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2016-17 1/10
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MIT : ITEM 164
Infections à herpès virus du sujet immunocompétent
• Inhibition de la réplication virale en s’insérant dans l’ADN • Relation sexuelle.
o Toxicités principales : • Per-partum lors du passage de l’enfant dans la filière génitale.
• Rénale (tubulopathie par cristallurie). • Rôle de la salive et des lésions cutanées.
• Encéphalopathie. o Passage transplacentaire.
o Résistance : o Allaitement maternel (très rare).
• Possible, essentiellement si TTT prolongé chez l’immunodéprimé.
o Valaciclovir : PHYSIOPATHOLOGIE
• Prodrogue de l’aciclovir. o Transmission et expression clinique classiquement au niveau :
• Avantage : beaucoup mieux absorbé par voie orale. • Des muqueuses bucco-pharyngées (HSV-1).
• Des muqueuses génitales (HSV-2).
TRAITEMENT DES INFECTIONS A CMV = GANCICLOVIR IV : o Tropisme :
o Valganciclovir : • Principalement cutanéo-muqueux.
• Prodrogue du Ganciclovir. • Réplication intense lors de la primo-infection et effet cyto-pathogène.
o Autres traitements : Provoque des vésicules inflammatoires.
• Foscarnet. o Dissémination :
• Cidofovir. • Par voie hématogène possible mais rare.
• Diffusion le long des voies nerveuses sensitives vers leurs sites de latence.
Ganglions sensitifs crânien : HSV-1.
II. HERPES CUTANE & MUQUEUX Ganglions sensitifs spinaux ou sacrés : HSV-2.
o Récurrence Causes multiples.
• Stress ; Soleil ; Fatigue ; Règles ; Fièvre ; Infection.
Epidémiologie • Baisse de l’immunité à médiation cellulaire.
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MIT : ITEM 164
Infections à herpès virus du sujet immunocompétent
o Récurrences : → Durant quelques heures.
• Bouquets de vésicules. • Phase lésionnelle :
Unilatéral. Vésicules localisées le plus souvent au site de la primo-infection.
A la jonction cutanéo-muqueuse des lèvres (narines, menton) Guérison : 7-10 jours.
• Classique « bouton de fièvre ». Fréquence des porteurs asymptomatiques mais contagieux.
MANISFESTATIONS OPHTAMOLOGIQUES :
o Primo-infection ou, le plus souvent, récurrence.
• Kératite le plus souvent unilatérale. Examens complémentaires (Rarement indiqués)
Douleurs.
Hyperhémie conjonctivale. DIAGNOSTIC DIRECT :
Photophobie ; Larmoiement. o Prélèvement du contenu de vésicules récentes.
ADP prétragienne.
• Détection d’ADN viral par PCR : principal moyen diagnostic actuel.
± vésicules palpébrales ou conjonctivales
• Isolement viral par culture et immuno-diagnostique direct : plus rarement.
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MIT : ITEM 164
Infections à herpès virus du sujet immunocompétent
Si kératite profonde, uvéite ou nécrose rétinienne. o Par voie aérienne et contact :
o Contre-indication absolue a la corticotherapie. • De 1 à 2 jours avant le début de l’éruption.
• Risque d’aggravation pouvant aller à la perforation de cornée • A 5 à 7 jours après :
o Contre-indication aux anesthesiques locaux Fin de la contagion lorsque toutes les lésions cutanées sont la phase
• Risque de masquer une évolution défavorable. croûteuse.
HERPES GENITAL :
o Si primo-infection : Valaciclovir 10 jours. Clinique
o Si récurrence : Valaciclovir 5 jours.
FORME HABITUELLE :
TRAITEMENT PREVENTIF o Incubation moyenne : 14 jours.
o Indication : > 6 récurrences annuelles d’herpès génital ou orofacial. o Invasion : Fébricule (38°) et malaise général.
o Modalités : Valaciclovir quotidien au long cours 6-12 mois. o Phrase d’état caractérisée par l’éruption.
o Traitement purement suspensif. • Type :
• Réduit voire supprime les poussées d’herpès pendant la durée du Maculo-papules inconstantes, en goutte de rosée.
traitement. Puis vésicules disséminées très prurigineuses.
• Ne permet pas l’éradication du virus Risque de récidives à l’arrêt. Eruption et pseudo-ombilication.
Apparition de croûte brunâtre à J4.
Cicatrisation à J10.
II. VARICELLE • Evolution : Plusieurs poussées successives.
Coexistence d’éléments d’âge different+++.
Epidémiologie • Topographie :
Cuir chevelu ; Face ; Thorax.
→ respecte les paumes des mains et plante des pieds.
o 90% des cas de varicelle surviennent chez l’enfant.
• Signes associés :
• Entre 1 et 14 ans.
Fièvre modérée, aux alentours de 38°.
Enanthème buccal avec lésions érosives associées.
Micro-polyadénopathies (cervicales), rare SMG.
Généralités • Evolution spontanée : Favorable en 10-15 jours.
INTRODUCTION : Complications
o Varicelle = primo-infection par le Virus Varicelle-Zona (VZV).
o La plus contagieuse des maladies éruptives.
TERRAINS FAVORISANTS :
o Maladies plus grave chez l’adulte et encore plus grave chez l’immunodéprimé et la
o Immunodépression de type cellulaire.
femme enceinte.
o Adulte.
o Un vaccin vivant atténué est disponible.
o Femme enceinte.
o Nouveau-né.
TRANSMISSION :
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MIT : ITEM 164
Infections à herpès virus du sujet immunocompétent
COMPLICATIONS CUTANEES : Diagnostics différentiels
o Surinfection cutanée bactérienne.
• Surtout à Staphylococcus aureus et Streptococcus pyrogènes. o Prirugo strophulus (réaction aux piqûres d’insectes de literie ou du milieu
• Fréquente chez l’enfant du fait du grattage. extérieur).
• Favorisée par l’absence de soins locaux. o Zona généralisé (immunodéprimé).
AUTRES COMPLICATIONS : o Variole.
o Etat infectieux sévère :
• Eruption profuse souvent nécrotique et hémorragique.
o Atteinte respiratoire :
• Pneumonie interstitielle. Traitement
o Atteinte neurologique :
• Convulsions. TRAITEMENT SYMPTOMATIQUE/TRAITEMENT LOCAL :
• Ataxie cérébelleuse (guérit spontanément en 15 jours). o Contre-indication de l’aspirine et AINS chez l’enfant+++.
• Plus rarement polyradiculonévrite, myélite, méningite, encéphalite, rétinite. • Risque = Syndrome de Reye.
o Purpura thrombopénique aigu d’évolution bénigne. o contre-indication des topiques (anesthésiques, talc, crème).
• Risque de masquer voire provoquer une surinfection.
• Risque de macération.
Examens complémentaires (Rarement indiqués) o Antihistaminiques sédatifs : Hydroxyzine, Dexochlorphéniramine.
• Lutte contre le prurit.
o Le diagnostic est avant tout clinique+++. o Ongles propres et coupés courts.
• Inutile dans les formes typiques de varicelle. o Douches ou bains quotidiens avec savon doux.
o Chlorhexidine en solution aqueuse en cas de surinfection.
DIAGNOSTIC DIRECT :
o Sur un écouvillonnage du contenu vésiculaire/sur des liquides biologiques. ANTIBIOTHÉRAPIE :
o Uniquement en cas de surinfection cutanée avérée, par voie générale.
• Culture virale : examen de référence.
• Détection par PCR : moyen de plus en plus utilisé.
TRAITEMENT ANTIVIRAL :
• Plus rarement immunofluorescence.
o Aciclovir IV pendant 10 jours.
o Réservé aux formes graves et/ou compliquées.
DIAGNOSTIC INDIRECT :
• Varicelle de forme grave par son extension ou ses localisations.
o Sérologie
Forme respiratoire de l’adulte par exemple.
• Intérêt épidémiologique.
• Varicelle de l’immunodéprimé.
• Diagnostic rétrospectif uniquement, ou en vue d’une vaccination.
TRAITEMENT PRÉVENTIF :
o Eviction scolaire :
• N’est plus recommandée.
• Mais la fréquentation scolaire à la phase aiguë de la maladie n’est pas
souhaitable.
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MIT : ITEM 164
Infections à herpès virus du sujet immunocompétent
o Eviter tout contact avec immunodéprimés et femmes enceintes non immuns. INTRODUCTION :
o Vaccination par virus vivant atténué. o Expression clinique de la réactivation du VZV.
• Objectif : protéger les jeunes adultes non immuns. o Gravité liée :
Adolescents de 12 à 18 ans n’ayant pas d’ATCD clinique de varicelle • Aux douleurs post-zostériennes.
ou dont l’histoire est douteuse. • A certaines localisations (zona ophtalmique).
Femmes en âge de procréer, sans ATCD clinique de varicelle, avant • Aux formes de l’immunodéprimé.
toute grossesse, ou dans les suites d’une première grossesse. o Vaccin disponible.
Candidats à une greffe d’organe non immuns.
Toute personne en contact étroit avec des personnes immuno-
déprimées, et qui n’a pas d’ATCD de varicelle, ou dont l’histoire est Clinique
douteuse et dont la sérologie est négative.
• Modalités :
CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES DE L’ÉRUPTION :
Test de grossesse avant administration chez la femme en âge de
o Phase prodromique :
procréer.
• Douleurs précédent l’éruption.
Contraception efficace un mois après chaque injection.
• Paresthésies à type de brûlures et troubles objectifs de la sensibilité.
• Indications de la vaccination :
Dans le territoire concerné.
Pas de recommandation de vaccination généralisée chez l’enfant.
o Phase d’état :
Adolescent ou femme en âge de procréer non immunisé(e).
• Eruption caractéristique :
Personnes (sans ATCD de varicelle et sérologie négative) au contact
Eléments d’abord érythémateux roses vifs.
de sujets à risque (immunodéprimés).
Puis vésiculeux groupés en « bouquet ».
Professionnels au contact de la petite enfance ou exerçant dans des
Lésions érosives à J5.
services à risque de varicelle grave.
Croûteuses à J7.
Adultes de plus de 18 ans exposés à un cas de varicelle (si contage <3
Puis cicatrices dépigmentées rosées.
jours).
Puis blanchâtres très souvent indélébiles vers J10.
• Signe associé : Fébricule.
• Topographie :
III. ZONA Essentiellement sur le torse (en hémi-ceinture).
Parfois au visage ou sur un membre.
Epidémiologie • Distribution : Généralement unilatérale, mono-métamérique.
o Evolution
o Atteint 20% de la population. • Sur 2 à 3 semaines. Souvent par poussées successives.
o Nette prédominance > 50 ans. • Les douleurs peuvent persister plusieurs mois.
o Témoin d’une immunodépression cellulaire.
Formes topographiques
Généralités
ZONA INTERCOSTAL, CERVICAL, ABDOMINAL, LOMBO-ABDOMINAL, SACRE :
o Plus rare, volontiers très douloureux.
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MIT : ITEM 164
Infections à herpès virus du sujet immunocompétent
o Avec vésicules unilatérales.
ZONA OPHTALMIQUE (DERMATOME DE LA 1ERE BRANCHE V1 DU NERF TRIJUMEAU) :
o Plus fréquent chez les sujets âgés.
o L’éruption peut siéger dans l’une des 3 branches du nerf ophtalmique : Complications
• Frontale :
Partie médiane de la paupière supérieure. DOULEURS POST-ZOSTERIENNES (DPZ) :
Front et cuir chevelu jusqu’au vertex. o Principale complication neurologique.
• Lacrymale : Partie externe des paupières. o Définition :
Larmoiement abondant. • Douleurs persistant après la cicatrisation ou plus d’un mois après la
• Nasale : survenue d’un zona.
Externe : o Facteurs de risque :
→ Racine et dos du nez. • Âge > 50 ans.
→ Angle interne de l’œil. • Localisations céphaliques.
Interne : • Douleurs intenses à la phase aiguë.
→ Lobule du nez et muqueuse pituitaire. o Evolution :
⇒ Entraînant douleurs locales et rhinorrhée. • Disparaissent habituellement en 6 mois.
o Complications oculaires fréquentes, notamment si atteintes de la branche nasale • Mais peuvent être définitives et très invalidantes.
externe du trijumeau (sensibilité cornéenne).
• Risque de kératite. AUTRES COMPLICATIONS NEUROLOGIQUES (EXCEPTIONNELLES) :
o Paralysies oculomotrices fréquentes, généralement régressives. o Paralysie oculomotrice (lors du zona ophtalmique)
o Douleurs post zostériennes fréquentes et intenses. o Atteinte motrice dans le territoire du zona
o Séquelles possibles : o Myélite et encéphalite, parfois en l’absence d’éruption cutanée
• Perte anatomique de l’œil.
• Atteinte définitive de la vision. SURINFECTIONS BACTERIENNES :
o Provoquée par le grattage.
ZONA DU GANGLION GENICULE :
o Douleurs et éruption auriculaires.
o Siègent dans la zone de Ramsay-Hunt.
• Tympan.
Examens complémentaires (Rarement indiqués)
• Conduit auditif externe.
o Le diagnostic est avant tout clinique+++.
• Conque du pavillon de l’oreille.
o Le recours aux examens complémentaires est exceptionnellement indiqué.
o S’accompagne :
• En cas d’éruption atypique.
• D’une paralysie faciale périphérique.
• D’une éruption des 2/3 antérieurs de l’hémi-langue homolatérale.
DIAGNOSTIC DIRECT :
• ± troubles cochléo-vestibulaires parfois associés.
o Sur prélèvement vésiculaire : PCR ou examen immunofluorescence.
ZONA BUCCO-PHARYNGE :
o Ulcérations pseudo-membraneuses.
2016-17 7/10
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MIT : ITEM 164
Infections à herpès virus du sujet immunocompétent
Traitement VI. COMPLICATIONS CHEZ FEMME ENCEINTE / NOUVEAU-NE /
ATOPIQUE
TRAITEMENT SYMPTOMATIQUE :
o Traitement local :
• Douches ou bains quotidiens à l’eau tiède et savon doux. INFECTION PAR HSV-1 ET HSV-2 :
• Chlorhexidine en solution aqueuse : En cas de surinfection.
• Autres topiques. Généralités
o Prise en charge de la douleur :
• Contre-indication des corticoïdes a la phase aiguë. INTRODUCTION :
Risquent de favoriser l’extension de l’infection. o Pour le nouveau-né :
• Traitement antalgique adapté à l’EVA. • L’herpès néonatal concerne 1 à 3 nouveaux-nés pour 100 000 naissances
Soit environ 20 cas annuels en France.
ANTIBIOTHERAPIE : • Le virus HSV-2 est principalement en cause.
o Par voie générale. • Gravité :
o Uniquement en cas de surinfection cutanée avérée. Mortalité très élevée et séquelles très lourdes en cas de survie.
• Transmission :
TRAITEMENT ANTIVIRAL DU SUJET IMMUNOCOMPETENT : Par contact direct lors du passage dans la filière génitale.
o Indications : Contamination post-natale possible.
• Prévention des DPZ Traitement si : o Pour la femme enceinte :
Âge > 50 ans. • L’infection maternelle peut être
Douleurs intenses à la phase aiguë. Cliniquement patente :
Zona étendu. → Herpès génital typique (avec cervicite dans 30% des cas).
• Zona ophtalmique. → Risque majeur de transmission à l’enfant.
o Modalités :
⇒ 75% en cas de primo-infection.
• Traitement précoce dans les 72h après le début de l’éruption .
⇒ 5% en cas de récurrence.
• Valaciclovir PO 7 jours. Cliniquement latente :
→ Excrétion génitale asymptomatique d’HSV-2.
TRAITEMENT PREVENTIF :
• Risque (rare) de forme grave dans le dernier trimestre de la grossesse.
o Vaccination
Dissémination par voie hématogène Risque d’hépatite fulminante
• Vaccin vivant atténué.
• Risque principal Maladie chez le nouveau-né.
• But : éviter une réactivation liée à la diminution de l’immunité anti-VZV chez
le sujet âgé.
• Recommandé en France entre 65 et 74 ans. Complications
CHEZ LE NOUVEAU-NE :
o Contamination anténatale :
• La transmission s’effectue très rarement par voie trans-placentaire.
o Contamination périnatale ou néonatale :
2016-17 8/10
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MIT : ITEM 164
Infections à herpès virus du sujet immunocompétent
• La plus fréquente+++. Généralités
• Forme disséminée polyviscérale.
Risque de décès dans > 50% des cas. INTRODUCTION :
• Méningo-encéphalite isolée. o Chez la femme enceinte.
Séquelles lourdes dans > 50% des cas. • Risque de forme grave chez la mère.
• Forme cutanéo-muqueuse. • Risque de transmission congénitale ou périnatale.
Le diagnostic précoce et le TTT antiviral permettent une guérison o Chez l’immunodéprimés.
dans 90% des cas. • Risque de forme grave de varicelle ou de zona.
o Contamination postnatale :
• HSV-1 est habituellement en cause.
• Liée à Complications
Une récurrence maternelle (orale ou mammaire), de l’entourage
Ou a une transmission nosocomiale. RISQUE POUR LA FEMME ENCEINTE :
• Responsable de 5 à 10% des herpès néonataux. o Risque de forme viscérale.
o Prévention :
• Traitement maternel RISQUE POUR L’ENFANT IN UTERO ET A LA NAISSANCE :
Indiqué en cas de primo-infection génitale survenant pendant la o Varicelle congénitale.
grossesse. • Risque lorsque la varicelle survient avant la 20ème semaine d’aménorrhée.
• Césarienne o Varicelle néonatale.
En cas de lésion génitales en fin de grossesse.
• Risque maximal si éruption varicelle chez la mère dans les 5 jours précédant
→ Primo-infection ou récurrence.
ou les 2 jours suivant l’accouchement.
N’a pas d’intérêt en cas de rupture de la poche des eaux > 6h.
CHEZ L’ATOPIQUE : • Grave.
o Complication grave = Pustulose varioliforme de Kaposi-Juliusberg. Mortalité pouvant atteindre 30%.
o Tableau clinique associant :
• Fièvre, malaise, adénopathie.
• Eruption faite de lésions vésiculeuses, pustuleuses, croûteuses,
ombiliquées, initialement regroupées.
o Mortalité élevée en l’absence de traitement liée.
• Au risque de surinfection bactérienne.
• Aux atteintes viscérales virales.
o Traitement par :
• Aciclovir IV.
• ± ATB dirigée contre Streptococcus pyogenes et Staphylococcus aureus.
2016-17 9/10
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MIT : ITEM 164
Infections à herpès virus du sujet immunocompétent
Mon mémento
o
2016-17 10/10
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