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Les différents niveaux d’interventions d'un message, la méthode AIDA, les signes et les symboles, les sons, les formes et les couleurs, les effets de rhétorique et le style.
Les différents niveaux d’interventions d'un message, la méthode AIDA, les signes et les symboles, les sons, les formes et les couleurs, les effets de rhétorique et le style.
Les différents niveaux d’interventions d'un message, la méthode AIDA, les signes et les symboles, les sons, les formes et les couleurs, les effets de rhétorique et le style.
Comment passer de l’information a une communication efficace : Formaliser un message +
donner un contexte. Deux stratégies possibles : 1. On cible notre publicité et privilégie un public particulier qui comprendra la teneur de notre message. 2. Faire une communication très généraliste. Les trois propriétés d’un message : Cognitif : c’est le déclencheur, il doit attirer l’attention, capter véritablement l’attention du récepteur. Affective : Il doit générer plutôt la sympathie voir l’empathie, un intérêt à la fois intellectuel et humain, une évaluation une identification et même aller jusqu'à l’envie, un désir. Conatif : passer a l’action. Déboucher sur une action réelle. Le bon message est celui qui répond au niveau des connaissances, au niveau affectif également en jouant sur les sentiments, et enfin sur le comportement avec le conatif au niveau de l’intention d’achat.
2 : Quelques plans d’attaques
On peut commencer par séduire le récepteur et l’informer ensuite. On peut à l’inverse commencer par l’informer au début, et ensuite jouer sur le charme et la séduction. On retrouvera les trois niveaux quelque soit la technique utilisé. La méthode AIDA La méthode qui joue sur 4 points clés : Attention – Intérêts – Désir – Action. Elle consiste à attirer l’attention, savoir retenir cette attention en intéressant, savoir susciter le désir et enfin, espérer qu’ ‘il débouche sur l’acte d’achat. Quelques règles à respecter il faut que notre message publicitaire s’inscrive dans un contact positif, éviter la tristesse, la laideur. Essayer de mesurer l’impact du message : c’est à dire toute la partie argumentative. Puis, il faut faire attention au degré d’attention et de mémorisation. Degré d’imprégnation dans les consciences et son degré de mémorisation. Ce sont les principes que l’on va développer : le discours, les thèmes, les images.
3 : Les fonctions du langage
Langage qui va instruire, qui va toucher et qui va plaire. Toucher reste dans le domaine de l’émotion, on est dans le sentiment, dans le domaine de la passion, il faut rentrer dans le domaine du récepteur. Un auteur, Jackobson, a proposé une nouvelle classification des codes du langage : La fonction référentielle : On est dans quelque chose de très simple, c’est quand le langage présente le référant, l’objet du discours, ce qu’on va mettre a l’honneur. Si on privilégie cette fonction c’est que le discours aura pour fonction d’expliquer, d’informer mais sans commenter. La fonction métalinguistique : Les mots devront être interprétés par le récepteur, effort d’interprétation par rapport à un code. Code fondé sur l’ironie, sur l’humour, mode de communication qui est un détour. Fonction expressive : C’est quand l ‘émetteur intervient de façon nette avec sa personnalité, avec son caractère. Il prend a parti le récepteur. Quand on privilégie une émotion de l’émetteur. On communique sur un sentiment. Fonction poétique : On le dit quand on s’intéresse plus au style qu’au sens, plus a la forme plutôt qu’au fond. On va choisir des mots pour leurs sonorités, sens esthétique. Le produit devient secondaire. Fonction conative : C’est quand le discours va jouer sur les injonctions qui doit déboucher sur une action, on cherche à impliquer totalement le récepteur. Fonction phatique : C’est l’opposé de la fonction précédente. Cette fonction a pour but de créer un lien entre le récepteur et l’émetteur. Contact affectif, plaisant pour en quelque sorte rapprocher le récepteur du produit.
4 : Les signes et les symboles
La dénotation et la connotation : Dénotation : La dimension subjective est la dimension symbolique. Le symbole on peut le prendre au premier degré pour ce qui ‘il est. Utiliser un mot avec son sens normal. Connotation : fonctionne avec les sigles et les symboles. La sémiologie : On part du principe que tout a un sens et tout est signe. Les mots, les gestes et les symboles, tout traduit un sens car tout est signe. C’est la science des signes. On s’intéresse a ce qui est sous jacent, la symbolique. Les signes : On distingue globalement deux formes de signes Les signes linguistiques : les mots d’une part Les signes iconiques : les icones, les images Les mots et les images peuvent être polysémiques selon le contexte. Deux pôles différents : la vision objective et la vision symbolique. En termes de stratégie on est bien meilleur en évoquant un discours personnel. Symbole = rapprochement culturel entre deux concepts. Trois types de symboles : 1. Les symboles intentionnels : sont les symboles les plus simples. Ils se contentent de décrire l‘objet au niveau de sa qualité. Leur interprétation est très claire. Pas très subtil comme démarche stratégique. 2. Les symboles interprétatifs : ils vont susciter des sentiments. On va jouer beaucoup plus sur les couleurs, les formes. Beaucoup plus par analogie. 3. Les symboles connotatifs : Ce sont des symboles interprétatifs mais qui ne sont pas directement rattaché au produit. Le produit va servir de prétexte, d’introduction à une échappée au niveau symbolique. Mais il se raccroche a l’idée par un slogan. Marque plus le public. NB : Il y a des tendances majeures mais il faut remarquer qu’ ‘il y en a au moins deux ou trois a travers chaque publicité. Trois dérives à éviter L’hermétisme en pub : A partir du moment où l’on écrit, on parle, on produit, on doit s’adapter a notre public. La confusion : c’est l’inverse. C’est quand une pub ne va pas se démarquer assez et qu’on va utiliser de façon trop peu original, trop peu marquer les même clichés, pour la même gamme de produit. L’anonymat : La publicité dont on ne se souvient pas trois minutes après l’avoir vu. Publicité neutre insipide, l’impact est totalement perdu. Manque de stratégie de créativité.
5 : Les sons, les formes et les couleurs
Les sons : Certains sont considérés comme des sons euphoniques. Agréable à l’oreille. D’autre au contraire sont considérés comme dissonant. Donc en jouant sur les effets d’euphonie et de dissonance, on va influer de façon peu perceptible sur l’association d’idée, la mentalité et la réceptivité du consommateur. Les sons d’isosonique et les sons Il y a des sons impressifs et des sons expressifs, ce sont des sont qui un peu comme les onomatopées qui expriment un phénomène. C’est un langage assez simpliste puis qu’ ‘on se passe du concept. Tout les mots qui on des L évoqueront la légèreté, le rire. Le son A ou é évoque l’intensité et la plénitude. Lorsqu’on cherche le nom d’un produit, il faut cette recherche sur les sons impressifs. Les formes et les couleurs On peut miser sur des réaction identiques sur certaines couleurs ou formes. Ex : le rouge va stigmatiser l’attention. Le noir jouera le rôle de réactif, et fera ressortir les autres couleurs. Pour diriger l’attention, il faut que le regard du consommateur soit guidé. Il ne faut pas que le lettrage dépasse le quart de la page. Un texte lu s’il est sur un texte en couleur aura une efficacité de 25 % de plus de mémorisation. On ne s’en tient jamais à un seul son couleur ou forme.
6 : Les effets de rhétorique et le style.
Les bases classiques de la rhétorique. Communiquer c’est agir pour faire adhérer quelqu’un, agir à la fois sur sa raison, son affecte, son inconscient et son imaginaire. 7 règles d’actions qui sont a la bases de l’art de bien communiquer : 1. Il faut construire une argumentation parfaitement chevillé. 2. Impliquer l’interlocuteur en le mettant en situation, l’invitant à réfléchir 3. Affirmer : on ne construit pas une argumentation avec seulement des présentations d’images ou des questions : il faut assumer l’information appuyée. 4. La répétition : on est dans un discours didactique. Il faut répéter, marteler la même idée, la même vérité de façon à enfoncer le message. 5. Créer un débat contradictoire , laisser une place a l’opposition dans le montage de la publicité. Prévoir les objections et y répondre d’avance : la contre argumentation. On anticipe sur la critique. 6. L’émotion, il faut émouvoir, aller jusqu'à idéaliser. Pour cela les figures de styles sont importantes. 7. Savoir conclure : pour achever de convaincre, enclencher le processus de mémorisation, en récapitulant tout les arguments positifs, en gardant un argument pour la fin de manière à emporter la décision. Style et efficacité : Il ya trois point qui sont importants : 1. Il faut marquer, attirer l’attention au niveau visuel ou auditive, sonore. 2. Il faut être mémorisé, ce que l’on doit communiquer doit s’inscrire dans la mémoire, le souvenir 3. Il faut pouvoir ensuite être capable de développer le propos, de l’amplifier et de jouer beaucoup sur l’ensemble des suggestions. 1er cas : pour attirer l’attention, sortir des communications ordinaires, un des principes que l’on peut avoir est d’utiliser la figure de style la prosopopée : consiste à donner la parole a un être inanimé qui va exprimer ses sentiments. 2ème cas : type de figure (miroir mon beau miroir). On peut ainsi jouer énormément sur toutes les formules connues. La mémorisation passe beaucoup plus par la dimension sonore que visuel. (Les rimes, les refrains) 3ème cas : suggestion évocatrice : on désigne un objet ou une idée par un processus d’analogie et permet donc d’établir une comparaison. Cela permet d’ouvrir sur un domaine qui est par définition inattendu. Tout rapport analogique fonctionne dans une dimension abstraite. Il y a aussi les figures de style d’atténuation. On va trouver le moyen d’en suggérer beaucoup plus : La litote : l’art d’en dire peu pour en suggérer beaucoup. La synecdoque : designer la partie pour le tout. Designer une partie pour suggérer la globalité : publicité et discours beaucoup plus ciblé. La notion de jeu en communication : Le media tout public va essayer d’éviter le manque de clarté, on va plutôt vers une simplification. En revanche, vers des créneaux ciblés, on peut manier énormément ce type d’approche (ironie, associations, contradictions). Cette notion éveille le sourire et l’intérêt du récepteur. Il est essentiellement lié a une connaissance du milieu socioculturel du moment.de plus en plus les publicités utilisent les héros du moment. Derrière les jeux de mots, il y a la dimension du néo langage qui permet de jouer sur les catégories grammaticales. On emploi aussi souvent le nom comme adjectif. Le phénomène sonore si il est tellement important est qu‘il na pas le besoin de l’entendre plusieurs fois pour être mémorisé. Jouer sur les rythmes permet d’intensifier le message publicitaire.
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