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‫الجـمـهورية الجـزائـريـة الديـمـقـراطـيـة الشـعـبـيـة‬

République Algérienne Démocratique et Populaire


Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche
Scientifique
Université Djilali Liabes de Sidi Bel Abbes
Faculté des sciences de la nature et de la vie
Département des sciences de l'environnement

Module : Organisation, gestion et sécurité au laboratoire


Spécialité : Biotechnologie et santé
Présentées Par :
BENBAKHTI Intissar Baya
BELAIDI Sara Fatima Zohra
BELAIMECHE Doha Wissal
Groupe : 01

Laboratoire d’anatomie et de
cytologie pathologique
« Anapath»

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Sommaire :

1-Introduction…………………………………………………………
1-1/Définition……………………………………………………....
1-2/Le déroulement d’analyse ……………………………………...
2-La gestion de déchets………………………………………………..
3-Matériels et contexte réglementaire....................................................
3-1/Les équipements............................................................................
3-2/Contexte réglementaire.................................................................
4-La sécurité dans un laboratoire …………………………………......
5-L’organigramme d’un laboratoire d’ACP ………………………..…
6-Risques chimiques associés aux activités dans les laboratoires ACP
………………….......
7-Conclusion............................................................................................

8-Références bibliographiques...............................................................

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1-Introduction :
Les laboratoires d’ACP reçoivent et analysent des organes ou fragments
d’organes, y compris des os, des prélèvements liquides, des frottis ou encore des
écouvillons, afin d’identifier des lésions pathologiques et d’établir un diagnostic. Les
laboratoires d’ACP jouent donc un rôle important dans le dépistage et le traitement
des maladies: mis à part le diagnostic des leucémies, l’ACP gère la totalité des
diagnostics des tumeurs bénignes et malignes.
L’anatomo-cytopathologie est une spécialité médicale qui possède une identité
particulière au carrefour de la clinique, de l’imagerie et de la biologie. Elle ne peut
être exercée que par des médecins qualifiés en ACP. Les multiples missions
diagnostique, pronostique, prédictive, épidémiologique, de recherche et d’archivage
font du médecin pathologiste un acteur de santé publique unique dans le système de
soins. Son exercice très spécifique n’est comparable à celui d’aucune autre
spécialité. L’acte d’ACP a un impact médico-économique majeur et un Service
Médical Rendu très élevé au regard de son faible coût.
1-1/Définition :
Au laboratoire, les prélèvements tissulaires* fixés, qui ont fait l’objet d’un traitement
conservateur, sont tout d’abord observés à l’œil nu (examen macroscopique). Ils sont
disséqués afin d’identifier les lésions typiques d’une maladie et d’effectuer un
échantillonnage représentatif. Après déshydratation et inclusion en paraffine, les
échantillons obtenus sont découpés en lamelles très fines (coupes), qui sont
colorées de manière à mettre en évidence des structures cellulaires particulières lors
de leur observation microscopique. Les prélèvements cytologiques reçus sous forme
liquide sont observés à l’œil nu avant leur concentration (par filtration ou
cytocentrifugation), leur étalement sur lame, puis leur coloration pour observation au
microscope. Les prélèvements cytologiques reçus sur lame (étalements de
prélèvements, appositions de tissus…) sont, quant à eux, directement colorés pour
observation microscopique. Ces examens « visuels » peuvent être complétés par
des analyses histochimiques*, immuno-histochimiques ou de biologie moléculaire.
De plus, les laboratoires peuvent effectuer des examens extemporanés. Il s’agit
d’examens anatomo-pathologiques* rapides pratiqués à l’état frais sur coupes
pendant une intervention chirurgicale et dont les résultats immédiats permettent
d’orienter les suites de cette intervention.

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1-2/Le déroulement d’analyse :
L'étude et l'analyse des échantillons se déroulent de manière méthodique et précise.
Voici les étapes générales du processus :

1. Préparation des échantillons : Les échantillons de tissus ou de cellules sont


prélevés sur les patients, puis préparés pour l'analyse. Cela peut inclure la fixation, la
coloration et la découpe des échantillons en fines tranches.

2. Observation microscopique : Les échantillons préparés sont ensuite examinés au


microscope par les technologistes médicaux ou les pathologistes. Ils recherchent des
anomalies, des signes de maladies ou d'autres caractéristiques importantes.

3. Analyse et interprétation : Les technologistes médicaux et les pathologistes


analysent les observations microscopiques pour identifier les affections, les maladies
ou les anomalies présentes dans les échantillons. Ils utilisent leurs connaissances et
leur expertise pour interpréter les résultats.

4. Rapport et communication : Une fois l'analyse terminée, les résultats sont


consignés dans un rapport qui est ensuite envoyé au médecin traitant du patient. Le
pathologiste peut également communiquer directement avec le médecin pour
discuter des résultats et fournir des conseils supplémentaires si nécessaire.

 Il est important de noter que chaque laboratoire peut avoir ses propres
méthodes et protocoles spécifiques, mais ces étapes générales sont
couramment utilisées dans les laboratoires d'anatomie et de cytologie
pathologiques.

2-La gestion de déchets :


La gestion des déchets dans un laboratoire d'anatomie et de cytologie est très
importante pour assurer la sécurité et la propreté de l'environnement. Étant donné
que les laboratoires de ce type manipulent des échantillons de tissus et de cellules,
ainsi que des produits chimiques, il est essentiel de prendre des mesures
appropriées pour gérer les déchets de manière sûre et responsable. Cela peut
impliquer la séparation des différents types de déchets, tels que les déchets solides,
les produits chimiques et les matériaux contaminés. Les laboratoires doivent
également utiliser des contenants spécifiques et suivre des protocoles de stockage
appropriés pour minimiser les risques pour la santé et l'environnement. De plus, il est
important de se conformer aux réglementations locales et nationales en matière de
gestion des déchets. En adoptant des pratiques de gestion des déchets appropriées.

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3-Matériels et technique:

L'activité de cytologie et d'anatomie pathologique nécessite un équipement


spécialisé.

Afin de satisfaire aux exigences règlementaires et normatives, le laboratoire a mené


une politique volontariste dans le renouvellement de ses équipements.

Afin de garantir la sécurité de vos prélèvements, tous les équipements critiques sont
qualifiés et font l'objet d'une maintenance préventive

 Définitivement dans tout laboratoire on a besoin d’équipements généraux,


pour le prélèvement d’échantillons, observer l’échantillon, le stocker et le
protéger ; toutefois, les indispensables pour les services d’anatomie
pathologique.

Voici les principaux équipements d'un laboratoire d'anatomie pathologique :

3-1 : Les équipements utilisés :

Histologie :

Table de macroscopie

Permet de prendre en charge les prélèvements en respectant les conditions de


sécurité du personnel.

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Automate de déshydratation

Permet la déshydratation des prélèvements afin de pouvoir inclure les prélèvements


dans la paraffine.

Automate d'inclusion

Permet d’enrober les prélèvements dans la paraffine afin de permettre leur


coupe.

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Microtome

Permet la coupe des prélèvements.

Module de coloration et montage des lames

Assure la coloration des prélèvements en les immergeant dans les bacs de


colorants spécifiques pendant des durées prédéterminées, et dépose un film sur la
lame réalisée afin d’en assurer la protection.

Microscope

Permet l’analyse des lames par le pathologiste.

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Cytologie :

Centrifugeuse

Permet la projection des cellules contenues dans un liquide sur une lame
Permet la réalisation d’un culot (regrouper les cellules au fond d’un tube à partir d’un
liquide).

Automate de technique monocouche

Permet la réalisation d’une lame de cytologie à partir d’un liquide, par aspiration,
puis filtration des cellules et dépôt de celles-ci sur une lame.

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Immunohistochimie et immunofluorescence :

Automate d'immuno-histo-chimie

Permet la réalisation des techniques d'immunohistochimie.

Cryostat

Permet la coupe des fragments congelés. Il s'utilise notamment pour les coupes
des examens extemporanés et des coupes de lames pour l'examen
d'immunofluorescence.

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Microscope pour immunofluorescence

Il s'agit d'un microscope avec lampe ultra-violet qui permet l'analyse des lames
d'immunofluorescence.

Biologie moléculaire :

Automate de recherche d'HPV oncogène

Est un outil utilisé dans le domaine médical pour détecter la présence de certains
types de papillomavirus humains (HPV) à haut risque de provoquer des cancers,
notamment le cancer du col de l'utérus.

3-2 : Contexte réglementaire :

L’activité professionnelle au sein d’un laboratoire d’ACP est encadrée par


différentes réglementations :

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 Le Code du Travail énonce à l’employeur ses obligations envers ses employés. Il
doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé
physique et mentale des travailleurs entre autres par des actions d’information et de
formation. Ces actions répondent à deux principaux objectifs : donner aux salariés
une représentation des risques associés à leur poste de travail et leur donner les
moyens de maîtriser leur environnement en les formants entre autres, à la mise en
œuvre des équipements de protection collective et individuelle.
 Le Code de la Santé Publique et le Code de l’Environnement rappellent la
nécessité de protéger la santé de l’ensemble de la population et de ne pas porter
atteinte à l’environnement.
Le fondement de la gestion du risque chimique repose essentiellement sur deux
textes :
 Le décret 2001-97 du 20 février 2001 établissant les règles particulières de
prévention des risques cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la
reproduction (complétés par des décrets successifs) ;
 Le décret 2003-1254 du 23 décembre 2003 relatif à la prévention du risque
chimique

4-La sécurité dans un laboratoire ACP :

La sécurité est primordiale pour protéger la santé des personnes qui y travaillent
et assurer la qualité des résultats. Voici quelques mesures de sécurité importantes :

1. Équipement de protection individuelle (EPI) : Il est essentiel de porter des


gants, des blouses de laboratoire et des lunettes de protection pour minimiser le
risque de contamination et de blessures.

2. Manipulation sécuritaire des échantillons : Les échantillons de tissus et de


cellules doivent être manipulés avec précaution pour éviter les accidents et les
contaminations croisées. Suivez les protocoles de manipulation appropriés et utilisez
des contenants étanches.

3. Gestion des produits chimiques : Les produits chimiques utilisés dans le


laboratoire doivent être stockés de manière sécuritaire, étiquetés correctement et
manipulés conformément aux fiches de sécurité. Assurez-vous de disposer d'une
ventilation adéquate pour éviter l'inhalation de substances nocives.

4. Élimination des déchets : Suivez les protocoles de gestion des déchets


appropriés pour éliminer les déchets biologiques et chimiques de manière sûre et
respectueuse de l'environnement.

5. Formation et sensibilisation : Assurez-vous que tout le personnel du laboratoire


est formé aux procédures de sécurité et est conscient des risques potentiels.
Encouragez la communication ouverte sur les problèmes de sécurité et les incidents
éventuels.

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6. Maintenance et vérification régulières : Assurez-vous que l'équipement de
laboratoire est régulièrement entretenu et vérifié pour garantir son bon
fonctionnement et éviter les accidents.
 En suivant ces mesures de sécurité, vous contribuez à maintenir un
environnement de travail sûr et à assurer des résultats fiables.

5-L’organigramme d’un laboratoire d’ACP:


1. Directeur du laboratoire d'anatomie :
- Responsable de la gestion globale du laboratoire et de la supervision de toutes
les activités.

2. Anatomopathologiste :
- Médecin spécialisé dans l'interprétation des échantillons de tissus et de cellules
pour le diagnostic des maladies.

3. Techniciens de laboratoire :
- Responsables de la préparation des échantillons, de l'utilisation des équipements
de laboratoire et de la réalisation des tests.

4. Secrétaire médical :
- Gère les rendez-vous, la gestion des dossiers des patients et les tâches
administratives du laboratoire.

5. Assistant de recherche :
- Aide à la collecte de données, à la recherche scientifique et à la documentation
des résultats.

6. Personnel de soutien :
- Responsable de l'entretien du laboratoire, de la gestion des stocks et de
l'approvisionnement en fournitures.

 Cet organigramme peut varier en fonction de la taille et de la structure


spécifique du laboratoire d'anatomie. Il est important d'avoir une équipe
multidisciplinaire pour assurer un fonctionnement efficace et de haute
qualité du laboratoire.

6-Risques chimiques associés aux activités dans les laboratoires ACP :


L’anatomie et la cytologie pathologiques étudient la composition microscopique
des cellules et des organes afin d’aider au diagnostic d’une pathologie.
Les laboratoires d’anatomie et cytologie pathologiques (ACP) reçoivent et
analysent des organes ou fragments d’organes, des prélèvements liquides, des
frottis ou encore des écouvillons, prélevés au cours d’une intervention
chirurgicale (anatomie pathologique) ou sur des échantillons prélevés sur ou à
l’intérieur du corps (cytologie pathologique).
Ces laboratoires jouent donc un rôle important dans le dépistage et
le traitement des maladies dont les diagnostics des tumeurs bénignes et
malignes.

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 La sécurité en laboratoire est primordiale. Il est important de suivre les
protocoles de sécurité établis, de porter les équipements de protection
individuelle appropriés, de recevoir une formation adéquate et de
signaler tout incident ou risque à votre superviseur.
 Il faut faire attention et se protéger le maximum possible.

Il y a de nombreuses étapes entre la réception des échantillons à analyser et le


diagnostic multipliant ainsi les expositions potentielles aux agents chimiques
dangereux manipulés : la préparation du fixateur et le remplissage des récipients
destinés à recevoir les prélèvements, la fixation des prélèvements frais, l’analyse
macroscopique, la décalcification, l’inclusion des échantillons, la coupe des
blocs, la coloration, l’immunomarquage, le montage et la lecture des lames, le
stockage des blocs de paraffine et des lames montées, le stockage des pièces
fixées, l’élimination des pièces fixées, le stockage des produits chimiques…
Des agents chimiques dangereux sont manipulés à chaque étape :
 des fixateurs (exemple : formol neutre, ExCell PlusTM)
 des acides (exemple : acide nitrique, formique)
 des solvants (exemple : formaldéhyde, éthanol, méthanol, xylène)
 des colorants (exemple : bleu de toluidine, HES, MGG)
 des produits d’inclusion (exemple :
paraffine)
 l’azote liquide
-Bien que les manipulations soient de plus
en plus automatisées, la présence
d’agents chimiques dangereux dans un
laboratoire ACP expose potentiellement
les manipulateurs à quatre risques
principaux.

6-1- LE RISQUE DE BRÛLURE CHIMIQUE :


La manipulation d’agents chimiques dangereux peut conduire à la projection de
produits sur la peau, les yeux, les muqueuses ou indirectement sur les
vêtements.
Sans équipement de protection individuelle adapté et selon la dangerosité des
produits manipulés, la brûlure chimique peut avoir des conséquences graves :
corrosion des tissus avec difficultés de cicatrisation, infection suite à la
pénétration de microorganismes dans les tissus sous-jacents du fait de
l’altération de l’épiderme, dommages à la cornée pouvant aller jusqu’à la cécité,
intoxication suite à la pénétration de substances toxiques et/ou de CMR dans
l’organisme via la zone brûlée.

6-2- LE RISQUE D’INTOXICATION :


Le risque d’intoxication provient de l’interaction entre un agent chimique et une
fonction physiologique ou un organe.
Les conséquences d’une intoxication sont variables et peuvent aboutir à de
sérieuses pathologies; l’exemple du formol dont l’exposition peut aboutir à un

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bronchospasme sévère, un œdème aigu du poumon, des ulcérations trachéales
et bronchiques, céphalées, troubles de mémoire voire même un cancer des
fosses nasales.
Le risque d’intoxication est complexe car il fait intervenir de nombreux facteurs :
la nature des activités professionnelles, les propriétés physiques des produits
manipulés (solide, liquide, gazeux), la toxicité des produits (corrosifs, irritants,
CMR…), les comportements d’hygiène au travail, les équipements de protection,
les voies de pénétration dans l’organisme (voie respiratoire, voie cutanée, voie
digestive, voie orale) et la sensibilité individuelle.

6-3- LES RISQUES D’INCENDIE ET D’EXPLOSION :

Compte-tenu des volumes importants de produits combustibles manipulés ou


stockés (solvants, paraffine…) et des nombreuses sources d’inflammation (points
chauds, étincelles, d’électricité statique…), le risque d’incendie est
particulièrement à surveiller.
6-4- LES RISQUES LIÉS À L’UTILISATION D’AZOTE LIQUIDE :
De par ses propriétés physiques, il y a deux risques principaux liés à la
manipulation de l’azote liquide : les brûlures thermiques, l’azote liquide ayant
une température avoisinant -196 °C ; et l’asphyxie car l’évaporation de l’azote
liquide engendre localement une atmosphère à teneur réduite en oxygène.
L’azote liquide est incolore et inodore, c’est un danger non détectable par
l’humain.
7-Conclusion :
Les laboratoires d’anatomie t de cytologie pathologiques joue un role significatif
en termes de préservation de l’environnement, d’identification des espèces,
d’éducation et de recherche médicale Voici quelques exemples :

1. Étude des animaux et de l'environnement : Les laboratoires d'anatomie peuvent


aider à comprendre la structure et la fonction des animaux, ce qui peut être utile pour
la conservation de la faune et la préservation de l'environnement. Par exemple,
l'étude de l'anatomie des espèces menacées peut aider à élaborer des stratégies de
protection.

2. Identification des espèces : Les laboratoires d'anatomie peuvent être utilisés


pour identifier les espèces animales ou végétales. Cela peut être utile pour la
préservation de la biodiversité et pour la lutte contre le commerce illégal d'espèces
protégées.

3. Éducation et sensibilisation : Les laboratoires d'anatomie peuvent jouer un rôle


dans l'éducation environnementale en permettant aux étudiants et au grand public de
mieux comprendre la structure et le fonctionnement des organismes vivants. Cela
peut favoriser une plus grande sensibilisation à l'importance de la préservation de
l'environnement.

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4. Recherche médicale : Les laboratoires d'anatomie peuvent contribuer à la
recherche médicale en étudiant les effets de l'environnement sur la santé humaine.
Par exemple, l'étude de l'impact des polluants sur les tissus et les organes peut aider
à mieux comprendre les maladies environnementales.

« L’art de la médecine consiste


à distraire le malade pendant que
la nature le guérit »

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8-Références bibliographiques :

https://www.kaptitude.com/risques-chimiques-laboratoire-
anatomie-cytologie-pathologiques/

file:///C:/Users/poste/Downloads/ed6185.pdf

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/
S0242649810000556

https://www.afaqap.fr/sites/default/files/
rapport_anatomie_cytologie_pathologiques.pdf

https://www.kalstein.fr/quels-sont-les-equipements-utilises-dans-
un-labtech-danatomie-pathologique/

https://www.chu-poitiers.fr/specialites/anatomie-cytologie-
pathologiques/

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Organigramme de laboratoire d’ACP

Laboratoire d’anatomie et cytologie


pathologique

Directeur de laboratoire

Anatomopathologiste

Techniciens de laboratoire

Secrétaire médical

Assistant de recherche

Personnel de soutien

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