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Introduction générale

La problématique de la déforestation ; ces causes ainsi que les


conséquences sont de phénomène qui selon lesquels nous les
retrouvons sur base des instruments nouveau d’incitation
économique adopté pendant la treizième conférence des paris cop-
13 de la convention

 Cadre des nations unis sur les changements climatique,


tenue à bali en 2007 UNFCC2007.
Ce mécanisme initialement restreint à la seule
d’afforestation, s’est élargie à la REDD +réduction des
émissions liées à la déforestation et à la de gradation des
forets.
Maitriser et comprendre avec la problématique de la
déforestation avec ces causes et ces conséquences est un
signal fort pour relever le défis aux auxquels REDD +devra
répondre. A ce jour, l’architecture définitive de ce
mécanisme est toujours en cours de négociation avec une
conférence à la convention cadre des nations unis sur le
changement climatique CCNUCC pour financer la
réduction des émissions de carbone liées à la déforestation
dans le pays en développement et le pays émergents.
L’initiative REFDD+ vise à lutter contre les émissions du
dioxde de carbone CO2 dans l’atmosphère, gaz déjà due à
la déforestation et la de gradation varie de 12 à 18 de la
quantité émise par ans dans l’atmosphère IPCC 2007,
Freidlingstein 20110
Par définition, la problématique de la déforestation est
définie commeles problèmes qui causent la réduction ou la
régression des surfaces des forets dans une espace,
l’affectation de la terre forestière à une utilisation différente
ou encore la réduction à long terme du taux de couverture
de la canopée en dessous de seuil de 10kanninen et al.
2007
Le rapport sur la problématique de la déforestation dans la forêt de
Mayombé située sur la rive droite de l’embouchure du fleuve
Congo et au sud de l’équateur l’actuelle province de la Mongala
indique qu’elle a lieu dans divers village, localité, territoire et cités
et cela a de causes sous adjacente sont à chaque fois identifiable
et ou souligne que cette dernières causes varient selon la période
et selon la demande des habitants environnant la forêt. Le
développement agricole, les infrastructures des transports et de
routes, l’exploitation forestière, la production du chan bon de bois
et de l’industrie minière sont comme le monde et en particulier
dans le fort équatorial précisément dans la forêt de Mayombé. Ce
pendant le degré de l’impact de chaque facteur varie d’un
continent ou d’un foret à une autre.
Plusieurs causes directes expliqueraient la problématique de la
déforestation avec ces causes et conséquences forestières ;
l’agriculture itinérante sur brulis, la collecte de bois énergie,
l’exploitation minière, l’exploitation forestière, le développement
des infrastructures. Il existe également des causes et des
conséquences sous-jacentes : la croissance démographique, la
production industrielle, les facteurs socio politiques et socio-
économique crédit à la consommation, le produit brut, la
production industrielle, le taux de chômage, l’importationn la
destruction anarchique et abusive des sociétés traditionnelles et la
mutation de pratiques traditionnellesGEIST et lambin 2001
Les causes directes de la problématique de la déforestation sont
celle qui a une action directe sur la superficie forestière de
départ :on peut donc citer le défrichement en vue de l’agriculture
sous toutes ces formes ou le développement de l’infrastructure des
bases comme construction des routes. En Afrique ces causes sont
les même que celles relevés dans le monde avec le développement
l’agriculture comme facteur principal FAO 2009.
L’agriculture itinérante est la principale cause de 60 de la
déforestation totale alors que l’agriculture permanente compte
pour environ 10FAO2002. Les causes indirectes ou sous
adjacentes ; encore appelées causes structurelles, sont celle qui
déclenchent ou qui expliquent les causes directes. C’est entre
autre par exemple les facteurs qui influencent le comportement
des agents de la déforestation, notamment des facteurs
économique, institutionnel, étymologique, démographique,
politique et culturelle. On peut aussi même les associer à des
évènements sociaux déclencheurs, comme le conflit armé ayant
pour origine de la migration des habitants.

LA PROBLEMATIQUE
Les forêts sont des sources des nourritures, de refuge, de
combustible, de vêtement et de médicament pour de nombreuses
population ainsi selon FAO 60 millions de peuple indigents dépend
presque entièrement des forets. De plus, le foret abritent de
nombreuse point chaud de biodiversité et jouent un rôle
prépondérant dans la fixation du CO 2 qui nous émettons
massivement et qui perturbent dangereusement notre climat.
Depuis toujours l’homme vi à cote de le foret en commençant
même de la première créature qui est ADAM et EVE dans le jardin
d’éden. L’importance du foret pour l’homme était problème très
crucial en termes de son rôle mais notre travail a pour objectif de
situer les vrais problème de la déforestation en terme de causes et
conséquences dans la partie sud de l’équateur sur la rive droite de
l’embouchure du fleuve Congo premièrement et avant tout nous
devons retenir que le problème de cette déforestation peut se
définir par ce petit proverbe qui dit « jamais les pigeons peuvent se
diriger vers un grenier vide » ou « il n’y a pas de fumée sans feux »
c’est-à-dire comme le gens vont vers cette forêt, il y a évidemment
un intérêt et comme il y a le déboisement se fait dans cette forêt il
y a également bien évidemment un intérêt un terme de satisfaction
de besoin de population et ces deux proverbes et ces explications
nous amènent à comprendre que la déforestation qui se passe
dans la forêt de Mayombe c’est n’est qu’à cause de la convoitise de
la richesse naturelle qui regorgent cette forêt (bois, pétrole, or,
diamant, cuivre, les animaux, ainsi son importance dans réduction
de la pauvreté. Comme stipule le chef de la localité ou de la cité
KINZAO MVUETE dans le territoire de SEKEBANZA dans son
intervention sur une émission de la radio OKAPI affirmant et
dénonçant qu’il y a une impunité en ceux qui concerne la mise en
application de ladite code forestier par les exploitants tout en
disant que ceux qui sont censé d’être arrêté et juger sont au
service de juge on parle notamment des exploitants forestiers et de
transporteurs de bois qui exploitent de façon anarchique et abusif
la forêt. La population également qui exploite la forêt a aussi sa
part en ceux qui concerne la déforestation de la forêt de
MAYOMBE, ils ont des matériels très adaptées au volume et à l’âge
même de l’arbre pour le couper. Ils possèdent de dépôt de braise à
Matadi et à Kinshasa pour la vente de braise. Les exploitant
forestiers aussi à leurs tours possèdent encore des outils de
déforestation à haut niveau comme les tronçonneuse ainsi que les
tracteur ou Caterpillar qui sont au service de la facilitation en
terme de transport et ramassage de bois après la coupe sans tenir
même compte de l’importance des forêts vis-à-vis de l’homme
depuis même sa création par le Dieu Tout puissant.
Et si nous avions fait le choix de travailler sur ce merveilleux
sujet comme travail de mémoire de fin de cycle nous avions
également et nous ne pouvons pas le cacher sans parti pris
une inquiétude et un regret total de la part de nos autorités
en ce qui est la mise en application de code forestier
congolais qui dit que celui qui déboise, doit reboiser car
l’arbre constitue un élément monteur par son rôle envers
l’humanité tout en trière aujourd’hui cette forêt en entrain
prendre une allure très alarmant pour sa disparition
puisque dans les années 1930 avant l’indépendance cette
forêt avait encore sa valeur en terme de la superficie
(972.000 ha) en terme de sa biodiversité qui avait presque
en grand nombre de ces espèces animales (bonobo, gorille de
montagne, chimpanzés) et végétales tel que (le limba) qui
aujourd’hui sa superficie à diminuer de plus 800 000ha qui
est partie, et ces espèces animales qui a aussi presque fouis,
disparu en termes de nombre et ces espèces végétales qui a
signalé même presque sa disparation et tous ces problèmes
ont pour causes des incendies (causes naturelles) et les
activités humaines. Malgré que la première cause qui ne pas
vraiment souvent répétées par rapport à la seconde qui
souvent non seulement répétées et exécutées mais souvent
fait de façon anarchique et abusivement de façon arrogante
qui ne dit pas son nom alors la question que nous nous
posons est celle de savoir si et seulement l’Etat congolais,
angolais, gabonais et brazzavillois tiennent compte de la
gravité de causes humaines au travers ces activités en cas
de la disparition par les animateurs environnementales
comme par exemple le PNUE, WWE et REDD+ pour ne citer
que ceux-là qui chaque jour interpellent la conscience
autoritaire sur les conséquences alarmante de la
déforestation sur le climat, sur la biodiversité, sur le sol, sur
la politique et voir même sur l’environnement sur le climat
et dans le processus de réduction des différents gaz à effet
de serre (CH4,CO2) qui procède à récupérer ces gaz au
travers l’atmosphère et le transformer en 0.
On peut donc dire tout simple plus d’arbre, moins de
réchauffement climatique et ainsi que son contraire.

Et parmi toutes ces raisons qu’avons-nous avancées qui


démontrent réellement la déforestation et son avancement dans
cette forêt de Mayombe une autre cause que nous crayons c’est
celle de transfert des eaux de l’Ubangi vers le lac Tchad si ce
dernier transfert aura bel et bien lieu comme l’avait souligné
l’actuel président du Tchad IDRICE DEBIT lors d’une déclaration
politique tenu sur la radio France internationale (RFI en sigle) que,
les congolais les veulent ou pas ce transfert d’eau se fera quel que
soit les revendication congolaises.

Au cas où ce transfert aura lieu d’âpres les analyses


scientifique, on risquera de perdre très rapidement cette forêt de
Mayombe car si cette forêt existe c’est parce qu’il y a la présence
d’une grande rivière qui la donne la force de survivre, un arbre
ayant un diamètre de 5m² de hauteur a aussi la capacité de
consommer une grande quantité d’eau de litre par jours et il y
aura aussi et d’abord moins de précipitation ce qui fera que la
pluie ne puisse pas vraiment pleuvoir comme il se doit d’habitude
et cette forêt disparaitra comme avait stipulé l’un de cadre d’une
ONGD CHRONIQUE VISION et on risquera d’avoir la présence de
sahel dans cette partie du pays qui est le nôtre alors qu’on avait
une merveilleuse richesse forestière qui pourrait stimuler et
booster le développement du pays et eraduquer aussi la pauvreté
au pays pour quoi pas mais surtout de la jeunesse de ce coins du
pays.

Voilà pourquoi et raison pour laquelle nous interpellons la


conscience des autorités de notre pays, en matières de gestion
forestière de protéger et préserver la forêt ainsi que ces ressources
naturelles.
 Quelle est la politique congolaise (code forestier) en matière
de gestion forestière, plus précisément celle de reboisement ?
 Pourquoi ce reboisement ne s’applique pas ?
 Quels sont les auteurs de l’application de ce reboisement ?
III. LES QUESTION DE RECHERCHES

III.1. Comment évolue la superficie de la déforestation dans la forêt


de MAYOMBE ?

III.2. A quoi est due cette déforestation ?

III.3. Comment évolue la démographie des territoires de a foret de


MAYOMBE ?

III.4. Quelle est la politique congolaise en matière de gestion


forestière ?

IV. Hypothèse générale

La déforestation dans la forêt équatoriale plus précisément celle de


mayombe est due à l’inaction rationnelle de l’autorité locale.

V. Objectif général

V.1. déterminer l’évolution de la superficie de la déforestation dans


la forêt de Mayombe en 3 dernières décennies

V.2. Déterminer les causes de la déforestation dans la forêt de


Mayombe

V.3. Déterminer l’évolution démographique de 3 dernières


décennies de territoires de la forêt de Mayombe

V.4. Déterminer la politique congolaise en matière de gestion de


forêt

Pour atteindre ces objectifs généraux, il y aura beaucoup des


objectifs spécifiques à atteindre également entre autre :

- Recherche des images satellitaire multi-spectrale


- Déterminer l’occupation de l’espace
- Faire la cartographie de l’espace
- Déterminer les années d’implantation des entreprises
d’exploitation forestière et de transport de bois en nombre
depuis 1987 jusqu’à nos jours (2018).
CHAPITRE I : GÉNÉRALITÉS ET PRÉSENTATION DU MILIEU
DES FORÊTS DE MAYOMBE

I.1. Généralités sur les forêts tropicales

Après celle de l’Amazonie, les plus grandes forêts tropicales


constituent la 2ème forêt plus grand massif des forêts tropicales
danses et humides du monde. Elles s’étendent des côtés du golf de
Guinée à l’Ouest, aux montagnes du rift albentin à l’est, et covrent
près de 7 degrés de latitude de party et d’autre de l’équateur. En
majeur parties, elles appartiennent à l’ensemble des forêts guinéo-
congolaises dont elles constituent plus de 80% de la superficie
totale. Dans l’ouest du Cameroun et dans l’est de la république
démocratique et dans l’est de la république démocratique du
Congo elles englobent des forêts aussi afro montagnardes. Ce
travail est centré et basé sur les forêts équatoriales plus précisent
dans la forêt de Mayombe. Sa superficie varie entre 70 à 80.000
hectares mais les estimations varies considérablement. Certains
chiffres avancés sont les moins étonnants, mais varient en
fonction de ce qu’on considère comme étant la forêt.

D’après FAO (2005), qui adapte une définition plus large, elle était
de 800. 000 hectares en 1951. D’après les contes MODIS et GLC,
cette superficie était de 900. 000 en 1930 et de 100 à 240.000
hectares en 1981. (Page 77)

Régliez et altitude

Contrairement aux forêts tropicales du sud-est de l’Asie ou de


l’Afrique de l’Ouest et comme celles d’Amazonie, les forêts
amazoniennes sont en grande partie située juste au-dessus du
niveau de la mer 80% des forêts d’Afrique centrales s’étalent entre
300 et 1.000 d’altitude (figure 1.2), les forêts de bassin
sédimentaires côtiers, situées en dessous de 300 m surtout au
Cameroun et au Gabon ne couvrent que 7% du massif (page 82).

Les forêts submontagneuses, situées entre 1.000 et 1.600m ne


couvrent que 2,8% de la superficie et des forêts montagnardes au-
dessus de 1600m, couvrent 0,8%(p 82). Ces dernières surtout sont
réparties sur deux bloquent plus au moins morcelés, séparés de
plus de 2000 km.

Les forêts primaires et similaires d’Amérique du sud forment une


bande quasi interrompue tout au long de la chaine des Andes. Des
forêts montrant des nettes influences submontagnardes
s’accrochent au relief de moyenne altitude(650-1200 m) qui
s’étendent parallèlement à côté du golfe de guinée à 100-200km à
l’intérieur du continent et qui captent les nuages de l’atlantique,
surtout en saison sèche.

Dans l’optique des variations continuelles qui ont affectées et


affecteront encore dans l’Afrique centrale, cette configuration du
massif spatiale forestier a joué un rôle important dans l’évolution
de sa flore et sa faune.

Climat les précipitations sont les principales facteurs déterminants


pour la végétation en milieu tropical. Elles varient dans l’ensemble
entre 1600 et 2000 mm par an en moyenne, la zone côtière allant
à la Libreville, au Gabon, au pied du mont Cameroun avec des
précipitations de l’ordre de 300 à 1100 mm par an en moyenne
(figure 1.3.) au-dessus de 650 m d’altitude de nettes affinités
montagnardes du mont Cameroun et du haut relief du Cameroun
occidental plus à l’est la majeure partie de terre ferme de la cuvette
congolaise est constituées d’une mosaïque de formations
sempervirentes moins riches en espèces.

Parmi ces formations figurent des forêts monodominances dont les


plus connues et les plus étendues sont les forêts Gilbert Tiodedran
de wevrei au centre de la cuvette congolaise s’étendent
220.000km² des forêts marécageuses ou inondables avec diversité
mais au taux d’intimisme botanique assez important. Dans l’est du
Gabon et dans le nord du Congo, s’étendent aussi des vastes forêts
clairsementées à marantacées. A l’est de la cuvette congoalise »,
lme reklief d’élève vers le montagne du Rift d’albertin avec des
forêts sub montagnardes entre 1600 et 3000-3.400 m les francs
constituées des forêts semi-decidues qui finalement laissent place
à une mosaique de savaners et des galleries forestières moins
riches sur le plan botanique mais supopretnt d’important
population de grand mammifères.

La distributuion saisonnière de précipitations est bimodale dans


les zones proches de l’équateur ùmais devient unidale plus au
nord et au sud. Parallèlement, la durée de la saison sèche
augmene avec latitude. Elle est de 1 à 2 sur les lisières nord et
sud du massif forestier (figure 1.4) sur la guinée-équatoriale, la
majeure partie du gabon, le sud-ouest du caleroun et le sud-ouest
du congo.

Faune et flore

Le long de la côte atlantique existe une bande irrégulière dfe de


foret sempervirentes avec des noyeau des forêts hyperhumides
soumis à plus de 3000-3500mm de précipitations dans le nord
ouets du gabon et dans l’ouest du Cameroun. A 100 ou 200 km de
la côte ; sur les chines montagneuses, s’étend (mon Alen, Monts de
cristal, Monts Doudou), une bande également irrégulière des forêts
très riches à césalpinies montrant l’étendue et la continuité des
forêts de l’Afrique centrale sont historiquement exceptionnelles.
Durant les deux dernières millions d’années, ces forêts ont fait en
effet été périodiquement réduites et fragmentées par des radiations
cycliques de paramètres orbitaux de la terre.

Depuis 800.000ans, les cycles sont d’une durée d’environs


100.000 ans et comprennent trois choses des durées inégales
pendant environs 80.000 ans, le climat est variable mais en
moyenne un peu plus sec et plus frais qu’il est actuellement,
durant les 10.000 ans restant, il est plus chaud et humides.

Pendant la période drernière glacière, dont le pic survint il y a


environ 15.000 ans à 18.000 ans, les précipitations sur l’Afrique
équatoriale était fortement réduites, l’océan atlantique avait baissé
120m, le plateau continental était largement exandré et la majeur
partie des forêts actuelles étaient alors tran,sformées à un paysage
de savane et galleries forestières.

Les massifs des forest danses étaient alors limitées à des refiges
situées principalelment le long de la basse montagne proches de a
côte atlantique sur le bord orientale de a cuvette congoalise et sur
le haute montagne de l’est, mais la superficie susbtancielle
probalelement très morcelées n devrait aussi subster au centre de
la cuvetytte congoalise. Aujourdh’ui encore à ces zones de refuges
abrittent une diversité plus grandes et plus d’espèces endémiques
que les autres parties du masssif forestiers.
Les fluctuations climatuiques ne ssont toutes fois poas limitées à
des grands cylces de glaciation. Des variations plus liocalisées. Ce
type ELNINO LA NINA, apparaissent en fonction de la répartition
des températures des surfaces des eaux océaniques. La recession
naturelle lma plus recente de formations fiorestiers ne date qu’ci
2000 à 2500 ans.

A cette époque, les forêts ont subit une profonde fragmentation par
une progresssion de milieu herbeux et actuellement encvore elles
sont en voie de néconquete des superfecies perdues. Une grande
partie des forêts du Gabon est ainsi, constitué ds forêts pionnières
à Okoumé. Aucoumea kilainean à divers stades d’évolution.

L’okoumé est un arbre très important pur la production de bois au


ghabon, en effet est principe essences qui colonisent les savabnes
mais ils énérent très difficilement dans les forest des natures.

Cette deforestation dans la foret équatoriale est une succesion


continuelle de trangression et regression du massif forrestier,
combiné avecf de changement climatique engendré par l’hommme,
fait que l’ilmage globale de la forêt du bassin du congo est très
complexe. Les implications au niveau de la gestion des forêts et de
la ciosnervation de lqa biodiversité sont malheureusement encore
mal comprises.

La flore et la faune sdiont trè_s inégaklement reparties sur


l’ensembkle massif forestier. La richesse spécifique sont tçut la
composition des associations et communuatés varies ainsi
environnement d’une région à une autre.
Sur e pklna de la faune, ces forêts abritent de formes forestiers de
l’éléphant d’Afrique et du buffle ainis que comme l’Okapi, le Bongo
(Figure 1.6), le bonobos et le gorilles. Les anomaluridae, beaucoup
de cercopithecidae sont limités à ces forêts.

Services écologiques

Indépendamment de leurs richesses en espèces et de taux


d’endémisme, les forêts du bassin du Congo représentent l’une de
dernières régions au monde qui possèdent des vastes étendues
interconnectées des forêts humides tropicales où les processus
biologiques peyuvent encore se dérouler sans perturbation. C’est
par exemple de rares endroits au monde où un animal de la
taillme de l’éléphant des forêts peutr encore librement agir sur son
écosystème, tel un « ingénieur » qui transforme le paysage,
influence la distribution des espèces et dmaintient le
fonctionnement des systèmes écologiques naturels. D’autres par,
rien que par sa taille, la forêt du bassin du Congo constitue une
reserve de carbone mondioale pour la régulation du système
principal de gaz à effet de serre, le dioxyde de carbone (CO2).

Enfin, cette forêt a aussi un rôle régulateur du climat régional et


local. Elle assure notammebnt le recyclage de l’eau, en plus de
50% de précipitation qui s’abbatent sur la cuvette centrale
congoaluise previennent de l’évoporation et de l’évapotranspiration
locales.

Cause directes de la déforestation


En pratique, la pertye de »s ressources et de a biodiversité dans la
forêty d’Afriqaue centrale reposent sur 3 propcessus qui ne sont
pas nécessairement lmiés mais les effets cumulent souvent.

1. La déforestation : la réduction de la superfecie forestière peut


elle entrainer la disparution de certaines espèces en vertu de
la loi bilogique qui dit que, le membre total d’espèce d’un
ecosystème ou d’une région est proportionnel à la superficie
de cet écosystème ou de cette région.
2. La fragmebntation de la forêt tropicale peut aussi occasioner
le spertes d’espèces du fait qyue les populations sont
scandéesen sous-populatins non variables. De plus, elle
accentue les effets de lisière et augmente la vulnérabilité des
forêts
3. La dégradation des formations restantes. L’impact de a
réduction de superficie et de la fragmentation est toute fopis
variables et difficlement prévisible. Ex ; Afriqaue orientale
(Rwanda, Ouganda).

Le chagement climatique

Bien que nos connaissances au sujet des effets des


changements cklimatiques dans la forêt tropicale soent très
limitées, diverses étuides suggèrent qu’à long terme ils
pourraient être sévères. Beaucoup d’espèces endémiques très
localisées pourraient succompber à des changements même
legers. Les espèces montagnards verront leyurs habitas se
restreindre et peut être même disparaitre. Une augmentation
des variations saisonnières et interannuelles anis l’occurance
peut affceter les formationsq forestières, surtiout kles
formations fragmentées et augmenter des pressions sur les
communautés humaines qui dépendent étroitement des leurs
ressources.

Présentation du milieu

Les Bayombes (peuple de 2 Congo et d’Angola)

Il est important d’aborder la question de l’appartenance des


Bayombes et leurs modes de vie ainsi que milieu de vie.

Le Mayombe ou Mayumbe est une région géographique de la côte


occidentale de l’Afrique, occupées par des basses montagnes
s’étendant de l’embouchure du fleuve Congo au sud, jusqu’à la
rivière de Kouilu-Niani au nord. Son territoire s’étend sur celui de
la République Démocratique du Congo, de l’Angola (enclave de
Kabinda), de la République du Congo et du Gabon.

Mayombe désigne plus spécifiquement en République


Démocratique du Congo la partie nord- occidentale de la province
du Kongo central sise en rive droite du fleuve.

Ces principes villes et localités : LUKULA, TCHELA, SEKEBANZA


et KANGU.

Les Bayombes occupent un territoire plus vaste. En effet, « suite


au découpage géographique du continent Africain qui résulte la
conférence de Berlin de 1885, le Bayombe se trouve aujourd’hui en
Angola, en République Démocratique du Congo » «
administrativement, le Mayombe constitue la moitié occidentale de
cette partie du Congo Kinshasa qui s’étend à l’ouest de la
République sur la rive droite du fleuve Congo et le Cabinda, à
l’ouest les savanes des Manyanga à la rivière Tombe ( Subi),
affichent du Congo, au sud, le luangu, au nord. A l’époque qui a
suivi le début d la colonisation, la région était divisée. Un 4
(quatre).

Territoires : TSHELA, KANGU, LUKULA et SEKEBANZA

Le plan géographique, le Mayombe ne constitue qu’une partie de


l’air définie administrativement. Il s’arrête à 20 ou 30 km du fleuve
Congo. A la rivière Tombe vers l’est aux savanes du Kakongo à
l’ouest.
Il déborde largement la frontière du Lwango au nord à la
frontière de Kabinda et congo brazzaville.

L’actuel district du bas-fleuve. Il couvre les territoires de tShela,


Luekla et seke banza ety comprend 162 groupements dont les
responsables sont ausii chefs coutimiers au pouvoir traditionel.
Les Yombe désignent chaque chef de groupement par Pfumu
MAKANDA (chef de groupement famillilale). Le choix de ce
dernier obéit aux critères traditionnels d’appaternances
clanique ou tribae en rapport avec le lieu d’implan,tation du
groupement est fait de son intégration dans la structure
étatique.

Le territoire du Mayombe mesure environ 16.000km² « il est


recouvert sur presque toute son étednue d’une epaisse foret
équatoriale entrécoupé de petites savanes baisées.il est arrosé
d’une, en plus pluie dont la saison dure sept mois du 15 octobre
au 15 mai environ par un réseau très dense des petites et de
moyenne cours d’eayu dont les principaux sont :

Le fleuve shiloango au nord, son affluent la lukuka au sud et la


lubuzi, affluent de la lukula au centre. Il possède toutes les
caractéristiques de la grande forêt équatoriale africiane : sol
fertileet d’une grande humidité constante , s’y lève de haute
futaie, flore et faune abondantes et variées, etc… »

On assiste atuelloement à une disparution des forêts à cause


d’une intense exploitation de bois par des grandes sociétés.
Celles-ci n’ont malheureusement pas mis la politique de
reboisement. La manque d’emploi et l’appauvrissement
croissant de la population favorisent également l’exploitation du
bois de chauffage pouir la fabrication des braises. Par
conséquent, la grabnde forêt Mayombe est entrain de se
transofrmes en brousse iou en savaner herbeuse.

Population1

Parmis les groupes tehbniques qui peuplent cette région, les


Yombe, un sous-ensemble des Kongo, sopnt les plus nombreux.

Yombé sont environ 300.000 en RD. Congo avec comme centres


prioncipaux : tshela, Kango, Lukula et Kisu et plus de
1.000.000 au congo. mayombi signifie la forêt moyoumbe ou
nyoumbi celui qui vit dans la forêt.

Mayoùmbe signifie la bravoure

Nyombe signifie le brave

Langue

Ils peralebnt le yombe (ou kiyombe), une des labngues bantous.


Le nombre total de locuteuirs éteint estimés à plus d’un million
au début des années 2000, dont 699.000 en répubique
dfémiocratique du congo (2000) et 39.400 en angola.

Culture

Lesyombe on produit un grand nombre des sculptures,


notamment des maternités fétiches à clous ou miroir. Ces
fétiches portent souvent des scarifications aux épaules. Leurs
hautes coiffures pointues ou arrondies sont gravées des morifs

1
LUZOLO BAMBI, Histoire et socioculturek des yombe de loa RD. Congo, 2017, p.63
géométriques. Une bouche entrouverte laissant apparaitre des
dentes pointues leur confère parfois une expression menaçante.

Alimentation

L’un de leur plat typique est le Bitoto riche en calories, il associe


plusieurs produit agricoles (Banane, feuilles de manioc, haricots,
ignames), (plat de nsaka madesu)

Hypothèse génale

La déforestation dans la forêt équatoriale plus précisément celle de


Mayombe qui est dû à l’inaction rationnelle de l’autorité locale.

Objectif générale

- Déterminer l’évolution de la déforestation dans la forêt de


Mayombe perdue en 3 décenies (dernières) depuis 1987 ;
- Déterminer les causes de cette déforestation ;
- Déterminer la politique congolaise en matière de gestion des
forêts

Pour atteindre ces ovjectifs généraux, il y a beaucoup des objectifs


spécifiques à atteindrent également :

- Recherche des images satellitaires multispectrale


- Déterminer l’occupation de l’espace
- Faire la cartographie de l’espace
- Déterminer l’année d’implantation

Des entreprises d’exploitation forestière et de transport de bois.

Quelles sont les principales causes de la déforestation et de la


dégradations des forêts équatoriales plus précisent de mayombe ?
L’étude montre que dans le bassin du Congo, la densité de
population, l’agriculture à petite échelle, la récolte du bois de
chauffe et l’accès aux forets sont liées près à la déforestation,
tandis que l’extraction du bois n’a pas l’impact notable sur la
diminution de la surface de la canopée.2

Un rapport de la banque mondiale en 2013 confirme que le bassin


du Congo : A l’inverse de l’entendement populaire, l‘exploitation
forestière n’est pas systématiquement une cause de déforestation
et de la dégradation.

Les services écosystémiques et autres fiormes d’usage de la terre


cohabitent avec les concessions de la forêt. A l’inverse d’autres
régions triopicales, l’exploitation du bois dans le bassin du Congo
n’a même pas à la conversion à d’autres formes d’utilisation des
terres comme l’élevage intensif ou les plantations3.

Trois études convergent sur les facteutrs acteuls et futures de la


déforstation et de la dégradation des forêts ont ménés à un
consencus à national enh 2012. Cve concessus a été aconfirmé
dans la stratégie nationaleREDD+ adopté par le conseil de
ministres, la même année. Kla seule étude quantitative et
spécifique à la RDC réalisée à ce jouirs montre que ,
l’accroissement des activités des subtances (agriculture sur brulis
et récoltye de bopis de chauffe) est la principale cayuse de
déforestation et de la dégradation des forêts de mayombe, qui sont
donc etroitement corrilés avec la repartitutiopn géographique de la
population. Ce phénomène est accentuée sur et pen plueisurs
facteurs sious-jacents, à copmmencer par la préssion
2

3
démographique. La rdc enregstre la troisème plus forte croissance
démographique en terme absolus (la population actuelle est de 802
millions d’habitants et devrauit atteindre 120 millions en 2030 et
près de 200 millions en 2050 près de 3801 millions en 20100).4

4
DEFOURNY, de quoi est dû les principales causes de la déforestation en RDC, 2011, p (1-4).

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