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CHAPITRE 3 : LES FONCTIONNEMENTS DE LA SOCIÉTÉ

1. Les organes des directions :

Le dirigeant d’une société est lié par un contrat de mandant, il agit pour le compte de société,
c’est-à-dire, dans l’intérêt de société et en engageant la responsabilité de la société.

A. Le statut :

Le représentant légale doit être majeur et non placé sous un régime de protection. Le
représentant légal est peut-être une personne physique ou morale, un associé ou un
tiers. Le représentant légal est nommé par les associés dans les statuts ou par acte extra-
statutaire par les associées. La décision se prend en principe à la majorité ordinaire. Le
mandant sociale peut être prévue avec ou sans délais et les statuts peut poser des
conditions à la nomination du représentant (ex : Age, diplôme, etc…)

Note : mandant social → contrat des sociétés ; capacité être dirigeant → être majeur, ne pas
sous de protection sociale ; la but de droit →

B. Les pouvoirs :

Le représentant légale a les pouvoirs, les plus étendues pour agir en tout circonstances au
nom de la société. Il peut conclure tous les actes des gestion nécessaires à la réalisation
d’objet social.
i. Les limites légales : la loi impose au dirigeant d’agir dans la double limite de
l’objet social et l’intérêt social ;
ii. La limite jurisprudentielle : la jurisprudence interdit le représentant les actes
suivantes :
• Vendre l’immeuble ou s’exerce l’activité ;
• Céder le bail commercial
• Donner en nantissement le fonds de commerce ;
iii. Limites statutaires : il est fréquent de prévoir dans le statut des clause limitatives
de responsabilité. Le représentant a l’obligation de respecter les clauses
limitatives mais en cas de violation de clause, le contrat n’est annulé car la clause
et inopposable au tiers. Le représentant légal pourra en revanche être révoquer
et il engagera éventuellement sa responsabilité.

Note : SNC → contrat annule ; contenu opposable ; faute, préjudice, révocation,


rétroactivités : en cas d’annualité de contrat → récupération chacun leur bien. Tier de
bon foie :

C. Les devoirs :

Les représentants doivent agir avec les compétences et dirigeantes. Il a également une
obligation de loyauté à la rencontre des associées et des sociétés.
Les représentants doivent rendre des comptes aux associées et notamment établir un
rapport gestion annuel qu’il doit présenter aux associés lors de l’AGO.

D. La responsabilité :

1. À l’égard des associées et de la société :


Toute faute de gestion violation de la loi ou violation des statuts permet d’engager la
responsabilité des représentants. Si c’est la société qui subit un préjudice, on parle
d’action sociale ut-universi (si l’action est menée par le dirigeant) ut-singuli (par les
associés). Si c’est un associé est subit un préjudice, l’action édite individuelle.

2. À l’égard d’un tiers :


Le représentant n’engage sa responsabilité que s’il commet une faute séparable des
fonctions, c’est-à-dire une faute une particulier gravité, incompatible avec l’exercice
de fonction social.

E. La fin du mandant social :

Le mandant prendre en fin à l’arrivé du terme en cas de décès ou d’incapacité


représentant ou encore en cas de dissolution de la société. Le représentant peut
également démissionner mais il ne doit pas le faire dans le but de nuire à la société. Il
peut être révoquer. Il existe deux possibilités en droit de société, elle peut exiger un juste
motif de révocation et dans ce cas il faudra prouver une faute de gestion, une violation de
droit ou statut. Si le représentant est évoqué sans motif, il pourrait obtenir des
dommages-intérêts. La loi peut également prévoir une révocation ad-nutum, c’est-à-dire,
à tout moment sans juste motif, dans ce cas, le représentant ne pourra pas obtenir le
dommage intérêt sauf il y a une faute dans les circonstances de la révocation. Le
représentant légale ne sera pas réintégré dans la fonction.

Note : démission contre-temps ; ad-nutum a tout sans juste un motif ; SARL :

F. Cumul mandant social et contrat de travail :

Le représentant légal peut cumuler son mandant sociale et contrat de travail à 3


conditions cumulatif :
- Travail effectif : c’est-à-dire, une vraie tache affectée une contrat travail
- Dualité des fonctions : c’est-à-dire, une distinction claire entre les fonctions des
gestions et les tâches salariés
- Un lien de subordination

2. Le contrôle de la société :

Note : Interne →
CAC →
A. Le contrôle interne :

Note : régime conventionne → 3 catégories : interdite (ne pas toucher l’argent pour son
besoin comme emprunter, etc..), l

1. Les conventions interdites :


Il y a 3 conventions interdites : un associé ou un dirigeant personne physique ne peut
pas emprunter de l’argent pour son compte à la société, ne peut pas faire consentir
par la société à découvert ou faire garantir ses dettes par la société.
Cette interdiction conserve aussi les personnes interposées.
Cette interdiction ne s’adresse pas aux personnes morales et ne concerne pas les
établissements financiers.
Ces conventions interdites sont nullité absolue.

2. Les conventions libres :

C’est une convention courante conclue à des conditions normales. Est une
convention correspond à l’objet de la société et qu’elle ramenait à conclure
Les conditions normales se signifient une convention de bénéficier à n’importe quel
tiers

3. Conventions règlementées :
10 % de droit de vote → sas, sa → conventions réglementées
Est la convention conclue directement ou indirectement entre la société et l’un des
représentant légaux ou l’un des associés sans conditions des droits de vote dans le
SARL détenant 10% de droit de vote dans la SA, SAS.

B. Le contrôle externe :

Le CAC doit s’assurer que le compte de l’entreprise donne une image fidèle du résultat de
l’entreprise. Il doit être indépendant et indépendamment de ses obligations comptables,
il engage sa responsabilité notamment pénale en cas de non-révélation voir même de
complicité. CAC a un devoir d’alerte.
Depuis la loi du 22 mai 2019, CAC n’est obligatoire dans la société commerciale que la
société dépasse de 3 seuils suivants : 4 millions au total de bilan, 8 millions de CAC HT, et
50 salarié permanent en moyenne sur exercice.

3. La dissolution :

A. Les causes de disparitions :

1. Les causes de dissolution de pleine droit (automatique) :


- Arrivé du terme : la société peut être proroger mais la décision doit être prise au plus
tard l’année précédant l’année d’acquisition du terme.
- Extension ou réalisation des objets sociales : la réalisation de l’objet ou l’extension
définitive.
- La mise en œuvre d’une clause statutaire
2. Les causes de dissolution volontaires :
- L’annulation du contrat de société : si le juge annule le contrat de société, la société
est automatiquement dissoute.
- La dissolution pour juste motif qui correspond à deux cas : inexécution des ses
obligations par un associé ou mésentente des associées provoquant la paralysant de
ses associés. Si l’associé demande la dissolution est à l’origine il est fréquent que le
juge refuse. Le juge peut également décider d’exclure le ou les associées qui cause
problème.
- La liquidation judiciaire (insuffisant d’actif) :
- Dissolution à titre de sanction pénal :
- La rupture anticipée voté par les associés : il peut voter la dissolution
- Société à main unique : réunion des toutes les parts à une société, n’existe pas dans
les statuts : Sarl
Dans la société ou la loi impose au moins de 2 associés ci toutes les parts réunissent
en seul membre, l’associé a un 1 an pour régulariser.

B. La liquidation :
Voir fiche.

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