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Le contrat, une fois qu’il est conclu, va produire 2 séries d’effets. On va s’intéresser à ses effets
à l’égard de deux catégories : une première série d’effets extrêmement importante entre les
parties du contrat qui correspond à l’effet obligatoire (tout l’intérêt du contrat pour les
parties), mais le contrat est aussi un évènement qui est susceptible d’affecter les tiers
(modification de l’ordonnancement juridique à travers la conclusion du contrat : Ex : devenir
propriétaire). Par conséquent, il doit aussi être appréhendé par rapport aux tiers. On parle
d’effet relatif.
2 effets fondamentaux du contrat : à l’égard des parties, l’effet obligatoire et à l’égard des tiers,
l’effet relatif.
C’est un élément fondamental car c’est précisément cet effet obligatoire qui permet de
sécuriser l’opération que porte la conclusion du contrat. C’est à travers l’EF que l’opération est
juridiquement sécurisée et donc économiquement efficace (contrat est un instrument de mis
en circulation des biens et des service).
Le contrat, mis au service de cette circulation, voit son efficacité garantie par la loi à travers
l’effet obligatoire qui lui est reconnu.
S’agissant de cet EO, nous avons deux séries d’interrogations à appréhender. La première est la
question du domaine : quel est le périmètre de l’EO ? Et la deuxième est la question de la
mesure de cet EO : qu’est-ce qu’implique cet EO du c ? Comment se traduit-il dans le périmètre
qui est le sien ? Il s’agit de délimiter le domaine de l’EO et d’identifier ensuite la mesure de cet
EO.
§1 : Le domaine de l’effet obligatoire
Ce domaine de l’EO est tri-dimensionnel : il y’a trois facteurs/dimensions attachés à ce
domaine.
Il y’a d’abord une dimension personnelle : c’est qui qui est tenu par cet EO, à qui va-t-on
reprocher de ne pas avoir exécuté le contrat ? A qui va-t-on imposer l’exécution du contrat ?
Ensuite, la dimension matérielle : il s’agit de savoir ce qu’il faut exécuter (on sait qu’il doit être
exécuté) : vendeur d’un bien tenu de livrer le bien ou laisser l’acquéreur venir le chercher ?
Délimitation matérielle.
Enfin, la dimension temporelle : pendant combien de temps/à quel moment le c connait-il son
EO ? Ex : achat d’une montre à un prix donné à exécution instantanée), l’EO se produit en un
trait de temps. Autre ex : louer CC pour 6 mois mais à partir du 1er février (c conclu en
décembre, prendre effet plus tard et temporairement)
Milieu le plus compliqué du droit des c : distinction entre les p et les tiers
X résoudre question de doctrine mais identifier le plus précisément possible ce que sont les
parties
Ce sont les personnes physiques ou morales (mais nécessairement des personnes (sujet de
droit) ayant la capacité juridique) qui y ont consentis mais aussi en qualité de partie au
contrat.
Car il est tout à fait possible que certaines personnes consentement au contrat mais pas en
qualité de partie au contrat.
Ex : contrat de mariage d’un mineur (parents donnent leur accord) : tiers intervenant (sur eux
ne pèseront aucune conséquence contractuelle du mariage : d’assistance, de fidélité etc.
pourtant ils ont participé à l’acte)
Ex : tuteur représentant majeur protégé (consentement mais qui n’est pas le sien : à travers le
sien il exprime celui du majeur protégé) : il consent en qualité de représentant X de partie
(idem pour un mandataire/président d’association/dirigeant de société) – tiers représentant
Ex : acte notarié : notaire exprime son adhésion au contenu de l’acte mais X en qualité de
partie mais en qualité d’officier ministériel (au titre sa fonction d’officier ministériel). L’EO ne
s’applique qu’aux personnes ayant consentis à l’acte en qualité de partie
Par dm, on entend ce dur quoi porte l’EO, à quoi l’une ou l’autre des parties de l’accord s’est
engagé.
A- Le CO
Finesse terminologique : le contenu obligationnel est une partie de cette question de l’EO/pas
tout l’EO.
Comme son nom indique, il va porter sur les obligations mises à la charge des parties dans le
contrat, auquel ils ont souhaité se soumettre
Elle a toujours été au cœur de la question du contrat, donc une des manifestation d el’EO tient
à la soumission des p aux obligations (a priori civil car il est accompagné par des sanctions en
cas d’inexécution)
Comme le contrat repose sur la volonté des p, les o résultant du c sont en pricnipe celles que
les parties ont voulu
Ceci étant, si le consnetement est au centre du c, il y’a un certyain nombre de situations dans
lesquelles ou cette v est contrainte ou sujet à interprétation
3 types de situations dans laquelle la VI des parties va être placée légèrement en retrait :
- Certaines obligations qui sont d’ordre public : c va recevoir une qualification (difficulté
est de s’intéresser à un c abstrait : il y’a seulement des contrat entre particulier), c
déterminé conclu va faire l’objet de dispositions dont certaines sont d’ordre public qui
créent des obligations, les parties seront tenus de les respecter (Ex : contrat de vente :
les parties ne peuvent pas supprimer l’obligation de la délivrance : caractéristique de
l’obligation). EN fonction du type de contrat, il y’a des obligatiosn que les p peuvent ou
pas amménager (loi ne permet pas aux p de l’écarter.
- 2ème facteur d’atténuation de la place de la VI dans les choix des obligations : résultat de
A1194 du CC qui pose que les contrats obligent non seulement à ce qui y est exprimé
mais encore à toutes les suites que leur donne l’équité, l’usage ou la loi. Dispo existait
avant la réforme a permit aux juges de découvrir dans certains contrats des obligations
que les parties n’avaient X expréssement prévu. Le juge va inventer des obligatiosn que
les p n’avait aps expirmé. Certaines d’entre elles sont relayés par la loi (Ex : obligation de
conseil : qui va s’impsoer aux parties) (Ex : oblig de sécurité : contrat avec une station de
ski qui exploite des remontés mécaniques, contrat de sport, si blessure la station est-elle
resposnable ? juge a considéré que oui, elle existe indépendamment des obligations du
contrat, on s’interroge sur la mesure de cette obligation, si les p ne souhaitent pas que
cette obligation soit incluse sous réserve qu’elle soit soumise à certains disposition, X de
clauses abusives)
- 3ème manifestation de la mise en retrait de la V des p : identification de l’intensité de
l’obligation. C’est une quetsion imp : l’intensité des obligations. Il faut dtéerminer si le
débiteur s’est engagé à atteindre un résultat ou s’il s’est simplement engagé à tout
mettre en œuvre pour atteindre un résultat déterminé. 1er cas : on appelle l’o : une
obligation de résultat ‘si X résultat, C X respecté : il y’a inéexécution du c)(Ex : verser
somme d’argent au créancier : c’est une obligation de réusltat), 2ème est o de moyens : le
débiteur ne s’engage X à atteindre le résultat mais tout faire pour l’atteindre (l’absence
d’atteinte du résultat X inexécution, Inexécution : débiteur X msi en œuvre tout dans
son pouvoir pour atteindre le résultat- typiquement l’obligation qui pèse sur un médecin
dans le cadre d’un contrat : généralement X à le guérir mais faiore tout dans son pouvoir
pour aboutir à la guérison : le comportement du débiteur)(dans l’autre cas on se
désinteresse du comportement), quetsion : comment le juge décide qu’une obligation
est une obligation de résultat ou de moyens : la V des P est primordiale, possible de
clairement idnetifier l’objet de l’engagement du débiteur : si X claire, le juge va
raisonner sur la base de l’aléa (X au sens du contrat obligatoire : le juge va chercher à
déterminer si le résultat présente ou X un degré important d’incertitude : est ce que
raisonnablement on peut attendre du débiteur qu’il atteigne le résulotat ou y’a-t-il trop
d’incertitude autour du résultat et il faut se contenter des moyens mis en œuvre) (Ex :
somme d’argent : rien de difficile dan sl’atteinte de résultat) (Ex : difficulté d’obtenir la
guérison justifie qu’elle demeure au stade de l’obligation des moyens) (autres
circonstance : X toujours évidente : contrat avec une station de ski qui s’ets engagé à
transporter : obligation de sécruité sur l’exploitant : obligation de résultat ou de
moyens : une fois que le skiieur a emprunté la remontée mécanique (télésiège) :
obligation de résultat mais si l’incident intervient lors de la montée ou descente du
télésiège : lui qui se positionne : obligation de moyens, l’obligation de moyens peut être
constitué de résultat – loi ne parle X de distinction – jurisprudnece grâce à la doctrine de
DEMOGUE
Depuis la réforme, les choses ont été simplifié au moins dans la désignation de cette vocation
du contrat à opérer un trasnfert de propriété : la loi évoque expréssement cette notion d’effet
réel lié à son caractère obligatoire mais différent des effets obligationnels du contrat
Avant 2016 : une trilogie qui était contenu dans la définition même du contrat : convention
particulière qui créait l’obligation de faire ou ne pas faire quelque chose : l’obligation de donner
consistait dans le trasnfert de propriété `
Abandonnée en 2016 : la doctrine avait montré qu’en réalité l’obligation de donne rn’était rien
d’autre qu’un effet automatique du contrat donc il s’agissait plus d’un effet automatique du c
que l’exécution d’une obligation (le mythe de l’obligation de donner )
Tt c ne s’inzscrit X nécessairement dans la durée : tout contrat n’a pas une durée
C à exécution successive : c dont les obligations principales s’exécutent de manière étalée dans
le temps (Ex : c de location :
S2 : La mesure de l’EO
Comment se tradiuit cet EO ?
I- L’immutabilité du contrat
Immuable = qui ne bouge pas
Principe d’immutabilité : X dire que le c ne peut X évoluer : faire évoluer l’accord (Ex :
prorogation) permit grâce à la liberté contractuelle : modifier c comme les p l’entendent
Cela signifie que les partie sne peuvent X le modifier seul/unilatéralmeent = inexécution (Ex : c à
durée indeterminé : cesser exécution – posisble car interdiction des engagements pérpétuels)
Faut siganler la situation au juge : en DC le juge est tenu de respecter l’EO du contrat (principe :
X pouvoir de modifier le contrat (intervention renforcée par la réforme : atténuation : délai de
paiement : dépasse le contrat : modification du jeu contractuel)
Mutuus dissensus
Juge va pouvoir soit réviser le c soit y mettre fin à la date et aux conditiosn qu’il fixe
Quand le débiteur au titre de son contrat n’explique X la possible mise en jeu des mécanismes
qui vont corriger ce qui est une anormalité : extinction des
A1217 du Code Civil donne une liste de 5 sanctions possibles : la partie envers laquelle
l’engagement n’a pas été exécuté pou imparfaitement peut refuser d’exécuter ou suspendre
l’exécution (l’exception d’inexécution) /poursuivre exécution
5 sanctions
Une sanction temporaire : suspension de l’exécution de ses propres exécutions qui est
temporaire (moyen de pression qui doit se dénouer : soit par l’obtention de ce qu’on attend
soit la rupture du contrat)
Il s’agit d’un mécanisme de justice privée : décider sans intervention du juge (moyen de
contrainte qui ne suppose pas d’intervention judiciaire
Réforme n’a fait que consacrer ce qui était admit antérieurement : allé un peu plus loin
Ex : il sait que les marchandises promises, il ne les a pas en main donc je suspends le paiement
du prix
X né »cessaire de subir l’EI, il peut réagir en saisissant le juge généralement pour demander une
sanction de l’inexécution du contrat
Sanctions portant sur le contrat à caractère objectif et d’autres sur le débiteur (subjectif)
3 modalités :
- La résolution judiciaire : A1217 : résulte d’une décision de justice : porte sur une
obligation importante du contrat et que le manquement soit suffisamment important
- La mise en œuvre d’une clause résolutoire : stipulation prévoyant résolution du c en cas
d’inexécution : intérêt de la CR c’est qu’elle prive le juge de tout pouvoir d’appréciation
de la gravité de l’exécution : le juge ne pourrait que constater que l’inexécution est
consommée : parties sont maîtres – unilatérale dans son déclenchement X sa source –
A1225
- 3ème modalité de résolution : résolution unilatéral au risque du créancier :
extrajudiciaire : consécration de la jurisprudence : de la Cdc qui avait admis qu’en cas d’I
suffisamment grâve le créancier puisse unilatéralement mettre fin au contrat : A1226 :
créancier peut à ses risques et périls résoudre le contrat par voie de notification/sauf
urgence il doit préalablement mettre en demeure le débiteur de s’exécuter dans un
délai raisonnable – si insuffisamment grave : se place en situation d’inexécution du
contrat pour l’avenir – effet rétroactif de la résolution reconnu comme principe avant
2016 pose des difficultés – on parle X de rétroactivité mais CC prévoit que la date de
l’effet de la résolution peut être la date à laquelle le c n’a plus été exécuté : susceptible
de devoir restituer ce qui a été versé : la réduction du prix : une nouveauté/inattendu :
A1223 : après une mise en demeure, le créancier insatisfait peut procéder à une
réduction du prix du contrat/demander au juge de réduire le p du contrat –
potentiellement contentieuse – X beaucoup de décision sur cette question – voilà pour
les sanction civiles
Maintien du contrat
Dernière sanction subjective : la responsabilité civile contractuelle : qui peut se cumuler avec
toutes les autres : réparer préjudices résultant de l’inexécution
2 règles particulières :
- En principe : mise en demeure : sommation du débiteur de s’exécuter (ex : mise en
demeure
- Seul le dommage prévisible est indemnisable (tenu des conséquences de son
inexécution qu’il était en mesure de prévoir) X toute
Vigilant : si les tiers ne peuvent pas se voir imposer l’exécution du contrat, X totalement ignorer
son existence, c’est un évènement réel
2 années :
2ème année : première partie du DdO (sources + régime général de l’obligation)
1er livre : source des obligations
1ère partie : source volontaire
On va s’intéresser aux sources involontaires des obligations : évènements qui vont générer des
obligations (même définition) sans que les parties n’aient manifesté leur volonté de créer une
telle obligation
Typiquement, le paiement indu consiste pour une pers à avoir payé ce qu’elle ne devait pas.
Soit qu’elle pensait être tenu à l’égard d’une pers, soit qu’elle était effectivement tenue mais
n’a pas payé le bon créancier.
L’avantage est perçu par celui qui reçoit le paiement, ce qui est un avantage illégitime (soit X
créancier, soit X bonne personne). La réponse, l’objectif de rééquilibrage va être atteint par le
mécanisme du quasi-contrat.
On parle de QC pour des raisons historiques (locution latine mal tarduite).
Une des personnes va devoir restituer ce qu’il a indûment reçu, on va procéder à des
restitutions pour équilibrer l’opération.
Compte tenu que c’est une source importante d’obligations mais très largement derrière la
responsabilité civile extracontractuelle.
Objectif est d’opérer un rééquilibrage en raiosn d’un déséquilibre illégitime, mais elle va avoir
pour objet à la différence des quasi-contrats de corriger un déséquilibre généré par un
dommage injustement causé/infligé
Éléments d’introduction
Premier temps dédié aux éléments de définitions puis des réflexions sur les fondements de la
RCE
Définition et distinction
Précision : RCE, c’est la terminologie qui domine actuellement, mais on trouve également
désigné ce mécanisme par RC délictuel ou quasi-délictuel
Désignation plus exacte : RC extracontractuel car RC délictuel fait référence (si on est
rigoureux) à la RC qui résulte d’une faute intentionnelle et la RQD fait habituellement référence
à la responsabilité découlant d’une faute involontaire (d’imprudence ou de négligence)
Ce qu’on retrouve à A1240 l’ancien A1382 et 1383 (responsabilité pour faute intentionnelle) et
A1241 (par imprudence ou négligence) du CC
Désignation partielle d’un mécanisme plus général. Plus pertinent de parler de RCE.
De cette définition générale, on a 2 éléments qui émergent : le premier est l’objet de la RCE. Ça
sert à quelque chose : un mot qui revient souvent : la réparation. Elle est faite pour réparer des
dommages/préjudices causé injustement à autrui. Cet élément est particulièrement important
en ce qu’il distingue la RC de la responsabilité pénale.
C’est à partir de la RF que les deux sont distingués clairement. Si la distinction est extrêmement
claire, l’idée de sanction ou de punition n’a pas totalement disparu du droit de la
responsabilité civile.
Le deuxième élément qui résulte de la définition générale de la RCE : il s’agit d’un mécanisme
qui répare un dommage subit en dehors de l’inexécution d’un contrat auquel la victime est
partie.
Lorsqu’une personne subit un dommage en raison de l’inexécution d’un contrat auquel elle est
partie : RCC
SI la victime d’un dommage est partie à un contrat et son dommage est le résultat de
l’inexécution du contrat : elle doit obligatoirement se placer sur le fondement de la RCC
Cette répartition des champs de compétence est désignée par une expression : le principe de
non-cumul des responsabilités.
En réalité, c’est plutôt un principe de non-option : si le champ de la RC alors on est soumis à son
régime, sinon il faut utiliser les principes de la RCE
Sous réserve de régimes spéciaux/monistes ; c’est-à-dire des régimes qui s’appliquent sans
distinction des victimes liés aux responsables (accidents de la circulation)
Fondements
Question de savoir pourquoi le système juridique va imposer à l’auteur d’un dommage d’en
assumer les conséquences
Dans cette approche, on laisse les victimes de dommages qui n’ont X d’origine dans la faute
d’un tiers sans réparation
Pendant un temps, jusqu’à la fin du XIXème siècle, cette approche a été considéré comme
satisfaisante
Fin du XIXème siècle : on entre en Europe occidentale dans une période de la révolution
industrielle va produire pleinement ses effets et en particulier une multiplication des sources de
dommages et un accroissement extrêmement fort de ces dommages et aggravation de ces
dommages
Si l’auteur des dommages doit en assumer la charge, ce n’est pas X il s’est mal comporté mais
car à travers son activité il a généré un risque pour autrui
XXème siècle : bagage : coexistence de la faute et du risque (de provoquer dommage à des
tiers)
Certain nombre d’analyses plus modernes dites renouvelés de la RC ont été élaboré avec plus
au moins de succès
XXème siècle : auteurs qui vont développer des théories qui pour les unes tendent à orienter la
responsabilité civile dans des directions souhaités mais X toujours conforme à l’état du droit
positif et parfois des théories qui ont eu vocation d’expliquer l’état du droit positif de la
responsabilité
3 théories :
- Théorie de la précaution qui s’inscrit dans le prolongement du risque : Théorie très lié
aux questions de droit de l’environnement : idée de faire jouer à la RC en reprochant
l’absence d’adoption de mesure effective et approprié visant à prévenir un risque de
dommage grave et irréversible/Fondement de la précaution devrait permettre avant
même la réalisation du dommage d’imposer l’adoption d’un comportement déterminé,
cela conduit à utiliser la responsabilité non pas pour réparer mais prévenir la
réalisation d’un dommage/ certains nombres de traductions en droit positif, X dire
aujourd’hui que la responsabilité civile ait été orienté dans le sens de cette nouvelle
fonction : trop une distance
- Garantie : repose sur un renversement des perspectives : dans les approches tard
faute/risque on est du côté du responsable : on va modifier l’appréhension des choses,
on se place du côté de la victime : s’il y’a une victime : atteinte aux biens ou personne
de la victime il convient de l’indemniser : neutralisation du fait générateur (passe au
second plan) pour se focaliser sur le préjudice appart certains régimes particuliers
- Autorité : Théorie qui a été développé à la fin du XXème siècle par Noël DEJEAN DE LA
BÂTIE : permet de faire la synthèse : responsabilité c’est la rançon de l’autorité; si on est
responsable c’est parce que l’on est libre car on agit de sa propre autorité et à partir
du moment où le dommage intervient dans la sphère d’autorité de leur auteur cet
auteur doit être désigné comme responsable indépendamment de la question de
savoir s’il a commis une faute – X condamnation de l’approche de la faute- approche
permet d’englober les hypothèses de responsabilité sans faute ) aujourd’hui
l’explication la plus synthétique des solution que le droit positif retient pour déterminer
si une personne est responsable pou pas/synthèse savante du fondement de la faute et
du risque (critère commun : autorité)
Quels conditions l’auteur sera désigné comme responsable, si conditions remplies, deuxième
condition : se posera la question de la mise en œuvre de la responsabilité
2 sous titres :
Conditions de la responsabilité
Mise en œuvre de la responsabilité
Tout fait
3 éléments :
- Dommage ou préjudice : car objet de responsabilité est de réparer donc si pas
dommage rien à réparer et x de responsabilité (X toujours en responsabilité pénale)
- Fait générateur/évènement : dans cet article c’est la faute/faute doit causer dommage :
fait générateur peut être une faute ou évènement déconnecté de toute idée de faute
mais il faudra un fait général
- Lien de cause à effet entre le fait générateur et le dommage : lien de causalité : rapport
causal suffisant entre le fait générateur et le dommage
On commence par la condition qui constitue l’élément le plus logique à traiter en premier : le
dommage (X dommage, X de réparation possible)
Lutter contre tendance à considérer que s’il y’a une victime, il y’a un responsable. Pour qu’un
d/p donne lieu à une obligation de réparation, il faudra impérativement s’assurer que ce d
présente un lien de causalité avec un des faits générateurs.
Ex : création d’une entreprise qui va faire concurrence à un exploitant qui exerce déjà comme la
distribution de vêtements. Boutique à côté d’une boutique. Si ça marche bien, on pique de la
clientèle du voisin : atteinte à son fonds de commerce. Or ce dommage est le résultat d’une
concurrence loyale et licite, il n’appellera aucune indemnisation.
Puisque le dommage est indispensable, il faudra s’assurer qu’il existe mais aussi qu’il présente
les caractéristiques faisant de lui un dommage réparable. 2 exigences : dommage + caractère
indemnisable
Cette déf présente un caractère général qui appelle donc à un certain nombre de précisions.
Dans cette approche, nous avons une première possibilité qui est une approche classique de
cette classification qui consiste à distinguer entre les dommages matériels, corporels et moraux
(X distinction entre d et p)
Elle tient aujourd’hui à être remplacé par une classification plus moderne distinguant entre d
et p
Préférence pour l’approche moderne : plus clair mais c’est une question qui demeure discuté :
X de reproche si on se fonde sur la classification classique
§1 : La classification classique
I- Le dommage matériel
Il consiste en une atteinte aux biens de la victime
Cette A peut se manifester de 2 manières : il peut s’agir d’une perte (damnum emergens). Dans
ce cas, l’atteinte va se traduire par une diminution du patrimoine de la V à cause du D l’actif
patrimonial pèse moins lourd (Ex : ordinateur portable est détruit). C’est une perte éprouvée
Il y’a aussi le manque à gagner (lucrum cessans/gains qui cessent) : le mouvement va être
différent : patrimoine de la victime ne diminue X mais il va être privé d’une augmentation
(Ex : commerçant exploitant activité dans un local et une personne met le feu à ce local : il
y’aura des DM que va subir le commerçant : destruction du local, marchandises, équipements,
c’est de la perte éprouvée mais il va aussi subir un manque à gagner : fait générateur va
l’empêcher d’exercer son activité)
Distinction a pour objectif de délimiter l’étendu des dm qui peuvent être indemnisé
SI ordi endommagé : perte de valeur est indemnisable donc peu importe l’espèce : soit
diminution de valeur soit empêchement d’augmenter le patrimoine (donc si ordinateur se
répare est on est empêché, on peut demander deuxième indemnisation)
Perte éprouvée : qu’ai-je perdu
Manque à gagner : qu’ai-je pas gagné ?
II – Le dommage moral
Il s’est construit par opposition au D matériel. Là où le Dma consiste en une atteinte aux
intérêts patrimoniaux, le DM consiste en une atteinte aux intérêts extrapatrimoniaux
Mais il en également ainsi des atteintes aux sentiments d’affection, en particulier en cas de
dommage subit par un proche.
Pendant un temps, ces dommages moraux n’étaient X indemnisables car il était considéré que
faute de valeur patrimoniale, ces dommages ne pouvaient X être évalué (par nature hors du
patrimoine/X de valeur pécuniaire) et par conséquent X réparé.
Ex : si un tiers porte atteinte à la vie privée, quelle est la valeur des conséquences de cette
atteinte/c’est un sentiment d’intrusion dans la sphère privée
Est-il possible pour un juge de fixer un montant pour chaque DM ? Interdiction des arrêts de
règlements (A5)
Cdc a déjà censuré les juges de fond pour avoir barémisé certains postes préjudice/dommage.
Pourquoi ? certains plaideurs/requérants vont demander à être indemnisé pour des dommages
dont le juge n’est pas toujours certains qu’ils sont ou ne sont pas indemnisables
L’une des dernières questions portées à la Cdc pour savoir si une atteinte constitue un DM : la
question du dommage résultant du fait d’être né. L’existence peut-il constituer un dommage ?
Arrêt PERRUCHE, 2000, AP : même si jurisprudence est rendu par la Cdc, c’est un arrêt
Femme enceinte qui a des boutons qui suggèrent la rubéole qui est dangereuse pour le fétu
(analyses sont négatives : X de rubéole), la mère avait dit que si elle atteinte de rubéole elle
aurait avorté. Elle garde l’enfant.
Il né très lourdement handicapé. Les parents vont agir en responsabilité contre le laboratoire et
le médecin en indemnisant leur propre préjudice ainsi qu’en indemnisant l’enfant pour être né
handicapé.
SI le médecin n’avait pas commis d’erreur, l’enfant n’aurait été né. Je vous reproche d’avoir
permis ma naissance. X la faute du médecin, c’est la maladie.
Derrière cette question, se cache une hiérarchie : naître handicapé est-ce un préjudice ?
Est-ce que certaines naissances sont constitutives d’un préjudice ? Elle va admettre
l’indemnisation de l’enfant. L’enfant reproche d’avoir empêché sa mère d’avoir exercé son droit
à l’avortement.
Le législateur a réglé la question très vite de manière ferme : loi du 4 mars 2002 : AL-114-5 du
Code de l’action sociale et des familles : nul ne peut se prévaloir d’un préjudice du seul fait de
sa naissance.
Idem : enfant né sain mais reproche au test de grossesse qui était faux et a empêché sa mère
d’avorter
A y regarder de plus près, le DC va regrouper les deux catégories précédentes : il s’agit d’un D
complexe à cet égard. C’est un dommage mixte/composite.
D’abord le dommage matériel car le DC est susceptible de générer des pertes (Ex : engager des
frais médicaux) ou générer un manque à gagner (Ex : X travailler pendant un certain temps)
Ils ont un impact patrimonial mais aussi extrapatrimonial : pretium doloris (prix de la douleur).
Plan différent des deux précédents : on s’est intéressé à l’objet de l’atteinte, dans le DC on
constate d’abord l’atteinte au corps qui va déclencher l’indemnisation de d subséquents de
nature matériel ou morale.
C’est ce qui explique le renouvellement de la présentation des d qui reposer sur al distinction
entre d et p
La proposition de loi portant réforme du droit de la RC envisage de poser la règle suivante : est
réparable tout préjudice certain résultant d’un dommage (préjudice est appréhendé en tant
que conséquence du D), est consistant en la lésion (atteinte) d’un intérêt licite, patrimonial ou
extrapatrimonial
Ceci permet une approche beaucoup plus fine de situations qu’on rencontre : à certains égard
ça ne change pas grand-chose (Ex : dommage corporel va avoir deux séries de conséquences, il
est à cheval entre les deux premières catégories), l’affaire du cheval Lunus. Cette affaire date de
1962 : mort est le résultat du comportement fautif d’un tiers.
Dans la nouvelle analyse : le dommage est la mort du cheval et le préjudice est la diminution du
patrimoine
La propriétaire demandait aussi une indemnisation pour la peine ressentit pour avoir perdu son
cheval. La Cdc va indemniser ce préjudice extrapatrimonial lié à une atteinte au patrimoine
Approche permet non pas de renouveler les solutions, mais perspective plus progressive
(dommage puis conséquences patrimoniales et extrapatrimoniale), on traduit de manière plus
précise les manières dont les droits de la victime seront évalués
Placer les trois sur le même plan alors qu’un dommage corporel peut avoir pour conséquence
les deux autres dommages (manque de nuance)
Distinction D/P explique comment les trois peuvent se trouver sur le même plan
Il faudra non seulement que le D soit caractérisé mais qu’il présent un certain nombre de
caractères le rendant indemnisables
D’abord le P doit être certain, ensuite il doit être personnel, encore il doit être légitime, il ne
doit pas être déjà été indemnisé et enfin il doit être direct
Ces caractères mériteront d’être vérifié avant de conclure à l’existence d’une obligation de
réparation
§1 : Un préjudice certain
A l’heure actuelle, les textes relatives à la RCE (A1240 et A1241 : sans faute/A1242 : X
responsabilité sans faute, du fait des choses et du fait d’autrui)
Le caractère certain du préjudice n’apparait pas expressément. Mais, la jurisprudence est assez
ferme sur cette question : il ne fait pas de doute. Un p qui ne fait pas de doute peut recouvrir
deux hypothèses
La première est celle du préjudice actuel : actuellement subis par la victime, mais ça peut
également être un préjudice futur : X encore subit par la victime mais qui le sera de manière
certaine à l’avenir.
Ex : dommage corporel subis par la victime qui engage des dépenses pour des soins (préjudice
patrimonial : perte éprouvé actuel), mais si ses capacités de travail sont réduites de manière
définitives ou de manière temporaire, elle subit un préjudice lié à un manque à gagner car elle
ne pourra pas exercer sa profession dans l’avenir, la perte de revenu n’est pas actuel, pas
encore éprouvé les conséquences de la perte de revenu, elle va la subir de manière progressive
mais elle la subira de manière certaine. Par conséquent, il sera immédiatement indemnisable.
Le juge évaluera ce préjudice en se projetant dans l’avenir.
Le préjudice éventuel n’est pas indemnisable : c’est le p qui est probable/possible sans être
inéluctable/certain.
Ex : compagnie d’électricité installe des lignes à haute tension au-dessus d’un terrain. Cette
situation va générer un risque d’incendie : si l’incendie se déclenche (il y’aura un dommage
matériel), si l’incendie est potentiel il n’y aura pas de mise en jeu de la responsabilité
Le préjudice n’est qu’éventuel. Ceci étant il y’a des situations dans lesquelles la distinction entre
p futur/éventuel n’est pas aisé
X dans cette analyse demander indemnisation à l’auteur de l’accident pour le fait d’avoir raté
cet examen car la réussite était incertaine
Mais j : on a été privé à cause du conducteur c’est d’une chance de réussir l’examen
La perte de chance constitue un préjudice indemnisable (Cdc : « un p peut être invoqué dès lors
qu’une chance existait et qu’elle a été perdu », perte de chance X le résultat attendu par la
victime)
Ex : échec à un concours : le fait de ne pas réussir le concours s’évalue à 100, la perte de chance
s’évalue nécessairement en dessous de 100 sous l’appréciation du juge en fonction de la
probabilité d’atteinte du résultat.
Ce po doit être mesuré à la c perdu et ne peut être égal à l’avantage qu’aurait procuré cette
chance si elle s’était réalisée
Victime ne peut demander réparation que des préjudices qu’elle subit personnellement
C’est le principe
Ex : victime décède (dommage corporel), préjudice patrimonial (frais engagés pour la voictime :
il y’a des héritiers
Caractère personnel du p ne s
Ex : parents subissent un préjudice (douleur) si enfant décède, lié à un préjudice initialement lié
à leur enfant (demander indemnisation d’un préjudice qui lui est personnel)
Condition : doivent être certain et aussi qu’il existe des liens suffisamment proche ou forts
entre la victime et celle de ricochet
Mais la jurisprudence tient parfois compte de la situation de la v pour lui refuser tout droit à
indem en raison de l’illégitimité ou caractère illégitime de l’intérêt dont elle recherche la
protection
Ex : victime se plaint d’un dommage corporel entrainant une perte de revenu professionnel (si
l’activité dont la victime se plaint de la cession est une activité dissimulée ou illicite) : préjudice
est certain mais X légitime
Argument à caractère moral : intérêt dont on recherche la protection n’est pas digne de
protection
Époque : le concubinage était considéré comme situation anormale et s’est tarduit par un rejet
de préjudice extrapatrimonial/d’indemnisation du fait du décès de son partenaire (années 60)
S’ils subsisent un dommage corporel à l’occasion du transport dont ils sont les usagers
illégitime : la Cdc refuse de les priver de tout droit d’indemnisation sur le fodnement de
l’intérêt lésé
Situation irrégulière mineure, quand l’irrégularité ets msie en balance avec la gravité des
dommages corporels
Question est de savoir : comment le prjéudice peut être déjà indemnisé avant même que le
responsable soit intervenu
Situation plus fréquente : soit un assureur, soit une caisse de SS est intervenu pour indemniser
la victime
Caisse de SS : mécanisme d’assurance sociale : de couverture sociale très large (santé, accident
de travail, maternité, chômage) : couverture des dommages corporel : subir un accident
corporel :
Autres situations : pluralité de responsables qui ont participé le même dommage (2 perosnnes
tabassent une eprsonne)
Règle : obligation de réparation in solidum (solidarité qui ne dit X son nom : les obligations
conjointes c’est-à-dire qui ont le seul et même objet/débiteur, c’est celui de la division : cahque
débiteur est tenu pour sa part sauf obligation solidaire et dans ce cas la le créanceir peut
demander le tout à chacun des débiteurs (ex : professeur massacré par étudiants, 2 débitrices,
demander à chacune sa part dans la dette, chaque part peut varier, et lorsqu’on a une
obligation eyt plsuieurs débiteurs (sauf solidarité)
§5 : Un préjudice direct
Tout préjudice lié à un fait générateur n’est X indemnisable : pour l’être, il faut que le préjudice
présente un rapport suffisamment direct avec le fait générateur
Il est fait référence à la troisième condition de resposnabilité : le mlien de causalité qui ets le
rapport au sens juridique entre le fait générateur et la production du dommage
X le caractère direct soit un direct autonome du lien de causalité (examen de cette question
dans le 3ème chapitre)
Encore faut-il que ce préjudice trouve son origine dans un fait générateur
Mais fait égénrateur au sens juridique : il faudra systématiquement savori si cette situation
correspond à l’un des faist égénrateurs prévus par la loi, sinon X de resposnabilité
Risque X fait généarteur (recherche doctrinale) : fondement utilisé pour justifier des évolutions
de la RC vers des systèmes de responsabilité sans faute (responsbailité du fait des choses), X
aêtre confondu avec les trois catégories
Fondements = explications
Catégories = conditions
Sec 1 : Le fait personnel : la faute
1240 et 1241 dont le contenu n’a pas changé avec la réforme de 2016 (modifié numérotation
des articles de la responsabilité civile) : ancien A1382 et 1383 du CC
D’une manière gén, A1240 du CC fait référence à ce qu’on appelle la responsbailité délictuel ou
encore la resp pour faute intentionnel : « tout faite quelconque de l’h qui cause à autrui un d,
oblige celui par alquelle
A1241 : « chacun est res du d qu’il a causé non suelement par son fait (visé à A1240) mais
encore par sa négligence ou par son imprudenvce
Dans l’esprit des rédacteurs du CC, il y’a deux types de faute : la faute intentionnel mais aussi la
faute (moins grave)
On cosntate que quelque soit la gravité de la faute (inténtionnelle ou pas), le CC lui fait produire
les mêmes conséquences
Cela montre que la distinbction entre FI et FNI et aujourd’hui dépassé puisque toute faute
quelquel soit sera susceptible d’engager la res de son auteur
Identifier les caractères de la faute (à partir de quand est elle caractérisé) et puis se pencher sur
els doifférentes manifestation de cette faute dans lesquelles prendront rang ces deux catégorirs
de faute
En revanche, dans cette définition ne trouve pas place de référence à un élément moral (état
d’esprit de l’auteur sur la faute)
Ceci étant quand bien même l’EM serait caractérisé, il y’a une porte de sortie pouyr l’auteur en
parvenant à faire disqualifier le comportement qu’il a adopté en ce qu’il va être a priori dans la
faute mais sera en mesure d’invoquer une circonstance qui va faire basculer dans la sphère de
ce qui est toléré, un comportement fautif.
Un fait justificatif
Tiers X déclencher l’application des remèdes à l’exzcution du contrat (effet relatif) mzid un tierd
sur le -terrain de la res extra peut prétendre que l’un des cocntractants a a commit une faut à
son égard
Dès lors qui »’l y’a rupture avce le comportement d’un invivosu
Pendnant très longtemsp, il étair zadmit que pour engager ka de sg, cette fait elui devait être
r^roché
Conséqunece= : seul une pers doté d(un discernement)pouvait e voir imputé une faute
Pothier (XVIIème) : que les pers qjui ont l’usage de la raiskn qui sont compables d déli ou quask-
déli car celles X raisonabe- ; X de d’ malignité X de prudence
Solution s’est modifié à l’agard des deux caégories de personnes : incensées, et les enfants
Ça a acommencé avec les alliénés
En 1968, une loi du 3 janvier a posédans le CC un texte (414-3) : celui qui a causé un d à autrui
alorq au’il étais sousq L’empire d’un t mental, n’en est pas moins i ligé
9 mai 1984 ; la Cdc va adopter la m^zm solutrion à l’égard d’ub lineur : l’infance
La juroprudence raisonnanit sur cette capacité de discernement : à partir de quel age un mineur
est capable de discernement : l’age de raison
Fixé à 7 ans
Ex : enfant de 2 ans introduit une paire de ciseaux dans une prise électrique ce qui déclenche
un incendie
Il reste la possibilité pour celui ayant adopté le comportement la possibilité de se prévaloir d’un
motif légitime
Ils faut les manier avce de la prudence en RCE car ils constituent une importation des règles du
droit pénal
X nécessairement de réponse
4 faits :
- Faits extérieurs aux personnes impliqués dans la situation
- Faits tenant au comportement de la victime
S’il a adopté ce comportement, c’est parce qu’il a été soumis à des circonstances extérieures
2 types :
- L’ordre ou la permission de la loi : personne qui répond à une prescription légale ou
réglementaire X fautive – règle trouve un prolongement dans ce qu’on appelle le
commandement de l’autorité légitime : lorsqu’un sujet adopte un comportement en
réponse à un ordre émanant d’un autorité publique et compétente – ce comportement
X fautif sous réserve sous l’ordre ne soit pas manifestement illégal (Ex : forces de police
impose de passer avec le véhicule sur une partie de terrain appartenant à une personne
privée et on endommage ce terrain en passant – si on le fait sur la base d’un ordre de
l’autorité compétente -
- L’état de nécessité : situation dans laquelle l’auteur de la faute va réagir à un danger
actuel ou imminent qui le menace lui-même ou un tiers en accomplissant un acte
nécessaire à la sauvegarde de la personne ou du bien à conditio. Qu’elle soit
proportionnée à la gravité de la menace (Ex : détruire un bien appartenant à autrui ce
qui est objectivement une faute, mais si ce comportement délibéré s’explique par la
volonté de se soustraire ous oustrair eun tiers à un danger – il ne sera pas qualifié de
fautif (proportion : atteinte corporel pour empêcher un dommage matériel)
B- Le comportement de la victime
Légitime défense et du consentement
LD : CELUI QUI FAOIT L’OBJET D’UNE ATTAQUE injuste et que la riposte nécessaire est
proprotionné à cette attaque on ne sera pas responsable des conséquences de la riposte
Le consentement de la victime
Si la victime aitorise l’auteur des dommages à les causer, elle ne peut pas ensuite engager sa
responsbailité
Atteinte au corps même autorisé par la victime, demeure a priori un comportement fautif sauf
règles applicables dans le cadre des soins
Traduction particulière dans l’acceptation des risques : notion à laquelle la jurisprudence fait
référence (compétition sportive en particulier) et d’ailleurs plus que dans ce contexte en
cosnidérant que lorsque l’atteinte à la victime intervient dans une compétition sportive et sous
respect des r !gles du jeu, X de faute : raison : la victile en a accepté les risques (ex : karaté)
Commission : faute consiste à commettre un acte positif en violation d’une règle légale
Omission/abstention : X agir/ loi impose d’agir et pas le faire (Ex : non-assistance à une
personne en danger)
Abus de droit : admit que l’exerce d’un droit peut dégénérer en comportement fautif
Droit de propriété (arrêt CLEMENT BAYARD : propriétaire a erigé sur un bout de son terrain des
caisses surmontés de piques 16 m d ehaut qui servaient à rien mais creuvaient les ballons
dirigeable) (fondleent d el’abus de droit X très claire : critère dans l’affaire CB c’est l’intention
de nuire, assouplissement en cosnidérant que constitue un abus de droit mais aussi le droite
xercé avec légerté : on bascule vers la faute non-intentionnelle/d’agir en justice