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Organes :
3. Rein :
0. Introduction-définitions :
1. Anatomie :
0. Schéma :
1.
1. Couleur :
1. Rouge-brun.
2. Poids :
1. 150 g.
3. Taille (dimensions) :
1. 10 cm (longueur) × 5 cm (largeur) × 2,5 cm (épaisseur).
4. Forme :
1. Haricot.
5. Trois parties :
1. Cortex ;
2. Médullaire ;
3. Bassinet.
2. Néphron (unité fonctionnelle) :
0. Schéma :
1.
1. Effecteur :
1. 1α-hydroxylase.
2. Inducteur :
1. PTH.
3. Cellules concernées :
1. Cellules tubulaires proximales (TCP).
2. Érythropoïétine (EPO) :
1. Inducteur :
1. Hypoxie cellulaire (↓ PaO2 tissulaire).
2. Cellules concernées :
1. Cellules interstitielles péritubulaires fibroblastiques.
3. Système Rénine-Angiotensine-Aldostérone (SRAA) :
1. Inducteur :
1. ↓ volémie.
2. Cellules concernées :
1. Appareil juxta-glomérulaire (sécrétion de rénine).
4. Divers :
1. Endothéline :
1. Vasoconstrictrice.
2. Prostaglandines :
1. Prostacycline :
1. Vasodilatatrice ;
2. Hypotensive.
2. Thromboxane :
1. Vasoconstrictrice.
3. Facteurs de croissance :
1. Types :
1. EGF (Epidermal Growth Factor) ;
2. HGF (Hepatocyte Growth Factor) ;
3. IGF-1 (Insulin-like Growth Factor-1).
2. Rôle :
1. Croissance des cellules tubulaires.
4. Système kinine-kallicréine rénal :
1. Définition :
1. Système mal délimité (jusqu’à présent) de protéines sanguines.
2. Rôle :
1. Vasodilatation ;
2. ↑ du Flux Sanguin Rénal (FSR).
5. Catabolisme rénal des hormones peptidiques :
1. Cellules concernées :
1. Cellules tubulaires.
2. Substrats catabolisés :
1. Peptides ;
2. Petites protéines (PM < 68 kDa).
3. Rôle :
1. Régulation de l’activité hormonale (exemple : insuline) ;
2. Rempart à la perte d’AA par fuite urinaire.
3. Régulation :
1. R. du Débit de Filtration Glomérulaire (DFG) :
1. Modification du tonus musculaire dans l’artériole afférente :
1. Afin de diminuer le DFG en cas d’HTA systémique ;
2. Ou de le maintenir si celle-ci s’effondre.
2. Stimulation (ou non) du système nerveux sympathique :
1. Vasoconstriction de la microcirculation rénale en cas d’hypovolémie.
3. Endothéline (citée ci-dessus).
4. Monoxyde d’azote :
1. Vasodilatateur.
5. Prostaglandines (citées ci-dessus).
2. R. du volume extracellulaire (volémie) :
1. Barorécepteurs glomérulaires (et carotidiens) ;
2. Aldostérone :
1. Réabsorbe Na+ (et l’eau par osmose) ;
2. Excrète K+.
3. ANP (Atrial Natriuretic Peptide) :
1. Excrète Na+ (et l’eau par osmose).
4. Stimulation (ou non) du système nerveux sympathique (citée ci-dessus).
3. R. de l’eau corporelle :
1. ADH (Anti-Diuretic Hormone) :
1. Induit une vasoconstriction (par son récepteur V1) ;
2. Et une réabsorption d’eau (par son récepteur V2) via AQP 2.
2. Aquaporine (AQP) :
1. Réabsorbe l’eau.
4. R. acide-base :
1. En cas d’acidose :
1. Excrétion d’H+ (sous forme NH4+) ;
2. Réabsorption d’HCO3-.
2. En cas d’alcalose :
1. Inhibition de l’excrétion d’H+ ;
2. Excrétion d’HCO3-.
5. R. du métabolisme phospho-calcique :
1. PTH :
1. ↑ production du calcitriol par le rein ;
2. ↑ réabsorption Ca2+ ;
3. ↓ réabsorption PO4-.
2. Vitamine D :
1. ↑ réabsorption Ca2+ ;
2. ↑ réabsorption PO4-.
6. R. de l’érythropoïèse :
1. Mécanisme :
1. Hypoxie tissulaire → activation d’un récepteur sensible à la PaO2 →
production d’un facteur de transcription HIF-1 (Hypoxia-Inducible Factor-1)
→ ARNm → synthèse d’érythropoïétine au niveau des ribosomes.
4. Néoglucogenèse (NGG) rénale :
1. À l’état post-absorptif :
1. Après un jeûne nocturne de 14 à 16 heures :
1. Glucose rénal : 25% NGG (le rein n’a pas de glycogène) ;
2. Glucose hépatique : 75% (25% NGG + 50% glycogénolyse).
2. À l’état post-prandial (↑ insulinep) :
1. ↓ de 60% de la production de glucose :
1. Glucose rénal : 60% NGG ;
2. Glucose hépatique : 40% (40% NGG + 0% glycogénolyse [supprimée]).
1. Composition plasma/urine :
1. Plasma 2. Urine
1. Osmolarité 310 mOsm 50 – 1200 mOsm
2. pH 7,40 4,5 - 8
3. Densité - 1,002 – 1,030
4. Protéines 60 – 80 g/L < 100 mg/24h
5. Urée 0,1 – 0,5 g/L 15 – 30 g/24h
6. Créatinine 5- 15 mg/L 1 – 1,8 g/24h
7. Na+ 135 – 145 mEq/L 100 – 200 mEq/24h
8. K+ 3,5 – 5,5 mEq/L 60 – 120 mEq/24h
9. Cl- 100 – 103 mEq/L 100 – 200 mEq/24h
10. Glucose 0,7 – 1,0 g/L 0 (si glycémie < 1,8 g/L)
2. Constituants de l’urine :
1. Normaux (habituels) :
1. Eau :
1. 0,7 L < diurèse < 2,5 L.
2. Électrolytes :
1. Na+ ;
2. K+ ;
3. Cl- ;
4. Ca2+ ;
5. PO4-.
3. Molécules azotées non protéiques :
1. Urée ;
2. Créatinine ;
3. Urate.
4. Protéines urinaires :
1. < 100 mg/24h.
5. Molécules non azotées :
1. Acides organiques ;
2. Phénols ;
3. Hormones stéroïdes.
2. Anormaux :
1. Protéines :
1. > 150 mg/24h.
2. Glucides :
1. Glycosurie ;
2. Mélituries.
3. Corps cétoniques ;
4. Hémoglobine ;
5. Myoglobine ;
6. Sels biliaires.
3. Notion de clairance :
1. Définition :
1. Volume de plasma épuré d’une substance par unité de temps.
2. Conditions de recueil des urines :
1. Repos ;
2. Recueil rigoureux :
1. À l’origine du plus grand nombre d’erreurs.
3. Valeur rapportée à la surface corporelle de référence : 1,73 m2 :
2
Clairance mesurée (ml /min)×1 , 73 m
1. Clairance corrigée (ml /min)=¿
surface corporelle calculée(m2 )
1. 120 ± 20 mL/minute.
4. Exploration
1. Au cabinet du médecin :
1. Examen macroscopique :
1. Urine normale :
1. Claire ;
2. Limpide ;
3. Et jaune pâle :
1. Si les apports hydriques sont insuffisants.
2. Urines anormales :
1. Rouge ou rose foncé :
1. Hématurie ;
2. Fuchsine (betterave).
2. Orange ; marron ou noirâtre :
1. Bilirubine ;
2. Sels biliaires.
3. Noire (au contact de l’air) :
1. Alcaptonurie.
4. Jaune fluorescent :
1. Vitamine C en grande quantité.
5. Jaune foncé ou moutarde :
1. Déshydratation ;
2. Hépatite aiguë ;
3. Administration de nitrofurantoïne.
6. Verte :
1. Consommation des légumes verts (asperges +++).
7. Bleue :
1. Maladie des langes bleues (AAP).
8. Lactescente (chylurie) :
1. Lymphe.
9. Moussante :
1. Forte protéinurie.
10. À odeur sucrée :
1. Diabète.
2. Examen par bandelettes urinaires (LABSTIX®) :
1. Optimisation de l’examen :
1. Urine fraîche ;
2. Toilette génitale ;
3. Milieu du jet.
2. Paramètres examinés :
1. pH ;
2. Densité ;
3. Sang ;
4. Glucose ;
5. Corps cétoniques ;
6. Protéines ;
7. Bilirubine ;
8. Urobilinogène ;
9. Nitrite ;
10. Globules blancs.
2. E. de routine :
1. Urine :
1. Diurèse :
1. Normale : 0,7 – 1,5 L;
2. Anurie < 0,1 L ;
3. Oligurie < 0,6 L ;
4. Polyurie > 2,5 L.
2. Protéinurie :
1. Protéinurie physiologique :
1. 100 à 150 mg/L, soit < 0,2 g/24h.
2. Protéinuries pathologiques :
1. Définitions de l’albuminurie et de la protéinurie :
1. Paramètre 2. Urines des 24h
1. Albuminurie normale < 30 mg/24 h
2. Microalbuminurie (ou albuminurie modérément augmentée) 30 – 300 mg/24 h
3. Albuminurie (ou albuminurie sévèrement augmentée) > 300 mg/24 h
4. Protéinurie > 300 mg/24 h
2. Détermination :
1. Semi-quantitative (Bandelette Urinaire [BU]) :
1. Avantage :
1. Technique de dépistage la plus utilisée (facile et accessible) :
1. Détecte la présence d’albumine > 50 – 100 mg/L.
2. Inconvénient :
1. Ne détecte pas :
1. Les chaînes légères d’Ig ;
2. Ni les protéines de bas PM.
3. Interprétation :
1. Résultat (-) :
1. Traces ou 1+ (< 0,3 g/L).
2. Résultat (+) :
1. 2+ (env. 1g/L) ;
2. 3+ (env. 3g/L).
2. Quantitative :
1. Méthode au rouge de pyrogallol :
1.
3. Qualitative :
1. Électrophorèse des protéines urinaires ;
2. Microalbuminurie.
3. Situations cliniques en dehors du syndrome néphrotique :
1. Protéinuries intermittentes ou transitoires :
1. Physiologiques :
1. Protéinurie orthostatique ;
2. Protéinurie d’effort.
2. Pathologiques :
1. Fièvre élevée ;
2. Infections de l’appareil urinaire ;
3. Insuffisance Ventriculaire Droite (IVD) ;
4. Polyglobulie.
2. Protéinuries permanentes :
1. Albumine majoritaire :
1. > 1g/24h → néphropathie glomérulaire ;
2. < 1g/24h → toutes les néphropathies.
2. Albumine minoritaire :
1. Présence de chaînes légères (κ ou λ).
3. Ionogramme urinaire (Na+, K+) :
1. Dosage :
1. Photométrie d’émission ;
2. Électrode spécifique.
2. Interprétation :
1. Rapport Na+u/K+u :
1. Si > 1 → normal ;
2. Si < 1 → hyperaldostéronisme.
4. Constituants azotés non protéiques :
1. Urée (P et U) :
0. Introduction :
1. Définition :
1. Principale forme de détoxification de l’ammoniaque (NH4+).
2. Lieu d’anabolisme :
1. Foie (exclusivement).
3. Élimination :
1. Rénale :
1. Après filtration ;
2. Et réabsorption partielle (30 – 40%).
1. Dosage :
1. Méthodes à l’uréase :
1. Réaction de Berthelot (formation d’indophénol) :
1.
2. Valeurs usuelles :
1. Cf. 1. Composition plasma/urine.
3. Variations physiologiques (plasmatiques) :
1. ↑ :
1. Régime hyperprotidique ;
2. Effort prolongé.
2. ↓ :
1. Grossesse ;
2. Jeûne prolongé.
4. Variations pathologiques (plasmatiques) :
1. ↑ :
1. Atteintes rénales ;
2. Atteinte cardiaque ;
3. Syndrome urémique ;
4. Déshydratation ;
5. Hémorragie gastro-intestinale ;
6. En post-opératoire.
2. ↓ :
1. Insuffisance hépato-cellulaire.
2. Créatinine (P et U) :
1. Définitions :
1. Créatinine :
1. Produit du métabolisme de la créatine-phosphate musculaire.
2. Créatine-phosphate :
1. 1ère réserve énergétique musculaire mobilisable.
2. Dosage :
1. Chimique (colorimétrique) : méthode de Jaffé :
1.
3. Clairance :
1. Cf. 3. Exploration spécialisée/1. Mesure du DFG/2. Clairance de la
créatinine (endogène).
4. Valeurs usuelles :
1. Cf. 1. Composition plasma/urine.
5. Variations physiologiques :
1. ↑ :
1. Âge avancé ;
2. Effort ;
3. Alimentation riche en protéines ;
4. Contraceptifs oraux.
2. ↓ :
1. Antiépileptiques ;
2. Anti-inflammatoires.
6. Variations pathologiques :
1. ↑ :
1. Insuffisance rénale.
2. ↓ :
1. Myopathie.
3. Urate (P et U) :
1. Dosage :
1. Cf. 5. Hyperuricémie et goutte : diapo 38.
2. Valeurs usuelles :
1. Cf. 5. Hyperuricémie et goutte : diapo 39.
3. Variations physiologiques :
1. ↑ :
1. Obésité.
2. ↓ :
1. Âge bas ;
2. Sexe féminin ;
3. Grossesse (jusqu’au 6ème mois).
4. Variations pathologiques :
1. ↑ :
1. Cf. 5. Hyperuricémie et goutte : diapo 17 à 21.
2. ↓ :
1. Insuffisance hépatique sévère ;
2. Déficit en Xanthine Oxydase (XO) ;
3. Sécrétion inappropriée d’ADH ;
4. Médicaments hypouricémiants.
5. Éléments cytobactériologiques :
1. Globules rouges (hématurie) ;
2. Globules blancs (leucocyturie) :
1. > 10 leucocytes/champ ou mm3.
3. Cylindres :
1. Hyalins ;
2. Cellulaires ;
3. Granuleux ;
4. Lipidiques.
4. Cristaux ;
5. Cellules épithéliales ;
6. Micro-organismes :
1. Bactéries ;
2. Champignons ;
3. Protozoaires ;
4. Parasites.
2. Plasma :
1. Ionogramme plasmatique :
1. Na+ ;
2. K+ ;
3. Cl- :
1. Dosage :
1. Cf. 2. LCR : diapo 41.
2. Valeurs usuelles :
1. Cf. 2. LCR : diapo 15.
4. HCO3- :
1. Dosage :
1.
2. Valeurs usuelles :
1. Cf. 2. LCR : diapo 15.
2. Équilibre phospho-calcique :
1. Ca2+ ;
2. PO4- ;
3. PAL.
3. Équilibre lipido-protéique :
1. Intérêt :
1. Diagnostic du syndrome néphrotique :
1. Hypoprotéinémie ;
2. Hypercholestérolémie. (↑ LDL).
2. Diagnostic de la néphropathie diabétique :
1. Hypercholestérolémie ;
2. Hypertriglycéridémie.
3. E. spécialisée (complémentaire) :
1. Mesure du Débit de Filtration Glomérulaire (DFG) ;
0. Principe :
1. Si une substance filtrée à travers le glomérule :
1. N’est ni réabsorbée ;
2. Ni excrétée par le tubule…
2. …elle est intégralement retrouvée dans l’urine définitive :
1. Sa clairance mesure alors le DFG.
3. Les substances utilisées pour la mesure du DFG :
1. Doivent réunir les conditions suivantes :
1. Ne pas se fixer sur les protéines plasmatiques ;
2. Ne pas être métabolisées par l’organisme ;
3. Ne pas avoir d’action pharmacodynamique ;
4. Être d’un dosage facile.
1. Clairance de l’inuline :
1. Définition de l’inuline :
1. Polysaccharide de fructose.
2. Intérêt :
1. Méthode de référence pour mesurer le DFG.
3. Inconvénient :
1. Protocole lourd (exclusivement réservé à la recherche).
2. Clairance de la créatinine (endogène) :
1. Conditions de recueil des urines des 24h :
1. Le recueil sera correct si les conditions suivantes sont respectées :
1. j0 à 7h (au lever) ;
2. À partir de 7h ;
3. j1 à 7h (au lever).
2. Erreurs habituelles (3) :
1. Les urines de j0 au lever sont collectées ;
2. Les mictions au moment des selles ne sont pas collectées ;
3. Arrêt de la collection des urines une fois le bocal rempli.
2. Mesure (formule classique) :
[ créa ]U × dU
1. CL créa= .
[ créa ] P
1. CLcréa : clairance de la créatinine (mL/min) ;
2. [ créa ] U : créatinine urinaire (mg/L) ;
3. [ créa ] P : créatinine plasmatique (mg/L) ;
4. dU : débit urinaire (mL/min).
3. Formules d’estimation :
1. Formule de Cockcroft et Gault (1976) :
1. CLcréa=¿
[ ( 140−âge ( années ) ) × poids ( kg ) ] × k .
créatiniémie(µmol)
1. k = 1,23 chez l’homme ;
2. k = 1,04 chez la femme.
2. Formule MDRD [Modified of Diet in Renal Disease study] (2006) ;
1.
2. Diagnostic :
1. Signes néphrologiques :
1. DT1 :
1. Microalbuminurie ;
2. Protéinurie et HTA ;
3. Puis IR.
2. DT2 :
1. Idem sauf que l’HTA précède la néphropathie.
2. Durée d’évolution du diabète :
1. DT1 :
1. 5 ans après le diagnostic du diabète.
2. DT2 :
1. Possible au moment du diagnostic du diabète.
3. Signes associées :
1. Rétinopathie diabétique ;
2. Macro-angiopathie.
3. Complications :
1. Sténose de l’Artère Rénale (SAR) ;
2. Hyperkaliémie.
3. Lithiase rénale :
1. Diagnostic :
1. Clinique :
1. Colique Néphrétique (CN) +++.
2. Radiologique ;
3. Diagnostic de la nature du calcul :
1. Calcul calcique :
1. Oxalate de calcium +++ ;
2. Phosphate de calcium ;
3. Hydroxyapatite.
2. Calcul non-calcique :
1. Urate de sodium ;
2. Cystine ;
3. Struvite (phospho-ammoniaco-magnésien).
2. Traitement :
1. T. de la Colique Néphrétique (CN) :
1. AINS en IM ou IV ;
2. Restriction hydrique.
2. T. curatif des calculs urinaires :
1. Lithotritie Extra-Corporelle (LEC) :
1. Fragmenter le calcul par ondes de choc.
2. Techniques endoscopiques.
4. Syndrome néphrotique :
1. Définition :
1. Strictement biologique associant :
1. Protéinurie > 3g/24h ;
2. Albuminémie < 30g/L.
2. Physiopathologie :
1. Trouble de la perméabilité capillaire glomérulaire :
1. Induisant le passage d’une grande quantité d’albumine dans l’urine.
3. Diagnostic positif :
1. Œdèmes +++ ;
2. Protéinurie > 3g/24h ;
3. Albuminémie < 30g/L ;
4. Hyperlipémie.
5. Lupus Erythémateux Disséminé (LED) :
0. N.B :
1. Lupus signifie loup en latin :
1. L’éruption cutanée du visage rappelle les masques de loup portés lors du
carnaval de venise.
1. 2.
1. Définition :
1. Maladie systémique auto-immune.
6. Amylose AL :
1. Dite « AL » pour « Amyloidosis Light-chain » ;
2. Caractérisée par le dépôt extracellulaires :
1. De chaînes légères d’Ig monoclonales :
1. Pouvant toucher tous les organes à l’exception du cerveau.
7. Polykystose rénale :
1. Génétique (AD) ;
2. Fréquente (prévalence 1/1000) :
1. La plus fréquente des néphropathies héréditaires.