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Communication digitale
- Vis à vis de marques et clients
- Le master qui porte ce nom vise à pratiquer à la suite dans ce milieu et c’est ce terme que les
professionnels utilisent
- Porte sur les actions de communication digitale, pas d’approche sociologique…
Évolution dans la manière de communiquer, techniques pour attirer l’attention
Auparavant, la communication digitale était seulement une branche de la communication
Acteurs transformés par le numérique
Médias classiques et médias digitaux à part avant, c’était une branche spécifique
- Evolution de la technologie, maintenant on peut faire des choses qu’on ne pouvait pas faire
avant (Photoshop, intelligence artificielle…), montrer la modernité de la marque, éviter les
exploitations de choses aujourd'hui mal vues
- Evolution des marchés, plateformes, acteurs économiques et de l’offre, il faut se distinguer
La communication digitale reste de la communication, elle partage des objectifs communs. Le
rôle de la communication est de valoriser une entreprise, une organisation et ses marques,
activités… C’est aussi favoriser la commercialisation de produits et services (avant tout
marchand, a suivi le développement dans d’autres domaines).
Période de la réclame
La réclame et la communication dans la vente des produits ont un rôle renforcé avec le
développement de l’industrie au de la seconde moitié du 19ème siècle. L’industrie produit des
biens, objets (plus récemment des services) en série massive. Pour que les entreprises
produisent, des marchés et donc des clients doivent exister. Il fallait élargir les marchés et donc
enrichir les populations pour qu’elles accèdent à la consommation. Les biens sont, à cette
époque standardisés, ils se ressemblent tous mais il n'y a pas encore de surconsommation. Des
éléments sont apparus pour renforcer la vente, notamment la réclame.
Dès les années 1850, la réclame se standardise au sein des industriels car les premières agences
d’intermédiation entre médias et industriels font leur apparition afin de vendre les espaces de
journaux auprès des annonceurs. Le journal devient gratuit pour toucher un maximum de
personnes, il est remboursé par les recettes publicitaires des industriels qui souhaitent placer
leurs messages. Le journal est donc vendu aux lecteurs et aux annonceurs. Cette pratique
devient ensuite systématique. Elle favorise la vente des produits et possède un vecteur informatif.
Les formats :
- Ils sont contraignants, il y a peu de couleurs (presse, affichage, vitrines de magasins,
emballages de produits, catalogues…), pas très élaborés, peu diversifiés
- Et ce, jusqu'à la WW1
Période de la publicité
Changements :
- La production augmente considérablement après les destructions causées par la Guerre. La
croissance (croissance de 5% en France après la WW1) va être freinée en 1929 par une crise
dû à un crack boursier (bulle spéculative du marché financier).
- Dans ce contexte de crise économique, la demande de produits et services a été freinée par la
baisse du pouvoir d’achat des populations qui sont ruinées, il y a du chômage. Les entreprises
doivent donc trouver des solutions pour attirer les consommateurs. Ils vont donc trouver de
nouvelles techniques de vente car fabriquer un produit de qualité ne suffit plus.
- On va donc communiquer autour des produits pour les vendre. La vente devient une activité
aussi stratégique que la production et la communication voit son rôle renforcé pour
accompagner la vente elle-même renforcée.
- On mise de plus en plus sur la séduction et sur l’envie d’acheter. On va chercher à susciter de
l’émotion chez le consommateur, qu’il ait de l’argent ou non.
- L’approche ne se base plus sur la rationalité.
- Les méthodologies sont plus complexes, professionnelles et normées. On va collecter des
informations sur les marchés, les consommateurs (questionnaires, entretiens, mises en
situations…) pour que les campagnes de publicité soient adaptées. On veut se former une
image réaliste du consommateur.
- Le travail des agences est formalisé, avec des métiers spécifiques, sans formation spécifique
associée, donc la dimension artisanale reste présente même si une routine commence à
s’installer.
- Élargissement des possibilités de diffusion des messages, nouveaux formats à exploiter : la
radio dans les années 20, la voix vient se rajouter au texte et à l’image. Les messages
informatifs à la radio doivent être plus courts pour ne pas perdre le fil, ça doit marquer en
quelques secondes. Les publicités humoristiques font leur apparition par exemple avec des
jeux de mots, sketchs, calembours…
- La presse évolue, les magazines apparaissent, la photographie va s’intégrer aux journaux, ça
fera même partie de la ligne éditoriale de certains d’entre eux.
Période du marketing
Années 1950-1960
- Attention de plus en plus marquée aux consommateurs, on cherche à les connaitre pour les
influencer. On va regarder les comportements, habitudes…
- Il ne s’agit plus de produire puis vendre mais on rajoutera aussi le développement des produits
selon les marchés et d’orienter les marchés vers ces produits (cercle vertueux).
- Démarche rendue possible par l’apparition de systèmes de collecte de données pour permettre
aux entreprises de connaitre les consommateurs.
- Les données vont permettre de faire croire que les chiffres parlent d’eux-mêmes, que c’est la
réalité, il est donc difficile d’avoir de la liberté dans le marketing si ça s’écarte des données. Ils
savent ce qui marche ou non.
- La représentation va être confondue avec la réalité ce qui a renforcé le rôle du marketing qui va
gagner en autonomie, il va devenir un service unique.
- Changement d’approche, on veut comprendre le consommateur, plus de hasard aux actions de
communication de plus en plus sophistiquées.
- Légitimation du marketing et de ses fonctions, ce qui justifie le budget qu’il nécessite. Il se rend
indispensable pour piloter l’activité d’une entreprise. On ne produira plus sans consulter le
département marketing avant d élancer la production d’un produit.
- La communication va s’associer au marketing et non plus à la vente, qui va elle (la
communication) aussi s’autonomiser du marketing avec des activités qui dépassent la sphère
marchande (communication de crise, gestion de crise sort du cadre marchand).
- L'organigramme d’une entreprise est utile pour observer les départements et leur importance
dans celle-ci, champ de compétence indépendant, puissant ou rattaché à un autre service…
- Concernant les méthodes, on va faire appel à la collecte de données de manière sophistiquée.
On va faire des diagnostics avant de lancer d’autres procédures (objectifs, messages, cibles,
supports, budget…) et connaitre le plan d’action. La communication n’est plus faite de manière
artisanale. Des règles générales entrent en jeu (pas de messages ou formulations négatifs ;
règles de contrastes…)
- Travail scientifique et travail stratégique (professionnel), les méthodes sont de plus en plus
complexes (médias, consommateurs…) et les activités se professionnalisent (vocabulaire…)
- Les formations apparaissent dans les années 60 (métiers de la communication et de
l’entreprise) pour enseigner ces nouvelles procédures et méthodes
- Les supports ont aussi été modifiés : pas de nouveaux médias mais exploités à fin publicitaire
qui était nouveau, pratiques de lecture différentes (les magazines durant le weekend qui
permettent l’immersion dans le contenu, donc on va soigner ce qu’on y met davantage), on
exploite et on diversifie les approches aux médias. Au cinéma, les publicités avant la diffusion
des films est de plus en plus utilisée. La TV devient aussi essentielle pour des formats
particuliers, vidéos. Les formats vont se raccourcir car c’était trop cher et la qualité d’attention
est faible. Dire beaucoup en peu de temps donc être inventif.
- A partir des années 60, on va développer l’action dite « hors-médias » > le sponsoring,
mécénat, prospectus, marketing direct…, ça ne passe pas par les médias traditionnels, ça
n’implique pas une rémunération directe des supports, même si ça coute un certain prix
(impression, conception…). Elles vont représenter le double des dépenses faites dans les
médias.
L'approche de la communication digitale réside dans une autre vision de la cible ou communauté.
Elle souhaite créer une relation en suscitant trois objectifs principaux : l’engagement, la
permission et l’interaction.
- L’engagement : persuader les cibles était l’objectif principal, mais la communication digitale
vise plutôt à susciter l’engagement des cibles, donc des réactions, qui peuvent être plus ou
moins demandeuses d’effort. Il y a une échelle de l’engagement. Exemples : des appréciations
du contenu communiqué, témoignages et réaction (pouces bleus ou rouges, likes…) ; demande
plus de motivation du public (le partage) montre que l’individu cautionne le message, on s’y
associe ; la contribution (un commentaire), engageant en termes d’effort et de caution
puisqu’on formule notre avis. Ces actions d’engagement recherchées par les communicants
deviennent aussi importantes que le message communiqué initialement qui va prendre de la
valeur aux yeux des cibles, du communicant et de l’annonceur à mesure qu’il est validé par la
communauté. Le nombre de likes va autant compter que le message, ça donne de l’importance
au message, donne de la visibilité. La communication doit devenir plus ouverte, elle doit laisser
une place au destinataire du message.
- La permission : la communication publicitaire était vue comme une intrusion acceptée qui
vient interrompre le rythme éditorial du contenu. Limites de tolérance culturelles et historiques
varient selon les époques et régions du monde. Les règles ont été adaptées aux contraintes
dans certains pays. Payer moins cher en tant que consommateur en échange de la
consommation davantage de publicités pour certains services (Netflix, Youtube…). Dans le
contexte numérique, elle marche moins bien car en théorie, le public éditorial est moins captif, il
peut aussi disposer d’instruments pour échapper aux intrusions (AdBlock…), l’individu peut
consommer d’autres contenus en parallèle pour éviter la publicité… il faudrait le capter avec un
contenu suffisamment exclusif et captivant ou par une plateforme unique et indispensable
(Youtube unique plateforme pour regarder de longues vidéos de nos jours) pour le faire rester, il
ne faut pas lui donner d’alternative. Le développement de la communication digitale est
associée à la théorie d’une communication plus proche du consommateur qui va demander
son consentement, sa permission (Cookies ou collecte de données à accepter ou non, prise de
conscience par exemple) même si les consommateurs peuvent refuser ce qui va les empêcher
de se connecter sur le site, c’est une permission obligatoire en quelque sorte. On peut
demander la permission de plusieurs manières (cocher une case, association des contenus
Trois évolutions importantes des publics qui amènent à une autre approche de communiquer :
- Les commentaires et avis des usagers sont importants pour les plateformes notamment
pour le e-commerce où les commentaires vont avoir un rôle pour trier l’offre, sélection
pour l’usager notamment entre la marque et la sous-marque ou lorsqu’il y a un grand
nombre de marques différentes proposées (Amazon). Fonction de différentiation et
orientation de l’achat.
- Permet aussi de réguler l’offre lorsque la plateforme ne peut / ne veut le faire, ils doivent
proposer des produits de qualité tout en diversifiant l’offre, en abondance. Incompatibilité
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de la qualité avec une large offre. Les usagers décident donc de différencier les produits et
leurs qualités avec leurs avis.
- Ce sont aussi des moyens de pression sur les producteurs qui mettent à disposition leurs
produits, certains commentaires peuvent aider les producteurs à changer ce qui ne va pas
dans leur produit, modifier l’image du produit, son prix, sa qualité…
- La plateforme peut aussi promouvoir un produit en le mettant en avant sur celle-ci.
- Ils sont utiles aussi pour générer du traffic sur la plateforme, pour que l’usager promeut la
plateforme, ils servent de publicité pour d’autres éventuels usagers qui pourraient acheter
sur la plateforme
L’intelligence
On parle de collecte de données sur les cibles, les concurrences, les marchés, les dynamiques
sociales… L’analyse des mots-clés sur les moteurs de recherches, les comportements de
navigation, les outils de web analytics pour connaitre la fréquentation des outils numériques, les
big data… Tout cela permet d’identifier des récurrences, dresser des profils, de segmenter ou
d’individualiser la cible et de penser à des spécificités dont on ne connaissait même pas
l’existence. On mesure donc des phénomènes dont on présuppose l’existence, cela permet aussi
de faire émerger des comportements et tendance dont on ignore l’existence. Les outils proposent
donc les solutions (même s’il y a des limites).
On peut aussi avoir des utilisations plus qualitatives pour collecter des avis (insight), en créant ou
en s’immergeant dans des communautés. Les focus groups sont loin communs aujourd'hui
même s’ilx existent encore.
L’individualisation industrielle
La capacité d’individualiser les messages en touchant une cible massive et en réduisant les
coûts. Dans la plupart des cas, la communication devait choisir entre la diffusion de messages
individualisés et les messages standardisés visant une cible bien plus massive (choix pour des
raisons de coûts donc plus restreint). Dans la communication traditionnelle, les médias de masse
étaient préférés donc les messages standardisés afin de toucher un maximum de monde.
Grâce aux outils numériques, on peut connaitre plus précisément les comportements numériques
des individus et leurs attentes (en partie) grâce aux traces et contributions que les usagers
laissent. Les outils sont aussi capables de choisir les bons messages et formats adaptés, ils
peuvent les personnaliser en temps réel.
La communication s’adresse à des individus et non à des masses. Messages spécifiques générés
et adaptés en fonction des comportements observés (voir ceux qui sont le plus susceptibles
d’adhérer au contenu, trier).
Les recommandations sur les plateformes sont aussi une forme de communication personnalisée.
L’algorithme peut se tromper mais globalement c’est efficace.
L’intégration
Complémentarité des différents canaux et d’actions de communication pour mieux segmenter les
cibles et adapter les actions aux pratiques des cibles (toucher une cible précise avec un média
précis comme la radio et une autre partie de la cible via les réseaux sociaux > les jeunes écoutent
de moins en moins la radio).
La communication digitale permet aussi de diversifier les messages s’adressant à la même cible
pour favoriser l’effort de dialogue en créant un enrichissement de l’information communiquée ou
de les détailler. Une publicité diffusée à la radio et à la télé seront différentes déjà car elles n’ont
pas le même coût, le message doit être court et percutant.
On peut compléter l’information en la diffusant dans différents médias mais aussi grâce aux outils
numériques (création d’un site, d’une communauté, application mobile, ludique ou informatif pour
capter l’attention de la cible).
L’intermédiation
Les relations entre les annonceurs, les médias et les intermédiaires a été transformée par la
communication digitale. Traditionnellement, les intermédiaires gravitaient autour des agences
publicitaires, agences de communications, groupes de communication.
Ces nouveaux acteurs issus des années 2000 n’ont rien de traditionnel même si ils ont pris une
importance capitale dans la communication. Leur pouvoir est énorme et se manifeste à plusieurs
niveaux. Ils possèdent les régies publicitaires du numérique (Google, Facebook, Microsoft, Apple,
Amazon) qui vont gérer l’affichage publicitaire via leur page. Ils sont donc des agences et des
médias en même temps.
Cela impacts donc aussi la production des contenus (diffusés principalement dans le numérique),
ils tiennent donc compte des spécificités de ces médias. Il faut par exemple optimiser les
contenus pour avoir de la visibilité sur les moteurs de recherche sur lesquels on les diffuse. Un
métier existe pour cela c’est le référencement. Il faut apparaitre dans les premiers sites pour
générer du trafic.
Si les messages sont diffusés sur d’autres plateformes (réseaux sociaux) il faut s’adapter aux
formats proposés, et les logiques de visibilité (communautaire, donc qui marche avec les
réactions apportées, likes…) et les algorithmes.
Le paysage des acteurs et compétences a été transformé par l’apparition de ces nouveaux
médias, cela impacts donc tous les contenus en circulation, et tout le monde doit composer avec
ces nouveaux acteurs.
La mesurabilité
Mesurer précisément les actions données et les actions en cours pour évaluer. On peut mesurer
l’exposition, si les supports utilisés atteignent notre cible, quels formats sont efficaces (mots-clés,
texte, vidéo…) les campagnes peuvent ensuite être ajustées dans la durée grâce à des bilans de
fins de campagnes mais aussi en pleine campagne on peut ajuster grâce à la communication
digitale.
La souplesse
Possibilités d’ajustements des campagnes, contenus, supports… Les campagnes digitale
peuvent aussi ajuster leur budget et leur focal (en s’adaptant à des zones géographiques ou
culturelles, ou types de profils ciblés). Campagne internationale ou locale en utilisant les mêmes
supports (Google, Facebook, Youtube). Auparavant, les campagnes devaient être adaptées avec
des médias différents selon les zones géographiques (raisons économiques car les budgets
spécifiques devaient être débloqués pour chaque média et développer des messages différents
pour s’adapter aux médias).
Les campagnes digitales ne sont pas moins coûteuses que les campagnes traditionnelles mais
offrent plus de souplesse budgétaire. La fourchette de coût est extrêmement large donc l’accès à
la publicité est plus facile dans le numérique. Les budgets sont plus faciles à contrôler et on peut
réaffecter les budgets aux actions les plus efficaces.
Le prix des espaces traditionnels est bien plus cher, et il y a des seuils d’efficacité c’est-à-dire
qu’ils doivent être diffusés plusieurs fois pour que des messages soient mémorisés.
Le ciblage publicitaire
Méthodes spécifiques aux médias de masse pour que les messages touchent la cible souhaitée
dans la communication traditionnelle. La communication devait passer par les médias pour
atteindre la cible.
La sélection des supports / médias était donc essentielle. Les annonceurs sont donc obligés
d’effectuer un rapprochement, d’espérer une superposition entre la cible publicitaire et
l’audience des supports. La cible publicitaire représente les individus estimés utiles par
l’annonceur et l’audience du support est celle qui le fréquente réellement, d’où le terme
« audience utile » pour désigner la part de l’audience du support qui intéresse l’annonceur.
Le media planning traditionnel repose sur la bonne connaissance des audiences des supports qui
permet d’évaluer leur pertinence par rapport à une cible idéale. Étant donné la diversité des
médias, la technique fonctionne quand la cible a des caractéristiques générales, si elles sont peu
précises, il est peu probable de trouver un support dont l’audience utile se rapproche
suffisamment de l’audience souhaitée donc il faudra sélectionner plusieurs supports dont
l’addition va apporter la cible qu’on recherche. Cela impose un problème de coût cependant.
Les découpages de la cible et de l’audience sont différents. Les informations disponibles sur le
profil des personnes qui composes l’audience ne sont pas toujours précises et homogènes d’un
support à l’autre. Informations socio-démographiques parfois stéréotypées (âge, sexe,…)
informations générales donc on sait peu de choses sur les attentes et motivations en tant que
public et en tant que consommateur. Le communiquant construit un profil des consommateurs
pertinent mais basé sur des extrapolations (prises pour la réalité) et non sur des données
détaillées. Les représentations obligent les organisations à prendre des décisions stéréotypées
(pub de mousse à raser au milieu d’une émission sportive, dédiée généralement aux hommes).
Certains ne sont pas concernés par le message mais le voient, d’autres sont concernés mais vont
rater le message car ne regardent pas le programme dans lequel la pub est placée.
On associe l’audience du contenu éditorial à l’audience publicitaire, d’où le media planning qui
est important. Le placement dans un journal est important, être au début pour être plus vu, être
dans une rubrique qui intéresse ma cible pour qu’ils soient exposés aux messages.
Quand les annonceurs achètent des espaces publicitaires, ils font un pari sur l’audience future, en
fonction des audiences des supports, donc prévision d’une audience future. c’est pourquoi on
travaille sur une campagne de pub, pour avoir une exposition récurrente au message et maitriser
la fluctuation des audiences, être sûr que celle-ci verra le message. Toute l’audience change
selon les évènements (si tu espères que ton équipe de foot préférée aille en finale d’un
championnat mais qu’elle est éliminée avant, les espaces de pub ont déjà été achetés alors qu’ils
ne savaient pas si ils allaient aller jusqu’au bout, pari).
Le ciblage socio-démographique
Méthode utilisée pour qualifier l’audience des médias traditionnels, dans le numérique maintenant
aussi (âge, sexe, profession, taille du foyer…). Croisé avec les données d’audience des médias
traditionnels. Campagne transversale entre les médias numériques et traditionnels.
Informations utiles pour faire un choix de support ou de planification, éliminer les supports peu
pertinents par rapport à la cible. Il existe des packs qui correspondent à des souhaits précis sur
l’audience qu’on souhaite.
Plusieurs méthodes possibles, comme des sondages ou questionnaires d’envies, données peu
fiables car les gens peuvent répondre n’importe quoi. La collecte d’informations est limitée.
Pratiqué par les gros portails et régies : la mise à disposition d’un service gratuit à condition de la
création d’un profil usager. L’usager obtient son service gratuit en échange de la véracité de ses
données personnelles qui vont être partagées aux annonceurs. Service coûteux mis à disposition
mais ce qui st vendu vaut bien plus cher.
Les données d’identité peuvent être stockées après la collecte. Les appareils type Amazon ou
Alexa peuvent donner des données sur leurs utilisateurs.
Ce service sert pour les campagnes de branding pour discriminer les informations globales. Il est
plus difficile pour les campagnes de ventes.
Le ciblage géographique
Affiner selon la localisation géographique des individus. Utilisé dans les médias traditionnels
(journal, radio…). Le numérique apporte une précision beaucoup plus importante et individualisée,
quand on se connecte, l’équipement est localisé avec une grande précision (adresse IP unique).
Les publicitaires ont accès à une partie de l’adresse IP qui donne une idée approximative comme
une ville, un quartier… La police peut avoir accès à l’adresse entière. Les opérateurs télécom
peuvent avoir des régies publicitaires (Orange), ils connaissent quel appareil s’est connecté à
quelle heure et pendant combien de temps.
Le ciblage temporel
Dans les médias traditionnels à diffusion continue (TV et radio), dans les quotidiens aussi car il est
fait pour être lu le jour-même. On sait quand on va diffuser tel ou tel programme. Il existait avant
le numérique.
Le système de collecte de données (Google Analytics…) peuvent identifier les pics de traffic sur
les différents sites. Permet de mieux gérer les campagnes même si l’algorithme fait la majorité du
travail, mais ça permet de mieux penser la campagne.
On peut aussi identifier l’affinité et les centres d’intérêt des individus via les traces d’engagement
(likes laissés, commentaires, partages…). Sur une courte durée, on est sur le ciblage par affinités
ou contextuel, les intérêts fluctuent et varient dans le temps, il y a des pics parfois donc il faut
choisir le bon moment pour diffuser son message.
Le ciblage comportemental
Il pousse plus loin la collecte des traces d’activité concernant les centres d’intérêts des individus,
leurs pratiques médiatiques (supports qu’ils fréquentent, horaires, temps passé, contenu qui
l’intéresse, format favoris…). On identifie des pratiques d’usage, d’achat, culturelles,… On est ici
sur une temporalité longue.
Les réseaux sociaux sont les pros sur ce type de ciblage. Certains logiciels peuvent décrypter la
personnalité humaine grâce aux pratiques de collecte de données. À grande échelle, la machine
est plus efficace que des humains. Montre la capacité des algorithmes actuels pour cibler les
individus grâce à des données.
Un investissement présuppose qu’il y aura un retour sur investissement. Une dépense est une
nécessité, pas de retour sur la dépense.
Les méthodes de collecte de données se développe dans les années 1950. Enquêtes de
satisfaction et actions publicitaires approximatives. Échantillons qui pourraient représenter la
population globale.
- Techniques malhonnêtes : inciter l’usager à cliquer pour fermer la publicité mais le clic
d’ouverture ouvre la page de la pub (sites de streaming) ou fonction de survol, pas éthique mais
utilisé quand même
- Clics accidentels à dissocier de ceux qui témoignent d’une réelle exposition grâce aux
algorithmes qui identifient les faux / mauvais / fraude aux clics
- Fraude aux clics : développement de logiciels qui créent du faux trafic sur les publicités, qui
sont quand même comptabilisés.
- Méthode dans les années 2000 artisanale : employer des personnes qui cliquent sur les liens
(des concurrents pour épuiser leur budget publicitaire afin que son site ne s’affiche plus et
que le votre oui à la place) cependant aujourd’hui, la machine détecte les adresses IP donc
on ne considère plus que ce sont des vrais clics
- Aujourd’hui il existe des fermes / usines à clics ou logiciels (virus) qui infectent les
ordinateurs d’usagers sans voler leurs données, mais empreinte leur adresse IP pour cliquer
sur des liens, permet de contourner les mesures de filtrage de fraude, entre un tiers et la
moitié des clics sont frauduleux
L’impact
Vise à identifier l’influence des actions de communication sur les attitudes et comportements des
cibles touchées. Les avancées en mesure d’impact sont plus modestes.
Tous les modèles se valent. Par exemple, en fonction de la notoriété, on aura pas la même utilité à
utiliser tel ou tel modèle > si la marque est très connue, on ne choisira pas ceux qui valorisent les
premiers messages vus mais les derniers, qui sont le plus pertinents pour l’annonceur ; si la
notoriété est plus faible, le premier clic est plus important car il fait découvrir la marque ou le
produit. On peut aussi choisir un modèle en fonction du cycle d’achat du produit (achat impulsif
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ou ne nécessite pas un temps de réflexion trop long, le dernier clic est plus important, ils vont
déclencher l’achat). On considère que la publicité a un lien avec l’achat. Si le produit nécessite
plus de réflexion, on privilégie les premiers clics ou modèle en U.
Les principaux apports du numérique dans la communication se situe dans le ciblage comme
dans l’évaluation. Performant sur l’exposition mais approximatif sur l’impact aujourd’hui.
Les organisations devaient payer pour que leurs messages soient délivrés sur des formats
atteignant leur cible (Paid Media). Les annonceurs peuvent aujourd'hui utiliser leurs propres
médias (page web, réseaux sociaux, youtube, application mobile…) supports appartenant /
financés par l’annonceur (Owned Media). Les annonceurs peuvent aussi communiquer par des
supports qui se mobilisent et qui diffusent gratuitement leur message de manière virale (Earned
Media).
On trouve une complémentarité entre les différentes types de médias aujourd'hui à travers ce
terme qui synthétise l’évolution.
Transmedia = nouvelle approche dans les conceptions des contenus qui s’appuie sur l’utilisation
d’un ensemble de médias / écosystème dans le but de développer un univers spécifique dans
lequel s’inscrit chaque message. Ensemble de récits sur des supports divers (TV, app mobile,
street marketing, jeux vidéos, …), chaque composante de l’univers peut être reçue de manière
autonome, elle est tout de même censée composer l’univers, les cibles n’auront pas les mêmes
lectures. Incitation après la compréhension de l’univers, à consommer les contenus, à vouloir y
être exposés. Pas la simple décomposition du même message sur plusieurs supports (=/=
crossmedia). Mini-série développée en jeu interactif en flashmob qui reprend des éléments
similaires… Une pub suffit pour un usager mais chaque brique contribue à l’univers global, donne
envie de s’immerger dedans.
Brand content / contenu de marque = pour attirer les cibles et se démarquer, il faut gagner en
intérêt (développement des interactions, …), le renouvellement du format n’est pas suffisant, il
faut que le message ait une vraie utilité pour les publics et les intéresser réellement > message
réellement informatif, les gens cherchent ce message, divertissant ou procure une émotion. Les
marques sont aujourd'hui obligées de produire du contenu éditorial, se comporter comme des
médias (en informant, divertissant, procurant des émotions, éduquant). Communication
d’attention mais l’attention est aujourd'hui limitée, surexposition aux messages, l’attention devient
une ressource rare, il faut donc se démarquer (en innovant, éditant du contenu…)
Hybridation = les médias ne se définissent plus par un support et type de contenu exclusif et
dominant, ils les diversifient. La matrice temps et espace a été réorganisée. Dans un monde non
numérique, certains médias travaillaient en temps réel (TV, radio, téléphonie) ou asynchrone
(transmissions différées > livres, journaux, lettres…), d’autres médias permettaient la
communication interpersonnelle (téléphone) et communication vers les masses (radio, TV, livres…)
la matrice est maintenant obsolète, tout est fusionné. Un réseau social remplie l’ensemble des
fonctions évoquées (communication interpersonnelle, vers les masses, synchrone et asynchrone).
La TV était avant du direct, aujourd'hui on parle de replay. On privilégie la fonction synchrone pour
certains formats (match de foot) et d’autres fois peu importe. La presse auparavant asynchrone
est maintenant en format numérique (synchrone et asynchrone, on est pas obligés de consulter à
la minute, on consulte quand on a le temps).
Le numérique a poussé les médias à se déstructurer et s’hybrider, la matrice espace temps est
donc totalement réorganisée.
Earned Media
- L’ensemble des supports que l’organisation ne contrôle pas, ne rémunère pas directement mais
l’organisation est pourtant bien présente. Elle dépend de la sympathie et de l’attrait qu’elle
s’est créé = média mérité
- Formats: bouche-à-oreille, marketing viral, buzz
- Les actions sont davantage orchestrées et encadrées par l’annonceur dans le marketing viral et
le buzz
- Objectifs stratégiques : essentiels car ils permettent aux organisations de se rapprocher de leur
cible et de gagner en crédibilité ; l’efficacité est le résultat d’une bonne stratégie déployée sur
les autres catégories de médias ; elle a su gagner en notoriété en proposant des contenus
suscitant l’intérêt des publics qui vont créer du marketing viral ; but de toucher la cible en
rapprochant la marque de son public, rapport affectif ; toucher de manière différente une cible
segmentée
- Avantages : coût maitrisé et plus bas que celui des médias rémunérés ou contrôlés ; coût lié
aux stimulations lancées par l’annonceur pour attirer la communauté (sollicitation
d’influenceurs) ; incitations (bons d’achats, goodies…) ; cadeaux (concours) ; actions plus
crédibles car les messages sont sélectionnés, relayés et co produits avec les cibles
(commentaires, appréciations…), les annonceurs montrent un autre visage, moins distant du
consommateur, transparence ; toucher des cibles plus actives donc susceptibles de se
mobiliser pour relayer et acheter et conseiller les produits et services, actions plus impactantes
donc rentables
- Inconvénients : ne sont pas contrôlés par l’organisation donc la configuration des messages
dépend de la bonne volonté des cibles, le contrôle des messages doit être relâché pour
stimuler la participation, place au dialogue ; média peut se retourner contre l’annonceur, le buzz
peut entrainer des rumeurs ou des critiques, surveillance constante de ces médias ; l’étendue
des actions est très variable, l’audience est difficile à prédire ; la durée de vie des messages est
très fluctuante et peu prédictible
Chaque famille de média remplie des fonctions stratégiques complémentaires, les annonceurs
marchands combinent dans leur stratégie de communication ces différentes catégories de
médias en tenant compte de leurs objectifs stratégiques et leurs avantages et inconvénients.
On va parler d’une marque-média, elle communique comme un média, elle produit des contenus
(sur son site web…). Phénomène qui s’est renforcé avec l’arrivée d’Internet mais le numérique ne
l’a pas inventée.
Au XIXème siècle, les marques fournissaient des mallettes pédagogiques aux écoles avec des
cartes et planches anatomiques et des fiches pédagogiques, cette action de mécénat les
amenaient à produire leurs propres contenus, pas auprès des fournisseurs, les marques
réalisaient ces contenus.
Au XXème siècle, les marques alimentaires offraient déjà des goodies lors de l’achat de leurs
produits (gadgets ou objets culturels > cartes de géographie, brochures…
Le guide Michelin :
- Lancé au début du XXème siècle, offert aux conducteurs automobiles qui achetaient des
pneus Michelin.
- Pour faciliter la vie des voyageurs à une époque où les informations sur l’organisation de
voyages étaient difficiles à trouver
- Liste de garagistes sur le territoire
- Liste de médecins
- Cartes routières (pas de GPS à l’époque)
- Plans de villes pour pouvoir se déplacer et profiter sous un angle touristique
- Infos touristiques et pratiques sur le territoire, le patrimoine, conseils (changer un pneu, faire
un plein d’essence…)
- 35 000 exemplaires dans les années 1920
- Il devient un précurseur des marque-médias car il va susciter aussi l’intérêt des annonceurs qui
voudront faire de la publicité dans le guide
- En 1920, le guide devient payant (7 francs) > la publicité disparait, pour gagner en crédibilité
- Apparaissent dans le guide des recommandations d’hôtels et de restaurants (pas de la
publicité)
- Dans les années 1930, la légitimité des recommandations est renforcée par la mise en place
d’un corps d’inspecteurs qui testeront les hôtels et restaurants
ADRIAN STAII PAGE 18 OF 21 BERAHA EDEN
COMMUNICATION DIGITALE
Goodies et gadgets glissés dans des produits alimentaires qui poussent à acheter (surtout dans
des produits pour enfants > céréales, bonbons…), peuvent être des vignettes, autocollants,
figurines, parfois en partenariat avec d’autres marques (Nestlé avec Disney).
Le phénomène s’est amplifié dans le contexte numérique. Nestlé pratique ce genre de contenus
et diversifie sa stratégie > il édite des kits pédagogiques qui s’inscrivent dans l’univers de la
marque, visent le milieu scolaire, ou le périscolaire qui propose des animations aux enfants,
montants investis considérables (dizaines de milliers d’euros par an).
Louis Vuitton édite aussi des guides de voyage comme Michelin (produit autonome aujourd’hui) ;
Booking qui propose des réservations d’hôtels qui fait aussi des guides de voyage personnalisés.
La notion de contenu de marque recouvre une grande diversité de réalisations, on a donc besoin
de distinctions terminologiques pour différencier les usages selon les objectifs poursuivis.
- Branded content
- Brand content
- Marketing content
Le contenu de marque est l’ensemble des contenus qui vise à valoriser différentes dimensions
d’une marque à travers des contenus qui ont un intérêt en soi pour les consommateurs, leur
diffusion ne repose pas sur l’achat d’espace.
Les critères pour cartographier et différencier le contenu de marque sont les suivants:
Parfois les marques occultent leur présence dans un contenu, pas de logo, nom de l’entreprise
pas mis en évidence…
Elle peut aussi se faire discrète en choisissant des médias autonomes par rapport à la marque
(donc pas une application officielle de la marque, son site institutionnel…) comme les earned
media.
Objectifs de création de traffic sur certains supports > inbound marketing, le contenu est un
appât pour créer du traffic, attirant
Objectifs de valorisation d’une image > pour créer une image à l’entreprise
Ce phénomène de généralisation du contenu de marque est une étape dans l’évolution des
stratégies de communication des marques qui repose sur 3 piliers:
- Le système sémiotique de la marque > l’ensemble des signes qui composent la marque: son
nom, logo, signature, slogan, charte graphique… élément central de la communication de
marque car ça leur permet d’être identifiées dans les espaces marchands et autres, et de les
différencier, stade le plus archaïque des trois. Ce système transmet un message, sens construit
dans le temps. Fonction informative du système, transmet l’identité de la marque
- Les communications des marques à travers des actions publicitaires et les actions hors-
médias > marque mise en scène avec différents objectifs, ventes immédiates, notoriété,
image… Le résultat de ces actions est la relation durable entre les marques et les
consommateurs. Intelligent pour un annonceur de développer une fidélité à la marque plutôt
qu’au produit. Marketing direct…
- Le contenu de marque > entrer en relation avec le consommateur, contenus éditoriaux:
divertir, informer, éduquer un public des consommateurs de la marque ou encore plus large,
objectifs immédiats mais surtout à long terme, donner un autre visage de la marque que
seulement vendre des produits
L’explosion actuelle des contenus de marque est inscrite dans un contexte très favorable :
- Les marques doivent chercher à captiver les consommateurs saturés par les messages
publicitaires, doivent donc proposer autre chose que seulement promouvoir pour vendre
- Les marques doivent composer avec la hiérarchie des espaces publicitaires qui est bousculée
(notion de prime time à la TV > créneau d’audience maximum, qui n’a plus vraiment de
pertinence car accès à la demande aujourd’hui)
- Les usagers ont de plus en plus de pouvoir
- Beaucoup de médias et de supports sont dépendants des recettes publicitaires partagées
entre un nombre croissant d’acteurs
- Certains médias sont obligés d’accepter des contenus qu’ils n’auraient pas accepté avant >
publicité, contenu de marque
- Les contenus sponsorisés par les marques présents sur tous les supports médiatiques (radio,
presse, TV…), incontournables sur les pure players, 100% en ligne. Pour générer du traffic…
- Pratiques médiatiques des usagers sont favorables à ces contenus
Evian
- Mise en scène de bébés et d’adultes, cycle de la vie
- Verre d’eau toujours présent
- Promesse de jeunesse pour les adultes qui achètent l’eau
- Jeunesse dans les corps vieux qui font des actions de jeunes
- Bande son en commun avec la vidéo de contenu de marque que tout le monde connait
- Principe de la jeunesse prolongé en live avec le slogan Live Young
- Mise en parallèle du bébé et de l’adulte dans toutes les vidéos, personnification de l’eau par le
bébé
Dove
- Informatif et éducatif
- Se différencie d’autres marques, lassitude des critères de beauté
- Pas une pub et discours critique, ne s’identifient pas à ces critères de beauté utilisés par les
concurrents
- Argent en créativité mais pas en publicité
- Discours d’éveil mais pas culpabilisant
- Site web = brand content car discours pas marchand mais valeurs…
- Portraits robot
- Pas de référence au cosmétique, le marché de la marque n’est pas du tout montré, valeurs et
engagements pour l’image de la marque, brand content pur, contenu fait pour être partagé et
propagé
- Rappels de la marque dans les couleurs, charte graphique, même couleurs que le site
RedBull
- Sponsor principal d’activités sportives extremes
- Pas objectif promotionnel car on ne parle pas de la boisson mais marque présente partout
(parachute, grue…)
- Entité qui fait partie du quotidien
- Divertissement et informatif
- Filmé comme un reportage tv
- Fond divertissant mais forme informative
- RedBull TV
Leroy Merlin
- Contenu utilitaire pour des clients potentiels
- Codes couleurs évocateurs
- Présence discrète de la marque
- Rattacher le contenu à la marque implicitement
M&M’s
- Portrait de chaque chocolat de couleur, personnification
- Fait pour rendre le site moins institutionnel
Nestlé
- NutriPlato doc PDF
- Éducatif
- Préoccupation de la santé au niveau de la nutrition pour les citoyens
- Pas utilitaire car pas un livre de recettes, les recettes concrétisent le côté pédagogique
- Scientifiques et médecins cités, cuisiniers aussi
- Futurs consommateurs de la marque Nestlé en leur transmettant des valeurs