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République Algérienne Démocratique et Populaire

Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique

Centre Universitaire Morsli Abdallah de Tipaza

Institut des Sciences


Département de Génie des Procédés

Projet du Fin de Cycle


En vue de l’obtention du diplôme de Licence
En Génie des Procédés

THEME

Fabrication du médicament
Acepral

Présenté par : Encadré par :

M. : Aboutaima MedMme. :Mouada Hanane


M. :Ouchen Adam
Mlle:KhedimHizia

Année universitaire : 2021– 2022


REMERCIMENT
Tout d'abord, je rande grâce à dieu pour ma avoir guidé et honoré par la lumière de la
compréhension, pour ma avoir fait goûter la connaissance de la science et ma avoir donné le
courage et la volonté de mener à bon terme ce modeste travail.
J'exprime ma profonde gratitude et ma promotrice madameMouada Hanane pour tout
l'attention qui ma accordé a ce travail, précieux conseil et sa patience, et a mon professeur de
module PFC Monsieur Saiba et a mon cadreur Monsieur TalbiMouhamed responsable
production et Madame Ibtisem, j'exprime ma profonde gratitude à tous les personnes de la
production SAIDAL-Cherchal pour l'accueil, l'aide et conseil qu'ils j'aie apportée tout au long
de mon cycle dans la Université au dans mon stage . Mes remerciements vont plus
particulièrement à mes familles et mes amis qui onsu m'encourager tout au long de mes
études.

2
Sommaire

Introduction………………………………………………………………………...……1

Partie théorique
Chapitre I :généralité sur les médicament

I.1Définition des médicaments……………………………………………..…………….3

I.2.Fomre des médicament……………………………………………………………...…3

I.3.Origine des médicament…………………………………………………………........4

I.4.Modes d’administration des médicament……………………………………….….…5

I.5.Types de médicaments………………………………………………………………...7

I.6.Dénomination des médicaments……………………………………….……….…….8

Chapitre II :Acepral

II.1.Definition…………………………………………………………………………..12

II.2.Composition de acepral……………………………………………….…. …….…12

II.3. Indication ……………………………………………………………………….............13

II.4.Posologie et mode d’Administration…………..………………………………………...13

II.5.Contre indication absolues ……………………………………...……………….……...14

3
II.6..Mises en garde et précautions d'emploi………………………………..……….....…....14

II.7. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES Contre-indiquées…………………………15

III.8.GROSSESSE ET ALLAITEMENT……………………………………………..…….17

II.9.EFFETS INDÉSIRABLES…………………………………………………………..….17

II.10.SURDOSAGE………………………………………………… ……..………………..18

II.11.PHARMACODYNAMIE………………………………………………… …………..18

II.12.PHARMACOCINÉTIQUE……………………………………………..……………..16

II.13.CONDITIONS PARTICULIÈRES DE CONSERVATION………………………......16

II: Partie pratique……………………………………………………………… ……….…..17

Chapitre III :Définition le groupe SAIDAL et situation géoghraphique et Processus le


ACEPRAL

III.1.Le Groupe Saidal………………………………………………………………………19

III.2.Organisation du groupe SAIDAL……………………… ………………………..….19

III.3. LES SITES DE PRODUCTION……………………………………………………..19

III.4.LA DIRECTION GÉNÉRALE DU GROUPE………………………………………22

IV1.La fabrication……………………………………………………………..……………24

IV.2.Matériel utilisé dans la fabrication…………………………………………………25

IV.3.Méthode de fabrication…………………………………………………………..….25

4
IV.4.Contrôle qualité des médicaments…………………………………..…………..…..25

Conclusion générale ………………………………………………………………..............27

Bibliographie ………………………………………………………………………….….28

Liste des abréviations

Pa. Principe actif

DCI. Dénomination Commune Internationale

OMS. Organisation mondiale de la santé

Liste des figures

Figure[1]photo de médicament

Figure [2] La dénomination d’un médicament (OMS, 2003)

Figure[3] ACEPRAL cardio100 mg

Liste des tableau

Tableau[1].composition de ACEPRAL…………………………………………………..12

5
INTRODUCTION

La santé est notre héritage, notre droit, c'est ľ union et profonde entre ľâme ,ľesprit et le corps
et on doit la protéger. Pour cela, les médicaments en toujours été assujettis à de nombreuses
recherches afin d'améliorer les conditions de la santé et du bien-être des humains.
Ľ industrie pharmaceutique est le secteur économique qui regroupe les activités de recherche,
de fabrication et de commercialisation des médicaments pour le domaine de la santé publique
qui est un domaine particulièrement complexe et sensible.
Pour mieux assimiler le procédé de fabrication des médicaments, et lier mes connaissances
théoriques acquises ou cours de ma formation avec le milieu industriel , nous effectue un
stage pratique au sein de ľunités SAIDAL- cherchal , une usine de fabrication des produits
médicament .
Notre stage s'inscrit dans le processuce effectué par ľ entreprise du la production SAIDAL-
cherchalTipaza ou cette dernière a consacré ď énormes moyens de protection et des systèmes
ď assurance qualité ses laboratoires , afin ď assurer la qualité des médicaments déposés sur le
marché algérien.
Parmi les médicament fabriqués au niveau de cette entrpise, nous citonAcepral® Cardio de
100 mg.
Cette mémoire on dévise sur deux partie, parti théorique et partie pratique et il ya deux
chapitre chaque partie
Partie théorique :
Le Chapitre I il contient géneralité sur les médicament etLe Chapitre II : Le ACEPRAL
On Partie pratique il ya deux chapitre et Le chapitre III il contient de définition de groupe
SAIDAL et Le chapitre IV il compose de fabrication de ACEPRAL

1
Chapitre I
Géneralité sur les médicaments

2
I.1.Le médicament

figure[1] photo de médicament


Définition
" Toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou
préventives àl'égard des maladies humaines ou animales, ainsi que tout produit pouvant être
administré à l'homme ou àl'animal en vue d'établir un diagnostic médical ou de restaurer,
corriger ou modifier leurs fonctionsorganiques". [1]
I.2. Forme des médicaments
Un médicament est constitué généralement de deux parties et une forme :
 Un principe actif : qui est l’élément porteur de la capacité de traitement ou de prévention
recherchée. « Le principe actif est une substance d’origine chimique ou d’origine naturelle,
caractérisée par un mécanisme d’action précis dans l’organisme. » Exemple : le paracétamol.
 Les excipients : Ceux-ci sont également des substances d’origine chimique ou naturelle
mais qui, individuellement, ne présentent pas d’effet curatif ou préventif. Ces éléments sont
inertes mais néanmoins essentiels, car ils rendent possible l’utilisation du médicament.
L’ensemble du principe actif et des excipients constitue la forme galénique ou appelée
encore pharmaceutique, c’est à dire le médicament dans sa forme destinée à être administrée
à l’homme, comme par exemple le comprimé pour une administration par voie orale ou le
soluté injectable pour une administration par voie parentérale. Exemple : solvant, diluant,
liant (pour les comprimés).
I.2.1. La forme galénique
C’est une forme pharmaceutique est présentée accompagnée d’un conditionnement
particulier. On parle de conditionnement secondaire, c’est à dire l’emballage final délivré à
la personne qui va utiliser le médicament.[2]

I.2.2. Catégories de présentation médicamenteuses :


On distingue plusieurs catégories de formes galéniques :
Forme liquide : Indispensable pour la voie parentérale, et très utilisée pour la voie orale
(surtout chez l’enfant).
Forme solide : Pour l’administration par voie orale, elle permet une bonne conservation du
médicament.
Forme prête à l’emploi : Directement utilisable.
Forme à reconstituer : avant toute administration, elle fera l’objet d’une reconstitution en
mélangeant un solvant à une poudre.
Forme unidose Forme par excellence des soins à l’hôpital, elle ne nécessite pas de mesure
préalable de la dose à administrer et elle est à utiliser en une seule fois, exemple : sachet,
comprimé, gélule, flacon monodose
Forme multidose Contenue dans des récipients multidoses, elle nécessite au préalable la
mesure de la dose à administrer avec un instrument de mesure (cuillère –mesure, seringue
graduée ou compte-gouttes).[2]
I.3.Origine des médicaments :
I.3.1. Médicaments d’origine végétale:
Dans un passé pas très lointain, la plupart des médicaments étaient d’origine
végétale .l’utilisation des plantes en thérapeutique (phytothérapie) est très ancienne. Elle
connait actuellement un regain d’intérêt des scientifiques soucieux du traitement naturel. On
peut utiliser soit la plante entière, soit des produits d’extraction qu’elles fournissent. La
plante entière ou parties de la plante souvent utilisées sous forme de tisane, exemples : la
menthe (feuilles) : action sédative ; eucalyptus (feuilles) : action antiseptique. 7 Les produits
d’extraction des plantes : ceci nécessite des méthodes d’extraction, d’isolation et de
purification. Exemples : La cocaïne : extraite des feuilles de coca, ou la morphine: extraite
de la capsule du pavot à opium.[3]
I.3.2. Médicaments d’origine animale:
L’utilisation d’organes ou de glandes en thérapeutique (l’opothérapie) est aussi ancienne que
les plantes .Sont utilisés actuellement : les organes, glandes ou tissus humais ou animaux : en
régression mis à part le sang et ses éléments. Des principes actifs obtenus après extraction :
essentiellement des hormones et des enzymes : exemples : l’insuline, l’héparine
(médicament anticoagulant extrait des poumons).[3]
I.3.3.Médicaments d’origine microbiologique
Il s’agit essentiellement de vaccins obtenus à partir de bactéries ou de virus atténués ou tués,

4
conférant après injection une immunité contre les infections correspondantes : exemple
vaccin antigrippal. Certains antibiotiques sont obtenus à partir de culture de champignon,
exemple : le genre Penicillium dont est obtenue la pénicilline.[3]
I.3.4. Médicaments d’origine minérale :
Ce sont souvent des produits minéraux naturels employés comme principes actifs ou
excipients de médicaments : exemples : talc, eau, argile, bicarbonate de sodium. [3]
I.3.5. Médicaments d’origine synthétique:
C’est la principale source de production des médicaments modernes .Ce sont généralement
des molécules obtenues par des méthodes de synthèse de chimie organique. Dans certains
cas, il est possible de transformer des molécules déjà connues d’origine naturelle ou
synthétique pour aboutir à de nouvelles molécules (hémi-synthèse).[3]
I.3.6. Médicaments d’origine biotechnologique:
Ce sont des produits élaborés pour l’essentiel par des techniques de génie génétique .Le but
est d’isoler des cellules vivantes et de leur faire produire des substances d’intérêt
thérapeutique, qu’elles ne synthétisent pas en temps normal .Exemples : Interféron, hormone
de croissance.[3]
I.4. Modes d’administration des médicaments
I.4.1.Administration par voie digestive
A.Voie sublinguale: Dragées à croquer.
B. Voie orale :
Formes solides :
*Unitaires: Comprimés (nus, enrobés ou effervescents) ; cachets ; pilules, granulés, gélules,
sphères ou capsules.
Retard: Comprimés multicouches, enrobés, gélules enrobées.
A diviser: poudres, granulés.
Formes liquides Unitaires: ampoules buvables.
A diviser: gouttes, suspensions, émulsions.
C. Voie rectale : suppositoires ; Lavements purgatifs, nutritifs ou thérapeutiques.[4]
I.4.2.Administration par voie parentérale:
Cette voie implique une qualité quasi impérative aux solutés injectables : Stérilité, Ph voisin
de la neutralité, isotonicité avec le plasma, apyrogène (sans substance donnant de la fièvre). :
Ampoules injectables, flacons avec poudre à dissoudre. Remarque : Il y a une possibilité
d’obtenir des formes retard par voie intramusculaire par injection de solutions huileuses ou

5
par voie sous cutanée par des solutions microcristallines.[4]
I.4.3.Autres voies d’administration
A. Voie respiratoire : Gouttes nasales peuvent avoir une résorption avec un effet général
important ; aérosols, pulvérisations pour la muqueuse trachéo-bronchique (profondeur de
pénétration) ; anesthésiques généraux volatils pour la muqueuse pulmonaire.
B.Œil: Effet local car la résorption est en général difficile du fait de la nature de la cornée,
cependant le passage par le canal lacrymal peut entrainer des effets systémiques, c’est pour
cela qu’il faut appuyer sur l’angle interne de l’œil lors de l’administration du collyre.
C. Oreille : Gouttes auriculaires, généralement tièdes pour éviter des troubles
labyrinthiques.
D.Muqueuse génitale: Solutions de lavages, ovules, comprimés gynécologiques.[4]
I.4.4.Explication des formes médicamenteuses
1. Les comprimés : Ce sont des préparations de consistance solide, de formes diverses
(ovales, ronds, ...). On distingue les comprimés à avaler et les comprimés à usage
gynécologique.
2. Les gélules: Ce sont de petites boîtes cylindriques constituées de deux enveloppes rigides
en gélatine s'emboîtant l'une dans l'autre et contenant une poudre médicamenteuse.
3. Les sirops : Ce sont des préparations liquides contenant une forte proportion de sucre et
destinées à être avalées. La posologie est le plus souvent donnée en cuillère à soupe ou à
café.
4. Les suspensions : Ce sont des poudres contenues dans un flacon. Avant utilisation, le
malade ajoute un volume précis d'eau propre (indiqué sur le flacon), puis il dissout
correctement la poudre en agitant fortement le flacon.
5. Les pommades : Ce sont des préparations de consistance molle, destinées à être
appliquées sur la peau ou les muqueuses. On distingue les pommades dermiques (pour la
peau), ophtalmiques (pour les yeux) et anales (pour l'anus).
6. Les collyres : Ce sont des médicaments destinés au traitement des maladies oculaires. Ces
préparations stériles sont appliquées directement sur l'oeil. Un flacon de collyre ouvert
depuis plus de quinze jours ne doit plus être utilisé, car il y a des risques de contamination.
7. Les préparations injectables : Ce sont des solutions ou des poudres que l'on dissout avant
l'administration au patient. Ces produits sont destinés à être injectés à travers la peau
(injection intraveineuse ou intramusculaire).[4]
I.5. Types de médicaments

6
Il existe trois types différents de médicaments génériques .
Ces trois types de génériques sont les suivants :
- La copie-copie : c'est un générique qui est la copie conforme du médicament original :
même substance active, même quantité, même forme galénique, même excipients. Ces
génériques sont souvent produits par le laboratoire qui produit le princeps similaire.
- les médicaments similaires : le générique diffère du princeps par l'utilisation d'un excipient
différent. Mais ni sa forme galénique, ni sa quantité ni sa substance active ne changent. Une
étude de bioéquivalence doit prouver que le changement d'excipients ne modifie pas la
biodisponibilité, les valeurs de Cmax (pic de concentration plasmatique) et Tmax (délai
d’apparition de ce pic après la prise du médicament).
- les médicaments assimilables : les modifications par rapport au princeps concernent à la
fois la forme galénique, la forme chimique de la substance active. Ces médicaments doivent
également prouver leur bioéquivalence.[5]

I.6. Dénomination des médicaments:

Chaque médicament fait l’objet d’une dénomination, on peut distinguer


I.6.1.La dénomination scientifique ou chimique : répondant à la nomenclature
Internationale mais qui est souvent trop compliquée pour être utilisée en pratique : exemple :
Acide acétyl- salicylique.
I.6.2 La Dénomination Commune Internationale (DCI) : C’est la carte d’identité officielle
propre à chaque médicament. Ce nom chimique simplifié, basé sur la substance active, est
commun à tous les pays et figure bien en vue sur les boîtes, quelque soit le nom commercial
utilisé. Exemple : Aspirine.
Ce système a été mis en place dans les années 50 au niveau mondial, et il est géré par l’OMS.
Lorsqu’une nouvelle molécule est identifiée et jugée d’un intérêt, elle perd son nom de code
utilisé lors des premières phases de recherche et se voit attribuer un nom en DCI. Le
laboratoire découvreur, s’appuyant sur une liste de préfixes et de suffixes caractéristiques des
principales familles chimiques, propose plusieurs DCI. Une commission de l’OMS étudie les
différentes propositions et la proposition retenue est publiée dans la Revue « WHO Drug
information » de l’OMS. Avant même d’avoir un nom de marque, un médicament est donc
connu d’abord sous son nom de DCI. Ce n’est qu’au moment de la commercialisation, que le
7
laboratoire utilise un nom commercial qui lui appartient en cohérence avec la période
d’exclusivité que lui confère son brevet sur la molécule.

Exemple : NISIS appartient à la famille des antagonistes de l’angiotensine II qui aident à


contrôler l’hypertension artérielle, en relâchant les vaisseaux sanguins et en diminuant la
pression artérielle.Sa substance active est le valsartan ( DCI : valsartan).Figure 1.

Figure [2] La dénomination d’un médicament (OMS, 2003).

Pour les médicaments génériques, il existe plusieurs façons pour les nommer. Selon la
législation, le nom d’un générique peut être exprimé soit sous la forme d’une dénomination
commune suivie du nom du laboratoire, soit avec un nom de marque suivi du suffixe Gé (pour
Générique).
La DCI liés au nom du producteur : C’est les médicaments identifiés par le nom scientifique
de la ou des substances actives qu’ils contiennent suivi du nom du laboratoire producteur. Par
exemples : Ampicilline DAKOTA®, Métronidazole QUALIMED®, Fluor uracile ®,
Héparine DAKOTA®, Gentamycine PANPHARMA®.  La dénomination commerciale ou
spéciale (spécialité pharmaceutique) : C’est le nom de marque déposée par le fabriquant. Ce

8
nom est court et facile à mémoriser, afin d'encourager les gens à demander ce produit par son
nom .Ces médicaments sont généralement rédigés en lettres majuscules .Exemple :
CATALGINE®. Le même producteur peut disposer de plusieurs noms de marque pour un
même médicament18 .Par exemples pour le paracétamol : EFFERALGAN®,
DOLIPRANE®, DAFALGAN®, MALGIS®.

Conservation et la péremption des médicaments


Pour rester actif, un médicament doit être conservé dans de bonnes conditions. Plusieurs
facteurs diminuent la qualité des médicaments. Un médicament a toujours une date de 12
fabrication et une date de péremption : date à partir de laquelle le produit va commencer à
perdre de son activité et risque de devenir toxique.
Au cas où la date de péremption n'est pas indiquée, il faut tenir compte de la date de
fabrication et ajouter trois ans pour les médicaments injectables et les antibiotiques, et ajouter
cinq ans pour les autres médicaments.

Une fois que le médicament est périmé, il ne doit plus être vendu ni être utilisé. Le gérant
doit retirer les produits des étagères de vente, et les stocker dans un carton spécifique.
Cependant, il arrive que certains produits se dégradent anormalement rapidement et
deviennent inutilisables alors que la date de péremption n'est pas encore arrivée. Les facteurs
de dégradation sont:
- l'odeur : certains produits (comme l'acide acétylsalicylique) dégagent une odeur lorsqu'ils
sont attaqués par la chaleur ou l'humidité.
- la couleur : certains médicaments changent de couleur : il faut vérifier la couleur originale.

- la désagrégation : les comprimés se désagrègent ou s'effritent lorsqu'ils sont humides. - le


dessèchement : normalement lubrifiés, ne doivent pas être utilisés s'ils ont séché.
- la fusion : le sel de réhydratation orale peut fondre au-dessus de 30°C. Il devient marron
foncé, collant et ne se dissout pas. Il en est de même avec les suppositoires et les capsules qui
se collent ou qui coulent.[6]

9
I.6.3La dénomination commerciale ou spéciale :(Spécialité pharmaceutique), c’est le nom
de marque déposée par le fabriquant. Ils sont généralement rédigés en lettres majuscules. Ex :
CATALGINER.[6]

10
Chapitre II :

ACEPRAL
II1.Définition de ACEPRAL

ACEPRAL® Cardio de 100 mg ce médicament appartient à la classe inhibiteurde l’agrigation


plaquettaire.
C'est un générique sous forme comprimé est utilisé pour prévenir certains maladies du cœur et
des vaisseaux qui nécessitent de fluidifier le sang. Ce médicament est réservé à l'adulte. Il
n'est pas recommandé dans les situations d'urgence . Il est réservé au traitement d'entretien,
après prise en charge des situations d'urgence.[7]

Figure[3] ACEPRAL carsdo 100 mg

II.2.Composition de ACEPRAL :

COMPOSITION par comprimé


Acide acétylsalicylique (DCI) 100 mg
Tableau [1] composition de ACEPRAL

-Excipients
mannitol, sorbitol, crospovidone, silicone dioxyde, arôme de menthe, saccharinate de sodium,
sodium stéaryl fumarate, ethylcelluse.
-Excipients à effet notoire.

II.2.1. CLASSE PHARMACO-THERAPEUTIQUE

Analgésiques, antipyrétiques et antiagrégants plaquettaires.[8]

II.3.INDICATIONS
- Enfant:
- Traitement symptomatique des affections douloureuses et/ou fébriles.
- Les affections thrombogènes constitutionnelles ou acquises, telle la thombocytose
secondaire à la splénectomie.
- Adulte:
*Prévention primaire cardiovasculaire
* Prévention secondaire (y compris lors des situations d'urgence) après un premier accident
ischémique myocardique ou cérébral lié à l'athérosclérose :
• réduction de la mortalité et de la morbidité de cause cardiovasculaire :
• après infarctus du myocarde ;
• dans le cadre de l'angor stable et instable ;
• lors d'angioplastie coronaire transluminale ;
• après accident ischémique cérébral transitoire ou constitué ;
• réduction de l'occlusion des greffons après pontage aortocoronaire.
• Les affections thrombogènes constitutionnelles ou acquises, telle la thombocytose
secondaire à la splénectomie.[9]

II.4. POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION

Voie orale.

-Enfant:

Réservé à l'enfant de moins de 12 kg (soit environ 2 ans). Dissoudre le comprimé dans un


demi verre d’eau, de lait. La posologie quotidienne maximale chez l'enfant est de 50 mg/kg. A

13
titre indicatif : • jusqu'à 10 kg (soit environ 1 an) : 1 comprimé à 100 mg, à renouveler si
nécessaire au bout de 4 heures, sans dépasser 5 comprimés par jour ; • entre 10 et 12 kg (soit
environ entre 1 et 2 ans) : 1 comprimé à 100 mg, à renouveler si nécessaire au bout de 4
heures, sans dépasser 6 comprimés par jour. Les âges approximatifs en fonction du poids sont
donnés à titre indicatif. Exceptionnellement, les comprimés à 100 mg peuvent être utilisés
chez les enfants de 16 à 24 Kg (soit environ de 4 à 8 ans) avec 2 comprimés à 100 mg par
prise à renouveler si nécessaire au bout de 4 heures minimum, sans dépasser 4 à 6 fois deux
comprimés à 100 mg. Laisser fondre dans la bouche ou croquer avant d’avaler.

- Adulte:
Après infarctus du myocarde, le traitement sera entrepris le plus précocement possible après
l'accident inaugural ou la récidive. La posologie est de 1à 3 comprimés par jour.

II.5.CONTRE - INDICATIONS Absolues:


• Ulcère gastroduodénal en évolution.
• Allergie avérée aux salicylés et aux anti-inflammatoires non stéroïdiens.
• Toute maladie hémorragique constitutionnelle ou acquise.
• Risque hémorragique.
• Méthotrexate, si celui-ci est utilisé à des doses supérieures ou égales à 15 mg/semaine.
Relatives :
• Anticoagulants oraux (pour des doses d'aspirine < 3 g/j chez l'adulte), héparine, ticlopidine,
uricosuriques.
• Allaitement. [10]

II.6. MISES EN GARDE ET PRÉCAUTIONS D'EMPLOI

Les comprimés à 100 mg sont réservés à l'enfant de moins de 12 kg (soit environ 2 ans).
L'aspirine est déconseillée en cas de goutte. Utiliser avec précaution en cas de :
• antécédent d'ulcère gastrique ou duodénal, ou d'hémorragies digestives ;
• métrorragies et/ou ménorragies, car l'aspirine risque d'augmenter l'importance et la durée
des règles ;
• insuffisance rénale ;
• asthme ;
• utilisation de dispositif intra-utérin.
14
Compte tenu de l'effet antiagrégant plaquettaire de l'aspirine, apparaissant dès les très faibles
doses et persistant plusieurs jours, il convient de prévenir le patient des risques hémorragiques
pouvant survenir en cas de geste chirurgical même mineur (exemple : extraction dentaire).
Syndromes de Reye : Des syndromes de Reye ayant été observés chez des enfants atteints de
virose (en particulier varicelle et épisodes d'allure grippale) et recevant de l'aspirine, il est
prudent d'éviter l'administration d'aspirine dans ces situations.[11]

II.7.INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES Contre-indiquées

• Anticoagulants oraux avec les salicylés à fortes doses (soit ≥ 3 g/j chez l'adulte) :
augmentation du risque hémorragique (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la
muqueuse gastroduodénale ainsi que déplacement de l'anticoagulant oral de ses liaisons aux
protéines plasmatiques).
• Méthotrexate (utilisé à des doses supérieures ou égales à 15 mg/semaine) : augmentation de
la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate
par les anti-inflammatoires en général et déplacement du méthotrexate de sa liaison aux
protéines plasmatiques par les salicylés).[12]

Déconseillées:

• Anticoagulants oraux avec les salicylés à faibles doses : augmentation du risque


hémorragique (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse
gastroduodénale). Nécessité d'un contrôle, en particulier du temps de saignement.
• Autres AINS (y compris les salicylés à partir de 3 g/jour chez l'adulte) : augmentation du
risque ulcérogène et hémorragique digestif (synergie additive).
• Héparines : augmentation du risque hémorragique (inhibition de la fonction plaquettaire et
agression de la muqueuse gastroduodénale par les salicylés). Utiliser d'autres substances que
les salicylés pour un effet antalgique et antipyrétique (paracétamol notamment).

• Ticlopidine : augmentation du risque hémorragique (synergie des activités antiagrégantes


plaquettaires). Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite
(incluant le temps de saignement).

15
• Uricosuriques (benzbromarone, probénécide) : diminution de l'effet uricosurique
(compétition de l'élimination de l'acide urique au niveau des tubules rénaux). Utiliser un autre
analgésique.

Nécessitant des précautions d'emploi:

• Antidiabétiques (insulines, chlorpropamide) : majoration de l'effet hypoglycémiant par de


fortes doses d'acide acétylsalicylique (action hypoglycémiante de l'acide acétylsalicylique et
déplacement du sulfamide de sa liaison aux protéines plasmatiques). Prévenir le patient et
renforcer l'autosurveillance glycémique.
• Corticoïdes (gluco-) par voie générale : diminution de la salicylémie pendant le traitement
par les corticoïdes et risque de surdosage salicylé après leur arrêt (augmentation de
l'élimination des salicylés par les corticoïdes). Adaptation des doses de salicylés pendant
l'association et après l'arrêt du traitement par les glucocorticoïdes.
• Diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC), pour les salicylés à fortes doses :
insuffisance rénale aiguë chez le malade déshydraté (diminution de la filtration glomérulaire
par diminution de la synthèse des prostaglandines rénales). Par ailleurs, réduction de l'effet
antihypertenseur. Hydrater le malade ; surveiller la fonction rénale en début de traitement.
• Interféron alfa : risque d'inhibition de l'action de l'interféron. Utiliser de préférence un
analgésique antipyrétique non salicylé.
• Méthotrexate (utilisé à des doses inférieures à 15 mg/semaine) : augmentation de la toxicité
hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les
anti-inflammatoires en général et déplacement du méthotrexate de sa liaison aux protéines
plasmatiques par les salicylés). Contrôle hebdomadaire de l'hémogramme durant les
premières semaines de l'association. Surveillance accrue en cas d'altération (même légère) de
la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
• Pentoxifylline : augmentation du risque hémorragique. Renforcer la surveillance clinique et
contrôle plus fréquent du temps de saignement.

A prendre en compte:
• Dispositif intra-utérin : risque (controversé) de diminution d'efficacité du dispositif intra-
utérin.
• Thrombolytiques : augmentation du risque hémorragique.

16
• Topiques gastro-intestinaux (sels, oxydes et hydroxydes de magnésium, d'aluminium et de
calcium) : augmentation de l'excrétion rénale des salicylés par alcalinisation des urines. [12]

II.8.GROSSESSE ET ALLAITEMENT

II.8.1Grossesse:

• Pendant les 5 premiers mois de la grossesse : l'aspirine en traitement ponctuel peut être
prescrite si besoin ; par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'aspirine en
traitement chronique au-delà de 150 mg/j.
• A partir du 6éme mois de la grossesse : en dehors d'utilisations cardiologiques ou
obstétricales extrêmement limitées, et qui justifient une surveillance spécialisée, tout
médicament à base d'aspirine est contre-indiqué à partir du 6ème mois.

II.8.2Allaitement:

L'aspirine passant dans le lait maternel, l'allaitement est déconseillée. [13]

II.9.EFFETS INDÉSIRABLES

- Effets sur le système nerveux central:


bourdonnements d'oreille, sensation de baisse de l'acuité auditive, céphalées qui sont
habituellement la marque d'un surdosage.
- Effets gastro-intestinaux
ulcères gastriques, hémorragies digestives patentes (hématémèse, melæna...) ou occultes,
responsables d'une anémie ferriprive. Ces hémorragies sont d'autant plus fréquentes que la
posologie est plus élevée.
- Effets hématologiques
syndromes hémorragiques (épistaxis, gingivorragies, purpura...) avec augmentation du temps
de saignement. Cette action persiste 4 à 8 jours après arrêt de l'aspirine. Elle peut créer un
risque hémorragique en cas d'intervention chirurgicale.
- Réactions d'hypersensibilité:

17
accidents de sensibilisation (œdème de Quincke, urticaire, asthme, accidents
anaphylactiques).
- Autres
douleurs abdominales. L'aspirine peut prolonger le travail et retarder l'accouchement.[14]

II.10.SURDOSAGE

L'intoxication est à craindre chez les sujets âgés et surtout chez les jeunes enfants (surdosage
thérapeutique ou intoxication accidentelle fréquente chez les tout-petits) où elle peut être
mortelle.
Symptômes cliniques :
• Intoxication modérée : bourdonnements d'oreille, sensation de baisse de l'acuité auditive,
céphalées, vertiges, nausées sont la marque d'un surdosage et peuvent être contrôlés par
réduction de la posologie.
• Intoxication sévère : fièvre, hyperventilation, cétose, alcalose respiratoire, acidose
métabolique, coma, collapsus cardiovasculaire, insuffisance respiratoire, hypoglycémie
importante.[15]

II.10.1Traitement:
• Transfert immédiat en milieu hospitalier spécialisé.
• Évacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique.
• Contrôle de l'équilibre acido-basique.
• Diurèse alcaline forcée, possibilité d'hémodialyse ou de dialyse péritonéale, si nécessaire.
• Traitement symptomatique. [16]

II.11.PHARMACODYNAMIE

Antalgique périphérique, antipyrétique, anti-inflammatoire à dose élevée, anti-agrégant


plaquettaire.[17]

18
II.12.PHARMACOCINÉTIQUE

Après administration, l'acide acétylsalicylique est rapidement absorbé et hydrolysé dans le


plasma en acide salicylique. Celui-ci est en grande partie lié aux protéines du plasma. Son
taux sanguin maximal est atteint en 2 ou 4 heures. L'élimination urinaire augmente avec le pH
urinaire. La demi-vie de l'acide salicylique est de 3 à 9 heures et augmente avec la dose
administrée.[18]

II.13.CONDITIONS PARTICULIÈRES DE CONSERVATION

Conserver à une température inférieure à 25 °C. [19]

19
II Partie pratique

20
Chapitre III

Définition le groupe SAIDAL

21
III.1.Le Groupe Saidal

SAIDAL est le premier laboratoire pharmaceutique producteur de médicaments génériques en


Algérie. Fondé en 1982 pour répondre au besoin d’assoir une industrie pharmaceutique locale
à même de garantir la disponibilité des médicaments et améliorer l’accès des citoyens aux
traitements, Saidal est aujourd’hui organisé en Groupe industriel spécialisé dans le
développement, la production et la commercialisation des produits pharmaceutiques à usage
humain.

SAIDAL est une Société par actions, au capital de 2 500 000 000 dinars algériens. Cotée en
bourse depuis 1999, son capital est à 80% détenu par l’Etat et les 20 % restants sont détenus
par des investisseurs institutionnels et des personnes physiques. [20]

III.2.Organisation du groupe SAIDAL

Le Groupe SAIDAL a procédé en janvier 2014 à la fusion, par voie d‟absorption, des filiales
ANTIBIOTICAL, PHARMAL et BIOTIC. Cette décision approuvée par ses organes sociaux
a donné lieu à une nouvelle organisation comportant.[21]

III.3.Site de production de Cherchell

L‟usine de Cherchell se compose d‟un atelier de production avec une capacité de production
de plus de 200.700 unités de ventes. Unique producteur algérien du concentré d‟hémodialyse,
il est doté d‟un laboratoire contrôle de la qualité chargée du contrôle physico-technique,
microbiologique et pharmaco-toxicologique.[22]

22
Capitre IV :

Processus le ACEPRAL

23
IV.1.La fabrication

IV.1.1Stockage

L'usine est dotée d un grande magasin subdivisé en trois sous magasins pour accueillir
respectivement trois types de marchandises . Chaque sous magasins est équipé d'un système
de entreprise des plus récent ayant un environment contrôlé afin de garantir les bonnes
conditions de stockage des marchandises s'y trouvent.

Les trois types de marchandises sont:

1-les matières premières : tous les matières utilisées lors des différents processus des
fabrication (principe actif , conservateur édulcorant ... ect).

2-les articles de conditionnement tous les matériaux utilisés pour le conditionnement des
produits fabriqués (les étuis, notices ,flacons, tubes...ect).

3-le produit fini : c'est le résultat d'une processus de produit constitué de processus de
fabrication et do processus de conditionnement Chaque sous magasin est divisé en zone de
façon à répondre aux recommandations BPF en terme de dispositions des marchandises selon
selon leur statut qualité on distingue.

IV.1.2Fabrication:

La production obéit à un programme qui attribuera à chaque semaine un plan de travail précis
susceptible de subir des changements et des variations selon la demande de marché et la
disponibilité de la matière . Avant toute productions , toute matière première existante dans la
magasin de réception doit être contrôlée pour assurer la qualité et la conformité des produits.

Définition de médicament ACEPRAL 100 mg :

C'est un traitement symptomatique des douleurs l intensité légère à modérée ou des états
fébriles.

Nom Commercial :ACEPRAL

Dosage :100Mg

Laboratoire :SAIDAL GROUPE

Class Thérapeutique :ANTALGIQUE

Class Pharmacologique :SALICYLS Conditionnement :B/20 Commercialisant :Oui


24
IV.2.Matériel utilisé dans la fabrication:

Central de pesée à fleur laminaire

- Balance RADWAG 300 kg et 30 kg

- Balance de précision METLER TOLDO 6200 g

- Mélangeur Granulateur DIOSNA CCS 800

- cuve en inox DIOSNA CCS 800 à double paroi pour préparation de la solution liante munie
d'un agitateur à hélice

- calibreur humide type FREWITTE pour démassage à vitesse réglable muni d'un tamis - lit
d'air fluidisé (LAF) CAP 600 DIOSNA de capacité 680 litres

- Mélangeur pour bin TTB 2000 TAIM

- Binen inox de capacité 1000 litres

- Calibreur sec type FREWITTE munie d'un grille d'ouvertures de maille

- Comprimeuse rotative FETTE 2200 i munie d'un jeu de poinçons plat sécable

IV.3.Méthode de fabrication:

- préparation du granulé par voie humide

- compression les étapes de fabrication.

IV.4.Contrôle qualité des médicaments:

Les contrôles sont des procédures ( protocole technique standardisés et enregistrés) défini
pour l acceptation ou le refus des produits .( ils permettent de vérifier que des caractéristiques
sont conformes à des spécifications préétablis.

IV.4.1. Contrôle physico-chimique:

Les contrôles physico-chimiques réalisés sur un médicament permettent de vérifier la qualité


pharmaceutique des médicaments mis sur le marché . Les contrôles de qualité sont
essentiellement basé sur des analyses physico-chimiques (pharmacopée européenne , 2013) ,
physico chimie consiste à :

-Déterminer les caractères organoleptiques des différentes formes pharmacetiques

25
-identifier et doser le ou les principes actif

-déterminer la presence d’éventuelles impuretés et l’aire leur quantification

1. -Déterminer les caractères pharmaco techniques en relation avec la forme


pharmacetique (désintegration, dissolution, sécabilité, ph,……ect)

IV.4.2.Contrôles micrrobiologiques

Les tests microbiologiques se font sur les matières premières, les lots destinés à la
stabilité(produit fini) ainsi que le contrôle de l’eau purifiée potable utilisée dans le nettoyage
du matériel de production.

26
Conclusion

Les produits pharmaceutiques jouent un rôle important sur la santé humaine ,Dansse travail
nous avons étudié le procédé de fabrication de ACEPRAL 100 mg qui se présente sous forme
d'une comprimé. Note projet de fin étude est divisé en deux parties (partie théorique et
expérimentale). Dans une premier partie , nous avons présenté les médicament en géneral et
lemédicament ACEPRAL 100 mg. Dans la deuxième partie, notre séjour de stage nous à
permis de suivre les étapes de fabrication de ACEPRAL 100 mg et à la fin de chaque , il est
impérativement conseillé de tester la conformité de médicament avec les normes exigées par
la pharmacopées européennes , ď où un contrôle de qualité a été effectué au niveau du
laboratoire de contrôle de qualité de SAIDAL .

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Bibliographie

[1]
https://fsnv.univ-bba.dz/wp-content/uploads/2020/04/Pharmacotoxicologie_Guergour_H.pdf

[2]https://fsnv.univ-setif.dz/images/telecharger/BPA/S1%20chapitre
%201%20%20pharmacologie%20Bourouba%20M1%20Physio.pdf

[3] https://slideplayer.fr/slide/503919/

[4]https://fsnv.univ-setif.dz/images/telecharger/BPA/S1%20chapitre
%201%20%20pharmacologie%20Bourouba%20M1%20Physio.pdf

[5]https://sante.lefigaro.fr/social/sante-publique/medicaments-generiques/existe-t-il-
differents-types-generiques

[6]https://fsnv.univ-bba.dz/wp-content/uploads/2020/04/
Pharmacotoxicologie_Guergour_H.pdf

[7 ]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf page[77]

[8 ]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf

[9 ]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf

[10]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf

[11]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf

[12]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf

[ 13]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf

[14]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf

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[15]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf

[16]https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf

[17] https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf

[18] https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf

[19] https://monpdf.weebly.com/uploads/2/3/1/7/23176136/pharmacie-
dictionnaire_saidal_2005.pdf

[20] Site officiel du groupe SAIDAL : https://www.saidalgroup.dz/.

[21] Bulletins d‟informations internes du Groupe SAIDAL, « SAIDAL NEWS ».

[22] Bulletins d‟informations internes du Groupe SAIDAL, « SAIDAL NEWS ».

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