marchés hausse de production Innovation activités annexes hausse des emplois hausse de production
Innovation de procédés productivité des facteurs gains de
productivité cout de production hausse de compétitivité hausse de production
Illustration
Montrez que les facteurs de production travail et capital sont sources
de croissance économique.
D : facteur travail (L): personne active occupé
Facteur capital (k) : fixe (investissement) A : Robert SOLOW M: Hausse de L hausse de PAO hausse des revenus pouvoir d’achat consommation demande globale production Hausse de K hausse de l’investissement hausse de la productivité baisse du coût de production À partir d’illustration montrez que les institutions favorisent la croissance économique.
D : institution : normes, règles
A : Douglas North M:
Montrez que le progrès technique peut conduire à des inégalités de
revenu.
Limites destruction créatrice,
divergences des compétences, Revenus du K plus élevés que L, inégalités entre les entreprises comme les GAFAM google amazon fb apple microsoft
Auteur : Schumpeter
Montrez que les limites écologiques de la croissance empêche sa
soutenabilité.
D A M I
Démontrez que la croissance suit un processus auto entretenu.
Montrez que les innovations favorisent la soutenabilité de la croissance
L’augmentation de la production de B et S réalisée par les entreprises
s’accompagne inévitablement d’externalité négatives tels que la pollution, déforestation… En raison de cette situation la question de la soutenabilité s’impose dans les débats car il s’agit d’envisager des modèles de production durable c’est-à-dire concilier croissance économique et préservation de l’environnement. Deux approches se distinguent, les partisans de la soutenabilité forte et faible. Pour les derniers, les capitaux nécessaires au bien- être sont parfaitement subsituable (capital naturel, capital humain, physique et institutionnel) Dans une telle vision, le progrès technique qui découle du capital humain est perçu comme une solution aux problèmes environnementaux. Premièrement, le progrès technique facilite une utilisation économe et rationnelle des ressources naturelles tout en préservant le bien- être des populations. De plus, du fait des innovations les entreprises sont en mesure d’envisager des solutions alternatives à l’utilisation des ressources naturelles. On peut citer par exemple la fabrication des véhicules électriques. CHAP 2 ECO
Présentez 2 atouts et limites du libre échange
Dès le 18eme siècle, Adam Smith considérait que les échanges
internationaux sans barrières financières et non financières participaient à l’accroissement des richesses des nations. 1ère argument : du côté des producteurs, le libre échange en augmentant la taille des marchés permet aux entreprises de réaliser une économie d’échelle (hausse de la production et baisse des coûts de production) De plus du fait de l’intensité de la concurrence due au libre échange, les entreprises sont incitées à innover tout en proposant des prix attractifs des consommateurs. Cependant le libre échange est loin de satisfaire l’ensemble des nations pour au moins 2 raisons : - Les échanges entre pays du Nord et pays du Sud souffrent d’inégalités car du fait de leur spécialisation, les pays du Sud observent une déterioration des termes de l’échange, c’est-à- dire que la valeur des biens exportés restent sensiblement inferieur à la valeur des biens qu’ils importent - Pour l’économiste Sapir le libre échange se déroule dans un contexte de concurrence déloyale en raison des pays à bas coûts.
À partir d’illustration présentez l’internationalisation des chaînes de
valeurs
Dans le cadre de la mondialisation de la production, les firmes multi
nationales se sont imposées comme des acteurs majeurs. En effet, pour réaliser une production donnée, elles répartissent l’ensemble des étapes de conception, de production et d’acheminement sur différents territoires. On parle alors d’internationalisation des chaînes de valeurs. Ex Les FMN ont recours aux techniques de délocalisation et d’externalisation. Ce processus obéit à une logique de compétitivité prix et hors prix. Dans le cas du groupe Airbus, la fragmentation de sa production permet d’organiser ses stratégies sur plusieurs pays afin d’exploiter au maximum les opportunités
Présentez 2 stratégies qui détermine les choix de localisation des
firmes multi-national CHAP 3 ECO
Vous montrerez que les asymétries d’information peuvent être à
l’origine d’un chômage structurel.
Distinguez chômage structurel et conjoncturel
Le chômage au sens du BIT concerne toute personne en âge de
travailler, recherchant activement du travail et disponible pour le faire. L’analyse du chômage diffère selon les écoles de pensées notamment entre les économistes néoclassiques et keynésiennes. Pour les NC, le chômage est considéré comme un phénomène structurel car il résulte d’un disfonctionnement du MDT et/ou de mutation de l’économie. De manière concrète, 3 raisons permettent de justifier un chômage structurel : la rigidité du MDT (présence de fortes contraintes, notammant règlementaire) Un coût du travail élevé (des salaires au dessus du salaire du marché) Une inadéquation entre les compétences disponibles et recherchées.
Du côté de l’école keynésienne, on adopte une analyse centrée sur la
demande car le chômage serait un phénomène conjoncturel, c’est-à- dire qu’il résulte d’une insuffisance de la demande globale. En effet pour Keynes, le niveau d’emploi est déterminé par le niveau de production qui lui-même est déterminé par le niveau de la demande. À titre d’exemple, le chômage dû au covid est une parfaite illustration du chômage keynésien. Distinguez chômage volontaire et involontaire
Selon le BIT, est considéré comme chômeur toute personne en âge
de travailler, qui recherche activement du travail et qui est disponible pour le faire. (Les chômeurs sont considérés comme personnes actives inoccupées. Les inactifs ne sont pas considérés comme chômeurs (étudiants, retraités ; etc)) Selon l’école néo-classique, on parle de chômage volontaire lorsque les offreurs de travail procèdent à un arbitrage entre loisir et travail, c’est-à-dire que ces individus offrent leur travail seulement si l’utilité de consommation de biens et services dû au salaire est supérieur à l’utilité du loisir et inversement. Pour les NC le chômage volontaire désigne le fait qu’un individus exige un niveau de salaire supérieur au salaire d’équilibre. D’après les néoclassiques, le chômage est donc considéré comme volontaire. En revanche, selon l’école keynésienne le chômage est un phénomène considéré comme involontaire. D’après lui, le chômage est un phénomène conjoncturel c’est-à-dire qu’il est lié à la situation de l’économie sur une courte période. Selon ce dernier, le chômage résulte d’une insuffisance de la demande globale car pour Keynes la demande est au cœur de l’analyse économique. La demande globale détermine le niveau de production qui détermine le niveau d’emploi qui détermine le niveau de salaire réel sur le marché. Selon l’école keynésienne, les entreprises procèdent à un une anticipation de la demande. Lorsque cette demande anticipée est forte, les entreprises produisent plus et embauchent plus. Cependant, lorsque la demande anticipée est faible, les entreprises produisent moins et donc embauchent moins. C’est pourquoi on parle d’un chômage involontaire. À partir d’illustration montrez que la politique budgétaire peut être efficace dans la lutte contre le chômage
Présentez 2 politiques de lutte contre le chômage structurel
Selon les néoclassiques, le chômage est un phénomène considéré
comme structurel car il résulte d’un disfonctionnement du MDT et/ou de mutation de l’économie. L’école néoclassique proposent divers politiques pour lutter contre le chômage telle que la réduction du coût du travail ou encore une flexibilité du MDT.
Présentez la théorie du salaire d’efficience
Présentez les déterminants de l’offre du travail selon les
néoclassiques
Présentez les déterminants de la demande de travail dans la théorie
néoclassique et keynésienne
Montrez que les politiques de flexibilité favorisent la réduction du
chômage CHAP 1 SOCIO
Distinguez les différentes approches des classes sociales entre Max
Weber et Karl Marx
POUR KM CLASSE SOCIALE EST LE SEUL ÉLÉMENT QUI DÉFINIT LA
STRATIFICATION SOCIALE POUR MW CLASSE SOCIALE N’EST QU’UN ÉLÉMENT DE LA STRATIFICATION SOCIALE
La définition des classes sociales es varie selon les auteurs.
Une classe sociale est un groupe de grande taille dans lequel les individus ont un niveau et mode de vie similaire tout en partageant une certaine conscience de classe. La dimension économique est déterminante pour la définition d’une classe sociale. Les économistes se questionnent sur l’existence réelle ou non des classes sociales.
Karl Marx à une approche unidimensionnelle des classes sociales
c’est-à-dire que selon lui il faut partir de la base économique pour comprendre l’évolution d’une société. Selon KM, une classe sociale est déterminé selon la place de l’individu dans le rapport de production, sa conscience ou non de classe et la conflictualité par rapport aux autres classes. D’après Karl Marx, deux classes sociales sont présentent dans la structure sociale : la bourgeoisie qui représente la classe dominante donc les exploiteurs et les prolétaires qui représentent la classe dominée donc les exploités.
Cependant Max Weber à une approche différentes des classes
sociales : une approche pluridimensionnelle. Selon lui la société est structurée selon 3 ordres : l’ordre économique, l’ordre politique et l’ordre social. D’après Max Weber, la place des individus dans une société est déterminée selon leur accès aux biens et services. Les individus appartenant à une situation économique semblable n’entretiennent pas nécessairement de liens entre eux, n’ont pas nécessairement de conscience de classe et ne sont pas nécessairement susceptibles de s’organiser collectivement dans le cadre d’une lutte des classes.
EN SOI classe définie à partir de la place occupée par l’individu
dans le processus de production POUR SOI classe dans laquelle les individus prennent conscience de leur place dans la société et de leurs interets opposés aux autres groupes. Cela engendre une lutte des classes : revendication
Présentez les atouts et limites de la moyennisation
La moyennisation est une notion sociologue mise en avant par le
sociologue Henri Mendras dans les années 80 pour décrire la structure sociale en France.
Présentez les différents facteurs ou critères d’hiérarchisation des
groupes sociaux dans nos sociétés actuelles
PCS Lieu de résidence Niveau de diplôme Genre Âge Revenus
À partir d’illustration, montrez que les capitaux constituent un
élément de stratification sociale SOCIO CHAP 2
Distinguez la massification de la démocratisation scolaire
En gros, démocratisation signifie que l'on fournit à la grande masse ce
qui était réservé à une élite
Présentez 2 indicateurs permettant de mesurer l’évolution de l’accès
à l’école
Comment le milieu social influence-t-il le destin scolaire des
individus ?
Présentez 2 fonctions majeurs de l’école
Apprentissage et intégration sociale et socialisation
CHAP 3 SOCIO
Distinguez mobilité sociale et fluidité sociale
La mobilité sociale désigne le changement de statut pour la position
sociale des individus dans la hiérarchie sociale. C’est le déplacement des individus au sein de l’espace sociale. Cette mobilité peut être ascendante ou descendante. Cependant, la fluidité sociale désigne une société fluide, c’est-à-dire une société dans laquelle l’origine sociale influencerait de moins en moins la position sociale des individus. Diff entre origine sociale et position sociale. Calculé avec les odds ratio rapport de chance relative
Présentez les caractéristiques de la mobilité féminine
C1 : La mobilité observée chez les femmes reste sensiblement
supérieure à celle observée chez les hommes soit 71% en 2015 selon l’INSEE. Ce chiffre signifie que la grande majorité des femmes a occupé une position sociale différente de celle des mères. Par déduction, l’immobilité sociale reste à un niveau relativement faible comparativement à celui des hommes. Présentez deux limites des tables de mobilité sociale
La mobilité sociale représente le changement de statut des individus
dans la hiérarchie sociale ainsi que le déplacement des individus au sein d’une société. Cette mobilité peut être ascendante ou descendante. La mobilité sociale est calculée à partir de tables de mobilités qui est un outil statistique qui se base sur un échantillon représentatif de personnes pour observer les tendances de mobilité dans une société. Chaque personne y est caractérisée par sa PCS. La table permet de voir la proportion d’individus qui appartiennent à la même catégorie que leur parents (généralement en fonction de la profession du père) et la proportion de ceux qui ont au contraire ont connu une forme de mobilité. Il existe les tables de destinés : qui mesurent ce que deviennent les fils d’ouvriers, de cadres…etc. Les tables de destinés répondent à la question « que sont devenus les fils de… ? » Ainsi que les tables de recrutement qui mesurent l’origine sociale des cadres, des ouvriers, etc. Les tables de recrutement répondent à la question « quelle est l’origine sociale des personnes exerçant tel ou tel profession ? »
Cependant, ces tables de mobilité sociales présentent certaines
limites. Premièrement, elles ne prennent pas en compte le fait que certains individus ne gardent pas la même profession durant toute leur vie active. On peut changer de métier ou même de secteur, et ce plusieurs fois au cours d’une vie professionnelle. Deuxièmement, les PCS sont des catégories larges et qui ne présentent pas une homogénéité parfaite. Finalement, les tables de mobilité sont traditionnellement basées sur la PCS du père, car à l’époque, une part importante des femmes n’exerçaient pas de profession rémunérée. Les données qui en résultent sont donc partielles et déformées par leur absence.