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1. Identifier les différentes étapes de la greffe, pour chacunes relever les principales
caractéristiques
- Troubles anxiodepressifs : un des troubles les plus fréquent, vont être majorés en
fonction du temps d’attente et des complications périopératoires
- Troubles sexuels : 36% des patients à 3 mois de l’opération
- Problèmes de non-compliance : traitements immunosuppresseurs, consignes
hygiénodiététiques, 21% de mortalité associés à une mauvaise compliance
- Troubles mentaux organiques ou delirium post-opératoire
- Épisodes psychotiques aigus : entre 2 à 4 semaines après l’intervention.
Persécution, déni d’intervention, paranoïa
- Décompensation d’une affection psychiatrique antérieure : importance de l'anamnèse
préopératoire
-
Causes de la dépréssion (non exhaustif) :
- sentiment de culpabulité
- Faible estime de soi
- Pessimisme quant au rejet du greffon et/ou à l’avenir
- Finir PowerPoint
TD2 :
Réalité Virtuelle
1. Repérer les trois notions centrales du phénomène de la réalité virtuelle et les définir
L’immersion (niveau qualitatif et quantitatif des stimulis employés pour simuler
l’environnement. Elle désigne également les interactions possibles et le niveau de réalisme.
C’est à dire que plus la technologie est poussée, plus l’immersion sera importante) la
présence (perception psychologique d’être dans un environnement virtuel malgré le fait
d’être physiquement ailleurs. Elle est modulée par différents facteurs : la facilité d’interaction,
le contrôle variable de l’utilisateur sur l’environnement, le réalisme, la durée, et enfin les
facteurs sociaux, internes et externes) et le cybermalaise (réactions physiologiques
déplaisantes en lien avec l’utilisation de la VR ex : théorie du conflit sensoriel (les
symptômes résultent de conflits entre les systèmes visuels, vestibulaires, et proprioceptifs
non vestibulaires), les symptômes peuvent être oculaires, nauséeux, de la désorientation,
qui etc…)
2. Comparer la VRET avec les thérapies classiques de chaque trouble
psychopathologiques abordé
Les thérapies cognitivo-comportementales (=TCC) (1ere vague : comportementale, 2e :
cognitive, 3e : émotionnelle —> nous sommes maintenant à la 3e, elle inclut alors les
vagues précédentes également)
Stress post-traumatique : utilisée généralement sur les vétérans, utile pour replacer
l’environnement de guerre
Troubles paniques avec agoraphobie : volet intéroceptif : exposition aux sensations
physiques redoutées, volet agoraphobique : l’exposer progressivement à des endroits de
plus en plus remplis d’humains. Efficacité comparable aux autres thérapies.
TOC : efficacité non démontrée sur le plan scientifique, aucun essai clinique randomisé à ce
sujet
Troubles Anxieux Généralisés : la VR ne remplace pas et n’est pas mieux que le reste, il
s’agit d’un ajout complémentaire aux thérapies classiques pour aider le patient à gérer ses
émotions et à en baisser l’intensité pour le soulager et l’habituer a l’exposition. Pas bcp
d’études scientifiques, difficile de créer un environnement correspondant aux spécificités de
l’individu car la VR est récente
Phobie sociale : VR plus facile d’accès que de trouver un environnement réel adapté au
patient.
3. Quelle est la plus-value de cette technique émergente ? Quelles en sont les limites ?
Points forts : Réduction du coût, facilité d’accès, les patients ont du mal a y aller dans la
réalité, le sentiment de contrôle peut être plus rassurant pour les patients phobiques
notamment, plus facile également pour le psychologue car l’immersion peut être contrôlée
plus facilement aux niveaux de tous les éléments pour rendre l’immersion plus douce
Limites : difficulté de standardiser tous les éléments pour tout comparer de manière égale,
mesures biaisés (biais de désirabilité sociale) car auto évaluées, etc…
Il s’agit d’un sujet méconnu. Cela permet d’explorer le point de vue des professionnels en
psychiatrie sur la parentalité des mères psychotiques. Les qu’âtres sujets abordés auprès de
ces professionnels sont : la perception de la parentalité des mères psychotiques, le lien
mère-enfant et le développement de l’enfant, les accompagnements à la parentalité à
proposer à envisager, les limites observées dans les prises en charge.
Prévalence : nombre de cas d’une maladie dans une population à un moment donné
Manque de recul, dépend de certaines variables (différences entre les pays car peu de
données des pays à revenus faibles etc…), suivre les personnes évalués, dépend de ce que
l’on recherche (si on cherche qqch de précis (dépression, anxiété) on ne pense pas à
évaluer les autres troubles)
Présence de facteurs protecteurs : sport, loisirs, relation familiales positives, drogue, alcool,
tabac, médicaments, tca, soutien social,
Def transidentité : ne pas se sentir en accord avec le sexe biologique et l’identité ressentie
Dysphorie de genre : mal être ressenti suite à cette non congruence entre eux
En quoi consiste la prise en charge des personnes adultes présentant une dysphorie de
genre ? Celle des enfants/ado ?
Adultes : Il effectue une évaluation initiale pour détecter d’éventuels troubles liés, la
souffrance, les commordbidités, la dysphorie de genre, etc… pour savoir si il s’agit vraiment
d’une dysphorie de genre ou si c’est un symptôme d’une pathologie sous-jacente, il faut
absolument poser le diagnostique pour pouvoir accéder aux soins liés car un traitement peut
envenimer ses troubles si ce n’est pas de la dysphorie de genre (trop d’apport d’hormones
par exemple) il joue le rôle de liaison avec tous les intervenants, il déconstruit les attentes
des patients qui pensent que certaines solutions qu’il idéalise effaceront ses problèmes alors
qu’il y a des effets secondaires et des conséquences à connaître, intégrer l’entourage
familial et évaluer le soutien social de la personne. Un suivi psychiatrique est aussi
nécéssaire pour accompagner le patient dans sa transition
Risques importants de pensées suicidaires dans les deux cas, d’autant plus pendant
l’adolescence qui est une période compliquée.