Vous êtes sur la page 1sur 47

Sommaire

Remerciements

Dédicace

But de stage

Introduction

Liste des figures

Chapitre I : Présentation de l’entreprise


Section 1 : Secteur automobile au Maroc
Section 2 : Présentation SNOP
 Présentation générale
 Le Groupe FSD en 2010
 Les chiffres clés
 SNOP Tanger
 Présentation des secteurs de SNOP
 Présentation des spécialités de SNOP

Chapitre II : Présentation du lieu de travail

Section 1 : Généralité sur la maintenance


Section 2 : Description de l’atelier

Chapitre III : Travail effectué


Section 1 : Généralité sur l’audit
Section 2 : Détail du travail
Section 3 : Plan d’action

Conclusion

Annexe

1
Liste des figures
Figure 1 : Sites de production du groupe FSD

Figure 2 : Répartition des ventes (31.05.10)

Figure 3 : Chiffres clés

Figure 4 : vue global du secteur outillage

Figure 5 : Pièces métalliques obtenues (emboutissage)

Figure 6 : secteur PRP

Figure 7 : Ilots robotisés

Figure 8 : Le Robot MAG

Figure 9 : Une torche de soudure

Figure 10 : Principe du Soudage MAG

Figure 11 : Ilot robotisée


Figure 12 : l’ensemble d’ilot SR

2
Remerciement :

Je tiens à remercier tout d’abord M.BENNIS Tajeddine de m’avoir permis de faire mon

stage au sein de la société SNOP, ainsi que M. BADYINE Responsable maintenance de ses

conseils précieux et de m’avoir permis de réussir ce stage dans les bonnes conditions.

Mes vifs remerciements vont également à mon encadrant M. ARINATE ingénieur

méthodes, pour sa sincère collaboration, ses conseils précieux et ses informations généreuses.

Je remercie aussi tous le personnel de leur assistance continue tout au long de mon stage et

surtout de leur disponibilité et leurs directives toujours constructives.

Enfin, merci à tous ceux qui ont participé de prés ou de loin à l’élaboration de ce travail.

3
Dédicace

A ma Mère et mon Père,

Aucune dédicace ne saurait exprimer mes profonds respects et considérations

Que ce travail doit être le témoignage de ma grande gratitude

Puisse Dieu le tout puissant vous procure santé et longue vie.

A mes frères

A mes amis

Et à tous ceux qui ont participé au succès de ce modeste travail.

Vers la fin J’espère que ce travail donnera satisfaction à toutes les personnes et à tous ceux qui

auront l’occasion de le consulter.

4
But de stage

Un stage de formation représente un atout considérable dans le parcours scolaire de tout

étudiant.

Il permet à l’étudiant de se familiariser avec le domaine professionnel, d’effectuer des

travaux afin de toucher de près la réalité de ce domaine et d’exploiter ses connaissances. Ce

stage permet un premier élan vers le monde professionnel que chaque individu qualifie et

désire ardemment intégrer.

Ce stage me permettra de tester mes capacités, mes ambitions et d’apprendre les codes

de cette vie et ses principes. Ainsi, j’espère avoir acquis l’esprit de synthèse et d’analyse

primordiale dans ce monde.

5
Introduction :

Un stage dit de formation ne peut être que bénéfique pour l'ensemble des étudiants,

afin de mieux concrétiser tout ce qu'on a acquis comme bagages théoriques et passer d'un

stade de savoir vers un autre de savoir-faire. Ainsi, c’est une opportunité pour se procurer un

bon esprit capable d'affronter un domaine plus professionnel, celui du travail.

Le Service Maintenance au sein de la société SNOP m'a permis de comprendre différents

processus de travail, et d'avoir une vision sur le travail de l'entreprise aussi bien que le rôle et

les tâches confiées à chaque poste dans chaque service et les relations entre les différents

services et organismes.

Mon rapport s’articule en trois chapitres, le premier chapitre sera consacré à la

présentation de l’entreprise. Le chapitre suivant présentera une étude des différentes activités

de l’atelier où j’étais accueillie, et le dernier chapitre expliquera le détail du travail que j’ai

effectué durant ma période de stage.

6
CHAPITRE I :

PRESENTATION
SNOP TANGER

PRÉSENTATION DE L’ORGANISME
D’ACCUEIL

7
Secteur automobile au Maroc

La croissance du marché automobile marocain est saine, il repose sur la bonne santé
économique du pays. Globalement le marché a enregistré une hausse en 2006, plusieurs
facteurs sont à l’origine de cette appréciation, tel que l’activité de montage des véhicules
s’identifie pratiquement à la SOMACA, qui assure l’assemblage des marques Renault pour les
véhicules utilitaires légers.

Par ailleurs, les chiffres de ventes par marques laissent ressortir que Renault se maintient
toujours en pôle position, grâce à un partenariat entre le royaume du Maroc et Renault,
l’usine de Tanger est inaugurée en février 2012, ce site industriel à zéro émission de CO2 et
zéro rejet liquide industriel, l’usine implanté à Mallousa a généré plusieurs équipementiers de
l’industrie automobile.

SNOP constitue l’une des plus importants sous-traitant dans la zone franche de Tanger, c’est
l’un des premiers sites de choix pour les fournisseurs Renault, il représente le client principal.

8
Présentation SNOP

1. Présentation générale

SNOP (SOCIETE NOISEENNE D’OUTILLAGE DE PRESSE) est un leader européen de la


fabrication de composants métalliques pour l'industrie automobile. SNOP est une filiale du
groupe FSD (Financière SNOP-Dunois), qui a été créé en 1991. Ce groupe est spécialisé dans la
sous-traitante automobile ses deux métiers sont :

 Le découpage et l’emboutissage de pièces métalliques de carrosserie SNOP.


 La conception et la réalisation d’outillage de presse SMOM.

L’intégration de SNWM permet au Groupe d’acquérir des compétences nouvelles dans le


domaine du Profilage et du Cintrage. Ainsi, fin juillet 2009, le Groupe décida de prendre une
participation majoritaire au sein du capital du principal fabricant de presse du groupe :
BALCONI. Cette dernière, frappée de plein fouet par la crise économique mondiale.
L’implantation du groupe français au Maroc a nécessité 6 millions d’euros, ses bâtiments plus
de 15000 mètres carrés avec un projet d’extension sur plus de 53000 mètres carré.

Les principaux secteurs d’activité de SNOP sont la caisse en blanc, les pièces d’organes
mécaniques, et les pièces de sièges et de sécurité passive.

Avec un chiffre d’affaires moyen annuel de 381 millions d’euros en 2009, soit environ 4,5
milliards de DH, SNOP se place comme leader sur le marché de l’emboutissage des petites
pièces. Il compte aussi un effectif de plus de 2.300 personnes réparties entre une dizaine de
sites de production dont plus de la moitié en France.

9
La figure suivante présente les différents sites de production dans le monde du groupe FSD :

Figure 13 : Sites de production du groupe FSD

2. Le Groupe FSD en 2010


 540 M€ de chiffres d’affaires
 3 929 personnes (intérim compris).
 24 sites de production dans le monde :
 14 en France,
 2 en Espagne,
 3 en République Tchèque,
 1 en Turquie,
 1 au Maroc
 1 en Grande-Bretagne,
 1 en Italie,
 1 en Chine.

10
 4 centres techniques : 2 en France, 1 en Espagne et 1 en Allemagne.
 250,000 tonnes de matières transformées.
 220,000 heures d’outillage.

3. Les chiffres clés :

REPARTITION DES VENTES (31/05/2010)

12%

PCA
32% RENAULT
12%
NISSAN
VAG
2% TPCA
5% OPEL
Autres clients
5%
Outillage et prototypes

10%
22%

Figure 14 : Répartition des ventes (31.05.10)

11
 Nos clients et quelques véhicules

12
 Les trophées SNOP

PEUGEOT
VOLKSWAGEN TOYOTA CITROEN
RENAULT

Quality 2008
Formel Q 1999 Logistics 2004 Economic Performance 2006

PEUGEOT CITROEN VOLVO TRUCKS


RENAULT

Quality 2009 Premium Supplier Quality 2009


2008

13
4. SNOP Tanger
L’usine de Tanger dispose de plusieurs presses automatiques pour la fabrication des
éléments de carrosserie, entre autres équipements.

D’ailleurs, le plan d’investissement de SNOP Dunois est calqué pour suivre les évolutions
du groupe RENAULT. Le nombre d’emplois à créer sera de 250 pour un chiffre d’affaires qui
devra atteindre les 450 millions de DH à terme fin de 2012.

Le site possède des chaînes d’assemblage. Déjà, la fin de l’été, les premiers éléments ont
été livrés aux chaînes du constructeur français pour le montage des premiers véhicules de test.
L’équipement de haute technologie est composé de cinq presses BALCONI dont deux de 1 200
tonnes ; deux de 630 tonnes et une de 315 tonnes, 22 robots d’assemblage, des robots de
mesure dimensionnelle et de 16 presses de soudure (PRP). La direction du site estime la
consommation annuelle à 21 000 tonnes de tôles d’acier en bobines.

Le tableau suivant résume les chiffres clés du SNOP Tanger :

Nom Société Anonyme SNOP Tanger


Adresse Zone franche d’exportation de Tanger
Lot 65/66 90000 Tanger
Date de Juin 2011
démarrage
Chiffres d’affaires 30 Millions DH
Effectifs 290

Surface d’usine 14.800m2


Activités - Emboutissage
- Moyens d’assemblage
- Profilage / Cintrage

Figure 15 : Chiffres clés

SNOP Tanger comprend :


14
 Hall outillage ; Hall bobines.

 Zone Robots SR ; Zone Robots MAG.

 Zone presses BALCONI ; Zone profilage / cintrage / façonnage.

 Zone métrologie ; Zone mécanismes ; Zone soudure P.

5. Présentation des secteurs de SNOP

Dans cette phase je vais définir chaque secteur et son fonctionnement :


Secteur outillage :

Le secteur outillage se divise en deux parties :


 Parc outillage : cette zone est destinée au stockage des outils et la préparation pour la
mise en fonctionnement par montage dans la presse.

 Atelier outillage : cet atelier est destiné à la préparation et le maintien des outils, les
opérations effectuées dans l’atelier sont de nature sécurisation ou/et conception des
éléments dans l’outil.
Le secteur est sous la direction des cadres « outilleur » qui assure le bon déroulement et le
planning des opérations de maintenance.
Le transport et la mise en place des outils du lieu d’entretien au table de presse est assuré par
des guides à bandes amovible, ces derniers et à l’aide d’un pont permettent la manutention en
toute sécurité.
Les outils permettent d’obtenir des pièces à chaque coup de presse, il se compose de deux
matrices (Inférieur et supérieur) qui impose la déformation plastique de la tôle (Procédé
d’emboutissage).

15
Figure 16 : vue global du secteur outillage

Service des Méthodes

Le service des méthodes ou bureau des méthodes est, dans une entreprise, l'interface entre la
ligne de production et le bureau d'étude. Il est chargé de concevoir et de fournir les outils
utiles à la production afin d'améliorer la productivité globale de l'entreprise, d'améliorer les
conditions de travail et de fournir les outils d'analyse nécessaires aux études de coûts
standard, c’est-à-dire :

 vérifier, avec le bureau d'étude, la faisabilité et la fabricabilité d'un produit,


 mettre en œuvre les moyens de production nécessaires (machines, opérateurs, matériels
et équipements, …),
 définir les temps nécessaires à la production,
 définir les coûts de production,
 optimiser les temps/coûts de production.

16
Ce service est en relation directe avec :

 le bureau d'étude,
 la production,
 les achats,
 les commerciaux,
 la logistique.

Il est aussi en charge, plus ou moins selon les entreprises, de veiller au bon fonctionnement
de la production en changeant les machines, le matériel, et plus largement les postes, ou en
apportant des modifications sur ceux-ci. Ce service est aussi en charge du choix des machines
lors de nouveaux achats ou de la conception de celle-ci le cas échéant. Le service méthodes est
en veille technologique constante.

Secteur Maintenance

La maintenance est définie comme étant l’ensemble des actions permettant de maintenir
ou de rétablir un bien dans un état spécifié et en mesure d’assurer un service déterminé.
On observe dans l’entreprise deux niveaux de maintenance :
 Le premier repose principalement sur une maintenance préventive traitant
particulièrement les niveaux d’huile, le graissage, les contrôles des différentes pressions et
des organes de sécurité ainsi que le maintien en état de propreté de la machine et son
environnement.
 Un aide pratique est à disposition pour repérer toutes ces gammes d’entretiens, toutes ces
actions sont reportées sur une fiche des consignes et de suivi en présence permanente sur
le poste de travail.

17
La standardisation de la maintenance corrective dans des fiches d’opérations se
positionne comme une tâche très importante chez la société SNOP. Il s’agit de poser un
standard plus pratique qui permet de poser des gammes d’opérations au personnel de la
société.

Secteur logistique :

La logistique est l’ensemble des techniques de gestion et d’optimisation des flux de matières
premières, des composants et des semi-produits dans le cas des échanges entreprise –
fournisseur.
On parle alors de logistique amont ou logistique fournisseur. C’est l’art de fournir des moyens
et des ressources à l’endroit et au moment où les services utilisateurs en ont besoin. En
particulier, les étapes cruciales sont l’entreposage, le transport et la distribution de ces
produits.
L’objectif poursuivi est de minimiser les coûts, en ayant un stock minimal (objectif qualité «
zéro stock ») et en optimisant les transports (objectif qualité « zéro délai », ou « juste à temps
»), tout en maximisant la disponibilité des produits, afin d’éviter les ruptures de stock. Entre
l’entreprise et ses clients on parle de logistique de distribution qui consiste à mettre à
disposition des clients les produits ou services achetés, l’objectif poursuivi est de répondre
dans des délais optimums (« time to market » ou « delivery time ») pour satisfaire cette
demande en minimisant les stocks de produits finis.

Secteur Qualité

Le mot "Qualité" est de plus en plus utilisé dans les entreprises, quels que soient leur taille et
leur secteur d’activité. De nombreux concepts se cachent derrière la notion de "Qualité".

18
Dans la pratique, la qualité se décline sous deux aspects indissociables :
La qualité externe, perçue par les clients d’une entreprise, correspondant à la satisfaction des
clients. Il s'agit de fournir un produit ou des services conformes aux attentes des clients, en
d’autres termes il s’agit de satisfaire ses clients …et bien sûr, toute entreprise ayant des clients
se dit que c’est ce qu’elle fait tous les jours !...et pourtant… ce type de démarche passe par une
nécessaire remise à plat de l'organisation de l'entreprise.

La qualité interne - c'est le deuxième aspect de la notion de qualité - correspondant à


l'amélioration du fonctionnement interne de l'entreprise. L'objet de la qualité interne est de
mettre en œuvre des moyens permettant de décrire au mieux l'organisation, de repérer et de
limiter les dysfonctionnements. Les bénéficiaires directs de la qualité interne sont la direction
et les personnels de l'entreprise, mais les clients externes sont également directement
impactés par le bon ou le mauvais fonctionnement interne de l’entreprise.

Secteur Production :
Secteur R.H :
La science qui se consacre à la gestion d’entreprises regroupe l’ensemble des employés et
des collaborateurs d’une organisation sous le concept des ressources humaines. Cette même
désignation est attribuée au département ou à la personne à qui il appartient de sélectionner,
engager, former et retenir les travailleurs au sein d’une entreprise.
Les politiques des RH (ressources humaines) ont pour but d’aligner l’effort des salariés et la
stratégie de l’entreprise concernée. La fonction est souvent contemplée dans des domaines
tels que : Recrutement et Sélection, Rémunérations et Avantages Sociaux, Formation et
Développement, etc.
Une des principales tâches des ressources humaines au sein d’une entreprise est la mise en
œuvre des tableaux des effectifs et des plannings RH, qui visent à mettre à profit les
compétences du personnel en fonction du budget disponible, à créer un environnement de
travail agréable (camaraderie) et à développer le potentiel humain de chaque salarié.

19
Le but est de faire en sorte que le travailleur se sente satisfait de son travail
tout en le mettant en valeur pour aboutir aux objectifs de l’entreprise. Les tableaux de bord
servent aussi à avoir un suivi des avancements du personnel ainsi que des activités de
formation, et de les adapter si besoin.
Un autre aspect essentiel dans la gestion des ressources humaines est la politique salariale,
selon laquelle le budget se veut d’être distribué de façon équitable aux travailleurs/salariés sur
une période de temps déterminée au préalable, suivant des critères relatifs aux mérites et à la
performance de chacun d’entre eux.
Les outils technologiques qui permettent l’interface entre la gestion des ressources
humaines et les technologies de l’information et de la communication sont connus sous le nom
de Systèmes d’Information de Gestion des Ressources Humaines.

A SNOP l’organigramme suit l’hiérarchie suivante :

Directeur général
Tajdinne BENNIS

Responsable Achat et
Responsable Directeur Responsable DRH
Logistique: Responsable QSE
Méthode production Finance Sanae
Hicham ZIKI
Mourad
Badr BABAALI Hassan AAMRI Mohamed ZIZI
HOUSAINI
MOUKHLISS

Responsable Responsable Maintenance Maintenance


Emboutissage Assemblage outillage:
moyens
Hassan Abdelhakim Christophe
OUMSAHEL Wakak Tareq Badiyin Marquant

20
6. Présentation des spécialités de SNOP :

C’est quoi l’emboutissage ?

1. Définition :

L’emboutissage est un procédé de mise en forme très utilisé dans l’industrie, permettant
d’obtenir des pièces de surface non développable à partir de feuilles de tôle mince, montées
sur presse. La tôle appelée « flan », est la matière brute qui n’a pas encore été emboutie.
L’opération peut être réalisée avec ou sans serre flan pour maintenir le flan contre la matrice
pendant que le poinçon déforme la feuille.

2. Les avantages de l’emboutissage :

-L’emboutissage est un procédé permettant d’obtenir des pièces de surface non développable
à partir de feuilles de tôle mince. C’est à dire qu’il est possible d’obtenir des formes très
variées impossible à obtenir avec un tour ou une fraiseuse.
- L’état surface d’une pièce brute d’emboutissage est nettement meilleur que celui d’une pièce
coulée. L’esthétique des pièces embouties en est donc bien supérieure et les travaux de
finition tel que le polissage sont moins lourds à gérer et surtout moins coûteux.

21
- Cette technique de mise en œuvre offre un bas prix de revient et permet des
cadences de production très élevées :
-100 à 200 pièces par heure pour des pièces de gros volumes (carrosserie automobile).
-3000 à 4000 pièces par heure pour des petites pièces (renfort, capuchon de réservoir).

3. L’emboutissage a SNOP

Le secteur emboutissage regroupe quatre presses automatiques, avec un dévidoir à bobines,


redresseur et aménage.
On distingue dans ce secteur :
o Une presse de 315T ;
o Deux presses de 630T ;
o Deux presses de 1200T.
 Un pont de capacité maximale 32 T pour transporter les outils.

Secteur emboutissage
Une presse 1200T (BALCONI)

22
Figure 17 : la presse et ses composants

Le secteur se charge de produire des pièces métalliques par procédé d’emboutissage selon la
demande du client, les pièces obtenues sont placés dans un stock intermédiaire afin de les
assembler dans le secteur assemblage

Figure 18 : Pièces métalliques obtenues (emboutissage)

23
Quelques sites d’emboutissage :

Gacé (Ouest France)


Izmit (Turquie)

Igualada (Espagne)

C’est Quoi L’ASSEMBLAGE ?

1. L’assemblage a SNOP :

Ce secteur se divise en deux parties, assemblage 1 et assemblage 2.


L’assemblage 1 regroupe des petites presses de soudure :
 15 PRP (petite presse à souder par résistance) pour souder des vis et écrous pour les
sous-ensembles ;
 3 pinces pour le soudage par résistance à guidage manuel
L’assemblage 2 centralise essentiellement des cellules robotisées pour la soudure :
 11 Ilot de soudure par résistance SR ;

 7 Ilot de soudure MAG.

24
Les deux figures représentent les deux secteurs d’assemblage :

Figure 19 : secteur PRP

Figure 20 Ilots robotisés

25
2. Etude sur les cellules robotisées pour la soudure

 Définition de la soudure MAG :

La soudure MAG est une opération de soudage qui consiste à assembler par fusion, des
pièces, avec un métal d’apport.

MAG : Métal Gaz Actif

Figure 21 : Le Robot MAG

Figure 22 : Une torche de soudure

26
Figure 23 : Principe du Soudage MAG

 Les robots de type ILOT SR :

Les robots de type ILOT SR sont des robots destinés à souder (soudage par point) les pièces
obtenues par le procédé d’emboutissage.

Figure 24 : Ilot robotisée

27
Chaque îlot se compose de :

 Une enceinte équipée d’une porte d’accès latérale verrouillée électriquement, et en


façade, 2 rideaux mécanisés de marque ALBANY, protégeant contre les projections de
soudure et permettant l’accès des opérateurs pour chargement et déchargement des
pièces;

 Une armoire électrique principale;

 Un robot de marque KUKA ;


 Une baie robot avec coffret de gestion de soudure (générateur électrique) ;

 Une rôdeuse d’électrodes de pince de soudure.

Figure 25 : l’ensemble d’ilot SR

28
Principe de fonctionnement :

Après le chargement des pièces à souder, l’opérateur doit appuyer sur le bouton de
validation du travail, puis le rideau correspondant se ferme et le robot entame l’opération de
soudage par résistance, enfin, le robot éjecte la pièce finale et le rideau s’ouvre pour que
l’opérateur puisse la récupérer.
Une opération de rodage d’électrodes de pince de soudure s’effectue tout en dépassant un
certain nombre de point de soudure (en générale 100 points) auprès de la rôdeuse.

Les Mesures :

Pour que notre Robot puisse produire une bonne qualité de soudage, Nous devons effectuer
des mesures d’efforts et d’intensité.

Procédure de mesure :

Les mesures de l’intensité et d’effort ou bien la pression et le courant dans les robots sont
réalisé chaque 15 jours, La réalisation de ce mesure joue un grand rôle dans la qualité de
soudage chez les robots SR car c’est lui qu’indique que la pièce soudée est conforme ou pas,
pour effectuer ce travail on a toujours besoin de deux personnes, un technicien maintenance
qui manipule le Robot et un opérateur qui réalise la mesure de pression et de courant,
N’oublions pas que le courant dans un seul robot et 10KA et l’effort peut atteindre jusqu'à
450DAN et le problème de cette procédure c’est que les pinces des robots restent très proches
du technicien. Bref ! Il y’a un manque de sécurité lors de la réalisation des mesures « Il y a eu
un accident à une usine Renault en 2005 ». En plus de ça en réalisant les mesures avec cette
procédure on peut atteindre jusqu'à 30min par Robot.

29
Un technicien avec un opérateur qui réalise les mesures

30
CHAPITRE II :
Présentation du lieu de
travail

31
Généralité sur la maintenance :

1. Définition de la maintenance :
La maintenance vise à maintenir ou à rétablir un bien dans un état spécifié afin que celui-ci soit
en mesure d’assurer un service déterminé.

La maintenance, comme son origine verbale l’indique, vise donc à entretenir un équipement
afin de lui permettre d’assurer son rôle et de remplir ses objectifs.

Dans le contexte industriel, la maintenance a pour but de produire un bien ou un service à des
clients, en utilisant des équipements industriels (lignes automatisée de fabrication, tuyauterie
de circulation de fluides, engins de transport…).

Elle se décline selon deux principaux axes : le préventif et le curatif, et la hiérarchisation


suivante vous donnera plus de détail sur ces points que nous développerons dans les chapitres
suivants.

32
2. Objectifs et enjeux de la maintenance :

Bien que n’apparaissant pas directement dans la valeur ajoutée des biens produits par une
entreprise, la maintenance est pourtant indispensable. Vous connaissez surement le
slogan « Sans Maîtrise, la Puissance n’est rien », et bien dans le cas de la maintenance, on
pourrait habilement le transformer en « Sans Maintenance, la Production n’est rien ».

Même si cela n’est pas totalement vrai, la maintenance joue un rôle support de plus en plus
important que le monde industriel. D’une part, elle permet de maintenir des équipements en
bon état de fonctionnement, et par conséquent d’augmenter leur durée de vie, mais elle
permet également d’assurer la production en respectant des notions de délai et de qualité : un
camion non entretenu tombera en panne sur sa route, ne pourra assurer sa livraison en temps
et en heure et entraînera une non satisfaction du client.

C’est pour cela qu’il ne faut pas s’arrêter au rôle stricte d’entretien du matériel de la part des
services de maintenance, mais également à ces coûts indirects qui, dans un monde de plus en
plus exigeant en terme de réactivité et de qualité, pénalisent les entreprises face à la
concurrence.

Le coût de la non-maintenance peut être évalué comme suit :

33
Et quant il s’agit des méthodes d’optimisation de la maintenance, il s’agit avant tout de réduire
le coût global de la maintenance qui entre dans les charges de production d’une entreprise. Il y
a donc deux enjeux bien distincts dans la maintenance : Assurer la satisfaction des clients et
réduire les dépenses totales d’entretien des équipements.

3. Les types de la maintenance :

La maintenance préventive :

La maintenance préventive est une maintenance planifiée et effectuée selon des critères
définis préalablement afin de réduire la probabilité de défaillance d'un équipement et la
dégradation des services qu'il doit rendre. Il s'agit donc de réaliser des interventions sur un
système opérant, qui est en état de marche, afin de prolonger cet état de fonctionnement.

Pour prendre un cas simple, il s'agit par exemple de faire l'entretien périodique de son véhicule
(planifié par les constructeurs tous les 20000 ou 30000 kilomètres) alors que celui-ci est
toujours en état de vous emmener où bon vous semble.

La maintenance préventive se décline en trois versions : la maintenance systématique, la


maintenance conditionnelle et la maintenance prévisionnelle.

 La maintenance systématique :

La maintenance systématique correspond à la maintenance préventive effectuée selon un


planning prédéfini, avec des interventions à intervalles préalablement fixés, et ce, quelque soit
l'état de fonctionnement du matériel sur lequel on doit intervenir.

34
 La maintenance conditionnelle :

La maintenance conditionnelle correspond à la maintenance préventive effectuée dans le


cadre de la surveillance de l'état d'un équipement. Cela correspond à anticiper les défaillances
futures en analysant l'état de fonctionnement ou d'usure d'un matériel. On retrouvera des
méthodes telles que les analyses d’huile ou encore les analyses vibratoires permettant
d’évaluer l’état d’un matériel et de décider sur une intervention est nécessaire ou pas.

 La maintenance prévisionnelle :

La maintenance prévisionnelle est un cas particulier de la maintenance conditionnelle. Elle


correspond à la planification d'intervention suite au dépassement du seuil de dégradation d'un
équipement. A partir d’indicateurs mesurables (pressions, vibrations, températures…), on va
pouvoir évaluer une évolution de l’état de dégradation d’un équipement. Au-delà d’un seuil
défini et de l’évolution prévisionnelle de l’usure du système, on lancera l’opération de remise
en état.

La maintenance corrective :

Deuxième axe général de la maintenance, la maintenance corrective correspond à la


maintenance qu’on pourrait également appelée «réparation ». Elle intervient dans le cas d’une
panne, ou d’une défaillance technique entraînant des arrêts de production, des rebuts… Pour
revenir sur le cas simple de l’automobile, on parlera de maintenance corrective dans le cas de
la réparation d’une roue crevée. Comme décrit dans le chapitre sur la définition de la
maintenance, elle va se décliner en deux versions.

35
 La maintenance curative :

On appellera maintenance curative toute intervention de maintenance rentrant dans le cadre


d'une réparation durable suite à un incident qui entraîne un arrêt de production. Ce sera, dans
le cas d'une crevaison de voiture, le remplacement du pneu crevé par un pneu neuf.

 La maintenance palliative :

On appellera maintenance palliative toute intervention de maintenance rentrant dans le cas


d'une réparation provisoire suite à un incident au cours du processus de production. Dans le
cas de notre crevaison, ce sera la mise en place de la "galette", roue temporaire ne permettant
pas de rouler à plus de 80 km/h et nécessitant la remise en place ultérieure de la roue d'origine
réparée.

La maintenance corrective est incontournable. En effet, on ne peut pas anticiper toutes les
pannes, et même si on pouvait prévoir toutes les défaillances, ne travailler qu'avec de la
maintenance préventive ne serait pas économiquement rentable.

Équilibrer la maintenance :

Toutes les entreprises cherchent à augmenter leur rentabilité, et cela passe par l’optimisation
des coûts industriels. Dans ces derniers interviennent obligatoirement les coûts de
maintenance des équipements. Comme détaillé dans les parties précédentes, les coûts de
maintenance vont se découper en coûts de maintenance préventive et en coûts de
maintenance corrective.

36
Cette optimisation économique va passer par une répartition optimale entre les deux types de
maintenance.

Ne pas abuser de la maintenance préventive

La maintenance préventive a pour objectif d’anticiper les pannes et de réduire les arrêts
imprévus. Mais un excès de maintenance préventive peut rapidement devenir couteux et
inutile. Pour aller à l’extrême, on pourrait aisément imaginer ne faire que de la maintenance
préventive, en remplaçant les pièces potentiellement défaillantes avec des intervalles très
courts. Mais cela reviendrait très cher en pièces de rechange, mobiliserait un nombre
important de techniciens de maintenance et augmenterait les arrêts des équipements afin de
réaliser ces interventions.

A l’inverse, éviter de ne faire que du correctif

A l’inverse, il ne faut pas tomber de l’autre excès et ne faire que de la maintenance corrective.
On pourrait facilement se dire qu’on ne touche à rien tant que la machine n’est pas en panne.
Dans ce cas, on ne maîtrise quasiment plus ses équipements, on les laisse volontairement se
dégrader au risque d’avoir des pannes plus importantes, des arrêts en pleine production (cela
peut par exemple être critique dans une production continue), une baisse de la fiabilité et de la
productivité induite par leur état.

37
Description de l’atelier

1 .Activités :
Etude :

Sa mission principale est l'analyse du travail à réaliser en fonction de la politique de


maintenance choisie. Elle implique la mise en œuvre d'un plan de maintenance avec des
objectifs chiffrés et des indicateurs mesurables.

Préparation : La préparation des interventions de maintenance doit être considérée comme


une fonction à part entière du processus maintenance. Toutes les conditions nécessaires à la
bonne réalisation d’une intervention de maintenance seront ainsi prévues, définies et
caractérisées. Une telle préparation devra bien sûr s’inscrire dans le respect des objectifs
généraux tels qu’ils sont définis par la politique de maintenance : coût, délai, qualité,
sécurité,…

Quel que soit le type d’intervention à réaliser, la préparation sera toujours présente.
Elle sera :
 implicite (non formalisée) : dans le cas de tâches simples, l’intervenant assurera lui-
même, par expérience et de façon souvent automatique la préparation de ses actions ;
 explicite (formalisée) : réalisée par un préparateur, elle donne lieu à l’établissement
d’un dossier de préparation structuré qui, faisant partie intégrante de la documentation
technique, sera utilisé chaque fois que l’intervention sera réalisée. Il sera donc
répertorié et conservé sous réserve de mises à jour ultérieures.

38
Ordonnancement : L'ordonnancement représente la fonction du chef. Dans un service
maintenance caractérisé par l'extrême variété des tâches en nature, en durée, en urgence et
en criticité.

Réalisation : La réalisation consiste à mettre en œuvre les moyens définis dans le dossier de
préparation dans les règles de l'art, pour atteindre les résultats attendus dans les délais
préconisés par l'ordonnancement.

Gestion : La fonction gestion du service maintenance devra être capable d'assurer la gestion
des équipements, la gestion des interventions, la gestion des stocks, la gestion des ressources
humaines, et la gestion du budget.

 Domaines d'action du service maintenance :

Voici la liste des différentes tâches dont un service maintenance peut avoir la responsabilité:
 la maintenance des équipements : actions correctives et préventives, dépannages,
réparations et révisions.
 l’amélioration du matériel, dans l’optique de la qualité, de la productivité ou de la
sécurité.
 les travaux neufs : participation au choix, à l’installation et au démarrage des
équipements nouveaux.
 les travaux concernant l’hygiène, la sécurité, l’environnement et la pollution, les
conditions de travail, …
 l’exécution et la réparation des pièces de rechanges.
 l’approvisionnement et la gestion des outillages, des rechanges, ...
 l’entretien général des bâtiments administratifs ou industriels, des espaces verts, des
véhicules, ...
Ce qui prouve le bien-fondé d’une formation polyvalente.

39
 Fonction :

La maintenance dans la société a pour objectif maintenir la circulation du flux de production


dans les meilleures conditions. Elle est divisée en trois niveaux, deux représentants la
prévention Niveau 1 et 2, des vérifications journalière faite suivant des opérations bien
déterminées (exemple dans l’annexe) et le 3ème représente la correction et réparation
nécessite : analyse de la situation + mise en œuvre d’un plan de maintenance + préparation de
l’intervention + réparation de la machine + documentation du détail de l’intervention.

2. Organigramme :

Pour se faire, l’hiérarchie de l’entreprise opte à diviser le travail selon les compétences du
personnels

40
CHAPITRE III :

Travail effectué

41
Généralité sur l’audit

L'audit est l'examen professionnel qui consiste en une expertise par un agent compétent
et impartial aboutissant à un jugement sur les états financiers, le contrôle interne,
l'organisation, la procédure, ou une opération quelconque d'une entité.

L'audit constitue un outil d'amélioration continue, car il permet de faire le point sur l'existant
(état des lieux) afin d'en dégager les points faibles et/ou non conformes (suivant les
référentiels d'audit). Ce constat, nécessairement formalisé sous forme de rapport écrit permet
de mener par la suite les actions adéquates en vue de corriger les écarts et
dysfonctionnements constatés.

 Enjeux de l’audit :

L'audit est un processus systématique, indépendant et précisément documenté


permettant de recueillir des informations objectives pour déterminer dans quelle mesure les
éléments du système cible satisfont aux exigences des référentiels du domaine concerné.

Il s'attache notamment à détecter les anomalies et les risques associés dans les organismes et
secteurs d'activité qu'il examine. Auditer une entreprise, un service, consiste notamment à
écouter les différents acteurs pour comprendre et faire évoluer le système en place.

 Types de l’audit :

L'audit interne :

L'auditeur interne, comme son nom l’indique, travaille au sein d'une entreprise.
La mission principale d’un auditeur interne est de veiller au respect des procédures. Celles-ci
étant en général, décidées et mises en place par la direction de l’entreprise. Son travail se fait
essentiellement par la méthode de l’observation.

42
Il observe, discute avec les employés qui travaillent et ainsi tente d’évaluer les méthodes
de travail des employés. Il peut, sur le terrain, décider de changements éventuels qui
pourraient améliorer la productivité ou tout simplement veiller au bon respect des différentes
procédures mises en place.

En plus de cette mission principale, l'auditeur interne peut se charger d’autres tâches
d’organisation, comme :
 les contrôles organisationnels,
 un audit financier pour diagnostiquer d'éventuelles défaillances
 etc.

Un bon auditeur interne doit passer tous les services de l’entreprise au peigne fin. Il ne doit
rien laisser au hasard afin d’établir une liste exhaustive de tous les points et les faits
marquants, les lacunes et les disfonctionnement.

Ainsi, il est clair qu’un bon auditeur doit maîtriser tout le processus de l’entreprise pour
déceler les moindres failles. C’est un vrai métier d’expert qui demande des compétences
importantes. En plus des compétences techniques, il doit montrer beaucoup de qualités
humaines et relationnelles afin de pouvoir communiquer sans problème avec les différents
employés. La diplomatie est très importante car il n’y a pas réellement de lien hiérarchique
entre eux et est même souvent mal perçu et traité d’espion venant épier le travail plutôt que
comme une personne qui audite et qui désire apporter des améliorations.

 L'auditeur externe :

A la différence de l’auditeur interne, cette personne ne fait pas partie de l’entreprise, elle est
donc amenée à se déplacer dans l’entreprise. Même si ses missions ressemblent beaucoup à
celles de l'auditeur interne, ces missions varieront en fonction de la culture de l’entreprise ou
des procédures qui y sont appliquées.

43
Les avantages de l’auditeur externe : après avoir vu les limites du travail de
l’auditeur interne on peut facilement deviner les avantages de l’auditeur externe qui réalité,
travaille dans un environnement différent.

 L’absence de conflit avec ses collègues : contrairement à l’auditeur interne, il ne travaille


pas au sein de son entreprise et n’est donc pas perçu comme un « traitre » espion de la
direction mais bien comme une personne extérieure.
 L’acquisition d'expériences diverses : en travaillant dans des secteurs assez différents et très
enrichissants. L’auditeur se retrouve expert de plusieurs secteurs et acquiert des
compétences pointues.
 Le relationnel : en changeant assez fréquemment de lieu de travail, l’auditeur externe
connait de nouvelles personnes et change de climat social

44
Détail du travail

1. Introduction :
Pour chaque machine l’opérateur responsable est censé faire de la maintenance préventif et
remplie des relevés suivant les résultats obtenus :
OK :
NOK :
NA :
Notre mission était d’auditer ces relevés en notant toutes les anomalies rencontrées suivant
des tableaux bien détaillés. Suivant cette synthèse il faut mette en œuvre un plan d’action.

2. Synthèse :

( Tableaux Excel )

45
Conclusion

Durant ce stage, j’ai pu toucher de près un autre monde très différent de celui des études,
c’est le monde du travail. J’ai pu apprendre que le travail a des exigences, des devoirs et des
priorités à respecter. C’est aussi une occasion qui m’a permis d’accumuler quelques nouvelles
connaissances et d’élargir le cercle de mon expérience.

En outre, ce stage m'a donné l'occasion d'affronter pour un certain temps la vie
professionnelle, Je confirme qu’il m’a été d’un grand apport car il m’a permit d’enrichir mon
savoir faire dans le travail collectif, et d’apprendre à chercher l’information et d’affirmer ma
personnalité et mes ambitions.

Pour conclure, ce stage vient comme une période d’observation qui m’a donné une idée
sur le monde professionnel, l’organisation d’une entreprise et les relations au sein de
l’entreprise.

46
Annexes

(Relevé Excel)

47

Vous aimerez peut-être aussi