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INSTITUT UZIMA
B.P. 50 GOMA
NOTES DU COURS D’ECONOMIE DE DEVELOPPEME
GESTION
PAR
APPARTENANT A ………………………………………
I.1. NOTIONS
Economie étudie la production, la consommation, la répartition et l’échange des biens et
services.
En 5e nous avons circonscrit l’ECOPOL comme une branche de la science économique qui
étudie les phénomènes économiques d’une contrée ou d’une époque et recherché les lois qui les
gouvernent.
Elle procède par l’observation des phénomènes par exemple la variation des prix,
l’explication de ces phénomènes à partir des causes [lois de l’O et de la D] par l’élaboration des
lois.
Bref, l’ECOPOL a pour objet l’activité économique c.-à-d. l’ensemble des actes
volontaires que l’homme accomplit pour se procurer les biens en vue de satisfaire à ses besoins.
En 6e CI, le programme prévoit l’ECODEV qui est une branche de la science économique qui
tient compte de l’étude des voies et moyens devant aider un pays à sortir du sous-développement.
Il se penche à l’étude de petites unités de production et cherche comment les combiner pour
atteindre un développement national harmonieux.
Elle tient compte des mécanismes économiques, sociaux, et internationaux, publics et
privés, capables de transformer rapidement sur une grande échelle les conditions de vie de la
communauté pauvre = malnutries, stressées, … ne jouissant pas encore pleinement de bonnes
conditions de vie.
L’ECODEV est une science qui étudie les principes de gestion d’une collectivité humaine
(cite, pays, régions, Etat) sous tous ses aspects sociaux et économique notamment le chômage, la
croissance démographique, la migration, ‘l’éducation, l’épargne, le revenu, le capital,
l’investissement, l’échange…
Ainsi, ce cours nous permet de connaitre et d’être sensibilisé aux problèmes complexes de
développement et surtout de développer notre esprit de jugement, de critique, notre maturité pour
déclencher une action de développement qui se veut harmonieux et durable.
De ce qui précède, l’ECODEV s’intéresse surtout aux processus nécessaires pour effectuer une
transformation structurelle et intentionnelle de la communauté.
Elle diffère de l’ECOPOL en ce sens qu’elle n’étudie pas seulement l’aspect économique mais
également tous les aspects de la société humaine.
Celle-ci étudie les mécanismes de l’économie, les systèmes économiques et pensée économique.
Le développement exige non seulement un changement dans l’économie d’un pays mais un
changement radical de toute la façon de vivre d’un peuple.
LA POLITIQUE ECONOMIQUE qui est l’ensemble des décisions et actions de l’Etat qui
s’efforce d’influencer sur les faits en vue de certains objectifs ou application de la science
économique a la conduite des affaires de l‘Etat.
L’ECOPOL étudie la production, la consommation, la répartition et l’échange des biens et
services.
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L’ECONOMIE DE L’ENTREPRISE est une science qui étudie les principes de gestion de
l’entreprise. Elle découle de l’ECOPOL vu qu’elle étudie le phénomène économique ‘
production’
Mais à observer ce qui se passe dans le monde et surtout dans notre pays, les conditions de vie
sont précaires=
- Les guerres ici et là
- Les insécurités
- Les antivaleurs = la corruption, clientélisme, tribalisme, népotisme…
- La me gestion
- Conditions de logement précaires
- Difficultés d’accéder aux SSP
- Taux élevé d’analphabétisme, de mortalité, de morbidité…
Bref, pays scandaleusement riche pour ses richesses du sol, du sous-sol [géologiques]
mais terriblement pauvre
Ceci rejoint ce que NERKSE a déclaré = ‘nous sommes pauvres parce que nous
sommes nés pauvres’ et pour le surenchérir nous dirons que nous sommes pauvres
parce que nous sommes pauvres.
Au vue de ces réalités, force est d’envisager les moyens économiques, politiques,
sociaux… pour juguler ces problèmes. Mais faut-il que nous y soyons préparés.
Certes, certains de nos cours nous préparent à l’entrepreneuriat et d’autres à l’entreprise
des actions communautaires pour aider la communauté à améliorer ses conditions de vie
et d’asseoir un développement durable.
SPECIFIQUEMENT, le cours d’ECODEV a comme objectifs :
- D’inciter les élèves à devenir eux-mêmes les acteurs du changement par les attitudes
solidaires, responsables et critiques
- De donner une vision des interactions des facteurs économiques, sociaux et culturels dans
le développement
- De donner une vision planétaire du développement –nécessite d’un nouvel ordre
économique, liens de dépendance,…
2. STRUCTURE = C’est l’ensemble des rapports qui existent dans les groupes humains
Par exemple = - la structure familiale
- ‘’ sociale
- ‘’ juridique
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d. critiques
Ce système = - est bon pour les riches au détriment des non possédants
- S’occupe des activités qui rapportent et néglige les activités sociales
- - Prédominance de l’esprit de profit au mépris des conditions de vie
[sociales] des travailleurs
Conclusion ce système est bon pour le développement car d’après la théorie invisible
d’ADAM SMITH ‘Chacun en poursuivant ses propres intérêts [par
l’entrepreneuriat] en définitif on aboutit à l’intérêt général’
B. LE SYSTÈME COLLECTIVISTE
a. Historique
Il est né en Russie en 1917 en réaction contre les abus économiques et sociaux du
libéralisme.
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c. avantages
Il permet le développement au prix de la liberté
d. critiques
- Exige une administration lourde et couteuse qui doit tout organiser
- Étouffe la liberté et l’initiative privée, utile pour le développement
- Non adéquat aux PVD qui n’ont pas une administration assez formées
C. LE SYSTÈME DIRIGISTE
a. Historique
Ce système a été conçu comme une voie intermédiaire entre le capitalisme et le collectivisme. Il
est ne vers 1930 pour pallier aux limites de ces 2 systèmes càd le capitalisme qui admet une
intervention de l’Etat et le communisme une certaine liberté
b. principes
- l’Etat donne à l’économie les grandes lignes [plan, projet, planification…]
- il dirige et contrôle sans étouffer la liberté
- il s’occupe lui-même des entreprises publiques d’intérêt général [enseignement, infrastructures
de base, banques …]
En conclusion, ce système est le plus équilibré car il permet le dépôt des peuples tout en
contrôlant le libertel individuelle sans l’étouffer càd l’Etat établit une planification en
encourageant certaines activités économiques utiles par l’octroi de crédit et en décourageant
d’autres moins utiles par l’impôt.
1. NOTES
Le développement n’est pas un aboutissement, un point culminant mais il est un processus.
Et donc il n’y a pas de PD car aucun pays n’a atteint le sommet du mieux-être de sa population.
Tous les pays se recherchent et des découvertes sont nombreuses et continuent du jour le jour.
Plutôt que de parler de PD on préfère mieux la notion de P.I.
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2. Définition
Le développement est un néologisme dans la littérature courante. Bien avant il était question de
la croissance économique à cote de ce qu’on appelle stabilité du cycle économique. Aujourd’hui
il nous apparait global à travers ses dimensions socioculturelles, économique et politique POUR
PARLER DE PD, PSD.
Les pays sous-développés forment les ¾ de l’humanité mais fournissent le ¼ de la production
mondiale. Ce sont principalement les pays de l’Asie, de l’Amérique du Latine et de l’Afrique. La
plupart d’Entreprises se localisent dans l’hémisphère sud, d’où ‘PAYS DU SUD’. Les pays qui
sont actuellement dénommés PSD étaient jadis appelés PAYS PAUVRES, SAUVAGES, PAYS
A ECONOMIE DEFORMEE, PAYS DE LA PERIPHERIE, PAYS EN FRICHE.
Paul MOUSSA les dénomme NATIONS PROLETAIRES.
Georges ARDENT parle de PAYS EN FRICHE. L’expression TIERS MONDE dans l’ouvrage
TROIS MONDES en 1952 est d’ALFRED SAUVY en comparaison avec les tiers Etats de 1789
de la nation française : noblesse, clergé et les paysans. Ceux-ci étaient des tiers Etats.
Le 20/01/1948, lors du discours sur l’état de l’UNION, le Président des E.U HARRY
TRUMAN va utiliser pour la 1ere fois les termes SOUS DEVELOPPEMENT ET
DEVELOPPEMENT pour justifier l’aide aux <régions sous développées dans le cadre de la
lutte contre le communisme et de la doctrine TRUMANNE>
Pour lui, il est du devoir des PI de diffuser leurs technologies et techniques et leur assistance aux
pays en développement pour que le niveau de vie convergent vers les niveaux occidentaux.
3. ETAPES
Selon un économiste américain né à NEW YORK en 1916, WALT WHITMAN
ROSTOW le développement passe par 5 étapes qui sont =
- LA SOCIETE TRADITIONNELLE
Est le stade qui est antérieur à la révolution technique caractérisé par une économie non
diversifiée dominée par une activité agricole, le manque d’organisation systématique pour
la production optimale, des structures sociales fortement hiérarchisées dominées par des
liens familiaux, des comportements fatalistes
- LA PREPARATION AU DEMARRAGE
Certaines conditions préalables s’opèrent vers le changement =une organisation politique,
des connaissances techniques, une création d’épargne, des activités commerciales et de
petites industries naissent à cote de l’agriculture mais le développement se fait au rythme
lent.
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a. le taux de scolarisation
En RDC, il y a des milieux dont les chiffres des intellectuels est NUL.
Donc la valeur minimale = O et des milieux ou la population active est intellectuelle
d’où la valeur maximale est de 100.
L’indicateur pour le taux de scolarisation tout niveau confondu est multiplié par 2/3 car il
représente les 2/3 de la population active.
Indicateur = (val. Réel – val. Minimale)/ (val. Max – val. Minimale) x 2/3
Indicateur = (val. Réel – val. Minimale)/ (val. Max – val. Minimale) x 1/3
N.B. les valeurs sont évaluées comme celles de scolarisation, donc de 0 à 100 parce
qu’on les détermine en %
c. L’ESPERANCE DE VIE
Elle dépend des conditions de vie d’une population donnée en fonction des pays PI-PVD
Selon PNUD, 2006, L’âge moyen 55 ans
En milieux ruraux 40-45 ans.
Pour des bonnes conditions = vers 85 ans, pour des conditions précaires (insuffisance
alimentaire, peu de soins médicaux, environnement incertain, insécurité…)= 25 ans
D. LE PIB
7. Paramètres du développement
Le développement exige un certain nombre des moyens ou éléments dont voici les plus
importants:
-le savoir
Pas seulement implanter des industries, des moyens de production mais avoir la main d’œuvre
capable et utile par l’acquisition du savoir et l’éducation
- le personnel scientifique et ingénieur, être capable d’utiliser leur connaissance dans
différents secteurs
- la formation des hommes: formation permanente de la population pour les utiliser dans
différents secteurs : bourses pour tels domaines et être utile pour les pays dans ce domaine là
-l’initiative privée : entrepreneuriat
-expérience dans la gestion des affaires…
Parmi les indicateurs du développement, on peut citer :
*Le PNB : produit national brut qui correspond à la production annuelle des richesses (valeur des
biens et services crées moins les biens et services détruits ou transformés durant le processus de
production) dans un pays à l’intérieur ou à l’extérieur du territoire national.
*le PIB : produit intérieur brut qui inclut la richesse produite par année dans un pays donné ; il
représente ainsi la valeur ajouté totale des biens et des services produits sur un territoire national.
Il est utilisé pour mesurer la croissance économique d’un pays.
Le rapport PIB/Habitant est utilisé quant à lui pour mesurer le niveau de vie des habitants.
A cette occasion, il faut réaliser une bonne répartition des richesses pour qu’il y ait la possibilité du
développement dans un pays.
Il convient de retenir que depuis quelques temps que le PNUD (programme des nations unies pour le
développement) a mis au point l’IDH c.à.d. l’indice de développement humain ; cette indice
combine un certain nombre des facteurs dont :
-le pouvoir d’achat réel (salaire décent pour répondre aux besoins essentiels des habitants)
-l’éducation sous son aspect enseignement ; -la santé
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*Le TMM5 (taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans) proposé par l’UNICEF et qui mesure le
développement par le résultat et le résultat se voit sur l’enfant ; d’où, le bien être de l’enfant
exprime le bien être de toute la communauté. Un facteur important qui diminue la mortalité
infantile c’est aussi l’éducation de la maman qui comprend pourquoi il faut bien alimenter
l’enfant, le tenir avec plus d’hygiène.
- la population
- les ONGD et associations locales, nationales, et internationales
- les élites politiques
- Les partis politiques
- L’administration publique et privée
- Les groupes de pression, les associations de défense du droit de l’homme, la société
civile…
- Les entreprises (d’assurance, banques, caisses d’épargne : institutions financières…)…
1. INTRODUCTION
La croissance économique en pays, région est l’augmentation quantitative de production des
biens matériels et de richesses réalisées dans une période donnée par an.
Solution
DA = 70.000.000 hab/2.345.000 km2 = 29,85 hab/km2 = environs 30 hab/km2
EXERCICE
KANGARE est un Etat fictif, bâti sur une superficie de 750.000 Km2. La situation
démographique de l’Etat, pour l’année 2018 est la suivante :
Population initiale 9.000.000 d’hab., maternités 750.000 enfants, mort-nés 150.000
enfants, nombre de décès 150.000 personnes, immigres 5.000.000 de personnes, émigres
450.000 personnes.
La densité de la population était de :
a. 9 Hab. /km2 b. 11 Hab. /km2 c. 12 hab/km2 d. 13 hab/km2 e. 14hab/km2
1. LA NATURE
La nature est constitué par l’ensemble des ressources de terre càd du sol et du sous-sol.
Pour ces ressources naturelles on peut citer :
- Les ressources minérales végétales, animales, énergétiques etc.
Elles sont reparties inéquitable ment sur le globe terrestre : certains pays en ont beaucoup
d’autres peu et d’outres presque pas d’où sources des conflits entre les Etats.
Les pays jeunes se heurtent à des difficultés de la nature d’une part
(Ex : Grosse pluie provoquant l’érosion, foret impénétrable …) ils jouissent de facilité de nature
d’autre part à l’occurrence les sous-sols très riches et beaucoup de terres cultivables. En général
ce n’est pas la nature qui est un obstacle au développement mais bien le facteur homme-travail et
le capital pour mettre cette nature en valeur.
2. LE TRAVAIL HUMAIN
1. DEFINITION
Economiquement, le travail est un effort conscient en vue de produire des biens et des services.
C'est la mise en action des facultés de l'homme pour la production des biens économiques.
Le travail implique :
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Exemple : Une population d'un pays est de 9 000 000 habitants, 6 000 000 sont en âge de
travailler, 2 000 000 trouvent l'emploi au bout d'une année et 2 500 000 refusent des emplois
offerts.
1) Calculer la population active
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= * 100 = 66,6%
3) Chômeur = Population active – Population active occupée
= 6.000.000 – 2.000.000 = 4. 000. 000
2. Formes de chômage
Il y a plusieurs formes de chômage
a) Le chômage volontaire
Le salaire étant insuffisant, faible et le travail qui s'effectue dans de mauvaises conditions,
on décide d'arrêter de soi de travailler,
b) Le chômage involontaire
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On est en cet état de chômage si l'on ne trouve pas à s’employer au salaire touché par ceux qui
ont un emploi,
c) Le chômage technique : Dû au manque d'approvisionnement des fournitures nécessaires à
l'activité d'une entreprise, d'une chaine de production, C'est momentané et à CT,
d) Le chômage frictionnel
Chômage permettant le transit, ce type de chômage permet aux individus de découvrir
l'emploi où ils sont plus productifs et recevront les plus hauts salaires car ils vont préférer là où
c'est plus payant, càd un complètement des individus qui à la recherche d'un emploi mieux
rémunéré quittent leurs emplois. Cela crée un chômage
Il est un état d’oisiveté qui s'explique par le fait que la recherche d'1 emploi n'aboutir pas
toujours spontanément sur le marché ou pour les salariés licenciés à la suite d'1 progrès
technique,
e) Le chômage conjoncturel ou cyclique
Il s'explique par l'insuffisance de la demande,
Les entrepreneurs n'embauchent d'ouvrier supplémentaire puisqu’ils ne peuvent pas vendre plus
du fait de l'insuffisance de la demande lié au mouvement des affaires pendant une période,
f) le chômage saisonnier
Il s'explique par le fait que certaines activités nécessitent une période de repos,
Ex : le travail agricole est de nature saisonnière,
On travaille à certaines périodes et d'autres on ne fait rien,
Remède pour le chômage (en agriculture)
choix du travail : en période de repos s'occupe d'autres travaux comme construction de
barrage, routes, s'occupe du bétail
encadrement des travailleurs en élaborant des projets, for mer des animateurs agricoles
Financement des travaux
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Occupée
Oui Non
Chômage
Pop inact ininactive inactive
Pop active
Population active : personne ayant de l'emploi + celles qui sont à la recherche d'un emploi càd il
faut prendre les salariés, travailleurs indépendants + les aides familiales, personne à emploi
partielle et les chômeurs.
Population non active : personnes n'ayant pas atteint l'âge de travail, celles incapables d'exercer
un acte productif (vieux, enfants et femmes incapables). Aussi les personnes en cours de
formation (enfants, élèves, étudiants), les femmes au foyer et les invalides.
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1. INTRODUCTION
Exemple
LE PV d'un produit est de 450 000 f les consommations intermédiaires pour produire ont été de
200000f. La TVA est de 10%. Calculer la TVA.
Solution
VA = ?
VA = 450000 + 200000 + TVA
PV d'un produit – cons intermédiaires + TVA
VA = 250000 + TVA
TVA = 10% de 450000 = 45000
VA = 250000 + 45000= 295000FC
PNB=
PNB
PIB=+PIB
Revenu
+ Revenu
net du
nettravail
du travail
et deetlade
propriété
la propriété
vis-à-vis
vis-à-vis
du reste
du reste
du monde
du
monde
PNNet= PNB- consommation du capital fixe
c) LE REVENU NATIONAL
Le revenu national s'évalue par habitant et sert à mesurer le niveau de vie la capacité d'épargner
d'une population.
Rév /hab =
Le revenu par habitant se distingue du revenu national qui représente la somme de tous les
revenus gagnés par les agents économiques (particuliers, E/ses et l'Etat) pendant une période bien
déterminée.
Il mesure la rémunération des facteurs de production et est la principale agrégation de revenu qui
comptabilise les revenus reçus par les agents économiques.
Ainsi,
Revenu NAT= PNB- AMORTISSEMENT-DROIT DE DOUANE-TV
6. Evaluation du développement
Ceci se rapporte à l'IDH qui comporte 3 éléments clés :
- Esperance de vie à la naissance c.à.d. accès aux soins de santé
- Niveaux d'instruction (le taux d'an alphabétisation des adultes, taux de scolarisation à l'E.P,
secondaire et supérieur)
- Revenue par habitant et du pouvoir d'achat.
La longévité, le niveau d'économie et les revenus permettent de calculer la production pour
chaque pays son niveau de revenu de santé et d'économie.
Indicateurs sociaux
- Indicateurs de santé (la santé est déterminante comme indicateur sociaux). Il faut évaluer
l’espérance de vie, taux de mortalité infantile, nombre de personnes/médecin, taille de ménage,
l’accès à l’eau, aux soins de santé, le taux de couverture vaccinal, taux d’accouchement assise
par les médecins, le personnel médical et les sages-femmes, taux de prévalence de la
malnutrition, taux de mortalité naturelle(nombre de femmes qui meurent pendant la grossesse ou
à l’accouchement sur 1000 naissances vivantes.)
- Indicateurs de l’éducation, liés à l’instruction dans un pays. Les taux de scolarisation, taux
d’analphabétisation (proportion de la population âgée de 15 ans et plus ne sachant ni lire ni
écrire, ni calculer), le nombre d’élèves/enseignants, pourcentage d’enseignantes femmes,
pourcentage de femmes élèves / étudiantes.
-Indicateurs environnementaux : parmi les objectifs du développement il y a le développement
durable qui implique la sauvegarde de l’environnement qui exige l’absence de pollution, une
densité faible de la population, le taux de déforestation annuelle, sauvegarde des aires protégées
(faune et flore)…
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A. LA CONSOMMATION
1. Définition
La consommation est la satisfaction des besoins économiques. C'est le but final de la
2. Caractères production, de l'échange et de la répartition des biens
.La consommation suppose la destruction des biens.
Ex: faire usage d'un stylo, on consomme ce bien et on le détruit
toute destruction n’est pas nécessairement une consommation, il faut que la destruction
soit utile
Ex : L’incendie d’un dépôt de braise n’est pas une consommation
la destruction peut être immédiate (bière, aliment) ou différé (stylo, voiture, vêtements)
Il existe
la consommation privée faite par les particuliers
la consommation publique faite par l’Etat
B. L’EPARGNE
1. Définition
L’épargne est la part de revenu qui n’est pas consommée. Ce qui revient à l’homme après
satisfaction de ses besoins
D’après KEYNES, l’épargne a un caractère résiduel c.à.d. qu’avant de calculer l’épargne, il faut
calculer la consommation.
2. Rôle de l’épargne et de la consommation
Il est nécessaire dans une économie d’estimer l’épargne et la consommation car ces deux
constituent les composantes de la demande globale (des biens et services).
La consommation est la satisfaction des besoins qui est réalisée par la destruction d’un bien
économique. Il s’agit dans le processus de production de détruire certains biens (élément de la
nature) pour satisfaire un besoin en offrant des biens sur le marché.
La notion de l’épargne fait allusion au rev/hab qui indique le niveau de vie des habitants par an.
Le rev/hab est difficile à déterminer car:
il est impossible de connaître le nombre exact d’habitant dans les pays neufs car les
registres d’état civil sont incomplets et les recensements approximatifs.
il est difficile de calculer la valeur monétaire de revenu des gens qui vivent en régime
d’autosubsistance
difficulté d’évaluer les revenus des activités informelles.
3. L’épargne en masse
a) la capacité d’épargne
Il reste à croire que les pays neufs ne savent pas épargner car les habitants y gagnant trop
peu ont besoin de tous leurs revenus pour leurs besoins essentiels (physique)
Ceci n’est pas du tout vrai car :
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Dans les pays neufs, il y a d’abord des gens riches qui au lieu d’investir, s’attachent aux
dépenses de luxe
puis il y a la masse assez pauvre qui dépense une grande partie de ses revenus non à des
besoins physiques mais à la célébration des cérémonies de tout genre, remise des
cadeaux, dot, retrait de deuil non productif du point de vue économique une partie de
toutes ces dépenses servirait à être épargnée.
3. Par l’impôt
Soit l’impôt direct proportionnel ou revenu ou soit impôt indirect sur la fabrication ou
la vente des produits.
Mais l’épargne de masse par l’impôt dans les pays neufs pose des problèmes :
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- Il est difficile d’atteindre les revenus les plus important car leur origines est
souvent cachée ou illégale (fraude, détournement, avocat=cadeaux en échange des services)
- Par contre il est facile de taxer les revenus ordinaires (traitement, profits industriels)
même si en taxant sur les profits individuels, on découragerait les activités
économiques, considérée comme moteurs de développement.
- Par inflation contrôlée, l’Etat crée la monnaie nouvelle pour financer des travaux
d’infrastructure ; le prix de biens de consommation augmente et comme les gens ne
gagnent pas plus ils sont obligés de consommer moins et épargner quelque chose.
Désavantages de l’inflation
Compromettre l’épargne volontaire: La population n'économisera plus puisque
l'argent diminue de la valeur
Elle ébranle l’équilibre de l’économie car elle favorise la spéculation et ruine les
retraites
Les débruteurs sont favorises au décrument de créanciers
Elle hausse le prix
Elle désapprécie la monnaie et son pouvoir d’achat
C. L’INVESTISSEMENT
1. Définition
L’investissement est l’action de placer une somme d’argent donnée dans une
activité rentable
2. But de l’investissement
Ne pas consommer directement mais après un lapse de temps
Il existe deux types d’investissement :
Investissement national(IN)
Investissement Etranger IE : ces investissements peuvent être privés ou
publiques
IN concerne l’ensemble des fonds provenant de l’intérieur du pays
IE concerne l’ensemble des fonds en provenance de l’extérieur utilisé dans le
pays pour lui permettre de se développer.
Il est constitué par les achats des actifs fixes.
NB : Investir : c’est une opération consistant à augmenter pour une
entreprise /pays le stock de moyens de production (machine, équipement…) pour
une production future.
Ce sont des dépenses réalisées pour accroitre les actifs fixes nouveaux.
Ce qui rehausse les richesses.
Sources des IE :
1. les multinationales qui sont des institutions qui collaborent et gèrent les
gouvernements
Conditions de leur investissement dans les pays
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Pour le volume des investissements nécessaire pour maintenir le taux de croissance, soit un
pays au c.c. de 4 il faut le double pour le revenu en vue de maintenir l’équilibre ou l’optimum de
la population
[Si le pays veut maintenir le rev/hab au même niveau, le revenu devra augmenter de 2 pourcent.
Ainsi l’épargne devra servir à l’investissement 4 fois plus grande càd 8 pourcent de R.N.
X/2= 8 pourcent]]
3. SORTES DES INVESTISSEMENTS
I. INVESTISSEMENT NATIONAL
C’est l’ensemble des fonds provenant de l’intérieur du pays.
N.B.
Industrie de consommation (textile, bière, savon) permet une augmentation plus riche
de niveau de vie et le rendement est rapide.
industrie de produits de base (acier, chimie) à effets induit importants et le
développement est à long terme.
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Ces investissements et ces fonds provenant de l'étranger peuvent être issus des états et là on
parle des investissements étrangers publics et s’ils proviennent de particuliers on parlera des
investissements étrangers privés. Ces fonds constituent des capitaux.
LE CODE D′INVESTISSEMENT
La plupart des pays neufs ont élaboré un code d’investissement avec un double but ;
*Attirer les privés étrangers ;
−En garantissant le transfert d’une partie des bénéfices
−En garantissant une indemnisation totale en cas de naturalisation
−en accordant des avantages fiscaux
*Assurer un certain contrôle de ces capitaux
-en réglant les transferts des bénéfices et le montant des impôts
-en ordonnant de suivre les indications u plan du développement (CONSTRUCTION de
logement…)
-en interdisant toute intervention sur le plan politique
a. Notion
Ces capitaux sont ce que les pays riches donnent sous forme d’aide (dons) aux pays pauvres.
Ces capitaux jouent un rôle plus important que ceux des privés car ils sont investis par
intérêts général du pays. Cependant ils se font le plus souvent d'après les critères de politique,
de tribalisme, de prestige, etc.
Parmi les caractéristiques de PVD il y a les recours aux capitaux étrangers, ceci par les
formes d'aide En d’autres termes on distingue 3 grands types d'aide:
-l'aide bilatérale
-l'aide multilatérale
-l'aide provenant des ONG
1. l'aide bilatérale
Elle est une aide effectuée uniquement entre deux partenaires (pays à pays) Elle s'oppose à l'aide
multilatérale puis passe par les ONGD par les institutions financières internationales comme
BM, FMI
Ces aides ont tendance à diminuer car les PVD les gaspillent plus facilement que les prêts, alors
le pouvoir préfère les prêts aux aides (ce sont des prêts bilatéraux) Elle caractérise surtout les
échanges entre les métropoles et les anciennes colonies
Ex : La Belgique qui accorde les dons à la RDC
2. l'aide multilatérale
Elle se fait par le biais des organismes internationaux ou par des multinationales.
Elle comprend l'ensemble de l'aide des pays développés aux organismes de l'ONU (BIRD, SFI,
AID, etc.) et aux institutions régionales (FED, BID, UE)
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-En personnel : octroi des experts selon les domaines, des coopérants, des conseillers (cf.
des conseillers techniques Belges à notre mairie) spécialistes, etc. envoyés mais rémunérés
soit par leur pays d'origine, soit par un organisme international, soit par le projet dans lequel
il travaille et rarement par le pays employeur
Raisons historiques
Les anciennes métropoles veulent maintenir les liens avec certaines colonies pour plusieurs
motifs :
Elles se sentent responsables de la continuation du développement qu’elles ont commencé.
Elles veulent protéger les biens de leur frères au ont investi dans l’ancienne colonie ou qui y
poursuivent le travail.
Raisons humanitaires
Les pays donateurs des prêts, le font par un sens d’humanisme de solidarité, qu’ils ont adopté.
Soit aussi vouloir obtenir le soutien politique du 1/3 monde en les aidants économiquement et
militairement.
Raisons économiques (ou motifs plus égoïstes)
Certaines pays développés cherchent à s’assure de l’approvisionnement en M.P tout débouchés
pour les produits finis.
Dans ce cas on emploi la politique de l’aide liée (qui nous rend dépendants d’eux) : les pays
bénéficiaires remboursent des prêts par les M.P ou utilisent les fonds prêtés pour des achats des
produits et services dans les pays donateurs.
L’aide peut être aussi spécifique c.à.d. destiné à un projet précis.
N.B : Quand un PI aide un pays pauvre fausse conception que cela se fait pour un motif bien
précis. Il y a plusieurs raisons (humanitaires, économique, politique …) et mêlées entre elles à
des doses différentes.
-Coordination des programmes des différentes aides pour éviter les discordes entre les
techniciens et le gaspillage des fonds par double emploi.
Ex: OCHA
- Prise en charge des programmes. Un programme est un ensemble des projets qui se
complètent (ex : s’occuper dans une région des projets d’eaux, des routes, construction-écoles,)
- Contrôler si l’aide reçue est vraiment utilisée par les PVD pour les projets initialement prévu
et non détourné à d’autres fins.
A moins des cas exceptionnels (sécheresse au Sahara…) l’aide aux PVD au moyen des dons est
un mauvais service rendu : les gens respectent mieux ce qu’ils ont achetés que ce qu’ils ont reçu
gratuitement. De plus ces dons corrompent la mentalité (aliènent) par l’esprit de mendicité
moindre et encouragent l’esprit de moindres efforts.
Contrairement à la croyance de certains, généralement la meilleure aide que les PI peuvent
apportées aux pays pauvres n’est pas l’aide désintéressée .Alors une collaboration durable n’est
possible entre deux parties(Etats) que si chacun y retrouve son intérêts (intérêts
complémentaires). Si non si une partie est lésée, la collaboration boitera et disparaîtra.
34
INTRODUCTION
Il est connu que les facteurs de production sont la nature, l’homme et le capital sans oublier le
travail. Apres l’étude des problèmes au niveau des facteurs de production, comment sont-ils
intégrés dans les économies en développement ?
Causes
-Faible rendement des terres dus à l’absence d’irrigation, épuisement du sol pragmatique
d’engrais, insectes…
-Faible rendement du travail, rareté du matériel agricole, chômage saisonnier et
conservatisme des agriculteurs.
Causes
Ex :
- Le développement du commerce ne provient pas de l’industrialisation mais de l’inflation,
du gain des objets de luxe et des différences selon les régions.
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2. LE DUALISME ECONOMIQUE
Les PVD ont une économie dualiste c.à.d. partagée entre un secteur traditionnel et un secteur
moderne. Ce dualisme est délicat car on constate que ces 2 secteurs ne s’intègrent pas bien.
a) Les secteurs traditionnels
Caractéristiques
b) Le secteur moderne
Caractéristiques
- Le milieu moderne souffre du déclin du secteur traditionnel car ce dernier ne produit pas
assez de produits alimentaires. De plus, l’industrie urbaine est condamnée à la stagnation,
si elle peut compter sur le pouvoir d’achat du monde rural.
1. LA DOMINATION ECONOMIQUE
Quand deux unités de puissance se rencontrent, c’est toujours la plus faible qui sera dominée et
exploitée par l’autre et ceci à tous les niveaux.
PROBLEMES REMEDES
a) INDIVIDUS
- En période de pénurie les commerçants -
L’Etat protège les faibles par la
exploitent les acheteurs, les législation fiscale et sociale
transporteurs exploitent l les passagers - L’Etat corrige les inégalités la
législation civile et commerciale
b) ENTREPRISES
- Les grandes sociétés imposent leurs - L’Etat aide les faibles par des subsides
prix aux petits industriels, les firmes et la législation commerciale
exportatrices exploitent les petits - L’Etat combat les forts par une
agriculteurs législation sévère ou par la
nationalisation
c) REGIONS
- La ville s’impose aux villages en - L’Etat favorise les régions délaissées
attirant les personnes qualifiées et en se (octroi de tous crédits, travaux
servant les investissements intéressants d’infrastructures, diminutions
d’impôts)
d) NATIONS
- Les pays développés s’imposent aux - Nécessite d’un organisme supra<-
sous-développés national qui aurait des pouvoirs réels
- A l’époque coloniale, la métropole a pour imposer un droit supra-national
créé toute une organisation - En attendant, les pays en
administrative qui oblige actuellement développement tendent à se grouper
ce pays indépendant de faire appel aux pour protéger leurs intérêts communs
techniciens étrangers de l’ancienne (pays arabes avec le pétrole)
métropole qui de ce fait peuvent
exercer certaines pressions
- Du point de vue économique, le pays
indépendants dépendent aussi souvent
de l’ancienne métropole en matière
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d’approvisionnement, débouchés,
pièces de rechange, techniciens…
- L’aide publique étrangère est plus
souvent une aide liée soit du point de
vue économique, soit du point de vue
politique.
De 1917 à 1929, les Etats Unis connaissent une expansion économique sans précédent: ils
produisent presque la moitié des articles industriels fabriques dans le monde. Les américains
avaient investi leur argent dans le monde entier. Or des 1929, les prix agricoles baissèrent un peu
partout dans monde et en conséquence les paysans achetaient de moins en moins des produits
industriels. Cependant, les banques donnaient excessivement des crédits pour inciter à la
consommation et la hausse des valeurs boursières était continue.
Le déséquilibre entre l'offre et la demande n'allait donc pas tarder à se manifester. D'un côté, on
avait l'offre représente par des produit industriels et les actions de l'autre côté on avait la
demande représentée par les acheteurs dont les paysans (alors que le pouvoir d'achat baissait de
plus en plus). La mévente des produits agricoles entraina celles des produits industriels car les
acheteurs (paysans) avaient de moins en de revenus. On avait donc une surproduction
industrielle.
Il y eut alors ce déséquilibre économique entre l'offre et la demande. C'est ce phénomène qu'on
qualifia de crise: l'offre était supérieure à la demande. Ce fut une crise de surproduction. La
crise éclata le 24 octobre 1929 à la Bourse de New York. Ce fut « le jeudi noir ». La Bourse
cessa de monter. Toutes les gens se mirent à revendiquer leurs actions, les valeurs industrielles
baissèrent de 32%. Comme les valeurs industrielles baissaient, les acheteurs qui aient pris des
articles à crédit ne pouvaient plus honorer leurs dettes, s'ils ne pouvaient plus payer, les
entreprises commerciales devaient faire faillite et entrainer aussi la faillite des industries. La
faillite des industries entraina celle des banques qui leurs avaient prêté de l'argent.
Et comme les américains avaient investi leur argent dans le monde entier, la crise frappa aussitôt
les industries et les banques des autres pays en passant par l'Europe. La crise des industries
européennes se rependit dans les colonies par le biais des produits agricoles industriels comme
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Les conséquences d'une pareille crise sont immédiates: les industries qui ne pouvaient plus
écouter leur producteur se voyaient obliger de réduire considérablement leurs mains d'œuvre. La
plupart même ont dû fermer complètement leurs portes. La crise se traduisit par un chômage
généralisé et par une détérioration de conditions de vie les classes ouvrières et paysannes.
La manifestation la plus grave de la crise fut cependant le chômage. John MAYNARD KEYNES
(1883-1946) est un anglais, son ouvrage essentiel «THEORIE GENERALE DE L'EMPLOI,
DE L'INTERET DE LA MONNAIE » est publié en 1936, pendant la grande crise qui a
débuté en 1929. Parmi les points développés:
Il s'agit d'une nouvelle approche du sous-développement: une approche plus juste que le schéma
traditionnel: premier monde, tiers monde « Ecart entre ces deux catégories de pays est tellement
grand qu'ils peuvent apparaître comme appartenant à deux monde différents, deux planètes
différentes: le premier monde et le tiers monde. Le tiers monde est alors compris comme un autre
monde qui n'a pas eu la chance de se développer comme les pays industrialisés (le premier
monde) et qui a donc par apport à eux un retard qu'il doit rattraper le plus vite possible.
Mais avec le nouveau schéma développé par SAMIR AMIN(Egyptien), nous découvrons
maintenant de plus en plus que ces différents mondes ne sont pas des mondes séparés, des
planètes séparées par un grand vide. Au contraire, ces mondes sont reliés entre eux par une
relation qui peut être comparée à la relation entre un centre urbain et sa périphérie campagnarde.
De même qu'une ville ou centre urbain vit de tout ce qui lui est fourni par sa périphérie
campagnarde et ne peut se développer sans elle, de même les pays industrialisés se sont enrichis
grâce au tiers-monde.
La relation entre ces deux catégories de pays, est de plusieurs ordres : commercial,
investissement, transfert de technologie, assistance technique. Elle est caractérisée par une
domination et une dépendance (aide liée). La périphérie constitue un réservoir des matières
premières cédées à l'état brut et à bas prix et un déversoir pour le produit manufacturé et
surfacturé de l'industrie du centre. Le capitalisme financier ou le commerce de l'argent entre les
pays du centre et de la périphérie s'effectue principalement par les institutions de BRETTON
WOODS (FMI, BIRD) dans le cadre de l'ordre économique mondial ou international.
3. LE COMMERCE EXTERIEUR
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Il y a eu pour les pays en développements deux grandes périodes de 1900 à 1950 balance
commerciale favorable car les exportations vers les pays développés étaient très
importants de 1950 jusqu’ aujourd’hui balance commerciale en déficit car :
- Ralentissement relatif des exportations les crises de l’indépendance s’annoncent
- Augmentation rapide des importations biens de consommation de prix et d’équipement
Causes de la détérioration
1. LES PROBLEMES
stock? Qui va forcer les pays producteurs à limiter la production quand le stock aura atteint son
maximum?
-fixer les quotas d’exportation à distribuer entre les pays producteur. Bref : limiter l’offre des
matières premières pour maintenir un prix intéressant.
- fixer des quotas d’exportation, la limitation de l’offre des produits maintient les prix.
- supprimer les subsides aux agriculteurs et sociétés minières des pays développés et laisser
le marché aux pays en développement ;
- Pour les produits à demande inélastique : partager les recettes des droits d’entrée entre les
pays importateurs et les pays exportateur (il ne sert à rien ici de supprimer les ports d'entrée
car cela n’augmente pas la demande.) il vaut mieux se partager les droits d'entrée.
-ne doivent pas être une copie des modes de vie occidentaux ou des démocraties populaire ;
-doivent être originaux, c’est-à-dire tenir compte des ressources, des motivations et des
institutions du pays.
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-saisie des biens de cet Etat à l’extérieur: avions, bateaux, blocage des compte bancaire de ses
ressortissants à l’extérieur ;
-établissement d’une liste de produits essentiels à l’économie du pays qui pourraient devenir
indispensable pour le pays débiteur;
- diminuer les coûts de production grâce aux bas niveaux des salaires dans les pays sous-
développés.
Les stratégies mises au point par les firmes multinationales sont-elles compatibles avec les
objectifs du développement du tiers-monde parmi les apports pouvant être positifs, citons:
-la possibilité d'un transfert de technologie;
-le moyen constitue ou développe un secteur industriel;
-la création d’emplois et la formation d’une main d’œuvre industrielle;
- un stimulant à la croissance économique par la distribution de revenu et par des commandes
aux entreprises locales;
-la création dans certains cas d’une domination économique et politique pouvant entraîner un
blocage des structures économiques ;
-des allocations de ressources et une redistribution des revenus monétaire vers des besoins non
prioritaire ;
-une perte de l’identité culturelle et des systèmes de la société d’accueil.
Certains pays telle que la COREE DU SUD ont cependant su crée un cadre normatif permettant
d'intégrer et de contrôler l'expansion de firmes multinationales en :
Offrant plus d’avantages aux associations faisant appel à des firmes nationales qu’aux filiales à
majorité étrangère,
-intégrant l'activité naturelle nouvelle dans un processus d'industrialisation basé sur le
développement des industries situé en amont
-Concentrant les multinationales dans les branches exportatrices nationales pourront utiliser
selon les ressources additionnelles que les entreprises nationals pourront utiliser selon les
orientations prises.
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1. RESSOURCES
-dresser un inventaire des richesses minières, forestières, pédologiques, études de sols, leurs
caractéristiques chimiques, physiques, hydraulique relatif à l'eau :
-tenir compte de la population et des divers aspects delà population,
Sa mise en valeur est fortement dépendante des conditions dépendante de conditions locales
-.Parmi les conditions locales, citons :
-La présence d'un marché
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Exemple: le gaz méthane du lac Kivu: l'absence des grosses concentrations urbaines, d’industrie,
ont retardé son exploitation.
- La foret de la cuvette centrale : faute d’un marché local
-L'état de la technologie
- l'encadrement
2. LA MOTIVATION
Des ressources naturelles, un capital important ou une main d'œuvre qualifiée n'entrainent pas
nécessairement d'une région, d'un pays. La conversion du capital, des ressources naturelles et de
la main d'œuvre en revenues nécessite :
Une prise de conscience.
Seul le sentiment d'avoir des progrès à accomplir peut entrainer des changements qui
amplifieront les besoins. Au fur et à mesure que des progrès auront été réalisés, le souci
déficience apparaîtra dans l'organisation de la société car les besoin augmentent plus vite que les
moyens.
Un changement des mentalités, des habitudes sociales.
L’équipement, les progrès techniques, les décisions prises au niveau national ou international ne
constituent qu'une composante du développement. Il est également nécessaire d'instaurer dans le
domaine économique et professionnel, les valeurs de compétence et d'efficacité.
À titre d'exemple, les relations d'ordre affectif (engagement ou licenciement suivant les critères
tribaux, personnel ou familiaux) ou les relations affectées d'un coefficient symbolique (prestige
et pouvoir prenante pas sur les responsabilités d'une fonction) prétendent trop souvent les
relations fonctionnelles, c'est-à-dire celles ayant au travail, les relations entre patrons et employés
subalternes se transforment, trop fréquemment en rapport de subordination personnelle.
3. LES INSTITITIONS
L'école ne prépare pas à la vie quotidienne, au travail et à l'action dans la société. L'action
éducative est une œuvre à long terme devant se baser sur des perspectives économiques de dix ou
quinze ans afin de disposer en temps voulu, des cadres et du personnel qualifié à tous les niveaux
de qualification.
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Une telle action implique une planification. La formation technique et une large ouverture
d'esprit sont des atouts maitres pour les mutations économiques.
-La famille
Les processions familiales jouent souvent un rôle démotivant.
CHAP.8. LA MONDIALISATION
1. ORIGINE
Le terme étatique se présente, du point de vue économique, comme une zone régie par le
principe d’exclusivisme. A partir de ce principe, l’on peut être tenté de conclure que l’Etat et
c’est ce que l’on suppose, peut s’enfermer derrière des barrières douanières. Mais, la réalité
actuelle est tout autre.
En effet, l’espace étatique peut échapper à l’exclusive de l’Etat du point de vue de sa règlement
économique, en vertu des dispositions conventionnelles particulières, et ce, en fonction des
besoins des diverses collectivités humaines qui composent les Etats.
L’une des manifestations de cette < violation >des frontières est tout naturellement la liberté (de
commerce) qui repose sur une base volontaire et procède en principe de la réciprocité. C’est la
formule dite de libre-échange. Une zone libre-échange englobe ainsi des territoires de
plusieurs Etats qui, dans leurs rapports abandonnent toute protection douanière (CEE,
CADEAO, SADEC, CEPGL, etc.). D’où la question que l’on peut se poser est de savoir s’il
peut exister une liberté de jouant entre un grand nombre d’Etats et à la limite entre tous les
Etats du monde. La réponse parait être positive car déjà après la première guerre mondiale, le
rétablissement de la liberté commerciale parrainait comme un idéal vers lequel tendaient tous
les efforts. C’est ainsi que ce besoin de libéralisation du commerce a conduit à la création
d’institutions ou organismes (comme le GATT devenu l’OMC) pour réguler le commerce
international au niveau mondial. C’est justement dans ce cadre que se situe la mondialisation
qui peut être comprise, de ce point de vue (économique) comme une forme évoluée du
commerce international.
2. DEFINITION
La mondialisation est un phénomène récent qui peut être considérée comme une nouvelle étape
du stade de production. Il est le fruit de la très forte expansion internationale des rapports de
production capitaliste (recherche de profit) qui se fondent sur l’interconnexion entre les nations
surtout dans les domaines commerciaux et financiers.
Un homme d’affaires d’un des plus grands groupes européens a expliqué que la « globalisation »
représentait la liberté pour son groupe de d’implanter où il veut, le temps qu’il veut, pour
produire ce qu’il veut, en s’approvisionnant et en vendant où il veut, et en ayant à supporter le
moins de contraintes possible en matière de droit du travail et de conventions sociales.
En fait, le principe fondamental de la mondialisation, c’est que chacun (Etat) puisse offrir (livre)
sa production au reste du monde sans restriction. En effet , les défenseurs de cette théorie
soutiennent que des liens doivent se tisser entre toutes les nations , que des échanges doivent
s’effectuer entre tous les peuples car la planète na qu’ seul avenir , un avenir global qui concerne
chaque individu ainsi que les humains comme société . Ils affirment que cela est une exigence
de notre temps. Pour eux, la mondialisation est une façon d’organiser le monde pour atteindre
cet objectif.
Ainsi, l’on peut constater comment, dans le domaine de l’information, l’internet apparaît
comme un précieux support de la mondialisation et les exemples sont légions
4. DESAVANTAGES
Malgré les tentatives de partisans de la mondialisation à proclamer ses bienfaits sur les
individus et sur les nations, des résultats tangibles indiquent qu’elle tend à accentuer les
clivages, la marginalisation et les exclusions entre pays industrialisés et pays pauvres.
En effet, la concurrence commerciale dans le cadre du système actuel a conduit à une
architecture d’un monde économique impliquant des gagnants et des perdants plutôt qua un
enrichissement mutuel et réciproque.
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En considérant par exemple les biens manufacturés, il s’agit d’un domaine dans lequel les pays
industrialisés partent favoris, ce qui porte préjudice aux nombreux pays en développement. Bref,
la mondialisation est comparable à un jeu qui n’est pas équilibré car c’est un système conçu
comme si toutes parties contractantes étaient sur le même pied d’égalité sur le plan économique.
La grande question qui se pose est de savoir qui doit mettre ces mesures en œuvre,
Selon Eric Toussaint, ce n’est pas le FMI ou la BM, le G7 ou encore moins les multinationales.
Cela ne pourra être possible que par des formes à inventer en intégrant les leçons du passe. Il
propose en lieu et place des institutions de Bretton Woods que l’humanité se dote d’autres
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institutions au sein desquelles ce ne serait plus le poids du PNB ou la force militaire d’un pays
ne serait plus le plus détériorant pour une prise de décision.
En effet, des voix élèvent et des réseaux internationaux pointent l’ennemi comme étant le G7 et
les institutions de BRETTON WOODS , une minorité de décideurs qui s’acharne à exproprier
la personne humaine de ses droits fondamentaux pour la réduire à une ressource des formes
idéologiques comme la mondialisation telle quelle se déroule aujourd’hui, une nouvelle forme
de coopération et de solidarité entre toutes les nations s’impose.
a. ENVIRONEMENT
C’est l’ensemble d’organismes vivants (biosphère) et non vivants.
C’est encore l’ensemble des écosystèmes. Ex. le lac ayant des espèces vivantes (poissons) et non
vivants (l’eau), les montagnes…
Ici les écosystèmes comprennent les biocénoses et les biotopes.
b. DEVELOPPEMENT DURABLE
- C’est le développement qui répond aux dessins du présent sans compromettre les
capacités des générations futures de répondre aux leurs.
- C’est le développement susceptible de durer ou d’être soutenable
Le D.D a une vision à L.T. Qui prend en compte le caractère indiss0ciable des
dimensions environnementales, sociales et économiques des activités de développement.
Le D.D, du concept anglais, SUBSTAINABLE, càd soutenable.
Donc le développement soutenable càd que notre environnement peut supporter a LT.
Le D.D vise à favoriser un état d’harmonie entre l’humanité et la nature.
BIODIVERSITE
C’est la diversité biologique du monde vivant à tous les niveaux : diversités
d’écosystèmes, des espèces, des populations…
CONSERVATION
C’est la protection et la gestion continues des ressources naturelles selon des principes
qui maximisent les avantages socio-économiques et minimisent les impacts sur
l’environnement à L.T.
ECOSYSTEME
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C’est un système fonctionnel forme par une biocénose ou communauté intégrée à son
environnement abiotique. Il comprend le biocénose et biotope.
BIOCENOSE, C’est une Communauté vivante : végétale, animale, fongique.
C’est un ensemble des populations d’espèces différentes vivant
dans un endroit détermine, dans des conditions du milieu déterminées, a une
époque bien précise
a. LES POLLUTIONS
Il existe plusieurs formes de pollutions
- les pollutions terrestres
- les pollutions aériennes ou atmosphériques
1. POLLUTIONS TERRESTRES
POLLUTIONS PHYSIQUES
- Radiations nucléaires (rayonnement radioactifs et nucléaires)
- Caléfaction ou pollution thermique (de la chaleur, fumée due aux raffinages du pétrole…)
- bruits et vibrations à basse fréquence (infrasons)
- pollution du sol par l’agriculture moderne où l’on utilise les fertilisants chimiques, les
pesticides
- Pollutions des eaux par des déchets injures dans les océans, fleuves, lacs ; rejets des égouts
urbains, industriels, alimentaires (abattoirs, laiteries. Fromageries, sucreries) avec comme
conséquences les maladies, impact graves sur les écosystèmes aquatiques et l’homme. ;
Pollutions chimiques d’eau par les décharges industrielles.
POLLUTIONS CHIMIQUES
- Dérives gazeux du Carbonne et les hydrocarbures liquides ou détersifs
- matériels plastiques
- pesticides et autres composés organiques de synthèse
- dérives du souffre, de l’Azote
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CONSEQUENCES POSITIVE
- faible mortalité estivale plus élevée
- une augmentation des ressources en eau
- augmentation de rendement agricole dans certaines régions a altitudes moyennes.
En CONCLUSION, une bonne gestion de l’environnement est fonction d’un bon développent du
pays car les facteurs du développent sont les composantes de l’enivrement.
Il faut une bonne symbiose et une bonne synergie entre L’ENMVIONNEMNT - L’HOMME ET LE
DEVELOPPEMENT. Et donc les ressources des planètes dont l’eau, l’air, les énergies fossiles
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(pétrole, gaz naturel, charbon), les autres énergies renouvelables, les éléments minéraux, la
biodiversité, constituant les écosystèmes, mis en profit, provoquent le VRAI DEVELOPPEMENT
DU PAYS.