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GUILLAUDEUX Lucie
BRETEAU Fanny
LEROY Quentin
GACO 1
Introduction
ANNEXES
Sources
Cahier des charges
Anecdotes
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Introduction
En France, environ 300 000 personnes travaillent dans le domaine du marketing. Le marketing
est défini comme : « L'ensemble des actions ayant pour objectif de prévoir ou de constater, et le cas
échéant, de stimuler, susciter ou renouveler les besoins du consommateur, en telle catégorie de
produits et de services, et de réaliser l'adaptation continue de l'appareil.
Dans le domaine du marketing il existe plusieurs métiers ; chargé d'études, chef de produit,
responsable marketing, marchandiseur … Les professionnels du marketing s'intéressent à nos
habitudes de consommation, et développent des stratégies pour nous séduire et nous fidéliser.
Face à un environnement de plus en plus changeant, la stratégie marketing est de plus en plus
essentielle aujourd’hui du fait de l’importante concurrence et de l’exigence toujours plus accrue des
consommateurs. Dans le commerce, rien n’est laissé au hasard : derrière chaque succès commercial,
on trouve un responsable marketing qui a sondé le marché en profondeur pour connaître les besoins
des consommateurs. Ainsi, nous avons choisis de nous intéresser sur ce métier et dans cette optique
nous allons tout d'abord faire part des études réalisées sur cette profession ainsi que les différentes
interviews réalisés auprès des professionnels qui viendront compléter nos recherches et enfin, nous
établirons un bilan personnel.
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I - Nos idées préconçues
Suite à la formation de groupes métiers, nous avons mis en commun nos idées et nos
impressions sur la profession de responsable marketing avant même d’effectuer toutes recherches.
Nous avons donc réalisé un tableau résumant nos conceptions respectives du métier.
Contrainte(s) du métier Ce métier peut provoquer un certain stress car il faut savoir oser en
mesurant les risques, et les délais à respecter peuvent aussi être
source de stress.
Avantage(s) Polyvalence
Joue un rôle primordial pour la bonne santé de l'entreprise
Contrainte(s) Pression
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II – Le Responsable Marketing et ses missions
Le responsable Marketing supervise le service Marketing d’une entreprise c'est-à-dire qu’il est
chargé de définir et de préconiser à la direction les grandes lignes de la stratégie commerciale à suivre,
en fonction des besoins et attentes du client, mais aussi en fonction de la concurrence. Le Responsable
Marketing participe donc à la stratégie globale de l’entreprise.
D'une part il est à l'écoute de l'évolution du marché et des informations collectées sur le terrain, et
réalise, dans cette optique, des analyses marketing pointues.
D'autre part il analyse les ventes et donne les objectifs commerciaux et stratégiques aux chefs de
produit. À partir de ces études, il a pour rôle de déceler et d'évaluer les opportunités du marché et
d'établir un plan d'action.
Ainsi, sa mission est de devancer la demande et de mettre en place des produits qui répondent aux
exigences des prospects. Le responsable marketing consulte des cabinets externes ou réalise lui-même
des études de marché. Après avoir
collecté et traité les informations, il peut
prendre des décisions appropriées plus
tard pour mettre en place un plan
marketing adéquat pour mettre sur le
marché un nouveau produit.
Néanmoins lors de nos deux entretiens nous nous sommes rendu compte que les missions du
responsable marketing pouvaient diverger d’une entreprise à une autre.
Dans un premier temps, nous avons rencontrés Mr Dobbé, Responsable Marketing à Sermeta à
Morlaix.
Ses missions présentent différents aspects ; un aspect prospectif avec la connaissance et l’analyse du
marché ; il est nécessaire qu’il ait constamment un temps d’avance pour essayer d’identifier les facteurs
qui pourraient faire croître le chiffre d’affaire futur de l’entreprise. Aussi bien en terme géographique
(quels sont les marchés qui aujourd’hui vont s’ouvrir ? Ou quels sont ceux qui sont ouverts mais qui
n’utilisent pas encore leurs technologies et qui seraient susceptibles de les utiliser ? ) qu’en terme
technologique, c’est-à-dire d’essayer d’identifier les axes de croissances futures de l’entreprise en
général, puis une fois ces axes identifiés faire des propositions et des plans d’actions pour développer
le produit manquant sur le marché et/ou aller vers des clients non consommateurs relatifs.
Mr Dobbé affirme cependant que l’aspect réglementaire est très important dans son travail car les
produits vendus par Sermeta sont très techniques et sont soumis à une législation importante.
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Dans un second temps, nous avons rencontrés Mme Colleter Responsable Marketing et de
Communication à Citroën de Saint-Martin-Des-Champs.
Mme Colleter, quant à elle s’occupe non de la partie stratégique de l’entreprise, (gérée à Brest par le
groupe COBREDIA qui regroupe les différents concessionnaires auto) mais de la partie média (sites
web, médias sociaux, techniques de communication de marketing directe comme les mailings ou les e-
mailings, SMS…) Elle fait également de la création visuelle (catalogues), établit des sponsorings
(partenariats) et organise des portes ouvertes.
Afin de mieux évaluer concrètement ses différentes activités nous lui avons demandé de nous décrire
une journée type.
« Par exemple on arrive le matin, on a des coups de fils, il faut tout de suite préparer un visuel pour
ouest France, donc on prépare le visuel, on a un autre coup de fil concernant les mailings après-vente à
préparer, donc on prépare et on envoie ces mailings. Ensuite l’après-midi j’ai fait un peu de création
pour le catalogue de personnalisation des toits des DS 3, puis entre temps on a eu la programmation
d’une réunion, donc j’ai dû préparer cette réunion, c’est-à-dire faire un bilan des actions qui ont été
faites. »
Mr Dobbé, lui, affirme ne pas avoir de journée ou de semaines types « ca dépend où on en est dans
l’année » affirme-t-il.
Tous les deux ont, en effet, affirmés avoir des « temps forts » dans l’année.
Mr Dobbé a des phases de préparation du budget, où il va aider les commerciaux à bâtir leur budget,
des phases de préparations de salons et des phases de grandes analyses stratégiques.
Sur une journée il déclare qu’il faut être capable de répondre aux demandes des services, d’avancer sur
les sujets de fonds et de gérer l’opérationnel.
Quant à Mme Colleter ce sont les 15 premiers jours du mois qui sont chargés ; elle reçoit les mailings e-
mailings à télécharger, reçoit un guide marketing pour savoir quel visuel utiliser pour ceux des trois
concessions dont elle s’occupe (Lannion, Morlaix et Guingamp), elle doit faire la pub dans le Ouest
France pour les portes ouvertes et les offres qui sont proposées aux clients au début du mois.
Les deux ont donc des missions différentes. Comme nous l’a démontré Mr Dobbé on a deux types de
marketing ; le marketing amont (stratégie, connaissance
du marché…) et le marketing aval qui met en œuvres
les opérations de soutien aux commerciaux tels que la
communication par exemple.
Cependant ils ont tous deux le même objectif ; celui
d’augmenter le chiffre d’affaire de l’entreprise en ayant
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une veille permanente, une présence commerciale et de promouvoir une bonne image de la marque.
« Le marketing c’est être présent là ou est tout le monde » dit-elle.
Mr Dobbé affirme que le responsable marketing doit se donner des objectifs précis afin de mettre en
place des plans d’actions précis , puis par le biais des outils de mesures voir si on a atteint ces objectifs.
Mais cela reste difficile de les planifier et de les insérer dans un emploi du temps car cela s’effectue à
long terme.
IV – Le profil de la profession
Les deux professionnels du marketing nous ont affirmés qu’il était essentiel de parler
couramment l’anglais pour pratiquer ce poste. « L’anglais est un minimum vital ».
Selon Mme Colleter il est nécessaire d’avoir de bonnes qualités rédactionnelles ; un bon français et une
bonne orthographe, des aisances à l’oral, un bon relationnel, être dynamique ainsi que réactiviste et
posséder une force de conviction. Elle affirme ; « je suis dans un secteur où c’est très masculin, voir
assez machiste, donc il faut s’avoir s’imposer, avoir un caractère et du poids dans ses propos. »
Une forte réactivité est aussi demandée ainsi que la maitrise des logiciels de PAO (Photoshop,
Illustrator, in design..).
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Selon Mr Dobbé, « La clé dans ces métiers là c’est d’être réactif, d’avoir du recul et une capacité
d’analyse mais on l’apprend sur le terrain, c’est beaucoup de bon sens, et ça ne s’apprends pas à
l’école. Le marketing c’est un métier où on est au contact du terrain, le terrain est une bonne source
d’information donc il faut être mobile. »
De même, il affirme qu’il faut être flexible car il arrive qu’il travaille le week-end notamment lors des
salons mais affirme « je ne compte pas, l’entreprise non plus et tout le monde est gagnant ».
De même, comme Mme Colleter il affirme qu’il est nécessaire d’avoir une bonne capacité de diplomatie
et de persuasion car il ne travaille pas en hiérarchie mais en fonctionnel donc il faut convaincre les
autres services. « Les conflits sont assez fréquents entre les commerciaux et le responsable marketing
car nous n’avons pas forcément les mêmes objectifs, il faut donc être diplomate. »
Les avantages principaux du métier seraient que le praticien est très proche des dirigeants, et
joue un rôle primordial pour la bonne santé de l'entreprise mais aussi sa polyvalence.
Néanmoins les entreprises demandent des résultats toujours plus performants. La prise de risque est
aussi l’un des inconvénients du métier : l’évolution est quasiment toujours verticale, vers plus de
responsabilités. Un responsable marketing peut évoluer vers le poste de directeur marketing, voire
migrer vers une fonction commerciale, au mieux, chapeauter des services commerciaux et marketing,
mais plus rarement, rejoindre les ressources humaines, ou la logistique.
Lors de nos deux interviews, nous avons demandé à chaque professionnel de nous énoncer les
avantages et les inconvénients de leurs professions.
Tous deux nous ont répondu que leur métier était polyvalent, peu répétitif, qu’il y avait peu de morosité
dans leur travail car celui-ci change tous les jours.
Mme Colleter nous a cependant confié que cette profession nécessite d’adapter ses horaires avec son
organisation personnelle, ainsi que le caractère contraignant de la minutie de la relecture des mails
qu’elle envoie aux clients, l’utilisation de logiciels anglais assez difficiles à maitriser ainsi que la
nécessité d’être constamment vigilante sur les mentions légales et les chartres graphiques lorsqu’elle
réalise des actions de communication.
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Cependant elle affirme que « c’est gratifiant de savoir que grâce à moi on a vendu trois DS et deux C3
par exemple. »
De même, elle adore le côté relationnel omniprésent dans la profession. En ce qui la concerne elle ne
subit pas de pression étant donné « qu’il n’y a pas d’objectifs chiffrés, et heureusement » dit-elle.
Mr Dobbé, lui, affirme qu’il aime « partir un jour d’une feuille blanche et quelques mois ou années plus
tard, voir le produit qui séduit, la réalisation est concrète et j’aime ça. »
Cependant, lorsque qu’un projet longuement étudié et analysé ne séduit pas et n’aboutit pas, Mr Dobbé
affirme que cela peut-être démotivant et assez frustrant.
V – L’environnement du professionnel
On retrouve le poste de responsable marketing dans un grand nombre d’entreprises, petites ou
grandes, tous secteurs confondus (services, industries, biens de consommation) et aussi dans des
cabinets de conseils. Le responsable marketing dépend généralement du directeur de l’entreprise ou du
directeur marketing. Ce métier suppose des contacts divers en interne (production, R&D, achats,
ventes) comme en externe (publicité, clients…), ainsi que de fréquents déplacements.
Le responsable marketing exerce sa profession entre son bureau, la direction et les équipes de chefs
de projet ou de produit, il est donc sans cesse en mouvement.
Les deux responsables marketing que nous avons rencontrés n’évoluent pas dans un service
marketing à proprement parlé car leur poste ont été créés à leurs arrivées. Ils sont tous deux seuls et
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n’ont donc pas de véritable directeur marketing au sein de l’entreprise. Cependant, ils travaillent en
collaboration avec les autres fonctions de l’entreprise.
Mr Dobbé a des relations transversales avec les principaux services de Sermeta surtout avec l‘équipe
commerciale qui a une bonne connaissance du client et du marché, mais aussi avec l’équipe de
recherche et développement qui doit confirmer ou non le projet, la partie contrôle de gestion pour la
proposition d’un prix de vente et sa direction, son secrétaire général qui valide la stratégie mise en
place.
Mme Colleter, elle aussi, est en permanence avec les directeurs des autres concessions mais affirme
détenir cependant une part d’autonomie qu’elle semble apprécier.
Ainsi tous deux affirment que l’ambiance au sein de l’équipe est importante car on est sans cesse en
coordination avec les autres. Mme Colleter affirme «si le climat de travail est horrible même si on est
bien payé, c’est dur psychologiquement ».
Mr Dobbé
Concernant l’évolution du métier, les deux affirment que le marketing est porteur d’avenir car les
entreprises prennent de plus en plus conscience de l’importance de celui-ci du fait que le marché soit
saturé, complexe et disputé.
Mme Colleter confirme que « c’est un poste d’avenir, les boites ne peuvent plus s’en passer ».
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A l'université, où l’on trouve de nombreux masters dans les domaines du marketing, notamment
le master pro spécialité marketing, publicité et communication du CELSA (Paris-Sorbonne) ;
mention marketing et vente spécialité marketing-chef de produits (Paris Est Créteil Val de
Marne)…
Après un bac + 5, on peut compléter cette formation, en 1 an, par un mastère spécialisé tel que le
mastère spé marketing et communication de l'ESCP Europe.
L’accès au métier de responsable marketing est réservé aux diplômés bac+5 maîtrisant la langue
anglaise, condition indispensable pour effectuer des recherches sur la concurrence étrangère.
Mme Colleter a fait un bac ES, puis une licence et un master en communication des
entreprises. Cependant, selon elle, il n’y a pas de cursus idéal, l’idéal est un maximum d’expériences.
Elle affirme qu’elle s’est familiarisé avec beaucoup de secteurs avant ; elle est passé par
l’évènementiel, a été attachée de presse, a été à l’accueil et au secrétariat, puis chargée de
communication. Elle certifie également que le fait d’avoir fait beaucoup de commercial lui permet de
mieux comprendre où il faut aller et comment fonctionne les vendeurs et les entreprises.
Mr Dobbé, quant à lui a fait une école de commerce, selon lui c’est le parcours le plus classique
la voie royale pour bénéficier du réseau, choses essentielle. Néanmoins il est possible de faire une FAC
d’AES ou une fac d’éco puis de se spécialiser ensuite et d’acquérir de l’expérience professionnelle
surtout car on a « écart important entre la théorie et la réalité ».
Mr Dobbé a connu une certaine ascension dans sa vie professionnelle. En effet, il a d’abord été chef de
produit, puis chef de produit avec une équipe à manager et enfin Responsable Marketing.
Les deux professionnels affirment qu’il est nécessaire, tout au long de notre formation de garder nos
contacts, de se former un réseau. Ils insistent également sur le fait qu’il n’y a pas de parcours idéal car
c’est l’expérience professionnelle qui fera la différence, selon Mr Dobbé quand on reçoit un CV on
regarde avant tout ce qu’on a fait comme expérience professionnelle et après éventuellement la
formation.
Il faut généralement commencer sur un poste d'assistant pour ensuite devenir responsable
marketing. Après quelques années d'expérience, il est possible d'évoluer vers un poste de directeur
marketing, impliquant alors de manager une équipe.
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Le profil de carrière du responsable marketing est donc très évolutif. Beaucoup de dirigeants
d’entreprises par ailleurs, ont tous été des responsables marketing.
Mr Dobbé et Mme Collater nous ont confié qu’ils espéraient, tous deux, d’ici quelques années
devenir directeur marketing.
IX – Bilans personnels
Ce travail de rapport prenant en compte les recherches et interviews en groupe m’a permis
d’appréhender la profession du responsable marketing sous différents aspects et de me faire un avis
sur ce domaine qui me séduisait particulièrement.
Dans un premier temps, le travail de recherches documentaires m’a aidé à compléter les vagues
connaissances que j’avais sur le secteur du marketing, notamment sur le parcours d’étude, la
rémunération, les évolutions de carrières, et le profil attendu. Mais c’est surtout dans un deuxième
temps, lors des deux entretiens avec les praticiens d’entreprise, que je me suis rendue compte de la
réalité de l’activité professionnelle du responsable marketing et que celui-ci pouvait se voir confier des
tâches différentes d’une entreprise à une autre.
En effet, les deux personnes rencontrées n’avaient pas du tout les mêmes missions, l’un s’occupant
plus particulièrement du marketing en amont et l’autre du marketing en aval. Cela m’a permis de me
rendre compte que la partie stratégie et analyse du marketing m’intéresse moins que la partie du
marketing opérationnel. La communication, le côté relationnel et la polyvalence professionnelle sont des
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aspects du métier qui m’intéressent. Cependant, le fait de devoir parler anglais couramment est une
facette de la profession qui m’effraie quelque peu.
Les deux responsables marketing nous ont affirmés que le marketing était un secteur porteur d’avenir
car les entreprises ne peuvent plus s’en passer, cependant je me demande si ce domaine n’est pas trop
encombré aujourd’hui pour me lancer dans des études en marketing.
BRETEAU Fanny
Mes recherches sur internet ainsi que les entretiens réalisés auprès de
responsables marketing m'ont permis de découvrir une profession très intéressante, dans laquelle les
responsabilités sont importantes et l’expérience professionnelle est primordiale.
Lors de ces entretiens, j'ai découvert que les personnes exerçant la profession de responsable
marketing n’ont pas toutes les mêmes rôles, missions au sein de leur organisation respective.
Leurs fonctions divergent et dépendent de différentes variables comme la taille ou bien de la stratégie
de l’entreprise.
Les différentes facettes de ce métier comme l'étude de marché, la créativité et la variété des tâches
sont des aspects qui m’intéressent. Le côté relationnel et l’importance de la communication sont les
domaines qui m'attirent le moins. Un des éléments que je retiendrai principalement est que
cette profession exige une parfaite maitrise de l'anglais. Pour conclure, je pense que toutes ces
recherches m’ont permis d’apprendre d’avantage sur ce métier de responsable marketing que je
connaissais très peu auparavant.
LEROY Quentin
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de concurrence, analyses statistiques et mise en place en place de stratégies commerciales. Or les
témoignages des deux professionnels m’ont apporté d’autres informations sur ce métier.
J’ai pu voir que le Professionnel pouvait allier à la fois marketing et communication ce qui m’a
particulièrement captivé. Par ailleurs, la rencontre avec Monsieur Dobbé a confirmé mes recherches. En
effet ce dernier exerce essentiellement la facette du marketing en amont.
Ainsi, j’ai pu me rendre compte à travers ces deux entretiens que le métier de Responsable
Marketing peut être très différent d’une entreprise à l’autre. Personnellement je serais plus attirée par le
marketing stratégique : découvrir les concurrents potentiels, s’adapter à la demande des
consommateurs. Ce qui m’attire c’est de pouvoir s’adapter sans cesse à la demande extérieure.
Par contre, le côté créativité, graphisme du marketing en aval me poserait plus de difficultés.
Je suis quand même consciente qu’avant d’arriver à la fonction de Responsable Marketing l’expérience
professionnelle est indispensable au travers de plusieurs postes, la pratique de l’anglais est
incontournable ce qui m’encourage à me perfectionner dans ce domaine.
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