliée par trois et les salaires grimpèrent.
C'est la naissance des grandes fabriques, située vers la fin du XVIIe siècle; fruit du
regroupement d'artisans et de la progression des techniques. Comme l'offre reste
très inférieure à la demande, tout se vend même ce qui est de mauvaise qualité.
Durant cette période, la qualité reste encore liée au prix que l'on paie lors de l'achat
du produit : plus on paie cher, plus le produit est de bonne qualité. L'industrie subit
ses révolutions : on assiste à la mutation des méthodes de production, qui suivent
l'évolution des techniques, et au perfectionnement des machines, auxquelles on a
de plus en plus recours. Cela se traduit par une forte augmentation de la demande,
avec une complexification des produits, qui profitent entre autre du développement
Ce n'est pas un terme normalisé et il faut lui conférer un sens très ouvert.
Une démarche qualité est l'ensemble des actions que mène l'établissement pour
développer la satisfaction de ses clients.
3.2.3. Politique qualité
Elle est définit comme les orientations et objectifs généraux d'un organisme
concernant la qualité, tels qu'ils sont exprimés formellement par la direction (ISO,
1995).
3.2.7.Management de la qualité
Activités coordonnées permettant d’orienter et de contrôler un organisme en
matière de qualité
4. Les exigences de la qualité
Pour avoir un produit de qualité qui satisfait parfaitement les besoins et les
attentes du client, plusieurs exigences sont à prendre en compte aujourd'hui :
4.1. La conformité
Un produit de qualité doit être conforme :
➢ Aux caractéristiques techniques annoncées par le producteur dans les
catalogue, la publicité, les notices, ou aux caractéristiques techniques
spécifiées dans le cahier des charges.
➢ Aux besoins spécifiques des clients.
4.2. Le prix
Le client fait toujours une appréciation du rapport qualité/prix, généralement il
cherche un produit de qualité et avec un prix convenable. Quel que soit les
performances d'un produit, un prix trop élevé ne peut satisfaire le client.
L'entreprise est appelée donc à offrir un produit de meilleur rapport qualité/prix.
4.3. Le délai
Le client opte pour un produit qui est disponible au moment où il en a besoin et
qui lui procure une satisfaction immédiate. En fait, un produit qui ne répond pas
au critère de disponibilité n'est plus un produit de qualité pour le client. Donc agir
vite c'est l'un des facteurs de compétitivité pour les entreprises contemporaines.
5. Le processus
5.1. la description
Un processus est un enchaînement d’activités qui fournit un produit ou un service
livrable à un client (interne ou externe) du processus.
1. La performance
La performance désigne les caractéristiques principales, essentielles, de
fonctionnement d’un produit, ses caractéristiques de base considérées aussi parfois
comme les caractéristiques techniques du produit.
Exemples
1
D. A. GARVIN (Managing quality, Free Press, 1988, pp. 48-69)
Exemple
Une ampoule électrique de 100 watts donne plus de lumière qu’une autre de
60 watts. Mais, dans une maison, certaines pièces se prêtent à un éclairage fort,
d’autres à un éclairage plus discret.
2. Les accessoires
Les accessoires apportent un complément au fonctionnement de base du
produit. Ce sont des caractéristiques qualifiées de secondaires par rapport aux
caractéristiques principales de fonctionnement qui se rapportent à la performance.
Il est parfois difficile de faire la distinction entre ces deux types de caractéristiques
mais, comme pour la performance, l’important est de disposer de caractéristiques à
la fois mesurables et pertinentes pour le client.
3. La fiabilité
La fiabilité désigne le bon fonctionnement d’un produit dans un intervalle de temps
donné et dans des conditions normales d’utilisation. Les mesures les plus
fréquentes de la fiabilité sont le temps moyen écoulé avant la première panne et le
taux de panne (nombre de pannes par unité de temps : 1/MTTF).
La fiabilité d’un circuit intégré inséré dans un système est égale à 100 000 heures.
Certains modèles de voitures présentent des taux de panne ne correspondant qu’à
1 % de problèmes nécessitant une intervention dans un garage (défauts électriques,
mécaniques, de finition…).
4. La conformité
La conformité est le degré de concordance entre la conception du produit et ses
caractéristiques de fonctionnement.
Exemple
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Ce sont l’option « photo » sur un téléphone portable, les différentes options sur une
voiture, les boissons gratuites sur un vol.
Autrement dit, une autre dimension importante de la qualité d’un produit est son
respect des spécifications, le fait de savoir si le produit a été réalisé comme il a été
conçu.
5. La durabilité
La durabilité désigne le plus souvent la durée de vie du produit. C’est aussi la
somme de l’usage tiré d’un produit avant sa détérioration ou avant qu’il ne tombe
en panne, et que son remplacement soit préférable à de continuelles réparations.
La durabilité est étroitement liée à la fiabilité. Un produit fiable a toutes les chances
d’avoir une durée de vie plus importante qu’un produit qui a de nombreuses
défaillances. Enfin, la durabilité reste perçue par les consommateurs comme la
dimension la plus importante pour juger de la qualité des produits manufacturés.
Exemples
La durabilité d’une ampoule électrique s’exprime par un nombre d’heures
d’utilisation. Une fois le filament consumé, l’ampoule doit être remplacée. La
durabilité d’une voiture peut s’exprimer en comparant le coût prévu, à la fois en
argent et en dérangement, des réparations au coût d’acquisition et de
fonctionnement d’un modèle plus nouveau et plus fiable.
6. La maintenabilité
La maintenabilité désigne une aptitude à la maintenance du produit. C’est ce qui
permet d’assurer la continuité de l’utilisation du produit. Elle concerne l’amabilité,
la rapidité, la compétence, la facilité avec laquelle est effectuée la remise en état, la
remise en fonctionnement du produit.
Elle est directement liée à la qualité du Service après-vente (SAV). La
maintenabilité se mesure généralement par le temps moyen mis par le SAV pour
effectuer une réparation. Elle s’évalue aussi par la courtoisie, la ponctualité du
SAV.
Exemples
Dans certains environnements, la maintenabilité, la vitesse de réaction à un
problème, devient critique à partir de certains seuils. C’est le cas notamment pour
des équipements dont la durée d’immobilisation doit être absolument maîtrisée :
des moissonneuses batteuses dont la durée d’immobilisation ne peut dépasser
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quelques heures en période de récolte, mais aussi des photocopieurs, des
imprimantes dans d’autres domaines…en ce estimée à partir d’un nombre de
réparations n’aboutissant pas à la résolution d’un problème donné.
7. L’esthétique
L’aspect, le son, le goût, l’odeur, la sensation du produit. L’esthétique représente
ce que le client peut percevoir grâce à ses « cinq sens» : l’aspect, le son, le goût,
l’odeur, la sensation du produit. L’esthétique reflète des préférences individuelles
et donne lieu à des évaluations relativement subjectives par rapport aux autres
dimensions de la qualité. Néanmoins, le classement des produits par les
consommateurs sur la base de l’esthétique obéit à des règles communément
admises.
8. La qualité perçue
L’image, la publicité, la marque du produit. La qualité perçue appelée aussi qualité
a priori repose sur l’idée que les consommateurs ne disposent pas toujours d’une
information complète sur les autres caractéristiques de la qualité des produits et
services. En l’absence de cette information, ils ont ainsi recours à d’autres critères
comme l’image, la publicité et la marque du produit permettant parfois, plus que
l’objet lui-même, de se faire une idée de la qualité. Comme l’esthétique, la qualité
perçue résulte d’évaluations plus subjectives et personnelles que les autres
dimensions de la qualité.
La qualité est un concept concret que l’entreprise peut tout à fait intégrer à tous les
rouages de son organisation :
1. Le temps d’attente
Cette première dimension a trait à l’attente du client à différentes étapes de son
parcours dans l’organisation. Le problème est de savoir combien de temps un client,
un utilisateur, un étudiant… peuvent attendre.
Exemples
Combien de temps un client peut-il attendre sa nouvelle carte bancaire ? Un
enseignement doit commencer à l’heure et se terminer à une heure donnée,
comporter un temps de pause de 10 minutes… En contrôle continu, les étudiants
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souhaitent connaître leur note le plus tôt possible pour pouvoir évaluer leur niveau
de progression, etc.
3. Le respect de la commande
Avec cette troisième dimension, il s’agit de savoir si le client a obtenu tout de ce
qu’il attendait, si tous les éléments de sa commande ont été pris en compte.
4. La courtoisie
La politesse, le respect, la considération, l’amabilité. La courtoisie fait référence à
la politesse, au respect, à la considération, à l’amabilité… du personnel
vis-à-vis du client. L’idée est que les employés en contact avec la clientèle doivent
fournir un accueil agréable à chaque client.
Exemples
Est-ce que le client a reçu un accueil agréable lors de son passage à l’agence pour
l’obtention d’une nouvelle carte bancaire ? Comment ont été accueillis les étudiants
(par l’administration, les professeurs…), comment sont-ils considérés…?
Exemples
Est-ce que tous les éléments de la nouvelle carte bancaire (le code, la
documentation en cas de perte ou de vol, les avantages, les frais d’utilisation…) ont
été transmis au client ? Est-ce que tout ce qui a été prévu dans le programme
d’enseignement a été réalisé ? Le programme d’enseignement va-t-il été respecté à
la fois en termes de contenu, de volume horaire, de répartition entre cours
magistraux, travaux dirigés, travaux pratiques, etc.
5. La cohérence
L’idée est que les services doivent être fournis de la même façon pour chaque client
et de façon constante pour le même client.
6. L’accessibilité
Elle concerne la proximité géographique, les horaires d’ouverture, l’accès physique
(indications, stationnement…), l’accès par Internet… L’idée est que le service doit
être facile à obtenir.
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Exemples
Comment s’est faite la demande de carte ? Par téléphone ? Par Internet ? Est-ce que
les lignes n’étaient pas occupées ? Est-ce que le site de la banque donne
suffisamment d’informations ? Est-ce que les enseignements sont accessibles en
termes de compréhension par les étudiants ? Est-ce que les professeurs sont
disponibles ? Est-ce que les cours sont complétés par des supports pédagogiques
(documentation, vidéo-projection, accès internet…) ?
Exemples
Est-ce que la prestation est la même pour chaque client et dans chaque service de
la banque ? Est-ce que la qualité de l’enseignement est la même d’un groupe de
travaux dirigés à un autre (rythme de l’enseignement, homogénéité dans la
notation…) ? La qualité de l’enseignement est-elle constante, entre le premier et le
dernier cours du module ?
7. L’exactitude
L’idée est que le service doit fonctionner correctement dès la première fois.
8. La réaction
Cette dernière dimension de la qualité du service vise à savoir si le personnel de
service réagit rapidement et résout les problèmes inattendus.
Exemples
Lors d’un problème, il s’agit de connaître le délai de réaction du service concerné
et les réactions des employés. Dans le cas d’un enseignement, il convient de savoir
si l’enseignant répond correctement aux questions des étudiants
b. Leadership
L'objectif de ce principe est de faire en sorte de prendre en compte les besoins de
toutes les parties prenantes pour définir et formaliser une vision prospective claire
de l'organisation en définissant des objectifs motivants. Il s'agit de créer des valeurs
partagées par tous afin de remplacer les craintes éventuelles par une relation de
confiance.
c. Implication du personnel
Il s'agit de faire comprendre à tous les personnels de l'organisme leur rôle et leur
importance dans l'organisation et de fixer avec eux des objectifs motivants tout en
les responsabilisant. Il est notamment important de faire régulièrement un bilan de
compétence et de proposer un plan de formation afin de faire évoluer chacun dans
son métier. A l'inverse, il peut être utile de proposer aux employés de faire un retour
à leur supérieur sur leur manière de manager et sur leur relation de travail. Dans un
tel contexte, chaque personnel sera ainsi plus enclin à améliorer ses compétences
sur la base de buts personnels à atteindre et donc à échanger avec les autres son
expérience et ses connaissances.
4. la certification
De plus en plus de normes sont produites dans le contexte actuel de mondialisation.
Or, comment s’assurer que les normes sont bien appliquées ? Comment rassurer les
clients, les consommateurs, les pouvoirs publics non seulement de la conformité
des produits, des services et des organisations aux normes mais aussi de la
compétence des organismes qui garantissent cette conformité ?
L’essor actuel des certifications et des accréditations va de pair avec la
normalisation croissante. La normalisation vise à produire et diffuser des normes,
la certification à attester de leur respect, et l’accréditation à garantir la compétence
5. Démarche certification
Les principales étapes de la certification sont :
➢ Définition du projet – finalité de la direction
➢ Diagnostic qualité – établir un état des lieux
➢ Création d’une structure de pilotage
➢ Elaboration du plan d’action
➢ Audit à blanc du système
➢ Audit de certification
➢ Amélioration continue
1. Définition du projet
Enjeux :
Organisation interne ? Stratégie commerciale
Stratégie qualité :
Quel est le but de la direction ?
Certification, quel référentiel ?
Délais
Moyens – ressources
2. Diagnostic qualité
Etablir un état des lieux( forces est faiblesses)
Situation de la structure par rapport au but fixé
Niveau de sensibilisation du personnel
Ecart par rapport à un référentiel choisi
Identifier les actions à mettre en œuvre
5. Audit à blanc
Validation complète de la pertinence, de l’adéquation et de la
conformité par rapport au référentiel
Mise en place d’actions d’amélioration
Entraînement pour le personnel
6. L’intérêt de la certification
A B C D E F G
è
Option 1 0 3 0 1 0 0 0 4 6
è
Option 2 3 2 2 0 2 2 3 14 3
è
Option 3 3 2 0 3 2 3 2 15 2
er
Option 4 2 2 3 3 1 2 3 16 1
è
Option 5 0 0 0 0 0 0 0 0 7
è
Option 6 2 1 0 1 2 1 1 8 4
è
Option 7 0 2 0 1 0 1 1 5 6
è
Option 8 1 0 1 2 3 1 0 8 4
3. LA FEUILLE DE RELEVES
a. DEFINITION
C'est un formulaire d'enregistrement méthodique de données, de faits,
d'évènements ou de résultats selon une typologie ou des caractéristiques
déterminées.
Ces résultats sont associés à d'autres critères permettant une classification et une
quantification.
Pots tachetés 03 00 00 00 00 05 08
Présence de moisissure 01 00 00 00 00 00 01
Autres 01 2 00 00 00 00 03
Total 30 14 05 07 05 12 73
La logique des cinq pourquoi est applicable à la logique des cinq comment pour
aboutir à la solution la plus concrète, la plus tangible et donc la plus efficace
a. Définition
Les « 5 M » sont des outils de recherche des causes qui ont généré un problème
b. Objectif
c. Présentation utilisation :
« M » comme méthodes:
e. Description
Le diagramme est un outil utilisé pour réfléchir et représenter les rapports qui
existent entre un effet donné et ses causes potentielles.
L'exploitation de cette loi permet de déterminer les principales causes de pertes à partir d'un historique (pannes, pertes
matières, consommation de pièces, réclamations consommateurs, incidents de sécurité etc...). Il s'agit d'un outil de prise
de décision qui permet de suggérer objectivement un choix d'éléments classés par ordre d'importance
Important: Il ne faut pas chercher de manière systématique à distinguer un 80 / 20 dans le classement des pertes.
La répartition des pertes selon les zones A, B et C doit être logique et regrouper des valeurs selon 3 familles en
retenant les critères suivants:
Zone A: Les sachets ouverts et déchirés sont deux causes de perte qualité de niveaux identiques
et représentent 69 % des plaintes consommateurs. Des actions importantes peuvent être mises en
oeuvre pour les supprimer ou les réduire d'au moins 50 %
Zone B: Lorsque les deux causes principales seront réduites d'au moins 50 %, le problème de
"sachet manquant" deviendra la cause principale. Si des actions simples peuvent améliorer les
plaintes de la zone B, il ne faut pas hésiter à les mettre en oeuvre.
Zone C: Il n'est pas judicieux de perdre du temps à analyser ces sources de réclamations.
Commentaires 2:
Zone A: Le coût de remplacement de l'axe principal représente 79,1% des dépenses en pièces
détachées. Il convient d'étudier sérieusement les possibilités de gain à réaliser sur cette pièce:
consommation abusive, coût de fabrication, conception (matériau, durée de vie ...).
Zone B: Roulements et joints d'étanchéité pèsent respectivement 10 et 8,5% des dépenses.
Comparativement à l'axe principal, il n'est pas justifié de consacrer du temps et de
l'investissement au détriment de la perte principale. Si, par contre, une simple sensibilisation
peut permettre une réduction de consommation, ou des leçons ponctuelles sur les bonnes
pratiques de montage des roulements et des joints, il ne faut pas s'en priver.
Zone C: Les pertes sont négligeables ==> aucune action
Cette méthode :
- Améliore la productivité, l'efficacité et la qualité,
- Diminue les pannes (gravité/fréquence),
- Réduit les pertes de temps (recherche d'un outil …),
- Contribue à l'implication et à la motivation du personnel,
- Inspire confiance et donne une bonne image de l'entreprise,
- Libère de l'espace inutilement utilisé,
- Améliore la sécurité au travail, réduit les risques de pollution et permet au
personnel d'avoir une meilleure qualité de vie au travail.
On peut faire :
- une AMDEC Produit, pour vérifier la conformité d'un produit développé par
rapport aux exigences du client,
- une AMDEC Processus, pour valider la fiabilité du processus de fabrication,
- une AMDEC Moyen, pour vérifier la fiabilité d'un équipement.
Nouvelle conception
« L'Audit Interne est une activité indépendante et objective qui donne à une
organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte
ses conseils pour les améliorer, et contribue à créer de la valeur ajoutée.
Il aide cette organisation à atteindre ses objectifs en évaluant, par une approche
systématique et méthodique, ses processus de management des risques, de
contrôle, et de gouvernement d'entreprise, et en faisant des propositions pour
renforcer leur efficacité »
La valeur ajoutée est :
➢ augmentation des chances de réaliser les objectifs de l’organisation
➢ identification des améliorations possibles sur le plan opérationnel
➢ et/ou réduction de l’exposition aux risques
Le Gouvernement d’entreprise est le dispositif comprenant les processus et les
structures mis en place par le conseil afin d’informer, de diriger, de gérer et de
piloter les activités de l’organisation en vue de réaliser les objectifs.
Le management des risques est un processus visant á identifier, évaluer, gérer et
piloter les événements éventuels et les situations pour fournir une assurance
raisonnable quant á la réalisation des objectifs de l’organisation.
Conclusion