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Valeurs et principes de la République française

1) LA DIFFÉRENCE ENTRE UNE VALEUR ET DES PRINCIPES


- Les principes sont des normes qui servent au raisonnement ou à la conduite. Ils ne poussent pas à
agir, mais servent d’idéaux auxquels l’individu peut se conformer. C’est une croyance directrice,
ligne directrice morale. On peut suivre un principe sans y adhérer

- Les valeurs guident les actions et les choix de l’individu. Permettent d’agir. Est plus abstraite
qu’un principe, car correspond à chaque individu qui a son propre système de valeur. La valeur
c’est ce à quoi on adhère, on croit

- À titre d’exemple : l’égalité est une valeur car elle stipule que toutes les personnes devraient
avoir les mêmes droits, les mêmes chances selon leur sexe, leur origine, leur âge…, mais il n’y a
aucune précision sur ce qui constitue un traitement équitable ou sur la manière dont cette idée
peut être réalisée. À l’inverse, la justice est un principe, car elle comporte des spécifications
claires. Ce qui rend la compréhension complexe, c’est ce que certaines valeurs peuvent être à la
fois personnelles, et universelles comme la valeur d’équité, et donc en fait un principe, car ce
dernier a une vocation générale

• Le principe de justice est un principe car il explique en quoi l’équité est importante. L’égalité
est une valeur. L’opinion publique estime que tout le monde doit être égal, en revanche sa mise
en place est périlleuse, en témoigne par exemple la différence de salaire entre hommes et
femmes. Ainsi, l’égalité n’est pas un principe

2) LE VOCABULAIRE
- Civilité : observation des convenances en usage chez les individus vivant en société. Politesse,
courtoisie. À l’inverse, l’incivilité désigne les comportements témoignant d’un manque de
considération envers ses semblables

- Civisme : attitude d’attachement à la communauté nationale et ses institutions. Droits et devoirs


du citoyen envers la collectivité

- Déclaration du droit de l’Homme et du Citoyen (DDHC) : à l’été 1789, DDHC marque le


début d’une ère politique nouvelle. Est citée dans le préambule de la Constitution de la Ve
République, et le Conseil constitutionnel a reconnu en 1971 sa valeur constitutionnelle. Rédigée
par l’Assemblée nationale formée par la réunion des Etats Généraux. S’agit d’une déclaration de
principes. Articles par articles, la DDHC est votée du 20 au 26 août 1789.

• Elle définit les droits « naturels et imprescriptibles » à savoir la liberté, la propriété, la sureté,
la résistance à l’oppression, l’égalité devant la loi, la justice, le principe de séparation des
pouvoirs. Comprend au total 17 articles https://www.elysee.fr/la-presidence/la-declaration-des-
droits-de-l-homme-et-du-citoyen

- Démocratie : régime dans lequel le peuple gouverne

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- Discrimination : situation d’une personne traitée de manière moins favorable qu’une autre dans
une situation comparable (d’après la loi de 2008). Rupture d’égalité selon les critères établi par la
loi (religion par exemple). Délit passible de sanctions (75 000€ d’amendes, 5 ans de prison

- Egalité : Qualité pouvant être formelle, réelle, de traitement ou de chances. Ce qui est de même
valeur, sans pour autant se ressembler. Jouir des mêmes droits

• Egalité formelle est une égalité de droits, égalité réelle, égalité de traitement qui vise à évincer
toute forme de discrimination, égalité de chance en référence à l’équité

• Ex : pour les auteurs de la loi de 1905, la séparation des Eglises et de l’Etat est une façon, de
parvenir à l’égalité en mettant fin au régime des cultes reconnus et subventionnés, l’Etat
soumet toutes les religions aux mêmes règles

- Fraternité : du latin frater, désigne tout membre de l’espèce humaine. Respect pour ses
semblables, lien qui devient unir toute la famille humaine, il s’agit d’un idéal.

• Triptyque « Liberté, Egalité, Fraternité » est formé sous la Révolution française, et apparaît
pour la première fois dans la Constitution de 1848. Aujourd’hui, on évoque aussi la « cohésion
sociale », le « vivre-ensemble »

• La Constitution de 1946 affirme que la RF est sociale. Nous devons veiller que les plus
pauvres soient compensés par la solidarité nationale : bourse d’étude, école gratuite…

- Laïcité : système politico-juridique instaurant une séparation entre les pouvoirs politique et
religieux, garantit neutralité de l’Etat, non-ingérence dans les affaires religieuses. N’interdit pas
les relations entre les pouvoirs publics et les autorités religieuses

• Loi de 1905, article 1er : « La République assure la liberté de conscience » et « garantit le libre
exercice des cultes »

• Loi de 1905, article 2 : « La République ne reconnait, ne salarie, ni ne subventionne aucun


culte »

- Exemple : La République finance des aumônerie dans les établissements fermés (casernes,
hôpitaux, internants, prisons)…

- Laïcisme : volonté de protéger la vie publique de toute ingérence religieuse. Critique l’influence
de la religion en tant que telle, et se distingue des anticléricaux qui critiquent l’influence du
clergé

• Laïcisme « extrême » : bannir toute influence, toute manifestation religion dans l’espace public
- Liberté : possibilité de faire ce qui ne nuit pas à autrui. La liberté est étroitement liée à l’égalité
puisqu’il n’y a pas de liberté pour l’homme sans égalité de droits selon Jean Jaurès

• Liberté d’expression : ne permet pas de tout dire, certains propos sont interdits (diffamation,
injures, provocation à commettre des délits, apologie des crimes de guerre ou contre

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l’humanité). L’Etat pose un cadre dans lequel les libertés peuvent s’exercer, sans devenir un
Etat anti-démocratique. En lien avec la laïcité est la loi de 1905 visant avant tout à garantir la
liberté de conscience et de culte

• Liberté de conscience : est défini par défaut par l’article n°10 de la DDHC, à savoir ne pas être
inquiété par ses opinions, sa religion, pourvu que leur manifestation ne trouve pas l’ordre
public. C’est la liberté de croire ou de ne pas croire. Dans la loi de 1905, il est inscrit que « la
République assure la liberté de conscience »

• Loi sur la liberté de la presse et de la réunion (1881)


• Liberté syndicale (1884)
• Liberté d’association (1901)
• Liberté de religion : définie dans la Convention européenne des droits de l’homme. Toute
personne a le droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion. Droit de changer de
religion, de pensée ou de les manifester individuellement ou collectivement, en public ou en
privé, par le culte, l’enseignement, les pratiques et l’accomplissement des rites. C’est une
liberté qui s’exerce dans certaines limites. Par exemple, un préfet peut interdire une
manifestation religieuse si elle présente un risque de trouble à l’ordre public, de même qu’un
employer peut interdire à ses salariés le port de signes religieux pour des raisons de sécurité ou
d’hygiène (port de bijoux)

- Neutralité : principe de l’Etat comme indépendant de tous les clergés et dégagé de toute
conception théologique. Neutralité est un thème central dans la loi de 1905 apporté par l’un des
pères de cette loi Ferdinand Buisson. L’Etat doit rester neutre face à tous les cultes, indépendant
de tous les clergés… Neutralité permet l’égalité de tous les Français devant la loi, la liberté et
tous les cultes. Pas de subventions à un culte, bâtiments publics ne peuvent avoir de signes
religieux comme le personnel public (agents publics) doit également rester neutre. Pour Patrick
Kahn il s’agit d’une « neutralité par abstention ». Neutralité qui consiste à donner une
représentation égale à toutes les sensibilités religieuses ou en période électorale, de donner la
parole aux divers courants politiques

- Ordre public : état social où règnent la paix, la tranquillité et la sécurité. Sûreté, sécurité. À
défaut, on évoque « trouble à l’ordre public », menaçant cet état soit par des actes individuels ou
des actes collectifs. Apporte des restrictions aux libertés fondamentales comme la liberté
d'expression ou la liberté de religion. Une manifestation religieuse peut être interdite si elle
constitue une menace à l'ordre public

- Prosélytisme : mouvement d'un individu cherchant à propager sa foi ou sa cause. On peut


considérer le prosélytisme comme une manifestation de la liberté religieuse en ce sens la cour
européenne ne prétend pas à ce que le prosélytisme soit considéré comme un délit. Or, s’il est
abusif, il peut-être sanctionné lorsqu’il s’exerce dans le cadre professionnel

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- République : régime ans lequel les actions des citoyens sont régies par la loi, implicitement les
citoyens sont égaux puisque la loi doit être universelle. La France est une république
démocratique car les lois sont crées par une assemblée élu démocratiquement par le peuple

- Respect : suppose un engagement, une adhésion plus fort que la tolérance. Il suppose de
reconnaître l'autre comme son égal. Il existe plusieurs forme de respect : respecter la loi, c'est se
conformer ; respecter un engagement, c'est faire ce que l'on a dit. La laïcité a comme conditions
le respect mutuel, dans le sens où il chaque individu doit respecter les choix personnels des autres

- Sécularisation : processus de perte d'influence de la religion dans une société,


« désenchantement du monde » selon Max Weber. Cette définition correspond à la définition
sociologique du terme puisque endroit la sécularisation désigne la nationalisation d'un bien
appartenant à une église ou une institution gérée par celle-ci.

- Tolérance : attitude de quelqu'un qui admet chez les autres des manières de penser et de vivre
différentes des siennes. Sur le plan religieux ce terme désigne le respect de la liberté de
conscience et l'ouverture d'esprit à l'égard de ceux qui professent une religion ou des doctrines
religieuses différentes. Tolérer ne revient pas à accepter mais à supporter quelque chose de
différent que l'on désapprouve. D’ailleurs « tolérer » veut dire « supporter » en latin. Le
philosophe John Rawls affirme que la société n’a aucune obligation de tolérer les individus qui
cherchent à la détruire des autres

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La laïcité
La laïcité au sein de la République

- Lorsque la laïcité est évoquée dans le cadre de la République, de l’Etat français, la loi de 1905 est
rapidement évoquée. Fait de compromis, cette loi est aujourd’hui un point d’équilibre dans les
débats sur la laïcité. En effet, les débats sont nombreux car si l’échiquier politique actuel se dit
pour la laïcité, chacun comprend le principe selon sa propre interprétation

• L’article premier de la loi de 1905 proclame que : « La République assure la liberté de


conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-
après dans l’intérêt de l’ordre public »

- Cet article concerne l’individu. Libre à chacun de croire, et de pas croire ou d’en changer :
la liberté de croire est absolue. Dans l’ordre de la pensée silence, du discours pour soi-
même, on peut penser ce que l’on veut, les restrictions interviennent au moment de la
réalisation de ces opinions

- L’ordre public de manière générale est un terme vague. Terme associé à la tranquillité, la
sécurité…

- Par cet article, la République démontre que la laïcité n’est pas un principe contraire aux
religions, ni à la foi religieuse. La laïcité protège les religions et garantit à ses fidèles la
liberté de les pratiquer

• L’article 2 de la loi de 1905 institue que : « La République ne reconnaît, ne salarie ni ne


subventionne aucun culte. En conséquence, à partir du 1er janvier qui suivra la promulgation
de la présente loi, seront supprimées des budgets de l’Etat, des départements et des communes,
toutes dépenses relatives à l’exercice des cultes […] »

- Cet article fait un parallèle avec la situation qui prévalait. Il est vrai qu’auparavant l’Etat
payait les chefs des cultes et les circonscriptions religieuses, institutionnalisé par le
Concordat de 1902 qui instaurait des relations particulières entre les cultes et l’Etat, relation
qui ne concernait que le catholicisme, la religion réformée et la religion juive

• L’Etat n’a pas délaissé les religions du jour au lendemain, mais a aidé au maintien de l’exercice
du culte en permettant la distribution de biens mobiliers et immobiliers à des associations,
cultes constituées qui ont du se déclarer comme tels

Le principe de laïcité

- Laïcité : principe juridique de séparation et de protection réciproque entre l’Etat et la religion.


Elle garantit à la fois la liberté de conscience, dont la liberté de religion, et la liberté d’expression

• En étant séparés, Etat et religion se protègent l’un de l’autre. Il faut néanmoins préciser que
l’Etat n’a privilégié aucune religion, ni l’absence de religion (athéisme ou d’autres formes de
spiritualité non religieuse)
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- La laïcité est une valeur et un principe, c’est ce qui est dit dans le programme d’Education
morale et civique (EMC) :

• Est un principe, car elle se traduit dans une loi et des décisions de justice. C’est un principe qui
organise d’autres principes et un ensemble de liberté (circulation d’expression, d’association,
etc.). A une valeur juridique, méta-principe, c’est-à-dire que c’est un principe organisateur
d’autres principes

- Permet l’égalité et la liberté par exemple : chaque individu peut être libre de penser sa
propre opinion et ses propres convictions. Égalité du point de vue d’émission d’opinion, de
conviction. Organise les différentes libertés comme les libertés collectives

• Est une valeur, car on souhaite la protéger en tant que point d’équilibre et moyen de coexister
pacifiquement. En tant que valeur, la laïcité souhaite s’appliquer à tous, tout en autorisant la
différence, elle est aussi à la recherche de la tolérance

La neutralité de l’Etat

- La neutralité est imposée à l’Etat : il s’agit de la neutralité confessionnelle. L’agent qui représente
l’Etat ne manifeste pas ses propres convictions religieuses et spirituelles. Cette neutralité
s’applique aux bâtiments publics, aux politiques menées par l’Etat

La laïcité à l’école

- La laïcité s’est d’abord appliquée à l’école avant d’être instaurée dans la République, cette
instaurait s’est faite grâce aux lois Ferry (1881-1883). À l’école, la laïcité est une valeur à
adopter, elle impose des règles, des droits et des devoirs. Des outils sont mises en place pour la
connaître et la comprendre comme la charte de la laïcité (2013), celle-ci est affichée dans tous
les établissements scolaires, voire dans toutes les classes

• Les droits qui sont garantis par la charte de la laïcité sont les suivants :
- Article 6 : forge leur personnalité leur libre arbitre, apprentissage de la citoyenneté.
Protège du prosélytisme

• Les élèves sont des êtres plus fragiles que les adultes, dans le sens où leur liberté de
conscience est en construction. La laïcité permet aux élèves de construire leur liberté pour
jouir pleinement de celle-ci lorsqu’ils seront adultes

• Ils construisent leur liberté de conscience, ainsi que leur liberté spirituelle, croire ou ne
pas croire. Cette liberté-là est aussi garantie par la laïcité

• Article 7 : la laïcité assure aux élèves l’accès à une culture commune et partagée
- L’école transmet les connaissances. Ces connaissances ont une dimension universelle. Elles
ont une valeur pour tous, et ne sont pas rattachées à des valeurs personnelles. Au contraire,
elles sont impersonnelles. Ce que l’on transmet, tout être humain l’acquière de la même
façon
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- Il y a aussi des valeurs partagées. L’école assume de transmettre les valeurs de la
République qui ont une portée universelle. Ces valeurs sont supposées transcender nos
différences

➡En transcendant nos différences, la laïcité vise à faire reconnaître cette universalisme et
s’oppose au communautarisme

• La charte de la laïcité impose des obligations, ils sont énoncés dans les articles 12 et 13 :
- Obligations pour les élèves de suivre toutes les activités et toutes les parties du programme,
car les enseignements sont laïques. Les règles qui s’imposent à l’école sont les mêmes pour
tous, sans distinction

- Possibilité de s’absenter pour une cérémonie religieuse de manière ponctuelle d’après la


circulaire du 18 mai 2004. Dans la circulaire du 10 février 2012, les fêtes religieuses,
lesquelles donnent le droit à une absence, sont précisées

• Pour les fêtes juives, par exemple Yom Kippour ; pour les fêtes bouddhistes, fête du
Vesak…

- Ces circulaires ont été mis en place et ce doit a été accordé du fait que le calendrier national
de la République est un calendrier qui comprend beaucoup de jours fériés correspondant à
des fêtes catholiques. Ces droits ont été donnés dans le but de ne pas être accusé de
privilégier un culte, plus que d’autres

• Autre obligation est porté par l’article 14 qui interdit le port de signes ou tenues par lesquels
les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse. Il faut que les règles de vie
à l’intérieur de l’établissement respectent le principe de laïcité

- Le personnel doit faire preuve de neutralité. Cette loi porte donc sur les élèves, les
personnels de l’établissement mais pas sur les parents. Les parents y sont soumis s’ils
participent à une activité dans la classe pour aider l’enseignant, par exemple animer un
atelier. En tant qu’accompagnateur, les parents n’ont pas à respecter le principe de neutralité

- Dans les écoles privées catholiques sous contrat, l’enseignement religieux est facultatif. Ils
ne peuvent pas refuser un élève selon son appartenance religieuse

- Quelques aides pour l’enseignant : comité des sages de la laïcité (Qu’est-ce que la laïcité ?,
janvier 2021) ; équipe académique laïcité et fait religieux ; guides académiques laïcité et fait
religieux ; « L’idée républicaine » (https://eduscol.education.fr/document/11192/download)
glossaire avec des des notions expliquées ; « La République à l’école », volet pédagogique,
didactique, comment les notions sont enseignées à l’école (https://eduscol.education.fr/document/
11195/download?attachment)

Enseigner la laïcité

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- Le comité des sages de la laïcité évoque « l’histoire des faits religieux ». Il convient d’en parler
de manière détachée. Par cette appellation, et ce biais, la religion devient un objet d’étude

- L’article 15 de la charte de la laïcité affirme que la pédagogique de la laïcité doit être une
pédagogique active afin que l’élève s’approprie la notion. En ce sens, il faut mener des projets en
lien avec la laïcité, les élèves doivent être mis en activité

- Enseignement profession de la laïcité dans le programme d’EMC :


• Cycle 2 : la laïcité est une valeur. Liberté de croire ou de pas croire
• Cycle 3 : la laïcité protège la liberté de penser, de juger, pour soi et pour autrui
• Cycle 4 : la laïcité est mise en lien avec la liberté d’expression des convictions religieuses,
philosophiques

• En seconde : en rapport à la liberté de conscience, pluralité des croyances, des expressions


religieuses,

• En terminale : autonomie du citoyen, coexistence des libertés, liberté religieuse, réduction du


pouvoir de la religion sur l’Etat et la société

Croyance et connaissance

- Adopter une position dogmatique, c’est-à-dire qui se fonde sur les connaissances, la science et
non sur des convictions religieuses. À l’inverse, la position relativiste reviendrait à abandonner
les savoirs, accepter les discours en dévaluant les connaissances et les savoirs, en les mettant au
même niveau que les discours religieux

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