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Par S. TZITZIS
Peine de mort était courante mais pas compatible avec l’idée de démocratie car dignitas
aujourd’hui on ne peut pas mettre à mort un criminel car DDHC.
Justice/ droit : attribuer à chacun ce qu’il mérite, que ce soit peine ou récompense jus suum
cluque tribuere dit que la dignité est variable alors qu’elle est considérée comme immuable
aujourd’hui. Dans la Grèce et la Rome antique, il n’existe pas l’idée de personne telle qu’on la connait
aujourd’hui.
Une autre cité : Sparte, alors qu’Athènes est un pays riche, il y avait la terre qui était riche, morale et
culture. La vulnérabilité de la Grèce= toujours convoitée par les barbares (les étrangers). La culture
grecque est fondée par la justice, les lois naturelles, positives et très sages. Les grecs considéraient
que les étrangers n’avaient pas la culture grecque.
Les grecs n’avaient pas l’idée d’appartenir à une nation, cette idée est née après le M-A, à la
Renaissance. Les liens qui unissaient les grecs et qui justifiait leur appartenance à une nation était la
langue, la religion et la culture, la formation du caractère par la vertu. Paideia ; le bien, le beau et le
juste.
Sparte, aussi dites « ville des moines » cité pauvre, menacée par le barbare (perses et mèdes). Toute
la Grèce cultivait 5 vertus (Areté) fondamentales : courage, prudence, tempérance, sagesse. Système
politique et juridique de Sparte en cherchant la vertu du courage : anderia (à Athènes la sagesse). La
morale ou l’éthique vient du sol, de la terre, des ressources humaines, faire alors de bons soldats
pour protéger à la cité. Un enfant de 7ans n’appartenant plus à ses parents mais à l’état pour
défendre sa cité désormais, ils allaient dans la une caverne pour une nouvelle éducation.
Les femmes ? Les femmes aussi avaient une bonne pédagogie aussi dirigée par l’état, pour
devenir une bonne mère pour les futurs soldats, elles leur disaient qu’on ne vivait que pour Sparte.
C’est toute une nouvelle façon de vivre ; « savoir tenir le bouclier » =une vie à Sparte est précieuse+
pousser l’ennemi. Il fallait apprendre à perdre ou même à mourir en héros.
Lorsqu’un soldat meurt sur le lieu de bataille, on transférait à la ville le corps du soldat, la première
chose que les femmes disaient été de savoir s’il avait reçu un coup dans le dos ou dans le cœur (afin
de savoir si c’est un lâche). La mère donnait le bouclier à son fils et disait : « avec lui ou sur
lui » : « Hetan é Epitas » ce qui signifie, ou tu reviens avec le bouclier ou on t’apporte avec le
bouclier.
L’eugénisme est paru en occident, à Sparte. Un héros qui rentre et qui n’a rien à offrir à la
Cité est jeté. On faisait l’éloge du vol, si on volait sans être attrapé, c’est un exemple à suivre, et si on
se faisait attraper on recevait 40coups. La raison du pourquoi du comment : si les perses entouraient
et sièges la ville de Sparte, les ressources naturelles n’étaient pas suffisantes pour survivre, il n’y avait
pas d’autarcie, or il fallait partir en cachette, trouver des vivres sans être attrapé par l’ennemi, c’est
un exemple car il est capable de voler sans se faire prendre : c’est donc une vertu, car à l’extérieur il
ferait de même, et inversement.
Ajd c’est l’H qui passe avant la patrie (la personne qui prime). On a sacralisé l’homme. Une personne
humaine est sacrée, renversement de valeur. (Plus l’idée d’Athènes qui prime avec la patrie).
Les ilotes rendu à l’esclavage, jeu cruel : on en laissait dans la nature, les spartiates devaient les
trouver et lorsqu’ils y arrivaient, ils avaient le droit de les tuer.
Or il fallait inculquer dans l’esprit des ilotes qu’ils étaient plus nombreux. Les spartiates pouvaient et
étaient capable de massacrer un peuple esclave sous le nom de Sparte. Alors qu’Athènes= créativité,
Sparte= soumission.
Lycurgus : la grande loi, qui aujourd’hui ne sont que des fragments.
Etrangers : Xénos.
Périclès : « Nous avons une constitution qui sert d’exemple aux autres »
« Nous pratiquons la philo sans être mous »
C’est Rousseau qui se met du coté de Sparte tout en étant le grand philosophe de la démocratie,
volonté du peuple ne peut être représenter en étant « sage »
Père de la démocratie : Locke.