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I. Généralités
L’organisme adulte est composé d’environ 60% d’eau mais ce pourcentage diminue avec l’âge.
On perd de l’eau au niveau des tissus (tous les compartiments même extraCR), tissus conjonctif.
Cette déshydratation est également due à une perte de l’efficacité de la fonction urinaire. La
déshydratation est de plus en plus observable avec l’âge avec l’apparitions des rides au niveau
de la peau. Cela est du à la perte de molécule de la MEC comme le collagène, la laminine, la
fibronectine, l’élastine mais aussi les protéoglycanes qui permettent de maintenir l’hydratation des
tissus.
Le nourrisson contient un peu plus d’eau, environ 75%.
Ce capital hydrique est réparti entre un compartiment intraCR (l’eau des cellules) et un
compartiment extraCR. Sachant que l’eau intraCR sera renouvelée grâce au compartiment
extraCR puisqu’il y a des échanges d’eau au travers de la membrane plasmique des cellules.
Pour maintenir ce capital hydrique, il va y avoir une régulation entre les entrées et les sorties
d’eau afin d’assuré une bonne hydratation et un bon équilibre car les réactions physiologiques se
font en milieu aqueux.
- alimentation (eau de boisson + eau d’alimentation) - respiration, air expiré (toujours saturé en vapeur
d’eau)
Les réserves adaptables sont faibles, car l’organisme ne peut pas se permettre de trop se
déshydrater. Nécessité vitale d’un apport quotidien en eau, toujours en fonction des besoins. Ces
besoin sont importants chez l’enfant et la personne âgée puisqu’ils ont une capacité de
concentration des urines qui est faible du à :
- une activité rénale non mature -> enfant
- une activité rénale défaillante -> personne âgé
Également variables en fonction de l’activité physique, de la personne, de l’âge et de
l’environnement (sec ou humide)
1. Pourquoi de l’eau ?
C’est la base de tout processus de vie, animal ou végétal.
C’est le seconde urgence de vie après l’oxygène.
Fonctionnement adéquat de l’organisme dépend d’une hydratation correcte et suffisante. De plus
les réactions biochimiques nécessite un milieu aqueux.
Il y a donc la mise en place de divers système de régulation responsable de:
- la déperditions d’eau et d’ions
- l’apport alimentaire (régulation de l’apport en eau en fonction de nos besoin)
Rq: on attend souvent la sensation de soif pour boire. Or la soif est un signal d’alerte. Le corps a
déjà perdu 2% d’eau.
Eau en excès est éliminé par la diurèse.
2. Mouvement d’eau dans l’organisme
Apports hydriques (valeurs moyennes)
- eau de boisson (1,3 à 1,5L/J) les deux sont complémentaires
- eau des aliments d’environ 1L/J
- eau métaboliques ou endogène, combustion des aliments et production d’eau (pour info:
100g de glucides correspond à 60g d’eau)
Pertes hydriques
- pertes cutanées imperceptibles: perspiration, air expiré (environ 500ml/J)
- transpiration (environ 300ml/J -> 6l/J) varie en fonction de l’activité
- eau des fécès (environ 100ml/J)
- excrétion rénale ou diurèse (environ 1400ml/J)
Rôle osmotique prépondérant de Na+ et Cl- (ions les plus présents dans l’organisme)
Le rein est l’organe effecteur de cette régulation de la pression osmotique.
Chez l’homme:
- en avant: symphyse pubienne
- en arrière: rectum + vésicules séminales
- en haut: intestin grêle
- en bas: urètre + prostate
2. Structure macroscopique
Partie centrale ou médullaire:
- BASSINET ou PELVIS RÉNAL: cuvette ou entonnoir
de récupération des urines, possèdent des prolongement =>
CALICES
- CALICES: vont au contact des PYRAMIDES DE
MALPIGHI. Chaque CALICES entourent le sommet des
PYRAMIDES. Le calice MAJEUR donne sur le BASSINET, le
calice MINEUR est en contact avec la PYRAMIDE.
- la zone entre chaque PYRAMIDES DE MALPIGHI est
appelée: COLONNE DE BERTIN
- PAPILLE RÉNALE: au dessus du calice MINEUR.
Filtre qui récupère les urines de chaque pyramides.
Composées d’une multitude de petits canaux (proviennent
des pyramides) par lesquels s’écoulent l’urine (formations de
micro-gouttes -> grosses gouttes qui vont passer par les calices puis dans le bassinet.
L’urine va ensuite rejoindre l’uretère qui va la conduire dans la vessie.
Rq BASSINET: contient du muscle lisse, va avoir une propriété intrinsèque (pas de contrôle
nerveux): pacemaker. Cela va entrainer des contractions pour expulser l’urine, activité que l’on
retrouve également au niveau de l’uretère. On peut parler de péristaltisme.
Le bassinet est recouvert par un épithélium transitionnel, capacité de se distendre afin de
facilité l’écoulement urinaire.
4. Le système sanguin
L’urine se forme et se retrouve à l’intérieur de la capsule de Bowman. Pour
qu’elle se forme, il faut que certains éléments du sang puissent traverser car
c’est à partir de se dernier qu’elle se forme. À partir du glomérule (pelote
vasculaire très serrée qui occupe toute la place de la capsule), le sang entrant par le bais des
pressions va faire traverser un certain nombres d’éléments. Le sang va devoir traverser la paroi
des capillaires, une lame base (entre le glomérule et la capsule), une couche de cellules qui
constitue la capsule, les podocytes qui tapissent la partie interne de la capsule et qui sont en
contact avec les vaisseaux du glomérule => c’est la barrière de filtration glomérulaire.
La filtration du sang dépend donc d’un certains nombres de pression différentes.
Le sang entrant par le vaisseau afférent, qui possède un diamètre plus important et qui repart par
le vaisseau efférent, avec un diamètre plus petit, permet d’augmenter la pression au sein du
glomérule. Cette augmentation de pression détermine la pression hydrostatique glomérulaire
(pression sanguine de l’ordre de 55mmHg).
Elle va être opposée à deux autres pressions:
- pression osmotique colloïde du sang (30 mmHg): due à la différence de concentration
en protéines entre le compartiment sanguin (glomérule) et l’intérieur de la capsule de Bowman
- pression hydrostatique capsulaire (15 mmHg): due à la pression du liquide qui va tirer
sur la paroi de la capsule de Bowman (la lumière de la capsule est remplie d’urine primitive qui va
exercer cette pression). Pression qui s’exerce de la capsule vers le glomérule.
Au final la pression nette vers l’extérieur est de 10mmHg.
C’est grâce à cette pression que va naitre l’urine primitive.
V. Fonctionnement rénal
1. Filtration glomérulaire
- phénomène de filtration
Au niveau de la capsule de Bowman, au
travers de la barrière de filtration
glomérulaire, c’est uniquement un
phénomène de filtration simple (= c’est le
passage d’un certains nombres de
molécules du sang vers la lumière).
- phénomène réabsorption
Se font du liquide s’écoulant dans le
néphron vers le capillaires péri-tubulaires.
Se fait à tous les niveaux (moins au niveau
du tube collecteur car c’est de l’urine
définitive)
- phénomène de sécrétion
Se font du sang vers la lumière, ce sont
des molécules qui n’ont pas pu être
éliminée au niveau de la capsule (filtration
rapide). Se fait à tous les niveaux sauf au niveau de l’anse de Henlé.
Ces phénomènes vont conduire à l’évolution de la concentration de l’urine primitive en urine
définitive.
La pression de filtration glomérulaire a lieu au travers de capillaires fenêtrés. Se sont des
capillaires dont les cellules ne sont pas complètement jointives et donc laisse passer davantage
de molécules. Grâce à cela, de nombreuses molécules peuvent traversées la barrière malgré une
pression assez faible. Mais il existe une régulation de la pression au niveau des capillaires pour
réguler la quantité de molécules qui traversent. Dans certains cas, le rein peut être amené à
réduire le diamètre du capillaire.
La filtration simple se produit au travers d’une structure tissulaire spécialisée: barrière de filtration
glomérulaire.
Eau Leucocytes
AA plaquettes
glucose Médicaments
hormones
Créatinine
urée
Acide urique
toxines, médicaments
Taux de filtration glomérulaire (TFG): 125ml/min/2 reins. C’est la quantité de liquide produit en
terme d’ultra filtrat glomérulaire pour les deux reins.
Cela fait 180L de filtrat dilué/jour, sur ces 180L, 99% sont réabsorbés (on n’urine pas 180L par
jour)
2. Réabsorption sélective
Processus par lequel la composition de l’ultra filtrat glomérulaire va changer pour devenir
progressivement de l’urine définitive par des phénomènes de réabsorptions sélective par les
différents segments du néphron:
- tube contourné
- l’anse médullaire
- tube collecteur
Il se créer une réabsorption sanguine des constituants indispensables car l’urine primitive a une
composition proche de celle du plasma (par exemple elle peut contenir du glucose qu’on ne
retrouve pas dans l’urine définitive).
- qui permet le maintien de l’équilibre Hydro-électrolytique
- maintien du pH
Différent types de transports vont intervenir, notamment un transport actif épithélial.
Notion de seuil rénal: c’est la limite de réabsorption d’une molécule (si dépassement) plus de
possibilité de réabsorption
ex du glucose: le glucose réabsorbé partiellement car les transporteurs sont saturés donc
un niveau trop important chez les diabétiques donc le seuil rénal est dépassé = transporteur
dépassé = glucose dans l’urine.
2ème mécanisme: réabsorption d’anion, l’eau sera donc très concentré dans la lumière
3ème mécanisme: l’eau va suivre les solutés
3. La sécrétion
Correspond à un passage des molécules du sang vers la lumière du néphron. Certaines
substances peuvent ne pas être éliminées en raison de la brièveté de leur passage dans le
glomérule, dans ce cas les substances seront épurées par sécrétion dans le tube contourné et
excrétée par les urines (de toute façon se sont des molécules qui doivent être éliminées)
La sécrétion tubulaire des ions hydrogènes sera importante pour le maintient de l’homéostasie et
du pH sanguin, dans le cas où l’organisme doit abaisser le pH sanguin, il va sécréter des ions H+
dans l’urine.
C’est un processus visant à éliminer des particules étrangères et non requises (médicaments,
déchets métaboliques…)
Composition de l’urine
Elle est composé à 96% d’eau et 2% d’urée
Les 2% restant correspondent à:
- acide urique
- créatinine
- ammoniac
- sodium
- potassium
- chlorures
- phosphates
- sulfates
- oxalates (qui sont dus au métabolisme des fruits et légumes)
De couleur ambre, du à un pigment (urobiline issu du métabolisme de l’hémoglobine)
pH: compris entre 4,5 et 8 mais est de 6 en moyenne
On en produit entre 1000 et 1500mL par jour
Sa production diminue pendant notre sommeil et l’exercice musculaire
VI. Voies urinaires excrétrices
1. L’uretère
C’est un conduit qui est situé dans le prolongement du
bassinet et qui conduit l’urine jusqu’à la vessie. Sa
longueur est d’environ 25 à 30cm pour un diamètre
d’environ 3mm. Il s’abouche au niveau de la paroi
postérieure du péritoine de telle façon à que lorsque de
l’urine s’accumule dans la vessie et que la pression
devient plus importante, les conduits sont comprimés et
leurs orifices vésical est fermé empêchant ainsi un reflux
de l’urine de la vessie vers les uretères.
Sur le plan anatomique, les uretères possèdent 4 couches
tissulaires:
❈ une couche externe, qui est fibreuse en
continuité avec celle du rein
❈ une couche moyenne, qui est musculaire, faite
de fibres musculaires libre entrelacées qui forme un
syncytium, s’enroulant en spirale autour de l’uretère avec
certaines fibres qui s’enroule dans le sens des aiguilles
d’une montre et d’autres en sens opposé
❈ une couche de muscles externe longitudinale est
présente dans le tiers inférieur de l’uretère
❈ une couche interne muqueuse qui est bordé par
un épithélium transitionnel, que l’on retrouve dans l’ensemble des voies urinaires
Les contractions péristaltiques au niveau du Bassinet, sont dues à une activité intrinsèque de
certaines cellules musculaires lisses qui sont capables de contracter de façon régulière. Ces
contractions permettent de faire descendre l’urine du Bassinet dans les uretères. Cette activité
péristaltique se poursuit aussi dans l’uretère. Cette propriété est intrinsèque au muscle lisse car il
n’est pas sous la dépendance du SN autonome.
Les calices mineures contiennent des cellules dites pacemaker qui sont à l’origine des ondes de
contractions, cette production se fait plusieurs fois par minutes. Leurs fréquence augmente avec
le volume d’urine produit.
L’abouchement à la vessie est construit de tel manière à ce que le fonctionnement agisse comme
un clapet anti-retour.
L’uretère droite et gauche, s’abouchent sur la face postérieure de la vessie. Lorsque la vessie se
remplit, elle va avoir tendance à remonter un peu vers le haut. Cette remonté plus le changement
de forme de la vessie, est dû à son remplissage et va donc avoir tendance à comprimer les
orifices des deux uretères. Elle va donc partiellement entrainer la fermeture de ces derniers ce qui
va pouvoir permettre d’éviter à l’urine de remonter dans les deux uretères.
2. La vessie
La vessie est l’organe de stockage de l’urine, elle est localisé dans la cavité pelvienne, sa taille et
sa position sont variables en fonction du volume d’urine qu’elle contient.
Quand la vessie est pleine, elle va avoir tendance à remonter dans la cavité abdominale, elle
devient grossièrement ovoïde et prend un peu la forme d’un ballon de rugby en se remplissant.
Elle est caractérisée par des face antérieures, supérieures et postérieures. Elle s’ouvre sur l’urètre
à son point le plus bas qu’on appelle le col vésical.
Le sommet de la vessie est recouvert par la péritoine. Sa partie inférieure est en contact avec
l’utérus et le vagin. Sa partie postérieure recouvre l’utérus chez la femme et le rectum chez
l’homme.
La vessie est constituée de 3 couches tissulaires:
❈ une couche externe: constituée de tissu conjonctif lâche contenant des vaisseaux
sanguins et lymphatiques ainsi que des nerfs. Cette couche est recouverte par le péritoine de sa
face supérieure.
❈ une couche moyenne: constituée de
couches musculaires lisse, composée de fibres
musculaires de tissu élastiques organisé en 3
couches. Cet entre-lat tissulaire forme le muscle
détrusor vésical.
Au niveau du départ de l’urètre, il y a formation
d’un sphincter qui est constitué de 2 couches
musculaires: une couche interne, lisse et une
couche externe, strié. Ce sphincter n’est pourtant
pas sous contrôle volontaire.
3. L’uretère
L’urètre est un conduit acheminant l’urine, du col vésical à l’orifice urétral externe. Sa longueur
dépend du sexe.
L’urètre chez l’homme est commune au système urinaire et reproducteur.
Chez la femme, elle mesure environ 4cm de long et s’ouvre par l’orifice urétral externe, situé juste
en avant du vagin. Cet orifice, est contrôlé par le sphincter urétral externe sous le contrôle de la
volonté.
L’urètre masculine est plus longue, mais la structure est la même pour les deux sexes:
❈ couche musculaire: en continuité avec celle de la vessie et le sphincter urétéral interne.
Constitué principalement de tissus élastiques et de fibres musculaires lisses. Une contraction
lente et continue permet de garder l’urètre fermé. Il y a également du muscle squelettique
entourant l’urètre au niveau du tiers moyen de l’urètre, sous contrôle nerveux volontaire qui va
former le sphincter urétral externe.
❈ sous-muqueuse: couche spongieuse contenant du sang et des nerfs.
❈ muqueuse: en continuité avec la vessie en haut, en bas il s’agit d’un épithélium
pavimenteux stratifié en continuité avec la peau de la vulve.
VII. Le processus de miction
Le mécanisme de miction correspond à un réflexe ou un mécanisme déclenché.
Il peut être conscient ou inconscient.
C’est un mécanisme qui est divisé en 3 étapes:
❈ contraction : implique une contraction de la musculature lisse de la paroi de la vessie
❈ distension: de l’urètre au niveau du muscle, correspondant au sphincter interne
❈ relaxation: du muscle du sphincter externe
Ces 3 processus à la suite les uns des autres ou même simultanément, vont aboutir à la vidange
de la vessie. C’est une étape qui est facilitée par la contraction de la musculature abdominale et
du plancher du bassin.
1. La rénine
La rénine est produite par des cellules à grains localisées dans l’appareil juxta glomérulaire.
Elle va avoir un rôle important dans la régulation de la PA:
❈ si taux élevé en Na et angiotensine II, il y aura inhibition de sa sécrétion
❈ si on a une chute de la PA: la vascularisation des reins va diminuer et entrainer un déficit
en Na. Ce déficit va être capter par les cellules à grains et augmenter la libération de rénine.
2. L’érythropoïétine (EPO)
C’est une hormone glycoprotéique qui intervient dans le processus d’érythropoïèse (mécanisme
de production des globules rouges par la MO)
Elle permettra un transport de plus grande quantité d’oxygène
- par exemple: c’est un mécanisme de régulation active lors de l’adaptation à l’altitude.
Lorsque l’organisme manque d’oxygène, il produira davantage d’EPO de façon à augmenter la
maturation et la production des GR.
IX. Rein et équilibre hydro-minéral
1. Besoins en eau en fonction de l’âge et des exercices physiques
Besoins différents en fonction
- du volume corporel
- de l’âge
- de l’activité physique
- de l’environnement
Besoin hydrique important chez le nourrisson
- capacité d’adaptation moindre
- surface cutanée importante
- immaturité des fonctions rénales
Besoin hydriques spécifiques chez les personnes âgées
- diminution de la masse maigre et de l’eau
- capacité limitée à l’équilibre de la bouche hydrique
- nécessité d’ingérer 1700mL/j min
- la déshydratation modérée pourrait exacerber les dysfonctionnements des fonctions
cognitives
Besoin hydriques spécifiques chez les sportifs
- majoration des pertes hydriques pendant le sport
- augmentation des dépenses énergétiques (pertes = 30mL/100kcal chaleur dégagée)
- augmentation de la respiration (perte = 2-5mL/min) variable en fonction de
l’environnement
- si déficit hydrique, environ 1-2% (1,4L) = diminution de la performance physique et 4% =
risques d’accidents (coup de chaleur)
- nécessité d’ingestion d’eau régulière (10 à 20 mL/kg/h; max à 1L/h)
- eau salée (1,2g/L)
- eau sucrée (60g/L)
3.c. l’angiotensine
Le précurseur s’appelle angiotensinogène, sous
l’action de la rénine il devient angiotensine 1, grâce
à l’enzyme de conversion il devient angiotensine 2
et il peut devenir aussi une angiotensine 3 sous
l’action de l’angiotensinage qui dégrade en partie
l’angiotensine 2.
Pour arrêter l’action de l’angiotensine, des
angiotensinases agissent pour dégrader
l’angiotensine en fragments de peptides inactifs.
vasoconstriction Augmentation de la PA