Droit public et droit privé

Synthèse
Titre 1 : Les personnes physiques et morales – la personnalité juridique
La personnalité juridique permet aux personnes (physiques et morales) d’exister en droit, d’agir en
droit, d’être titulaires de droits et d’obligations (D.O.), de disposer d’un patrimoine ; fiction juridique ; de
la naissance à la mort

Chapitre 1 : Les personnes physiques

 2 conditions : vivant et viable
 Mort = perte de la personnalité juridique
 Dépouille = chose digne de protection
 Animaux = chose digne de protect° ; pas de personnalité juridique ms protect° offerte par le droit
étatique ; biens meubles ou immeubles par destination
 Identificat° par le nom, le prénom et le domicile

1.1. Le nom patronymique

Filiat° ; identificat° de la famille
Ancien Code civil : En cas de désaccord ou en cas d'absence de choix, l'enfant porte le nom de son père =
la règle de l’absorption
Nouveau Code civil : l’enfant porte les noms du père et de la mère accolés par ordre alphabétique (si
double nom : choix par l’intéressé ou ordre alphabétique
Changement de nom : par l’intéressé ou son représentant légal ; demande au ministre de la Justice

1.2. Le prénom
Choix = parents sauf si atteinte à l’enfant
Changement de prénom : par l’intéressé ou son représentant légal ; demande à l’officier de l’état civil

1.3. Le sexe
Auparavant : obligat° de stérilisat° ; mtn : seule la convict° importe
Possibilité de modificat° : permet aux personnes de choisir le sexe qu’il vit intérieurement, en principe
irrévocable
 déclarat° à l’officier de l’état civil  procureur du Roi (délai de 3 mois)  nvlle déclarat° (3 à 6 mois)
Mineur non-émancipé : àpd 16ans + attestat° pédopsychiatre

1.4. Le domicile
= lieu géographique où se trouve l’individu, ou l’endroit où l’on a le plus de chance de trouver tel ou tel
individu
= question de droit
1. Critère matériel = effets personnels
2. Critère moral = volonté

1.5. La résidence
= question de fait
= instabilité
1.6. Le domicile légal
Assignat° d’un domicile par la loi (ex : juges de l’ordre judicaire, membres de la cour des comptes, juges
constitutionnels, notaires et huissiers) + mineurs (obligat° chez parent(s)) + personnel de maison

1
1.7. Le domicile élu
= domicile fictif ou réel qu'une personne a déclaré avoir choisi pour y recevoir certaines notifications ou
significations
= domicile procédural

1.8. L’état des personnes physiques

Point de vue État des personnes
= ensemble de qualités qui permettent de positionner
État / société Belge, étranger, …
une personne dans une société donnée
= conséquences juridiques (droits et obligat°) Famille Célibataire, veuf, marié, …
= incessible, imprescriptible et hors commerce Individu Majeur, mineur, …

1.9. La capacité de jouissance et d’exercice

= capacité de personnes
1.9.1. La capacité de jouissance
Titulaires de droits subjectifs (civils et politiques) – exception = ex. mineur peut ê proprio ms pas voter

1.9.2. La capacité d’exercice

Capacité à mettre en œuvre les droits subjectifs (accomplir des actes juridiques)
Exceptions :
a. La minorité
b. La minorité prolongée (abrogée) – incapacité
c. L’administration provisoire
d. L’interdiction (abrogé) – incapacité
e. Le Conseil judiciaire (abrogé) – incapacité

Chapitre 2 : Les personnes morales

Disposent de droits, d’obligation et d’un patrimoine = perso juridique (perte = dissolut°, terme, faillite, …)
Identificat° via dénomination et siège
Les associations de fait (syndicats, partis politiques, groupement de quartier, …) n’ont pas la personnalité
juridique ms bien personnalité morale

2.1. La dénomination sociale

Doit ê unique
2.2. Le siège social
= domicile d’une personne morale
2.2.1. Personnes morales de droit public
Créées par la loi au sens large et acquièrent la perso juridique par simple mention dans la loi
Peuvent créer :
- des personnes morales qui relèvent droit privé (ASBL même si financée par l’argent public)
- des personnes morales qui relèvent droit public (régies autonomes)
- des personnes morales qui relèvent droit privé et public (intercommunales car SA OU SCRL)

2.2.2. Personnes morales de droit privé

Loi donne habilitat° aux personnes morales de droit public et PM de droit privé d’en créer
La perso juridique est acquise automatiquement

2.3. La spécialité des personnes morales de droit privé

Les actes pris par la personne morale en dehors de cette spécialité sont atteints de nullité

2.3.1. La spécialité d’ordre légale

 vise les limites juridiques de l’activité des pouvoirs publics = notion de compétence

2.3.2. La spécialité d’ordre statutaire

2
 but et objet social définit dans les statuts ; limites juridiques de l’activité des sociétés, ASBL et
fondations

2.4. La spécialité des personnes morales de droit public

Créées par la loi ou loi donne hablitat° d’en créer
2.4.1. La spécialité d’ordre légale
 la personne morale n’a d’existence juridique que dans un cadre légal bien défini

2.4.2. La spécialité d’ordre statutaire

 peuvent agir que dans les limites légales et dans le cadre des missions qui leur sont dévolues par la loi

État, Communautés, Régions, Provinces et Communes : spécialité  compétence

Compétence de l’auteur de l’acte dans le cadre du contentieux administratif

Chapitre 3 : Le patrimoine
= enveloppe vide ou pleine, et éléments positifs ou négatifs (valeurs, biens, immeubles, créances, droits,
dettes, servitudes, obligations…)

Il est :
- Universel
Contient tous les éléments + et – appartenant à une personne
- Unique et indivisible
Seules les personnes disposent d’un patrimoine et chaque personne ne dispose que d’un seul
patrimoine
Peut pas scinder le patrimoine
- Inaliénable
Ne peut ê cédé entre vifs

Le patrimoine d’une personne morale de droit public est soumis à des règles particulières propres au
droit public, le régime de la domanialité.

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Titre 2 : Les biens
Chapitre 1 : Définition(s) du mot bien – Les choses
Biens = choses matérielles ou immatérielles
= susceptibles d’appropriation ou de possession par une personne.
= valeur économique, patrimoniale

Appropriation (propriété) = concrétisation d’un droit de propriété (droit subjectif)

Possession = utilisation du bien indépendamment de la Q de propriété

Res communes
CHOSES « res »
 5 sens  Pas susceptible d’appropriat°
 Existe dans la nature, réalité  Régis par les lois particulières,
 Gde utilité génrale (y compris
2 condit° cumulatives générat° futures

BIENS
Res nullius

Une chose peut être un bien à 2 conditions cumulatives :

- être susceptible d’appropriation et donc susceptible de rentrer dans le patrimoine d’une
personne,
- procurer à cette personne un avantage ou une utilité personnelle

Chapitre 2 : Les res nullius et les successions en déshérence

Choses sans maitre : res nullius + successions en déshérence
Res nullius = choses susceptibles d’appropriation (ex. : animaux sauvages libres)
Si pas de successeurs ou ils renoncent (= déshérence)  succession à l’État, au domaine public

Chapitre 3 : Distinction entre bien corporel et bien incorporel

Bien corporel : Bien incorporel :
- réelle existence physique - pas réelle existence physique, abstrait,
- être appréhendé par les sens, fiction juridique
- mesuré de manière instantanée, - existent parce que le droit les a créés
- meuble ou immeuble - meuble ou immeuble

Chapitre 4 : Distinction entre « bien meuble » et « bien immeuble »

Les biens sont meubles par défaut et immeubles si repris dans dispositions.
Bien meuble Bien immeuble

- peut être déplacé (traditionnellement) - ne peut pas être déplacé (traditionnellement)

- valeur pécuniaire – importante (exceptés navires, - valeur pécuniaire + importante
fusées, navettes spatiales, stations orbitales, …  +
chère)
- soumis à des modalités de transcription (publicité)
- susceptible d’hypothèque pr les except° uniquem-t - susceptible d’hypothèque (dans tous les cas)
- saisies mobilières : garanties procédurales - lourdes - saisies immobilières : garanties procédurales +
lourdes
- règles de prescription acquisitives ou liées à la possession diffèrent

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Chapitre 5 : Les immeubles

Ancien code civil

1. par nature Immeubles corporels (choses immobilières et le droit de
propriété qui se confond avec elles)
2. par destination
3. par l’objet auquel ils s’appliquent  Immeubles incorporels

Nouveau code civil, art. 3.47 :

1. par nature,
 fonds de terre et volume qui les composent
2. par destination,
 accessoires d’un immeuble
3. par incorporation
 tous ouvrages et plantations qui, s'incorporant aux immeubles par nature, en
constituent une composante inhérente, incorporée ou non

Nouveau concept de propriété par « volume »  permet d’acquérir un volume ou une partie d’immeuble
Avantages : Donc :
- pas nécessaire d’acquérir la propriété - pas besoin d’un acte de base,
du terrain - pas de cout financier et fiscal liés à
- pas nécessaire de mettre en place un l’acquisition du terrain
régime de copropriété - permet contrôle foncier sur le bien
cédé

Le droit de propriété et certains droits de créance  immeubles

Fruit >< produit

Fruit = générer sans altération de sa substance
Produit = ce qu’il rapporte avec diminution de la substance progressivement ou immédiatement
Animaux ? = fruit

1. Les immeubles par nature = biens immeubles corporels

= ne peuvent pas être déplacés sans altération fondamentale de leur substance
= fonds de terre (sol et sous-sol) et divers volumes les composant

Exemples (de l’ancien Code civil) :

- fonds de terre + les divers volumes (nouveauté) les composant,
- bâtiments (matériaux = meubles  incorporation = deviennent immeubles),
Accession = le propriétaire du bien meuble perd son droit de propriété au profit du propriétaire
du fond, via l’incorporation
- moulins à vent et à eau fixés et faisant partie du bâtiment,

Meuble par anticipation = immeubles

Exemple : vente d’une future récolte = droit de créance et non droit réel

2. Les immeubles par destination

Par destination économique :
Meubles par nature mais considérés comme immeubles

Par destination utilitaire ou somptuaire par attache à perpétuelle demeure

Accessoires d’immeubles ou attache matérielle (dépend de la volonté du propriétaire) (glaces,
parquet, statues dans niche ; même si pas attachées)
 tout ce qui ne peut être détachés sans fracture ou détérioration

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 3. Les immeubles par incorporation
Abrogé mais recyclé

Tous ouvrages ou plantations qui, s’incorporant ou non aux immeubles par nature, en constituent une
composante inhérente.
- les végétaux adhérents au sol (désormais considérés comme immeubles par incorporation)
pommes sur l’arbre, le blé pas récolté, plantes en pot
… si désincorporation  redevient meuble

« Un immeuble par incorporation est un bien mobilier qui est intégré à un immeuble. Il ne peut plus être
enlevé sans dégrader le bien. Il fait partie de l’immeuble, de la vente et du prix. Il s’agit par exemple
d’une baignoire, des meubles de cuisine, d’une chaudière, d’un radiateur fixe, etc. »

4. Anciennement : par l’objet auquel ils s’appliquent

Ne touche que les immeubles incorporels.
Exemple :
- L’usufruit des choses immobilières,
- Les servitudes ou services fonciers,
- Les actions qui tendent à revendiquer un immeuble,
- La superficie,
- L’emphytéose,
- L’hypothèque
 visent droits réels immobiliers et certains droits de créance

Chapitre 6 : Les meubles

Catégorie résiduaire
1. Les meubles par nature
- susceptibles d’être déplacées
- ne font pas l’objet d’une immobilisation par incorporation ou par destination économique ou
somptuaire.
- Exemples : un chien, une chaise, une automobile, une vasque, une fourchette, un Bic, une
cafetière, une statue non située dans une niche réalisée à cet effet, les navires…

2. Les meubles par détermination de la loi

Droits et actions réels dont l’objet est immeuble + droits et actions personnels permettant d’acquérir un
immeuble

Exemples (ancien code civil) :

- Créances (sommes exigibles ou effets mobiliers),
- actions ou intérêts dans les compagnies de finance, de commerce ou d'industrie (meuble pour
chaque associé ; aussi lgt que dure la société)
- rentes perpétuelles ou viagères (particuliers ou État)

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Titre 3 : Les rapports entre les personnes et les biens
Chapitre 1 : Les biens privés et biens publics
Nouveauté = théorie de la domanialité
 distinction entre domaine public et domaine privé
Les biens publics appartiennent au domaine privé, sauf si affectés au domaine public
Le bien du domaine public ne peut pas être acquis par une autre personne de droit privée ou publique,
sinon il ne relève plus du domaine public

Chapitre 2 : Les biens privés

Biens des personnes physiques et des personnes morales de droit privé
 droit d’en disposer sous conditions établies par la loi
 régit par le droit privé (Code civil)
Question de droit et question de fait : droit de propriété et possession

Chapitre 3 : Les biens publics

Biens publics = administrés ; aliénation possible selon les formes et règles en vigueur
 régit par le droit public : théorie de la domanialité (doctrine + jurisprudence)

Chapitre 4 : Droits réels et droits personnels

1. Le droit réel
→ Droit d’une personne vis-à-vis d’une chose « res »
→ Obligat° personnelles passive universelle
→ Rapport juridique entre une personne et une chose
→ Remarque : il s’agit plutôt d’un rapport entre une personne et toutes les autres, vis-à-vis d’une
chose  les tiers (universel) sont tenus à une obligation passive (non usus, non fructus, non
abusus) de la chose d’un propriétaire sans son autorisation = obligation passive universelle
Prérogatives (application) : complètes (ex : droit de propriété) ou partielles (ex : superficie, usufruit,
emphytéose)
Le titulaire du droit réel possède un droit de suite qu’il exerce par l’action de revendication
 peu importe où se trouve l’objet, le propriétaire ( ou créancier) peut réclamer la chose
usurpée (voiture volée, hypothèque d’une maison revendue, …)
Droits réels principaux Droits réel accessoires
- jouir directement de la chose, - auxiliaires à une autre droit,
- ex : droit de propriété, usufruit, … - ex : l’hypothèque est l’accessoire d’un droit de
créance
2. Le droit personnel
→ Droit d’une personne vis-à-vis d’une ô personne
→ Droit de créance : permet d’exiger l’exécution d’une obligation d’une ô personne
→ Ex : contrat de bail, prêt, …

Chapitre 5 : La propriété
 confère au propriétaire le droit d’user de l’objet de son droit et d’en faire ce qu’il souhaite.
Prérogatives + restrictions législatives + règlements + droits de tiers
 proprio des ttes les composantes inhérentes du bien (accession)
 maitrise d’une personne à propos d’un droit : 9 facultés ou prérogatives lui sont offertes
 notion d’abus de droit (en disposer sans prohibition) et troubles du voisinage (sécurité, santé,
pollution)
9 prérogatives :
- usus (user), - non usus, - interdire usus par un tiers,
- fructus (intérêts ou fruits), - non fructus, - interdire fructus par un tiers,
- abusus (vendre, détruire), - non abusus, - interdire abusus par un tiers.
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Droit d’usufruit = démembrement du droit de propriété = droit réel viager
Usufruitier (usus + fructus) – nu-propriétaire (abusus)
(re)devient plein propriétaire au décès de l’usufruitier
La propriété s’acquiert par :
- accession ou incorporation,
- succession

Chapitre 6 : La possession
→ Q de fait qui a des conséquences en droit
→ ≠ détention précaire (ne tient pas son pouvoir de l'emprise matérielle qu'il exerce sur la chose,
mais du titre qui l'autorise à détenir la chose ; ex : contrat de bail – locataire)
→ ≠ actes de simple tolérance – pas de possession ni détention (accord tacite)
→ Effets utiles en droit = 2 prérogatives :
1. Possession utile
Possession continue, paisible, publique et non équivoque  présumées sauf preuve contraire
2. Possession de bonne foi
Présumée sauf preuve contraire
Possession meubles et immeubles
Possession immeubles protégée par des actions spéciales (actions possessoires ≠ droit de propriété)
Possession meubles confère un titre de propriété (possession vaut titre de propriété)

3 effets de la possession
1. Effet probatoire
Présumé titulaire du meuble sauf preuve contraire
2. Effet protecteur
Action possessoire sans préjudice des règles de la responsabilité extracontractuelle si dépossédé de son
droit réel immobilier
3. Effet acquisitif
La prescription acquisitive des droits réels est constatée par décision de justice
Prescription acquisitive : 10 ans de bonne foi ; 30 ans de mauvaise foi
Bien meuble : revendiqué dans les 3 ans

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 Titre 4 : Les biens publics – La domanialité
 Biens gérés par l’administration et qui
appartiennent aux personnes morales de
droit public disposant d’une part de
l’impérium étatique
 Servent à l’accomplissement des missions
d’intérêt général
 Régimes juridiques distincts
 Évolutive (jurisprudentielle et doctrinale)

Chapitre 1 : Le domaine public

 + protecteur
 Dérogatoire au régime commun
 Les biens attribués comme tel
Exemples : routes, fleuves navigables,
forteresses, ports, bases militaires, …
 Les biens qui servent indistinctement à l’égard de tous
 En raison de la nature du bien
 En raison de la volonté du PP (décision de l’autorité publique)

1. L’affectation au domaine public

Nécessite un acte juridique (de volonté) pour le classement (posséder (acheter ou acquérir) n’est pas
suffisant)
2. La désaffectation ou la sortie du domaine public
Si pas déclassement  invalide la procédure de vente
3. Régime juridique des biens appartenant au domaine public
Insaisissable : car indispensable aux citoyens – exceptions
L’expropriation pour cause d’utilité publique est impossible.

Imprescriptible : pas disparaitre par effet de prescription – sauf servitude vicinale peut
Les biens du domaine public ne peuvent faire l’objet d’une prescription acquisitive.

Inaliénable : peut pas constituer des droits réels (usufruit, propriété, emphytéose Ș condit°, de superficie
Ș condit°, …)
Les biens du domaine public ne peuvent être grevés de servitudes.

Incessible : ne peut être donné ou presque ($ pouv publics)

Hors commerce : gage, hypothèque, vente, échange, … ($ contrat de bail)

La vente d’un bien du domaine public non déclassé est nulle pour défaut d’objet licite.

4. Les utilisations privatives du domaine public (précaires et révocables)

Autorisation domaniale : Concession domaniale :

 occupation précaire du domaine public  contrat administratif (bilatéral)
 acte administratif unilatéral (AP ou Conseil)  donne lieu à droit subjectif ;
 permission de stationnement, permission de voirie indemnisation en cas de révocat°
(train touristique), terrasses de café, occupation  sépulture, parking sous-terrain, …
pour des installations foraines, étals des marchands ≠ concession de service public
ambulants lors des marchés, réservation d’un (concession domaniale + missions
emplacement de parking pour un déménagement service public)
Les biens du domaine public ne peuvent faire l’objet d’un contrat de bail mais uniquement
d’autorisations, permissions ou concessions. Ces autorisations, permission ou concessions sont toujours
révocables par retrait.

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Chapitre 2 : Le domaine privé
 par défaut, désaffectation ou déclassement
 ne nécessite pas de déclassement
- non affecté à l’usage de tous
- pas aménagé en vue d’un service public (grottes, voies d’eau non-navigables, forêts domaniales)
- biens meubles (corporels ou incorporels (navires, actions, obligations, brevets, …)

1. Régime juridique des biens relevant du domaine privé

 Insaisissables ($ condit°)
 Prescriptible
 Aliénable
 Cessible (ex : clôture 30ans)
 Dans le commerce

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Titre 5 : Les sources des obligations
Obligations = acte juridique ou fait juridique (différent dans le notion de volonté de produire des effets
de droit)
= contrat synallagmatique


Chapitre 1 : L’acte juridique

« l’acte volontaire destiné et apte à réaliser des effets de droit, c’est-à dire à créer, modifier, transmettre
ou éteindre un droit subjectif. »

L’acte juridique unilatéral

Volonté d’une seule personne
Exemples : notification attribut° MP, règlement taxe, police, …

1. AJU du droit privé :

Rares
Exemples : testament, reconnaissance d’enfant, offre de vente, acceptation d‘une succession, congé en
matière de bail, donation, mise en demeure, …

2. AJU du droit public :

Les actes administratifs de portée individuelle Les actes administratifs de portée règlementaire
Nommément désignée(s) Portée générale et abstraite
Exemples : acte de nomination, sanction Exemples : AR, règlement taxe, …
disciplinaire, octroi ou refus du permis de bâtir, …

L’acte juridique bilatéral

Au – 2 personnes
1. AJB du droit privé :
Fréquents
Nommés « contrat », « convention » ou « accord »
Exemples : contrat de vente, contrat d’entreprise, contrat de mandat, contrat de bail, …

2. AJB du droit public :

Fréquents car MP + contractualisat° de l’act° administrative

Contrats de/par l’administration  acte juridique unilatéral relevant du droit privé (+droit administratif)
Régi par le droit commun de contrats + majoritairement concept d’égalité justifié par actes administratifs
adopter au préalable pour matérialiser et former le consentement de la personne publique par le CE via
la théorie des actes détachables du contrat
Exemples : contrat de travail, contrat de bail, contrat de vente, …

Contrats administratifs
Les particuliers n’en concluent pas
Le droit commun des contrats intervient de manière supplétive
Exemples : concessions, marchés publics, …

Chapitre 2 : Les faits juridiques

Faits destinés à produire des droits subjectifs
Agissements ou événements auxquels la loi attache des effets de droit (privé ou public)

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 1. Faits matériels
Indépendants de la volonté
Change ordonnancement juridique
Exemples : naissance, mort, 18ans, …

2. Actes matériels
Sans intention juridique ou sans que les effets juridiques attachés à l’acte soient directement recherchés
Exemples : tabasser, changement de domicile (droit des successions), …

Chapitre 3 : La preuve des actes et faits juridiques

Les actes juridiques

Instrumentum = écrit, preuve, objectification
Soumis au formalisme administratif
Exemple : motivation formelle des AA de portée individuelle

Les faits juridiques

Pas susceptibles de preuves préconstituées
Par toutes voies de droit (témoignages, films, photos, présomptions, constats, …)

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Titre 6 : La responsabilité civile
Chapitre 1 : Intro – les types de responsabilité civile
1. Sur base de la faute
a. Responsabilité civile extracontractuelle ou délictuelle
Violation de l’obligation générale ou de la loi

b. Responsabilité civile contractuelle

Violation d’une obligat° découlant d’un contrat (faute d’inexécut° ou d’exécut° tardive ou info cachée)
Vise aussi les administrations
 Culpa in contrahendo = responsabilité précontractuelle
Pourparlers = déjà relation juridique

2. Sans faute / objective

Exemples : employeur-travailleur ; fabricant-consommateur ; concessionnaires-particulier ; transporteur-
voyageur ; troubles du voisinage (arbre  humidité mur)

Chapitre 2 : Évolution de la jurisprudence dans le cadre de la responsabilité civile

extracontractuelle des pouvoirs publics
= création jurisprudentielle
À l’origine distinct° Ḝ l’état pers privée et l’état perso publique  par de contrôle pour les PouvPublics
Désormais différent = personne qui commet la faute  droit lésé qui importe

Chapitre 3 : Conditions de la responsabilité civile extracontractuelle basée sur l’article

1382 de l’ancien code civil
Établir responsabilité civile d’une personne (3 cumulatifs) :  prouver par la victime

1. Le dommage
- D’ordre matériel : perte d’un objet, d’un animal, d’un bâtiment, …
- D’ordre physique : œil, main, prothèse, … (engendre incapacité de W  diminut° de revenus)
- D’ordre moral : souffrance physique ou morale ; doit ê licite (véhicule de drogue volé) et certaine
(pas pu gagner la course car blessé au début)

2. La faute
- Manquement au devoir général de prudence qui s’impose à tous
Selon la comparaison aux agissements du « bon père de famille » (abstrait, honnête et prudent) en
pareilles circonstances

- Violation d’une règle générale

Règle légale ou déontologique
Responsabilité engagée que si 3 conditions réunies (faute, lien de causalité, dommage)

- Échelle des fautes (≠ droit du W)

 Le dol
Extracontractuelle = faute volontaire ;
contractuelle = inexécution intentionnelle
 La faute lourde
Pire que la personne la moins soigneuse
 La faute légère
Pire qu’une personne de vigilance moyenne
 La faute légère
Pire que les personnes les plus prudentes

3. Le lien de causalité
Preuve que sans la faute, pas de dommage

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Théorie de l’équivalence des conditions ; très favorable aux victimes ; multiplie les responsables
potentiels ; ∆+ chances réparation intégrale du dommage

4. Conséquences
Réparation : en nature ou équivalent
Possibilités : plusieurs fautifs / victime en partie responsable

Chapitre 4 : Les autres hypothèses de responsabilité dans le code civil

3 possibilités dans le type de responsabilité extracontractuelle :
Fait personnel Fait d’autrui Fait des choses
 soi-même  enfant (parent et instit),  bâtiment tombé en ruine
animal, maitre-domestique

Titre 7 : La responsabilité pénale des pouvoirs publics

 ≠ responsabilité civile extracontractuelle car réparat° d’un dommage
 = sanction (réparat° du trouble social)
 Auparavant, pas poursuivable pénalement (personne morale ; personnes physiques)
 Maintenant responsable et poursuivable pénalement

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Titre 8 : Les contrats de l’administration et les contrats administratifs
Chapitre 1 : Généralités
Contrats de l’administration  droit administratif  égalité, transparence, motivation, MP, …

Chapitre 2 : Exemples de quelques contrats de l’administration

 Contrat de travail : acte administratif respecte principe d’égalité, comparaison des titres et
mérites, …
 Contrat de vente : si domaine privé sinon déclassement
 Contrat de bail : si domaine privé ; perd bénéfice exonérat° fiscale du précompte immobilier

Chapitre 3 : exemple de quelques contrats administratifs : les marchés publics, les

concessions de travaux et de service, les concessions domaniales
1. Le marché public – définition
Contrat à titre onéreux (argent ou autre) Ḝ un Aeur et un prestataire (Aaire)
2. Catégories de marchés publics
 Le marché de travaux : génie civil
 Le marché de fourniture : + lensing, rentinf, locat°-vente, …
 Le marché de service : audit, services juri, assurances, études, plans, …

Chapitre 4 : Les principes généraux régissant les marchés publics

Égalité de traitement/non-discriminat°, proportionnalité , concurrence et transparence
1. L’égalité
Tous les stades : pas biaisé le CCH aussi
2. La transparence
Via droit au recours et publicité
3. La concurrence
Forme de publicité (seuils européens)
4. Le forfait
Forfaitaire = prix peuvent pas ê modifiés
a. À prix global : montant offre + montant facture
b. À bordereau de prix : montant article (au mètre, au litre, à la pc, …) ; +/- montant facture
c. À prix mixte : les deux
5. Paiement pour service fait et accepté
Payement après prestations
$ acomptes, avances ou clause de réexamen pour imprévision
6. Proportionnalité
- Critères de sélect° qualitative
- Critères d’attribut° proportionné ; équilibré ; dosé
- Gravité des irrégularités des offres

Chapitre 5 : Les modes de passation des marchés publics

Procédure pour recourir à un entrepreneur, un prestataire ou un fournisseur
Procédures ouvertes ou restreintes Procédures négociées

Les autres modes de passat°, procédures concurrentielles avec négociat°, le dialogue compétitif et le
partenariat d’innovat°

Les concessions de travaux et de service (seuils) – soumis à la légis sur les MP

La concession domaniale – pas légis MP car par travaux, pas service, pas fourniture MS règles de
transparence, égalité et non-discrimination
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Titre 9 : Les actes administratifs
2 types d’actes :
 Portée individuelle
Destinataire identifiable nominativement (ex : acte de nomination, un refus, la décision
d’attribution d’un MP à une entreprise, la décision d’octroi d’une prime, permis d’urbanisme, …)
 Portée générale et abstraite
Réglementaire ; catégorie de personnes ; /!\ règle de non-discrimination

Chapitre 1 : Compétence de l’auteur de l’acte

L’autorité administrative ne peut dépasser son champ d’action conféré par loi
1. Compétence « ratione loci »
= en raison du lieu

2. Compétence « ratione temporis »

= en raison du temps ; /!\ non rétroactivité, ni anticipat°
Except° en vertu du principe de continuité du SP :
3. Compétence « ratione materiae »
affaires courantes ou prudentes + théorie du
= compétence matérielle, d’attribut°
fonctionnaire de fait
/!\ usurpat° de pouvoirs (empiéter sur les ô)
/!\ détournement de pouvoir (user de ses compétences à d’ô fins)

4. Compétence « ratione personnae »

= compétence en fonct° de la personne, de l’autorité
Que sur son territoire
Même si la personne est de passage et pas domiciliée

Chapitre 2 : Le respect des formes

Si pas respect  annulat° ou pleine nullité
Projet d’AR soumis à l’avis du CE
Règlements provinciaux et communaux  Conseil communal ou provincial
1. Désignat° de l’organe compétent
2. Condit° de convocation + OJ
3. Condit° pour la prise de décision : majorité présente + vote majorité simple
4. Formalisme + signature + contresignature de l’instrumentum
5. Publication
6. Détails de procédure

Chapitre 3 : La cause de l’acte administratif – les motifs

Motifs = motivat° matérielle et motivat° formelle

 nécessaire au contrôle de la légalité interne par le CE ;

 vise tous les actes administratifs
 apparait dans l’instrumentum
 les motifs et raisons

 vise les actes administratifs de portée individuelle

 légalité externe
 vu + considérant
 tout doit ê écrit ou joint

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Chapitre 4 : La motivation formelle des actes administratifs de portée individuelle
Sont concernés, les actes :
- Unilatéraux  toujours ; bilatéraux (contrat)  vise actes détachables
- qui ont pour but de produire des effets de droits
- de portée individuelle
Elle est nécessaire pour la transparence (destinataire doit tout comprendre)
4 exept° à l’obligation de motivat° formelle :
1. Compromettre la sécurité extérieure de l’état 3. Violer le droit au respect de la vie privée
2. Porter atteinte à l’ordre public 4. Constituer une violation des dispositions en matière de
secret professionnel

Chapitre 5 : L’objet de l’acte administratif

Soit laissé à l’appréciat° de l’autorité (compétence décisionnaire), soit obligé par les compétences liées
(conseil élabore le règlement d’octroi de primes et le collège octroi les primes ; donc pas libre choix –
patere legem quam ipse fecisti)

Chapitre 6 : La finalité de l’acte administratif

= user des pouvoirs qui lui ont été conférés en vue d’atteindre un but qui n’est pas celui en vue duquel
lesdits pouvoirs lui ont été donnés

Chapitre 7 : Entrée en vigueur, exécution et fin de l’acte

Entrée en vigueur :
 Générale et abstraite = publication
 Individuelle = notification

1. Principe de non-rétroactivité
 ratione temporis
Exceptions :
 Retrait d’un acte irrégulier (sous certaines conditions).
 L’annulation d’un acte administratif
 Régularisation d’une situation, de fait ou de droit.
 Assurer la continuité du service public (cf. Théorie du fonctionnaire de fait).
 Exécution d’une loi rétroactive.
 Combler un vide juridique créé par un arrêt d’annulation du Conseil d’Etat.

2. Entrée en vigueur de l’acte administratif

Existe dès son adoption mais exécutable après publication ou notification
AR  moniteur belge  10e jour
Règlement provincial  bulletin  8e jour
Règlement communal  valves  5e jour

3. L’exécution de l’acte administratif

 privilège du préalable et de l’exécution d’office : présompt° que l’act° de l’administrat° est légale
L’administrat° peut décider de ne pas exercer ces privilèges et suivre des procédures identiques aux
particuliers

4. La fin de l’acte administratif

Disparition pour diverses raisons :
I. Le terme
II. La condition résolutoire
Exemple : l’octroi d’une subvention conditionnée
III. L’abrogation
17
Acte juridique qui met fin pour l’avenir à 1 ou pl. actes juridiques
Actes administratifs règlementaires
Se réalise grâce au concept de changement et de mutabilité du SP
Complète ou partielle
Exemples : l’abrogation ou la modification des statuts de la fonction publique, la suppression de services
publics organisés par des normes réglementaires, …

Actes administratifs de portée individuelle

Ssi un texte spécial l’autorise
Sinon pas cohérent avec la finalité de l’AAPI

IV. Le retrait
 comme s’il n’avait jamais existé
 s’oppose aux principes de bonne administration, la sécurité juridique, le respect des droits acquis et le
principe général de non rétroactivité des actes administratifs

Actes administratifs règlementaires

Si régulier : en principe impossible
Si irrégulier :
- retrait dans le même délai de recours au CE = 60j  jurisprudence du CE
- retrait sans délai  jurisprudence de la Cour de Cassat° (art 159 Constitut°)

Actes administratifs de portée individuelle

Ssi irrégulier et/ou non créateur de droits
Actes non créateurs de droits :
- Les actes recognitifs : dit qu’une personne se trouve dans les conditions ou remplit les
conditions qui sont fixées par une autre norme, les actes obtenus par fraude par exemple sur
base d’une fausse déclaration,
- Les actes irréguliers illégaux : contraires à une norme supérieure
- Les actes de refus : AA rejetant une demande ou encore un acte refusant l’octroi d’un permis
de bâtir.
Délais :
- retrait dans le même délai de recours au CE = 60j  jurisprudence du CE
- retrait sans délai  jurisprudence de la Cour de Cassat° (art 159 Constitut°)

V. L’annulation
 Tutelle d’annulation
 Recours en annulation devant le CE
 Juge judiciaire (art. 159 Constitut° - except° d’illégalité) pour AAPI = effets similaires à une
annulat°

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Titre 10 : Le contrôle de légalité des actes administratifs
Chapitre 1 : Le contrôle de la légalité externe
 respect des formes et procédures (ex : publication)
 si non-respect = plein nullité
 plus facilement attaquable

Chapitre 2 : Le contrôle de la légalité interne

 respect de la hiérarchie des normes
1. La compétence discrétionnaire
Sélect° libre du contenu de l’acte
2. La compétence liée
Pas de compétence discrétionnaire ; aucun pouvoir d’appéciat°
3. Le détournement de pouvoir, l’erreur de droit, l’erreur de fait, l’erreur d’appréciation

Le détournement de pouvoir = user de ses compétences à d’ô fins

L’erreur de droit = base légale manquante, erreur d’interprétat° de la base légale, mauvaise qualificat°
juridique des faits (qui fondent la décision)
L’erreur de fait = fait inexistant ou inexacte
L’erreur d’appréciation = réponse raisonnable (contrôle par le CE)

Contrat synallagmatique : fait naitre des droits et obligations dans le chef de chacune des parties
Action pétitoire : revendiquer la propriété d’un bien immobilier
Action possessoire : revendique la possession d’un bien immobilier
Negocium : accord de volonté. Il est assorti de l’instrumentum qui est l’écrit, et constitue l’acte. Il peut
être seul si c’est une vente de faible montant par exemple.

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Table des matières
Titre 1 : Les personnes physiques et morales – la personnalité juridique....................................................1
Chapitre 1 : Les personnes physiques.......................................................................................................1
1.1. Le nom patronymique..............................................................................................................1
1.2. Le prénom.................................................................................................................................1
1.3. Le sexe......................................................................................................................................1
1.4. Le domicile................................................................................................................................1
1.5. La résidence..............................................................................................................................1
1.6. Le domicile légal.......................................................................................................................1
1.7. Le domicile élu..........................................................................................................................2
1.8. L’état des personnes physiques................................................................................................2
1.9. La capacité de jouissance et d’exercice....................................................................................2
Chapitre 2 : Les personnes morales..........................................................................................................2
2.1. La dénomination sociale...........................................................................................................2
2.2. Le siège social...........................................................................................................................2
2.3. La spécialité des personnes morales de droit privé..................................................................2
2.4. La spécialité des personnes morales de droit public.................................................................3
Chapitre 3 : Le patrimoine........................................................................................................................3
Titre 2 : Les biens..........................................................................................................................................4
Chapitre 1 : Définition(s) du mot bien – Les choses..................................................................................4
Chapitre 2 : Les res nullius et les successions en déshérence...................................................................4
Chapitre 3 : Distinction entre bien corporel et bien incorporel................................................................4
Chapitre 4 : Distinction entre « bien meuble » et « bien immeuble »......................................................4
Chapitre 5 : Les immeubles......................................................................................................................5
1. Les immeubles par nature = biens immeubles corporels..............................................................5
2. Les immeubles par destination.....................................................................................................5
3. Les immeubles par incorporation.................................................................................................6
4. Anciennement : par l’objet auquel ils s’appliquent......................................................................6
Chapitre 6 : Les meubles..........................................................................................................................6
1. Les meubles par nature................................................................................................................6
2. Les meubles par détermination de la loi.......................................................................................6
Titre 3 : Les rapports entre les personnes et les biens.................................................................................7
Chapitre 1 : Les biens privés et biens publics...........................................................................................7
Chapitre 2 : Les biens privés.....................................................................................................................7
Chapitre 3 : Les biens publics...................................................................................................................7
Chapitre 4 : Droits réels et droits personnels...........................................................................................7
1. Le droit réel..................................................................................................................................7

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 2. Le droit personnel.........................................................................................................................7
Chapitre 5 : La propriété...........................................................................................................................7
Chapitre 6 : La possession........................................................................................................................8
Titre 4 : Les biens publics – La domanialité..................................................................................................9
Chapitre 1 : Le domaine public.................................................................................................................9
Chapitre 2 : Le domaine privé.................................................................................................................10
Titre 5 : Les sources des obligations...........................................................................................................11
Chapitre 1 : L’acte juridique...................................................................................................................11
L’acte juridique unilatéral...................................................................................................................11
L’acte juridique bilatéral.....................................................................................................................11
Chapitre 2 : Les faits juridiques...............................................................................................................11
Chapitre 3 : La preuve des actes et faits juridiques................................................................................12
Les actes juridiques............................................................................................................................12
Les faits juridiques..............................................................................................................................12
Titre 6 : La responsabilité civile..................................................................................................................13
Chapitre 1 : Intro – les types de responsabilité civile.............................................................................13
Chapitre 2 : Évolution de la jurisprudence dans le cadre de la responsabilité civile extracontractuelle
des pouvoirs publics...............................................................................................................................13
Chapitre 3 : Conditions de la responsabilité civile extracontractuelle basée sur l’article 1382 de l’ancien
code civil.................................................................................................................................................13
Chapitre 4 : Les autres hypothèses de responsabilité dans le code civil.................................................14
Titre 7 : La responsabilité pénale des pouvoirs publics..............................................................................14
Titre 8 : Les contrats de l’administration et les contrats administratifs......................................................15
Chapitre 1 : Généralités..........................................................................................................................15
Chapitre 2 : Exemples de quelques contrats de l’administration...........................................................15
Chapitre 3 : exemple de quelques contrats administratifs : les marchés publics, les concessions de
travaux et de service, les concessions domaniales.................................................................................15
Chapitre 4 : Les principes généraux régissant les marchés publics.........................................................15
Chapitre 5 : Les modes de passation des marchés publics.....................................................................15
Titre 9 : Les actes administratifs.................................................................................................................16
Chapitre 1 : Compétence de l’auteur de l’acte.......................................................................................16
1. Compétence « ratione loci ».......................................................................................................16
2. Compétence « ratione temporis »..............................................................................................16
3. Compétence « ratione materiae »..............................................................................................16
4. Compétence « ratione personnae »...........................................................................................16
Chapitre 2 : Le respect des formes.........................................................................................................16
Chapitre 3 : La cause de l’acte administratif – les motifs........................................................................16
Chapitre 4 : La motivation formelle des actes administratifs de portée individuelle..............................17

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 Chapitre 5 : L’objet de l’acte administratif.............................................................................................17
Chapitre 6 : La finalité de l’acte administratif.........................................................................................17
Chapitre 7 : Entrée en vigueur, exécution et fin de l’acte.......................................................................17
1. Principe de non-rétroactivité......................................................................................................17
2. Entrée en vigueur de l’acte administratif....................................................................................17
3. L’exécution de l’acte administratif..............................................................................................17
4. La fin de l’acte administratif.......................................................................................................17
Titre 10 : Le contrôle de légalité des actes administratifs..........................................................................19
Chapitre 1 : Le contrôle de la légalité externe........................................................................................19
Chapitre 2 : Le contrôle de la légalité interne.........................................................................................19
1. La compétence discrétionnaire...................................................................................................19
2. La compétence liée.....................................................................................................................19
3. Le détournement de pouvoir, l’erreur de droit, l’erreur de fait, l’erreur d’appréciation............19

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