Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
23/09/2021
Bibliographie:
Denis.mazeaud1@gmail.com
Introduction :
1§ La notion d'obligation
L'obligation est un lien de droit crée par la volonté de plusieurs personnes ou alors
imposé par la loi en raison d'un fait juridique dans deux grands cas de figures: Un
domlage causé a autrui ou alors la loi impose une obligation a une personne en cas
d'avantage induement reçu d'autrui.
L'O constitue aussi une valeure patrimoniale qui en tant que valeure patrimoniale
dispose d'une certaine autonimies a l'encontre du débiteur et du créancier. L'O
peut alors constituer l'objet d'une opération juridique (transformation,
transmission, extinction etc...).
Les sources potentielle : Sont la volonté, les actes juridiques (Le contrat). Elle peut
avoir pour source la loi (soit pour répararer un dommage cf responsabilité civil;
soit pour compenser un avantage reçu d'autrui)
3 O en fonction de leur objets : Celle donnée soit transmettre qqchose; L'O de faire
et L'O de ne pas faire.
L'O civile se distingue par une action et une sanction. L'O naturel n'as pour source
qu'une seule personne et sa morale. Ce dernier se sent obligé de l'executer: Dés
lors il n'y a pas de sanction juridique a l'inexecution. L'O naturelle n'est pas
toujours une obligation morale uniquemenent : Les promesse faite par un débiteur
d'une O naturelle ont pour effet de transformer l'O naturelle en O civile.
Le premier critere est la place de l'aléa dans la prestation, le second critere est la
place actif du débiteur.
La coutume a incorporé quelques adages qui ont encore effet aujourd'hui : Ex.
L'aléa chasse la lésion
Les sources européens par exemple : DDHC, Cour européene des droits de
l'homme.
Les juges ont refusé le fait d'incorporer des obligations avec comme source la
DDHC mais ne se refuse pas a supprimer des obligations sur fondement de la
DDHC.
Une clause venant par exemple obliger le preneur a souscrie a une association pdt
la durée du bail est illégale au sens de la DDHC.
Une autre source européene est le droit derivé de l'UE (Les directives par exemple)
A. La chronologie de la réforme
B. La necessité de la réforme
La reforme s'imposait car le code civil ne representait plus le droit francais. Sur un
plan législatif le droit de contrat était rester immobile pendant un long moment ex
: Les regles relatives a la formation du contrat était absente. L'esprit du code avait
fatalement vieillis et les regles exposé dans la section droit des contrats etait en
decalage total avec notre epoque. Le code était en effet libéral, dés lors il semblait
juste car les personnes était libres. Néanmoins cela avait pour conséquence que le
code ne parlait en aucun cas de désequilibre contractuelle. Cette vision libérale du
contrat refletait le code civil de 1804. Aujourd'hui cette vision libérale n'est plus
celle de saison aujourd'hui mais elle cohabite avec une vision plus sociale du droit
des contrats. Dés lors la necessité de la reforme s'imposait si on voulait le
moderniser et changer sa vision du droit des contrats.
3 droit coexiste : Le droit ancien qui s'applique aux contrats avant 2016, le droit
nouveaux issue de la réforme de 2016 et le droit nouveaux issue de la loi de
ratification.
Cette reforme ne fige pas le droit des contrats. Elle dispose de nombreuse regles
supplétives que les parties peuvent écarter (a moins que ces dernieres dispose du
caractere d'ordre public).
F. L'avenir de la réforme
Partie I: Le contrat
Section 1 Distinction
La volonté des contractants se suffit elle a elle meme pour créer des obligations.
Ou alors la volonté est elle soumise a des normes supérieures a respecter pour
conclure un contrat. La question fait l'objet d'un débat entre les libéraux et ceux
defendant une conception sociale du droit des contrat. D'apres la théorie de
l'autonomie de la volonté qui a longtemp dominé le droit francais seul la volonté
suffit et c'était sa seule limite. C'est le reflet du libéralisme économique. Ou alors
le principe de la liberté contractuelle.
Un contrat est honéreux lorsque les avantages donnés peuvent etre chiffrer
Un contrat aleatoire est quand a lui un contrat ou les parties accepte que les effets
de leur contrats sois soumis a la réalisation d'un évenement incertain.
Un contrat solennelle veut dire que le contrat dépend d'une formalité imposé par
la loi.
et le contrat réelle quand a lui signifie la remise effective d'un bien preter par un
preteur a l'emprunteur.
Le contrat cadre est un accord par lesquels les contractants conviennent des regles
de leur futur relation et les contrats d'application sont les regles spéficiques.
E. Les contrats a éxecution succesive et ceux a execution instantanée
Les contrats instantanée doivent s'executer en une seule fois contrairement aux
contrats a execution succésives qui signifie plusieurs executions de la prestations
Elle repose sur l'obligation de bonne fois. Elle ne porte que sur les informations
dont l'importance est determinante du consentement du contractant qui ignore
l'information. Cela comprend les informations sur le contenu du contrat ou les
qualité directe du contractant.Toutefois aucune information n'est exigée quand a
la valeur dus ou attendu du contractant. Pour que cette obligation d'information
sois dus il faut que le contractant detienne une information dont il ne peux ignorer
l'importance pour son cocontractant. De plus il faut que le contractant qui ne
dispose pas de l'information l'ignore légitimement (en clair qu'il ne pouvait pas
l'obtenir par lui meme). En cas de conflit/litige sur l'information, on applique les
régles de la charge de la preuve: C'est donc celui qui se prétend créancier de
l'obligation d'information qui doit prouver que les conditions evoqué ci-dessus
soient réunis. Le devoir de bonne foi est de notoriété publique et en conséquence
les contractants ne sont pas en moyen de l'exclure ou de limiter la responsabilité
du contractant qui ne la respecte pas via une clause.
Les dommages dus sont les DI, nullité du contrat si un vice de consentement a
etait provoqué.
§1 L'offre
A. Les conditions
1. Conditions de fonds
2. Effets de l'offre
Si elle n'as pas encore était accepté il faut se poser la question de la retractation
de l'offre. Tant que l'offre n'est pas parvenu a son destinataire l'offrant peut la
révoquer/retracter. A raison de la confiance légitime du destinataire de l'offre qu'il
faut proteger, l'offre ne peux expirer avant un délair raissonable d'acceptation. Par
contre quand l'offre est elle meme emise avec un délai précis d'acceptation, le
délai raissonable est effacé par les termes de l'offre. Et si l'offreur enleve son offre
pendant le délai fixé par son offre il sera sanctionné par des D&I. Ces derniers vont
sanctionné la perte du destinataire mais pas sa perte d'avantage en cas de
conclusion du contrat. En vertu de la loi, l'offre en cas de refus de son auteure est
caduque en vertu de la liberté contractuelle (personne ne peux contracter contre
son gré). Le déces du destinataire de l'offre emporte la caducité de l'offre (ne se
transmet pas a l'héritier).
§2 L'acceptation
A. Condition de fonds
B.Condition de forme
La seule exception vaut quand des relations d'affaires préexistait a l'offre ou alors
qu'un usage pro accorde une telle signification au silence dans la profession. Et si
l'offre a était fait dans l'interet exclusif du destinataire alors le silence peut valoir
acceptation.
C. La portée d'acceptation
Que se passe t'il quand l'offrant propose aux destinaire de l'offre des clauses a
propos desquels l'accepation suscite un doute car elle ne sontt pas dans
l'instrumentum par exemple. Seul les clauses connues et accepté sont opposable
au co-contractant.
Ces conditions génerales sont souvent pré-rediges pour chaque contrat d'un
contractant. Le contractant peut il invoquer ses clauses sans savoir que son co-
contractant ne les a acceptés ? En principe oui mais lorsque dans une rencontre
d'offre et d'accepation les conditions generales de l'un et l'autre s'entrechoque et
sont contradictoires. Dans un tel cas, le contrat est formé valablement formé mais
les conditions générales se neutralisent et la régle légale supplétive qui s'applique.
A. Le principe de la liberté
Si un négociateur révele une fausse information il viole aussi une regle de bonne
fois. Sera aussi considere de mauvaise fois le négociateur ne cherchant pas une
issue favorable a une négociations.
La rupture de la négociation est aussi soumis a la bonne fois : Si il les rompt dans
des circonstances vexatoires: En entourant la négociations de rumeurs
diffamantes/négatives. Si la négociation en raison de son état d'avancement et des
frais engendrées va legitimement crées un espoir légitime. Alors le contractant qui
a rompu les négociations pourra engager sa responsabilité civil. Les
dédomagements seront les benefices qu'il aurait pus esperer a la conclusion du
contrat.
1. La lettre d'intention
C'est un document par lesqueles des personnes manifeste leur interet en vus de la
conclusion d'un contrat sans avoir d'info sur les caracteristiques exactes
2. Lettre de principe
Plus précise que la lettre d'intention mais certaines infos reste vague : comme le
prix.
3. Accord partiel
L'accord partiel porte sur des élements essentiels du contrat négociés dont la
formation est décisive mais n'est pas complet.
1. Pacte de préference
En revanche il n'est pas exigée dans le pacte que le prix soit determinée.
Le beneficiaire d'une promesse unilaterale de vente s'il ne leve pas l'option peux
s'engager a payer une indemnité d'immobilisation. En concluant une promesse
unilaterale de contrat le promettant a deja consenti a potentiellement vendre le
bien. S'il retire son consentement il doit naturellement etre sanctionné.
Avant 2016 la cour de cassation estimé qu'il pouvait se retracter et ne pas forcer la
vente car pas de rencontre de volonté. (juste des D&I)
Cette décision avait etait critique car elle enlevait la force obligatoire du contrat.
Elle enlevait la parole contractuellement donné qui avait pourtant une valeure
importante et qui ne pouvait etre compenser par des D&I.
C'est un contrat préparatoire par lesquel les contractants s'engage par le lien d'un
contrat définitif, mais, les contractants soumettent la perfection de ce contrat a
l'accomplissement de formalité ou alors a l'obtention d'un financement. Par
exemple les parties stipule une clause en vertu de laquelle il énonce une condition
de validité du contrat dont il discute et qui s'ajoute a toute les conditions de
validitié. Par exemple une vente et dans la promesse synalagmatique, la formation
définitive de la vente promise est soumise a la réiteration du consentement par
acte authentique. Et si elle n'est pas la lieux le contrat ne sera pas valablement
formés.
Quid de la date ?
Cela veut dire que l'émetteur de l'offre peux revenir sur son offre jusqu'au
moment de la réception. Ce changement de régles n'est que relatif car la régle
issue de la réforme n'est que supplétive donc écartable. Dés lors la date du contrat
peut etre librement fixée par eux.
Les pouvoirs du representant sont : Il ne peux agir que dans la limite des pvrs
attribué par la loi soit dans les cas attribué par la loi soit par les pvrs confié par le
representé. Quand le pvr que recoit le representant est spécialement determinée
il doit le respecter.
Le droit spécial est le droit "courant" des contrats. il s'applique aux contrat de
consomation par exemple.
Cela se fait entre toute personne physique et les contrats de consomation se font
lorsqu'on ne le fait pas dans le cadre de notre activité professionnel.
Le droit de la conso comporte des régles de prévention des risques actuelles ainsi
que des risques pour les consomateurs.
C'est pour cela que le code de la conso protége les consomateurs contre eux
meme majoritairement.
Le législateur pour le proteger lui offre des avantes pour se lier et des solutions
pour se délier.
A. La liberté de se lier
Le principe qui régne en droit commun sous entend la liberté de la forme pour
exprimer son consentement.
Néanmoins des régles sont soumis a la forme pour le pro : Taille des caracteres,
doc officielle etc...
3. Liberté par le temps.
B. Liberté de se délier
Le code civil dispose qu'un co-contractant a une régle de repentire qui s'il est
exercé va emporter l'anéantissement du contrat. Ainsi un consomateur qui a
conclut un contrat de crédit a la consomation peux pdt un délai de 14 jour exercé
un délai de repentir, il peux le faire gratuitement et sans motif.
Section 2: Contrats entre absents : les contrats conclus par voie électronique.
§1 conditions de forme
Une telle offre doit comporter certaines mentions venant informer son
destinataires en vue du contrat. Il s'impose qu'importe la qualité de de l'émetteur
de l'offre éléctronique. L'exigence peut etre ecarté si le contrat est fait par deux
pros.
§2 Conditions de fond
La durée de validité de l'offre par voie electronique: Son auteur reste engager tant
que l'offre reste accessible par voie electronique de son fait. Mais si l'émetteur de
l'offre l'as retiré pour des raisons techniques qui s'impose a lui, il n'est plus
engager.
A. La réalité du consentement
L'auteure d'une offre par voie electronique demeure active tant qu'elle est
accesible et l'acceptation le double clique.
2§ L’incapacité de contracter
L’erreur est une croyance qui diffère de la réalité. Cette derniere peux emporter la
nullité du contrat ou non.
Pour etre cause de nullité, l’erreur doit porter sur des objets particulier du
contrat
1. Objet de l’erreur
Lorsque l’erreur est provoqué par le dol, soit un délit civil, alors
l’impératif de justice contractuelle est privilégié. L’errance a était trompé
par l’auteur du dol alors sa protection doit être renforcée. Il s’agit en plus
de le protéger, de sanctionné l’auteur du dol. Le dol entraine la nullité du
contrat.
1. L’élément matériel
Le dol peut être une manœuvre, une machination. Ou de propos
délibérément mensonger ou alors une réticence intentionnelle a
propose d’une info dont l’auteur connaissait son importance pour
la partie co-contractante.
2. L’élement intentionelle
Le contrat est nul lorsqu’il n’est pas accepté librement. Cela peux résulter de la
violence ou alors cela vient d’un abus de dependance.
2§ L’abus de dependance
A.
Depuis la réforme le code comporte une règle disant qu’il y’a également
violence lorsqu’une partie abuse l’état de dépendance du co-contractant
et obtient de lui un engagement qu’il n’aurait pas eu en temps normal.
En l’an 2000 la cour de cassation a décide que la contrainte devait
désormais être rattaché a la violence et plus a la lésion. La cour de cass a
décide que l’exploitation abusive d’une dépendance économique et
jouer sur sa crainte pouvait entrainer la nullité du contrat.
La réforme admet donc d’une façon générale que la violence peux
entrainer la nullité meme si elle a une origine autre qu’humaine. Dés lors
la violence peux émaner non seulement d’un humain mais aussi du
contexte dans lequel evoluait le co-contractant.
B .
Pour obtenir la nullité d’un contrat pour abus de dépendance, le
contractant doit prouver qu’il était en état de dépendance lors de la
conclusion du contrat, quelque soit la dépendance.
De plus le contractant doit aussi prouver qu’il a obtenu un avantage
manifestement excessifs. Certains considere que le vice de l’abus de
dependance ne peux etre apprécier que si le caractere abusifs du co-
contractant est prouver.
Néanmoins d’autres penses que seul la preuve pour desequilibre
excessifs doit faire présumer l’abus
C.
Ce vice emporte une exception pour la validité des contrats lésionnaires.
En effet la lésion n’est pas une cause de nullité, mais la dépendance crée
une lésion qui peut être annulé.
Certaines sont légales : Les contrats conclus par mineur, ou les majeurs incapable.
Les revenus des mandataires si leur revenu est disproportionnée par rapport a la
prestations.
A :Contrôle de la prestations
Il n’est pas nécessaire que l’objet de l’obligation existe matériellement. Il peut etre
conclut et porté sur un lien futur.
Néanmoins si l’impossibilité est propre aux débiteurs alors le contrat est valable
La prestation de celui qui s’engage doit être déterminé dans le contrat des sa
conclusions. Il s’agit d’assurer les intérêts privés du contractant. Le contrat n’est
pas valable si la prestation est determinable mais unilatéralement.
1 : Avant la réforme
Avant l’exigence d’une contrepartie était une exigence de cause. C’était une notion
indépendante de la personnalité ou de la psycho du contrat.
2 : Apres la reforme
Le droit admet le contrôle des stipulations contractuelles. Ainsi que les clauses par
lesquelles les contractants aménage leur contrats.
Depuis quelques décennies notre droit assure une protection contres les clauses
abusives.
Ce sont des clauses imposées par un contractant a son co-contractant et, qui
engendre un déséquilibre significatif. Cette protection contre les clauses abusives
par le code de la consommation et le code commerce, ainsi que le code civil.
Depuis 1978, tout consommateurs qui agit des fins qui ne rentre pas dans le cas de
son activité professionnelle est protégé en cas de contrats passé avec un
professionnelle
A :L’organisation
A l’origine une loi de 1978 disposait que pour qu’une clause abusive sois réputée
non-écrite elle devait avoir était prohibée dans un décret.
Elle n’était pas non-écrite si elle n’était pas prohibée par décret même si elle était
abusive.
Néanmoins les décrets dans ce sens était rare et dés lors la cour de cassation a pris
la confiance et dans un arrêt, les juges ont déclaré qu’il pouvait faire réputé non-
écrite toute clause considérée comme abusive.
Une autre loi a modifié le régime et désormais une clause abusive est une clause
provoquant un déséquilibre significatif.
Un autre problème résidait dans le manque de sécurité du pro qui était soumis a
l’appréciation des juges.
Désormais la protection des consomateurs repose sur une définition des clauses
abusives vu en haut mais aussi par un systéme de liste qui allege la charge de la
preuve du consomatteurs et rassure les professionnels.
Il existe en effet une liste noire comportant une série de clause réputé
irréfragablement abusive. D’autre part il y’a une liste grise qui comporte des
clauses simplement présumé abusive. Dans ces cas la le professionnel doit
démontrer que sa clause n’est pas abusive pour démonter la présomption
notament en montrant l’existance de clause venant réequilibre le contrat. Si la
clause n’est dans aucune des listes alors c’est aux conso de prouver le caractere
abusif de la clause
B :Le domaine
Les clauses portant sur l’objet principal du contrat ou celle portant sur l’adéquation
du prix ne peuvent être réputé non écrite mémé si elle crée un déséquilibre.
L’examen de la liste noire et grise revele que le désequilibre significatif reside dans
l’absence de réciprocité accordé aux co-contractants, sois de la potestativité, ou
alors de la sanction du manquement aux consomateurs.
La conso peux exercer une action individuelle devant le juge pour la faire réputée
non-écrite. Les associations de consommateurs peuvent exercer une action
préventive pour supprimer les clauses abusives.
D’autre part une association peux faire réputée non écrite une clause abusive en
cours d’exécution du contrat. Voire meme faire suspendre le contrat.
Une action en nullité (qui est imprescriptible), une action visant a faire réputée
non-écrite la clause. Voire engager la responsabilité civile et même faire prononcer
des D&I
2§ Protection par le code de commerce
Dans certaines hypothese, les pro sont des conso comme les autres. Ils se
retrouvent dans des situtions de dependances. Ils sont alors soumis aux risque du
désequilibre contractuel significatif.
Cela concerne une personne qui exerce des activités de production, de distribution
ou de service. La victime est celle stipulé dans la clause. En general on parle de
contrats d’adhésion
Certains auteurs ne sont pas favorables car certaines clauses similaires doivent
être irrémédiablement réputée non-écrite qu’importe le code et le domaine.
B : Le domaine
Seules les clauses abusives dans un contrats d’adhésion son susceptibles d’être
réputée mal écrite.
La définition est la même que tous les codes mais ont les mêmes exceptions que le
code de la consommation.