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Ce texte parle d’un voyage d’arbres en arbres. Derrière l’image de l’arbre, il y a un hymne a la
vie et à la liberté en voyage initiatique composé de huit strophes non régulière. Pas le même
nombre de vers libre pour faire le lien avec le sujet et sans ponctuation il y a ouvert 11 et 18 des
espaces blancs. Nous pouvons découper ce texte en trois mouvement
TITRE:
L’évocation des soleil, espace et orage : arbre en extérieur, soumis aux intempéries
B:un voyage
Un. Voyage vertical en profondeur, « plonger au fond » et est en ascension « gravir » un voyage
horizontal avec : « parcourir, embrasser »
Connecteurs temporels : « lentement, peu à peu, puis, », et avec notamment des verbes à
l’infinitif, à valeur injonctive .
C:Une fusion et une renaissance
Elle nous invite à fusionner avec cet arbre, avec des verbes pronominaux : « se lier , se mêler »
pour « renaître de l’argile ». Le but est exprimé par la préposition pour c’est une référence
biblique à la création de l’homme.
Voyage au cœur de l’arbre, permet à l’homme de mieux se connaître « retour aux racines » et
de se libérer, et donc faire face aux épreuves de la vie avec les métaphores : « orage », mais
également de faire face au temps qui passe avec la métaphore: « jour et nuit » et d’avoir des
connaissances « déchiffrer les soleils »
On passe de« l’arbre » à « un arbre ». L’arbre devient donc un signifiant : il perd sa majuscules et
et maintenant précédé de l’article indéfini « un ».
Mais cet article peut être aussi numéral avec le chiffre un et souligne donc la solitude de l’arbre
qui est confirmée par le groupe nominal « un seul ».
Nous pouvons également constater l’isolement grâce aux termes « éloigné » ou encore «
orphelin ». La solitude est également souligné par le blanc typographique au milieu de la ligne
18.
Un arbre qui se meurt, c’est le portrait de l’arbre opposé au portrait précédent avec un champ
lexical qui marque l’absence totale de vitalité.
B: Invitation à l’empatit
On retrouve des verbes à l’infinitif injonctif qui ont une valeur injonctive ils invitent le lecteur à
comprendre et à entrer dans le texte. Ce sont des verbes qui touche au sens « écouter, sentir »,
et tu demandes d’être à l’écoute de la détresse de l’arbre. Champ lexical de la détresse : « soif,
retraite, appel ».
C)Le réveil /la réanimation:
« Sous l’écorce. », cette citation signifie de voir au-delà des apparences de voir en profondeur
L’arbre a une touche indestructible avec le champ lexical de la force « tenace, invincible »
L’arbre, réveil, la vie, « montée de sève», « pression des bourgeons », l’arbre réveille, la vie. En
réveillant, les rêves,
l’utilisation des déterminants possessif « nos » confirme le rapprochement que l’on peut faire
entre l’arbre et l’êtres humains.
A) voyage: