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2ème séquence : séances inaugurales : des exposés présentés par les élèves
La littérature est l'ensemble d’œuvres écrites ou orales fondées sur la langue. C'est le fait de
raconter à travers l’écriture créative, sa vie, ses faiblesses, ses forces, ses événements, ses
troubles et pulsions…
C’est une littérature née principalement vers les années 1945-1950 dans les pays de Maghreb
arabe: le Maroc, l’Algérie, la Tunisie. Les auteurs de cette littérature sont des autochtones,
c'est-à-dire originaires des pays mentionnés mais leurs écrits sont faits en langue française.
La littérature maghrébine d’expression française deviendra une forme reconnue après la 2 ème
guerre mondiale. Elle a traversé plusieurs générations d’auteurs et a entamné de nobreux
thèmes :
La culture maghrébine et le choc entre elle et le monde français : (Ahmed Sefrioui, Driss
Chraïbi, Mouloud Feraoun…). L’engagement dans la réalité politique et sociale du pays
(Abdelkbir khatibi, Mohamed Khaïr-Eddine, Tahar Benjelloun…). Les relations multiformes
des pays Maghrébins avec le monde francais et la langue française (Fouad Laroui, Yasmina
Khadra…). Le déclosenement sur la terre d’accueil soit en France ou ailleurs...
Né en 1915 à Fès, Ahmed Sefrioui est considéré comme le premier écrivain marocain
d’expression française. Il est issu d’une famille modeste d’Amazigh. Sa famille
habitait la médina de Fès. Comme tout enfant de son âge, Ahmed SEFRIOUI allait
d’abord à l’école coranique. Il fréquentait ensuite l’école française et le collège de Fès.
C’est un homme de culture, un romancier et nouvelliste.
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SEFRIOUI était journaliste. Il finit par quitter son poste et fonder le musée Al Batha à
Fès. Il se consacre également à la protection du patrimoine de sa ville natale. À partir
Ils’instale à Rabat et occupe des postes dans les ministères de la Culture, de
l’Éducation nationale et du Tourisme.
Sa première œuvre est intitulée Chapelet d’ambre. Il obtient le Grand prix littéraire du
Maroc pour ce manuscrit. C’est un recueil de quatorze nouvelles.
En 1954, Ahmed SEFRIOUI publie sa deuxième œuvre. La boîte à merveilles. Cette
œuvre est perçue comme le premier texte de littérature marocaine d’expression
française. Il a d’autres œuvres comme La Maison de servitude, Le jardin des
sortilèges ou le parfum des légendes. Il s’éteint le 25 février 2004 à Rabat.
Les objets de la boîte à merveilles: objets hétéroclites qui n’ont d’importance que pour le
narrateur, l’enfant les considère comme ses « véritables amis » .
Zineb : fille de Driss El Aouad et Rahma, détestée par Sidi Mohammed que ce dernier trouve
bête. Elle est plus âgée d’un an que le narrateur.
Rahma: la femme de Driss El Aouad et mère de Zineb, elle occupe le 1er étage. Le narrateur
la décrit comme une femme charmante et souriante.
Driss El Aouad: fabricant de charrues, il a à peu près le même âge que le père du narrateur
(la quarantaine). Époux de Rahma et le père de Zineb.
Fatma Bziouya: la femme d’Allal habitant le 2ème étage partagé avec la famille du
narrateur.
Le Fqih: un homme barbu et maigre, il fait l’objet de cauchemars pour Sidi Mohammed avec
sa baguette de cognassier avec laquelle le fqih distribue des coups au hasard.
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Lalla aicha: ancienne voisine de la famille du narrateur, elle prétend être une Cherifa. Le
narrateur la déteste parce qu’elle inspire le dégout. Elle a deux pièces au 2ème étage dans
l’impasse de zenkat Hajjama.
Moulay Larbi: le mari de Lalla Aïcha. Il fabrique des babouches. Il a eu des litiges avec
Abdelkader son associé qui était avant son ouvrier. Il s’est remarié avec la fille
d’Abderrahman le coiffeur.
Sidi Mohammed ben Tahar: un coiffeur qui habitait le quartier du narrateur. Sa mort
provoqua de la fièvre et du délire chez Sidi Mohammed.
Sidi El Arafi: un voyant chez qui la mère du narrateur se rend avec Lalla Aïcha pour le
consulter, il habite le quartier Seffah.
L’autobiographie :
Une autobiographie est le récit écrit qu’une personne réelle fait rétrospectivement de sa
propre vie. Le mot « autobiographie » , est composé de trois racines grecques : graphein
( écrire ) , auto( soi- même ) ,bio ( vie ) . Les récits autobiographiques font référence à des
lieux , des personnes et des événements réels : ils se différencient en cela des textes de fiction
.L’ autobiographie se caractérise par le fait que l‘auteur , le narrateur et le personnage
principal ne font qu’un . Le récit autobiographique est mené à la première personne.
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d’enfance les plus pratiqués.
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5ème séquence : étudier la croyance religieuse : la féte d’Achoura
Consolider les
1h Langue Le champ lexical connaissances des
Des phrases tirées de l’extrait de lecture apprenanats concernant le
étudié récemment (ch.VII) champs lexical
Travail -Amenere les apprenants à
1h encadré de Consigne : « renseignez-vous sur les effectuer des recherches
recherche à traditions et les habitudes d’Achoura sur terrain.
préparer avant pratiquées par les habitants d’Ain-Beni- -Comparer les traditions
l’activité Mathar » des fétes religieuses selon
les régions marocaines
Théorie : les étapes de la conclusion du
1h Production texte argumentatif -Aider les apprenants à
écrite Sujet pratique: certains parents préférent rédiger des conclusions bien
marier leurs filles à un àge précoce pour organisées.
leur assurer un bel avenir. D’autres jugent -Les inciter à écrire et à
ce comportement d’inhuain. Qu’en pensez- s’entrainer pour s’approprier
vous ? les étapes de la conclusion.
Rédigez la conclusion qui achève ce sujet.
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1h Activité orale Consigne : « Sidi Mohammed est
plus attaché à son père par rapport - Amener les élèves à réfléchir et à
à sa mère. A votre avis pourquoi emettre des hypothèses
certains enfants ou adolescents -les inciter à prendre la paroe pour
penchent souvent vers l’un des exprimer leurs thèses
parents plus que l’autre?
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Modue : I Séquence : V
Activité : Travail encadré
Compétence : Inciter les élèves à faire des recherches et à se documenter
Durée : 1h
Sujet et consigne :
Déroulement de la séance :
Rappel de la consigne
Rappel du sujet.
Les élèves doivent intervenir pour exposer leurs travaux et répondre aux
questions posées soit de la part de l’enseignant ou
de leurs collègues tandis que les autres élèves prennent notes.
Quelques questions pour aider les élèves :
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Oui, car Achoura d’autrefois était plus privilégiée ; toutes les familles se
réunissaient pour la fêter alors qu’aujourd’hui il y’ a beaucoup de familles
qui ne le font pas.
Vers la fin, quelqu’un se chargera de faire le bilan de la séance.