ISET MEDENINE

Institut Supérieur Des Etudes Technologique De Medenine

Département De Génie Mécanique

RAPPORT DE STAGE D’INITIATION

Élaboré Par : BEN AMOR Nourchene

Encadre Par : TABBOUCHE Refka

Période de stage : Du 17 / 01 / 2022 au 12 / 02 / 2022

2021/2022
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Introduction Général

J’ai réalisé mon stage au sein de la société “Caveo“ << Compagnie Tunisienne des
Ressorts à lames >> qui est spécialisée dans la fabrication des ressorts à lames et les
barres stabilisatrices.

Le présent rapport comportera quatre chapitres présentant les différentes étapes de ce

projet.

Le premier chapitre est dédié à la représentation de la société.

Dans le deuxième chapitre je présente les produits de la société.

Dans le troisième chapitre je présente le processus de production des ressorts à lames.

Le quatrième chapitre je dépose les taches effectuées durant le stage.

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Sommaire

Introduction Général…………………………………………….....................................................1

Chapitre 1: Présentation de l’entreprise……………………………………....................................5

Situation Géographique..................................................................................................…....6

Description de la société……………………………………………………………………..7

Chapitre 2 : les Produits de Caveo…………………………………………………………………9

Les clients et les fournisseurs de la société………………………………………………….12

Organigramme……………………………………………………………………………....13

Chapitre 3 : Processus de production Des ressorts à lames………………………………………15

Débitage……………………………………………………………………………..18

Traitement Thermique……………………………………………………………...21

Assemblage…………………………………………………………………………22

Chapitre 4 : Les taches effectuer………………………………………………………………….25

Suivi du stock.........................................................................................................…..26

Grenailleuse 1 :… ……………………………………………………………………27

Fixation d’un motoréducteur…………………………………………………………..28

Machine Morita……………………………………………………………………….29

Conclusion………………………………………………………………………………31
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Listes des Figures

Figure 1 : Photo de la vue principal de cotrel…………..…………………………………6

Figure I.2 : Palette de ressort mono lame parabolique……...……………………………10

Figure I.3 : Ressorts à lames multiples paraboliques……………………………………10

Figure I.4 : Ressort à lames multiples conventionnel……………………………………11

Figure I.5: Ressort « LINKER »…………………………………………………………11

Figure I.6. : Organigramme général de l’entreprise COTREL………………..…………13

Figure 7: Matière première………………………………………………………………18

Figure 8: Machine de découpage……………………………………………...…………18

Figure 9: machine du poinçonnage………………………………………………………19

Figure 10 : four de chauffe……………………………………………………………….20

Figure 11: Laminage conventionnel………………………………………..……………20

Figure 12 : les œillets formés…………………………………………………………….21

Figure 13: four à chaud………………………………………………………..…………22

Figure 14: Grenailleuse…………………………………………………………………..23

Figure 15 : Opération d’assemblage……………………..………………………………23

Figure 16 : machine d’essai en charge et machine de fatigue……………………………24

Figure 17: chaine de la peinture finale et marquage…………………………………….24

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Figure 18 : suivi du stock………………………………………………………...………26

Figure 19 : instruction de maintenance outillages…………………………………….…28

Figure 20: les différents éléments du vérin………………………………………..…….28

Figure 21 : fixation d’un motoréducteur…………………………………………………29

Figure 22 : démontage des disques du MORITA……………………………………..…29

Figure 23 : changement d’un pignon usé……………………………...…………………30

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Chapitre 1 : Présentation de
la société
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Chapitre 1 : présentation de la société

I.1. Situation Géographique :

L’entreprise COTREL (Compagnie Tunisienne des Ressorts à Lames) , fig 1 est installée
à la zone industrielle de Bordj Cédria

Figure 1 : Photo de la vue principal de cotrel

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I.2. Description de la société :

Raison Social : Compagnie Tunisienne des ressorts à lames << Cotrel >>

Adresse : Z.I Bordj Cedria BP : 912

Ville : Hammam lif C.P 2050

Secteur : Mécanique

Principaux Produit : les ressorts à lames et les barres stabilisatrices

Effectif : 500 environ

Date de création : 1981 Date de mise en production : 1985

Nombre de site production : 01

Forme juridique : SA totalement exportatrice Capital : 20.000.000

Produits Fabriques : les ressorts à lames et les barres stabilisatrices pour véhicules

Quantité : 15.000 tonnes/an

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I.3. Caveo membre de l’I.S.T :

Caveo est le nouveau membre de l’I.S.T – Institute of Springs Technologie _unique

centre technique basé au Royaume-Uni couvrant tous les aspects de recherche en
technologie du ressort.

I.4. Recherche & Développement (R&D) :

S’appuyant sur les idées innovatrices d’une équipe d’ingénieurs hautement qualifiée, le
service Recherche et Développement de CAVEO assiste ses clients dans la conception de
ressorts personnalisés à des coûts optimisés.

La réalisation de ces études de création, de modification et d’amélioration des produits

selon les besoins est assurée par l’utilisation des outils informatiques tels que :

Système CAD pour modélisation 2D

Modélisation en 3D du ressort et calculs analytiques.

Analyse par éléments finis pour les calculs statiques et dynamiques.

Assistance technique : Co-développement avec clients et fournisseurs, analyse de la

valeur, conception et développement de produits et équipements, liaisons télématiques.

Démarche qualité totale : laboratoire d’analyse, contrôle des caractéristiques élastiques,

essais d’endurance.
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Chapitre 2 : Les Produits de

Caveo
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Chapitre 2 : Les produits de Caveo

Un grand nombre de véhicules routiers et ferroviaires, et notamment les plus lourds, sont
suspendus sur des ressorts à lames posées sur deux appuis.

Ce produit que fabrique la société CAVEO peut prendre différentes formes selon le
besoin du client. On recense deux grandes familles de ressorts :

Les ressorts conventionnels et les ressorts paraboliques.

Outre que cette classification, on trouve des ressorts mono lame, bi lames ou à lames
multiples.

Quelques produits de CAVEO sont présentés dans les figures I.2 ; I.3 ; I.4 et I.5

Figure I.2 : Palette de ressort mono lame parabolique

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Figure I.3 : Ressorts à lames multiples paraboliques

I.1. Ressort à lames paraboliques :

Les ressorts à lames paraboliques qui sont créés au début des années 70. Ils peuvent être
composés de plusieurs lames ou d'une seule, cette appellation provient de la forme des
lames, elles sont laminées sous forme d’une parabole ce qui nous donne une variation
dans l’épaisseur sur chaque côté de lame.

Figure I.4 : Ressort à lames multiples conventionnel

I.2. Ressort à lames conventionnels (figure I.4) :

Les ressorts conventionnels ou multi lames sont composés des barres plates appelées
lames, laminées d’une façon uniforme (conventionnel) sur toute la longueur. De nos
jours, on les trouve le plus souvent sur les matériels (véhicules moteurs et remorques ou
semi-remorques) destinés aux transports lourds sur les mauvaises routes…

Figure I.5: Ressort « LINKER »

I.3. Ressort à air « LINKER » (figure I.5) :

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COTREL produit aussi les ressorts à lame de type "linker" ou "Link-Arm" qui sont
destinés pour être montés dans les véhicules dont la carrosserie repose sur uncoussind'air.
Ce dernier type de ressorts est une innovation dans le domaine de fabrication des ressorts

I.4. Clients de la société :

Les clients de l’entreprise sont de constructeurs de première marque tels que :

 Italie : IVECO-FIAT ;
 Espagne : IVECO ;
 Suède : SCANIA ;
 France : SCANIA-S.M. B ;
 Algérie : S.N.V.I ;
 Allemagne : MAN ;
 Tunisie : SICAME ;
 Pologne : VOLKSWAGEN

I.5. Fournisseurs de la société :

Plusieurs fournisseurs tunisiens et étrangers dont un bon nombre parmi eux sont des
intermédiaires.

Les principaux sont d’origine Française et quelques-uns sont des chinois mais seulement
leurs matériaux ne possèdent pas la meilleure qualité surtout au point de vu
caractéristiques mécaniques.

On cite :

-ALLEVARD ACIERS ASCOMETAL : A504 France

-AMIDEAST France

-Etc…
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I.6. Organisation du travail :

COTREL est constituée principalement d’une administration et d’une usine et un effectif
d’opérateurs de 450 au total et 55 cadres. Sa structure organisationnelle est une structure
fonctionnelle.

L’organigramme de l’entreprise est représenté par la figure I.6.

Il est à remarquer que la particularité de cette organisation est de centrer tous les
départements autour de la politique qualité de l’entreprise ayant pour vision d’être parmi
les leaders pour la fourniture de ressorts à lames aux plus grands constructeurs
automobiles Européens.
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Figure I.6. : Organigramme général de l’entreprise COTREL

I.7. Les départements de CAVEO et leurs objectifs:

Pour réussir et améliorer ses capacités de production, la direction de CAVEO a
décomposé les tâches en plusieurs départements chacun est responsable de ses fonctions.
Les départements sont :

• Commercial : Augmenter le Chiffre d’Affaires et la part de marché avec des produits,

services et clients diversifiés.

• Engineering : Développer le savoir-faire dans la conception et l’industrialisation des

produits, tout en développant les processus de fabrication.

• Ressources Humaines : Sélectionner et développer le potentiel humain pour garantir

l’occupation et la continuité des fonctions tout en assurant la satisfaction et la sécurité au
travail du personnel.

• Maintenance: Installer et maintenir en bon état les équipements et biens tout en

améliorant leur performance et durée de vie.

• Production : Optimiser l’utilisation de la capacité et des moyens de production en

garantissant l’amélioration permanente de la productivité et de la qualité.

• Logistique : Garantir les livraisons à temps pour l’import et l’export tout en optimisant
le niveau de stock à toutes les étapes

• Direction Qualité, sécurité et environnement : Intégrer la qualité dans toutes les

fonctions de l’entreprise et atteindre le zéro défaut tout en se conformant aux normes des
clients

Responsable UAP1 et UAP2 : Qui pilotent les sections et les chefs d’équipes et gèrent la
production en étant en communication directe avec le service logistique.

•Magasin outillage : accorde tout l’outillage nécessaire aux ouvriers pour effectuer leur
tâche et aussi les outils de rechanges pour toutes les machines de l’usine
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Chapitre 3 : Processus de production

Des ressorts à lames

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Chapitre 3 : Processus de production des ressorts à lames :

La fabrication des ressorts à lames comprend trois processus principaux :

 Le débitage
 Le traitement thermique
 L’assemblage

Chaque processus contient des plusieurs étapes enchainées et bien sur le contrôle qualité
se fait par les opérateurs de la ligne de fabrication comme présentée par la figure ci-
dessous.
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Matière Première

Tronçonnage Découpage

Perçage a mèche

Four de trou central

Laminage Laminage

Conventionnel parabolique

Rognage Formation des œillets

Traitement thermique

Grenaillage

Formation des œillets Peinture Primaire

Rivetage

Alésage

Baguage Assemblage Peinture Finale

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Stock des produits finis

1.1. Le Débitage :
Le débitage comprend les opérations suivantes : Le découpage, poinçonnage, laminage
parabolique, laminage conventionnel, rognage, formation des œillets. (Tronçonnage et
perçage à mèche sont des lignes secondaires pour un raison d’amélioration du
production).

Figure 7: Matière première

1.2. Le Découpage :
Cette opération consiste à cisailler les barres d’acier selon des longueurs visées pour leurs
donner les dimensions inscrites sur les gammes de fabrication. Le réglage et la fixation
des butés de positionnement sont nécessaires avant l’exécution de chaque lot de barres.
Les barres d’acier sont ensuite stockées pour être contrôlées par le chef section.

Figure 8: Machine de découpage

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1.3. Poinçonnage :
Il est réalisé à froid ou à chaud. Le choix s’effectue selon l’épaisseur de la lame et du
diamètre à poinçonner. Le poinçonnage à froid se fait pour les lames dont le diamètre du
trou est plus grand que l’épaisseur de la barre. Dans le cas contraire, avant de passer par
la poste de poinçonnage, les lames d’acier sont chauffées dans un four de chauffe central.
Ensuite, elles sont transférées vers l’exécutant qui les positionne sous une presse de
poinçonnage pour effectuer un poinçonnage juste au centre (le positionnement et le
centrage de la lame se font par les butées correspondantes). Les lames poinçonnées seront
transférées au processus de laminage qui peut être conventionnel ou parabolique selon le
type des ressorts à lames.

Figure 9: machine du poinçonnage

1.4. Le laminage parabolique :

Le laminage parabolique est conçu pour améliorer la répartition des contraintes en
extrémité des ressorts et réduire le poids des lames. Les épaisseurs des lames sont
obtenues selon une équation de parabole. Les lames doivent aussi passer par un four de
chauffe avant d’être laminer. Dans les deux cas de laminage, les lames présentent à leurs
extrémités un excès en longueur et largeur.
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Figure 10 : four de chauffe

1.5. Laminage conventionnel :

Le laminage conventionnel permet de réduire les épaisseurs aux extrémités des lames
d’une façon linéaire selon un coefficient de pente propre à chaque type de. Les lames sont
chauffées à leurs extrémités dans le four de chauffe extrémité (la température de travail
du four est constante mais la durée de séjour de la lame varie selon son épaisseur). Le
régleur ajuste la longueur de pénétration des lames entre les deux cylindres du laminoir à
l’aide d’une butée. Il règle aussi l’espace entre les deux tambours afin d’obtenir
l’épaisseur voulue de l’extrémité de la lame.

Figure 11: Laminage conventionnel

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1.6. Formation des œillets :

La formation des œillets sert à enrouler les extrémités des lames à chaud. Le passage des
lames à un four de chauffe est donc nécessaire. Ces formes assurent la liaison de la lame
avec le châssis du véhicule.

Figure 12 : les œillets formés

2.1 Le Traitement Thermique :

Ce processus consiste à modifier les caractéristiques et les propriétés des métaux afin
d’améliorer le comportement mécanique des composants du ressort. Il comporte les
étapes suivantes :

2.2 Le chauffage :
A une vitesse contrôlée de l’acier jusqu’à la température d’austénitisation. Cette
température varie selon le ressort de 930 C à 960 C.

2.3 Trempage :
L’opération de trempage consiste à immerger la lame dans un bain d’huile à 60 C qui
permet d’améliorer les caractéristiques de résistance des ressorts.
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2.4. L’opération de revenu :

Consiste en un chauffage jusqu’à une température dite revenue, un maintien contrôlé à
cette température, puis un refroidissement jusqu'à la température ambiante à l’eau.

Figure 13: four à chaud

I.3. Assemblage :
Ce dernier processus comporte toutes les opérations de finition et de mise à la cote avant
d’assembler le produit et le mettre sous sa position finale. Les principales opérations sont:

3.1. Le grenaillage :
Les lames sortantes du four de revenue et refroidies présentent souvent à leurs surfaces
dés de corrosion qui sont éliminées par injection à une vitesse bien définie de grains
spéciaux dans une grenailleuse équipé d’un système de récupération des grains. Le
grenaillage intensif est conçu pour améliorer les performances en assurant une
préparation des surfaces favorable à l’adhérence de la peinture.

Figure 14: Grenailleuse

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I.3.2. La peinture primaire :

Une application d’une couche très mince de peinture permet aux lames de résister à la
corrosion.

I.3.3. Finition des œillets :

Plusieurs opérations d’usinage sont prévues pour préparer le produit au montage sur le
véhicule. Ces opérations sont l’alésage, le meulage parallèle, l’insertion de la bague et
l’alésage de la bague.

I.3.4. Assemblage et essai de charge :

Le groupement des lames comporte le ressort par l’intermédiaire d’un boulon consiste
l’opération d’assemblage. Elle est suivie par des essais de conformité et de contrôle de
charge

Figure 15 : Opération d’assemblage

Figure 16 : machine d’essai en charge et machine de fatigue

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I.3.5. Peinture finale et marquage :

Tous les ressorts qui ont subis avec succès les essais de charge seront peints et marqués
selon les exigences du client.

Figure 17: chaine de la peinture finale et marquage

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Chapitre IV : Les taches

effectuées
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I.1. Participation aux actions des maintenances :

Le maintien des équipements production est un jeu de clé pour la productivité des usines
et aussi bien que pour la qualité des produits. Parmi les missions du service de
maintenance, on trouve bien sûr en premier lieu la surveillance permanente ou
périodique, dépannage, réparation et les actions préventives. Participation aux actions des
maintenances m’a permis d’établir une communication fructueuse et enrichissante au
cours de mon stage de surveillance et participations aux certaines actions de
maintenances, parmi ces actions, on trouve d’abord :

I.2. Le Suivis du stock :

On fait le suivie régulière du stock pour assurer la vérification complète des pièces de
rechange et de la matérielle maintenance pour que le responsable du magasin soit à jour
avec le stock.

Figure 18 : suivi du stock

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I.3. Maintenance au niveau de grenailleuse 1 :

I.3.1. Grenailleuse 1 :
Grenailleuse 1 est une machine mécanique trouvée dans la chaine du traitement thermique du
production. Capable d’éjecter des grains à une vitesse bien déterminé sur la surface des lames
pour bien améliorer l’adhérence et la compatibilité des surfaces pour la peinture primaire.

I.3.2. Tache de maintenance au niveau d’un vérin :

Les petits grains sont toujours capables de rentrer dans les différents composants de cette
machine. Parmi de ces composant, l’ingénieur a trouvé un problème au niveau d’un vérin
responsable du mouvement transversal des lames. Le responsable de production nous a donné la
permission d’arrêter la machine pour assurer le réglage de ce vérin

Voici les étapes de maintenance :

1. Démontage du vérin d’après la machine.

2. Vérification extérieure du vérin pour éliminer les hypothèses de possibilité de trouver des
fuites externes.

3. Démontage des différents éléments du vérin.

4. Vérification interne.

5. Détection des grains qui ont rentrés dans la chambre du vérin.

6. Le nettoyage des différents éléments.

7. Le graissage complet

8. Le montage des éléments et le retourner à sa place quotidienne.

9. Test avec validation de la fonctionnalité parfaite.

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Figure 19 : instruction de maintenance outillages

Figure 20: les différents éléments du vérin

I.4. Fixation d’un motoréducteur :

L’ouvrier a observé un décalage au niveau d’un motoréducteur qui est responsable de transformer
l’énergie électrique en énergie mécanique (rotation) pour assurer le mouvement des dents engrené
avec la chaine du levier dans le système parabolique. J’ai observé que les techniciens et
l’ingénieur ont demandé l’arrêt de la machine pour qu’on puisse faire la fixation de moteur en
toute sécurité.
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Figure 21 : fixation d’un motoréducteur

I.5. Maintenance au niveau d’une machine de Laminage

(MORITA) :
MORITA est une machine de laminage conventionnel d’origine japonais capable de faire le
laminage des lames conventionnelles. Les ingénieurs ont constaté que cette machine a une
consommation d’énergie énorme par apport à la période précédente, donc ils ont décidé de
démonter la machine pour éliminer les hypothèses proposées à suite de ce problème d’énergie.
J’ai observé que les techniciens ont fait le démontage de la partie freinage et embrayage de la
machine pour vérifier les différents disques et les changer au cas d’usure (cela peut éliminer la
consommation d’énergie énorme).

Ils ont trouvé que les disques d’embrayage et frein sont en cas d’usure donc ils ont changé les
disques et finir par le graissage et le remontage

Figure 22 : démontage des disques du MORITA

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I.6. Participation et observation des autres tâches de maintenance :

J’ai observé et j’étais présent à l’autre beaucoup d’activités qui m’a énormément enrichir
mes connaissances mécaniques et ma motivé de plus en plus pour continuer mon
parcours en mécanique et bien développer mes connaissances pour être à jours dans ce
domaine. Voici des autres activités :

Figure 23 : changement d’un pignon usé

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Conclusion :
Ce stage d’initiation était mon premier pas de mieux cerné l’orientation que je veux
donner à mon parcours professionnel et personnel.

Mon stage au sein de CAVEO m’a permis de découvrir le cycle de déroulement des
différents services clientèles et technique et avoir un aperçu global de son
fonctionnement.

Cette expérience s’est avérée très enrichissante pour ma vie professionnelle au futur
aussi bien en ce qui concerne le domaine technique qui est un objectif primordial pour
moi, j’ai aussi eu une opportunité d’avoir un rapprochement entre ce que j’avais appris au
théorique et celui du pratique. De plus cette expérience a été une source d’apprentissage
au niveau relationnel car j’ai pu constater l’importance de la communication pour une
meilleure intégration dans le milieu du travail en équipe.

Je tiens donc à exprimer ma satisfaction d’avoir pu travailler dans un environnement

agréable.