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Droit Civil I

23/09/2021

Bibliographie:

-Alain Benabent: Les obligations

-Bertrand Fages: Droit des obligations

-Le précis Dalloz : Francois Théret et Yves Lequette

-Jean carbonnier: Droit Civil Les obligations

Denis.mazeaud1@gmail.com

Introduction :

1§ La notion d'obligation

L'obligation est un lien de droit crée par la volonté de plusieurs personnes ou alors
imposé par la loi en raison d'un fait juridique dans deux grands cas de figures: Un
domlage causé a autrui ou alors la loi impose une obligation a une personne en cas
d'avantage induement reçu d'autrui.

L'obligation constitue un lien entre plusieurs personnes et dispose d'un pouvoir de


contrainte dont le créancier est doté sur le patrimoine du débiteur. Cela permet au
créancier d'exiger l'execution de la prestation.

L'O constitue aussi une valeure patrimoniale qui en tant que valeure patrimoniale
dispose d'une certaine autonimies a l'encontre du débiteur et du créancier. L'O
peut alors constituer l'objet d'une opération juridique (transformation,
transmission, extinction etc...).

2§ Les classification des obligations

A. Classification des obligations selons leur sources.

Les sources potentielle : Sont la volonté, les actes juridiques (Le contrat). Elle peut
avoir pour source la loi (soit pour répararer un dommage cf responsabilité civil;
soit pour compenser un avantage reçu d'autrui)

Ou alors elle peut etre imposer simplement par la loi.

B. Classification selon leur objets

3 O en fonction de leur objets : Celle donnée soit transmettre qqchose; L'O de faire
et L'O de ne pas faire.

C. Classification selon leur nature

L'O civile se distingue par une action et une sanction. L'O naturel n'as pour source
qu'une seule personne et sa morale. Ce dernier se sent obligé de l'executer: Dés
lors il n'y a pas de sanction juridique a l'inexecution. L'O naturelle n'est pas
toujours une obligation morale uniquemenent : Les promesse faite par un débiteur
d'une O naturelle ont pour effet de transformer l'O naturelle en O civile.

D. Classification selon leur intensité

Rene Demogue a proposé de distingué l'O de résultat de celle de moyen. Le


débiteur d'une obligation de résultat doit délivrer un resultat propre mais le
débiteur d'une O de moyen doit fournir tous les moyens possible pour s'executer.
Dans ces cas la le débiteur doit apporter la preuve que son inexecution est due a
un cas de Force majeure (FM). La responsabilité d'une O de résultat est sans faute
alors que celle de moyen est avec faute. Quid des criteres de distinction ?

Le premier critere est la place de l'aléa dans la prestation, le second critere est la
place actif du débiteur.

3§ Les sources du droit des obligations

A. Les sources interne

Le droit des obligation tire majoritairement sa source des lois ou alors de la


jurisprudence. Avant la réforme de 2016, la CA a etait la source du droit des
obligations.

La doctrine est aussi une source d'inspiration et d'évolution fondamentale pour le


droit des obligations. Saleille et Joserand sont deux auteures ayant inspiré la CA
pour la création de la responsabilité du fait des choses. André Tinque a était la
source d'inspiration d'une loi relative a l'indemenisation des accidenté de la route.

La coutume a incorporé quelques adages qui ont encore effet aujourd'hui : Ex.
L'aléa chasse la lésion

La pratique    est aussi une source d'inspiration : le travail d'avocats, de juriste, de


notaire, la pratique d'assurance etc...

B. Les sources externes

Les sources européens par exemple : DDHC, Cour européene des droits de
l'homme.

La pratique religieuse a était refusé comme source de droit

Les juges ont refusé le fait d'incorporer des obligations avec comme source la
DDHC mais ne se refuse pas a supprimer des obligations sur fondement de la
DDHC.

Une clause venant par exemple obliger le preneur a souscrie a une association pdt
la durée du bail est illégale au    sens de la DDHC.

Une autre source européene est le droit derivé de l'UE (Les directives par exemple)

4§ La réforme du droit des obligations.

A. La chronologie de la réforme

Aprés plus de deux siécles de quasi-immobilisme le droit des O a était reformé

En 2016 une ordonnance a réforme le droit des contrats. Cette ordonnance


reforme moins le droit que le code. En effet ce dernier est resté immobile pendant
plusieurs siecles. le deuxieme tant de la réforme fut une loi de ratification de
l'ordonnance

B. La necessité de la réforme

La reforme s'imposait car le code civil ne representait plus le droit francais. Sur un
plan législatif le droit de contrat était rester immobile pendant un long moment ex
: Les regles relatives a la formation du contrat était absente. L'esprit du code avait
fatalement vieillis et les regles exposé dans la section droit des contrats etait en
decalage total avec notre epoque. Le code était en effet libéral, dés lors il semblait
juste car les personnes était libres. Néanmoins cela avait pour conséquence que le
code ne parlait en aucun cas de désequilibre contractuelle. Cette vision libérale du
contrat refletait le code civil de 1804. Aujourd'hui cette vision libérale n'est plus
celle de saison aujourd'hui mais elle cohabite avec une vision plus sociale du droit
des contrats. Dés lors la necessité de la reforme s'imposait si on voulait le
moderniser et changer sa vision du droit des contrats.

C.L'application de la réforme dans le temps


L'ordonnance de la réforme est entré en vigeur le premier octobre 2016, en 2018
une loi de ratification est aussi entré en vigeur. Elle sont soumis aux regles
classiques de l'application de la loi nvlle dans le temps.

3 droit coexiste : Le droit ancien qui s'applique aux contrats avant 2016, le droit
nouveaux issue de la réforme de 2016 et le droit nouveaux issue de la loi de
ratification.

D.La portée normative de la réforme.

Cette reforme ne fige pas le droit des contrats. Elle dispose de nombreuse regles
supplétives que les parties peuvent écarter (a moins que ces dernieres dispose du
caractere d'ordre public).

E. Les apports de cette réforme

La réforme se traduit par une considérable entreprise de codification qui consiste a


intégrer dans le code tous le droit que la jurisprudence avait crée.

F. L'avenir de la réforme

Aujourd'hui encore on ne peut avoir qu'une vision étherée de la reforme......

Partie I: Le contrat

Titre 1 Premiere vue sur le contrat

Chapitre 1 : La notion du contrat.


Le contrat est un accord de volonté destiné a transmettre,créer,éteindre,modifier
des obligations

Section 1 Distinction

Contrairement a un contrat un acte juridique unilatérale est la volonté d'une seule


personne destiné a produire des effets de droits et qui peux par conséquent etre
revoqué unilateralement.

L'engagement unilatérale de volonté : Manifestations unilaterale par laquelle une


personne s'engage unilateralement vers autrui indépendament de la volonté
d'autrui. On voit ici qu'il n'y a pas d'accord de volonté, ce n'est donc pas un
contrat.

Néanmoins en droit social et en droit commercial admette dans certains cas de


figure la force d'un engagement unilatérale de volonté.

Section 2 Role de la volonté en matiere contractuelle

La volonté des contractants se suffit elle a elle meme pour créer des obligations.
Ou alors la volonté est elle soumise a des normes supérieures a respecter pour
conclure un contrat. La question fait l'objet d'un débat entre les libéraux et ceux
defendant une conception sociale du droit des contrat. D'apres la théorie de
l'autonomie de la volonté qui a longtemp dominé le droit francais seul la volonté
suffit et c'était sa seule limite. C'est le reflet du libéralisme économique. Ou alors
le principe de la liberté contractuelle.

D'apres les defenseurs de la visions sociale du droit des contrats la théorie de


l'autonomie doit etre limitée. Et pour eux le contenu du contrat doit respecter les
interventions étatiques comme l'ordre public etc...

Section 3 La classification des contrats

1§. Les classifications maintenues dans la réforme/traditionnelle

A. Contrat synalagmatique qui s'oppose aux contrats unilatéraux.

Le contrat synalagmatique est un contrat qui crée des obligations réciproques et


interdependantes (ex: Le bail; le bailleur s'engage procurer la jouissance d'un bien
au preneur et qui en contrepartie doit lui payer un loyer).

En revance un contrat unilatéral est un contrat ou une seule personne s'engage et


donc il n'y a pas d'obligation réciproque (ex: promesse de vente)

B. Contrat a titre gratuit et honéreux

Un contrat est honéreux lorsque les avantages donnés peuvent etre chiffrer

C. Contrat commutatif et un contrat aléatoire.

Un contrat commutatif est un contrat ou l'événement cles du contrat est certain.

Un contrat aleatoire est quand a lui un contrat ou les parties accepte que les effets
de leur contrats sois soumis a la réalisation d'un évenement incertain.

D.Contrat consensuel et contrat solenelle et contrat réelle

Un contrat est consensuel lorsque seul l'echange de consentement ( dans toutes


ses formes possibles) suffit a former un contrat.

Un contrat solennelle veut dire que le contrat dépend d'une formalité imposé par
la loi.

et le contrat réelle quand a lui signifie la remise effective d'un bien preter par un
preteur a l'emprunteur.

D. Les contrats cadre et les contrats d'application

Le contrat cadre est un accord par lesquels les contractants conviennent des regles
de leur futur relation et les contrats d'application sont les regles spéficiques.
E. Les contrats a éxecution succesive et ceux a execution instantanée

Les contrats instantanée doivent s'executer en une seule fois contrairement aux
contrats a execution succésives qui signifie plusieurs executions de la prestations

F. Les contrats CDD et CDI

Le CDD est a durée determinée contrairement aux CDI.

3§ Les classifications nouvelles

Distinction entre le contrat de gré a gré et le c

Titre 2 : La formation du contrat :La rencontre des volontés


On s'interrogera sur la formation du contrat et donc de la rencontre des volontés

Chapitre I : Le droit commun des contrats


Le droit commun fait réference a l'ensemble des régles applicables a tous les
contrats qu'importe leur classification. Ces régles se trouve dans le code civil

Section Introductive :L'obligation précontractuelle d'information.

Elle repose sur l'obligation de bonne fois. Elle ne porte que sur les informations
dont l'importance est determinante du consentement du contractant qui ignore
l'information. Cela comprend les informations sur le contenu du contrat ou les
qualité directe du contractant.Toutefois    aucune information n'est exigée quand a
la valeur dus ou attendu du contractant. Pour que cette obligation d'information
sois dus il faut que le contractant detienne une information dont il ne peux ignorer
l'importance pour son cocontractant. De plus il faut que le contractant qui ne
dispose pas de l'information l'ignore légitimement (en clair qu'il ne pouvait pas
l'obtenir par lui meme). En cas de conflit/litige sur l'information, on applique les
régles de la charge de la preuve: C'est donc celui qui se prétend créancier de
l'obligation d'information qui doit prouver que les conditions evoqué ci-dessus
soient réunis. Le devoir de bonne foi est de notoriété publique et en conséquence
les contractants ne sont pas en moyen de l'exclure ou de limiter la responsabilité
du contractant qui ne la respecte pas via une clause.

Les dommages dus sont les DI, nullité du contrat si un vice de consentement a
etait provoqué.

Section I la formation du contrat entre personne présente

Deux questions sont a posé : La formation instantané et progressive.

Sous section I la formation instantanée

Cela repose sur la rencontre d'une Offre et d'une Acceptation

§1 L'offre

A. Les conditions
1. Conditions de fonds

Une proposition de contracté doit revestire deux caracteres: Précision c-a-d


comporté les élements essentielles du contrats offert. Faute d'etre précise ce sera
une invitation a pourparler. Le deuxieme caractere : La fermeté c-a-d elle doit
manifester la volonté ferme de l'auteure a etre engagé contractuellement en cas
d'acceptation. Il y'a toutefois une certaine reserve tacite.

2. Effets de l'offre

Quid de la valeure juridique d'une offre émise pas encore accepté ?

Si elle n'as pas encore était accepté il faut se poser la question de la retractation
de l'offre. Tant que l'offre n'est pas parvenu a son destinataire l'offrant peut la
révoquer/retracter. A raison de la confiance légitime du destinataire de l'offre qu'il
faut proteger, l'offre ne peux expirer avant un délair raissonable d'acceptation. Par
contre quand l'offre est elle meme emise avec un délai précis d'acceptation, le
délai raissonable est effacé par les termes de l'offre. Et si l'offreur enleve son offre
pendant le délai fixé par son offre il sera sanctionné par des D&I. Ces derniers vont
sanctionné la perte du destinataire mais pas sa perte d'avantage en cas de
conclusion du contrat. En vertu de la loi, l'offre en cas de refus de son auteure est
caduque en vertu de la liberté contractuelle (personne ne peux contracter contre
son gré). Le déces du destinataire de l'offre emporte la caducité de l'offre (ne se
transmet pas a l'héritier).

§2 L'acceptation

A. Condition de fonds

Il doit y'avoir concordance entre l'accepation et l'offre sur le élements essentiels


du contrats. Si il n'y en a pas c'est consideré comme une contre-offre.

B.Condition de forme

La liberté de la forme est de rigeur.


Quid du silence (absence de réaction) ? En principe a la suite d'une offre le silence
ne vaut pas accepation.

La seule exception vaut quand des relations d'affaires préexistait a l'offre ou alors
qu'un usage pro accorde une telle signification au silence dans la profession. Et si
l'offre a était fait dans l'interet exclusif du destinataire alors le silence peut valoir
acceptation.

C. La portée d'acceptation

Que se passe t'il quand l'offrant propose aux destinaire de l'offre des clauses a
propos desquels l'accepation suscite un doute car elle ne sontt pas dans
l'instrumentum par exemple. Seul les clauses connues et accepté sont opposable
au co-contractant.

Quid des Conditions génerales.

Ces conditions génerales sont souvent pré-rediges pour chaque contrat d'un
contractant. Le contractant peut il invoquer ses clauses sans savoir que son co-
contractant ne les a acceptés ? En principe oui mais lorsque dans une rencontre
d'offre et d'accepation les conditions generales de l'un et l'autre s'entrechoque et
sont contradictoires. Dans un tel cas, le contrat est formé valablement formé mais
les conditions générales se neutralisent et la régle légale supplétive qui s'applique.

Sous section 2 la formation progressive du contrat

§1 La négociation sans contrat.

A. Le principe de la liberté

Le principe directeur en terme de négociation est la liberté contractuelle. Exemple,


Un personne n'engage pas sa responsabilité s'il parle avec plusieurs opérateurs.
Pour eviter ce genre de chose on peux conclure un contrat de négociations.

Néanmoins la bonne foi est toujours un principe directeur. Il impose aux


négociateurs de faire preuve de constance et de continuité. il empeche aussi la
divulgation d'info confidentielle obtenue pendant la négociation.

Si un négociateur révele une fausse information il viole aussi une regle de bonne
fois. Sera aussi considere de mauvaise fois le négociateur ne cherchant pas une
issue favorable a une négociations.

La rupture de la négociation est aussi soumis a la bonne fois : Si il les rompt dans
des circonstances vexatoires: En entourant la négociations de rumeurs
diffamantes/négatives. Si la négociation en raison de son état d'avancement et des
frais engendrées va legitimement crées un espoir légitime. Alors le contractant qui
a rompu les négociations pourra engager sa responsabilité civil. Les
dédomagements seront les benefices qu'il aurait pus esperer a la conclusion du
contrat.

§2 La négociations par contrat

Certains contrat ont pour objet la préparation de contrat futur

A. Les contrats de négociations

Il y'en a plusieurs la lettre d'intention, lettre de principe et accord partiel

1. La lettre d'intention

C'est un document par lesqueles des personnes manifeste leur interet en vus de la
conclusion d'un contrat sans avoir d'info sur les caracteristiques exactes

2. Lettre de principe

Plus précise que la lettre d'intention mais certaines infos reste vague : comme le
prix.

C'est un accord de principe

3. Accord partiel

L'accord partiel porte sur des élements essentiels du contrat négociés dont la
formation est décisive mais n'est pas complet.

C'est contrats peuvent entrainer des obligations de bonne fois : Confidentialité,


loyauté etc...

Un accord de principe engage juste le négociateur a la poursuite de la négociation.

B. Les contrats préparatoires

Ces contrats sont conclus dans la perspectives de la conclusion d'un contrat

1. Pacte de préference

C'est lorsque une personne s'engage a proposer prioritairement la conclusion d'un


contrat a une autre personne

Dans l'hypothese ou elle envisagerait a l'avenir de conclure le contrat. En


conséquence le promettant s'engage et renonce a la liberté de choisir son
contractant. Le pacte de préference offre une priorité contractuelle aux
béneficiaire du pacte. Si l'objet du contrat doit etre determinée ou determinable
ce n'est pas un pacte de préference.

En revanche il n'est pas exigée dans le pacte que le prix soit determinée.

Si le promettant vend a un tiers plusieurs s'options s'ouvre aux beneficiaires:


Demander la nullité du contrat, se substituer aux droit du tiers s'il prouve que ce
dernier est de mauvaise fois et le promettant engage sa responsabilité.

2. Promesse unilatérale de contrat

Le promettant accorde aux béneficiaire le droit exclusif d'opter pour la conclusion


du contrat dont les élements essentielles don't dore et déjà determinée. Il ne
manque plus que le consentement. Le béneficiaire dispose    d'un droit potestatif
d'option/ d'une exclusivité contractuelle.

Si la promesse est unilatérale, le beneficiaire d'une promesse peux toutefois


souscrire un engagement aux profit du comettant.

Le beneficiaire d'une promesse unilaterale de vente s'il ne leve pas l'option peux
s'engager a payer une indemnité d'immobilisation. En concluant une promesse
unilaterale de contrat le promettant    a deja consenti a potentiellement vendre le
bien. S'il retire son consentement il doit naturellement etre sanctionné.

Avant 2016 la cour de cassation estimé qu'il pouvait se retracter et ne pas forcer la
vente car pas de rencontre de volonté. (juste des D&I)   

Cette décision avait etait critique car elle enlevait la force obligatoire du contrat.

Elle enlevait la parole contractuellement donné qui avait pourtant une valeure
importante et qui ne pouvait etre compenser par des D&I.

Depuis la réforme, la révocation pendant le temps laissé pour exercer l'option,


cette révocation n'empeche plus la formation du contrat.

3. Promesse synallagmatique de contrat

C'est un contrat préparatoire par lesquel les contractants s'engage par le lien d'un
contrat définitif, mais, les contractants soumettent la perfection de ce contrat a
l'accomplissement de formalité ou alors a l'obtention d'un financement. Par
exemple les parties stipule une clause en vertu de laquelle il énonce une condition
de validité du contrat dont il discute et qui s'ajoute a toute les conditions de
validitié. Par exemple une vente et dans la promesse synalagmatique, la formation
définitive de la vente promise est soumise a la réiteration du consentement par
acte authentique. Et si elle n'est pas la lieux le contrat ne sera pas valablement
formés.

Section II La formation du contrat entre absent

§1 Les contrats a distance

Il peut s'agir de contrat conclue par correspondance ou alors par voie


électronique. Dans le cas d'un contrat par correspondance il est reputé conclut aux
lieux ou l'expediteur de l'offre a récu l'acceptation. En cas de litige le juge
compétent est celui du defenseur.

Quid de la date ?

En 1981,la complexation sur la question de la date s'est fixée par le jour de


l'émission de l'accepation.   

De plus il était impossible de revenir sur offre/accepation lorsque émise.

Depuis 2016, le contrat est conclut lorsque il y'a reception de l'accepation.

Cela veut dire que l'émetteur de l'offre peux revenir sur son offre jusqu'au
moment de la réception. Ce changement de régles n'est que relatif car la régle
issue de la réforme n'est que supplétive donc écartable. Dés lors la date du contrat
peut etre librement fixée par eux.

§2 La conclusion du contrat par l'intermediaire d'un tiers. : La representation.

Elle consiste pour une personne: Le representant, a conclure un contrat qui va


nouer un lien entre celui au nom et pour le compte duquel le representant agit. La
representation parfaite comme par exemple le mandat, c'est le fait pour le
representant d'agir exclusivement et pour le compte du representé et qui ne
produit pas d'effet a l'égard du representant. La representation imparfaite en vertu
de laquelle le representant agit pour le compte du representer mais a son compte
personelle.

Les pouvoirs du representant sont : Il ne peux agir que dans la limite des pvrs
attribué par la loi soit dans les cas attribué par la loi soit par les pvrs confié par le
representé. Quand le pvr que recoit le representant est spécialement determinée
il doit le respecter.

Le representant peux potentiellement effectuer les actes de conservation mais ne


peux pas effectuer des actes de dispositions. Par ailleurs le representant ne peux
pas representer deux parties en opposition pour éviter les    conflits d'interets. Le
representant ne peux pas non plus conclur un contrat pour son compte lorsqu'il
est en representation.
Chapitre 2 Le droit spécial des contrats

Le droit spécial est le droit "courant" des contrats. il s'applique aux contrat de
consomation par exemple.

Section 1 : Contrats entre présent.

Cela se fait entre toute personne physique et les contrats de consomation se font
lorsqu'on ne le fait pas dans le cadre de notre activité professionnel.

§1 But du droit spécial

Le droit de la conso comporte des régles de prévention des risques actuelles ainsi
que des risques pour les consomateurs.
C'est pour cela que le code de la conso protége les consomateurs contre eux
meme majoritairement.

§2 Les techniques de protection

Le législateur pour le proteger lui offre des avantes pour se lier et des solutions
pour se délier.

A. La liberté de se lier

1. Liberté par l'information.

Le professionnelle est soumis a une obligation précontractuelle d'information qu'il


doit fournir aux consomateurs.

2.Liberté par la forme

Le principe qui régne en droit commun sous entend la liberté de la forme pour
exprimer son consentement.

Néanmoins des régles sont soumis a la forme pour le pro : Taille des caracteres,
doc officielle etc...
3. Liberté par le temps.

Le législateur ralentit parfois le processus de formation du contrat. Ici le légilsteur


ecarte les contrats instantané et laisse le temps aux consomateurs

B. Liberté de se délier

Le code civil dispose qu'un co-contractant a une régle de repentire qui s'il est
exercé va emporter l'anéantissement du contrat. Ainsi un consomateur qui a
conclut un contrat de crédit a la consomation peux pdt un délai de 14 jour exercé
un délai de repentir, il peux le faire gratuitement et sans motif.

Section 2: Contrats entre absents : les contrats conclus par voie électronique.

§1 conditions de forme

Toute proposition sous forme electronique a destination du destinataire ces


stipulations contractuelles d'une maniere qui permet leur reproduction ou leur
conservation. Cette exigance légale se matérialise par l'impression des stipulations
ou alors par leur enregistrement. Sinon elle sont innoposable.

Une telle offre doit comporter certaines mentions venant informer son
destinataires en vue du contrat. Il s'impose qu'importe la qualité de de l'émetteur
de l'offre éléctronique. L'exigence peut etre ecarté si le contrat est fait par deux
pros.

§2 Conditions de fond

La durée de validité de l'offre par voie electronique: Son auteur reste engager tant
que l'offre reste accessible par voie electronique de son fait. Mais si l'émetteur de
l'offre l'as retiré pour des raisons techniques qui s'impose a lui, il n'est plus
engager.

Quand a l'accepation, le législateur a mis en place la technique du double clique,

3 : La validitié du contrat : Le contrôle des volontés


1. Le contrôle du consentement

A. La réalité du consentement

pour limiter les accepations irreflechis.

L'auteure d'une offre par voie electronique demeure active tant qu'elle est
accesible et l'acceptation le double clique.

La raison d’etre de cette régle est de proteger le contractant contre lui-même. Le


proteger aussi contre les tiers qui profiterait de sa situation. Si un contractant se
prévaut de son insanité d’esprit, il peux agir en nullité du contrat. C’est lui qui doit
prouver que son insanité d’esprit existait lorsqu’il a contracté. Si cette action est
exercé apres le deces du contractant, le regime de la preuve pour ces heritiers
depend de la nature du contrats. En cas de donation, les héritiers doivent apporter
la preuve de l’insanité d’esprit. Dans les autres cas, l’insanité d’esprit doit émaner
de la lecture de l’acte instrumentaire de l’acte juridique.

2§ L’incapacité de contracter

La capacité est la règle de générale et l’incapacité l’exception.


Parmi les incapables : Les mineurs et les majeurs soumis a un régime d’incapacité.
Ces derniers ne peuvent contracter sauf exception ex : Un mineur peux faire des
actes courants (du pain, des bonbons) a la seule condition que l’acte ne sois pas
déséquilibrer. Dans ce cas de figure le mineur pourra agir en nullité en cas de
lésion.
Sous-section 2 la lucidité du consentement

Deux principes a concilier : La justice contractuelle et la sécurité contractuelle.


Cela sert a éviter l’erreur. Le régime de l’erreur varie qu’elle sois spontané et
provoqué.
1§ L’erreur spontanée

L’erreur est une croyance qui diffère de la réalité. Cette derniere peux emporter la
nullité du contrat ou non.

A. L’existence de l’erreur est-elle concevable en présence d’un doute sur la réalite ?

Deux hypothèse : Ce doute était ignoré par l’errance ou il était connu de


l’errance ?
1.Doute ignoré par l’errance

Affaire poussin : Un couple achète un tableau dont la paternité du fameux


peintre Poussin n’est pas connu. Peut-on agir en erreur dans un cas de doute
pareil
Selon la cour de Cassation : OUI.
Si un doute est présent pendant la conclusion du contrat, et que le vendeur
en l’occurrence n’as pas de doute alors il y’a erreur.
2.Doute connu par l’errance.

Si a la conclusion du contrat le doute a était pris en compte par l’errance et


qu’il l’ont intégré dans le champ contractuel, l’erreur peut-elle être
prononcé ?
Affaire Fragonard : Le contrat a pour objet la vente d’un tableau qui serait
peut-être un Fragonard. Postérieurement a la vente, il n’est pas déclaré un
Fragonnard.
Dans ces cas la la cour de cassation ne prononce pas l’erreur.
La présence d’une clause avec un aléa dans le contrat empêche l’erreur.

B. Erreur cause de nullité dans le contrat

Pour etre cause de nullité, l’erreur doit porter sur des objets particulier du
contrat

1. Objet de l’erreur

Si l’erreur spontané engage la nullité si elle porte sur les qualités


substantielles du contrat ou alors sur les qualités du co-contractant. Il existe
aussi l’erreur obstacle : Cette dernière est l’erreur sur la nature même du
contrat.
Dans le cas d’une erreur obstacle, le contrat est inexistant car il n’y a pas eu
de rencontre des volonté.

a. L’erreur sur la qualité substantielle


Alors qu’a l’origine la substance provenait directement de la chose. La J-P
a retenu une conception subjective et la substance s’est dématérialisé et
est devenu la qualité essentielle en considération de laquelle l’errance
s’est engagé. 
Désormais c’est la qualité de la prestation qui compte
b. Erreur sur la personne
Un contrat est annulé pour erreur sur la personne s’il a était conclut en
raison du co-contractant : Un contrat a était conclu car le co-contractant
a une certaine reputation etc…
C’est un contrat intuitus personé
1. Caractères de l’erreur

a. Une erreur déterminante


C’est une erreur tel qu’il n’aurait pas contracté en ayant connaissance de
la chose ou alors il l’aurait conclu de manières différentes.
Quid de la preuve ?
Elle n’est pas très lourde.
b. L’erreur excusable
L’erreur doit aussi être excusable : On regarde ca en fonction de la
profession de l’âge etc…
c. Les erreurs n’emportant pas la nullité.
L’erreur sur la valeur, la prestation économique. C-A-D une lésion : C’est
un déséquilibre économique dans le cadre d’un contrat.
L’erreur sur les motifs : L’erreur sur les motifs est trop variable, de plus
cela n’exerce aucune influence.
La seule exception aux motif est : Si le motif a était érigé en élément
déterminant des parties

2§ L’erreur provoqué : Le Dol

Lorsque l’erreur est provoqué par le dol, soit un délit civil, alors
l’impératif de justice contractuelle est privilégié. L’errance a était trompé
par l’auteur du dol alors sa protection doit être renforcée. Il s’agit en plus
de le protéger, de sanctionné l’auteur du dol. Le dol entraine la nullité du
contrat.

A. Le délit commis par l’auteur du Dol.

1. L’élément matériel
Le dol peut être une manœuvre, une machination. Ou de propos
délibérément mensonger ou alors une réticence intentionnelle a
propose d’une info dont l’auteur connaissait son importance pour
la partie co-contractante.
2. L’élement intentionelle

Ce dernier est sanctionné uniquement si l’auteure était animé par


une volonté de trompé son co-contractant.
B. Le dol par celui qui s’est trompé.

L’erreur dans le cas d’un dol est sanctionné indépendamment de son


objet.
Dés lors les erreurs sur le motifs, la valeur sont sanctionné de nullité
en cas de dol.

2§ Les sanctions en cas de nullité

L’errance peux agir en nullité, en responsabilité et peux contre


l’auteur engager sa responsabilité extracontractuelle.
Il peut d’ailleurs cumuler ces deux actions.
La nullité est un anéantissement rétroactif du contrat. Et révision du
contrat avec des potentiels dommages et intérêts.

Sous-section 3 : La liberté du consentement.

Le contrat est nul lorsqu’il n’est pas accepté librement. Cela peux résulter de la
violence ou alors cela vient d’un abus de dependance.

Ce vice du consentement peux émaner d’un contractant ou alors d’un tiers.    


1§ La violence

La violence constitue un vice du consentement. C’est une contrainte illégitime sur


une personne : C’est lui imposer la crainte sur ses biens, ses proches ou lui-même.

A. Une menace illégitime.


Il s’agit d’une menace physique ou morale. Exprimé par la fore ou la peur.
La menace peut venir d’un tiers ou du co-contractant. Ici l’impératif de
stabilité contractuelle est relegue au 2nd rang au profit de celui de justice.
La menace peux porter sur le patrimoine, le contractant lui-même ou ses
proches.
La menace doit être illégitime : Une menace physique le sera tjr. Mais la
menace morale dépend : Le commerçant qui menace un voleur d’une
plainte au pénal a moins qu’il paie est une menace, mais légitime.
La menace doit être proportionné en soi.
B. Une crainte determinante
La menace illégitime n’emporte la nullité que si elle crée une crainte
determinante dans la conclusion du contrat.
Comment apprécie t’on le caractere determinant : C’est en fonction du
caractere psychologique de la victime.

2§ L’abus de dependance

A.
Depuis la réforme le code comporte une règle disant qu’il y’a également
violence lorsqu’une partie abuse l’état de dépendance du co-contractant
et obtient de lui un engagement qu’il n’aurait pas eu en temps normal.
En l’an 2000 la cour de cassation a décide que la contrainte devait
désormais être rattaché a la violence et plus a la lésion. La cour de cass a
décide que l’exploitation abusive d’une dépendance économique et
jouer sur sa crainte pouvait entrainer la nullité du contrat.
La réforme admet donc d’une façon générale que la violence peux
entrainer la nullité meme si elle a une origine autre qu’humaine. Dés lors
la violence peux émaner non seulement d’un humain mais aussi du
contexte dans lequel evoluait le co-contractant.
B .
Pour obtenir la nullité d’un contrat pour abus de dépendance, le
contractant doit prouver qu’il était en état de dépendance lors de la
conclusion du contrat, quelque soit la dépendance.
De plus le contractant doit aussi prouver qu’il a obtenu un avantage
manifestement excessifs. Certains considere que le vice de l’abus de
dependance ne peux etre apprécier que si le caractere abusifs du co-
contractant est prouver.
Néanmoins d’autres penses que seul la preuve pour desequilibre
excessifs doit faire présumer l’abus

C.
Ce vice emporte une exception pour la validité des contrats lésionnaires.
En effet la lésion n’est pas une cause de nullité, mais la dépendance crée
une lésion qui peut être annulé.

Section 2 Le contrôle du contenu du contrat

1§ L’absence du contrôle du déséquilibre économique des prestations


contractuelles
A : Le principe

La lésion n’est pas sanctionnée par le juge. Qu’importe le déséquilibre présent.


Cette absence permet de subvenir aux contrôles de sécurité juridique.

Ce principe connait des exceptions

B : Les exceptions

Certaines sont légales : Les contrats conclus par mineur, ou les majeurs incapable.

En vertu du code du commerce, la responsabilité d’un contractant peut être


engagé si un contractant essaie d’obtenir un avantage disproportionné au regard
de l’objet du contrat.

Les contrats spéciaux comme la vente d’immeuble…

Les revenus des mandataires si leur revenu est disproportionnée par rapport a la
prestations.

Ces diverses exceptions servent a faire respecter un peu de justice contractuelle.

2§ Le contrôle du déséquilibre structurel du contrat

A :Contrôle de la prestations

Le contrôle de la prestations a pour objectif d’assurer la protection de l’intérêt


privé d’un contractant contre des déséquilibre structurelle.

1 : L’existence de la prestation convenue

La validité d’un contrat suppose que l’objet de l’obligation existe. Si le débiteur ne


peux pas les executer : Le contrat est nul.

Il n’est pas nécessaire que l’objet de l’obligation existe matériellement. Il peut etre
conclut et porté sur un lien futur.

2 : La possibilité de la prestation contenue


Le contrat ne peut contenir une prestation impossible, le contrat sera nul si la
prestation est impossible objectivement alors le contrat est nul.

Néanmoins si l’impossibilité est propre aux débiteurs alors le contrat est valable

3 : La détermination de la prestation convenue

La prestation de celui qui s’engage doit être déterminé dans le contrat des sa
conclusions. Il s’agit d’assurer les intérêts privés du contractant. Le contrat n’est
pas valable si la prestation est determinable mais unilatéralement.

4 : La détermination de la qualité de la prestation.

Si le contrat ne précise rien quand a la qualité de la prestations, alors dans un tel


cas de figure le débiteur doit l’accomplir en respectant une qualité conforme
a l’attente légitime des parties.

B :L’exigence d’une contrepartie

1 : Avant la réforme

Avant l’exigence d’une contrepartie était une exigence de cause. C’était une notion
indépendante de la personnalité ou de la psycho du contrat.

La cause se distingué des motifs qui sont personnelles.

L’exigence de cause permettait d’éviter un déséquilibre structurel.

2 : Apres la reforme

Désormais on recherche l’existence d’une contrepartie. La cause a belle et bien


disparue de Code Civil en 2016. La cause est « sous-entendue ». Certe toutes
traces du mot cause a disparu des texte mais les fonctions de la cause dans le
temps et dans le code civil demeure.

D’une part le contrôle du déséquilibre structurelle se fait désormais a l’article 1169


du Code Civil.
Sous section 2nd : Le contrôle du désequilibre significatif des stipulations
contractuelles

Le droit admet le contrôle des stipulations contractuelles. Ainsi que les clauses par
lesquelles les contractants aménage leur contrats.

Depuis quelques décennies notre droit assure une protection contres les clauses
abusives.
Ce sont des clauses imposées par un contractant a son co-contractant et, qui
engendre un déséquilibre significatif. Cette protection contre les clauses abusives
par le code de la consommation et le code commerce, ainsi que le code civil.

1§ Protection par le code la conso

Depuis 1978, tout consommateurs qui agit des fins qui ne rentre pas dans le cas de
son activité professionnelle est protégé en cas de contrats passé avec un
professionnelle

A :L’organisation

A l’origine une loi de 1978 disposait que pour qu’une clause abusive sois réputée
non-écrite elle devait avoir était prohibée dans un décret.

Elle n’était pas non-écrite si elle n’était pas prohibée par décret même si elle était
abusive.

Néanmoins les décrets dans ce sens était rare et dés lors la cour de cassation a pris
la confiance et dans un arrêt, les juges ont déclaré qu’il pouvait faire réputé non-
écrite toute clause considérée comme abusive.

Une autre loi a modifié le régime et désormais une clause abusive est une clause
provoquant un déséquilibre significatif.

Néanmoins le problème était que la charge de la preuve était aux consommateurs,


ce qui fragilisait sa protection.

Un autre problème résidait dans le manque de sécurité du pro qui était soumis a
l’appréciation des juges.

Désormais la protection des consomateurs repose sur une définition des clauses
abusives vu en haut mais aussi par un systéme de liste qui allege la charge de la
preuve du consomatteurs et rassure les professionnels.

Il existe en effet une liste noire comportant une série de clause réputé
irréfragablement abusive. D’autre part il y’a une liste grise qui comporte des
clauses simplement présumé abusive. Dans ces cas la le professionnel doit
démontrer que sa clause n’est pas abusive pour démonter la présomption
notament en montrant l’existance de clause venant réequilibre le contrat. Si la
clause n’est dans aucune des listes alors c’est aux conso de prouver le caractere
abusif de la clause

B :Le domaine

Les clauses portant sur l’objet principal du contrat ou celle portant sur l’adéquation
du prix ne peuvent être réputé non écrite mémé si elle crée un déséquilibre.   

L’examen de la liste noire et grise revele que le désequilibre significatif reside dans
l’absence de réciprocité accordé aux co-contractants, sois de la potestativité, ou
alors de la sanction du manquement aux consomateurs.

C : Le régime de la protection.

La conso peux exercer une action individuelle devant le juge pour la faire réputée
non-écrite. Les associations de consommateurs peuvent exercer une action
préventive pour supprimer les clauses abusives.

D’autre part une association peux faire réputée non écrite une clause abusive en
cours d’exécution du contrat. Voire meme faire suspendre le contrat.

D : Les sanctions

Une action en nullité (qui est imprescriptible), une action visant a faire réputée
non-écrite la clause. Voire engager la responsabilité civile et même faire prononcer
des D&I
2§ Protection par le code de commerce

Dans certaines hypothese, les pro sont des conso comme les autres. Ils se
retrouvent dans des situtions de dependances. Ils sont alors soumis aux risque du
désequilibre contractuel significatif.

A : Le domaine de la protection

Cela concerne une personne qui exerce des activités de production, de distribution
ou de service. La victime est celle stipulé dans la clause. En general on parle de
contrats d’adhésion

Les clauses sanctionnées sont celles créans un déséquilibre MAIS le code de


commerce n’exclut pas les clauses portant sur l’objet principal du contrat, ou de
l’adéquation du prix ou la rémunération.

B : Le régime de la protection

Pour apprécier le caractère abusive de la clause le juge examine l’économie


général du contrat, c’est-à-dire l’ensemble des clauses du contrat et va donc
apprécier l’ensembles des clauses du contrat pour considérer ou non la clause
comme abusive.

En vertu du code de commerce, de peur que la victime n’agisse pas en justice,


l’action peux etre exercé par le president de l’autorité de la concurrence ou alors le
ministre de l’économie. Le pro victime de la clause peut naturellement agir pour
faire réputé la clause non écrite ou pour voire les avantages gagnées grâce à la
clause restitué.

3§ Protection par le code civil


A :

Depuis la réforme et la loi de ratification, dans un contrat d’adhésion, toute clause


non négociable déterminé a l’avance par une des parties créant un déséquilibre
significatif est réputée non-écrite. C’est naturellement pour éviter le déséquilibre.

Certains auteurs ne sont pas favorables car certaines clauses similaires doivent
être irrémédiablement réputée non-écrite qu’importe le code et le domaine.

B : Le domaine

1 : Contract concernée

Seules les clauses abusives dans un contrats d’adhésion son susceptibles d’être
réputée mal écrite.

La définition est la même que tous les codes mais ont les mêmes exceptions que le
code de la consommation.

C : Le régime de la protection

Les juges doivent apprécier l’abus en fonction de l’économie général du


contratàCode de commerce.

Contrairement aux codes de la consommation, le code civil ne comporte pas de


listes et dés lors la charge de la preuve du déséquilibre sera pour la victime.
Titre 3 Les effet du contrat

Titre 4 Inéxecutions contractuelles

II. Les quasi-contrat

III. La responsabilité civile

IV. Le régime génerale des obligations

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