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Fabrication du médicament
Acepral
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Sommaire
Introduction………………………………………………………………………...……1
Partie théorique
Chapitre I :généralité sur les médicament
I.5.Types de médicaments………………………………………………………………...7
Chapitre II :Acepral
II.1.Definition…………………………………………………………………………..12
3
II.6..Mises en garde et précautions d'emploi………………………………..……….....…....14
III.8.GROSSESSE ET ALLAITEMENT……………………………………………..…….17
II.9.EFFETS INDÉSIRABLES…………………………………………………………..….17
II.10.SURDOSAGE………………………………………………… ……..………………..18
II.11.PHARMACODYNAMIE………………………………………………… …………..18
II.12.PHARMACOCINÉTIQUE……………………………………………..……………..16
IV1.La fabrication……………………………………………………………..……………24
IV.3.Méthode de fabrication…………………………………………………………..….25
4
IV.4.Contrôle qualité des médicaments…………………………………..…………..…..25
Bibliographie ………………………………………………………………………….….28
Figure[1]photo de médicament
Tableau[1].composition de ACEPRAL…………………………………………………..12
5
INTRODUCTION
La santé est notre héritage, notre droit, c'est ľ union et profonde entre ľâme ,ľesprit et le corps
et on doit la protéger. Pour cela, les médicaments en toujours été assujettis à de nombreuses
recherches afin d'améliorer les conditions de la santé et du bien-être des humains.
Ľ industrie pharmaceutique est le secteur économique qui regroupe les activités de recherche,
de fabrication et de commercialisation des médicaments pour le domaine de la santé publique
qui est un domaine particulièrement complexe et sensible.
Pour mieux assimiler le procédé de fabrication des médicaments, et lier mes connaissances
théoriques acquises ou cours de ma formation avec le milieu industriel , nous effectue un
stage pratique au sein de ľunités SAIDAL- cherchal , une usine de fabrication des produits
médicament .
Notre stage s'inscrit dans le processuce effectué par ľ entreprise du la production SAIDAL-
cherchalTipaza ou cette dernière a consacré ď énormes moyens de protection et des systèmes
ď assurance qualité ses laboratoires , afin ď assurer la qualité des médicaments déposés sur le
marché algérien.
Parmi les médicament fabriqués au niveau de cette entrpise, nous citonAcepral® Cardio de
100 mg.
Cette mémoire on dévise sur deux partie, parti théorique et partie pratique et il ya deux
chapitre chaque partie
Partie théorique :
Le Chapitre I il contient géneralité sur les médicament etLe Chapitre II : Le ACEPRAL
On Partie pratique il ya deux chapitre et Le chapitre III il contient de définition de groupe
SAIDAL et Le chapitre IV il compose de fabrication de ACEPRAL
1
Chapitre I
Géneralité sur les médicaments
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I.1.Le médicament
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conférant après injection une immunité contre les infections correspondantes : exemple
vaccin antigrippal. Certains antibiotiques sont obtenus à partir de culture de champignon,
exemple : le genre Penicillium dont est obtenue la pénicilline.[3]
I.3.4. Médicaments d’origine minérale :
Ce sont souvent des produits minéraux naturels employés comme principes actifs ou
excipients de médicaments : exemples : talc, eau, argile, bicarbonate de sodium. [3]
I.3.5. Médicaments d’origine synthétique:
C’est la principale source de production des médicaments modernes .Ce sont généralement
des molécules obtenues par des méthodes de synthèse de chimie organique. Dans certains
cas, il est possible de transformer des molécules déjà connues d’origine naturelle ou
synthétique pour aboutir à de nouvelles molécules (hémi-synthèse).[3]
I.3.6. Médicaments d’origine biotechnologique:
Ce sont des produits élaborés pour l’essentiel par des techniques de génie génétique .Le but
est d’isoler des cellules vivantes et de leur faire produire des substances d’intérêt
thérapeutique, qu’elles ne synthétisent pas en temps normal .Exemples : Interféron, hormone
de croissance.[3]
I.4. Modes d’administration des médicaments
I.4.1.Administration par voie digestive
A.Voie sublinguale: Dragées à croquer.
B. Voie orale :
Formes solides :
*Unitaires: Comprimés (nus, enrobés ou effervescents) ; cachets ; pilules, granulés, gélules,
sphères ou capsules.
Retard: Comprimés multicouches, enrobés, gélules enrobées.
A diviser: poudres, granulés.
Formes liquides Unitaires: ampoules buvables.
A diviser: gouttes, suspensions, émulsions.
C. Voie rectale : suppositoires ; Lavements purgatifs, nutritifs ou thérapeutiques.[4]
I.4.2.Administration par voie parentérale:
Cette voie implique une qualité quasi impérative aux solutés injectables : Stérilité, Ph voisin
de la neutralité, isotonicité avec le plasma, apyrogène (sans substance donnant de la fièvre). :
Ampoules injectables, flacons avec poudre à dissoudre. Remarque : Il y a une possibilité
d’obtenir des formes retard par voie intramusculaire par injection de solutions huileuses ou
5
par voie sous cutanée par des solutions microcristallines.[4]
I.4.3.Autres voies d’administration
A. Voie respiratoire : Gouttes nasales peuvent avoir une résorption avec un effet général
important ; aérosols, pulvérisations pour la muqueuse trachéo-bronchique (profondeur de
pénétration) ; anesthésiques généraux volatils pour la muqueuse pulmonaire.
B.Œil: Effet local car la résorption est en général difficile du fait de la nature de la cornée,
cependant le passage par le canal lacrymal peut entrainer des effets systémiques, c’est pour
cela qu’il faut appuyer sur l’angle interne de l’œil lors de l’administration du collyre.
C. Oreille : Gouttes auriculaires, généralement tièdes pour éviter des troubles
labyrinthiques.
D.Muqueuse génitale: Solutions de lavages, ovules, comprimés gynécologiques.[4]
I.4.4.Explication des formes médicamenteuses
1. Les comprimés : Ce sont des préparations de consistance solide, de formes diverses
(ovales, ronds, ...). On distingue les comprimés à avaler et les comprimés à usage
gynécologique.
2. Les gélules: Ce sont de petites boîtes cylindriques constituées de deux enveloppes rigides
en gélatine s'emboîtant l'une dans l'autre et contenant une poudre médicamenteuse.
3. Les sirops : Ce sont des préparations liquides contenant une forte proportion de sucre et
destinées à être avalées. La posologie est le plus souvent donnée en cuillère à soupe ou à
café.
4. Les suspensions : Ce sont des poudres contenues dans un flacon. Avant utilisation, le
malade ajoute un volume précis d'eau propre (indiqué sur le flacon), puis il dissout
correctement la poudre en agitant fortement le flacon.
5. Les pommades : Ce sont des préparations de consistance molle, destinées à être
appliquées sur la peau ou les muqueuses. On distingue les pommades dermiques (pour la
peau), ophtalmiques (pour les yeux) et anales (pour l'anus).
6. Les collyres : Ce sont des médicaments destinés au traitement des maladies oculaires. Ces
préparations stériles sont appliquées directement sur l'oeil. Un flacon de collyre ouvert
depuis plus de quinze jours ne doit plus être utilisé, car il y a des risques de contamination.
7. Les préparations injectables : Ce sont des solutions ou des poudres que l'on dissout avant
l'administration au patient. Ces produits sont destinés à être injectés à travers la peau
(injection intraveineuse ou intramusculaire).[4]
I.5. Types de médicaments
6
Il existe trois types différents de médicaments génériques .
Ces trois types de génériques sont les suivants :
- La copie-copie : c'est un générique qui est la copie conforme du médicament original :
même substance active, même quantité, même forme galénique, même excipients. Ces
génériques sont souvent produits par le laboratoire qui produit le princeps similaire.
- les médicaments similaires : le générique diffère du princeps par l'utilisation d'un excipient
différent. Mais ni sa forme galénique, ni sa quantité ni sa substance active ne changent. Une
étude de bioéquivalence doit prouver que le changement d'excipients ne modifie pas la
biodisponibilité, les valeurs de Cmax (pic de concentration plasmatique) et Tmax (délai
d’apparition de ce pic après la prise du médicament).
- les médicaments assimilables : les modifications par rapport au princeps concernent à la
fois la forme galénique, la forme chimique de la substance active. Ces médicaments doivent
également prouver leur bioéquivalence.[5]
Pour les médicaments génériques, il existe plusieurs façons pour les nommer. Selon la
législation, le nom d’un générique peut être exprimé soit sous la forme d’une dénomination
commune suivie du nom du laboratoire, soit avec un nom de marque suivi du suffixe Gé (pour
Générique).
La DCI liés au nom du producteur : C’est les médicaments identifiés par le nom scientifique
de la ou des substances actives qu’ils contiennent suivi du nom du laboratoire producteur. Par
exemples : Ampicilline DAKOTA®, Métronidazole QUALIMED®, Fluor uracile ®,
Héparine DAKOTA®, Gentamycine PANPHARMA®. La dénomination commerciale ou
spéciale (spécialité pharmaceutique) : C’est le nom de marque déposée par le fabriquant. Ce
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nom est court et facile à mémoriser, afin d'encourager les gens à demander ce produit par son
nom .Ces médicaments sont généralement rédigés en lettres majuscules .Exemple :
CATALGINE®. Le même producteur peut disposer de plusieurs noms de marque pour un
même médicament18 .Par exemples pour le paracétamol : EFFERALGAN®,
DOLIPRANE®, DAFALGAN®, MALGIS®.
Une fois que le médicament est périmé, il ne doit plus être vendu ni être utilisé. Le gérant
doit retirer les produits des étagères de vente, et les stocker dans un carton spécifique.
Cependant, il arrive que certains produits se dégradent anormalement rapidement et
deviennent inutilisables alors que la date de péremption n'est pas encore arrivée. Les facteurs
de dégradation sont:
- l'odeur : certains produits (comme l'acide acétylsalicylique) dégagent une odeur lorsqu'ils
sont attaqués par la chaleur ou l'humidité.
- la couleur : certains médicaments changent de couleur : il faut vérifier la couleur originale.
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I.6.3La dénomination commerciale ou spéciale :(Spécialité pharmaceutique), c’est le nom
de marque déposée par le fabriquant. Ils sont généralement rédigés en lettres majuscules. Ex :
CATALGINER.[6]
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Chapitre II :
ACEPRAL
II1.Définition de ACEPRAL
II.2.Composition de ACEPRAL :
-Excipients
mannitol, sorbitol, crospovidone, silicone dioxyde, arôme de menthe, saccharinate de sodium,
sodium stéaryl fumarate, ethylcelluse.
-Excipients à effet notoire.
II.3.INDICATIONS
- Enfant:
- Traitement symptomatique des affections douloureuses et/ou fébriles.
- Les affections thrombogènes constitutionnelles ou acquises, telle la thombocytose
secondaire à la splénectomie.
- Adulte:
*Prévention primaire cardiovasculaire
* Prévention secondaire (y compris lors des situations d'urgence) après un premier accident
ischémique myocardique ou cérébral lié à l'athérosclérose :
• réduction de la mortalité et de la morbidité de cause cardiovasculaire :
• après infarctus du myocarde ;
• dans le cadre de l'angor stable et instable ;
• lors d'angioplastie coronaire transluminale ;
• après accident ischémique cérébral transitoire ou constitué ;
• réduction de l'occlusion des greffons après pontage aortocoronaire.
• Les affections thrombogènes constitutionnelles ou acquises, telle la thombocytose
secondaire à la splénectomie.[9]
Voie orale.
-Enfant:
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titre indicatif : • jusqu'à 10 kg (soit environ 1 an) : 1 comprimé à 100 mg, à renouveler si
nécessaire au bout de 4 heures, sans dépasser 5 comprimés par jour ; • entre 10 et 12 kg (soit
environ entre 1 et 2 ans) : 1 comprimé à 100 mg, à renouveler si nécessaire au bout de 4
heures, sans dépasser 6 comprimés par jour. Les âges approximatifs en fonction du poids sont
donnés à titre indicatif. Exceptionnellement, les comprimés à 100 mg peuvent être utilisés
chez les enfants de 16 à 24 Kg (soit environ de 4 à 8 ans) avec 2 comprimés à 100 mg par
prise à renouveler si nécessaire au bout de 4 heures minimum, sans dépasser 4 à 6 fois deux
comprimés à 100 mg. Laisser fondre dans la bouche ou croquer avant d’avaler.
- Adulte:
Après infarctus du myocarde, le traitement sera entrepris le plus précocement possible après
l'accident inaugural ou la récidive. La posologie est de 1à 3 comprimés par jour.
Les comprimés à 100 mg sont réservés à l'enfant de moins de 12 kg (soit environ 2 ans).
L'aspirine est déconseillée en cas de goutte. Utiliser avec précaution en cas de :
• antécédent d'ulcère gastrique ou duodénal, ou d'hémorragies digestives ;
• métrorragies et/ou ménorragies, car l'aspirine risque d'augmenter l'importance et la durée
des règles ;
• insuffisance rénale ;
• asthme ;
• utilisation de dispositif intra-utérin.
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Compte tenu de l'effet antiagrégant plaquettaire de l'aspirine, apparaissant dès les très faibles
doses et persistant plusieurs jours, il convient de prévenir le patient des risques hémorragiques
pouvant survenir en cas de geste chirurgical même mineur (exemple : extraction dentaire).
Syndromes de Reye : Des syndromes de Reye ayant été observés chez des enfants atteints de
virose (en particulier varicelle et épisodes d'allure grippale) et recevant de l'aspirine, il est
prudent d'éviter l'administration d'aspirine dans ces situations.[11]
• Anticoagulants oraux avec les salicylés à fortes doses (soit ≥ 3 g/j chez l'adulte) :
augmentation du risque hémorragique (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la
muqueuse gastroduodénale ainsi que déplacement de l'anticoagulant oral de ses liaisons aux
protéines plasmatiques).
• Méthotrexate (utilisé à des doses supérieures ou égales à 15 mg/semaine) : augmentation de
la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate
par les anti-inflammatoires en général et déplacement du méthotrexate de sa liaison aux
protéines plasmatiques par les salicylés).[12]
Déconseillées:
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• Uricosuriques (benzbromarone, probénécide) : diminution de l'effet uricosurique
(compétition de l'élimination de l'acide urique au niveau des tubules rénaux). Utiliser un autre
analgésique.
A prendre en compte:
• Dispositif intra-utérin : risque (controversé) de diminution d'efficacité du dispositif intra-
utérin.
• Thrombolytiques : augmentation du risque hémorragique.
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• Topiques gastro-intestinaux (sels, oxydes et hydroxydes de magnésium, d'aluminium et de
calcium) : augmentation de l'excrétion rénale des salicylés par alcalinisation des urines. [12]
II.8.GROSSESSE ET ALLAITEMENT
II.8.1Grossesse:
• Pendant les 5 premiers mois de la grossesse : l'aspirine en traitement ponctuel peut être
prescrite si besoin ; par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'aspirine en
traitement chronique au-delà de 150 mg/j.
• A partir du 6éme mois de la grossesse : en dehors d'utilisations cardiologiques ou
obstétricales extrêmement limitées, et qui justifient une surveillance spécialisée, tout
médicament à base d'aspirine est contre-indiqué à partir du 6ème mois.
II.8.2Allaitement:
II.9.EFFETS INDÉSIRABLES
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accidents de sensibilisation (œdème de Quincke, urticaire, asthme, accidents
anaphylactiques).
- Autres
douleurs abdominales. L'aspirine peut prolonger le travail et retarder l'accouchement.[14]
II.10.SURDOSAGE
L'intoxication est à craindre chez les sujets âgés et surtout chez les jeunes enfants (surdosage
thérapeutique ou intoxication accidentelle fréquente chez les tout-petits) où elle peut être
mortelle.
Symptômes cliniques :
• Intoxication modérée : bourdonnements d'oreille, sensation de baisse de l'acuité auditive,
céphalées, vertiges, nausées sont la marque d'un surdosage et peuvent être contrôlés par
réduction de la posologie.
• Intoxication sévère : fièvre, hyperventilation, cétose, alcalose respiratoire, acidose
métabolique, coma, collapsus cardiovasculaire, insuffisance respiratoire, hypoglycémie
importante.[15]
II.10.1Traitement:
• Transfert immédiat en milieu hospitalier spécialisé.
• Évacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique.
• Contrôle de l'équilibre acido-basique.
• Diurèse alcaline forcée, possibilité d'hémodialyse ou de dialyse péritonéale, si nécessaire.
• Traitement symptomatique. [16]
II.11.PHARMACODYNAMIE
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II.12.PHARMACOCINÉTIQUE
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II Partie pratique
20
Chapitre III
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III.1.Le Groupe Saidal
SAIDAL est une Société par actions, au capital de 2 500 000 000 dinars algériens. Cotée en
bourse depuis 1999, son capital est à 80% détenu par l’Etat et les 20 % restants sont détenus
par des investisseurs institutionnels et des personnes physiques. [20]
Le Groupe SAIDAL a procédé en janvier 2014 à la fusion, par voie d‟absorption, des filiales
ANTIBIOTICAL, PHARMAL et BIOTIC. Cette décision approuvée par ses organes sociaux
a donné lieu à une nouvelle organisation comportant.[21]
L‟usine de Cherchell se compose d‟un atelier de production avec une capacité de production
de plus de 200.700 unités de ventes. Unique producteur algérien du concentré d‟hémodialyse,
il est doté d‟un laboratoire contrôle de la qualité chargée du contrôle physico-technique,
microbiologique et pharmaco-toxicologique.[22]
22
Capitre IV :
Processus le ACEPRAL
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IV.1.La fabrication
IV.1.1Stockage
L'usine est dotée d un grande magasin subdivisé en trois sous magasins pour accueillir
respectivement trois types de marchandises . Chaque sous magasins est équipé d'un système
de entreprise des plus récent ayant un environment contrôlé afin de garantir les bonnes
conditions de stockage des marchandises s'y trouvent.
1-les matières premières : tous les matières utilisées lors des différents processus des
fabrication (principe actif , conservateur édulcorant ... ect).
2-les articles de conditionnement tous les matériaux utilisés pour le conditionnement des
produits fabriqués (les étuis, notices ,flacons, tubes...ect).
3-le produit fini : c'est le résultat d'une processus de produit constitué de processus de
fabrication et do processus de conditionnement Chaque sous magasin est divisé en zone de
façon à répondre aux recommandations BPF en terme de dispositions des marchandises selon
selon leur statut qualité on distingue.
IV.1.2Fabrication:
La production obéit à un programme qui attribuera à chaque semaine un plan de travail précis
susceptible de subir des changements et des variations selon la demande de marché et la
disponibilité de la matière . Avant toute productions , toute matière première existante dans la
magasin de réception doit être contrôlée pour assurer la qualité et la conformité des produits.
C'est un traitement symptomatique des douleurs l intensité légère à modérée ou des états
fébriles.
Dosage :100Mg
- cuve en inox DIOSNA CCS 800 à double paroi pour préparation de la solution liante munie
d'un agitateur à hélice
- calibreur humide type FREWITTE pour démassage à vitesse réglable muni d'un tamis - lit
d'air fluidisé (LAF) CAP 600 DIOSNA de capacité 680 litres
- Comprimeuse rotative FETTE 2200 i munie d'un jeu de poinçons plat sécable
IV.3.Méthode de fabrication:
Les contrôles sont des procédures ( protocole technique standardisés et enregistrés) défini
pour l acceptation ou le refus des produits .( ils permettent de vérifier que des caractéristiques
sont conformes à des spécifications préétablis.
25
-identifier et doser le ou les principes actif
IV.4.2.Contrôles micrrobiologiques
Les tests microbiologiques se font sur les matières premières, les lots destinés à la
stabilité(produit fini) ainsi que le contrôle de l’eau purifiée potable utilisée dans le nettoyage
du matériel de production.
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Conclusion
Les produits pharmaceutiques jouent un rôle important sur la santé humaine ,Dansse travail
nous avons étudié le procédé de fabrication de ACEPRAL 100 mg qui se présente sous forme
d'une comprimé. Note projet de fin étude est divisé en deux parties (partie théorique et
expérimentale). Dans une premier partie , nous avons présenté les médicament en géneral et
lemédicament ACEPRAL 100 mg. Dans la deuxième partie, notre séjour de stage nous à
permis de suivre les étapes de fabrication de ACEPRAL 100 mg et à la fin de chaque , il est
impérativement conseillé de tester la conformité de médicament avec les normes exigées par
la pharmacopées européennes , ď où un contrôle de qualité a été effectué au niveau du
laboratoire de contrôle de qualité de SAIDAL .
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Bibliographie
[1]
https://fsnv.univ-bba.dz/wp-content/uploads/2020/04/Pharmacotoxicologie_Guergour_H.pdf
[2]https://fsnv.univ-setif.dz/images/telecharger/BPA/S1%20chapitre
%201%20%20pharmacologie%20Bourouba%20M1%20Physio.pdf
[3] https://slideplayer.fr/slide/503919/
[4]https://fsnv.univ-setif.dz/images/telecharger/BPA/S1%20chapitre
%201%20%20pharmacologie%20Bourouba%20M1%20Physio.pdf
[5]https://sante.lefigaro.fr/social/sante-publique/medicaments-generiques/existe-t-il-
differents-types-generiques
[6]https://fsnv.univ-bba.dz/wp-content/uploads/2020/04/
Pharmacotoxicologie_Guergour_H.pdf
[7 ]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf page[77]
[8 ]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf
[9 ]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf
[10]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf
[11]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf
[12]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf
[ 13]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf
[14]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf
28
[15]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf
[16]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf
[17] https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf
[18] https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf
[19] https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf
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