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1. Lésions prédisposant au cancer épidermoïde de l'œsophage ?

a. œsophagite peptique
b. Méga-œsophage idiopathique
c. diverticule épi phrénique
d. œsophagite caustique
e. reflux gastro-œsophagien

2. Concernant le cancer de l'œsophage :

a. il s'agit le plus souvent d'un carcinome épidermoide


b. il peut être révélé par une hématémèse
c. il peut être accompagné d'une dysphagie
d. la dysphagie initiale prédomine pour les liquides
e. l'exérèse constitue le meilleur traitement dans tous les cas

3. Facteur(s) favorisant la survenue d'un cancer gastrique :

a. Alimentation riche en glucides


b. Antécédents de gastrectomie partielle
c. Hyperacidité gastrique
d. Maladie de ménétrier
e. Gastrite atrophique

4. Dans le cancer de l'antre gastrique, ne dépassant pas l'angle de petite courbure, est indiquée une :

a. Gastrectomie totale
b. Gastrectomie des deux tiers
c. Gastrectomie subtotale
d. Gastrectomie polaire supérieure
e. Gastro-entero-anastomose

5. Le cancer de l’estomac peut être révélé par :

a. Phlébite
b. Anémie hypochrome
c. Vomissements
d. Dysphagie
e. Douleurs épigastriques

6. L'adénocarcinome gastrique :

a. Est très sensible à la chimiothérapie


b. Succède toujours à un ulcère gastrique
c. Est plus fréquent avant 50 ans
d. Voit sa fréquence diminuer
e. N'envahit jamais l'œsophage

7. Dans le cancer gastrique, selon la classification histologique de Lauren, la forme diffuse est
caractérisée par :

a. prolifération cellulaire en amas non organisés


b. infiltration diffuse du mur gastrique
c. l’aspect de linite gastrique,
d. cellules néoplasiques formant des structures glandulaires
e. cellules indépendantes en « bague à chaton » au sein d’un stroma fibreux

8. Une tumeur de stade B de DUKES :

a. Atteint la séreuse.
b. Depasse la musculeuse.
c. S’accompagne d’adénopathies,
d. Atteint la musculeuse sans la dépasser.
e. Envahit les organes de voisinages.

9. Le cancer colique est favorisé par :

a. Adénome villeux
b. Polype amarthomateux
c. Rectocolite hémorragique
d. Maladie de Hirschprung
e. Maladie de Crohn

10. Facteur(s) alimentaire(s) favorisant la survenue des cancers coliques :

a. Excès de fibres végétales


b. Excès de laitages
c. Excès de graisse animale
d. Ethylisme
e. Carence en fibre végétale

11. Type(s) d’exérèse à proposer chez un patient porteur d’un cancer du colon ascendant :

a. Colectomie totale
b. Colectomie subtotale
c. Hémi colectomie droite
d. Amputation abdomino-périnéale
e. Pancolectomie

12. En cas de suspicion d’un cancer colique, on demande en priorité :

a. Lavement baryté opaque


b. Echographie abdominale
c. Colonoscopie totale
d. Scanner abdominal
e. Dosage de l’antigène carcino-embryonnaire

13. Quel(s) signe(s) est (sont) évocateur(s) de cancer du rectum ?

a. Rectorragies.
b. Epreintes.
c. Ténesmes.
d. Diarrhées.
e. Faux besoins.

14. Quelle manœuvre doit être systématique au cours de l’examen clinique pour rectorragie ?

a. Palpation abdominale.
b. Toucher rectal.
c. Exploration des orifices herniaires.
d. Palpation des creux sus claviculaires.
e. Palpation des creux inguinaux.

15. Un cancer du rectum de 6cm de hauteur siégeant à 4 cm de la marge anale peut être traité par :

a. Résection rectale par voie antérieure.


b. Tumorectomie par voie transanale.
c. Amputation abdomino- périnéale.
d. Colostomie latérale.
e. Anastomose colorectale.

16. Plusieurs lésions précancéreuses de la vésicule biliaire sont reconnues sauf :

a. Taille des calculs vésiculaires


b. Lésions polypoïdes sessiles intra vésiculaires
c. Calcifications diffuses de la vésicule biliaire (vésicule porcelaine)
d. Cholécystite aigue lithiasique
e. Epaississement de la paroi vésiculaire à l’échographie
17. Concernant le cancer de la vésicule biliaire :

a. C’est un cancer de la femme âgée et a un pronostic sévère


b. Son diagnostic est souvent précoce
c. 98% de ces cancers vésiculaires sont des cholangiocarcinomes
d. En raison de la situation anatomique de la vésicule biliaire, ce cancer reste souvent localisé
e. En raison de l’absence de séreuse péritonéale de la vésicule biliaire, ce cancer est en rapport direct
avec le parenchyme hépatique

18. La tumeur de Klastkin signifie :

a. Tumeur des voies biliaires qui siège de l’abouchement apparent du canal cystique au bord supérieur
du duodénum.
b. Tumeur du cholédoque intra- ou rétro pancréatique
c. Tumeur du confluent biliaire supérieur
d. Tumeur de la vésicule biliaire étendue à la voie biliaire principale
e. Tumeur des voies biliaires intra hépatiques

19. Concernant les différents types de sténoses des voies biliaires mis en évidence à la
cholangiographie au cours des cancers des voies biliaires :

a. type I : sténose atteignant la convergence biliaire mais ne l’obstruant pas


b. type IV : sténose atteignant les deux convergences secondaires
c. Type III : sténose atteignant et obstruant la voie biliaire principale dans sa portion pédiculaire
d. Type IV : sténose atteignant et obstruant la convergence primaire
e. type II : sténose atteignant et obstruant la convergence primaire

20. Dans un cancer du tiers inferieur de la voie biliaire, on peut réaliser :

a. Duodeno- pancréatectomie céphalique comme traitement curatif


b. Dérivation biliaire comme traitement palliatif
c. Résection de la voie biliaire comme traitement curatif
d. Anastomose hépatico- jéjunale comme traitement palliatif
e. Résection des voies biliaires avec hépatectomie comme traitement curatif

21. La lithiase vésiculaire ne peut pas se compliquer de :

a. Iléus biliaire
b. Ictère retentionnel
c. Cholangiocarcinome
d. Fistule bilio-digestive
e. Cancer de la vésicule biliaire.
22. La colique hépatique :

a. Provoque une douleur de l'hypochondre gauche.


b. S'accompagne d'une inhibition respiratoire.
c. S'accompagne de fièvre.
d. S'accompagne d'un ictère.
e. Révèle un calcul du cholédoque.

23. La bile est principalement constituée de :

a. Cholestérol
b. Pepsine
c. Phospholipides
d. Sels biliaires
e. Mucus

24. Facteur(s) favorisant la lithiase vésiculaire ?

a. Obésité
b. Sexe masculin
c. Grossesse
d. Alimentation riche en protéines
e. Prise d'œstro-progestatifs.

25. Lésions pariétales vésiculaires au cours de la cholécystite aigue :

a. Cholécystite catarrhale
b. Cholécystite gangreneuse
c. Cholécystite scléreuse
d. Cholécystite phlegmoneuse
e. Cholécystite fibreuse

26. Au cours de la cholécystite aigue, on observe les signes cliniques suivants, sauf :

a. Fièvre
b. Douleur provoquée de l’hypochondre droit
c. Nausées et vomissement
d. Signe de Mallet Guy positif
e. Défense de l’hypochondre droit

27. Signe(s) échographique(s) de la cholécystite aigue :


a. échos denses avec cône d’ombre postérieur
b. Le passage de la sonde provoque une douleur de l’hypochondre droit
c. La paroi vésiculaire atteint 5mm
d. épanchement sous hépatique
e. Toutes les réponses sont justes

28. Diagnostics différentiels avec la cholécystite aigue ?

a. Pneumopathie de la base droite


b. Phlegmon per nephretique droit
c. Hépatite aigue
d. Appendicite aigue
e. Crise ulcéreuse hyperalgique

29. Complications de la cholécystite aigue :

a. Plastron vésiculaire
b. Abcès sous hépatique
c. Iléus biliaire
d. Aérobilie
e. Toutes les réponses sont fausses

30. Quel traitement proposer à un homme de 79 ans présentant un ictère par calcul résiduel deux ans
après la cholécystectomie ?

a. Choledocotomie
b. Traitement par voie coelioscopique
c. Sphincterotomie endoscopique
d. Anastomose bilio digestive
e. Drainage par drain de Kehr

31. Complication(s) sans rapport avec un calcul de la voie biliaire principale :

a. Cholangite sclérosante
b. Angiocholite
c. Ictère retentionnel
d. Cirrhose biliaire
e. Syndrome de Mirizzi

32. Au cours d’une angiocholite aigue, on observe les signes cliniques suivants, sauf :

a. Ictère
b. Fièvre
c. Douleur de l’hypochondre droit
d. Insuffisance rénale aigue
e. Frissons

33. Examen(s) à demander en première intention devant une suspicion d’angiocholite :

a. Echographie de l’hypochondre droit


b. Cholangiographie rétrograde
c. Scanner
d. Laparoscopie
e. Abdomen sans préparation

34. Signe(s) clinique(s) caractérisant le volvulus du sigmoïde :

a. Deux niveaux hydro-aériques sur l’asp


b. Une déformation ovoïde de l’abdomen
c. Des vomissements précoces
d. Une augmentation du péristaltisme.
e. Arrêt précoce des matières et des gaz

35. Signe(s) clinique(s)en faveur d'une occlusion d'origine colique :

a. arrêt précoce des matières et des gaz


b. vomissements précoces
c. présence d'une cicatrice abdominale
d. vacuité de l'ampoule rectale
e. vomissements tardifs

36. Argument(s) en faveur d'une occlusion colique fonctionnelle :

a. Dilatation diffuse du côlon à l’asp


b. Absence de niveaux hydro-aériques sur l'asp
c. Traitement par neuroleptiques
d. Ampoule rectale vide
e. Toutes les propositions sont justes

37. Circonstance(s) favorisant les occlusions fonctionnelles ?

a. hypokaliémie
b. hyponatrémie
c. antécédents éloignés de laparotomie
d. traitement par neuroleptiques
e. constipation chronique traitée par les laxatifs.
38. l’appendicite aiguë se manifeste par :

a. douleur de la fosse iliaque droite


b. vomissements
c. douleur du cul de sac de Douglas
d. syndrome infectieux
e. contracture abdominale

39. Par quel(s) examen(s) peut-on différencier une appendicite aiguë sous-hépatique d'une
cholécystite aiguë ?

a. dosage de la bilirubinémie
b. radiologie de l’abdomen sans préparation (ASP)
c. échographie
d. NFS
e. dosage des phosphatages alcalines

40. une occlusion fébrile évoque une localisation appendiculaire :

a. Iliaque droite
b. Rétro caecale
c. Sous-hépatique
d. Méso cœliaque
e. Iliaque gauche

41. Chez un nourrisson, une appendicite aiguë est évoquée devant :

a. Diarrhée
b. Vomissements
c. Insomnie
d. Anorexie
e. Douleur abdominale

42. Le signe de Mac Burney est une douleur qui se manifeste lors de :

a. Décompression de la fosse iliaque droite


b. Compression de la fosse iliaque gauche
c. Palpation de la fosse iliaque droite
d. Palpation de la fosse iliaque gauche
e. Toutes les réponses sont fausses
43. Le pneumopéritoine n’accompagne pas habituellement les pathologies suivantes pourvoyeuses de
péritonites aiguës généralisées :

a. Performation d’ulcère gastrique


b. Performation d’ulcère duodénal
c. Performation Colique
d. Performation appendiculaire
e. Performation du Grêle.

44. Elément(s) en faveur de l'origine appendiculaire d'une péritonite aiguë généralisée ?

a. Age supérieur à 60 ans


b. Sexe féminin
c. Douleur généralisée
d. Douleur à droite au toucher rectal
e. Hyperleucocytose > 1 5 000 3)

45. Attitude(s) thérapeutique (s) devant une péritonite aiguë généralisée :

a. Réanimer le patient jusqu'à normalisation des constantes biologiques


b. Evaluer l'effet d'une antibiothérapie à large spectre
c. Réanimer le patient, et l'opérer dès que possible
d. Surveiller l'évolution en milieu chirurgical
e. Toutes les propositions sont justes

46. Elément(s) d’orientation vers une perforation d'ulcère gastrique :

a. Disparition de la poche à air gastrique


b. Volumineux pneumopéritoine
c. Absence de fièvre au début
d. Douleur débutant dans l'hypochondre droit
e. Traitement anti-inflammatoire en cours

47. Une femme de 56 ans présente une tuméfaction de la grande lèvre apparaissant lors des efforts. Il
s’agit de :

a. hernie inguinale directe


b. hernie inguinale oblique interne
c. hernie inguinale oblique externe
d. hernie crurale
e. toutes les réponses sont justes

48. Ne correspond (ent) pas à une hernie inguinale :


a. Elle peut descendre dans la bourse.
b. Elle peut apparaître en dedans de l'épine du pubis.
c. Son pédicule est au-dessous de la ligne de malgaigne,
d. Elle peut ne pas être spontanément visible.
e. Elle peut contenir le caecum

49. Une hernie inguinale bilatérale chez un homme de 70 ans en bon état général peut être traitée par:

a. Cure chirurgicale unilatérale puis cure chirurgicale controlatérale à distance


b. Double cure chirurgicale en un temps
c. Grande prothèse pré péritonéale par voie médiane
d. Deux prothèses par abords directs
e. Deux prothèses par voie coelioscopique

50. Signe(s) clinique(s) associé(s) à une tuméfaction de la racine de la cuisse, en faveur d'une hernie
crurale :

a. impulsivité à la toux
b. réductibilité
c. siège du collet au-dessus de la ligne de Malgaigne
d. siège en dedans des battements de l'artère fémorale
e. siège au dessus du pubis

51. Dans la technique du Shouldice, quelles sont les structures dont le rapprochement reconstitue la
paroi postérieure du canal inguinal ?

a. aponévrose du muscle oblique externe


b. fascia transversalis
c. arcade crurale
d. muscle oblique interne et transverse
e. ligament de Cooper

52. Examen(s) complémentaire(s)de certitude du kyste hydatique du foie :

a. Immunofluorescence
b. Réaction de fixation de complément
c. Réaction de précipitation
d. Immunoélectrophorèse
e. Hemagglutination passive

53. Toutes les complications suivantes du kyste hydatique du foie sont possibles, sauf :
a. Compression
b. Fistulisation
c. Hémorragie
d. Rupture
e. Suppuration

54. Dans le kyste hydatique, toutes les propositions suivantes sont fausses, sauf :

a. Un kyste hydatique antérieur du foie de 12 centimètres peut être asymptomatique.


b. Un kyste hydatique de type I de la classification échographique de Gharbi est un kyste multi
vésiculaire.
c. Le traitement chirurgical du kyste hydatique nécessite une dérivation interne.
d. Le traitement par l’albendazole peut entrainer la guérison.
e. L’échographie seule peut suffire à faire le diagnostic.

55. Un kyste hydatique jeune est constitué de plusieurs entités distinctes :

a. Le kyste hydatide proprement dit est formé de trois structures, deux membranaires et une
liquidienne
b. La cuticule ou membrane externe est une membrane anhiste de couleur ivoire de 1 à 2 mm
d’épaisseur
c. La membrane proligère est le périkyste blanc, souple d’environ 20 um d’épaisseur accolée a la face
interne de la cuticule
d. Le liquide hydatique est clair
e. L’adventice est constitue par le parenchyme hépatique lamine refoulé souple au début

56. Produit(s) scolicide(s) utilisé(s) pour la stérilisation du kyste hydatique :

a. Sérum sale à 5%
b. Eau oxygéné à dilué à 10 volume
c. Sérum salé à 20%
d. Eau oxygéné à 5%
e. Sérum sale à 30%

57. La tolérance relative du muscle strié à l’ischémie est liée à :

a. Sa faible demande en oxygène au repos


b. Ses importantes réserves métaboliques
c. Ses importantes réserves en électrolytes
d. Sa richesse en vaisseaux sanguins
e. Le volume des masses musculaires

58. La remise en circulation du membre en cas d’ischémie (syndrome de revascularisation), peut


aggraver les dommages cellulaires, en rapport avec :

a. Catabolisme de l’adénosine triphosphate en adénosine mono phosphate en présence d’oxygène


b. Catabolisme de l’adénosine triphosphate en hypoxanthine
c. Libération de radicaux libres
d. Formation d’hypoxanthine en présence d’oxygène
e. Catabolisme des radicaux libres en présence d’oxygène

59. En cas d’ischémie plus ou moins sévère des membres, la tolérance des tissus est variable :

a. Le muscle strié tolère jusqu'à 12 heures d’ischémie


b. Les tissus nerveux tolèrent 3 heures d’ischémie
c. Les lésions nerveuses apparaissent des la 2eme heure
d. Le muscle strié tolère 6 heures d’ischémie
e. La viabilité de la peau est de 24-48 heures

60. Tous les signes cliniques suivants sont présents au cours d’une ischémie de membre, sauf :

a. Douleur atroce du membre


b. Froideur du membre
c. Contracture musculaire
d. Hyperesthésie cutanée
e. Etat de choc hypovolémique

61. Au cours d’une ischémie aiguë des membres, on peut proposer :

a. Immobilisation
b. Traitement par héparine
c. Traitement par Lovenox
d. Emboléctomie
e. Désobstruction veineuse par voie chirurgicale

62. Dans la loi des 9 de Wallace, les estimations suivantes sont utilisées pour le calcul de l’étendue des
brulures :

a. La tête et le cou représentent 9 % de la surface corporelle


b. Chaque membre inférieur représente 9 % de la surface corporelle
c. Chaque face du thorax représente 18 % de la surface corporelle
d. Chaque membre supérieur représente 18 % de la surface corporelle
e. Les organes génitaux externes 1 % de la surface corporelle

63. La profondeur d’une brulure est évaluée cliniquement par l’existence de symptômes suivants :
a. Une brûlure superficielle ou brûlure du 1er degré se présente comme une rougeur persistante
(érythème)
b. Une brûlure profonde du 3e degré se traduit par un aspect blanc ou noir plus ou moins cartonné
de la peau
c. Les brûlures du 2e degré se traduisent par une phlyctène
d. Les brûlures du 2e degré se traduisent par une anesthésie de la peau
e. Une brûlure profonde du 3e degré se traduit par une anesthésie de la peau

64. La formule d’Evans utilisée pour la réanimation des brûlés à l’admission, est :

a. N = 2ml x % brûlure x Poids + 1 L ratio


b. N = 2 ml x % brûlure x Poids + 2 L ratio
c. N = 2ml x % brûlure x surface corporelle + 1 L ratio
d. N = 2 ml x % brûlure x surface corporelle + 2 L ratio
e. N = 3 ml x % brûlure x Poids + 2 L ratio

65. Concernant les brûlures :

a. Une brûlure du premier degré est une brûlure qui affecte seulement les couches superficielles de
l'épiderme
b. Une brûlure superficielle est une brûlure qui affecte la couche basale
c. Les brûlures du 2e degré sont traditionnellement une atteinte de tout l'épiderme jusqu'à la couche
basale intacte
d. Les brûlures intermédiaires entre le 2e superficiel et le 3e degré sont une atteinte partielle de la
couche basale voire sa destruction subtotale
e. Les du 2e degré sont traditionnellement une atteinte de l’épiderme et du derme

66. Le premier problème posé au cours des brûlures graves est réanimatoire. On prévient le choc
hypovolémique par l'administration de liquide calculé par la formule d'Evans qui consiste en :

a. Perfusion de 50 % de la quantité calculé pendant les 12 premières heures


b. Perfusion de 75 % de la quantité calculé pendant les 8 premières heures
c. Perfusion de 50 % de la quantité calculé pendant les 24 premières heures
d. Perfusion de 50 % de la quantité calculée pendant les 8 premières heures
e. Perfusion de 25 % de la quantité calculé pendant les 8 premières heures

67. Quels signes cliniques font suspecter la malignité lors de la découverte d’un nodule thyroïdien :

a. Jeune âge où personne âgée de plus de 60 ans avec nodule isolé et de sexe masculin
b. Antécédents d’irradiation du cou
c. Nodule de 3cm, douloureux
d. Présence d’adénopathies cervicales
e. Toutes les réponses sont fausses
68. Quelle conduite à tenir en priorité pour l’exploration d’un nodule thyroïdien ?

a. Scintigraphie + dosage de TSH


b. Cytoponction + dosage de TSH
c. Echographie
d. Echographie + dosage de TSH
e. Echographie + dosage de T3 et T4

69. Dans le cancer thyroïdien toutes les propositions suivantes sont justes sauf une, laquelle ?

a. Les cancers différenciés d’origine vésiculaire sont de bon pronostic


b. Les cancers papillaires métastasent par voie sanguine
c. Les cancers vésiculaires métastasent par voie sanguine
d. Les cancers médullaires sont de mauvais pronostic
e. Un cancer indifférencié de stade T4 est de mauvais pronostic

70. Quels sont les facteurs pronostics reconnues dans le cancer thyroïdien ?

a. L’âge supérieur à 45 – 50 ans


b. La taille de la tumeur et notamment quand elle dépasse la capsule thyroïdienne
c. Le type histologique et notamment le cancer anaplasique
d. L’existence de métastases
e. Toutes les propositions sont justes

71. Stratégie thérapeutique à adopter devant un nodule thyroïdien de 3 cm :

a. Traitement médical et surveillance


b. Enucléation du nodule
c. Lobo-isthmectomie et examen anatomopathologique
d. Lobo-isthmectomie et examen extemporané
e. Thyroïdectomie totale

72. Le traitement chirurgical palliatif du cancer du pancréas consiste en :

a. Dérivation biliaire
b. Gastro-entero-anastomose
c. Anastomose pancreatico- digestive
d. Ileo-transversostomie
e. biopsie

73. Le volvulus du colon pelvien concerne :


a. cæcum
b. colon transverse
c. colon sigmoïde
d. colon sigmoïde
e. haut rectum

74. L’occlusion intestinale haute sur bride se caractérise par toutes ces propositions sauf

a. Peut survenir après toute laparotomie


b. début brutal
c. arrêt du transit incomplet ou tardif par vidange du segment d’aval
d. retentissement sur l’état général rapide
e. traitement par laparotomie d’urgence

75. Dans le volvulus de l’intestin grêle, les propositions suivantes sont correctes, sauf :

a. La bride peut être congénitale


b. L’état de choc peut être présent
c. Le sens de la torsion de l’anse se fait indifféremment dans le sens horaireou antihoraire
d. La dilatation intestinale intéresse l’intestin d’amont
e. Le maximum des lésions siège au pied de l’anse volvulée

76. Dans l’occlusion du colon, les propositions suivantes sont correctes, sauf

a. Les vomissements peuvent faire défaut


b. Le météorisme est important
c. L’arrêt des matières et des gaz est tardif
d. L’état général est rapidement altéré
e. Le début est généralement progressif

77. Dans les occlusions coliques, les images hydro aériques observées sur une radiographie de
l’abdomen sans préparation ont les caractéristiques suivantes, sauf :

a. Peu nombreuses
b. Périphériques
c. Grandes
d. Plus larges que hautes
e. exagérées d’haustrations

78. Forme(s) topographique(s) d’appendicites aigues pouvant être à l’origine d’une occlusion
intestinale fébrile

a. Appendicite retro caecale


b. Appendicite méso cœliaque
c. Appendicite pelvienne
d. Appendicite sous hépatique
e. Appendicite iliaque interne

79. Le tableau typique d’une péritonite appendiculaire comporte tous ces éléments sauf :

a. Contracture généralisée
b. Début des signes prédominant à droite
c. Douleur au toucher rectal
d. Niveaux hydro aériques centraux
e. Syndrome infectieux majeur

80. Dans le plastron appendiculaire, les propositions suivantes sont correctes, sauf

a. L’évolution sous traitement médicale est souvent favorable


b. L’intervention chirurgicale est différée
c. La surveillance est clinique et para clinique
d. L’exploration coelioscopique est toujours recommandée
e. L’évolution vers l’abcédation est possible

81. Dans le syndrome appendiculaire, les propositions suivantes sont correctes, sauf :

a. Le taux de globules blancs peut être normal


b. Le début de la douleur peut siéger au niveau de l’épigastre
c. Le signe de Mackenzie est une douleur provoquée à la décompression de la fosse iliaque droite
d. Le signe de Roter est une douleur latéralisée à droite au TR
e. Toutes les réponses sont fausses

82. Le traitement de la péritonite aigue appendiculaire comporte les mesures suivantes, sauf

a. soins de réanimation adaptés et une antibiothérapie


b. intervention chirurgicale d’urgence
c. entérostomie d’urgence
d. toilette péritonéale
e. appendicectomie

83. Le signe le plus évocateur d’une appendicite aigue retro caecale est :

a. Une pollakiurie
b. Un arrêt des matières et des gaz
c. Un hémopéritoine
d. Un état de choc
e. Un psoitis

84. Le point de Mac Burney est situé :

a. À l’union : tiers externe- deux tiers interne de la ligne joignant épine iliaque antéro-supérieure à
l’ombilic
b. À l’union : tiers interne- deux tiers externe de la ligne joignant l’épine iliaque antéro-supérieure à
l’ombilic
c. Milieu de la ligne joignant l’ombilic à l’épine iliaque antéro-supérieure
d. L’union : tiers externe- deux tiers interne de la ligne joignant l’épine iliaque antéro-supérieure à la
pointe du pubis
e. L’union : tiers interne- deux tiers externe de la ligne joignant l’épine iliaque antéro-supérieure à la
pointe du pubis

85. Concernant l’ appendicite aigue chez la femme enceinte ( 3ème trimestre de la grossesse ) les
propositions suivantes sont correctes, sauf :

a. Siège haut de la douleur


b. Examen fait en décubitus latéral gauche
c. Diagnostic différentiel essentiellement avec la pyélonéphrite
d. Contracture utérine toujours présente
e. Pronostic fœtal souvent mis en jeu

86. Dans le syndrome appendiculaire, les propositions suivantes sont correctes, sauf :

a. le signe de Rovsing est une douleur ressentie à la fosse iliaque gauche par compression de la fosse
iliaque droite
b. Le signe de blumberg est une douleur à la décompression de la fosse iliaque droite
c. Le signe de Drachter est une douleur ressentie à la fosse iliaque droite par percussion du talon
d. La constipation est classique
e. La température oscille entre 37,8 à 38°

87. Le syndrome du 5ème jour post opératoire (post appendicectomie) comporte toutes ces
caractéristiques sauf :

a. Apparition de la température après des suites simples


b. syndrome subocclusif
c. Survient essentiellement chez le sujet âgé
d. ASP : niveaux liquides au niveau de la fosse iliaque droite
e. Guérit souvent sous traitement médical

88. La pancréatite aigue se caractérise par les données suivantes, sauf :


a. L’hémorragie digestive fait partie du tableau clinique
b. Elle peut être observée chez l’éthylique
c. Elle peut être diagnostiquée par l’élévation de la lipasémie
d. L’hypocalcémie constitue un signe de gravité
e. Elle peut être en rapport avec l’enclavement d’un calcul au niveau de l’ampoule de Vater

89. Quelle est l’irradiation douloureuse la plus évocatrice qui puisse faire évoquer une pancréatite
aigue ?

a. Péri ombilicale en barre


b. Sous costale droite
c. Scapulaire droite
d. Transfixiante vers le dos
e. Descendante

90. Les signes cliniques suivants orientent vers une pancréatite aigue sévère, sauf :

a. Vomissements
b. Contracture épigastrique
c. Choc hypovolémique
d. Empâtement profond péri ombilical
e. Tache(s) bleue(s) des flancs (signe de Grey Turner)

91. L étendue des lésions pancréatiques et la nécrose pancréatique sont les mieux appréciées par :

a. Radiographie de l’abdomen sans préparation


b. Cholangiographie rétrograde
c. Scanner d’abdominal
d. Artériographie coelio mésentérique
e. Scintigraphie au technétium

92. Dans une pancréatite aigue hémorragique,sont de mauvais pronostic,les facteurs suivants, sauf :

a. Elévation de la créatinémie
b. Baisse de la calcémie
c. Hyperleucocytose supérieure à 16000/mm 3
d. Hyperamylasémie
e. Hyperglycémie

93. Facteur(s) non prédictif(s) de pancréatite biliaire suivants (critères de Blamey ) :

a. Age supérieur à 70 ans


b. Sexe féminin
c. Amylasémie supérieure à 4000 UI/L
d. ASAT (transaminases) supérieurs à 100 UI/L
e. Phosphatases alcalines supérieures à 300 UI/L

94. Complication(s) rare(s) de pancréatite aigue :

a. Choc
b. Pleurésie
c. Hémorragie
d. Pseudo kyste
e. Encéphalopathie pancréatique

95. Au cours d’une pancréatite aiguë, les propositions suivantes sont correctes, sauf

a. L’élévation de l’amylasémie est un signe spécifique


b. L’élévation de la lipasémie est plus spécifique que celle de l’amylasémie
c. L’élévation de la lipasémie est moins durable que celle de l’amylasémie
d. L’élévation de l’amylasémie porte spécifiquement sur l’isoamylase pancréatique ce qui permet
d’écarter d’autres diagnostics
e. Une élévation très importante de l’amylasémie est plus souvent observée lorsqu’il s’agit d’une
pancréatite d’origine alcoolique

96. Dans le traitement d’urgence des pancréatites aigues lithiasiques sévères, les mesures
thérapeutiques suivantes sont considérées comme utiles et efficaces, sauf :

a. Réhydratation et remplissage volumique


b. Mise en place d’une sonde gastrique
c. Perfusion intraveineuse d’anti enzymes
d. Administration parentérale exclusive
e. Sphinctérotomie endoscopique en urgence

97. On ne doit pas envisager de geste thérapeutique chirurgical, endoscopique ou drainage en cas
de :

a. Calcul biliaire enclavé


b. Pseudo kyste compliqué d’hémorragie
c. Abcès pancréatique
d. Nécrose infectée
e. Encéphalopathie

98. L’anneau crural qui donne issue aux hernies crurales est situé :

a. Au dessous de l’arcade crurale


b. Au dessus de la bandelette ilio pubienne
c. En dehors du ligament de Cooper
d. En dedans de la veine fémorale
e. En dehors du nerf crural

99. L’ hernie crurale :

a. Se rencontre souvent chezl’adolescent


b. Est une hernie congénitale
c. Est la forme anatomo clinique qui se complique le plus d’étranglement
d. Se rencontre surtout chez l’homme
e. Peut être oblique externe

100. Concernant l’hernie inguinale oblique externe, les propositions suivantes sont correctes, sauf :

a. Possède un orifice situé en dehors des vaisseaux épigastriques


b. Possède un orifice superficiel situé en dehors du grand droit de l’abdomen
c. S’extériorise au dessous de la ligne de Malgaine
d. Peut contenir une corne vésicale
e. Peut descendre dans la grande lèvre chez la femme

101 Dans les hernies de l’aine, les propositions suivantes sont correctes, sauf :

a. Les hernies obliques externes sont généralement congénitales


b. Les hernies crurales sont fréquentes chez la femme
c. Les hernies crurales sont des hernies directes extériorisées sous l’arcade crurale
d. Les hernies crurales s’étranglent rarement
e. Les hernies directes s’extériorisent en dedans des vaisseaux épigastriques

102. Caractéristique(s) d’une hernie de l’aine non compliquée :

a. Impulsive, indolore, réductible


b. Expansible, indolore, réductible
c. Impulsive, expansible, réductible
d. Expansible, impulsive, indolore
e. Impulsive, mobile en fonction de la position, réductible

103. Le cancer de l’œsophage :

a. Est le premier cancer digestif


b. Sa nature est épithéliale malpiguienne kératinisé
c. Se manifeste par une dysphagie
d. Son pronostic est rarement sombre
e. Toutes les réponses sont justes

104. Le cancer de l’œsophage :

a. Nécessite une endoscopie digestive haute pour confirmation diagnostic


b. Le siège thoracique haut de la lésion tumorale est le plus fréquent
c. La forme bourgeonnante est habituelle
d. Les localisations multiples sont rares
e. Toutes les réponses sont justes

105. Dans le cancer de l’œsophage :

a. La dysphagie aux liquides froids est souvent signalée


b. L’hypersialorrhée accompagne les formes sténosantes
c. Le hoquet signe l’envahissement des nerfs vagues
d. Les régurgitations sont habituelles dans les localisations abdominales de l’œsophage
e. Aucune de ces réponses n’est juste

106. Dans le cancer de l’œsophage :

a. La bronchoscopie est obligatoire dans l’évaluation de l’extension en profondeur


b. Les colorants ( Toluidine et lugol) sont utilisés pour apprécier l’extension en superficie
c. Le scanner est un examen performant dans l’extension ganglionnaire
d. L’echoendoscopie a un rôle faible dans l’extension transpariétale
e. Le TOGD n’a d’intérêt que dans la forme sténosante

107. Dans le cancer de l’œsophage, la chirurgie :

a. est la seule sanction thérapeutique


b. est toujours possible pour l’exérèse de la tumeur
c. est pratiquée dans les formes extensives
d. n’a pas d’intérêt dans la thérapeutique de ces cancers
e. curative est réservée dans les formes de début

108. Dans le cancer du colon :

a. La transformation d’un polype adénomateux constitue la genèse du cancer


b. Le polype hamartomateux reste la seule lésion pré néoplasique
c. La transformation d’un polype en cancer est rapide
d. Seul le polype dysplasique justifie sa surveillance
e. Toutes les réponses sont justes
109. Dans le cancer du colon :

a. Le siège sigmoïdien est le plus fréquent


b. La rectorragie constitue le maitre symptôme
c. L’arrêt des matières et gaz est l’apanage du colon droit
d. Les doubles localisations sont fréquentes
e. Toutes ces réponses sont justes

110. Dans le cancer du colon, le lavement baryté est :

a. un examen radiologique de confirmation diagnostic


b. indiqué dans les formes sténosantes
c. un examen de suivi post opératoire
d. surtout indiqué dans les formes occlusives
e. Toutes ces réponses sont justes

111. Dans le cancer du colon, la chirurgie :

a. reste la seule sanction thérapeutique


b. consiste en l’exérèse de tout le colon
c. curative n’a pas d’intérêt en présence de métastases hépatiques
d. est indiquée que dans les formes de début
e. Toutes réponses sont fausses

112. Dans le cancer du colon :

a. Le pronostic du cancer du colon gauche est meilleur que celui du colon droit
b. La survie après chirurgie curative dépasse rarement les cinq ans
c. La chimiothérapie complémentaire n’a peu d’intérêt après chirurgie
d. La radiothérapie est très efficace en préopératoire
e. Toutes les réponses sont justes

113. Concernant le cancer du pancréas :

a. Est de nature épithéliale canalaire


b. Provient toujours d’une lésion bénigne mucineuse
c. A pour siège principal le corps de l’organe
d. L’ictère traduit l’envahissement du foie
e. Toutes les réponses sont justes

114. Au cours du cancer du pancréas, l’ictère :

a. est un signe tardif de la localisation de la tête du pancréas


b. traduit l’envahissement de la portion retro pancréatique de la voie biliaire
c. est souvent fluctuant par nécrose tumorale
d. traduit toujours un stade avancé de la maladie
e. constitue une contre indication à l’exérèse de la tumeur

115. Examen(s) morphologique(s) à visée diagnostic du cancer du pancréas :

a. écho endoscopie
b. échographie et TDM abdominale
c. échographie suivie d’écho endoscopie
d. Artériographie sélective
e. Scintigraphie et la TDM abdominale

116. Le cancer de la queue du pancréas exocrine se révèle préférentiellement par :

a. Hémorragie digestive
b. Une tumeur de l’hypochondre gauche
c. Une tumeur ombilicale
d. Des douleurs épigastriques
e. Aucune de ces propositions n’est correcte

117. Dans le cancer du pancréas exocrine :

a. La chirurgie n’améliore pas le pronostic


b. La chimiothérapie n’a aucune place
c. La radiothérapie est considérée comme seul traitement efficace
d. Le pronostic est favorablement influencé par les méthodes palliatives de dérivations biliaires
e. Toutes les réponses sont fausses

118. N’est (sont) pas considérée(s) comme lésion précancéreuse :

a. Hernie hiatale
b. Gastrite atrophique de Biermer
c. Moignon de gastrectomie
d. Gastrite hypertrophique de Ménétrier
e. Gastrite chronique atrophique et lésions de dysplasies

119. Concernant le cancer de l’estomac,les propositions suivantes sont correctes, sauf :

a. La douleur épigastrique est la manifestation clinique la plus fréquente


b. L’amaigrissement important au moment du diagnostic est un signe de mauvais pronostic
c. L’hélicobacterpylori est considéré comme agent cancérigène pour l’estomac
d. Le transit oeso gastro duodénal est demandé systématiquement pour le diagnostic du cancer de
l’estomac
e. La fibroscopie permet d’affirmer le diagnostic dans plus de 90°/° des cas en réalisant des biopsies
multiples

120. Dans le cancer de l’estomac :

a. L’échoendoscopie est un examen de choix pour apprécier l’envahissement pariétal et les extensions
locorégionales
b. Les biopsies peuvent ne pas être concluantes en particulier dans les cancers infiltrants (linite)
c. Un ulcère gastrique d’aspect bénin même cicatrisé doit faire l’objet de contrôles avec biopsies
multiples
d. La tomodensitométrie est indiquée à la recherche d’une extension locorégionale (organes de
voisinage, ganglions, signes de carcinose
e. Toutes ces réponses sont justes

121. Concernant le cancer de l’estomac, les propositions suivantes sont correctes, sauf :

a. Les métastases ganglionnaires régionales sont fréquentes


b. La chirurgie reste le traitement de référence
c. Le curage ganglionnaire constitue la base du traitement chirurgical
d. La surveillance des sujets à risque de cancer gastrique constitue une stratégie de prévention
e. La chimiothérapie n’a aucune place

122. Concernant le cancer de l’estomac, les propositions suivantes sont correctes, sauf :

a. Le carcinome en bague à chaton est de mauvais pronostic


b. Le lymphome non Hodgkinien de l’estomac constitue la première localisation digestive
c. Les récidives post opératoires sont essentiellement locorégionales
d. La Tumeur de krukemberg associe cancer gastrique et nodule de carcinose péritonéale
e. Le cancer de l’estomac est considéré parmi les cancers les plus fréquents

123. La cholécystite aigue est en rapport avec :

a. reflux duodéno biliaire


b. infection par voie hématogène
c. blocage d’un calcul dans le siphon vésiculaire
d. dyskinésie biliaire
e. calcul cholédocien

124. Le pyocholécyste :

a. Nécessite un traitement médical d’abord


b. Est une indication opératoire
c. Nécessite une antibiothérapie à large spectre et poche de glace
d. La voie d’abord coelioscopique trouve largement sa place en urgence
e. Nécessite une surveillance sous traitement médical bien conduit

125. Examen(s) à demander en première intention devant un tableau de cholécystite aigue :

a. ASP et cholangiographie intraveineuse


b. Echographie abdominale et FNS
c. échographie abdominale et scanner
d. ASP et FNS
e. ASP et échographie abdominale

126. Dans la cholécystite aigue, l’ultrasonographie montre :

a. épaississement de la paroi vésiculaire supérieur à 3 mm


b. ligne claire hypodense doublant la paroi
c. canal cystique dilaté
d. bile épaisse hétérogène « sludge »
e. Un ou plusieurs calculs vésiculaires

127. Le plastron vésiculaire :

a. N’est observé que dans les cholécystites alithiasiques


b. Peut évoluer vers l’abcédation
c. Son diagnostic est fait par le scanner abdominal
d. Son évolution est toujours favorable
e. L’intervention chirurgicale est d’emblée indiquée

128. Devant un ictère douloureux et fébrile, on demande en premier lieu :

a. Cholangiographie intraveineuse
b. Echographie hépatobiliaire et pancréatique
c. Cholangiographie rétrograde per endoscopique
d. Scanner abdominal
e. Cholangiographie transhépatique

129. Une angiocholite se définit comme :

a. Des lithiases multiples cholédociennes


b. Une infection de la voie biliaire principale
c. Une inflammation du pédicule hépatique
d. Une suppuration de la vésicule biliaire
e. Une colite infectieuse

130. Concernant la lithiase cholédocienne, les propositions suivantes sont correctes, sauf :

a. S’accompagne le plus souvent d’une dilatation des voies biliaires


b. Provient le plus souvent de la migration de calculs vésiculaires
c. Elle s’accompagne toujours de symptômes d’angiocholite
d. Sa première manifestation peut être une pancréatite aigue
e. Elle peut être responsable à long terme d’une cirrhose biliaire

131. Signe(s) de gravité au cours d’une angiocholite :

a. température à 39°C
b. irradiation scapulaire droite de la douleur
c. oligurie et l’élévation de la créatinémie sérique
d. langue chargée
e. augmentation des phosphatases alcalines

132. Le traitement chirurgical d’une lithiase de la voie biliaire principale en dehors d’épisodes
infectieux aigus (angiocholite, cholécystite aigue) ne peut être réalisé que par :

a. Cholécystectomie
b. Cholédocotomie avec ablation du calcul et fermeture du cholédoque
c. Cholécystostomie
d. Cholécystectomie et cholédocotomie avec ablation du calcul et fermeture ou drainage du
cholédoque
e. Anastomose cholédoco duodénale

133. La gravité de la brulure est essentiellement liée à :

a. l’étendue de la surface corporelle brulée


b. la profondeur de la brulure
c. Au terrain, les âges extrêmes et les problèmes métaboliques
d. lésions associées (intoxication au CO2, brulures respiratoires
e. Toutes les réponses sont justes

134. L’estimation de la surface brulée selon la règle des 9 de Wallace concernant la tète et le cou est
estimée à :

a. 9%
b. 8%
c. 10%
d. 12%
e. 11%

135. Une brulure profonde du troisième degré est :

a. brulure qui affecte toutes les couches superficielles de l’épiderme


b. Toute l’épaisseur du derme
c. Atteinte graisseuse et musculaire
d. Atteinte de tout l’épiderme jusqu’à la couche basale (intacte)
e. Atteinte partielle de la couche basale

136. Geste(s) à éviter devant une brulure grave :

a. « Cooling » : refroidissement des zones brulées par de l’eau tiède 20° à 25°
b. ôter les vêtements qui ne collent pas à la peau
c. Envelopper les zones brulées ouvertes dans un champ stérile
d. Désinfecter les plaies et faire pansement sur place
e. Installer une perfusion, transporter le brulé dans un centre spécialisé, bilan des lésions et plan du
traitement

137. Dans les brûlures graves, durant les 48 premières heures, pour prévenir le choc hypovolémique,
on administre les quantités de solutions (selon la formule d’Evans) comme suit :

a. N = 1,5 ml x % surface brulée x poids + 2 litres


a. N = % surface brulée x poids + 2 litres
b. N = 1,5 ml x % surface brulée x poids
c. N =% surface brulée x poids + 2 litres
d. N = 1,5 ml x% surface brulée + poids + 2 litres

138. Une cholécystite aigue est évoquée, à l’échographie, par :

a. Contenu vésiculaire hyperéchogene


b. Douleur lors du passage de la sonde sur la vésicule
c. Epaississement de la paroi vésiculaire
d. Dilatation des voies biliaires intra hépatiques
b. Vésicule non visualisée lors de l’examen

139. la cholécystite aigue, sur le plan pathogénique, est habituellement en rapport avec :

a. Un reflux duodéno-biliaire
b. Une infection par voie hématogène
c. Le blocage d’un calcul dans le siphon vésiculaire
d. D’un calcul cholédocien
e. Une dyskinésie vésiculaire
140. La cholécystite aigue chez un adulte jeune sans tare viscérale est traitée par :

a. Antibiothérapie et cholécystectomie
b. Cholédocotomie
c. Cholécystotomie
d. Anastomose cholédoco-duodénale
e. Ponction d la vésicule sous échographie

141. une cholécystite aigue lithiasique peut s’accompagner de :

a. Lithiase cholédocienne
b. Palpation transpariétale d’une grosse vésicule
c. Occlusion intestinale fonctionnelle
d. Epanchement liquidien péri- vésiculaire
e. Occlusion colique par migration d’un volumineux calcul

142. la cholécystite aigue :

a. Impose une intervention d’urgence


b. Est traitée par cathétérisme rétrograde de la papille
c. Est la cause de toutes les douleurs biliaires
d. Est généralement d’origine lithiasique
e. Provoque une défense de l’hypochondre droit

143. Dans sa forme typique, la douleur de colique hépatique :

a. Siège dans l’hypochondre ou de l’épigastre


b. A un début brutal
c. A des irradiations descendantes
d. Inhibe l’inspiration profonde
e. Est souvent associée à des nausées et vomissements

144. La lithiase vésiculaire peut évoluer vers :

a. La lithiase de cholédoque
b. Le cancer de la vésicule
c. Le cancer du pancréas
d. L’iléus biliaire
e. La pancréatite aigue
145. une femme de 30 ans a un syndrome douloureux de l’hypochondre droit. Vous découvrez une
lithiase vésiculaire à l’échographie. En cholécystographie, la vésicule est perméable, les calculs font
entre 5 et 8 mm. Que proposez-vous ?

a. Rien
b. traitement cholérétique
c. traitement dissolvant par l’acide ursodésoxycholique
d. cholécystectomie
e. régime hypocholestérolémiant

146. la cholécystectomie pour lithiase vésiculaire non compliquée :

a. est efficace sur les crises de colique hépatique


b. est d’effet variable sur les troubles dyspepsiques
c. supprime le risque de calculo-cancer
d. est efficace sur les migraines
e. Présente un risque opératoire minime

147. Concernant la pathologie des voies biliaires :

a. Une lithiase vésiculaire est le plus souvent symptomatique


b. L’hydrocholécyste est une indication opératoire formelle
c. Le risque de cancérisation justifié la cholécystectomie de toute vésicule lithiasique
d. L’échographie visualise plus aisément une lithiase de la voie biliaire principale qu’une lithiase
vésiculaire
e. La cholangiographie per opératoire n’est indiquée qu’en cas de suspicion de lithiase choledocienne

148. Dans la péritonite par perforation d’ulcère duodénal, on observe typiquement :

a. Contracture abdominale.
a. Etat septique initial.
b. Disparition de la matité pré hépatique.
c. Douleur au toucher rectal.
d. Présence parfois de pneumopéritoine.

149. Dans une péritonite aigue, l’infection peut gagner la séreuse péritonéale par :

a. effraction traumatique.
b. suppuration d’un organe intra abdominal.
c. voie sanguine.
d. rupture intra abdominale d’une suppuration.
e. Toutes les réponses sont exactes.
150. Devant une péritonite aigue généralisée, on ne retiendra pas, en faveur de son origine
appendiculaire :

a. L’existence de fièvre au début.


b. Le début des signes au niveau de la fosse iliaque droite.
c. L’existence d’une défense de l’hypochondre droit.
d. Les antécédents de crise douloureuse de la fosse iliaque droite.
e. La douleur à la décompression de la fosse iliaque droite.

151. Concernant les péritonites :

a. Elles surviennent souvent chez des sujets en mauvais état général


b. Sur l’ASP, il existe toujours un pneumo péritoine.
c. Elles ont le plus souvent un début clinique brutal.
d. Leur traitement est souvent médical.
e. Toutes les propositions sont exactes.

152. Une péritonite appendiculaire impose :

a. Intervention chirurgicale en urgence.


b. Prélèvement du pus à visée bactériologique.
c. Toilette péritonéale.
d. Vidange rétrograde du grêle.
e. Résection iléo-caecale.

153. Concernant la lithiase cholédocienne :

a. La présence d’une lithiase cholédocienne entraine toujours un ictère


b. L’angiocholite aigue s’accompagne souvent d’hémocultures positives à gram négatif
c. risque d’entrainer un iléus biliaire
d. L’angiocholite peut se manifester par une insuffisance rénale
e. ne peut s’expliquer que par la migration d’un calcul vésiculaire

154. Parmi les affirmations concernant la lithiase du cholédoque, indiquez celle(s) qui est (sont)
exacte(s) :

a. Elle s’accompagne toujours d’une dilatation des voies biliaires


b. Elle provient le plus souvent de la migration des calculs vésiculaires
c. Elle s’accompagne toujours des symptômes d’angiocholite
d. Sa première manifestation peut être une pancréatite aigue
e. Elle peut être responsable à long terme d’une cirrhose choléstatique

155. Dans sa forme typique, l’ictère de la lithiase cholédocienne est :


a. Précédé d’une douleur biliaire
b. Progressif
c. Précédé d’une fièvre
d. Associé à une grosse vésicule palpable
e. Associé à un diabète récent

156. En dehors d’épisodes infectieux (angiocholite, cholécystite aigue) ,le traitement chirurgical d’une
lithiase cholédocienne ayant migré à partir de la vésicule consiste en :

a. Cholécystectomie
b. Choledochotomie avec une ablation du calcul et fermeture du cholédoque
c. Cholécystostomie
d. Cholécystectomie et cholédochotomie avec ablation du calcul et fermeture du cholédoque
e. Anastomose cholédoco-duodénale seule

157. Un patient de 75 ans a subi une cholécystectomie il ya un an. On découvre maintenant un calcul
cholédocien résiduel de 7 mm. Quel traitement proposer ?

a. Ré intervention pour cholédocotomie et extraction du calcul


b. Sphinctérotomie endoscopique
c. Lithotritie extra corporelle
d. Traitement médical par ursolvan
e. Pas de traitement

158. L’infection humaine par la larve hydatique se transmet selon le(s) mode(s) suivant(s) :

a. Mouton-Homme
b. Chien-mouton-Homme
c. Chien-Homme
d. Aliments souillés-Homme
e. Aliments souillées-mouton-Homme

159. Selon la classification de Gherbi, le dédoublement de la paroi hydatique (membrane proligère)


correspond au stade échographique :

a. stade I
b. stade II
c. stade III
d. stade IV
e. stade V

160. le diagnostic positif de l’hydatidose repose sur :


a. échographie abdominale
b. perception d’une tuméfaction de l’hypochondre droit
c. Hépatomégalie
d. Sérologie
e. Aucune réponse n’est exacte

161. Le traitement chirurgical du kyste hydatique du foie consiste en :

a. Ponction du kyste – stérilisation – fermeture du kyste


b. Stérilisation du kyste – ponction évacuation – traitement de la cavité résiduelle
c. Ponction – évacuation – drainage
d. Hépatectomie réglée
e. Kystectomie

162. Au cours du kyste hydatique du foie, on observe les complications suivantes, sauf :

a. Abcès de la cavité résiduelle


b. Echinococcose péritonéale
c. Suppuration sous-phrénique
d. Hémorragie digestive
e. Ictère par lithiase hydatique intra cholédocienne

163. L’occlusion du grêle par obstruction est provoquée par :

a. Etranglement herniaire
b. Iléus biliaire
c. Tumeur iléale
d. Volvulus intestinal sur bride
e. Hypo-kaliémie

164. Concernant les occlusions par strangulation du grêle :

a. Elles entrainent des vomissements tardifs


b. Au début, il y a un accroissement des bruits hydro-aériques
c. L’abdomen ne peut pas être distendu
d. L’arrêt des matières et des gaz est tardif
e. Sur la radiographie d’ASP, les niveaux hydro-aériques sont plus hauts que larges

165. A l’abdomen sans préparation, le diagnostic d’une occlusion de l’intestin grêle est porté devant :

a. Images hydro-aériques centrales


b. Images hydro-aériques plus hautes que larges
c. Aérobilie
d. Croissant gazeux sous-diaphragmatique
e. Toutes les réponses sont justes

166. Cause(s) d’occlusion par strangulation :

a. Maladie de Cröhn
b. Volvulus par bride
c. Iléus biliaire
d. Invagination intestinale aigue
e. Aucune des propositions précédentes n’est correcte

167. Traitement(s) des occlusions aigues du grêle par volvulus ;

a. Antispasmodique par voie parentérale


b. Antiémétiques par voie parentérale
c. Sonde nasogastrique et surveillance
d. Intervention en urgence
e. Lavements évacuateurs

168. Un nodule de la thyroïde découvert cliniquement peut être :

a. Un nodule hyperfonctionnel.
b. Un nodule hypo fonctionnel.
c. Un nodule kystique.
d. Un nodule solide.
e. Un carcinome différencié.

169. Concernant le nodule toxique extinctif, chez un adolescent :

a. Il correspond à une maladie de Basedow.


b. Peut être un nodule froid suspect de malignité.
c. Peut être un nodule en rapport avec une hypothyroïdie congénitale.
d. Nécessite un traitement chirurgical à type de loboisthméctomie.
e. Répond très bien au traitement médical à type d’antithyroïdien de synthèse.

170. Concernant l’exploration d’un nodule de la thyroïde, découvert chez un adulte jeune. :

a. Il faut rechercher les antécédents d’irradiation externe cervicale dans l’enfance.


b. Il faut rechercher les antécédents d’un cancer de la sphère ORL.
c. La cytoponction est nécessaire.
d. Le dosage de la TSH n’est pas nécessaire.
e. Le dosage des marqueurs tumoraux CA19.9 et l’antigène-carcino-embryonnaire (ACE) permet
d’éliminer un cancer différencié de la thyroïde.

171. Concernant le carcinome différencié de la thyroïde

a. Il est toujours associé à une augmentation du taux sanguin de la TSH.


b. Il évolue fréquemment vers des métastases ganglionnaires cervicales.
c. Son traitement est uniquement basé sur l’irathérapie par l’iode 131.
d. Il est de mauvais pronostic par rapport au carcinome indifférencié (anaplasique).
e. Il est aussi appelé cancer médullaire de la thyroïde.

172. Le traitement d’un cancer différencié de la thyroïde de plus de un centimètre et sans


envahissement ganglionnaire est basé sur :

a. Les hormones antithyroïdiennes de synthèse seules et à vie.


b. Une thyroïdectomie totale suivie uniquement par des cures d’irathérapie à l’iode 131.
c. Une thyroïdectomie totale suivi par une irathérapie à l’iode 131 et une hormonothérapie à dose
suppressive.
d. Une irathérapie à l’iode 131 première, suivie après, par une thyroïdectomie totale et une
hormonothérapie à dose suppressive.
e. Une radiothérapie externe cervicale et chimiothérapie seules.

173. La recherche d’une récidive d’un carcinome papillaire de la thyroïde opéré, se base sur le dosage
de :

a. CA19.9 et l’antigène-carcino-embryonnaire (ACE).


b. La Thyroglobuline seule.
c. La calcitonine seule.
d. La calcitonine et la thyroglobuline.
e. La TSH.

174. Concernant les brûlures graves :

a. Sont définies par une atteinte de plus de 10% de la surface corporelle chez l’adulte.
b. La première phase, dans l’évolution, dure entre 48 et 72 heures et est dominée par les séquelles
fonctionnelles et esthétiques.
c. L’étiologie la plus fréquente est la brûlure thermique.
d. Le premier geste d’urgence dés la réception est l’antibiothérapie.
e. Aucune de ces propositions n’est juste.

175. Dans les brûlures graves, l’atteinte de tout l’épiderme avec respect de la couche basale de
Malpighi :
a. Est une brûlure du premier degré.
b. Est une brûlure du deuxième degré intermédiaire profond.
c. Peut guérir en 10 à 12 jours.
d. La zone brûlée est insensible et cartonnée.
e. La zone brûlée présente des phlyctènes avec un fond très sensible, rose et se décolore à la
pression.

176. Devant un tableau confirmé d'ischémie aiguë d'un membre inférieur, on retient en faveur d'une
étiologie emboligène :

a. Des antécédents de claudication intermittente du membre atteint.


b. Infarctus du myocarde.
c. Antécédents d’arythmie par fibrillation auriculaire
d. Absence de pouls pédieux à l'autre membre non ischémique.
e. Installation d’une douleur brutale et intense au mollet et au pied.

177. Dans une ischémie aiguë d'un membre inférieur par thrombose de l'artère fémorale , on observe :

a. Embolie pulmonaire.
b. Froideur du membre
c. Abolition du pouls fémoral et conservation du pouls pédieux.
d. Signe de Homans présent.
e. Pâleur du membre et trouble de la sensibilité.

178. Une ischémie aiguë d'un membre inférieur, se présentant sous forme de gangrène du pied
impose, dans le cadre de l’urgence :

a. Amputation de jambe d’emblée.


b. Revascularisation par une héparinothérapie en intra veineuse à la seringue électrique.
c. Revascularisation par désobstruction par la sonde de Fogarty.
d. Injection intra artérielle de fibrinolytique.
e. Revascularisation par pontage artériel.

179. Devant un tableau confirmé d’ischémie aiguë d'un membre inférieur, on indiquera la
désobstruction par la sonde de Fogarty, mais précédée de :

a. Echographie abdominale.
b. Héparinothérapie intraveineuse.
c. Evacuation du patient vers un centre spécialisé pour une artériographie.
d. Evacuation du patient en cardiologie pour la recherche, l’exploration et le traitement d’une
éventuelle étiologie cardiaque.
e. Aucune de ces propositions n’est juste
180. Dans le syndrome de revascularisation d’une ischémie aiguë d'un membre inférieur,( après
désobstruction en urgence par sonde de Fogarty), on retrouve:

a. Embolie pulmonaire.
b. Hyperkaliémie
c. Septicémie
d. Œdème des loges musculaires.
e. Insuffisance rénale avec myoglobinurie.

181. Concernant le cancer de la vésicule biliaire :

a. est plus fréquent chez les hommes.


b. La lithiase vésiculaire peut être le lit d’un cancer de la vésicule.
c. La survie globale après cinq ans est de 20 à 30 %.
d. peut se manifester par un ictère rétentionnel.
e. La vésicule en porcelaine présente un risque de dégénérescence

182. Le cancer des voies biliaires peut se manifester par :

a. Un ictère à bilirubine libre, urine foncées et selle normo colorées.


b. Un ictère avec une vésicule palpable
c. Une élévation de l’amylasémie
d. Une élévation de l’antigène carcino embryonnaire (ACE).
e. Une hémorragie digestive.

183. Quel est le premier organe atteint lors de l’extension du cancer de la vésicule ?

a. Estomac.
b. Œsophage.
c. Foie
d. Parois.
e. Jéjunum

184. Le traitement du cancer de la vésicule, au stade T3, peut être :

a. Cholécystectomie simple.
b. Cholécystotomie élargie au parenchyme hépatique.
c. Cholécystectomie avec pancréatectomie.
d. cholécystectomie simple suivie de cures de radiothérapie externe.
e. Chimiothérapie première suivie d’une cholécystectomie.

185. Examen(s) complémentaire(s) utile(s) au diagnostic de cancer de la vésicule biliaire :


a. Abdomen sans préparation
b. Echographie abdominale
c. Scanner abdominal
d. Cholangiographie perendoscopie rétrogrades (CPRE).
e. Cholangiographie intra-veineuse

186. Circonstance(s) favorisant la survenue d’appendicite aigue :

a. présence d’un stercholithe appendiculaire


b. présence de parasites dans l’appendice
c. cancer colique droit
d. une maladie de Cröhn
e. traumatisme de la fosse iliaque droit

187. L’appendicite aiguë retro-cæcale est caractérisée par :

a. Douleur lombaire
b. Une dysurie
c. Un priapisme
d. Flexion antalgique de la cuisse droite
e. Toutes les réponses sont justes

188. Dans le cas d’une appendicite aigue, en position iliaque, de l’adolescent :

a. La bradycardie, quand elle existe, est un bon signe d’orientation diagnostique


b. La douleur au début peut être épigastrique
c. Les nausées et les vomissements sont des symptômes souvent retrouvés
d. La langue saburrale est un bon élément diagnostique
e. Toutes les réponses sont fausses

189. Concernant la pancréatite aiguë :

a. Elle comporte au plan anatomique un œdème ou une nécrose hémorragique du pancréas.


b. Elle est observée à un âge plus avancé que celui de la pancréatite chronique.
c. Elle peut être observée chez l'alcoolique.
d. Elle peut être en rapport avec l'enclavement d'un calcul au niveau de l'ampoule de Vater.
e. Elle est principalement observée chez l'homme.

190. Cause(s) véritable(s) de pancréatite aiguë :

a. Azathioprine (Imurel®).
b. Virus des oreillons.
c. Chirurgie digestive ou transplantation cardiaque.
d. Hyperthyroïdie.
e. Anomalie canalaire congénitale de type pancréas divisum ou pancréas annulaire.

191. La physiopathologie de la pancréatite aiguë peut faire intervenir :

a. L'obstruction du canal pancréatique.


b. L'augmentation de perméabilité du canal pancréatique due au reflux biliaire.
c. L'activation prématurée des enzymes pancréatiques dans les acini sous l'influence de l'alcool.
d. Un facteur vasculaire (hypotension).
e. L'hypocalcémie.

192. Au cours de la pancréatite aiguë, l'activation des enzymes pancréatiques peut être à l'origine :

a. D'exsudats pancréatiques et péripancréatiques.


b. De coulées responsables de pertes protéiques et d'une hypovolémie.
c. D'une nécrose du parenchyme pancréatique.
d. D'effets systémiques portant notamment sur les facteurs de coagulation.
e. D'une inactivation des leucocytes.

193. Une crise de pancréatite aiguë est évoquée devant l’irradiation douloureuse :

a. Périombilicale en barre.
b. Sous-costale droite.
c. Scapulaire droite.
d. Transfixiante vers le dos.
e. Descendante.

194. Les signes cliniques suivants orientent vers une pancréatite aiguë sévère sauf /

a. Vomissements incoercibles.
b. Contracture épigastrique.
c. Choc hypovolémique.
d. Empâtement profond périombilical.
e. Tâche(s) bleue(s) des flancs (signe de Grey-Turner).

195. Au cours d'une pancréatite aiguë :


a. L'élévation de l'amylasémie est un signe spécifique.
b. L'élévation de la lipasémie est plus spécifique que celle de l'amylasémie.
c. L'élévation de la lipasémie est plus durable que celle de l'amylasémie.
d. L'élévation de l'amylasémie porte spécifiquement sur l'isoamylase pancréatique ce qui permet
d'écarter d'autres diagnostics.
e. Une élévation très importante de l'amylasémie est plus souvent observée lorsqu'il s'agit d'une
pancréatite d'origine alcoolique.
196. Au cours de la pancréatite l'étendue des lésions pancréatiques et la nécrose pancréatique sont
appréciées par :

a. Radiographie de l'abdomen sans préparation.


b. Cholangiographie rétrograde.
c. Artériographie coelio-mésentérique.
d. Tomodensitométrie.
e. Scintigraphie au technétium.

197. Les anomalies suivantes sont facteurs de mauvais pronostic dans une pancréatite aiguë
hémorragique sauf :

a. Elévation de la créatininémie.
b. Baisse de la calcémie.
c. Hyperleucocytose > 16000/mm3.
d. Hyperamylasémie.
e. Hyperglycémie.

198. Concernant les facteurs prédictifs de pancréatite biliaire, les propositions suivantes sont
correctes, sauf :

a. Age > 70 ans.


b. Sexe féminin.
c. Amylasémie > 4000 UI/l.
d. ASAT > 100 UI/l.
e. Phosphatases alcalines > 300 UI/l.

199. Un homme de 65 ans est hospitalisé pour un ictère cutaneo-muqueux nu ayant débuté il y’a 15
jours. On note que depuis un mois le patient présente des troubles dyspeptiques avec un
amaigrissement de 6 Kg. L’examen clinique découvre un ictère franc, des lésions de grattage, une
hépatomégalie à bord mousse, de surface irrégulière, sensible à la palpation, une vésicule tendue.

199.1. Quel (s) examen (s) biologique (s) complémentaire (s) demandez-vous pour confirmer la nature
de cet ictère ?

a. Marqueurs tumoraux
b. Taux d’albuminémie et cholestérolémie
c. Bilirubine conjuguée – phosphatases alcalines – taux de prothrombine
d. Transaminases – bilirubinémie totale
e. Bilirubine libre – gamma-glutamine transférase
199.2. Quel(s) examen(s) morphologique(s) demandez –vous en première intention ?)

a. Endoscopie digestive haute


b. Echo-endoscopie
c. Ponction biopsie hépatique
d. Echographie abdominale
e. Cholangiographie rétrograde (CPRE)

199.3. Quel(s) diagnostic(s) vous semble (ent) le plus probable(s) ?

a. Cirrhose post hépatite


b. Cancer primitif du foie
c. Cholécystite aigue
d. Cancer de la tête du pancréas
e. Pancréatite chronique

199.4. Quel(s) traitement(s) proposer ?

a. Transplantation hépatique
b. Sphincterotomie endoscopique
c. Cholécystectomie
d. Duodeno-pancréatectomie céphalique
e. Traitement médical

199.5. Le traitement chirurgical palliatif du cancer du pancréas consiste en :

a. Dérivation biliaire
b. Gastro-entero-anastomose
c. Anastomose pancreatico- digestive
d. Ileo-transversostomie
e. biopsie

**

200. Cas clinique : Un homme de 65 ans est hospitalisé pour ictère cutanéo-muqueux nu apparu depuis
15 jours. On note que depuis un mois, le patient présente des troubles dyspeptiques avec un
amaigrissement de 6 Kg. L’examen clinique découvre un ictère franc, des lésions de grattage, une
hépatomégalie à bord mousse, de surface irrégulière, sensible à la palpation, une vésicule tendue.

200.1. Quel (s) examen(s) biologique(s) complémentaire(s) demandez-vous pour confirmer la nature
de cet ictère ?

a. Marqueurs tumoraux
b. Taux d’albuminémie et cholestérolémie
c. Bilirubine conjuguée – phosphatases alcalines – taux de prothrombine
d. Transaminases – bilirubinémie totale
e. Bilirubine libre – gamma-glutamine transférase

200.2. Quel(s) examen(s) morphologique(s) demandez –vous en première intention ?)

a. Endoscopie digestive haute


b. Echo-endoscopie
c. Ponction biopsie hépatique
d. Echographie abdominale
e. Cholangiographie rétrograde (CPRE)

200.3. Quel(s) diagnostic(s) vous semble (ent) le (s)plus probable(s) ?

a. Cirrhose post hepatitique


b. Cancer primitif du foie
c. Cholécystite aigue
d. Cancer de la tête du pancréas
e. Pancréatite chronique

200.4. Quel(s) traitement(s) proposer ?

a. Transplantation hépatique
b. Sphincterotomie endoscopique
c. Cholécystectomie
d. Duodeno-pancréatectomie céphalique
e. Traitement médical

**

201. Cas Clinique : Un homme âgé de 50 ans, présente un ictère cutanéo-muqueux évoluant depuis
quelques jours, accompagné d’une fièvre à 39°. Les urines sont foncées, les selles décolorées. La
palpation de l’abdomen ne révèle pas d’anomalie. La vésicule biliaire n’est pas perçue.

201.1. Eléments cliniques en faveur d’une angiocholite ?

a. La fièvre
b. L’ictère
c. L’âge
d. L’absence de vésicule palpable
e. La coloration des urines

201.2. Examen(s) complémentaire(s) à proposer en priorité :


a. Scanner abdominal
b. Echographie hépatobiliaire
c. Dosage des phosphatases alcalines
d. Cholangiographie rétrograde
e. Cholangiographie intraveineuse

201.3. Quel(s) diagnostic(s) peut (peuvent) être retenu(s) d’après la clinique ?

a. Angiocholite lithiasique
b. Cancer du hile hépatique
c. Cancer de la tête du pancréas
d. Accès de crise de paludisme
e. Hépatite virale

**

202. Un patient âgé de 40 ans et pesant 70 Kg est admis aux urgences pour une brûlure grave par de
l’eau bouillante, touchant de manière circulaire toute la face antérieure et postérieure du membre
inférieur droit. Selon la profondeur, les lésions sont classées en deuxième et troisième degré.

202.1. Quelles sont les propositions justes?

a. Sa surface brûlée peut être estimée à 36%.


b. La quantité à perfuser dans le schéma de réanimation est de 4520 ml (sachant que sa ration de base
est de 2000 ml).
c. Le patient doit être intubé vue l’importance de la superficie.
d. La stérilisation de la plaie par un pansement au bloc opératoire est faite en urgence avant même le
schéma de réanimation.
e. Le sérum antitétanique est obligatoire.

202.2. Chez ce patient (QCM énoncé plus haut), quelles sont les propositions qu’on peut retenir.

a. Faire un examen cardiaque et un ECG à la recherche de trouble du rythme.


b. Une incision de décharge du membre peut être envisagée.
c. La couche cornée de la peau brûlée est restée intacte.
d. Faire un prélèvement bactériologique sur la plaie.
e. Aucune proposition n’est à retenir.

202.3. Une brûlure électrique est caractérisée par :

a. Des lésions plus étendues en superficie qu’en profondeur.


b. Plus de risques d’atteinte des axes vasculaires.
c. Des troubles de la conduction au niveau cardiaque.
d. Sa grande fréquence par rapport aux brûlures thermiques.
e. Aucune proposition n’est correcte.

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