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1) L’introduction
Introduction a ce chapitre
1) l’argument de l’indifférence
a) Définition de l’indifférence
c) exemples :
d)
Le problème de cet argument est qu’il est vrai en théorie mais pas
dans les faits puisque en réalioté l’indifférence pure n’existe
jamais totalement, on est toujours dans une situation où des causes
petites, inconscientes, nous influence toujours un petit peu dans
nos coix de telle sorte qu’on n’est jamais réellement indifférent.
a) le repère : nécessaire-contingent
Est nécessaire tout ce qui ne peut pas être autrement parce que le
contraire est impossible, par exemple une loi physique est
nécessaire. Si la cause a lieu, l’effet est nécessaire (si on lache un
stylo (cause) il ne peut pas ne pas tomber (nécessaire)).
Est contingent ce qui peut être autrement parce que le contraire est
toujours possible.
Certes, le déterminisme a raison d’affirmer que l’Homme comme
tout dans la nature est déterminé. Mais il a tord d’en conclure que
l’Homme n’est pas libre parce que si l’Homme est déterminé ce
n’est que de façon contingente mais pas de façon nécessaire. En
effet, si nous sommes déterminés à choisir une chose plutôt
qu’une autre nous avons tjrs la capacité de nous opposer aux
causes qui nous déterminent et choisir finalement le contraire par
exemple l’Homme qui tue l’amant de sa femme est sans doute
déterminé mais si aux yeux de la loi il est jugé coupable, c’est
parce que on considère qu’il a encore son libre arbitre qui le rend
capable de changer d’avis, de s’opposer aux causes qui le
détermine et finalement choisir le contraire.
Le fait même que nous puissions choisir le contraire de ce a quoi
nous sommes déterminés prouve le libre arbitre.
c) le problème de l’argument
Dans ce texte, Kant montre qu’il n’y a qu’une seule chose qui
nous rappelle de façon certaine que nous sommes libres
intérieurement, c’est notre conscience morale lorsqu’elle nous
rappelle face à un dilemme quel est notre devoir. En effet, même si
je suis déterminé à faire une chose (ex= fuir la mort) si le devoir
m’ordonne une action qui implique le contraire (ex= refuser de
porter un faux témoignage), c’est que j’ai bien le choix. Ce que le
devoir m’ordonne de faire, il est toujours possible de le choisir
même si je suis déterminé à faire l’inverse, sinon je n’aurais pas le
devoir de le faire. Bref, en révélant quel est mon devoir, la
conscience morale me révèle en même temps que je suis libre et
responsable de faire ou pas mon devoir.
Conclusion du I
a) l’impératif hypothétique
b) L’impératif catégorique
(pr le contrôle :
La conscience de sa liberté est-elle illusoire ? = Est ce que quand
on a l’impression d’être libre, on l’est réellement? )
b) L’impératif catégorique
Contrainte ≠ obligation
Être contraint c’est être forcé à faire une chose parce que le
contraire est :
- Soit impossible (= contrainte naturelle)
- Soit absurde (= impératif hypothétique)
Être obligé c’est se forcer à faire une chose librement par choix
parce que on estime qu’elle est moralement bonne en vertu de
valeur qui sont les nôtres. Bref, l’obligation c’est se contraindre
soi-même, c’est être autonome.
B) Justification
La vie en société va :
- Développer des passions sociales comme l’amour propre, la
jalousie, la soif de pouvoir, de richesse, de domination. Ces
passions sociales finissent par étouffer ce sentiment de pitié.
- La vie en Société va également développer de nouvelles valeurs
qui peuvent être contradictoires avec le sentiment de pitié et
pousser l’individu à faire le mal en croyant faire le bien sans
aucune pitié. Et c’est ainsi que l’homme est perverti et deviens
capable du pire : « Tout est bon sortant des mains de la nature, tout
dégénère entre les mains de l’Homme »
L’histoire de Gygès nous rappelle que les hommes n’ont pas peur
de la justice des hommes car il suffit d’être invisible pour cesser
de faire son devoir alors pour discipliner les Hommes, la société a
recours à la religion, à des récits qui jouent sur la peur d’une
punition divine ou l’espoir d’une récompense pour que chacun
fasse son devoir.
b) La critique de Spinoza
Dans ce livre Kant cherche à montrer que la vrai religion n’est pas
irrationnelle, immorale et superstitieuse. Tel est le cas si le croyant
obéit à des cultes de façon mécanique, à la lettre, sans réfléchir,
pour plaire à dieu, et en attribuant à des cultes des pouvoirs
magiques. En revanche, le croyant qui réfléchi sur le sens moral
d’un culte et trouve une idée, une valeur véhiculée par ce culte qui
le reconnaît comme juste / bonne avec sa raison, celui là voit la
religion comme un encouragement à faire son devoir moral qu’il
reconnaît à travers des cultes. Il obéit donc au culte non pas à la
lettre / mécaniquement, mais dans l’esprit. Et finalement, ce n’est
pas au culte en lui même qu’il obéit, mais à l’idée morale qu’il
véhicule et qu’il accepte avec sa raison. Bref, c’est à sa raison
qu’il obéit, c’est-à-dire à lui même et c’est pourquoi il est libre.
CONCLUSION DU II
A. La morale conséquentialiste
C’est une théorie morale selon laquelle les valeurs doivent être
justifiées par la raison en procédant à un simple calcul du rapport
des avantages et des inconvénients de chaque choix. Autrement
dit, si on veut éviter que se mêle des croyances issues de nos
préjugés, de notre éducation pour parvenir à un jugement moral
totalement objectif et autonome, on doit se livrer à un calcul
abstrait et sans aucun principe.
Cette morale conséquentialiste aura des conséquences sur le plan
politique avec la philosophie libérale qui affirme que l’État doit
rester neutre dans ses décisions en n’imposant aucune conception
du bien dans la société mais il doit se limiter à poursuivre l’intérêt
général, à calculer ce qui est le plus profitable à une majorité
d’individus
B. La morale déontologique
1) Définition
Introduction :
D’où 3 conséquences :
- Premièrement, on ne peut pas revenir en arrière pour corriger des
choix, modifier son avenir, autrement dit, à cause du temps il n’y a
pas de brouillon à sa vie, c’est ce qui expliquer les regrets les
remords mais aussi l’angoisse.
- Deuxièmement, on ne peut pas revivre non plus des moments
heureux et y penser nous donne ce sentiment ambiguë de bonheur
et de tristesse qu’est la nostalgie
- Troisièmement, le temps nous est compté et on sait qu’on ne peut
pas le perdre sinon notre vie est gâchée. Bien vivre et bien mourri
c’est la même chose, c’est avoir le sentiment quand la mort arrive
qu’on n’a pas perdu son temps, qu’on na pas gâché sa vie, qu’on
l’a bien vécue.
Conclusion du I.)
2) Critique de l’idéalisme
c)
Que tout cela prouve que l’esprit est distinct du corps, de la
matière et donc du temps. On pourrait alors croire à l’immortalité
de l’âme et à son éternité si on le mérite après la mort
b. Définition du divertissement
c) Exemple
3) Le problème du divertissement
Bilan du B
Pour être serein au présent il faut ensuite vis à vis de l’avenir faire
preuve de prudence. La prudence est cette vertu qui consiste avec
sa raison à calculer le rapport entre les plaisirs et les souffrances
que procure à long terme la satisfaction d’un désir. C’est grâce à
elle qu’on évite les erreurs, qu’on peut être sans regrets et faire les
bons choix. C’est pourquoi en faisant preuve de prudence, on peut
être libéré de toute angoisse vis à vis de l’avenir pour vivre
pleinement le présent. Ainsi, il ne s’agit pas d’être comme la
cigale qui croit vivre l’instant sans jamais penser à l’avenir mais
qui le regrettera demain, mais il ne s’agit pas non plus d’être
comme la fourmi qui s’empêche de vivre au présent en ne se
préoccupant que de l’avenir. Donc, être heureux et vivre au
présent signifie la mêle chose c’est-à-dire coïncider parfaitement
avec ce que l’on est en train de vivre, s’accorder avec ce que l’on
fait, libéré de tout regret du passé, de toute nostalgie, et sans
crainte ni espoir vis à vis de l’avenir. Bref, comme le disaent les
stoïciens, il faut cesser d’espérer pour vouloir davantage c’est-à-
dire désirer ce que l’on fait au présent pour être en accord avec soi
même et faire ce que l’on désire.
CONCLUSION DU CHAPITRE 3
Introduction :