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DIVIDENDE
Encadré par :ATLAGH MOHAMMED
Présenté par : ELKANBI HOUDA
Introduction
verser un dividende VS réinvestissement ultérieure.
La maximisation de la richesse de
l’actionnaire .
Le maintien de ressources de
financement suffisantes.
Instruments de distribution
■ Le rachat d’actions
■ SCRIP
■ Remboursement de capital
1 . Notions :
Bénéfices distribuables
La distribution d’un dividende sous-entend la présence d’un résultat pouvant être redistribué. Ce résultat est
Résultat de l’exercice
- Résultats antérieurs
+ Reports bénéficiaires
= Bénéfice distribuable
Le dividende
« Une affectation possible des flux de trésorerie de l’entreprise. Il se traduit par un transfert de
se compose :
• Premier dividende : « intérêt statutaire calculé sur le montant libéré et non remboursé des
actions »
Dividend declaration date : à ce moment-là que le Conseil d’Administration propose que l’Assemblée Générale
Ex-dividend date : est cruciale pour l’investisseur souhaitant bénéficier du paiement du dividende décidé
préalablement.
Payment date : la valeur des capitaux propres baisse d’autant, puisque l’entreprise en tant qu’entité s’est
appauvrie du fait du versement d’une partie de sa trésorerie sous forme de dividendes à ses actionnaires.
Cadre théorique relatif à la politique de dividende
Théories de neutralité.
L’effet clientèle.
théorie de l’agence.
Théories de neutralité : Miller et Modigliani (1961)
Hypothèses :
Les marchés financiers sont réputés parfaits
Les marchés financiers sont réputés efficients
La rationalité des investisseurs
Entreprise
Investisseur
Pour l’entreprise Pour l’investisseur
Les entreprises forcées de supporter d’important coûts de transaction seront contraintes de réduire
leur taux de distribution pour éviter des coûts liés à un refinancement sur le marché. (Mueller, 1967 ;
Higgins, 1972)
* Allen et Michaely : une firme choisit son mode de distribution selon la fiscalité de ses
* Black et Scholes (1974) et Miller et Scholes (1978): les entreprises payant un faible ou aucun
* Lintzberg et Ramaswamy (1980) et Eades, Hess, et Kim (1984) : une clientèle n’est pas
* Perez et Gonzalez (2002) : les entreprises ont tendance à ajuster leur politique de dividende en
surveillance des dirigeants dans l’accomplissement de la mission qui leur a été confiée.
- Rechercher des financements alternatifs (dette) : risque de faillite plus important et donc plus de
Le facteur informationnel
*** L’actionnaire prend en compte ses infos puis évalue l’action en conséquence.
*** Le ratio de distribution cible
L’effet clientèle :
- Le risque
- Contraintes institutionnelles
- Le levier financier
- Clauses restrictives
- La liquidité
de croissance
Les types de politiques de dividende
Politique opportuniste.
Une introduction en Bourse est une opération financière destinée à lever des fonds sur un marché boursier.
Selon le profil et les objectifs de la société, deux situations peuvent se présenter :
o Augmentation du capital
L’entreprise souhaite réaliser de nouveaux investissements sans faire appel à ses actionnaires actuels ou
à ses banquiers.
L’entreprise désire réduire son endettement.
Conformément du Dahir portant la loi n°1-93-211 relatif à la bourse de valeurs , modifié et complété par les lois 34-96, 29-00, 52-01
Contraintes de IPO
Pour l’entreprise :
■ Listing sponsor
■ Avocats
Le prix d'acquisition et la quantité des titres(taux de service) qui seront livrés sont fixer une
fois l'ensemble des ordres sont reçus. Seuls les ordres supérieurs ou égaux au prix définitif
fixé seront servis a un taux de service qui sera calculé au préalable .
Exemple : Une entreprise x propose une fourchette de prix entre 10 et 20 euros monsieur B
a un ordre pour 100 titres a 18 euros. Une fois les ordres sont reçus l'entreprise x va fixer
son prix définitif a 16 euros avec un taux de service à 70 %.
l'entreprise et l'intermédiaire financier définissent le nombre des titres qui seront mis en
circulation sur le marché ainsi que leur prix de vente.
L’offre à prix minimal (OPM)
Est une ancienne manière de faire un introduction en bourse, qui d'ailleurs n'existe pas en
France. Donner le prix le plus juste a laction en ecartant a la fois les prix les plus bas et les
offres trop élevés .
Les titres sont mises en vente en prix minimale , chaque acheteur potentiel va donc devoir
communiquer le pris auquel désir se procurer l'action ainsi que la quantité désirée .Une fois tout
ces ordres réceptionnés la société va déterminer un prix minimal en dessous duquel elle
n'acceptera aucun ordre.
Une fourchette de prix sera également choisie ;ainsi que la quantité de demandes qui seront
satisfaite c'est a dire le taux de service .
La cotation directe
Le nombre de titres qui vont être émis en bourse ainsi que leur prix minimal va être déterminer à
l'avance .
Les investisseurs sont donc autorisés à passer des ordres à cout limité ou bien au marché et ceux
qui le feront seront prioritaires par rapport aux autres investisseurs . Une fois l'ensemble des
ordres reçus et bien deux conditions doivent être validés pour que l'introduction en bourse puisse
se faire.
• Premier cours coté du titre ne pourra être supérieure a 10% du prix minimum : chaque
investisseurs doit recevoir une quantité minimum de titres
L’augmentation de l’effet de levier financier entraîne une action sur la structure du capital
liquidités temporaires avec des effets bénéfiques sur le PER et sur les
cours de l’action.
1. Signaler la sous-évaluation
4. Réduire la dilution.
■ Destruction d’actions
En cas de rachat d’actions propres, les actionnaires doivent donc bien réfléchir aux
Baisse des capitaux propres :l’entreprise soit amenée à se tourner à nouveau vers les marchés des
capitaux.
Moins de fonds disponibles pour les investissements : l’intérêt des actionnaires restants est
La valeur de la société n'est pas directement influencée par le choix entre le rachat d'actions et
le versement de dividendes.
Inclusion des liquidités ( les liquidités réservées au paiement des dividendes ainsi que celles
allouées au rachat d'actions) dans l'évaluation.
Le calcul des cash-flows par titre doit inclure à la fois le dividende prévu par action et les
liquidités reçues du rachat .
Le rachat de titres réduit le nombre de titres disponibles mais accroît les bénéfices et les
dividendes par titre.
Interprétation du rachat d’actions propres
la réussite de
l’entreprise
sa valorisation
Les techniques de rachat des actions :
Si la société est cotée, on parle alors d’offre publique de rachat (OPRA) par la société de ses
propres actions.
Le conseil d’administration, par autorisation de l’AGE , propose à tous les actionnaires de leur
racheter tout ou partie de leurs actions à un certain prix, et ce pendant une certaine période.
Suivant le principe d’égalité, la société doit adresser une offre de rachat à tous ses actionnaires.
L’opération a le statut juridique d’un remboursement et non celui d’une cession de titres.
L’offre de rachat négociée avec un actionnaire principal
Actionnaire principal : Il s'agit d'un actionnaire qui détient une part significative du capital de
l'entreprise. Cela peut être une personne physique, une autre entreprise, ou une entité
institutionnelle.
Au lieu de le faire de manière publique sur le marché, l’entreprise s'engage dans des
négociations directes avec un actionnaire majeur pour parvenir à un accord mutuel sur les
modalités du rachat.
Le rachat sur le marché (sociétés cotées uniquement)
En achetant sur le marché, l'entreprise paie le prix actuel du marché pour ses propres actions.
Cela peut être avantageux si l'entreprise est convaincue que le cours actuel est inférieur à la
valeur intrinsèque de ses actions. L'entreprise ne peut pas racheter plus de 10 % de ses actions
en circulation.
Par rapport à des négociations avec un actionnaire principal, le rachat sur le marché peut être
moins disruptif sur le plan organisationnel et peut éviter des négociations prolongées.
les opérations de restructuration
Les apports partiels d’actifs
sur un ensemble de biens (l’actif et le passif) : cela forme ce que l’on appelle une
Société A Société A
Médias Défense Défense
Société B
Médias
Cas particulier de restructuration des groupes
Actionnaire de A Actionnaire de B
1-X % 100%
X%
Société A Holding B
opérations de scission (ou filialisation)
Avant Après
Actionnaires Actionnaires
phénomène, assez bien connu aujourd’hui, est appelé « décote des conglomérats ».
Pour les investisseurs : La qualité inférieure de l’information dont ils disposent les
incite à payer moins cher les actions d’un conglomérat, et, de fait, à appliquer une
décote au conglomérat.
conglomérat ».
Néanmoins !!!
■ Baisse de la valeur ajouté : Les divisions filialisées qui appartiennent au même secteur
■ Perte de synergie : Les synergies font référence aux avantages obtenus lorsque les
Avant Après
Actionnaires Actionnaires
L'entreprise offre à ses actionnaires la possibilité d'échanger leurs actions existantes contre des
Les actionnaires ont le choix d'échanger leurs actions de l'entreprise mère contre des actions de la
filiale. Cela peut être perçu comme une offre publique d'échange d'actions.
Les actionnaires ont l'option de participer à l'opération en échangeant leurs actions, mais ils ne sont
Avant Après
Actionnaires Actionnaires
Un achat hostile
Les acquisitions par échange d’actions sont souvent répertoriées comme des opérations
de fusion (fusion à l’anglaise) et non des opérations d’acquisition car elles sont proches :
VAN = (Valeur des flux attendus de l’opération) − (Montant des fonds nécessaires à sa réalisation)
Croissance fictive (croissance des gains par action) résulte des synergies obtenues :
En appelant :
VA : la valeur indépendante de A
VB : la valeur indépendante de B
Alors :
Gain financier = VAB − (VA + VB) = ∆VAB