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INTRODUCTION
0.1. PROBLEMATIQUE
Dans le monde entier les entreprises ont l’obligation de procurer à leurs employés des conditions de
travail décentes et propices à leur bien-être physique et mental.
Cependant J.SARAF et alii (2005, p, 129) font remarquer si l’on regarde l’évolution des conditions de
travail, Ilya lieu d’être exagérément optimiste .Le nouveau monde est en rupture avec le taylorisme,
mais il n’y a pas d’amélioration globale des conditions de travail.
C’est ainsi que P.FALZOL cité par J.SARAF indique que la priorité pour l’employeur c’est
l’appréciation de la charge de travail engendrée par les taches demandées .Dans les nouvelles
organisations du travail on multiplie les taches, les travaux, les ordres, sans mesurer l’astreintes qui
en résulte pour le salarié. Tes souvent on lui fixe des objectifs sans se préoccuper de savoir s’il a les
moyens de le réaliser.
Les conditions de travail jouent un grand rôle dans le rendement ou dans l’amélioration de qualité de
service rendu.IL est possible pour les organisations d’avoir les mêmes technologies et les personnes
qualifiées au même titre mais lorsque leurs conditions de travail sont différentes, les résultats seront
aussi différents.
En outre, on accorde de plus en plus d’importance aux conditions de travail, en raison de leurs
conséquences sur la santé psychologique de l’employé et de nombreuses conséquences qu’elles
engendrent.
Les conditions de travail sont très importantes car elles permettent aux salariés de se sentir bien à
leur lieu de travail et de ce fait d’obtenir des résultats positifs (en terme de productivité), de prévenir
les accidents du travail, de lutter contre les maladies professionnelles.
D’où une analyse ergonomique approfondie di lieu est nécessaire en vue d’améliorer les conditions
de travail et le rendement de travailleurs.
Toutefois J. Peretti (2008, pp ,174-176), montre que l’amélioration des conditions de travail ne
sauraient se limiter aux aspects environnementaux et physiques.
En effet, la qualité du travail dépend aussi de l’organisation de l’entreprise. Autrement dit, l’efficacité
de l’entreprise dépend de l’agencement des structures et de la culture organisationnelle. Car la
structure générale de l’institution (organigramme) est le point de départ pour organiser les taches
des diverses cellules de travail composant cette organisation.
Cependant tout observation qui se rend à la SNCC/KALUNDU se rend compte que cette institution qui
a pour mission d’assurer le transport des personnes et de leurs biens ne possède aucun bateau pour
cette fin. En outre, le port reste dans le noire sous éclairage, il n’est pas balisé et ne possède pas de
grue.
Devant une telle situation, on peut se demander comment se fait le travail à la SNCC/KALUNDU.
Les conditions de travail à la SNCC/KALUNDU Sont-elles favorables c’est-à-dire permettent –elles une
bonne réalisation du travail à la SNCC/KALUNDU ? Quelles sont ses conséquences sur les
travailleurs ?
Pour G.DELANDSHEERE (1968, p, 18) l’hypothèse expérimentale « est une affirmation provisoire
concernant la relation entre deux ou plusieurs variables ».
Selon L.NGUAPITSHI KAYONGO (2012, p, 26) l’hypothèse est une première solution provisoire des
problèmes posés, une réponse provisoire que le chercheur formule à sa question de recherche.
Quant à nous, l’hypothèse est une réponse provisoire nécessitant une vérification sur terrain avant
de la confirmer, l’infirmer et la nuancer.
Pour répondre aux questions posées dans la problématique, nous avons formulé les hypothèses de la
manière suivante :
Le présent travail se fixe comme objectif de révéler les conséquences des conditions de travail sur la
réalisation du travail.
-Sur le plan scientifique : ce travail sera un outil ou une voie à suivre pour un chercheur qui sera
intéressé par ce sujet, mais aussi une source d’information pour les scientifiques qui le liront.
Tout travail scientifique doit toujours être dé limité sur le plan spatial, temporel et domaine de
recherche.
Du point de vue spatial, l’étude est menée dans la province du sud –Kivu, territoire d’Uvira.
Du point de vue temporel, cette étude est menée au cours de l’année 2017.
Sur le plan domaine de recherche, nous sommes dans la gestion des ressources humaines
particulièrement dans l’ergonomie.
Pour réaliser ce travail, nous avons fait recours à la méthode d’approche qualitative.
Quant aux techniques utilisées, nous avons fait recours à la technique d’observation et la technique
d’enquête par questionnaire écrit.
Hormis l’introduction et la conclusion, le présent travail s’articule autour de quatre chapitres qui se
présentent comme suit :
Le premier chapitre porte sur les considérations théoriques ou nous tachons de définir les concepts
clés de notre thématique et nous présentons les conditions du travail, les théories suivies de l’état de
la question.
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Dans ce pitre nous allons définir de manière générale les monts clés et connexes utilisés dans la
thématique avant d’aborder les conditions de travail suivi des théories.
I.1.Impact
Pour le dictionnaire universel (2008, p, 627) l’impact est un effet produit, une influence sur l’opinion
par un évènement.
I.2. Réalisation
Selon le petit Robert (1988 , P, 1471) C’est l’action de réaliser, de concrétiser son résultat, action de
rendre réel, effectif, exécution.
I.3. Travail
Pour N.SILLAMY (1999, p ,270), le travail est une activité physique ou intellectuelle que la
société exige ou que l’on s’impose en vue d’un but déterminé.
Pour le MICRO ROBERT (1988, p ,1301), le travail de signe l’ensemble des activités humaines
organisées, coordonnées en vue de produire ce qui est utile.
En science sociale, le terme « Travail » reçoit des définitions variées dépendant de la conception de
l’homme et de son apport à la nature. Elles recouvrent des types de travaux différents en titre
d’exemple, le travail intellectuel, manuel etc.
Dans l’optique du travail comme activité, les définitions soulevées se réfèrent à deux concepts pour
qu’une activité constitue un travail : l’effort et l’orientation vers un objectif .A ces deux
caractéristiques on ajoute une une troisième qui est la contrainte.
Ainsi pour certains auteurs le travail est un effort physique ou mental contraignant orienter vers un
but .D ‘ou il n’a pas du travail lorsque l’activité s’accomplie sans mobilisation de l’énergie et de
tension disponible pour faire quelque chose de précise.
L’exercice même du travail représente une occasion d’acquérir des valeurs sociales qui sons
communes aux membres du même groupe professionnel.
Au niveau individuel il s’agit de voir ce que chacun cherche dans le travail et dans quelle mesure ce
qu’il trouve contribue à la qualité de la vie.
Pour N.SILLAMY (1999, p ,186), l’organisation du travail c’est l’ensemble des activités qui ont pour
but d’aménager le travail afin d’augmenter la productivité, sans nuire au bien-être du travailleurs, et
de fournir au Co consommateur d’avantage de biens à des prix moindre.
Les conditions de travail peuvent résulter d’un mauvais facteur de risques d’accidents du
travail et maladies professionnelles.
Par conditions de travail, il faut entendre l’ensemble des droits et devoirs liés à tel ou tel domaine de
travail à savoir sa pénibilité, sa nature, le milieu du travail dans lequel il s’exerce, sa durée,
rémunération, et le repos.
Selon Larousse (2008, p, 85), une condition est un état physique ou moral, convention dont dépend
l’exécution d’un marché.
Pour le grand dictionnaire de la psychologie (1999, p ,167) les conditions de travail sont l’ensemble
des relations hommes-machines et hommes-environnement impliquant l’analyse des conditions de
travail que la psychologie du travail partage avec l’ergonomie et la médecine lorsqu’il s’agit d’étudier
par exemple les astreintes au travail ,les effets de contraintes matérielles et
environnementales ,l’adéquation des postes ,les dysfonctionnements et les accidents .
Les conditions de travail sont tout ce qui entre dans le cadre du travail d’une personne, que ce soient
son amplitude horaire ; l’ergonomie de son lieu du travail, l’ambiance générale ou les avantages
sociaux.
Les conditions de travail regroupent plusieurs paramètres : matériels, physiques, moraux, en termes
de risque. De nombreux critères doivent être pris en comptes :
La pénibilité au travail
Le bruit
La chaleur ou le froid
La rémunération
L’accès à la formation
Certaines entreprises ont pour point commun de faire passer leurs intérêts économiques bien avant
plus que la santé physique ou mentale de leurs salariés. Elles exploitent, maltraitent et sous-paye
leurs employés, les font travailler dans des conditions d’hygiène et ignorent délibérément les risques
auxquels sont exposés, tel que :
L’ambiance lumineuse : l’ambiance lumineuse doit répondre aux conditions permettant aux
travailleurs de voir avec netteté, avec facilité, sans fatigue, sans effort, assurant en un mot son
confort visuel.
Le milieu sonore : les bruits à des causes multiples dans les lieux du travail et ses effets sur le
travailleur s’échelonnent de l’utilité technique à la nocivité la plus dangereuse.
L’ambiance climatique : peut agir sur l’efficacité du travailleur par la composition chimique de l’air et
par ses caractéristiques thermiques.
Autant des facteurs s’accumulent et faire du travail une source de mal-être pour les salariés. Pour
l’entreprise, il est donc primordiale détecter les causes de ce mal-être pour les éliminer.
L’isolement : Aujourd’hui, le management a tendance à être plus individuel que collectif .Les
relations que les salariés ont entre eux s’affaiblissent, tout comme la relation que les salariés ont
avec leur hiérarchie .Le lieu social est altéré ; les salariés sont isolés et travaillent moins ensemble, ce
qui peut être à l’origine du mal-être ou mauvaises conditions du travail ;
La pression importante de la part de leurs supérieurs qui exigent d’eux une performance sans faille,
tant sur le plan quantitatif que qualitatif ;
L’exposition des salariés à des nuisances physiques, telles que le bruit, la chaleur …
1O.Le roulement : le roulement du personnel est définit comme un mouvement de ce qui roule ou
action de se remplacer alternativement dans certaines fonctions. Il est aussi appelé turn-over
(rotation de des employés)
Bref, ces conditions ne comportent pas seulement les aspects matériels mais aussi relationnels.
Agir sur les facteurs d’ambiance physique et sociale, c’est agir en vue du confort matériel et moral du
travailleur ,c’est lutter contre le sentiment d’inconfort , de malaise ,cet ensemble complexe des
phénomènes rangés sous le terme de fatigue ,c’est aussi empêcher d’apparaitre tout sentiment de
frustration en neutralisant toutes les causes qui peuvent lui donner naissance .
Le sentiment de fatigue peut trouver aussi son origine dans le souvenir d’une situation pénible
antérieure qui se présente à nouveau, montrant ainsi les mécanismes parfois conditionné de son
apparition.
Les risques psycho sociaux doivent apparaitre face à ce sentiment ;ils sont définis comme des risques
pour la santé mentale ,physique et sociale ,en gendres par les conditions d’emploi et les facteurs
organisationnels et relationnels susceptibles d’interagir avec le fonctionnement mental .On le réduit
souvent à la seule notion de « stress » mais ils se manifestent sous diverses formes :stress au
travail ,sentiment de mal-être ou de souffrance incivilité ,agression physique ou verbales ,violence
etc. .
Les risques professionnels sont quant à eux liés à l’activité professionnelle et aux conditions de travail
.Ils peuvent se traduire par maladie ou par accident.
Sur le plan psychologique et physiologique, ces trouble peuvent favoriser des pathologies comme les
dépressions, de trouble du sommeil, des ulcères, des maladies psychosomatique, des troubles
musculo squelettique (TMS), des maladies cardiovasculaires, ou encore entrainer des accidents du
travail voir de suicides.
Sur le plan social, ils peuvent avoir de conséquences économiques et professionnelles graves (des
engagements au travail, l’absentéisme).
Il faut remarquer que nous avons mis de définitions et non une définition ceci traduit le fait qu’il
n’existe pas une définition unique du mot stress. Les disciplines qui s’en occupent en parlent avec
des orientations quelque peu différentes mais proches. Par exemple en psychologie : est définit en
fonction des capacités de l’individu à s’y adapter ;
Pour l’approche médicale : s’intéresse aux réactions de l’organisme aux situations de stress, et
l’approche organisationnelle ; s’attache à le définir en fonction des situations sources de stress.
Pour louche(2007) Cité par ERICK NKULU Le stress au travail entre dans le domaine de la sante
psychologique au travail, En effets, les études relatives de la sante psychologique au travail ont du
stress un sujet majeur pour les organisations.
Le terme stress a été introduit pour la première fois par HANS SELYE (1907-1982) médecin
endocrinologue autrichien.
Pour lui le stress est une réponse non spécifique de l’organisme face à une demande.
Il d’origine syndrome générale d’adaptation qui décrit les 3 réactions successives de l’organisme face
à une situation stressantes :
Réaction d’alarme : de la confrontation a une situation évaluée comme stressante, les organismes se
prépare à réagir.
Ex : la situation du travailleur qui entendaient fortement une promotion mais ne l’obtient pas.
Epuisement : si la situation stressante se prolonge encore, les capacités de l’organisme peuvent être
débordées ; c’est l’état de stress chronique ; l’organisme s’épuise.
Les termes de « bon » et « mauvais »stress sont couramment employés pour évoquer le stress au
travail .Le bon stress ou, comme on dit encore le « stress positif » permettrait une grande implication
au travail et une forte motivation, tandis que le « Stes négatif »ou le mauvais stress rendrait malade .
Le syndrome du bur-nout ou d’épuisement professionnel est une réponse au stress exprimée par la
combinaison suivante : est un épuisement physique, psychologique et cognitif caractérisé par un
sentiment d’épuisement et de désespoir, une baisse de l’estime de soi, un manque d’enthousiasme
dans la vie en général et au travail en particulier.
Iles aussi un ensemble des réactions consécutives à des situations de stress professionnel
chronique .Il est caractérisé par trois dimensions :
L’épuisement professionnel étant une conséquence du stress au travail, on retrouve parmi les causes
du bur-nout des facteurs suivantes :
Surcharge de travail
I.5.3. Le karoshi
Au japon ,des études (1998) font état d’un syndrome d’épuisement nerveux provoqué par le travail
pouvant mener à la mort subite de l’individu .Le karoshi c’est-à-dire la mort par excès de travail .Le
karoshi touche principalement des employés japonais modèle aux horaires illimités ,et qui au bout
d’un certain temps sont pour la plus part victimes de crises cardiaques .
Selon C.N.A (1994, p, 27), définit les accidents du travail comme ceux qui se produisent lors des
activités exercées sur ordre de l’employeur ou dans son intérêt.
Nous pouvons encore dire que l’accident du travail est donc une atteinte survenue au cours de
l’exécution du contrat de travail par suite d’une action brusque, soudaine, normale, extérieur aux
conditions de travail.
Pour SIVADON et A.FERNANDEZ Cité par J. BIBOLA (1968, p.254) dans une étude sur les aspects
physiologiques des accidents en situation de travail nucléaire, affirment « qu’il y a accident chaque
fois qu’un évènement survient dans une séquence de travail ou il n’est pas prévu.
Selon N.KABAMBI (1979, p.6) définit l’accident du travail en situant dans une optique de la médecine
du travail. Pour lui, « l’accident du travail est une atteinte à l’intégrité physique de l’individu,
survenue au cours de l’exécution du contrat de travail, suite à l’action soudaine et violente d’un
évènement a normal.
Les conditions qui doivent être remplies afin de parler d’accident de travail sont :
La soudaineté qui est le fait que l’accident survient subitement à un employé alors qu’il ne s’y
entendait pas ;
Les arrêts de travail caractérisés par des interruptions d’activités par suite d’incapacités que
l’accident du travail engendre ;
Les répartitions des dommages résultats des actions des accidents de travail. Il s’agit des garanties
qui concourent au rétablissement de la santé du travailleuse ;
La déclaration de l’accident dont le but est de sauvegarder le droit de la victime. Elle peut aussi aider
l’employeur à améliorer l’état de la sécurité de L’entreprise.
L’accident ne peut pas être défini seulement selon les aspects précités. Il peut être aussi appréhendé
sous l’aspect industriel qui nous intéresse particulièrement. Pour bien le comprendre et bien le
définir il faut placer l’accident de travail dans le contexte où il s’est produit c’est-à-dire l’industrie,
l’usine où les hommes et les machines sont en interrelation constante pour la production des biens
et des services.
Pour cela, J. DUMAINE (1979- 1980, p. 103) conçoit l’accident de travail comme le résultat d’un série,
d’un enchainement de perturbation qui active un risque latent et passif. Il dit que « le processus de
l’accident découle de la libération d’un risque latent par une perturbation dans la tâche.
Pour J.M. FAVERGE (1976, p. 245) dit que les débutants de leur travail font plus d’accidents que les
anciens ; du fait qu’ils n’ont pas encore acquis une certaine expérience nécessaire pour connaitre et
éviter les dangers et pour acquérir les conduites convenables au regard de la sécurité.
-Effet€ accident
-Comportement ©
-Organisme ou individu (O ou I)
-Situation (S)
Pour l’auteur, l’effet c’est la conséquence ,c’est-à-dire accident .Cependant ,on peut dire que la
dimension de la conséquence dépend de la probabilité qu’Ilya de voir la relation d’être complexe
entre les trois autres variables (C ,O ou I et S ).Parce que il y a intensité des autres ,plus il y a des
activités ,plus il y a des chances que l’effet se produise et soi plus grave .
Selon MAIER ,les comportement de travailleurs doivent être pris en considération afin de déterminer
ceux qui sont le plus susceptibles d’entrainer les effets négatifs c’est-à-dire les comportements qui
peuvent provoquer les accidents .En plus ,bien que les accidents puissent être causés entre situation
et organisme ,il est important d’isoler tous les facteurs ou bien d’analyser les effets et classer les
comportements qui ont plus de chances d’engendrer les accidents .Il recommande ainsi une analyse
beaucoup plus de taillée de la variable situation et de la variable comportement en milieu du
travail .Cette analyse est aussi nécessaire pour les actes qui peuvent être à la base des accidents .
Ce modèle de coule d’une conception qui part du présupposé en compte un certain matériel dans
l’exécution d’une tache ,dans un milieu du travail bien déterminé .L’étiologie d’un accident d’après
ce modèle est à chercher dans l’effet proche en accident et non dans l’effet lointain .En effet ,un
accident de travail est un phénomène complexe .Il est la résultante d’effets qui s’enchainent ,c’est-à-
dire qui secobinent de façon logique .Les perturbations dans une composante génèrent d’autres
perturbations dans une autre composante et déclenche finalement des accidents du travail :individu
(I) taches (T) matériel(Ma) milieu (Mi).
S1. Dans le composant individu (I) KRAWSKY propose qu’il faut considérer l’individu avec toutes ses
caractéristiques endogène et exogènes.
Dans la composante tâche (T), l’auteur demande que l’prenne en compte le travail lui-même et
toutes ses modalités.
Dans la composante matériel (Ma), il s’agit des moyens technologiques de matières premières et des
produits mis à la disposition de l’individu pour exécuter son travail.
En ce qui concerne le composant milieu (Mi) on peut évoquer les faits comme en comblements l’état
de affectueux de l’environnement physique ; le gaz et vapeur, de bruit, poussières luminosité.
Le diagramme sera établi de manière à mettre en évidence la succession des variations afin de
reconnaitre des réseaux de relation entre variations et les composantes (dans la composante ou de
l’une ou de l’autre).
Le diagramme aura donc pour but de faire apparaitre des liaisons (en les précisant) dans la suite des
variations qui conduisent à un accident de travail.
Ex1 : diagramme en chaine (succession linéaire des variations qui mènent l’accident)
Femme
V3 : défectuosité du matériel
Par maladies professionnelles, il faut entendre tout préjudice réalisée progressivement en rapport
avec l’exposition habituelle à un risque précis ; connus comme susceptible de provoquer une maladie
de terminée.
Pour J.BIBOLA (2016, p, 45), la maladie professionnelle ou occupationnelle est une maladie
contractée par un fait ou occasion de l’exercice d’une activité ou reliée directement au risque
particulier de cette activité.
On peut aussi la définir comme une perturbation de l’organisme humain dont les sources sont
surtout attribuables aux conditions de travail que ce soit dans le contenu de la tâche ,le poste de
travail ou tout autre condition telles que :le stress organisationnel ,la qualité de vie au travail
(Q.V.T) ,etc.
Par maladie professionnelle, il faut aussi en tendre tout préjudice physique réalisé progressivement
en rapport avec l’exposition habituelle à un risque précis .Pour justifier l’origine professionnelle
l’exposition au risque ou à l’agent pathogène constitue la condition nécessaire mais il faut dire
qu’elle n’est pas suffisante .Il y a des cas où le risque causale peut être rencontré hors l’emploi, hors
du milieu de travail.
Pour parler donc d’une maladie professionnelle, il faut que le travailleur soit exposé de façon
habituelle au risque et que l’infection réponde à une définition précise dans une liste des maladies
professionnelles.
- La tétanos ;
Etc. .
Le travail non posté : c’est le travail a poste fixe au travail, a horaire normal ; tous les jours pendant
les mêmes heures et au milieu de la journée ;
Le travail posté ou le travail en équipes alternantes ou à horaire alternant : c’est le travail à temps (8)
Ici l’horaire change en fonction de la période ;
Le travail non posté ne fait pas souvent d’objets de constatation, l’ensemble de la masse ouvrière
l’accepte comme normale, sauf dans très peu de cas .Il y a pas nuire en question .Mais le travail
posté pose de grands problèmes de compatibilité entre les rythmes professionnels et les rythmes
biologiques et sociaux.
En réalité le travail en équipe alternante préoccupe aussi bien les travailleurs que les organisations
syndicales et les médecins du travail si l’on considère les résultats disponibles on trouve que le travail
en équipe alternantes pose deux problèmes :
Longtemps, le travailleur fut abandonné à lui-même pour trouver la meilleure méthode à adopter
pour combiner au mieux ces divers éléments : l’expérience lui prenait peu à peu les gestes les plus
efficaces et l’amenait à éliminer les mouvements unit iles ; dans certains métiers bin définis.
Avec F.W.TAYLOR s’ingistent des doutes sur la compétence du travailleur à trouver spontanément
les méthodes d’exécution les plus économiques en temps et en énergie.
L’incidence du facteur technique sur l’activité du travailleur peut être étudiée suivant deux méthodes
d’approches différentes :
Pour le BIT (1981 ,pp,63 ,65), une politique nationale cohérente en matière de sécurité et de santé
des travailleurs et de milieu de travail .Cette politique aura pour objectif de prévenir les accidents et
les atteintes à la santé qui sont liés au travail ,en réduisant au minimum les risques inhérents au
milieu du travail ,dans la mesure où cela est raisonnable et réalisable .Elle précise, en outre ,que les
employeurs seront tenus de fournir des vêtements et équipements de protection et de faire en sorte
que ,dans la mesure où cela pratiquement réalisable ,les lieux de travail ,les
machines ,matériels ,procédés, substances ,etc. …Sous leur contrôle ,ne présentent pas de risques
pour la sécurité et la santé de travailleurs .
Elle précise encore que les travailleurs et leurs représentants dans l’entreprise coopéreront à
l’accomplissement des obligations de l’employeur ,mais aussi que le travailleur ,que s’est retiré d’une
situation du travail dont il avait un motif raisonnable de penser qu’elle présentait un péril imminent
et grave pour sa vie ou sa santé ,devra être protéger contre des conséquences injustes .
Favoriser la santé physique et mentale de tous les travailleurs en maintenant un milieu de travail sur,
salubre et bien adapté, par un service préventif.
Les sévices de santé au travail, avec rôle essentiellement préventif de conseil, doivent être institués
progressivement au bénéfice de tous les travailleurs, dans le cadre d’une politique nationale
cohérente.
Les organisations les plus préventives d’employeurs et de travailleurs seront consultées dans ce but.
Les services ont pour mission d’identifier et évaluer les risques de santé sur les lieux de travail en
surveillant le milieux et les pratiques de celui-ci ,ainsi que la santé de travailleurs en relation avec le
travail .Ils donnent des conseils en la matière en favorisant l’adaptation du travail aux travailleurs
ainsi que leurs informations ,formation et éducation dans ce domaine .Ils organisent les premier
secours ,participent à l’analyse des accidents du travail et maladies professionnelles et contribuent
aux mesures de réadaptation professionnelle .Ils collaborent avec les autres services de
l’entreprise ,comme avec les autres services concernés par l’octroi des prestations de santé .
La surveillance de la santé des travailleurs en relation avec le travail doit être gratuite et effectuée si
possible pendant les heures de travail ; elle ne doit pas entrainer aucune perte de gain pour les
travailleurs. L’autorité chargée de surveiller et de conseiller les services de santé au travail est
désignée par la législation nationale.
-Les conditions de travail auraient –elles des conséquences sur la santé des travailleurs dans leurs
milieux de travail ?
-Les agents de la REGIDESO auraient une perception négative de leurs conditions de travail ?
-Déceler les conséquences de ces conditions de travail sur la santé des travailleurs ;
Travail de BUHENDWA BISIMWA Emmanuel : travail ayant comme : « impact des accidents du travail
sur les rendements, dans la confédération monde des artisans (CMA/BUKAVU) »
-quelles sont les causes qui justifient les accidents rencontrés chez les travailleurs de la
confédération monde des artisans ?
-les travailleurs accidentés bénéficient –ils des indemnités en cas d’une infirmité permanente ou
temporaire ?
-quels sont les mécanismes de prévention et de protection dont dispose la confédération monde des
artisans, pour protéger ses travailleurs contre les accidents du travail dans ; les ateliers ?
Ila formulé les hypothèses de la manière suivante :
-les accidents que connaisse nt les travailleurs de la confédération monde des artisans seraient dus à
la foi à l’élément matériel tel que le vieillissement des machines et à l’élément humain, comme
l’inattention, la maladresse.
-les causes de la diminution de la production durant la réadaptation de la victime seraient dues aux
agents de maitrises et des cadres, pour les secours, les rapports et parfois les témoignages devant
magistrat dans le cas des accidents ayant entrainé un décès à une incapacité permanente.
-Il n’y aurait aucun mécanisme de protection dans la confédération monde des artisans pour
protéger les ouvriers.
-les travailleurs accidentés ne bénéficieraient pas des indemnités en cas d’une infirmité temporaire
ou permanente
-Découvrir les causes des accidents du travail survenus dans les ateliers de la confédération monde
des artisans ;
-Apprécier les mesures de protection contre les accidents ainsi que celles de prévention, s’il y en a ;
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Dans ce chapitre, nous présentons, analysons et interprétons les résultats obtenus de notre
recherche menée.
Ainsi, pour atteindre l’objectif assigné au travail nous avons procédé par l’administration de
questionnaire d’enquête à 50 sujets de la SNCC/Kalundu .
Pour ce faire, il s’avère que 45 sujets des enquêtés seuls nous ont remis leurs protocoles ;
tandis que 5 sujets n’ont pas pu remettre leurs protocoles pour des raisons propres à eux-mêmes.
Ces derniers constituent pour nous une perte ou une mortalité expérimentale.
Nous présentons et analysons les résultats suivant les réponses fournies par les sujets
enquêtés afin de parvenir à confirmer, infirmer ou nuancer les hypothèses formulées dans le travail.
Dès lors, nous pouvons présenter les résultats obtenus selon les thèmes et les items de la
manière suivante :
Données
Fréquence pourcentage
33 21
1. 6 autos leveurs
20 12
2. 12 Plateaux
21 13
3. 10 diables
23 14
4. 12 élingues
9 5
5. 4 véhicules
4 2
6. Internet
7 4
7. 3 générateurs
7 4
8. Calculatrice
3 1
9. 5 Imprimantes
7 4
10. 10 Ordinateurs
10 6
11. 10 Bateaux
16 10
7 C4
Total
157 100
Il ressort de ce tableau que sur 45 sujets enquêtés 33 sujets, soit 21% affirment qu’ils ont
besoin d’au moins quatre à cinq grues pour une bonne réalisation exécution du travail ,20 sujets ,soit
12% souhaitent 6 autos leveurs ,21 sujets ,soit 13% souhaitent avoir 12 plateaux ,23 sujets soit ,14%
souhaitent 10 diables ,9 sujets ,soit 5% souhaitent 12 élingues ,4sujets ,soit 2% souhaitent avoir 4
véhicules ,16 sujets ,soit 10% ,souhaitent 10 bateaux ,7sujet ,soit 4% souhaitent l’internet ,7 sujets,
soit 4% souhaitent 3 générateurs , 3 sujets ,soit 1% les calculatrices ,7 sujets ,soit 4% pour
souhaitent 8 câbles pour soulever les charges
Données
Fréquences
Pourcentages
2. 4 Ordinateurs
12
3. 2 générateurs
3
2
4. 3 Imprimantes
5. 1 Grue
33
24
6. 1 auto leveur
30
22
7. 1 Véhicules
8. Calculatrices
2
1
9. 0 Bateau
10. 1 élévateur
11. 5 diables
12
12. 6 Plateaux
14
1O
13. 12 élingues
10
7
Total
133
96
Les résultats de ce tableau nous montrent que sur 45 sujets enquêtés ,4 sujets ,soit 3%
affirment qu’ils disposent 4 câbles pour soulever les charges ,12 sujets ,soit 9% affirment qu’ils
disposent 4 ordinateurs ,3 sujets ,soit 2% confirment 2 générateurs ,7 sujets ,soit 5% confirment 3
imprimantes ,33 sujets ,soit 24% affirment 1 grue , 30 sujets ,soit 22% affirment 1 auto leveur ,4
sujets ,soit 3% montrent 1 véhicule, 2 sujets, soit 1% calculatrices ,2 sujets ,soit 1% montrent 1
élévateur ,12 sujets ,soit 9% montrent 5 diables ,14 sujets, soit 10% montrent 6 plateaux ,1O
sujets ,soit 7% montrent 12 élingues et aucun sujet qui nous confirme qu’à la SNCC/Kalundu il y a un
bateau.
Ainsi, de tous ces outils (équipements) les bateaux, les plateaux, les élingues, les diables, les
grues, les câbles, les autos leveurs, les véhicules, les ordinateurs seraient nécessaires pour une bonne
exécution du travail à la SNCC/kalundu.
Tableau n° 3
Item 3 Avis des enquêtés sur les conséquences du manque des outils du point de vue exécution du
travail
Données
Fréquences
Pourcentages
1. Dysfonctionnement de service
9
14
30
47
3. Perte du temps
18
28
5. Inefficacité
6. Maladies professionnelles
6
Total
63
107
Il ressort de ce tableau que 9 sujets ,soit 14% sur 45 sujets enquêtés ,affirment que les
conséquences seraient le dysfonctionnement de service ,30 sujets ,soit 47% montrent que les
conséquences seraient le manque ou baisse de la productivité ,2 sujets ,soit 3% montrent la perte du
temps dans le travail ,18sujets ,soit 28% soulèvent la fatigue de travailleurs ,6 sujets ,soit 9%
soulignent l’inefficacité ,et en fin 4 sujets ,soit 6% soulève le cas des accidents du travail et maladies
professionnelles .
Tableau n° 4
Item (4 ,5) autres obstacles qui empêchent une bonne réalisation du travail à la SNCC/Kalundu
Fréquences
Pourcentage
33
49
2. Manque d’outils
25
37
3. Classification des postes
5. Salaires médiocres
1
Total
67
97
Il se dégage de ce tableau que sur 45 sujets enquêtés ,33 sujets ,soit 49% nous montrent
que le retard de paiement des agents peut être un obstacle qui peut empêcher la bonne réalisation
du travail ,25 Sujets ,soit 37 sujets soulèvent le manque des outils du travail ,3 sujets ,soit 4%
déclarent la classification des postes de travail ,1 sujet ,soit 1% le salaire médiocre ou dérisoire , 3
sujets ,soit 4% soulèvent le cas de la motivation des travailleurs ,1 sujet ,soit 1% montre l’insuffisance
des agents.
Ainsi, pour ce qui concerne le personnel, sur 45 sujets enquêtés 4 sujets, soit 8% déclarent
que le personnel à la SNCC/Kalundu est suffisant .Alors que 36 sujets, soit 80% disent que le
personnel est insuffisant.
Pour répondre à la question de l’item 4 de savoir si le personnel est insuffisant que doit-on faire ?
Sur 45 sujets enquêtés 10 sujets, soit 22% ont souhaités le renforcement des capacités (formations)
au sein de cette entreprise, alors que 30 sujets, soit 66% ont souhaités le recrutement d’autres
personnel pouvant renforcer l’équipe.
Tableau n° 5
Fréquences
Pourcentage
1. Par semaine
0
0
45
100
Total
45
100
Il se dégage de ce tableau que sur 45 sujets enquêtés 0 sujet, soit 0% qui nous dit que la
rotation se fait par semaine ou par mois ,45 sujets, soit 100% sujets nous confirment que la rotation
des bateaux est de deux fois le mois.
Pour ce qui concerne les départements dont disposent la SNCC/Kalundu nous pouvons
citer :le département de transport ,d’administration ,de la santé ,de sécurité ou la
police ,mécanique ,Beach , magasin ,RPVA ,génie-civile ,garage …
En référant aux résultats globaux des enquêtes menées sur terrain à la SNCC/Kalundu, la
majorité d’enquêtés estimés à 33 sujets, soit 48% des enquêtés, montrent que les conditions de
travail ne sont pas favorables .De ce fait, la première hypothèse du travail est confirmée suivant les
réponses fournies à l’item 2 du tableau n° 2.
Quant à la seconde hypothèse formulée selon laquelle quel impact ces conditions de
travail sont-elles sur la réalisation du travail à la SNCC/Kalundu, elle est aussi confirmée par l’item 3
du tableau n° 3.
Bref, nous disons que les deux hypothèses de notre recherche ont été confirmées.
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CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
La gestion de toute entreprise se base sur différents aspects dont fait partie les conditions de travail.
En effet, ce travail a porté sur l’impact des conditions de travail sur la réalisation du travail .Ainsi,
nous nous sommes posé quelques questions à savoir :
Quel impact ces conditions de travail sont-elles sur la réalisation du travail à la SNCC/Kalundu .
Pour répondre à ces questions nous avons formulé nos hypothèses selon lesquelles :
Les conditions de travail à la SNCC/Kalundu seraient défavorables ; influenceraient négativement le
rendement et conduiraient à des accidents du travail et maladies professionnelles.
Pour y arriver nous nous sommes fixés comme objectif de relever les conséquences des conditions de
travail sur la réalisation du travail.
Nous dévons présenter les chapitres au tour du quels s’articule le travail comme suit :
Le premier chapitre porte sur les considérations théoriques où nous avons tenté de définir
les concepts-clés et connexes utilisées dans la thématique étudiée. Après cela, nous traitons aussi de
l’état de la question.
Ainsi, considérant les résultats obtenus de la recherche menée, les réponses fournies par
les sujets enquêtés à l’item 2 du tableau n° 2 ont confirmé notre première hypothèse du travail avec
33 sujets représentant 48% des enquêtés et 25 sujets soit 36% il s’agit de l’hypothèse selon laquelle
les conditions de travail à la SNCC/Kalundu seraient défavorables.
En ce qui concerne la seconde hypothèse formulée dans le travail selon laquelle les
conditions de travail influenceraient négativement le rendement et conduiraient à des accidents du
travail et maladies professionnelles, elle est ainsi confirmée par 30 sujets enquêtés, soit 47% suivant
les réponses fournies à l’item 3 du tableau 3.
En fin, tenant compte de tous ces résultats obtenus de notre recherche menée et qui,
nous amènent à la vérification des hypothèses formulées dans le travail, nous pensons arriver aussi
au terme de ce dernier.
Nous suggérons à la SNCC /Kalundu ce qui suit :
De recevoir tous les chercheurs sans les faire souffrir en leurs demandant quelques sommes pour la
recherche ;
De fournir aussi les informations nécessaires sans toutefois afficher l’attitude de rejet ou de
négativité aux chercheurs.
Au gouvernement congolais :
-Savoir que le port de kalundu est le deuxième port national, d’où il faut une protection de ce port en
faisant une réhabilitation ;
-De savoir qu’à travail égal, salaire égal, un agent ne peut pas faire 12 mois impayés sinon il sera
démotiver ou même dégouter par le travail. C’est un problème majeur pour l’organisation.
- De fournir aussi les outils de travail, comme les bateaux, les machines ou grues, Bref
l’équipement en général. Il s’avère qu’à la SNCC/Kalundu il n’y a aucun bateau qui fonctionne
appart les privés ; une petite grue dans un grand port comme celui-ci ; vraiment c’est très
insuffisant€.
Tout compte fait, au c’une œuvre humaine n’est parfaite, nous ne pouvons prétendre avoir épuisé
toute la matière concernant les conditions de travail à la SNCC/Kalundu. Nous ouvrons une voie pour
d’autres chercheurs de nous compléter en étudiant sur d’autres aspects que nous n’avons pas
abordé dans cette organisation .Tout homme est faillible dit-on et l’œuvre humaine ne manque
jamais des imperfections ; vos remarques, critiques tant positives que négatives mais aussi vos
appréciations si possible orientées pour l’amélioration de la science sont les bienvenues.
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