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COURS DE
Par
Elie Armel FEUTSEU OUAFO
MBA-ESA
Consultant-formateur en Assurance
E-mail : armelfoea@yahoo.fr
Tel :00237 696230331
SOMMAIRE .............................................................................................................................................. 2
INTRODUCTION ....................................................................................................................................... 3
................................................................................................................................................................. 5
CHAPITRE I : PRATIQUE DU CONTROLE DE GESTION .............................................................................. 5
I- Définition du contrôle de gestion................................................................................................ 5
II- Facteurs de déviation de l’Entreprise.......................................................................................... 6
III- Objectifs du contrôle de gestion ........................................................................................... 10
CHAPITRE II : ROLE ET TACHE DU CONTROLE DE GESTION ................................................................... 11
I- Contrôle de gestion : Aide au diagnostic de fonction ............................................................... 12
II- Contrôle de gestion : Aide à la maitrise des opérations ........................................................... 13
III- Contrôle de gestion : Aide à la décision stratégique et tactique. ......................................... 13
IV- Contrôle de gestion : business partners. ............................................................................... 14
............................................................................................................................................................... 16
CHAPITRE III : PARTICULARITES DU CONTROLE DE GESTION DES ENTREPRISES D’ASSURANCES......... 16
I- L’Organisation scientifique d’une entreprise d’assurance ........................................................ 16
1- Les organes de gouvernance ..................................................................................................... 17
2- Les organes de gestion .............................................................................................................. 20
II- Les Ratios d’analyse d’une entreprise d’assurance....................................................................... 20
1. L’activité commerciale............................................................................................................... 21
2. Analyse des frais de gestion ...................................................................................................... 21
3. Analyse des résultats techniques .............................................................................................. 22
4. Analyse des résultats financiers. ............................................................................................... 25
III- Les Ratios de structure financière ......................................................................................... 26
CHAPITRE IV : LES PRINCIPAUX OUTILS DU CONTROLE DE GESTION .................................................... 28
I- LA PLANIFICATION STRATEGIQUE ............................................................................................. 30
II- LA GESTION BUDGETAIRE .......................................................................................................... 34
III – Les tableaux de bord .................................................................................................................. 42
IV- Mesures à prendre en cas d’écarts signalés par les tableaux de bord. ................................ 49
V. Cas pratique .................................................................................................................................. 52
Les méthodes du contrôle de gestion ont aussi pu s’adapter aux particularités des
entreprises de services, mais elles ont gagné en efficacité et en rapidité grâce à
l’essor des équipements informatiques.
Tout contrôle donc vise à mesurer les résultats des actions par rapport aux
objectifs définis, pour s’assurer s’il y a concordance ou discordance. Il a en
conséquence pour finalité un retour en amont pour rectifier les décisions prises
auparavant. Mais, cette définition est loin d’être partagée ce qui nous oblige à
analyser d’autres approches du contrôle de gestion. Mais, pour des raisons liées
à la compréhension de la suite nous retenons la définition d’ANTHONY,
DEARDEN, qui définit le contrôle de gestion comme « le processus par
lequel les dirigeants s’assurent que les ressources sont obtenues et utilisées
avec efficacité (par rapport aux objectifs) et efficience (par rapport aux
moyens employés) pour réaliser les objectifs de l’organisation ». Ce
processus de prise de décision est un processus d’accompagnement et de
déploiement de la stratégie.
Le contrôle de gestion est donc une fonction essentielle pour toute entreprise
d’assurances souhaitant atteindre ses objectifs et améliorer sa performance
financière. Ce processus permet de surveiller et d'évaluer les activités
opérationnelles de l'entreprise, d'identifier les problèmes et les opportunités,
de fournir des recommandations pour les actions à entreprendre et d'assurer
une gestion efficace des ressources.
Selon une étude effectuée en France, la moitié des nouvelles entreprises survivent
pendant les cinq premières années et seul un tiers des nouvelles entreprises sont
capables de survivre pendant dix ans. L’inverse est incontestable. En conclusion,
qu’environ 65 % des nouvelles entreprises n’atteignent pas la barre des dix ans.
Si les causes qui provoquent la défaillance des sociétés sont bien identifiées, les
mesures pour les éviter ne sont pas toujours prises à temps par manque
d’anticipation. Il est donc nécessaire pour les dirigeants de construire un modèle
d’entreprise, qui devra d’une part, prendre en compte un système de gouvernance,
gestion de risque et de contrôle suivant les standards internationaux, d’autre part,
élaborer un plan d’affaires complet qui comprend des prévisions financières
basées sur des revenus prévisibles, un marketing stratégique et des solutions de
gestion des défis pour surmonter les obstacles potentiels et les activités des
concurrents.
Toute organisation humaine doit être contrôlée pour garder son unité et son
efficacité. A cet effet, les entreprises doivent :
Le coût, (réduction des couts de production ainsi que les couts de revient et
de vente des produits/services)
Le délai (Amélioration des délais de livraison des produits/services)
La qualité (Amélioration de la qualité de service).
Cours de contrôle de gestion d’une entreprise d’assurance IIA-Yaoundé Page 12
De nos jours, la fonction contrôle de gestion vise à s‘assurer de la satisfaction des
parties prenantes de l’entreprise qui sont :
La mise en place d’outils d’aide à la décision utilisée pour l’élaboration des choix
stratégiques :
Méthode de choix des investissements incluant la dimension stratégique
L’étude de marché permettant un meilleur positionnement de l’entreprise,
etc.
L’intégration des choix stratégiques avec les plans d’action (annuels et
pluriannuels) et la gestion opérationnelle basée sur :
le choix d’un système budgétaire et de calcul des coûts cohérent avec le
découpage en domaines d’activités stratégiques,
la mise en place d’un système de tableaux de bord intégrant les indicateurs
stratégiques.
Prendre part aux prises de décisions stratégiques car son expertise permet
de mieux les cibler.
Décliner la stratégie de l’entreprise en adéquation avec les objectifs
économiques qu’il aura contribué à déterminer.
Réaliser les études économiques permettant la prise de décision.
Il s’agit d’une réunion entre les différents actionnaires d’une société d’assurance.
Elle permet de s’informer sur la situation de l’entreprise et de s’exprimer sur sa
gestion. Cette assemblée se réunit au minimum une fois dans l’année.
L’assemblées générale Ordinaire prend toutes les décisions autres que celles qui
sont expressément réservées par l’article 551 de l’acte uniforme OHADA, pour
les assemblées générales extraordinaires, et par l’article 555 de l’acte uniforme
OHADA pour les assemblées Spéciales. Elle est notamment compétente pour.
Le conseil d'administration
1. Il précise les objectifs de la société et l’orientation qui doit être donnée à son
Administration ;
3. Il arrête les comptes de chaque année qui sont ensuite soumise à l’approbation
de l’Assemblée Générale Ordinaire ;
Afin de mener à bien ses missions, le conseil d’administration dispose en son sein
plusieurs comités tels que le comité d’audit, le comité de gouvernance, le comité
de rémunération, etc.
Cf https://www.atlas-mag.net/article/la-gouvernance-des-societes-d-assurance
Ils concernent la Direction générale, et les différents comités mis en place en son
sein pour assurer la bonne marche de l’entreprise ainsi que la réalisation des
objectifs.
La Direction Générale
Direction Générale
IT
Réseau Réseau
Comptabilité IARDT Santé
RH Production Réassurance Direct Intermédiaire
Finance
Trésorerie
Solutions
L’activité technique,
Les résultats techniques,
L’activité financière et la rentabilité,
La solvabilité.
Il concerne les contrats des branches vie et non vie. Les ratios peuvent être établis
en nombre de contrats et en volumes de cotisations :
Les frais de gestion sont les charges engagées par l’entreprise pour l’acquisition
des contrats ainsi que leur gestion. Ils comprennent les commissions et les frais
généraux.
Chiffre d’affaires N
Chiffre d’affaires N
=
NB : taux de cout d’acquisition cible assurance IARD= 35% et Vie= 25%.
Ratio combiné
Taux de réassurance
Chiffre d’affaires.
Impayé N-1
Eu égard la masse de primes détenues par les assureurs, ces derniers doivent
effectuer des placements financiers dans des actifs surs, liquides et rentables. A
cet effet, les ratios suivants doivent être analysés.
Total placements
Les ratios de structure financière, sont ceux qui portent sur structure du bilan. On
distingue :
Taux de provisionnement
Primes ou cotisations N
Trésorerie et placement
Primes émises
La stratégie,
Le système de reporting
Le tableau de bord
Les indicateurs clés de performance
Le budget
La comptabilité analytique
Le contrôle interne.
La stratégie d’entreprise : il permet de définir les objectifs, prévoir et
formaliser les objectifs à long et moyen terme. Le rôle du contrôle de gestion
sera donc d’animer le système à atteindre les objectifs.
Le système de reporting : le reporting permet à l’entreprise à un moment donné
de s’arrêter et évaluer la réalisation des objectifs. Le contrôle de gestion a donc
pour rôle de construire un système de reporting regroupant l’ensemble des
indicateurs permettant de mesure l’activité de l’entreprise, par ricochet la
réalisation des objectifs tant stratégiques qu’opérationnel.
Les indicateurs de performance (KPI) : ce sont des éléments qui permettent
de vérifier l’atteinte des objectifs définis. Le contrôle de gestion devra donc
accompagner les responsables de processus dans la définition des KPI
« SMART ». (Spécifique, mesurable, atteignable, réaliste, temporel).
Le tableau de bord : c’est un outil de pilotage et de gestion qui récapitule les
indicateurs de performance permettant sur tous les éléments de prise de décision,
avoir des alertes permettant de visualiser la réalisation des objectifs. Le contrôle
Cours de contrôle de gestion d’une entreprise d’assurance IIA-Yaoundé Page 28
de gestion aura donc pour mission de s’assurer d’une part de la conception du
tableau de bord, d’autre part de la mise à disposition des dirigeants, à intervalle
de temps précis, du tableau de bord de la société, pour prise de décision.
Le budget : Le budget est l'outil principal du contrôle de gestion. Il permet à la
compagnie de mesurer la réalisation de ses objectifs financiers. Le contrôleur de
gestion accompagne les responsables des processus dans l’élaboration de leur
budget, consolide les différents budgets dans document synthétique à soumettre
au Conseil d’administration pour validation. Par ailleurs, il s’assure également
du suivi des différentes réalisations du budget, ainsi que l’analyse des écarts, afin
d’expliquer les différences entre les prévisions (budget) et les réalisations sur la
période
La comptabilité analytique : Elle permet de suivre les charges et les produits
par centre de coûts et d'analyser leur impact sur la performance de l'entreprise.
Le contrôle interne : le contrôle interne se définit comme un processus mise en
place par le conseil, les dirigeants et l’ensemble du personnel de l’organisation,
destinée à donner une assurance raisonnable quant à l’atteinte des objectifs de
l’entreprise que sont :
L’efficacité et l’efficience des opérations,
La qualité des reporting,
La conformité aux lois et règlements.
La matière première du contrôle de gestion c’est l’information. Elle doit donc être
de qualité et mis à la disposition dans les délais. Le contrôle interne dans la
dynamique du contrôle de gestion, permet de donner une assurance quant à la
qualité de l’information issue des différents processus.
Horizon outils
Horizon pluriannuel Stratégie
Horizon annuel budget
Horizon mensuel plans d'actions
A cet effet, nous pouvons définir la stratégie comme l’ensemble des grandes
orientations ainsi que les axes de développement qu’une entreprise veut
mettre en avant au cours des prochaines années (généralement sur 03 à 05
ans).
La planification stratégique est cruciale pour assurer le succès à long terme des
organisations. La démarche d’élaboration d’un plan stratégique quinquennal
solide, repose sur l’analyse d’un nombre d’éléments liés à son environnement
(interne, externe), les ressources de l’entreprise, ainsi que ses capacités
intrinsèques. Le document « Plan stratégique » devra comporter les parties
suivantes :
1- Présentation du projet :
Présenter les objectifs poursuivis ;
Le calendrier de réalisation ;
Les différents scénarios envisagés ;
Les résultats attendus en terme de part de marché, CA, rentabilité.
2- Présentation de l’entreprise :
Historique de la société
Forme juridique
Evolution et structure du capital
Nature des offres de la société
Technologie utilisée
Identifier: notre
vision, nos missions,
nos stratégies Analyse du secteur:
Options Evaluation:
actuelles structure, évolution, Analyse besoins en
Evaluer la concurrence
stratégiques ressources,
performance actuelle
risques, résultats
SWOT
Analyse de
l’entreprise: structure,
ressources, processus,
culture Comment y arriver?
Où voulons-nous être?
R. Formisano (2004:45)
Où en sommes-nous?
Cours de contrôle de gestion d’une entreprise d’assurance IIA-Yaoundé Page 33
II- LA GESTION BUDGETAIRE
La planification ;
L’élaboration du budget ;
L’exécution et le suivi du budget.
La tradition distingue trois grands cycles dans la vie des organisations et donc en
particulier dans celle des entreprises qui sont :
Ces trois grands cycles ne présentent évidemment pas entre eux de cloisons
étanches, et cela pour deux raisons : d'une part la stratégie doit déterminer la
tactique qui elle-même doit orienter les opérations quotidiennes, d'autre part les
incidents du quotidien peuvent conduire à remettre en cause la tactique, voire la
stratégie ; la difficulté à atteindre les objectifs à un an peut conduire à redéfinir la
stratégie. Il n'en reste pas moins que cette distinction entre trois types de cycles est
utile. Elle permet de distinguer des tâches spécifiques, des responsabilités
distinctes, et donc trois niveaux dans la hiérarchie, même si les limites entre ces
trois niveaux ne sont pas toujours simples à définir :
II.1.3- Les budgets doivent accorder les personnes, les projets, les
stratégies
Au sein des les organisations, il est important d’intégrer les éléments suivants :
Il est extrêmement important que les budgets engagent les personnes, qu'ils ne
soient pas vus comme un simple exercice de prévision réalisé pour être agréable à
la direction générale, au contrôleur de gestion, aux comptables. Un des principaux
soucis de la direction en matière budgétaire doit être de s'assurer que les budgets
engagent et mobilisent. Il est nécessaire de souligner que la gestion budgétaire
risque fort d'être inefficace si le personnel n'est pas mobilisé pour respecter les
budgets. A cet effet, Les budgets mobilisent si les procédures de leur élaboration,
du suivi de leur réalisation sont organisées pour que :
En d'autres termes, le budget mobilise s'il est admis, compris, et s'il sert de référence
permanente à la décision et à l'action. Il est alors l'outil même d'orientation des
Hypothèses
Economiques
Contrôle
de Gestion
Résultats fin juin Consolidation Navettes Budget
Actualisation plan des Pré-Budgets budgétaires Définitif
opérationnel Etudes de
Cohérence
Centre de
Responsabilité Elaboration des Pré-Budgets Modifications des
Projets de Budget
Le budget du chiffre d’affaires est celui qui porte l’ensemble des indicateurs de
l’entreprise.
Le tableau de bord permet d’informer en permanence sur les réalisations par rapport
aux objectifs fixés dans le cadre de la démarche budgétaire, il attire l’attention sur
les points-clés de la gestion et sur leurs dérives éventuelles par rapport aux normes
de fonctionnement prévues. Ainsi, il permet de détecter rapidement tout écart
significatif ou exceptionnel et d’avertir le gestionnaire afin de pouvoir mener les
actions correctives dans le temps, ce qui constitue une aide à la décision. La qualité
de cette fonction de comparaison et de diagnostic dépend évidemment de la
pertinence des indicateurs retenus.
Un tableau de bord est avant tout un outil d’aide à la décision. Pour remplir son
rôle correctement, il doit répondre à certains critères de qualité :
Les indicateurs des tableaux de bord sont souvent représentés soit sous forme de
graphiques ou sous forme de tableau synthétique. Il s’agira donc de choisir les
représentations graphiques les plus adaptées pour visualiser les tendances, écarts et
évolutions. Les critères de sélection porteront sur la facilité d’interprétation et
d’utilisation.
Ratio Combiné brut de réassurance (En % des PA) 81% 84% 70%
Les tableaux de bord peuvent ressortir des écarts entre les réalisations et les
prévisions. A cet effet, le management devra prendre des décisions fortes
permettant de corriger les écarts et atteindre les objectifs. Ces mesures portent soit
sur le chiffre d’affaires, la charge de sinistre et les frais de gestion.
IV.1- Chiffre d’affaires
Si le chiffre d’affaires est en baisse ou inférieur au budget, il faut s’interroger :
- la baisse des émissions est-elle due à des contrats non récurrents de l’exercice
précédent ? à la perte d’un client important ? ou au non-renouvellement de
nombreux petits contrats ?
Une baisse de chiffre d’affaires peut d’ailleurs avoir été souhaitée par l’entreprise
pour redresser des résultats techniques de telle catégorie d’assurance.
Si le chiffre d’affaire augmente plus que ce qui est prévu au budget, il n’y a en
principe qu’à se réjouir. Il est cependant impératif de surveiller de près la sinistralité
car une forte augmentation de production peut être due à un relâchement de la
sélection des risques ou à un tarif insuffisant, ou à l’apport de nouveaux
intermédiaires dont on ne connaît pas encore la qualité des affaires ni la manière
d’opérer.
Les indicateurs concernant les sinistres (ratios S/P et leur évolution par années de
surveillance) sont les plus importants pour les résultats d’une compagnie
d’assurance. Un dérapage du taux de sinistre/primes peut être dû :
a) à la survenance d’un (ou de quelque) sinistre (s) exceptionnel (s) qui seront
largement pris en charge par les réassureurs ;
b) ou à une fréquence anormale de petits sinistres qui doit amener à prendre des
mesures de redressement :
Augmentation de tarif,
Imposition de franchise,
Modification des conditions des contrats,
Sélection de la clientèle,
Surveillance des fraudes éventuelles,
Résiliation d’une partie de portefeuille,
Voir, retrait total ou partiel de la branche considérée.
Avant de prendre des mesures trop drastiques il convient de vérifier si les mauvais
résultats ne proviennent pas d’une année exceptionnellement malchanceuse qui ne
se renouvellera pas, ou d’une exagération dans la constitution des provisions pour
sinistres à payer.
Dans un marché donné, il n’est pas facile d’agir de façon individuelle sur les taux
de commission.
Mais les frais généraux doivent évidemment être la préoccupation constante des
dirigeants d’une entreprise d’assurance et du contrôleur de gestion.
Pour le bon service des clients, les assureurs doivent gérer la mutualité des risques
assurés au coût le plus bas. Mais il faut évidemment un minimum de personnel pour
émettre les contrats et gérer les sinistres. La meilleure façon de réduire le ratio Frais
généraux/Cotisations est d’accroître le chiffre d’affaires à coûts constants… au
risque d’affaiblir la sélection des risques et de détériorer le ratio
Sinistres/cotisations. Il convient en tous cas de veiller à éviter les duplications de
tâches.
V. Cas pratique