Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Pr BENSEDDIK 2
Qu’est –ce que le management
Pr BENSEDDIK 3
Efficience, Efficacité et Performance
Pr BENSEDDIK 4
Qu’est –ce que le management
Pr BENSEDDIK 5
Qu’est ce que le processus de management ?
Pr BENSEDDIK 6
Qu’est ce que le processus de management ?
Contrôle: Planification:
Surveiller les activités pour s’assurer Fixer des objectifs, élaborer une stratégie et
qu’elles se déroulent comme prévu. mettre au point des sous-plans pour
coordonner les activités.
Direction: Organisation:
Diriger et motiver toutes les parties Déterminer les besoins , les moyens
impliquées et résoudre les conflits. d’action et les personnes responsables de
chaque tâches.
Pr BENSEDDIK 7
Fixation des objectifs
Pr BENSEDDIK 8
Fixation des objectifs
Pr BENSEDDIK 9
Fixation des objectifs
Pr BENSEDDIK 10
Stratégie de l’entreprise
Pr BENSEDDIK 11
Organiser : Structure Organisationnelle
Pr BENSEDDIK 12
Gérer et diriger les personnes
Pr BENSEDDIK 13
Contrôle et évaluation des activités
Pr BENSEDDIK 14
Chapitre I: Quels sont les véritables rôles du manager selon Henry Mintzberg ?
Rôles décisionnels:
Entrepreneur
Régulateur
Répartiteur des ressources
Négociateur
Rôles
Rôles informationnels:
interpersonnels: Observateur actif
Symbole Diffuseur
Leader Porte-parole
Agent de liaison
Rôles du
manager
(selon Henry
Mintzberg)
Pr BENSEDDIK 15
Les rôles d’un manager
Pr BENSEDDIK 16
Les rôles du manager
Pr BENSEDDIK 17
Rôles du manager: Rôles interpersonnels
Pr BENSEDDIK 18
Rôles interpersonnels
Pr BENSEDDIK 19
Rôles du manager: Rôles informationnels
Pr BENSEDDIK 20
Rôles du manager: Rôles décisionnels
Répartiteur des Charger d’attribuer des ressources en Planifier, réaliser toute activité
tout genre, en d’autres termes de relavant du budget et de la
ressources prendre ou d’approuver toutes les programmation du travail des
décisions importantes. employés.
Pr BENSEDDIK 21
Rôles du manager: Rôles décisionnels
Pr BENSEDDIK 22
Quelles sont les compétences attendues des bons managers ?
(Robert L. Katz).
• Compétences conceptuelles.
Compétences • Compétences interpersonnelles.
• Compétences techniques.
génériques
Pr BENSEDDIK 23
Les compétences d’un manager
Pr BENSEDDIK 24
Les compétences d’un manager
Pr BENSEDDIK 25
Chapitre II: Les écoles de pensée du Management
Pr BENSEDDIK
Ecole classique du Management
Pr BENSEDDIK 27
Ecole des relations sociales du Management
Pr BENSEDDIK 28
Ecole moderne du Management.
• La maximisation du profit
• Le principe de décentralisation .
• La direction par objectifs .
• Le contrôle, l’auto- contrôle et le principe d’exception .
• La compétitivité et la motivation. (DRUCKER : Motivation= l’intérêt qui porte au travail- désir
d’étendre ses responsabilité).
•
Pr BENSEDDIK 29
Les nouvelles tendances en matière de management.
Approche Théorie de
Analyse
par la
systémique
processus contingence
Pr BENSEDDIK 30
Qu’est ce que l’approche par les processus ?
planification
contrôle organisation
Direction
Pr BENSEDDIK 31
Comment l’analyse systémique s’intègre-t- elle au monde du management ?
Pr BENSEDDIK 32
Comment l’analyse systémique s’intègre-t- elle au monde du management ?
Menace d’entrée
de nouveaux
concurrents
SECTEUR
Position de PROFESSIONNEL Position de
force des force des
fournisseurs Rivalité entre firmes du clients
secteur
Menace d’arrivée de
produits de substitution
Pr BENSEDDIK
Comment l’analyse systémique s’intègre-t- elle au monde du management ?
Pr BENSEDDIK
Mme BENSEDDDIK
Analyse SWOT
Pr BENSEDDIK
Qu’apporte la théorie de la contingence au management ?
• il n’existe pas une méthode idéale qu’il suffirait d’appliquer, mais que les types d’approches ou de solutions
envisagées dépendent toujours du contexte et de la situation rencontrés.
• Taille de l’entreprise .
• Qualification des technologies .
• Incertitude environnementale .
• Particularités individuelles
Pr BENSEDDIK 36
la théorie de la contingence
Pr BENSEDDIK 37
la théorie de la contingence
Pr BENSEDDIK 38
Chapitre III: La prise de décision:
Pr BENSEDDIK 39
Processus décisionnel
Pr BENSEDDIK 40
Prise de décision : modèle rationnel :
Pr BENSEDDIK 41
Prise de décision : modèle rationnel :
Pr BENSEDDIK 42
La créativité est –elle importante dans la décision?
Qu’est ce que le potentiel créatif ?
Créativité : capacité à développer des idées inédites , originales et utiles face aux problème à résoudre ou aux opportunités à saisir.
Ingéniosité
(l’intelligence, l’indépendance,
expertise + la confiance en soi, la prise de
risque, le contrôle intérieur, la
motivation
tolérance à l’ambiguïté )
Pr BENSEDDIK 43
Comment aborder un problème décisionnel ?
Pr BENSEDDIK 44
les styles décisionnels
ANALYTIQUE CONCEPTUEL
DIRECTIF COMPORTEMENTAL
Pr BENSEDDIK 45
En quoi les technologies aident-elles à mieux décider ?
Pr BENSEDDIK 46
Décider en groupe ?
Pr BENSEDDIK 47
Les matrices : outils d’aide à la décision
Pr BENSEDDIK
La matrice BCG
Pr BENSEDDIK
La matrice BCG
Pr BENSEDDIK
La matrice BCG
• Dilemmes : produits à croissance rapide, mais à petite part de marché. Ils sont fortement
concurrencés et génèrent peu de profits. Cependant, ils pourraient en dégager si des
investissements y étaient faits. Il faut s’interroger sur leur disparition ou leur maintien.
• Vedettes ou Stars (étoiles) : produits à croissance rapide et ayant une grande part de
marché. La stratégie consiste à les dynamiser par des investissements appropriés pour suivre
la croissance de leur marché et s’y maintenir en position de force. Une ‘star’ contribue à la
rentabilité de l’entreprise et génère des bénéfices. Ces produits vedettes sont amenés à
devenir progressivement des vaches à lait avec la saturation du marché.
• Vaches à lait : produits arrivés à maturité dont la part de marché est importante. Ils génèrent
des profits intéressants et des liquidités. La stratégie consiste à maintenir leur position de
force et à générer l’argent nécessaire au développement d’autres produits (principalement
stars et dilemmes).
• Points morts : produits positionnés sur un marché déclinant et très concurrentiel.
L’entreprise devra envisager de s’en débarrasser dès qu’ils seront trop coûteux à entretenir.
Les fonds générés par les Vaches à lait sont employés pour transformer les dilemmes en stars
qui pourront par la suite devenir des vaches à lait. Certains dilemmes deviendront des point
mort, et ceci signifie que le gestionnaire aura besoin d’une plus grande contribution des
produits réussissant pour compenser les échecs possibles.
Pr BENSEDDIK
Les trajectoires à succès et les trajectoires à échec
J.J. Lambin définit quatre trajectoires types. Elles sont à relier à la stra-tégie
marketing :
• La trajectoire de l’innovateur : les ressources générées par les vaches àlait sont
réinvesties en R & D. L’objectif est de mettre au point de nouveaux produits à fort
avantage concurrentiel et qui se positionnent tout de suite en vedettes.
• La trajectoire du suiveur : les ressources générées par les vaches à lait sont
investies dans des produits dilemmes – marché dominé par un leader bénéficiant
d’un avantage concurrentiel. Les ressources servent à développer une démarche
concurrentielle agressive.
• La trajectoire du désastre : une activité vedette diminue sa part de marché relative
en raison d’un investissement insuffisant ou d’une mauvaise analyse de l’évolution
des attentes consommateurs et des facteurs clefs de succès.
• La trajectoire de la médiocrité permanente : les activités dilemmes restent
problématiques ou rejoignent les poids morts.
Pr BENSEDDIK
La matrice Mc Kinsey-GE.
La matrice Mc Kinsey sera suggérée aux gestionnaires pour analyser leurs DAS
(domaines d'activités stratégiques). Il s'agit d'une matrice de décision stratégique,
développée par le cabinet de conseil McKinsey & Company, où chaque DAS est
analysé à partir de deux dimensions : l’attrait du marché (pour l'entreprise devant
prendre une décision) et la position concurrentielle.
Pr BENSEDDIK
La matrice Mc Kinsey-GE.
La zone bleu foncé correspond au cas où l’attrait du secteur et les compétences de l’entreprise sont
importants. Il faut alors investir pour favoriser la croissance.
La zone blanche représente des situations d’attrait moyen. La règle est le statu quo.
La zone en gris pâle représente des situations de peu d’intérêt. Il faut alors probablement récolter
avant d’abandonner.
La matrice de McKinsey donne des réponses stratégiques générales, mais ne donne pas de
stratégie de marketing. Le gestionnaire marketing se doit de retenir des stratégies de marketing
Pr BENSEDDIK cohérentes avec les choix stratégiques retenus après analyse des DAS avec cette matrice.
La matrice d’Ansoff
L’objectif de la matrice d’Ansoff est de faciliter la prise de décision des dirigeants en présentant de
manière simple les différents choix stratégiques qui s’offrent à l’entreprise dans le but d’atteindre
les objectifs de croissance fixés. Elle offre un cadre pratique pour sélectionner le meilleur chemin
de développement pour faire croître l’entreprise.
Pr BENSEDDIK
La matrice ADL
Pr BENSEDDIK 56
Les trajectoires stratégiques
Pr BENSEDDIK
Chapitre IV) La planification
Pr BENSEDDIK 58
Qu’est ce que la planification
Pr BENSEDDIK 59
Pourquoi une planification formelle?
Raisons de planifier
Réduire l’impact
Limiter les pertes
des changements
Pr BENSEDDIK 60
Quels sont les Inconvénients de la planification formelle?
Pr BENSEDDIK 61
Quels types de plans?
• Stratégique
Portée • Opérationnel
• Long terme
Durée • Court terme
Fréquence • Ponctuel
• Permanent
d’application
Pr BENSEDDIK 62
Quels types de plans?
• Plans stratégiques: plans s’adressant à l’organisation dans son ensemble, la positionnant par apport à son environnement
et lui fixant des objectifs globaux.
Plans opérationnels: plans tactiques exposant en détail comment parvenir aux objectifs généraux de l’organisation.
• Plans spécifiques: plans énonçant des objectifs concis, sans ambiguïté ou risque de malentendus. (environnement certain)
• Plans directionnels: plans flexibles définissant les grandes lignes. (environnement incertain).
• Plans ponctuels: plans répondant à une situation unique, peu susceptible de se reproduire.
• Plans permanents: plans concernant des actions qui se répètent dans l’organisation.
Pr BENSEDDIK 63
• Planification stratégique
Pr BENSEDDIK 64
Qu’est ce qu’un processus de planification stratégique?
Identifier la
Réviser la Formuler Mettre en Évaluer les
mission, les missions et les œuvre les résultats
objectifs et les objectifs stratégies stratégies
les stratégies
Pr BENSEDDIK 65
Qu’est ce qu’un processus de planification stratégique?
• Étape 5: identifier les forces et les faiblesses. forces: ressources internes disponibles ou
activités pour lesquelles l’organisation est efficace. Faiblesses: ressources ou activités pour
lesquelles elle n’est pas efficace. (Analyse SWOT ).
Pr BENSEDDIK 66
Qu’est ce qu’un processus de planification stratégique?
Pr BENSEDDIK 67
Pr BENSEDDIK 68
V) Le Contrôle:
Quelles sont les étapes d’un processus de contrôle?
Pr BENSEDDIK 69
Quelles sont les étapes d’un processus de contrôle?
Comparaison des
performances par Les normes
rapport aux normes sont-elles Ne rien
atteintes? faire
Identifier la
Les normes
source de
sont-elles
l’écart
acceptables?
Pr BENSEDDIK 70
Comment les managers mesurent-ils les performances?
Pr BENSEDDIK 71
Comment les managers comparent-ils les performances réalisées avec les objectifs
fixés?
Établir le degré de divergence entre les performances mesurées et les normes fixées
.Déterminer une marge de variation raisonnablement acceptable au-delà de cette marge , l’écart sera
considéré comme problématique et devra retenir l’attention du manager.
Les managers doivent se préoccuper tout autant des écarts positifs que des écarts négatifs.
Pr BENSEDDIK 72
Quelles formes d’action managériale peut-elle prendre?
Pr BENSEDDIK 73
Tenter de corriger les performances…
Le manager pourra adopter des changements stratégiques ou structurelles, modifier les méthodes de
rémunération ou les programmes de formation, redéfinir les postes ou renouveler le personnel.
Action corrective immédiate: permet de traiter les problèmes sur-le-champ et de rétablir aussitôt un niveau
de performance adéquat.
Action corrective de fond: consiste à déterminer de quelle manière et pour quelle raison les performances
ont dévié, afin de supprimer la source de cette déviation.
Pr BENSEDDIK 74
…ou réviser les normes?
• Il est également possible que l’écart de performances soit dû à l’édiction d’une norme irréaliste -c’ est –à-
dire d’un objectif trop élevé ou trop faible. C’est la norme qu’il convient dans ce cas de rectifier et non les
performances.
• Norme très élevée +un déficit de performances significatif + une démotivation des employés évalués sur
cette base.
Pr BENSEDDIK 75
Les différents types de contrôles
Pr BENSEDDIK 76
Les différents types de contrôles
Pr BENSEDDIK 77
Les différents types de contrôles
• Contrôle préventif: type de contrôle préliminaire ou proactif qui permet d’anticiper les problèmes. Il consiste à
entreprendre des actions managériales avant qu’une difficulté ne surgisse. Il s’appuie sur une acquisition rigoureuse et
opportune de l’information, qu’il est souvent difficile de mettre en œuvre.
• Contrôle continu ou de suivi intervient pendant le déroulement de l’activité. Il permet au manager de résoudre les
problèmes en cours de production, avant qu’ils ne coûtent trop cher. La surveillance directe en représente la forme la plus
connue.
• Contrôle rétroactif: type de contrôle qui intervient à posteriori et se situe en aval de l’activité . Il faut donc attendre que le
mal soit fait pour avoir connaissance d’un problème.
Pr BENSEDDIK 78