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Chirurgie Corrigé
Chirurgie Corrigé
a. œsophagite peptique
b. Méga-œsophage idiopathique
c. diverticule épi phrénique
d. œsophagite caustique
e. reflux gastro-œsophagien
4. Dans le cancer de l'antre gastrique, ne dépassant pas l'angle de petite courbure, est indiquée une :
a. Gastrectomie totale
b. Gastrectomie des deux tiers
c. Gastrectomie subtotale
d. Gastrectomie polaire supérieure
e. Gastro-entero-anastomose
a. Phlébite
b. Anémie hypochrome
c. Vomissements
d. Dysphagie
e. Douleurs épigastriques
6. L'adénocarcinome gastrique :
7. Dans le cancer gastrique, selon la classification histologique de Lauren, la forme diffuse est
caractérisée par :
a. Atteint la séreuse.
b. Depasse la musculeuse.
c. S’accompagne d’adénopathies,
d. Atteint la musculeuse sans la dépasser.
e. Envahit les organes de voisinages.
a. Adénome villeux
b. Polype amarthomateux
c. Rectocolite hémorragique
d. Maladie de Hirschprung
e. Maladie de Crohn
11. Type(s) d’exérèse à proposer chez un patient porteur d’un cancer du colon ascendant :
a. Colectomie totale
b. Colectomie subtotale
c. Hémi colectomie droite
d. Amputation abdomino-périnéale
e. Pancolectomie
a. Rectorragies.
b. Epreintes.
c. Ténesmes.
d. Diarrhées.
e. Faux besoins.
14. Quelle manœuvre doit être systématique au cours de l’examen clinique pour rectorragie ?
a. Palpation abdominale.
b. Toucher rectal.
c. Exploration des orifices herniaires.
d. Palpation des creux sus claviculaires.
e. Palpation des creux inguinaux.
15. Un cancer du rectum de 6cm de hauteur siégeant à 4 cm de la marge anale peut être traité par :
a. Tumeur des voies biliaires qui siège de l’abouchement apparent du canal cystique au bord supérieur
du duodénum.
b. Tumeur du cholédoque intra- ou rétro pancréatique
c. Tumeur du confluent biliaire supérieur
d. Tumeur de la vésicule biliaire étendue à la voie biliaire principale
e. Tumeur des voies biliaires intra hépatiques
19. Concernant les différents types de sténoses des voies biliaires mis en évidence à la
cholangiographie au cours des cancers des voies biliaires :
a. Iléus biliaire
b. Ictère retentionnel
c. Cholangiocarcinome
d. Fistule bilio-digestive
e. Cancer de la vésicule biliaire.
22. La colique hépatique :
a. Cholestérol
b. Pepsine
c. Phospholipides
d. Sels biliaires
e. Mucus
a. Obésité
b. Sexe masculin
c. Grossesse
d. Alimentation riche en protéines
e. Prise d'œstro-progestatifs.
a. Cholécystite catarrhale
b. Cholécystite gangreneuse
c. Cholécystite scléreuse
d. Cholécystite phlegmoneuse
e. Cholécystite fibreuse
26. Au cours de la cholécystite aigue, on observe les signes cliniques suivants, sauf :
a. Fièvre
b. Douleur provoquée de l’hypochondre droit
c. Nausées et vomissement
d. Signe de Mallet Guy positif
e. Défense de l’hypochondre droit
a. Plastron vésiculaire
b. Abcès sous hépatique
c. Iléus biliaire
d. Aérobilie
e. Toutes les réponses sont fausses
30. Quel traitement proposer à un homme de 79 ans présentant un ictère par calcul résiduel deux ans
après la cholécystectomie ?
a. Choledocotomie
b. Traitement par voie coelioscopique
c. Sphincterotomie endoscopique
d. Anastomose bilio digestive
e. Drainage par drain de Kehr
a. Cholangite sclérosante
b. Angiocholite
c. Ictère retentionnel
d. Cirrhose biliaire
e. Syndrome de Mirizzi
32. Au cours d’une angiocholite aigue, on observe les signes cliniques suivants, sauf :
a. Ictère
b. Fièvre
c. Douleur de l’hypochondre droit
d. Insuffisance rénale aigue
e. Frissons
a. hypokaliémie
b. hyponatrémie
c. antécédents éloignés de laparotomie
d. traitement par neuroleptiques
e. constipation chronique traitée par les laxatifs.
38. l’appendicite aiguë se manifeste par :
39. Par quel(s) examen(s) peut-on différencier une appendicite aiguë sous-hépatique d'une
cholécystite aiguë ?
a. dosage de la bilirubinémie
b. radiologie de l’abdomen sans préparation (ASP)
c. échographie
d. NFS
e. dosage des phosphatages alcalines
a. Iliaque droite
b. Rétro caecale
c. Sous-hépatique
d. Méso cœliaque
e. Iliaque gauche
a. Diarrhée
b. Vomissements
c. Insomnie
d. Anorexie
e. Douleur abdominale
42. Le signe de Mac Burney est une douleur qui se manifeste lors de :
47. Une femme de 56 ans présente une tuméfaction de la grande lèvre apparaissant lors des efforts. Il
s’agit de :
49. Une hernie inguinale bilatérale chez un homme de 70 ans en bon état général peut être traitée par:
50. Signe(s) clinique(s) associé(s) à une tuméfaction de la racine de la cuisse, en faveur d'une hernie
crurale :
a. impulsivité à la toux
b. réductibilité
c. siège du collet au-dessus de la ligne de Malgaigne
d. siège en dedans des battements de l'artère fémorale
e. siège au dessus du pubis
51. Dans la technique du Shouldice, quelles sont les structures dont le rapprochement reconstitue la
paroi postérieure du canal inguinal ?
a. Immunofluorescence
b. Réaction de fixation de complément
c. Réaction de précipitation
d. Immunoélectrophorèse
e. Hemagglutination passive
53. Toutes les complications suivantes du kyste hydatique du foie sont possibles, sauf :
a. Compression
b. Fistulisation
c. Hémorragie
d. Rupture
e. Suppuration
54. Dans le kyste hydatique, toutes les propositions suivantes sont fausses, sauf :
a. Le kyste hydatide proprement dit est formé de trois structures, deux membranaires et une
liquidienne
b. La cuticule ou membrane externe est une membrane anhiste de couleur ivoire de 1 à 2 mm
d’épaisseur
c. La membrane proligère est le périkyste blanc, souple d’environ 20 um d’épaisseur accolée a la face
interne de la cuticule
d. Le liquide hydatique est clair
e. L’adventice est constitue par le parenchyme hépatique lamine refoulé souple au début
a. Sérum sale à 5%
b. Eau oxygéné à dilué à 10 volume
c. Sérum salé à 20%
d. Eau oxygéné à 5%
e. Sérum sale à 30%
59. En cas d’ischémie plus ou moins sévère des membres, la tolérance des tissus est variable :
60. Tous les signes cliniques suivants sont présents au cours d’une ischémie de membre, sauf :
a. Immobilisation
b. Traitement par héparine
c. Traitement par Lovenox
d. Emboléctomie
e. Désobstruction veineuse par voie chirurgicale
62. Dans la loi des 9 de Wallace, les estimations suivantes sont utilisées pour le calcul de l’étendue des
brulures :
63. La profondeur d’une brulure est évaluée cliniquement par l’existence de symptômes suivants :
a. Une brûlure superficielle ou brûlure du 1er degré se présente comme une rougeur persistante
(érythème)
b. Une brûlure profonde du 3e degré se traduit par un aspect blanc ou noir plus ou moins cartonné
de la peau
c. Les brûlures du 2e degré se traduisent par une phlyctène
d. Les brûlures du 2e degré se traduisent par une anesthésie de la peau
e. Une brûlure profonde du 3e degré se traduit par une anesthésie de la peau
64. La formule d’Evans utilisée pour la réanimation des brûlés à l’admission, est :
a. Une brûlure du premier degré est une brûlure qui affecte seulement les couches superficielles de
l'épiderme
b. Une brûlure superficielle est une brûlure qui affecte la couche basale
c. Les brûlures du 2e degré sont traditionnellement une atteinte de tout l'épiderme jusqu'à la couche
basale intacte
d. Les brûlures intermédiaires entre le 2e superficiel et le 3e degré sont une atteinte partielle de la
couche basale voire sa destruction subtotale
e. Les du 2e degré sont traditionnellement une atteinte de l’épiderme et du derme
66. Le premier problème posé au cours des brûlures graves est réanimatoire. On prévient le choc
hypovolémique par l'administration de liquide calculé par la formule d'Evans qui consiste en :
67. Quels signes cliniques font suspecter la malignité lors de la découverte d’un nodule thyroïdien :
a. Jeune âge où personne âgée de plus de 60 ans avec nodule isolé et de sexe masculin
b. Antécédents d’irradiation du cou
c. Nodule de 3cm, douloureux
d. Présence d’adénopathies cervicales
e. Toutes les réponses sont fausses
68. Quelle conduite à tenir en priorité pour l’exploration d’un nodule thyroïdien ?
69. Dans le cancer thyroïdien toutes les propositions suivantes sont justes sauf une, laquelle ?
70. Quels sont les facteurs pronostics reconnues dans le cancer thyroïdien ?
a. Dérivation biliaire
b. Gastro-entero-anastomose
c. Anastomose pancreatico- digestive
d. Ileo-transversostomie
e. biopsie
74. L’occlusion intestinale haute sur bride se caractérise par toutes ces propositions sauf
75. Dans le volvulus de l’intestin grêle, les propositions suivantes sont correctes, sauf :
76. Dans l’occlusion du colon, les propositions suivantes sont correctes, sauf
77. Dans les occlusions coliques, les images hydro aériques observées sur une radiographie de
l’abdomen sans préparation ont les caractéristiques suivantes, sauf :
a. Peu nombreuses
b. Périphériques
c. Grandes
d. Plus larges que hautes
e. exagérées d’haustrations
78. Forme(s) topographique(s) d’appendicites aigues pouvant être à l’origine d’une occlusion
intestinale fébrile
79. Le tableau typique d’une péritonite appendiculaire comporte tous ces éléments sauf :
a. Contracture généralisée
b. Début des signes prédominant à droite
c. Douleur au toucher rectal
d. Niveaux hydro aériques centraux
e. Syndrome infectieux majeur
80. Dans le plastron appendiculaire, les propositions suivantes sont correctes, sauf
81. Dans le syndrome appendiculaire, les propositions suivantes sont correctes, sauf :
82. Le traitement de la péritonite aigue appendiculaire comporte les mesures suivantes, sauf
83. Le signe le plus évocateur d’une appendicite aigue retro caecale est :
a. Une pollakiurie
b. Un arrêt des matières et des gaz
c. Un hémopéritoine
d. Un état de choc
e. Un psoitis
a. À l’union : tiers externe- deux tiers interne de la ligne joignant épine iliaque antéro-supérieure à
l’ombilic
b. À l’union : tiers interne- deux tiers externe de la ligne joignant l’épine iliaque antéro-supérieure à
l’ombilic
c. Milieu de la ligne joignant l’ombilic à l’épine iliaque antéro-supérieure
d. L’union : tiers externe- deux tiers interne de la ligne joignant l’épine iliaque antéro-supérieure à la
pointe du pubis
e. L’union : tiers interne- deux tiers externe de la ligne joignant l’épine iliaque antéro-supérieure à la
pointe du pubis
85. Concernant l’ appendicite aigue chez la femme enceinte ( 3ème trimestre de la grossesse ) les
propositions suivantes sont correctes, sauf :
86. Dans le syndrome appendiculaire, les propositions suivantes sont correctes, sauf :
a. le signe de Rovsing est une douleur ressentie à la fosse iliaque gauche par compression de la fosse
iliaque droite
b. Le signe de blumberg est une douleur à la décompression de la fosse iliaque droite
c. Le signe de Drachter est une douleur ressentie à la fosse iliaque droite par percussion du talon
d. La constipation est classique
e. La température oscille entre 37,8 à 38°
87. Le syndrome du 5ème jour post opératoire (post appendicectomie) comporte toutes ces
caractéristiques sauf :
89. Quelle est l’irradiation douloureuse la plus évocatrice qui puisse faire évoquer une pancréatite
aigue ?
90. Les signes cliniques suivants orientent vers une pancréatite aigue sévère, sauf :
a. Vomissements
b. Contracture épigastrique
c. Choc hypovolémique
d. Empâtement profond péri ombilical
e. Tache(s) bleue(s) des flancs (signe de Grey Turner)
91. L étendue des lésions pancréatiques et la nécrose pancréatique sont les mieux appréciées par :
92. Dans une pancréatite aigue hémorragique,sont de mauvais pronostic,les facteurs suivants, sauf :
a. Elévation de la créatinémie
b. Baisse de la calcémie
c. Hyperleucocytose supérieure à 16000/mm 3
d. Hyperamylasémie
e. Hyperglycémie
a. Choc
b. Pleurésie
c. Hémorragie
d. Pseudo kyste
e. Encéphalopathie pancréatique
95. Au cours d’une pancréatite aiguë, les propositions suivantes sont correctes, sauf
96. Dans le traitement d’urgence des pancréatites aigues lithiasiques sévères, les mesures
thérapeutiques suivantes sont considérées comme utiles et efficaces, sauf :
97. On ne doit pas envisager de geste thérapeutique chirurgical, endoscopique ou drainage en cas
de :
98. L’anneau crural qui donne issue aux hernies crurales est situé :
100. Concernant l’hernie inguinale oblique externe, les propositions suivantes sont correctes, sauf :
101 Dans les hernies de l’aine, les propositions suivantes sont correctes, sauf :
a. Le pronostic du cancer du colon gauche est meilleur que celui du colon droit
b. La survie après chirurgie curative dépasse rarement les cinq ans
c. La chimiothérapie complémentaire n’a peu d’intérêt après chirurgie
d. La radiothérapie est très efficace en préopératoire
e. Toutes les réponses sont justes
a. écho endoscopie
b. échographie et TDM abdominale
c. échographie suivie d’écho endoscopie
d. Artériographie sélective
e. Scintigraphie et la TDM abdominale
a. Hémorragie digestive
b. Une tumeur de l’hypochondre gauche
c. Une tumeur ombilicale
d. Des douleurs épigastriques
e. Aucune de ces propositions n’est correcte
a. Hernie hiatale
b. Gastrite atrophique de Biermer
c. Moignon de gastrectomie
d. Gastrite hypertrophique de Ménétrier
e. Gastrite chronique atrophique et lésions de dysplasies
a. L’échoendoscopie est un examen de choix pour apprécier l’envahissement pariétal et les extensions
locorégionales
b. Les biopsies peuvent ne pas être concluantes en particulier dans les cancers infiltrants (linite)
c. Un ulcère gastrique d’aspect bénin même cicatrisé doit faire l’objet de contrôles avec biopsies
multiples
d. La tomodensitométrie est indiquée à la recherche d’une extension locorégionale (organes de
voisinage, ganglions, signes de carcinose
e. Toutes ces réponses sont justes
121. Concernant le cancer de l’estomac, les propositions suivantes sont correctes, sauf :
122. Concernant le cancer de l’estomac, les propositions suivantes sont correctes, sauf :
124. Le pyocholécyste :
a. Cholangiographie intraveineuse
b. Echographie hépatobiliaire et pancréatique
c. Cholangiographie rétrograde per endoscopique
d. Scanner abdominal
e. Cholangiographie transhépatique
130. Concernant la lithiase cholédocienne, les propositions suivantes sont correctes, sauf :
a. température à 39°C
b. irradiation scapulaire droite de la douleur
c. oligurie et l’élévation de la créatinémie sérique
d. langue chargée
e. augmentation des phosphatases alcalines
132. Le traitement chirurgical d’une lithiase de la voie biliaire principale en dehors d’épisodes
infectieux aigus (angiocholite, cholécystite aigue) ne peut être réalisé que par :
a. Cholécystectomie
b. Cholédocotomie avec ablation du calcul et fermeture du cholédoque
c. Cholécystostomie
d. Cholécystectomie et cholédocotomie avec ablation du calcul et fermeture ou drainage du
cholédoque
e. Anastomose cholédoco duodénale
134. L’estimation de la surface brulée selon la règle des 9 de Wallace concernant la tète et le cou est
estimée à :
a. 9%
b. 8%
c. 10%
d. 12%
e. 11%
a. « Cooling » : refroidissement des zones brulées par de l’eau tiède 20° à 25°
b. ôter les vêtements qui ne collent pas à la peau
c. Envelopper les zones brulées ouvertes dans un champ stérile
d. Désinfecter les plaies et faire pansement sur place
e. Installer une perfusion, transporter le brulé dans un centre spécialisé, bilan des lésions et plan du
traitement
137. Dans les brûlures graves, durant les 48 premières heures, pour prévenir le choc hypovolémique,
on administre les quantités de solutions (selon la formule d’Evans) comme suit :
139. la cholécystite aigue, sur le plan pathogénique, est habituellement en rapport avec :
a. Un reflux duodéno-biliaire
b. Une infection par voie hématogène
c. Le blocage d’un calcul dans le siphon vésiculaire
d. D’un calcul cholédocien
e. Une dyskinésie vésiculaire
140. La cholécystite aigue chez un adulte jeune sans tare viscérale est traitée par :
a. Antibiothérapie et cholécystectomie
b. Cholédocotomie
c. Cholécystotomie
d. Anastomose cholédoco-duodénale
e. Ponction d la vésicule sous échographie
a. Lithiase cholédocienne
b. Palpation transpariétale d’une grosse vésicule
c. Occlusion intestinale fonctionnelle
d. Epanchement liquidien péri- vésiculaire
e. Occlusion colique par migration d’un volumineux calcul
a. La lithiase de cholédoque
b. Le cancer de la vésicule
c. Le cancer du pancréas
d. L’iléus biliaire
e. La pancréatite aigue
145. une femme de 30 ans a un syndrome douloureux de l’hypochondre droit. Vous découvrez une
lithiase vésiculaire à l’échographie. En cholécystographie, la vésicule est perméable, les calculs font
entre 5 et 8 mm. Que proposez-vous ?
a. Rien
b. traitement cholérétique
c. traitement dissolvant par l’acide ursodésoxycholique
d. cholécystectomie
e. régime hypocholestérolémiant
a. Contracture abdominale.
a. Etat septique initial.
b. Disparition de la matité pré hépatique.
c. Douleur au toucher rectal.
d. Présence parfois de pneumopéritoine.
149. Dans une péritonite aigue, l’infection peut gagner la séreuse péritonéale par :
a. effraction traumatique.
b. suppuration d’un organe intra abdominal.
c. voie sanguine.
d. rupture intra abdominale d’une suppuration.
e. Toutes les réponses sont exactes.
150. Devant une péritonite aigue généralisée, on ne retiendra pas, en faveur de son origine
appendiculaire :
154. Parmi les affirmations concernant la lithiase du cholédoque, indiquez celle(s) qui est (sont)
exacte(s) :
156. En dehors d’épisodes infectieux (angiocholite, cholécystite aigue) ,le traitement chirurgical d’une
lithiase cholédocienne ayant migré à partir de la vésicule consiste en :
a. Cholécystectomie
b. Choledochotomie avec une ablation du calcul et fermeture du cholédoque
c. Cholécystostomie
d. Cholécystectomie et cholédochotomie avec ablation du calcul et fermeture du cholédoque
e. Anastomose cholédoco-duodénale seule
157. Un patient de 75 ans a subi une cholécystectomie il ya un an. On découvre maintenant un calcul
cholédocien résiduel de 7 mm. Quel traitement proposer ?
158. L’infection humaine par la larve hydatique se transmet selon le(s) mode(s) suivant(s) :
a. Mouton-Homme
b. Chien-mouton-Homme
c. Chien-Homme
d. Aliments souillés-Homme
e. Aliments souillées-mouton-Homme
a. stade I
b. stade II
c. stade III
d. stade IV
e. stade V
162. Au cours du kyste hydatique du foie, on observe les complications suivantes, sauf :
a. Etranglement herniaire
b. Iléus biliaire
c. Tumeur iléale
d. Volvulus intestinal sur bride
e. Hypo-kaliémie
165. A l’abdomen sans préparation, le diagnostic d’une occlusion de l’intestin grêle est porté devant :
a. Maladie de Cröhn
b. Volvulus par bride
c. Iléus biliaire
d. Invagination intestinale aigue
e. Aucune des propositions précédentes n’est correcte
a. Un nodule hyperfonctionnel.
b. Un nodule hypo fonctionnel.
c. Un nodule kystique.
d. Un nodule solide.
e. Un carcinome différencié.
170. Concernant l’exploration d’un nodule de la thyroïde, découvert chez un adulte jeune. :
173. La recherche d’une récidive d’un carcinome papillaire de la thyroïde opéré, se base sur le dosage
de :
a. Sont définies par une atteinte de plus de 10% de la surface corporelle chez l’adulte.
b. La première phase, dans l’évolution, dure entre 48 et 72 heures et est dominée par les séquelles
fonctionnelles et esthétiques.
c. L’étiologie la plus fréquente est la brûlure thermique.
d. Le premier geste d’urgence dés la réception est l’antibiothérapie.
e. Aucune de ces propositions n’est juste.
175. Dans les brûlures graves, l’atteinte de tout l’épiderme avec respect de la couche basale de
Malpighi :
a. Est une brûlure du premier degré.
b. Est une brûlure du deuxième degré intermédiaire profond.
c. Peut guérir en 10 à 12 jours.
d. La zone brûlée est insensible et cartonnée.
e. La zone brûlée présente des phlyctènes avec un fond très sensible, rose et se décolore à la
pression.
176. Devant un tableau confirmé d'ischémie aiguë d'un membre inférieur, on retient en faveur d'une
étiologie emboligène :
177. Dans une ischémie aiguë d'un membre inférieur par thrombose de l'artère fémorale , on observe :
a. Embolie pulmonaire.
b. Froideur du membre
c. Abolition du pouls fémoral et conservation du pouls pédieux.
d. Signe de Homans présent.
e. Pâleur du membre et trouble de la sensibilité.
178. Une ischémie aiguë d'un membre inférieur, se présentant sous forme de gangrène du pied
impose, dans le cadre de l’urgence :
179. Devant un tableau confirmé d’ischémie aiguë d'un membre inférieur, on indiquera la
désobstruction par la sonde de Fogarty, mais précédée de :
a. Echographie abdominale.
b. Héparinothérapie intraveineuse.
c. Evacuation du patient vers un centre spécialisé pour une artériographie.
d. Evacuation du patient en cardiologie pour la recherche, l’exploration et le traitement d’une
éventuelle étiologie cardiaque.
e. Aucune de ces propositions n’est juste
180. Dans le syndrome de revascularisation d’une ischémie aiguë d'un membre inférieur,( après
désobstruction en urgence par sonde de Fogarty), on retrouve:
a. Embolie pulmonaire.
b. Hyperkaliémie
c. Septicémie
d. Œdème des loges musculaires.
e. Insuffisance rénale avec myoglobinurie.
183. Quel est le premier organe atteint lors de l’extension du cancer de la vésicule ?
a. Estomac.
b. Œsophage.
c. Foie
d. Parois.
e. Jéjunum
a. Cholécystectomie simple.
b. Cholécystotomie élargie au parenchyme hépatique.
c. Cholécystectomie avec pancréatectomie.
d. cholécystectomie simple suivie de cures de radiothérapie externe.
e. Chimiothérapie première suivie d’une cholécystectomie.
a. Douleur lombaire
b. Une dysurie
c. Un priapisme
d. Flexion antalgique de la cuisse droite
e. Toutes les réponses sont justes
a. Azathioprine (Imurel®).
b. Virus des oreillons.
c. Chirurgie digestive ou transplantation cardiaque.
d. Hyperthyroïdie.
e. Anomalie canalaire congénitale de type pancréas divisum ou pancréas annulaire.
192. Au cours de la pancréatite aiguë, l'activation des enzymes pancréatiques peut être à l'origine :
193. Une crise de pancréatite aiguë est évoquée devant l’irradiation douloureuse :
a. Périombilicale en barre.
b. Sous-costale droite.
c. Scapulaire droite.
d. Transfixiante vers le dos.
e. Descendante.
194. Les signes cliniques suivants orientent vers une pancréatite aiguë sévère sauf /
a. Vomissements incoercibles.
b. Contracture épigastrique.
c. Choc hypovolémique.
d. Empâtement profond périombilical.
e. Tâche(s) bleue(s) des flancs (signe de Grey-Turner).
197. Les anomalies suivantes sont facteurs de mauvais pronostic dans une pancréatite aiguë
hémorragique sauf :
a. Elévation de la créatininémie.
b. Baisse de la calcémie.
c. Hyperleucocytose > 16000/mm3.
d. Hyperamylasémie.
e. Hyperglycémie.
198. Concernant les facteurs prédictifs de pancréatite biliaire, les propositions suivantes sont
correctes, sauf :
199. Un homme de 65 ans est hospitalisé pour un ictère cutaneo-muqueux nu ayant débuté il y’a 15
jours. On note que depuis un mois le patient présente des troubles dyspeptiques avec un
amaigrissement de 6 Kg. L’examen clinique découvre un ictère franc, des lésions de grattage, une
hépatomégalie à bord mousse, de surface irrégulière, sensible à la palpation, une vésicule tendue.
199.1. Quel (s) examen (s) biologique (s) complémentaire (s) demandez-vous pour confirmer la nature
de cet ictère ?
a. Marqueurs tumoraux
b. Taux d’albuminémie et cholestérolémie
c. Bilirubine conjuguée – phosphatases alcalines – taux de prothrombine
d. Transaminases – bilirubinémie totale
e. Bilirubine libre – gamma-glutamine transférase
199.2. Quel(s) examen(s) morphologique(s) demandez –vous en première intention ?)
a. Transplantation hépatique
b. Sphincterotomie endoscopique
c. Cholécystectomie
d. Duodeno-pancréatectomie céphalique
e. Traitement médical
a. Dérivation biliaire
b. Gastro-entero-anastomose
c. Anastomose pancreatico- digestive
d. Ileo-transversostomie
e. biopsie
**
200. Cas clinique : Un homme de 65 ans est hospitalisé pour ictère cutanéo-muqueux nu apparu depuis
15 jours. On note que depuis un mois, le patient présente des troubles dyspeptiques avec un
amaigrissement de 6 Kg. L’examen clinique découvre un ictère franc, des lésions de grattage, une
hépatomégalie à bord mousse, de surface irrégulière, sensible à la palpation, une vésicule tendue.
200.1. Quel (s) examen(s) biologique(s) complémentaire(s) demandez-vous pour confirmer la nature
de cet ictère ?
a. Marqueurs tumoraux
b. Taux d’albuminémie et cholestérolémie
c. Bilirubine conjuguée – phosphatases alcalines – taux de prothrombine
d. Transaminases – bilirubinémie totale
e. Bilirubine libre – gamma-glutamine transférase
a. Transplantation hépatique
b. Sphincterotomie endoscopique
c. Cholécystectomie
d. Duodeno-pancréatectomie céphalique
e. Traitement médical
**
201. Cas Clinique : Un homme âgé de 50 ans, présente un ictère cutanéo-muqueux évoluant depuis
quelques jours, accompagné d’une fièvre à 39°. Les urines sont foncées, les selles décolorées. La
palpation de l’abdomen ne révèle pas d’anomalie. La vésicule biliaire n’est pas perçue.
a. La fièvre
b. L’ictère
c. L’âge
d. L’absence de vésicule palpable
e. La coloration des urines
a. Angiocholite lithiasique
b. Cancer du hile hépatique
c. Cancer de la tête du pancréas
d. Accès de crise de paludisme
e. Hépatite virale
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202. Un patient âgé de 40 ans et pesant 70 Kg est admis aux urgences pour une brûlure grave par de
l’eau bouillante, touchant de manière circulaire toute la face antérieure et postérieure du membre
inférieur droit. Selon la profondeur, les lésions sont classées en deuxième et troisième degré.
202.2. Chez ce patient (QCM énoncé plus haut), quelles sont les propositions qu’on peut retenir.