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-Chapitre 1 : Consommation et l’épargne

Intro:

C’est le grand débat éco de toute société. Arbitrage entre conso et épargne au XX ième et et
début XXI.
Classique et néoclassique → L’épargne qui augmente le revenu
Kenésien : conso
Taux d'intérêt négatif, la banque baisse l’épargne pour relancé l’éco.(
Les banques des pays développé empreinte à des taux négatifs

I La consommation et épargne des ménages

Pour la comptabilité nationale, un ménage est un groupe d’individu qui vivent sous un même
toit et les fonction éco principales consistent à fournir des facteurs de prod au autres agents
éco et à utilisé des revenus et ses facteurs pour la conso et ou l’épargne.

A- Définition et classification

(voir E campus pour grafique)


Sur un plan éco la comptabilité nationale définit la conso comme l’opération éco qui consiste
à acquérir des biens ou des services pour satisfaire un besoin. Ses biens et ses services sont
destiné à être détruit après leurs utilisations.
On distingue généralement d’abord la conso intermédiaire → le fait des entreprises, une
transformation des services de prode et aussi il y a la conso finale des ménages. → consiste à
satisfaire les besoins d’un ménage.
Consommation finale des ménages → dépenses des ménages et ses dépenses inclut la part des
dépenses de santé, d'éducation, de logement restant à leur charge après remboursement
éventuel.
Consommation effective des ménages → Recouvre l’ensemble des biens et services que
recouvres les ménages et quelques soit la manière dont ils sont financées, on va rajouter
certains services produit par l’adm comme la location logement ou dépenses publics.

Distinction entre conso marchande et non marchande.


Conso de marchande: conso de bien sur le marchand couvrant son taux de production
Conso non marchans : conso d’un bien acheté à un cout inférieur à son coup de prod. Pris
infériruer à la moitié de son cout de reviens. Fournit par l’adm public et fait dans l’intéret
général et à pour objectif de permettre à tous les citoyen de consommé sans être empêché la
barrière d’un prix élevé.

L’épargne :
(voir graphique E Campus)
La part du revenus disponible des ménages qui n’est pas utilisé en dépenses de conso finale,
part dispo d’actif physique ou financier.
Epargne financière et non financière
L’épargne n’est pas que le fait des ménages même les E. Sur le plan macro éco, l’épargne des
ménages est le plus significatif.
Epargne financière : La capacité de financement des ménages, cette épargne est constitué de
principe financier mais peut être aussi des actifs détenus sous formes liquides, pour mesurer
l’évolution de l’pargne des ménages on utlise le taux d’épargnes qui est le rappoot entre
l’épargne brut divisé par révenu brut. On pourra l’aclaté entre taux d’épargne financier et non
financier.
Epargne non financière : C’est la part de l’épargne consacrer aux biens immobiliers, ou
placement d’argent. Ses décisions d’actions dépend. (Intervention de Victor qui explique
l’emprunt à long terme mais prix peuvent chuté)

B- L’évolution du mode de la conso

(voir tableau E campus)


Evolution de la conso entre 1960 et 2007
2015 la conso finale s’élevait à 1125 000 000€ en FRance
La conso des français a bcp augmenté, est de 3 fois plus élevé qu’en 1960 par personne.
Volonté d’un pays de misé sur la conso intéreiru ou non.
Ex : En France à la protection sociale et santé la plus élevé. On sait que les français
consomme. L’Allemagne a une balace commerciale excédentaire car elle exporte plus qu’elle
importe car le pays mises plus sur ça contrairement à la conso intérieur de l’Allemagne. Mais
la Chine montre des faiblesse du coup depuis un an l’Allemangne exporte moins qu’avant.
Donc l’Allemagne devrait plus s’intéresser à la conso intérieur.
Autre exemple la Chine, pb classique de pays en voie de dvpt à développé. Avant la Chine
était usine du monde mnt veut augmenter ses salaire du coup les cout augmente et du coup
pas ouf? De plus évolution technologique avec plus de valeur ajouté donc moins d’export.
Donc la Chine a les même pb que les pays dvpt or la Chine n’a développé son PIB. Donc la
Chine devra développer son marché intérieur. 1989 chute du mur de Berlin, Deng Xiaoping
était président. Le marché financier chinois est hermétique et Hong Kong est la ville où il y a
le plus d’argent, donc bcp trop d’épargne et pas assez dans la protection sociale.

Evolution depuis les 30 glorieuses : augmentation de 4% de la conso au niveau individuel


chaque année. A l’époque inflation, révolution industriel les gens achetaient des voitures
ect… Les salaires suivaient l’augmentations des prix. Lors du premier choc pétrolier baisse
de l’augmentation. Changement de répartion entre 1960 et anné 2000, baisse de l'habillement.
Augmentation de la part des logement, des transports, de la santé, de la communication, des
loisirs.
Loi d’Engel, c’était un statisticien allemand au 19ème. Un seule loi d’Engel et les autres
viennent de Carol Rwight. De manière général ces loi mettent en évidence stable entre
variation des revenu et évolution de certaine dépense et conso des ménage
1er loi: Plus une famille est pauvre plus grand est le pourcentage du revenu qu’elle doit
consacrer à l’alimentation. Conso des bien alimentaire augmentent plus vite que les revenus.
Pcq manger est un besoin primaire. Or pour une famille riche on ne mange pas 2 fois plus car
effet de saturation
2eme : La part affecté au dépense de chauffage d’éclairage, de vêtement et logement est
globalement stable, quelque soit le revenu.
3ème loi : Montre que la part du revenu consacrer au dépense d’éducation de santé et voyage
augmente plus vite que le revenu.
Loi encore intérressante, effet empirique. La conso de la nourriture est de 50% dans les pays
paures et 15% dans les pays riches. La 3ème loi pas ouf.

C- L’évolution de l’épargne et de sa structure

(voir graphique sur E campus)


On a ici l’évolution de l’épargne entre 1950 et 2010. Les 30 glorieuse fait appel à une
tendance d’un taux d’épargnes des ménages qui dépassent 20% dans les années 70. Cette
augmentation ne s’explique pas de manière homogène. 1960 et 1975 → 30 glorieuse, donc
hausse du taux d’épargne par la logique Keynésienne → Epargne croissante.
A partir de 1974, crise pétrolière part des ménages qui continue à augmenter. Départ des
précaution. Logique Friedman les ménage voulaient lissé leur conso donc augmenter leur
épargne
1978-87 , période marqué de la consommation, baisse continue de 11% de l’pargne. Contexte
de crise économique et d’inflation, envolé du chomage et les politique is en place vont baissé
les salaire et les revenus donc les ménages vont puiser dans leur épargnes → effet Cliqué.
L’inflation réduit la richesse réel généré par d’autre épargne et donc les ménage vont se
rendre compte progressivement que leur épargne vont réduire. Le taux d’épargne va remonté
brutalement à partir de 1987 et en 1993 va être autour des 15%. Explication de cette relativité
→ vieillissement de la pop plus difficulté de répartition dans le système de retraite. Logique
de cycle de vie. Les gens qui vieillisse anticipé des retraite, et veulent metrre de l’argent de
coté, et force à épargner. Pourquoi cette stabilisation de l’épargne ? Car endetteent de l’état et
croissance des déficit public donc incite l’épargne pcq anticipe une futur augmentation des
impo.

La composition de l’épargne des ménages : Libéralisation financière des année 80, loi
bancaire 1984 → libéralisation des marchés financiers. Les vion des E public en 1986, donc
épargne financière et baisse depuis 2008 du taux d’épargne à cause de la crise des subprime.
Après la crise des subprime les banque ont du soutenir des pays baisse depuis 2008 de
l’épargne. La France peut emprunter a des taux très faible car les pays comme les US ou la
chine ont bcp de liquidité. Les ménages étaient instable donc ont ramené une partie de leur
épargne dans l'immobilier, surtout si bulle immobilière.

II L’analyse micro de la conso

A- Les concepte de base de la microéconomie


Né à la fin du XIXème siècle. Néoclassique et Marginaliste.
Les consommateurs sont rationnels

La fonction d’utilité
x1, x2
x=(x1,x2)

L'homo Economicus effectue des choix de nature éco c’est a dire que l’individu est le point
de départ de la démarche micro éco et les néoclassique considère que ça fait partie des
individu que sa fait parti des codes éco et sociaux.
1 supposition: les agents sont isolé. Ex : Robinson Crusoé. Choix écono en faisant abstraction
de tout le reste.
Ambition des néoclassique est d’extraire tout ceux qui perturbe le comportement comme la
jalousie, code sociétaux…Les choix de Robinson dépendent unique de ses gouts et ses gouts
on va les appelé préférences et des caractéristique du monde dans lequel il évolue quel bien la
nature lui offre? L’utilité est la 1ère chose qu’on étudie
Robinson est seule face à la nature et désir maximiser sa satisfaction en consommant certaine
quantité des biens qui lui sont disponible, Robinson doit confronter ses désires et ses
préférences au détriment du monde qui l’entour.
Robinson n’a que 2 biens, le bien 1 et le bien 2 donc on va noté x1 et x les quantité des biens
1 et 2 et ses quantités sont positives et divisibles. Un panier x de bien est un ensemble
contenant une quantité de chaque bien x2 et x1 et est noté x.

Ensemble de consommation de Robinson comme l’ensemble grand X des paniers de biens


peut accéder étant donné ses ressources.

Les hypothèses sur les préférences du consommateur

Réflexibilité : pour tout panier xa de l’ensemble des paniers X, on a : xa > xa-


Tout panier est au moins aussi desirable qu’un panier identique

Transitivité : si xa > xb et xb > xc alors, xa > xc, traduit la rationalité de l’individu. Parmis
l’ensemble des paniers qu’il peut consommer il y a au moins un panier qu’il préfère à tout les
autres.

Complétude : Pour tout panier xa et wb on a forcément xa > xb ou xa < xb, ça veut dire que
l’individu est tjs capable n’importe quel panier de bien par rapport à n’importe quel autre et
au pire il s’en balek.

Continuité: si le panier xa est strictement préféré au panier xb alors tout panier assez proche
de xa est strictement préféré à tout panier proche de xb.

Croissance stricte : si un panier xa contient au moins autant de bien 1 et plus de bien 2 (ou
l’inverse) que le panier xb alors il préféra le panier xa a au panier xb. Cela suppose que
l’individu préfère consommer tjs plus que les deux biens. On parle donc de non sasiété ou de
non saturation.

Convexité : cette hypothèse impose à l’individu de préfrer les paniers de bien diversifiés,
contenant une quantité de chaque bien aux paniers de biens spécialisés. On exclut donc de la
rationalité les consommateurs monomaniques

ex : Robinson on va le traduit dans une visions purement économique. Pour ça on va utilisé


une relation de préférence qui va traduire les gouts de robinson en matière de consommation
et ses gouts en matière de conso s’exprime par comparaison entre les biens qu’il peut
consommer c’est une représentation mathématique des goûts de Robinsons. La particularité
est que Robinson va comparer les paniers de biens 2 à 2 et il est capable de les classer selon
un ordre de préférence. On appelle ça la préférence ordinale. Robinson peut très bien être
indifférent au deux paniers. Et les préférence de Robinson sont représentés graphiquement
qui sont représentés par les courbes d'indifférence. Une telle courbe contient tout les paniers
de bien entre lesquels il s’en fou donc tous les paniers qu’il lui procure une satiété égale.

(voir courbe E campus)


Ses hypothèse permettent de caractériser les formes de courbe d’indifférence (courbe
convexe), courbe d’indifférence continue c’est conforme au hypothèse de l’ordre de
préférence. Une courbe d’indifférence est décroissante et cette croissance conduit
l'indifférence décroissante. Ca veut dire que Robinson pour rester indifférent entre deux
paniers il faut que l’un contient plus de l’un des deux biens que l’autre paniers et aussi moins
de l’autre bien. Une courbe d’indifférence est convexe ça traduit l’hypothèse de conxité de
préférence.
Pourquoi les courbe convexe sont différentes? Si le consommateur préfères un panier à un
autre il va éprouver uné satisfaction plus importante et donc la courbe d’indifférence
correspondant et donc plus élevé que la précédente. Plus ses courbes sont éloigné de l’origine
plus elles correspondent a des niveaux d’utilité et à un niveau de satisfaction élévé. Donc les
paniers de la courbes U2 donne plus de satisfaction que les paniers de la courbe U1. Du coup
jamais les courbes peuvent se croiser.

Tout paniers d’indifférence apporte à Robinson le même taux de satisfaction, et tout les
paniers sont composé du même nombre de biens.

Le taux marginal de subsitution

TUS ½ (x [delta] - delta x1 / delta x2, avec delta x2 = -1


TMS ½ (x delta) = - dx1/dx2

A partir d’un panier xa Robinson pour consommer un panier xb pour ça il;va renoncer à une
certaine quantité de x2 pq ? Pour pourvoir une quantité supérieur x1 = du bien 1 et il va faire
en conservant un niveau de satisfaction inchangé. Donc pour chaque panier on peut calculer
un taux unitaire de substitution.
Pour le panier xa on peut définir un taux unitaire de substitution du bien 2 au bien 1 ce qui
donne une mesure de la quantité de bien 2 à laquelle Robinson est prêt à renoncer pour
pouvoir consommer une unité supplémentaire de bien 1.
Imaginons que le bien unitaire serait égale à 3, ça veut dire que Robison est preêt à échanger
une unité de bien 2 contre trois unité de bien 1.
Les biens sont supposé divisible ça veut dire que rien n’oblige robinson à renoncer à une
unitaire entière du bien et ni de consommer des quantité entière du bien 2. En gros il est
possible d’avoir des virgules, on peut considéré des variation très petites de ses biens. On
peut obtenir un TMS (taux marginal de substitution).
Le TMS du bien 1 et 2 permet de connaitre le taux d’échange entre les deux biens et ceux à
satisfaction inchangé.
Donc dx1 et dx2 sont à l’ordre des variation répété
C’est à dire le taux qu’il accepte de substituer du bien 2 au bien 1. La valeur du TMS c’est
valeur de la pente de la courbe d’indifférence au point A.
Attention le TMS est un taux d’échange privée et subjectif qui est propre a Robinson et
dépend de ses propres différences à lui. Le TMS est différent à chaque point sur la courbe.
Donc comme la courbe est décroissante alors le TMS est décroissant au fure et à mesure
qu’on avance. On peut calculer le bien 1 vers le bien 2 et inversement mais ça ne sera pas le
même TMS.

La fonction d’utilité

La relation de préférence est tout à fait suffisant pour dvpt une théorie ordinale de l’utilité.
Mais les néoclassique il préfère utiliser les fonctions d’utilités. La fonction d’ulitiité est une
façon de rpésenté de façon numérique les préférences de Robinson. Si l’uitiisé procurer par
un panier xa est de 3 et celle de procurée par un autre panier xb est de 6 on pourra en
conclure uniquement que le panier préféré est xa. Ca veut qu’il ne sera pas possible d’en
déduire que xb procure deux fois plus de plaisir à Robinson.Ca veut que les valeurs prise par
la fonction d’utilité n’ont pas de signification cardinale ne dit rien du tout sur l’intensité de
Robinson.

La fonction d’utilité se note U = f(x1,x2) et doit vérifier les condition suivantes :

xa > xb → U (xa) - U(xb)


xa ~ xb → u (xa) - U (xb)

Donc c’est une fonction qui respecte les classements établis par les préférences ordinale c’est
à dire que n’importe quelle fonction respecte cette condition.

Utilité marginale : supplément d’utilité que le consommateur retire de la consommation d’une


quantité supplémentaire (infiniment petite) du bien considéré, toutes choses égales par
ailleurs
L’unité marginal c’est la dérivé partiel par rapport à leur quantité de bien.

U² = dU / dx1

Donc a fonction d’ulité va permettre de voir quantitativement le TMS entre les biens. dU
c’est le différentiel total de la fonction d'utilité et donc on va pouvoir déduire un lien entre x1
et x2 et le lien marginal entre le bien 1 et le bien 2. (on utilise des dérivé en éco).

B- Que consommer ?
Dépense totale du consommateur : p1 - x1 + p2 - x2
R - p1 - x1 + p2 - x2

On est dans le choix du modèle de Robinson. On va s’intérroger sur les choix d’un
consommateurs sur les besoins qu’il dispose donc ça va modifier la métaphore de Robinson.
Du coup on suppose que Robinson n’est pas seul sur son ile il est sur des marchés
parfaitement concurentiels, ça veut dire que sur ses larchés il y a des biens vendus on va
rajouter un paramètre c’est le prix ce sont des données pour le consommateur. On prendre
comme paramètre le prix. On va acheter des biens. Notre consommateurs rationnel va donc
chercher un max d’avantage, de satisfaction d’utilité des ressources dont il dispose. Ca veut
dire que les consommateurs rationnel que la structure de consommation. Ca veut dire que
l’équilibre du consommateurs va dépendre de 3 paramètre, d'abord le montant de ses
ressources, les prix des bien de conso et ses goûts. C’est à dire que le conso va se trouver à
l’équilibre quand les ressources à un budget donné, des prix de bien de conso déterminé son
niveau d'amitié sera le plus élevé possible. L’équilibre est situation dans lequel le
consommateurs n’a pas intérêt à s’éloigner.

Avant tout calcul on va observé les ressources que peut disposer le consommateur, on parle
de contrainte budgétaire (voir graphique E campus) qui permet de représenter les paniers de
biens qu’il peut s’offrir.
R/P = ressource divisé par produit.
Si le montant des ressources est égale à r on a donc: r * p1 * x1
Robinson va faire en sorte de consacrer toute ses ressources à la consommation. Et ses
préférences sont strictement croissantes. Ca veut dire qu’il préférera tjs consommer plus que
mins dans la mesure où ses ressources lui permettent.

La contrainte budgétaire peut s’écrire également


x2 = - P1 / P2 x1 + R / P2

c’est une équation d’une droite de la pente. Mon équation est décroissante.

Le “problème” du consommateur revient donc à résoudre mathématiquement le programme


suivant
Max U (x1, x2)
s.c : R - p1 x1 - p2 x2 = 0
Donc l’intersection avec chacun des axes correspond à la situation dont le consommateurs
dépenses toutes ses ressources pour un seul bien.
L’équilibre du consommateur est obtenu pour un niveau de satisfaction correspondant à
courbe d’indifférence la plus élevé possible compatible avec la contrainte budgétaire.

L’équilibre du consommateur, le point E ‘est le point de tangence de la droite de budget et de


la courbe d'indifférence U2, dans ce graphique on voit que la courbe U1 ne correspond pas
à un niveau de satisfaction optima pq? pcq le consommateur peut certe s’ffrir quasiment
n’importe quel panier situ sur cette courbe mais il peut augmenter sa satisfcation en
consommant n'importe quel panier de bien situé au-dessus de U1 et sous la contrainte. U3
n’est pas un niveau satisfaction atteignable car aucun de ses panier n’est en dessous de sa
contrainte budgétaire donc U2 et le niveau d’utilité le plus élevé possible compatible avec les
ressources du consommateur. Ce point est considéré comme unique, donc ce point E est le
niveau max de satisfaction par le conso et de son taux de consommation.

Les Conséquences d’une variation des ressources


Les consommateurs ont un budget donnée, ce budget varie, en cas de hausse de revenu de R à
R’ et on suppose que les prix restent fixes. La contrainte budgétaire se déplace en fonction si
le revenu augmente ou diminue. On va passer du contrôle d’utilité U2 à U’. Passage du point
d’équilibre. E augmentation des biens. Résultats non générale et dépend d’une forme de la
courbe de différence. Il est tout à fait possible que la conso d’un bien augmente plus
fortement que celle d’un autre il est possible aussi que la conso augmente et que l’autre
diminue.
On va étudier la structure de la conso et son évolution. On va définir l’élasticité de la
demande par rapport au revenu. Rapport entre le pourcentage et de variation de la demande
d’un bien et le pourcentage de la variation de revenu. Les biens n’ont aucune raison de
présenter la même élasticité de revenu cela signifie que lorsque le revenu la structure de la
conso change également. Donc on doit à Engel la classification qui permet de distinguer les
biens en fonction de leur élasticité de revenu. :
Les biens inférieurs selon lesquels l’élasticité de revenu est négative. Le coef budgétaire de se
bien diminue quand le revenu augmente et inversement. Souvent des biens de qualités
médiocre. Et les conso préfère constitué de nouveaux bien ou des biens de mieileures qualités
quand les revenues leur permettent.
Les biens normaux et nécessaires : l’élasticité des revenus est compris entre 0 et 1
Les biens supérieurs : élasticité supérieur à 1. Ex : les biens culturels.

Les conséquences d’une variation des prix


Hypothèse : le prix p1, varie tandis que le p2 reste constant. Première conséquence d’un
changement a un impacte sur la pente d’une contrainte budgétaire. La pente devant contrainte
budgétaire évolue. Ca veut dire que la contrainte va pivoter autour de l’axe des ordonnés, on
a la contrainte qui se décale vers la droite. Ca veut dire que la contrainte budgétaire du conso
va se resserer à cause d’une baisse des prix. Du fait qu’il y ait une baisse des prix sur le
produit 1 le consommateur va être + satisfait. Cette situation amène deux effets, effet de
substitution effet de revenu..

Effet de substitution: La baisse du prix peut pousser au consommateur à modifier son choix.
(Ce choix qui représente une baisse des prix est représenté sur le graphique par la droite en
pointiller, passage de E à E’).

Effet de revenu: C’est quand on passe de E’ à E². Ce passage confirme que tout se passe
comme si le conso était plus riche.

Imaginons d’abord une élasticité nulle, dans ce cas la demande reste la même quelque soit le
prix. Situation qui caractérise les produits de première nécessité à court terme c’est le cas des
dépenses près engagé comme le loyer ou l'abonnement. 2ème élément la nécessité est forte,
dans ce cas il suffit un faible changement pour entraîner un changement important chez le
consommateur.
L’élasticité positive, la conso du bien augmente avec le prix. Il y a deux type du bien. Les
biens Giffen et Veblen. Giffen bien de 1ere nécessité → lorsque leur prix augmente leur
pouvoir d’achat des consommateurs est réduit et donc ils vont renoncer à d’autres bien plus
couteux et vont concentrer leur commande sur leur premier produit. Ex: l’essense.
Les biens Veblen des biens mpins consommer lorsque leur prix est faible, car prix juger trop
faible mais quand leur prix augmentent ils sont plus demandé. wtf. Pour Veblen ses biens sont
des outils de distinction sociale (comme les chaussures adidas, ou les rolex). Actif financier.

III L’analyse macro de la conso

L’étude la conso est essentiel dans la demande globale. Elle est décrite par l’équation
fondamentale de comptabilité national, le revenu national Y, conso des ménages C, I pour
investissement et G pour dépense public. La conso est une composante majeure.
Y=C+I+G
Utilisé pour voir ce que c’est l’éco de relance. Politique de relance simuler à travers cette
équation, politique keynésienne.

A. La fonction de conso keynésienne

Renverse la pbmatique neoclassique. Il est possible de déduire les comportement agrégé en


partant de l’étude des comportement individuel, Keyns affirme qui faut d’embler partir des
valeurs globales. Il faut partir d’une conso aggrégé → l’ensemble de conso effectué sur
l’ensemble des consommateurs sur l’ensemble des biens. La conslusion de Keyns s’oppose à
celle des néoclassique → l’épargne est un résidu. Les niveau de conso ne sot plus le résultat
d’un arbitrage rationnel. Le revenu détermine la consommation. L’épargne n’est plus que la
partie non consommée du revenu.
Loi psycho fontamentale c’est à dire qu’en moyenne et la plupart du temps les hommes
tendent à accroitre la consommation à mesure que leur revenu croit mais non d’une quantité
aussi grande que la croissance du revenu. Ils distinguent la propensio marginal à consommer
diviser par Y.

PMC = C/Y

Propension marginale à consommer:


C’est le rapport de variation de conso sur la variation du revenu (si j’augmente mon revenu
d’un euro, de combien va varier ma conso?). Permet de calculer la variation de la conso dans
le temps.
Selon Keyns la conso serait une fonction croissante du revenu courante cette fonction n’est
linéaire mais concave.

Fonction de consommation:
C = c. Y + C0
C0 = la conso incompressible.
Cette formulation de la consommation d'abord plus une nation est riche plys la part qu’elle
consacre à consommation est faible et inversement. Un pays qui se développe sa propension à
consommer baisse. Si un pays traversé une crise la conso augmente. Donc pour Keyns une
politique de relance peut être efficace. La propension marginale à consommer est la variable
clé du multiplicateur keynésien. Celui la à la base des politiques conjoncturelles. POur Keyns
l’épargne S est un résidu et la conso plus important. C’est un résidu qui constituent à épargner
: S= Y - C.
Propension moyenne à épargner:
PME = S/Y
Comme la consommation l’épargne est un efonction croissante a revenu courant.
Pour Keyns c’est le fameux paradoxe de l’épargne pcq épargner c’est un comportement juger
vertueux au niveau individuel devient nuisible au niveaux collectif.

B. Les reformulation post-Keynésiennes

Inégalités et “revenu relatif”

Duesenberry (1949) va considérer va considéré que que le comportement de longue pérode


proposé à long terem . A court terme peut modifier par des variations. Il va envisager que la
conso d’un agent n’est indépendante que celle ds autres et donc va rompre avec les analyse
néoclassiques. Duesenberry s’inspire de Veblen. Effet de démonstration, les biens ne sont pas
seulement consommer en fonction de leur satisfaction éco mais sont également un moyen
d’afficher une appartenance sociale et ils revettent une forte dimension et Baudrillard va en
conclure qu’un ménage ne consomme pas seulemtn en fonction de son niveau de revenu
courant mais aussi en fonction de son revenu relatif. C’est à dire de la position du revenu du
ménage dans l’échel des revenues. Par la Duesenberry cherche à prouver que les pauvres
chechent à se comporter comme les riches (classe sociale juste au dessus). La conso a une
dimension ostentatoire, téorire qui n’a pas été prouvé jusqu’à la. La propension a consommer
est une fonction décroissante du revenu comme le présentait Keyns mais cette propension a
consommer devient constante au niveau agrégé.

Effet de cliquet en 1940 → repose sur l'hypothèse d’une certaine irréversibilité des décision
de conso. La conso dépend alors des revenu courants mais aussi du revenu le plus élevé
obenu dans le passé Y max. Le revenu le plus élevé par le passé conditionne encore la
consommation courante c’est se qu’on appelle l’effet de cliquet de crémaillère. Cet effet de
cliquet permet de d’exprimer un phénomène régulier, la conso des ménages ne diminue pas
en propension de la baisse de l’activité éco. La baisse de la conso serait freiné par les
habitude de consommation adopté par le passé lorsque le revenu était supérieur. A l’inverse
en période prospérité, la conso augmente moins vite que le revenu. Cette hypotèse amène a
envisager des comportement trop rigides et peu conforme à la réalité.

Brown (1952) propose de prendre en compte le passé mais de manière moins radicale, la
consommation courante serait fonction du revenu de la période et de la conso du passé. Mais
les habitude prises dans le passé serait d’autant moins pesante que se passé serait lointain.
mais un coef de modération sur ces fameux revenu du passé
c= propension à consommer
A et B sont des paramètre. A va traduire le poids accordé au habitude de consommation du
passé. Ca vaut dire que plus on avance dans le temps plus on adape sa conso à son revenu
actuel, c’est ç dire que l'adaptation est retardé mais elle a bien lieu car les agents finissent par
oublier leur habitudes les plus anciennes. Grace à cette formulation Brown peut expliquer les
contraction observer dans les teste empirique de court et long terme, c’est à dire la propension
mrginale à consommer de courte période serait bien inférieur à celle de longue période.
L’approche de Brown s’est révélé suffisament robuste pour être adopté dans les modèle
écoomique.

Veblen (1899)

Baudrillard (1972)

C. Friedman et la théorie du revenu permament

Fisher

W = (Y1 + Y2) / (1+r) ou (Y1 + Y2)/ (1 + r)-1

Il considère que la conso d’un agent rationnel dépend certe du revenu courant mais aussi du
revenu qui peut percevoir dans le futur. A condition qu”ils puisent les anticipé correctement et
qu’il est également la possibilité d’épargner et emprinter pour lisser sa conso dans le temp (dt
exister un marché des capitaux)
La conso dépend dans ses condition de la richesse W de l’agent, c’est la somme actualiser de
ces revenues anticipés. Dans ses condition une hausse du revenu ne peut avoir une influence
sur la conso que dans mesures où elle augmente la richsse de l’agent c’est a dire les ressource
qu’il estime tout au long de sa vie.
Friedman

va démontrer que la fonction Keynésienne est fausse et ne va pas servir de fonctionnement


théorique aux potiliqutes écon
Il va tenter d’exprimer que les comportement de conso et d’épargner relèvent bien d’un
arbitrage et non d’une prpoension. Montre qu’il ne définipas un arbitrage de la même pas
facon selon qu’il percoi la hausse son revenu comme permanente ou transitoire. Il va passer
du revenu courant au revenu permanent. ll s’appuie sur Fisher.
A partir de cette analyse il en déduit que le déterminant de la conso ne peut pas être un revenu
ciyrant . Pour lui c’est un revenu permanent, c’est la somme qu'un agent peut consommer en
maintenant constante la valeur de son capital. La’gent consomme les fruit de sa richesse donc
sa richesse. Dans ses condition à chaque période les revenu de l’agent est compser d’une
partie stable Yp et d’une partie transitoire YT c’est à dire deux revenus qui ne peuvet être
anticipé car aléatoire ou imprévisible par nature. Ses revenu peuvent être négatifs comme les
pertes de revenu dû au chomage à une maladie ou un accident du travail donc ce revenu
transitoire est tout simplement l’indifférence entre le revenu courant et permanent.

Pour Friedman la conso permanent est une fonction du revenu permanent. Pour Firedman un
epolitique de relance qui vise à stimuer la conso en augmentant le revenu des ménages par
exemple par une baisse des impot ou une augmentation des revenu temporaire. Pour
Friedman ces politiques vont être perçu comme transitoire chez les agents donc cette hausse
de leur revenu favoriserait plus l’épargne que la consommation pcq on considère que les
agents cherchent à lisser leur conso et donc l’épargne est pour eux le moyen d’amortir
l’ampleur des fluctuation éco.

D. Consommation et patrimoine : l’hypothèse du cycle de vie

(graphique E campus)

Prise en compte du temps long dans la décision de conso, vont faire sous la forme du cycle de
vie. Tout au long de sa vie l’agent peut accumuler un patrimoine qui lui permettra de
consommer pendant les périodes dites de vache maigre essentiellement à la fin de sa vie
quand il atteindra la retraite.

L’épargne permet de reporter une partie de sa consommation et va le faire pour des périodes
futurs où les revenues attendu seront plus faible et à l’inverse l'endettement pêrmet d'anticiper
la hausse attendu du revenu futur et donc l’épargne la constitution dans lequel on pourra
puiser notamment à partir du départ en retraite. Dans le modèle du cycle l’épargne est au
niveau du taux d’intérêt.

Au début de la vie active, l’agent va commencer à se constituer un patrimoine (T0) et dans


cette période la conso est sup au revenu. Ca veut dire que l’agent va avoir recourt à
l’empreint pour acheter son premier logement.
Lorsque l’agent arrive à la retraite, le patrimoine commence à être consommer car les revenus
du travail on disparu et il décroit donc régulièrement au rythme de la consommation.
L’agent ne se préoccupe pas de sa descendance et donc aucun héritage.

Conclusion du moèdle l’agent cherche à lisser sa conso dans le temps. Les politiques de
conso, comme les keynésien n’ont aucun effet donc se rapproche de Friedman. De plus, en ce
qui concerne le role du patrimoine, classique de nos jour l’épargne est placé dans
l’immobilier et marché financier. Si on se place dans le cas d’un effrondement du marché la
baisse de la valeur du patrimoine accumulé devrait sucité un effort d’épargne sup dans le but
de maintenir constante la valeur de ce patrimoine. Les ménages subisse un effet de richesse et
se ralentissement de la conso dans les pays touché par rapport aux crise de 2008. Et enfin
l’hypothèse du cycle de vie est simple pour comprendre le système des retraites. Et les
conséquences du vieillissement de la pop.

Mais cette hypothèse simplifie la vie: Critique


Possibilité réduite de cerner l'hypothèse du cycle de vie. Trop globale. Cette théorie s’expose
à la critique de Popper, quand on peut pas test une téorie elle ne peut pas être réfutable.
Autre critique, c’est que l’egant étudier dans cette hypothèse est omniscient. Remettre en
cause de l’omniscience de l’agent, on peut pas dire si le patrimoine est nulle à la mort du
mec. On ne peut prédire l’age de sa mort. Autre critique on dit que les agents sont capable
d’estimer leur revenu futur et des plan d’épargne optimale en prenant en compte un futur
souvent fort lointain, ce modèle néglige les accident de la vie. Autre critique l’égoisme des
agents, va à l’encontre des observations, certaines famille vont garder du patrimoine pour le
léguer à leur enfant, altruisme intergénérationnel. Dernière critique, les marchés financiers
doivent permettre à quiconque d'emprunter et d’épargner. Ainsi les ménages peuvent rendre
leur richesse liquide. En empruntant les ménages peuvent transformer en liquide un revenu
futur, mais le futur n’est pas liquide. Or dans la réalité il existe des contraintes de marché.
rationnement du crédit. Par exemple les banques vont éprouver des réticence aux plus jeunes.
La contrainte principale à la conso n’est plus la richesse mais la liquidité. Un agent n’ayant
pas accès au crédit et c’est souvent au depart de la vie ne eput que consommer que son revenu
courant et éventuellement son épargne et en prem=nant cette réalité ça revient à l’approche
Keynésienne.

Chapitre 2 : Revenus et distribution

I. La répartition primaire des revenus

A. L’origine et l’évolution des revenus primaire


Grâce à la comptabilité nationale nous disposons nous seulement de la valeur des grands
agrégats, parmis lesquels le PIB et la valeur ajouté mais également la répartition de la
redistribution de la valeur ajouté entre les différents agents éco en contre partie de leur
contribution à la prod. On va commencer par les théorie mathématique, les néoclassique
appréhende la question de la fixation du prix et donc de la rémunération des facteurs de pod
comme tout les facteurs de prix, c’ést à dire sur la base de la rencontre d’une offre et d’une
demande. Cette rencontre contribue à un équilibre. Chômage volontaire.

(Graph E campus, convexe)


La courbe d’offre est croissante, plus les salaires sont élevé plus les gens veulent y travailler
(les salarié sont concerné par l’offre de travail et pas les entreprises), demande décroissante.
Autre caractéritique des néoclassiques dont l facteur travail sont rémunéré selon leur prod
marginale. Un entrepreneur embauchera un salarié sup à la condition qui puissen en tirer un
gain de prod au moins égale au salaire accordé. Cette vison néoclassique avec le marché du
travail va avec la flexibilité des salires pcq cette variation permet constament un ajustement
entre l’offre et la demande.
L’approche Keynésienne: pour eux, les salaires ne sont plus nécessairement flexible pcq dans
l’éco réel il y ades syndicat des groupes de pression font souvent obstacle à la baisse des
salaires y compris en situation de chômage. Et pour les keynésien la flexibilité des slaires
n’est même pas souhaitable car la baisse des salires va diminuer la demande effective. et cette
baisse va tirer vers le bas la prod et l’emploie donc on est dans une évolution imoser des
mécanismes des rééquilibrage néoclassiques.

Les nouvelles théories, les nouvelles approche téorique cherche à rendre compte de la
situation contemporaine. Théorie du salaire d'efficience pose le principe d’une relation
croissante entre le salaire versé et la prod du travailleur, et le calcule de maximisation peut
alors amener des emploeux au dessus du salaire concurrentiel. Autre la théorie des contrats
implicites, les salariés s’assurent contre les risques éco en acceptant dans des contrats non
formulé une rémunération indépendante de la conjoncture. En période de forte acitivité les
salariés vont payer une sorte de prime d’assurance en acceptant un salaire inférieur à la prod
marginale et réciproquement il touche une indemnité en période de faible activité .

B. La formulation des revenus en pratique

Les revenus primaires sont des revenus versé aux ménages en contrepartie de leur
contribution à la prod. Ses revenus sont constitué par la rémunération des salariés, les revenu
mixte des entrepreneur individuel et les revenu du capital comme les intérêts les dividendes et
les revenus fonciers. Quand on observe le marché de l’emploie on voit apparaître des
déterminant majeur de la formation des revenus, d'abord la négo des salaire dans un cadre
collectif, l’intervention de l’Etat dans le processus.
En 2017 la rémun des salarié représente 73% d revenu primaire contre 60% en 1960. Cette
augmentation s’explique par la sérialisation croissante de la vie active. On assiste aussi à un
revenu croissant du patrimoine s’explique par l’attrait des français pendant les années 80-90 à
faire ça.
On va s’intérressé des valeurs ajouté au sain des entreprise sur le long terme la part est de
70%, cette part est distribuée au salarié via les salaires. En pratique le salaire des profits les
syndicats et les patronats. L’état intervient aussi dans la fixation des revenus primaires, et va
agir sur les revenus d’activités avec deux opérations, fixe le traitement des fonctionnaires,
deuxième point l’état fixe le revenu minimum de croissance interpro, ça va entraîner des
effets en cascade dans les revenues des entreprises. L’action des pouvoirs public et des
institutions européenne se font sentir sur les revenus des propriétaires. Peut se faire aussi à
travers la fiscalité avec un taux d’impôt. Les revenus ont un système complexe par la
multiplicité des déterminants

C. Les inégalités de répartition

Inégalité entre deux agents éco: le PCS, la taille de la firme, la qualification, l’âge, la région
et le sexe. Les inégalités des revenus d’activité, le salaires principales facteur d'inégalités. Si
on prend l’exemple des catégorie sociaux pro un quart gagne 2 fois plus qu’un salariés. Pour
es inégalité hommes femme, se fait par la discrimination à l’emploie mais aussi en moyenne
de l’occupation par les femmes de poste moins qualifiés, plus de temps partiel chez les
femmes.
On va s'intéresser au inégalité aux revenus de propriété: provienne elle même de patrimoine
très inégalement répartis. En gros en France les 10% des ménages plus riches possèdent
environ la moitié du patrimoine français. Ce phénomène est d’autant plus importante qui
comporte une dimension cumulative dans le temps qui va de paire des revenu salauriaux
élevé plus combine tout les ressort permettant l’accumulation.Patrimoine diversifié la
fiscalité favorable les héritages. Les haut salaire se constituent un patrimoine donc ils ont un
reveu salarié haut de base. Au total la question des inégalité pose deux type de question:
1er est relative à l’évotion de ses même inégalités, alors d’une façon générale historiquement
on a connu une période de réduction sensible des inégalité au milieu des années 80, puis une
stabilisation puis un accroissement et cette croissance des écrat vient des revenu tiré des
propriété et du patrimoine grace à la libération des marchés. Certain économiste comme
Garibecker prix nobel d’éco avec sa téorie du capital humain quie expliqe les différences de
rémunéation par les différent type d’investissement d’autre insiste sur les dangers d’inégalité
excessive pour l’équilibre sociale et donc économique de la nation avec la réapparition du
système de pauvreté.

II. Les mécanismes et l’organisation du système français de redistribution

A. Les principes et l’organisation générale de la redistribution

Représentation simple de la méca de la redistribution, revenu primaire au revenus disponible.


Mécanisme conduisant à la notif des revenus primaires des ménages par le jeu des
prélèvements cotisation sociale impôt, et de versement et de prestation dans le but de réduire
les inégalités et d’assurer une couverture de certain risque.Ce revenu primaire des
prélèvement est appelé revenu disponible et ce revenu est à la dispo des ménage pour leur
conso et leur éventuel départ. En France 40% du rerevu primaire des ménages est prélevé par
l'impôt et prestation sociale et près d’un tiers des revenu dispo revient des revenu de
transferts.
Quelles sont les grands objectifs de la distribution. La fourniture de services collectif, comme
éducation, armée...Aussi la correction des inégalité de revunus et enfin une assurance sociale
contre différent risques, maladie, chômages, vieillesse… Et donc on a deux grands type de
redistribution, la redis horizontale et verticale.
La redis hon : vise à maintenir les ressources individus frappé de risque sociaux et ceux sans
considération de revenu. On prend des cotisation à certain pour en soulager d’autre
La redis verticale : cherche à réduire la cotisation sur l'échelle de revenu, les néoclassique et
les keynésien ne sont pas du tout d’accord. Pour les néoclassiques les méca à une répartition
des revenus correspondant des différent agents à la création de richesse, inégalité naturel.
POur eux l'intervention de l’état est jugé en générale négative, le marché est supprosé
produire des services sociaux plus efficacement que la tutelle étatique, les prestation et les
prélèvement on des effets êrvers sur l’activité éco pcq modifie le résultatd es préférence
individuel. En gros pour eux ce qui touche les prestations sociale ce sont les pauvres pcq ils
sont fénéant.
Les keynésiens, soutiennent le pricipe de la redistribution pour corriger les excès des
inégalités et pour assurés collectivement un certain taux de protection. Et les Keynésien
insiste sur les effets potentiellement favorable de la redistribution pour l’état plus générake de
l’éco. Pourquoi? Pcq la redistribution permet d’accroitre les ressource et aussi les ménages
les plus modestes, c’est à dire ce qui ont la propension marginale à consommer la plus élevé.
Comment la redistribution est organisée. 2 canaux. D’abord le canal de la fiscalité qui
consiste le prélèvement d'impôt et qui permettent de financer un certain nombre de services
public. 2ème canal des organisme public de protection sociale et d’allocation familiale type
URSAF, ces organismes s’occupent de la collecte de toute cotisation sociale et du versement
des différentes prestation sociale.

B. Le système fiscal

L’architecture du système fiscale.


Impôt directe et indirecte (tva et tipp). L’état a décidé de supp la taxe d'habitation. Les impots
ont plusieur destinations et satisfont aux objectifs de redistribution de 3 façon diff. Dabord ils
finances les services non marchands. Ils assurent une contribution contributive notamment
dans le cas des impôts progressif nottament protection sociale, CSG et CRGS.
Les spé? 3 retrait, taxation qui privilégie le revenu sur le patrimoine → ses caractéritistique
diminue l’effet redistribution.

C. La protection sociale

Logique bien différente, principe bien généraux de la protection sociale.. La protection


sociale vont apparaître après la seconde guerre mondiale et donc vont être mis en place un
système de couverture de différent rique sociaux. La protection scoiale désigne les insitution
et de prévouyant collective qui garantisse des ressources aux personnes ayant à faire face à
des risques sociaux. Le système générale de la retraite protection sociale de la retraite tant à
une part importante de la retraite. Derrière la protection sociale il y deux logique disctinctes :
il y a d’abord une logique d’assurance, en gros l’ouverture des droits sociaux au cotisation
sociale versé, c’est donc un système d’assurance obligatoire qui fonctionne sur le principe de
solidarité. Ca veut sire qu’on redistribu des caitdfs vers les inactif, les biens portant vers les
malades. deusième logique, une logique insistance, elle autotrise le versement d’un mini de
ressource indépendamment des versement effectué. Ex: le RSA, office de financement par
‘import, système duale où on distinge les pop qui relèvre de l’assurance et de celle qui relève
de l’inssistance. Le système de protction sisciale s’est établie progressivement en france. un
peu de loi avant la 2GM et après bcp.
1930: loi sur les assurance sociales, dans cette loi seule sont couverts mes assi=coié de
l’inductru=ie et du commerce
1945: création de la sécu sociale
1958: création de l’assurance chomage
1988: loi instituant le mini instituant, le rmi
1993: réforme des retraite dans le secteur privé
1999: CMU, couverture maladie universel
2003: 2nd réforme réforme des retraite public

2004: assurance maladie


2008: nouvelle mesure de l'assurance maladie et système des retraite
2010: nouvelle loi des retraite

La protection contre les différent risque et de la responsabilité de la protection sociale et


notamment de son organisme URSSAF. Et l’assurance chomage c’est pole emploie.
Les différents risque sociaux et comment les couvrir: le risque vieillesse. Relaevé de la
logique d’assurance (assurance de vieillesse), le mini vieilless le risque qui suit le risque
d’assistance. Les prestation familiales, elle vise deux objectifs, favoriser la natalité, deuxième
assuré une redistribution entre les familles nbs et les autres. 3eme risque sociale, les
prestation s chômage relève de l’allocation de l’aide à l'emploie et association de solidarité
spé, notamment pour des personnes n’ayant jamais travaillé ou des chômeurs en fin de droit.
Prestation maladie invalidité et accident de travail.
Aujourd'hui 2 pb pèse aujourd'hui : le risque vieillesse avec le vieillissement de la pop et le
risque santé.
Une caractéristique importante du système français, organisme paritaire pcq ils sont organisé
à parité entre les syndicats des salarié et les syndicats patronaux. On parle de tripartisme car
l’état garde pouvoir de décison en matière de niveau de cotisation sociale. La sécu siciale
désigne l’ensemble des organisme chargé en france de collection les citosaion sicoale et de
verser les prestation sociale concernant les risque de maladie d'invalidité de famille, de
vieillesse.
Comment est-elle organiser, est une architecture complexe qui comprtante 4 branches de
risques et plusieurs régime diff, vous avez les salrié les fonctionnaire.
Répartition des prestation par nature (donnez 2010 en %) (voir graph E campus)
Comment s’effectue la couverture de ses risques? la couverture de ses assuré des ressources
de diff origines: on a d’abord les cotisation sociale et patronale salariale et patronale. On a
aussi la CSG.

III. Les difficultés et les perspectives de la redistribution

A. La protection sociale en difficulté

La redistribution connaît des difficulté croissante. Ce système de redistribution à la fr fait


objet de vigoureuse critiques doctrinale.
(graph)
Déficit chronique, imputable aux branches maladie et vieillesse. Objectif depuis 2011 et
2012, réduire drastiquement les réponses et on essaie de réduire les réponses par plusieurs
méthode quelle sont les facteurs qui sont à l’origine de cette situation, déficit recurant qui
s’explique à la fois par la faiblesse des recettes et par la forte montée générale des dépenses.
Par de recette suffisante résulte de la faiblesse de la croissance éco et celle ci elle se traduit
d’abord par une hausse légère voir un ralentissement de la croissance de la masse salariale or
c’est sur la la masse salariale que dispose les calcule de la cotisation sociale. Autre un
chomage élevé qui réduit le nombre de cotisants.
Les dépenses sont orienté vers le haut sous l'influence de multiple déterminant qui explique
cette hausse systématique des dépenses, d'abord le vieillissement de la pop, augmente le
poids des retraite et accroit également les dépenses de maladie. Deuxième les explication du
progrès technique et ce progès certe il permet l’amélioration de la qualité des soins,
l’amélioration des technique chirurgicale mais aussi d’antiticipé la détection des maladie
comme les cancers. Et enfin de cette hausse, caractéristique de la protection sociale. Autre
conséquence enchérissement des honoraire médicaux. Alors on a eu des réforme successive
qui on été suffisante on a d’abord durcie l'indemnisation du chomage. La recherche d’une
maitrise de dépense du chomage. Durcicement des condition d’obtention des indemnités,
réduction des durée d’indemnisation et les durées des prestations. 2eme pb difficulté à
maitriser les pb de santé. On a petit à petit transféré une partie de prise en charge de la sécu
sosiale vers les mutuelles. Réforme des système de retraites, mesure prise depuis les années
2000, accroissement nécessaire pour percevoir une retraite à taux plein, chercher à réduire le
montant des prestation. Puis on a développé des formule de départ de retraite. Autres
technique pour réduire le poid des retraite rapprochement des régimes de retraite et régime
spé.

B. La remise en cause de la redistribution

Esther Duflo (prix nobel d’éco, cette année, travail sur la redistribution). D’bord les effets
limité de la redistribution verticale, on accuse la redistribution car elle aurait des effet limité
en terme de réduction des inégalité par rapport aux masses financières concerné. Et cette
faiblesse de caractère réducture et à cause des caractéristiques même des 3 éléments
correctuer c’est à dire les impotes, les cotisation sociale. La fiscalité réduit de peu les
inégalité en raison de plusieur caractéristiques d’abord la faible importance des impots directe
et les nbx responsabilité du revenu imposable, niche fiscale, les impôts, proportionnel aux
revenus. La faiblesse des prélèvement des revenu de la propriété. Autre explication, serait le
mode des calcules des prestations sociale, certaine catégories socio pro on un forfait pour les
artisans et pour les salarié il y a un plafonnement de cotisation. D’autre critique sont à
caractères inégalitaires des prestation versés. Certaine prestation sociale reproduise certaine
inégalité comme les allocation chômage. Cotise à des retraites complémentaire et qui
bénéficie des plus longtemps des prestations sociale. Les 3 huits.

Les doctrines de la redistribution. Arthur Laffer → Trop d'impôt tue l'impôt. (courbe)
recette fiscale et taux d’imposition, courbe concave. Il établit un lien négatif entre le taux des
prélèvement obligatoire d’une part le montant des montant des recttes fiscales et, par
extension, le nouveau de la croissance d’autre part.
Pour l’affer l’augmentation du taux impositions recette 1. Toutefois au de la d’un certain seuil
d’imposition, niveau de maximisation des recttes fiscale le taux de prélèvement obligatoire
tant à décourager les individu de travailler et va réduire peu à peu à privilégier les temps de
loisir sur le revenu. Donc pour Laffer l'excès de pression fiscale conduit au ralentissement de
la production et au ralentissement des recettes fiscales.
Va inspirer les politique anglais et américains dans les années 80, car our ses éco il est
difficile de chiffrer le seuil à partir duquel son père. Thomas Piketty rappel que les uSA ont
connu une croissance forte dans les décennie d’après alors que le taux d'imposition marginale
de 90%. Ca c’est sur la courbe de LAffer sur la prestation sociale, par ex on considère que ce
mode de financement peuvent avoir des effet pervers l’emploie pcq ils générent un impacte
sur le coup du travail et ca peut déclancher des fénomène de sub, capital et travail. Et ce
phénomène pourrait pénaliser les salariés peu qualifié dont la prod est la plus faible. Certain
éco remettent en cause le principe d’indemnisation du chomage et aussi les travaux de la
recherche d’emploie.
Deux grands éco dans l’école de la recherche d’emploie George Stiggler et Edmund Sfleze
(prix nobel en 2006) , les idem permettent aux chômeurs la durées de recherche d'emploi,
cela contribue le chomage et donc les bénéficiaire d’allocation sont maintenant dans un
système d’exclusion, trappe du chômage.

C. Vers de nouvelles solution?

D’abord une baisse des prélèvement obligatoires et l’extinction des mécanisme de marché.
Une orientation régulièrement questionner est celle de la réduction des prélèvement
programmer des modèle anglo saxon en vigueur au USA et RU. Ex, le prélèvement
obligatoire est de 30% et 25% au RU, cela contribue à baisser le coût du travail et induire uj
avantage en terme de compétitivité pour ses pays. Donc de telle orientation passent par des
désengagement accéléré de l’Etat. Alors la france s’est engagé à travers les mutuelles, mais
elle essaie de réduire les frais de prestation sociale en gardant les caractérise d’état
providence et le modèle anglo saxon est inégalitaire car une partie de la pop n’a pas de
couverture sociale. Une régulation administré, recherche d’une régulation voire une
planification de l’assemblé, plus de 20 ans le ministère de la santé négocie ou impose un
système de santé, 1996 on a un vote anuel de la loi de financement de la sécu sociale avec
une loi qui comporte la fixation d’un objectif national de la dépense d’assurance maladie. Il y
aurat d’autre piste pour financer la sécu sociale, comme les cotisation patronle progessive,
une taxe sur la valeur ajoouté. Système de bous maluce des E, en gros on applique la question
du pollueur pyeur au système d’emploie.

Chapitre 3 : L’investissement

I. Une source d’accumulation de capital

L’investissement est une dépense immédiate, en vue de recette future ou d’économie de coût,
derrière le terme d’investissement on peut voir poindre que ce soit un titre financier ou
productif et à travers cette def que l’acte d’investire est forcément empreint d’incertitude et
de risque. Tout d’abord l’incertitude elle pèse sur les recettes futures et le risque, est que c’est
recettes futurs ne permettent pas de couvrire la dépense immédiate. Poyr ajouté à la
complexité la dépense immédiate peut elle aussi être incertaine comme le coût d’un proget
d’investissement évolue avec le déroulement du projet. On a plusieur type d’investissement,
formation brute de capitale fixe, donx l’investissement au sens de la compta nationale est de
capitale fixe l'ASBF, c’est la valeurs des biens durables acquis au cours d’une période acquis
par les E les ménages et les adm, et c’est ben durable sont destinés à être utilisé pendant au
moins un an pour produire.

La def de l’investissement du capital fixe, renvoie à celle du capital et l’investissement


renouvelle le stocke du capitale, on mesure l’effort d'investissement d’un pays selon son taux
d’investissement, c’est le rapport entre le capital fixe et le PIB.

Les diff type d’investissement :

matériel : en gros c’est a formation brut de capital fixe, dans ça on distingue d'abord les
investissement de remplacement on renouvelle à l’identique le capital et l’investissement de
renouvellement représente une part importante de l’investissement total. On trouve ensuite
des investissement d’expansion : augmente les capacité de prod de l’E, et donc les E on
recours à ce type d’investissement si hausse de la demande. Et nottament sur une longue
période. Dans le cas contraire les E ont recours aux heures supp, à l’interim, à la sous-
traitance. Ses E ne vont pas prendre le risque d’être en sur capacité de prod car difficile à
rentabiliser si Pcq la demande sa hausse, n’est que passagère.
Investissement de modernisation : accroître la prod, conduisent à introduire du progrès
technique qui va permettre d’éco du facteur travail. La classification de ses différent
investissement car difficile à observer car un même investissement peut renouveler et
attendre le capital. Au delà de ses cas une E peut aussi investir lorsqu'elle lance un nouveau
produit, nécessite un nouveau processus de prod. La part des investissement des capacité est
la prod des produits nouveau diminué au niveau matériel en période de ralentissement. A
l’inverse celle à l’investissement s'accroître. En générale un investissement matériel
s’accompagne de dépense complémentaire qui relève de l’investissement immatériel.

Immatériel : Concerne tout les types d’investissement qui ne prenne pas la forme d’un bien
matériel. En effet pour produire il faut tout d’abord de plus en plus de savoir et ces savoir on
les obtient par des dépense en recherche et dvlpt, financer une équipe de chercher on va
déposer des brevet en acheter ou des licence de fabrication. Pour produire il faut des
connaissance et du savoir faire, on l’obtient grace à des formations et cette formation permet
d’ajuster la qualité du capital humain et aussi l’adopter au capital technique. Ses dépenses de
formation sont aussi une source de motivation de la part des salarié et donc une meilleure
prod. Pour produire au delà il faut savoir organiser ce qui passe par une réflexion sur les
méthodes de travail ou meêm la création de logiciel maison, adapté à la situation de l’E.
Création de base de donné et gestion par ordi. Pour produire faut aussi dépenser et investire
dans le marketing, la pub, faire connaître le produit, l’E et dvlpt l’image de marque de l’E. A
travers Pub, campagne, masséna. La caractéristique principale de toutes ses dépenses elles
sont sources de prod pour ‘E et leur effets dans la durée dépasse le simple cycle de prod. Mnt
on se poser la question.

Keske le capital? Le mot capital remet plusieur sens, 1ere capital technique, le capital fixe au
sens de la compta nationale. Capital technique l’ensemble des machines des logements dont
l’utilisation par des agents éco dépasse l’année. Le capital fixe c’est l’ensemble des moyens
de prod durable qui participe à plusieurs cycle de prod. Au delà du capital fixe, il y a d’autre
moyen de prod directe et indirecte comme les équipements collectif qui sont fourni par
l’équipe, le capital humain, culturel, le capital d’une nation. On constate que l’augmentation
du stock de capital fixe est largement supp à celle de la pop active sur la même période, on
peut donc déduire que la croissance de la prod sur longue période résulte en grande partie à
un recours accru au facteur capital.

Quid : La qualité du facteur capital peut se repérer tout d’abord à sa prod, rapport entre
majorité prod. Valeur ajouté pro et stock et capital fixe nécessaire → méthode de calcule.

Evolution de la prod du capital : montre que depuis la 2GM l’efficacité des équipement prod
n’a cesser de croître même si la croissance de la prod du capital soit ralentis. Le taux de
croissance anuel de la prod du capital est passé de 4,5% en 1946 à 3,2% en 1970. Elle n’était
plus de 2,7% en moyenne en 1990 et elle est 1,8% depuis les année 2000. Mais l’efficacité du
capital peut s’observer à travers l’age des équipement productif. Plus le capital est jeune plus
il a de chance d’incorporer les progrès technique récent qui sont source de gain de prod. Et là
aussi on a des donné pour voir cette évolution entre 1945-73, l’âge moyen du capital en
france diminue il passe de 12 ans à 7,2 ans. Depuis les année 70’s il augmente et s’est
stabilisé depuis les années 90’ autour de 9 ans.

II. Les déterminants de l’investissement


A- La demande

L'investissement est le résultat des décisions d’investissement prise par les , qui est celui de
ne pas pouvoir amortir des sommes engagés. Ce risque est bien entendu liée à l’évolution de
l’activité éco. On peut aussi repérer l’ensemble des déterminants qui éclaire le risque et
l’incertitude que support les E au moment d’investire. Alors il faut se souvenir que
l’investissemnt repose sur une décision prise au niveau micro éco pour l’investissement prod.
Il faut commencer par la demande, et les E décident d’investir en grande partie pour satisfère
une demande qui s’adresse à elle.

1. La demande effective

Les E sont confrontés aux incertitudes de l’avenir en ce qui concerne la demande. Et donc les
E vont essauer d’anticiper cette demande et elles vont en déduire le stock de capital
nécessaire pour y répondre ainsi que le volume d’investissement à réaliser en calculant la diff
entre le stock de capital courant et le stock de capital désirer et la demande pour chaque
entrepreneur dépend des revenus versé par les autres entrepreneurs et donc al demande qui
s'adresse à chacun dépend des décisions prise par tout les autres entrepreneurs et donc la
demande effective n’est autre que la demande globale anticipé l’ensemble des entreprises et
elle est le résultat des décisions de toites les E sachant que chacune prend la sienne en
anticipant celle des autres. Et donc si tout les entrepreneur sont optimistes ils anticipes une
hausse de la demande à venir et accroisse leur investissement et leur embauche en
conséquence, donc la prod augmente et les revenus versé sont plus élevé et ça va confirmer et
renforcer les anticipations des agents éco. C’est que l'on sait que les anticipation peuvent
s’avérer auto validante. A l’inverse ils sont pessimiste alors c’est l’inverse cheh. Alors que se
soit des entrepreuneur pessimiste et optimiste, l’avenir reste chaud. Les anticipations peuvent
s’avérer sous optimale générant selon le cas un excès d’investissement difficile à rentabiliser
ou une insuffisance qui peut conduire à des tensions inflationnistes ou une augmentations des
importations.

2. Le taux d’utilisation des capacités de production

Il n’est pas nécessaire augmenter sa prod quand la demande anticipé augmente. Tout dépend
du taux d'utilisation de celle ci. Le rapporte ntre la prod actuelle de l’E et sa production
potentiel c’est à dire sa capcité de prod et donc bien entendu les E investissent que si la
capacité de prod actuel ne leur permet pas de répondre à la demande. Et donc on observe une
bonne corrélation entre les capacité de prod et le niveau d’investissement des E plus se taux
est proche de son 100% plus l’investissement des E diminuent. Imaginons si la demande
anticipé stagne, mais en même temps les machines s’usent la probalité d’une panne augmente
donc faut les replacer. L’investissement et donc compliqué.

B- Les profits
Les profits constitue un déterminant essentiel dans la mesure où les E investissent que si elles
attendent des profits futurs intéressants. Lors que la rentabilité espéré de l’investissement est
suffisante. Et cette rentabilité dépend aussi du prix du capital, et plus exactement du prix
relatif du capital et du travail. Plus le prix du travail augmente, relativement à celui du capital
plus les E, sont sueptibles d’avoir recours au facteur capital. Susbitiution capital travel.
Autre élément, il faut savoir que les profits réalisés par le passé constitue une ressource
financière nécessaire pour financer tout ou une partie des investissements nouveaux.

Calcule de la rent escompté de l’investissement

I - R1/(1+r)^1 + R2/(1+r)^2 + ect …. + Rn/(1+r)^n

I - R1 (1+r)^-1 + R2 (1+r)^-2 + ect … prout

Un investissement d’un montant I ne sera rentable, que si la somme des revenus futurs
actualisés que génère l'investissement est au moins égale au montant de l’investissement, et
donc si on appelle R le taux d’actualisation et N Le nombre de période sur lesquels
l’investissement on a alors FORMULE SI DESSUS OUI
Donc les flux de revenus RI sont encore dissipé par l’E en fonction de la demande, cette
demande donc l’inconnu est la de revenu pour laquelle l’équation est vérifié. Et cette valeur
est ce l’on appelle le taux de rendement et il est appelé par Keyns efficacité marginale du
capitale en gros elle représente le taux de rent espérer de l’investissement. Il s’agit bien du
taux pour lequel la valeur actuel de l’investissement est nul/ pour Keyns l’investissement est
une opération risqué et il existe d’autre façon de faire fructifier son argent.
Taux d’intérêt I sur le marché représente le coût d’opportunité d’investissement, au sens où il
s’agit de se à quoi l’E renonce lorsqu’elle investit. Deux cas peuvent se présenter, donc taux
sur le marché et l’efficacité marginale du capital si ce taux est inférieur à celle du marché est
bien l'entrepreneur sont peu enclin à investir s'ils ont une épargne ils pourront faire un fond
financier.
Ils empruntèrent pour réussir, s'ils disposent une épargne brut ils vont où renoncer ou
emprunter pour réussir. L'investissement devient plus rentable qu’un placement financier.
plus l'écart est entre l'IMC et le taux d'intérêt plus c’est fort.

C- L’influence du financement

Effet de levier financier, effet dû à l’endettement. Knut Wicksell 1920


L’E est fortement influencer par les taux d’intérêt par l’investissement

Hypothèse 1 H2
Investissement 1 000 1 000

Capitaux propre (1) 1 000 500

Capitaux empruntés 0 500

Profit (2) 150 150

Intérêts (10%) (3) 0 50

Rentabilité des capitaux 15% 20%


propres (4) - (2-3)/1

On voit apparaitre un efet de levier de la rentabilité financière des capitaux propres grâce à
l’endettement on emprunte et on a un meilleur de taux de profit ne joue tant que la rent éco,
c’est à dire profit divisé par investissement donc ici c’est 15% est sup au cout de l’emprunt
c’est 10%. Ca démultiplié les taux de profit. Or effet de massue si c’est inverse.

Incitation à investir par le recourt au marché financier, les E peuvent avoir recours à
l’émission d’action et d’obligation pour financer leur projet d’investissement donc cette façon
de financer un investissement ne peut concerné des entreprise moyennes et grandes qui
disposent d’un taille suffisante pour supporter des frais fixe de l’introduction en bourse et de
l’augmentation de capital

III. Le rôle de l’investissement dans la croissance économique

A. L’effet multiplicateur de l’investissement

Vertue en matière de croissance et emploi, ensuite pour l’ensemble en matière de


modernisation des structure car l’investissement et source d’accumulation de capital et capital
nouveau apporte du progrès technique. Donc 3 effets principaux:
- effet multiplicateur qui agit sur la croissance éco
- effet accélérateur qui résulte de la demande globale
- effet régénérateur qui est source de modernisation de l’offre
On assiste à court terme et a long terme un investissement d’une croissance éco

Multiciplateur d’investissement keynésien


Production (y) = Consommation © + investissement (I)
Production = revenu = Y
Donc la prod Y est égale à investissement C + investissement I.
En outre nous savons que la prod est la somme des valeurs ajouté produites par les agents éco
résident et cette valeur ajouté et ensuite réparti sous forme de revenu. Ca veutdire que une
augmentation de l’investissement public va se traduire par une districbution supplémentaire
de revenus. La varaiation de la conso des ménages delta C, est lié à la variation de revenu est
la propension marginal a consommer “c” (voir photo claqué)
Et donc si delta Y est = delta I
Donc ces dépense de la conso vont alors procurer des revenu supp et ceux ci vont a leur tour
generé en partie de la conso de C² delta I
Donc la somme delta est de delta i (premiere ligne photo)
Le multiplicateur keynésien est de (1/1-c) —> comment un investissement initiale de l’état
peut réer au bout de 100 cycle de revenu.
Si on a c = 0,8 donc k=5 donc tt augmentation de l’invest conduit à une croissance de la prod
à 5 fois supp. Donc selon l’effet multiplocateur de l’invest tt variation de l’invest conduit a
une variation plus que proportionnel delta y tel que delta y = 1/1 - c —> La propension
marginale a consommer
L’ffet nest pas imméiat qui s’échelone sur plusieur période. On constate que l’Etat est peut a
l'origine de tt investissement autonome qui par le jeu du multi
L’effet multi peut etre source dinflation. Il repose sur lidée qu’i=yn invest initial ou dépense
public provique des vague execessif de conso et don ce prod de la partdes agent éco.
Pour que la conso ménage soit satisfaite il faut es capacité de prod inutilisé. Les E ait encore
des capacité de prod non utulisé pour répondre au surcoit de demande dans le cas contraire
l’eco se trouverait dans une situation dans laquelle la demande augmente sans que l’offre
censé y répondre ne vari pas se choc de demande provoque une hausse générale du prix. Dans
cette situation le multi d’ibnvest se tranfèe en multi des prix

Mnt dans une éco ouverte suppose des échange de bien avec l’estero si bien que l'offre
nationale y répond à la hausse de la demande qu’implique le multi. Cette demande pourra se
portait sur service d’importation.
On sait par ex que la propension margianl a importer en france est de 25% ca veut que tt
augmen des r conduit a une hausse des importation de 0;25 fois cette variation de r. Ca veut
dire existe des fuites vers l’exté qui limite l’effet multi. La relance de l’ivest public proftite de
l’exté. et ca peut détériorer le sol des transaction courante et l’ampleur de ses déterrioration
dépend de la compétitivé prix et hors prix de la compétitivité nationale. En gros l’effet mulyi
est plus éco ouverte est plus faible en éco ermé

B. L’effet d’accélération de l’investissement

L’effet d’accélération est parfaitement symétrique, sur l’effet d’invest en pleine situation
utilisation d'effet de pro une variation de la demande entraîne une variation encore plus
proportionnel que l’invest. Cet effet accélérateur peut être négatif si la demande diminue,
l’invest diminue plus fortement encore. Effet générateur de l’invest, introduit le progrès
technique dans la prod.
—> progrès technique est l’ensemble des innovation qui conduise à augmenter es quant
produite avec des quant inchangé de facteur travail.
Et donc la mesure des progrès technique est l’évolution de la prod, c’est a dire les gain de
prod.

C. effet régénérateur de l'investissement

Schumpeter dénombre 5 type d”innovation


- les nouveau produit,
- les nouvelles méthodes de prod
- les nouveaux marchés
- les nouvauté type d’orga de prod
- les nouvelles sources de matières premières
Selon lui l’innova tion est a l’origine d’un process créatrice, c a dire que des E et emploie
disparaisse dans les secteur qui subisse le progrès technique, et d’autres apparaisse dans les
secteur ou émerge se progrès technique.
Le progrès technique est a l’orgine de ses gains de prod et ses gain de prod sont partagé entre
les consommateur, les travailleur et les producteur.

VOIR PHOTO GRAPHIQUE

On peut considéré qu’une judicieuse répartition des gains eprod conduit a une croissance
harmonieuse car à la hausse de la prod correspond à une hausse équivalente de la demande
solvable. Cet état c’était celui du compromis fordiste des 30 G.

Chapitre 5 : les échanges internationaux

I. Ls fondements des échanges internationaux

A. Les explications libérales de l’échanges international

Def ; le libre échange est une doctrine éco qui vise à limiter les obstacles à la circulation des
biens des services et des capitaux entre les éco nationales.

Pour les auteurs classique artisant du libre échange division du travail entre les nation qui
conduit a une division du travail au moindre coût.

1. La théorie des avantages absolus


La théorie des avantages absolus

Selon cette théorie, de Adam Smith en 1976 chaque pays a intéret de sp dans les prod pour
lesquels il possède un avatge absolu dans les autres nations et s’approvisionner à l’exté a
moindre cout piur les prod dans lesquels il détient aucun avantage.

Def : un avantage absolu est un avantge obtenu, dans l’échange international par une nation
lorsqu’elle produit et ve,d un bien a une prix inférieur à celui des nations concurrente

Adam ne précise pas lorsqu'un enation na pas d’avantage absolu


ex : la France
Cette nation devrait en théorie importer tout les biens nécéssaire sans pour autant exporter du
cout doit etre vivre en autarcie?

La théorie des avantages comparatif


David Ricardo 1817
Précise que la spé inter est bénéfique pour tous les nations sans avantages doivent se spé dans
les productions pour lesquels elles connaissent le mpindre désavantage se faisant les richesses
totales produites s’accroissent et toute un avantage comparatif.

Def : un avantage comparatif est un avantage obtenu dans un échange interna par une nation
lorsque comparativement aux autres biens, son désavantage sur un bien , en terme de cout et
de prix de vente est moindre.

VOIR PHOTO TABLEAU

L’angleterre ne dispose aucun avantage aboslu mais possède un mpindre désavantage donc un
avantage comparatif dans la prod de draps. Pq? Le rapport des prod des deux pays est plus
proche de 10 pour le draps.
Le Portagal est plus fort dans la prod de vin
Chaque pays doit s'approvisionner auprès de l’autre pour qu’il ne produit plus, donc sans spé.
L’Angleterre produit plus de draps. Avec spé on produit plus. Faut se concentrer sur un
produit.
Donc la rpdo de richesse augmente grace à la spé international dont laquelle on produit
l’échange.
Théorie qui repose sur l’hypothèse sur la mobilité interne des facteur de prod travail et
capital. Or cette mobilité ne semble pas parfaite dans cette mobilité. D’où la théorie des
dotation en facteurs de prod qu’on appelle la théorie HOS

Heckscher 1919, Ohlin 1933, Samuelson (1954)

Définition: la loi des dotation en facteurs de production explique qu’un pays exporte les
produits dont la fabrication nécessite un grande quantité du facteur qu’il possède en
abondance.

Pour les nations il fait se spé dans les facteur de prod les plus abondants.
Ainsi les pays en dvlt exportera des produit incorporant bcp de main d oeuvre et les pays dvlp
exporterait des biens nécessitant un capital important pour leur fabrication.
Donc la théoris HOS conduit a une division international du travail en terme de
complémentarité qui est conforme à la théorie des avantages comparatif de Ricardo.
La demande de travail augmente les pays du Sud et diminue dans les pays du Nord.
Au final sur le marché du travail dans les pays en voie de dvlp on observe une hausse du pris
du travail et l’inverse pour les pays dvlp. Donc convergence de la rémun des facteurs de prod
selon le théorème de Stolper Samuel Son. Donc r travail et r capital tant à s’égaliser à
l’échelle grace à l’échange internationale. La question qu’on peut se poser es ce que la
mondialisation conduit a un rapprochement des niveau de vie, c’est a dire prod des inégalité
entre pays. Rien n’est mins sure car les pays a niveau de dvlp éco voisin on plus tendance a
commercer entre eux qu’avec les autres.
2. Les echanges de similitude

Echange de biens similaire dans se que l’on nomme le commerce intra branche entre pays a
niveau voisin c a dire pour lesquels on observe pas de diff significative dans les ditation en
facteur de prod, ex: la france exporte des automobile vers l’italie alors qu’elle importe envers
ce pays cette approche est en opposition avec la theorie des avantages comparatifs de Ricardo
selon laquel chaque pays est spé dans une prod différente. S’oppose également au théorème
HOS qui indique que les échanges s’observe entre pays a dotation complémentaire en facteur
de prod.

Def : le commerce intra branche concerne les échanges internationaux qui portent sur des
biens de même nature c a dire appartenant à la même branche de production et ceux entre les
économie nationale.

La Théorie de la demande représentative de Linder : 1961 demande représentative, considère


qu’un produit est vu pour satisfaire une clientèle nationale ainsi l'avantage comparatif se
trouve lié à l'ampleur de la demande intérieur représentative, plus le marché intérieur est
vaste plus la possibilité de réaliser des éco d’échelles sur la prod est grand, ensuite lorsqu’il
est exporté le produit n’est susceptible de concerner, que des nations dont les consommteurs
ont un niveau de vie semblable qui leur permet de se l’offrir

Bernard Lassudrie-duchêne, en 1971, considère que le commerce intra branche s’explique par
une demande de différence de la part des consommateurs, les produits qui font l’objet
d’échanges croisés ne sont pas totalement identique, ça veut qu’il n’y a homogénéité parfaite
des produits tel que le propose la théorie pure et parfaite qui implicite dans les approchent.
Les conso cherchent à se distinguer de leur semblable se qui explique leur demande de
variété.

Paul Krugman montre que les conso révèlent une préférence pour la diversité, et donc cette
préférence comme pour Bernard explique que les échanges internationaux se font entre pays
à niveau de dvlpt voisin, les spé ne sont pas aussi tranchés que le modèle ricardien le laisse
supposer. La spé s’oppère par marque et non par produit ainsi les produits échager dans le
cadre de commerce intra branche ne pas totalement homogène. Mais le principal apports
novateur de Krugman est ailleur.
La des modèles théorique de l’échahge nationale repose sur l’hypothèse des rendement
décroissant, or quand on regarde les fait moderne de nb prod suive des rendemment croissant
et Kugman en conclu que si deux pays en connaisse des cout de prod identique c’est a dire
qu’il y a aucun avantage aboslu et identique il faut se spé. PQ? pcq la spécialisation conduit à
accroitre la prod d’un bien par un pays et donc à diminuer les cout unitaire de production de
tout les biens, de plus la sé des pays peut e batir selon une logique de différenciation

B. Les effets pervers du libre échange et la tentation protectionniste

Le protectionniste repose sur l’idée que le libre n’est pas source d'accroissement des richesses
que ça soit dans le temps ou dans l’espace.

1- l’échange international est un obstacle au dvlpt

Certain auteurs défendent l’idée d’une protection d’une éco nationale face à la concu étragère
par des pratique ptrotectionniste. Les pratique protectionniste se divise en tarifaire et non
tarifaire et les barrière non tarifaire sont plus importante.

Une barrière tarifaire est une barrière douanière dont l’objectif est de limiter les produit
étranger sur le territoire interrnational en augmentant les droit de douane sur les produit
arrivant sur les frontière nationale.

Une barrière non tarifaire a le meme objectif mais elle va travaillé sur des notion qualitative
et normative comme les norme technique, les règle de sécu, les règl d’hygiène et les normes
sanitaire et l’exclu des E étrangère des marchés publics, tracasserie adm…

Au delà des barrières il y a le prtectionniste financier et monétaire : subvention à


l’exportation, donner de l’rgent au xE pour leur permettre d’exporter. Permet des prix de
vente à l'exportation.

Crédit à l’exportation et différence d’origine fiscaux.


Au déàlà du prtotectionniste financier il y a le protectionnisme monétaire, c’est la
manipulations des instruments monétaire ayant pour pour effet de permettre au taux de
change de se déprecier plus qu’il ne le ferait autrement. C’est aussi prévenir une appéciation
de la monnaie. Ex : les évaluation compétitive utiliser dans les années 30. Avec la
généralisation de la flex des changes suite aux des jamaique en 1976 le protectionnisme
monétaire revet des formes plus occultes, et dispose de moyen plus varier l’action sur les taux
d’intérêt.

Tarif douanier →
- effet de redistribution (reditribution des conso vers les pod),
- effet de la conso (baisse de la conso domerstique) baisse importation
- Effet sur la prod (augmentation de la prod domestique) baisse importation
- effet des recettes fiscales (revenu fiscal pour le pays importateur)

La protection des industries naissantes


Friederish List : le surcoût lier au protectionnisme est légitime pour List, dans la mesure où il
va permettre l’émergence d’une industrie nationale. Selon cet auteur ces industie sont
pénaliser par raport à la consu internationale par le fait qu’elles ne bénéficient pas encore des
éco d'échelle pas encore suffisant
L’ensemble des éco dite libérale sont effet bati autour de l’hypotèse des rendement d’échelle
non croissant c’est a dire que l’augmentation ne conduit à une diminution des cout unitare en
réalité les rendemment d’échelle peuvent être croissant ainsi l’antérieurerité d’une nation de
la frabrication d’un bien, c’est expérience ainsi que la taille de son marché intérieur joue un
aspect non négligeable dans l’obtention d’un avantage comparatif. Les nation dites en
avances auraient donc cresées un avantage perpétuel et les nations en retards ne pourront
jamais comblet cette écart. En conséquences la théorie de la protection des industrie naissante
considère qu’il est nécessaire de protéger de manière transitoire les industries dans l’enfance
grâce à l’instauration d’un droit de douane. Elle pourront alors bénéficier d’éco d’echelle et
des faits d’éxp.

James Brander et Barbara Spencer (1983) :

Paul Krugman (1987) :

Ex : marché qui serait rentable que pour une seule entreprise et donc chaque firme à le choix
entre deux strats produire ou ne pas produire. Et donc on peut représenter les gains de chaque
constructeur par une matrice stratégique.
Chaque couple de la matrice correspond au profit de Boing et d’air bus. On voit alors que
lorsque une E est seule a entrée sur le marché elle réalise un gain de 100 mais que son gain
est négatif si toute deux entre sur le marché. Et si aucune des deux entre les sommes sont
nulles.
Dans la matrce 2 aucune strat dominante apparait
Donc l’idéale serait que l’une des deux E parviennent à convraicre qu’elle entrera dans le
marché quoi qu’il advienne. La seconde est donc certaine de réaliser une perte si elle décider
d’entrer sur le produit. L’avance techno est un gros avantage. Les choses changent si les gouv
européens s’accordent pour subventionner la prod d’airbus. Et donc les gouv européen vont
verser une subvention de 10 conditionné à entrer sur le marché de airbus.
Matrice 2, on voit clairement que airbus dispose d’une strat dominante, quelque soit le choix
de Boeing airbus a intérêt à produire. PQ? il réalise tjs un profit positif , soit 5 soit 110. Ca
veut dire que airbus a donc bénéficier d’une politique commerciale euro, pq? Elle a lui a
permet de convaincre son concurent qu’elle produirat quoi qu’il arrive et cette strat condamne
l’E Boing a ne pas entrer sur le marché car elle serait certaine de realiser une perte. Deplus la
politique commerciale strat n’est guère coteurse en terme de denier public. Pq? la subvention
perçut par airbus peut très bien être une avance aisaiment remboursable par 110 réaliser. En
somme la politique commerciale strat justifie une protectionniste prédateur c’est a dire que
les profits réliser par une firme nationale le sont au détriment que ceux réaliser par des firmes
concurentes étrangères.
2. Echange international, un échange inégal
Une répartition différentes des gains de prod selon les pays

DEF: l’échange inégal est une situation de l’échange international dans laquelle certains pays
s’enrichissent grâce à l’échange, au détrient d’autres qui s’appauvrissent

Arghiti Emmanuel (1972) : l’échange est inégale car il consiste a obtenir par l'intermédiaire
des biens importés une plus grande quantité de travail humain que l'on accorpourt des biens
exportés. En Afrique balance commerciale déficitaire, exporte trop et n’importe pas.

Arghiri Eammanuel et Samir Amin (1986).


Inspirer de la téorie marxiste et en prolongement de la théorie Ricardienne des auteur comme
Emmanuel et Amin ont montré que le libre échange conduisaient à une exploitation
internationale des pays en dvlpt par des pays dvlp. Pour eux la spé s’oppèrent bien souvent
par l'intermédiaire d’E multinationale. Elles s’implantent dans les pays du tiers-monde, celle-
ci s'obtiennent sur place des gaains de prod qu’elle consacre en grande partie à la baisse des
primes des produit qu’elle réexporte de leur pays d’origine. A l’inverse le gains de prod
réaliser dans les ays d’origine sont en générale répartie sous forme de hausse des slaire et des
profits au détriment des baisses de prix à l’exportation vers les pays du tiers monde.

La dégradation des termes de l’échange des pays en dvlpt

Def : les terme de l’échanges TE représentent le rapport entre l’indice des prix des biens
exporté et l’indice des prix des biens importés

TE = indice des prix des biens exportés/indice des prx de biens importés *100

Dans certains pays africain comme le Gabon la monnaie le francFA est imprimé en France,
car c’est une ancienne colonie française.

Les pays dvlp s'accapare donc l’activité des produit en dvlpment et conserve les leurs. Il en
résulte des terme de l’échange c’est une dégradation qui cnduit les pays en dvlpment à
exporter et donc à travailler davantage pour pouvoir importer une meme quantité de biens. Ca
veut dire que vous avez un échange inégale de facteur travail. La détérioration des terems de
l’échange s’explique en oitre par la loi d’Engel, la deman de bien primaire est moins forte à
long terme en proportion de r que la demande de bien industriel, ainsi les prix des biens
primaires ont ils tendances à baisser.

3. Le rôle des E et l’économie monétisée

Les théories trad explique insuffisamment la réalité des commerce aujoud’hui elles reposent
souvent sur l’hypothèse de parfaite mobilité interne des facteur de prod et non sur l'hypothèse
d’une mobilité internationale des facteurs. Or le commerce mondiale, a pour principaux
acteurs l’ensemble des firmes multinationales lesquels organisent justement leur activité de
production à l’échelle de la planète et on u seul niveau nationale.

4. l’organisation des E au niveau mondiale

Une E mondiale E qui organise et structure ses activités au niveau mondial. Elle ne considère
pas son marché comme juxtaposittion de marchés nationaux cloisonné, mais comme un
marché mondial unique.

Désormais les E structure et organise leur truc au niveau modiale et Bernard Lassudrie
Duchêne (1971) DIPP (décomposition internationale des process prod), ex : l’automobile →
donc c’est avant tout un process de prod qui réclame la réalisation un grand nombre de sous
ensemble. Et donc roduire dans chaque pays supposerait des investissements identique dans
chacuns d’eux, pour fabriquer la totalité des sous-ensembles, cette approche n’est pas
rationnel il est préférable d’éclater le process de prod en plusieur pays et ceux pour tenir
compte des avantages qu’offre chacun d’eux, chaque sous ensemble, est alors réalisé en un
endroit unique ceux qui permet de bénéficier d'économie d’échelle et des fait d’expérience,
tout ce passe donc comme si la totalité des opé a effectué dans le cadre du process de prod
était disséminé de part la planète en fonction des avantages respectifs des pays d’accueuil. La
DIPP apparaît intéressante que si les économies de coût éco d’échel est fait d’exp l’importe
sur les frais d’acheminements des sous-ensemble d’un point à l’autre de la planète. A
l’origine se sont les pratique protectionnistes qui ont amené les E a substitué les invest
internationaux aux échanges car la mobilité des facteurs de prod à supplé la mobilité contrarié
des biens. De plus la tendance à l'homogénéisation des mode de vie à travers la planète à fait
ressortir une demande mondiale elle aussi homogénéisé, le protectionnisme en utilisant le
capitale

II. Le commerce mondiale

A) l’évolution des échanges internationale

Une grande partie des service marchand font plus partie des service national que d’échange.
Ce qui est intéressant c’est la structure des service des échanges par produit. 2 idées :
- l'importance des produit manufacturé → la part des échange de produit est croissante
à long terme dans le totale des échanges de biens. A l’inverse le poud des produits
agricole est en baisse régulière. La part des prduit combustible qui inclu notamment le
pétrole fluctuer selon l’évolution des courts. Ex : produit agricole entre 1963 et 2011
ont vu leur par dans les expo de 29 à 20%
- Les pays dvpt ont principaux exportateurs de matières premières, ce sosnt pas les pays
en dvlpment et notamment les pays comme les US et le Canada. Toyte fois la prod et
‘exportation de ressources naturelles ne représente que une faible part des activité des
pays dvper contrairement au pays en dvlpent pour lesquel elle constitue une fraction
importante. On dit que ces pays ont la malédiction pcq ils ne décident pas du cours
des matières 1ere.
Croissance des éco
D’abord une ouverture croissante sur les éco d’extérieur et cette ouverture ‘accroit sur
l'accélération des échanges à titre d’exemple la prod en France résulte pour le quart
d’importation est consacré pour le quart à l’exportation.

(Exportation + Importation)/2*10
/PIB

ex : les usa ont un titre d'ouverture de 11% alors que le Luxembourg est à 85% donc
l’ouverture des éco est tributaire de la dimension du territoire et de sa diversité

Autre idée les fluctuation éco par le commerce internationale, l’interdépendance des éco
suppose une diminution en matière de politique éco pcq des contaite exté vienne contrarier
son efficacité.
Ex : les politique éco de relance de demande comme les Keynésien contribue à une hausse
des importation qui sont préjudiciable à leur politique extérieur. Mais point positif la politique
de croissance d’un pays se répercute sur d’autre qui pourront répondre à une demande plus
importante par des exportation

B) La géographie des échanges

l’échange internationale est le théatre de la compétitivité des nations donc on retroyve les
grande puissante en matière importateur de service et exportateur. Donc les nations sont
concurrente entre elles pq ? Pour approvisionner les pays qui ne dispose pas de certain bien
mais aussi pour des biens que toutes produisent dans le cadre des échange intra branche. Ce
qui est en jeux au travers des échanges ou plus sa part du marché mondiale. Et au total la
concu internationale savère être une concu entre des entreprise de nations diff entre de salarié
travaillant dans des nations diff et entre des territoire de nation diff et elle renvoie à la
compétitivité des nations. Et cette compétitivité ne repise pas uniquement sur des politiques
conjoncturel comme les taux d'intérêt les salaire, taux de changes et d’inflation. Mais aussi
sur des aspct structurel car les E peuvent délocalisé leur prod. Pour affronter leu condu
internationale. les nations peuvent s’appuyer sur plusieurs élément de collectivité compétitive
comme le système de santé, l'enseignement , l’information, la protection sociale, le capitale
sociale, les infrastructure de transport la fiscalité le droit et les structure juridiques. Tout
concourt à la compétitivité des concours de fournir aux E un support à la valeur ajouté.
Le commerce mondiale est principalement est fait des pays dvlpt hauteur de 70%. La prt des
pays en dvlp est fluctuante, largement en raison des évolution des cours dans la matières
premières. Ces matières consituent encore une part importante. Constitue une stabilisation
dans le totale des échanges internationaux et on assiste en partie à une reditribution des cartes
au sain du commerce internationale ainsi le déclin relatif au état unis a suivis à la grande
bretagne et à profiter au japon et l'Allemagne.

On assiste au passage de l’ancienne à la nouvelle DIT __> division individuel du travail


(introduire photo de def)
L’ancienne division internationale du travail, les pays en dvopt exporter des matière 1er vers
les pays dvpt et en échange les pays en dvlp importer des produits manufacturés et dans la
nouvelle DIT certain pays en dvpt exporte aussi des produit manufacturés (taïwan, malaisie,
singapour, corée du sud). La france a signé un traité commerciale avec Singapour.
On assiste d’abord à une tripolarisation du commerce internationale et ce commerce
internationle s’éloigne de plus en plus d’un commerce de type Nord Sud au profit d’un
commerce tripolaire ainsi la part de l’asie et du pacifique grandit dans les échanges au
détriment de la mairie, alors qu la part de l’Europe reste oklm. On parle même de triande
pour caractériser le monde de aujoud’hui chaque pole est organisé de manière hiérarchique
autour d’un leader et de sa monnaie. D’un coté les US et le dollar de l’autre Japon-Chine avec
le Yen et enfin l'Allemagne avec l’Euro. Le commerce s’inscrit dans une logique de bloc
commerciaux régit ou zone d’inté commerciale.

C) L’organisation des échanges

La constitutuon de bloc commerciaux entraîne des effet sur le commerce internationale: Le


1er effet s’explique comme un détournement de trafic,
les nations qui décident d’ériger un tarif extérieur commun tout en abolissant les drouts de
douane entre elle, favorise le commerce à l’intérieur de la zone. Et à l’intérieur du bloc
commerciale les E les moins performantes sont évincés et les firms se regroupes afin de
réaliser des éco d’échel et donc les coups et les prix de vente des marchandise baisse dans la
zone commerciale. En conséquence les pays de la zones ont intérêt à acheter à l'intérieur du
bloc commerciale car les produit exté à la zone devienne plus chère. Le trafique commerciale
avec l’exé est détourné au profit d’un commerce intérieur de la zone commerciale. Mais les
consommateurs bénéficie d’une hausse de pouvoir d’ahcta du fait de la baisse à l’inté de la
zone et ils peuvent consacrer cette hausse à l’achat de bien en provenance à l’extérieur de la
zone.

2eme effet qui s’apparante à une création de trafique avec extérieur de la zone en qq sorte à la
baisse du prix des biens correspond à un effet de substitution qui conduit les consommateur à
privilégier les produits de la zone mais il y a aussi un effet de revenu qui les amènent à
consommer d’autres produits en provenance de l’exté de la zone. Cette meme baisse des
coups autorise les E exporter d’avantage vers l’exté, il y a donc trafique d’échange entre la
zone et sa préférie.

Les grandes puissances commerciale de la planète ont souhaité organiser un commerce


internationale par une code de bonne conduite qu’elles ont aménagé pour tenir compte des
modif dans la nature des échanges et donc dans le cadre du GATT, les pays ont souhaiter
mettre en place un code de bonne conduite dès 1947. Et ils repose sur deux grands principes
le libéralisme et le multilatéralisme. Le libre échanges sans obstacle est le but à atteindre
grace au démantèlement des diff barrière douanière. En vertu de la close de la nation la plus
favoriser tout avantage tarifaire accordée à un membre doit être étendu à l’ensembl des
membres. De plsu la réciprocité s'impose en matière d’avantage tarifaire et ceux pour éviter
qu’un pays membre, ne profite des concession de ses partenaire san en accorder lui même

Définition : L’organisation mondiale du commerce (OMC) et un organisme issu des accords


de L'uruguay Round, chargé d’établir et de faire respecter, par la concertation entre les pays
membres, les règles du commerce international.

L’omc doit affronter un certain nob de problème qui caractérisent l’évolution du commerce
intérieur, l’omc antérin le poid des service commercial un accord sur le commerce service , il
reprend les grand principes du GATT. Ses services connaissaient une protection importante
dans l’ensemble des pays membres. question : L’OMC est un arbitre du commerce
mondiale ? Donc en ce concerne les pratique protectionniste l’omc cherche à lutter contre les
barrière non tarifaire et cherche un soutien contre les politique de soutien des produit agricole
et cherche des subventions. Et l’omc est doté d’un organe de règlement des différends et cet
organe est saisie par les états qui considère que les règle du commerce internationale ne sont
pas observé les conflit oppose habituellement les US avec l’Europe ou la chine.

Chapitre 6 : Le change

I- Taux de change et marché des changes

Le passage d’une monnaie à l’autre se fit par l'intermédiaire du taux de change celui ci est
obtenu par confrontation de l’offre de a demande d’une monnaie sur le marché des changes.
Le change est l’opération qui permet d’obtenir une monnaie étrangère à partir d’une monnaie
nationale ou inversement. Ainsi le taux de change n’est qu’un prix de marché.

A- La notion de taux de change

Taux de change nominal : Le taux de change est le prix d’une monnaie exprimé en ue autre
monnaie. C’est le nombre d’unité monétaire que l’on peut obtenir en échange
d’une unité d‘une autre monnaie.

Cette def ne reflète pas les diff pouvoir d’achat qui existe entre le monnaie et pour cela il faut
calculer un taux de change réel qui permet de comparer les prix des biens entre deux pays .

Taux de change réel :

- Un bien unique se vend 1 00$ aux Etat-Unis et 1 200€ en Europe

taux de change réel


(voir photo et tg)

youpi
Le taux de change réel correpond à un indice de compétitivité prix, léco domestique par
rapport à l’éco de la devise concerné. Un taux de change réel inférieur à 1 illustre une sous
compétitivité prix de l’éco domestique ou encore une sur évaluation de la monnaie
domestique par rapport à la devise étrangère.
En passant d’un bien unique à un panier de bien:
- Le prix est remplacer par l’indice des prix respectif de chaque pays P, pour la zone
euro et P(étoiel) pour l’étranger
Une hausse de ER traduit une amélioration de compétitivité prix des produis nationaux et
inversement

Définition : Un taux de change fixe est un taux de change (ou une parité) fixé à l’avance dans
le cadre d’accords internationaux par référence à un étalon (l’or, une autre devise, un panier
de devise)

Définition : taux de change flexible ou flottant, est un taux de change qui varie librement sur
le marché des changes en fonction des offres et des demandes.

B- Le marché des changes

1- le marché des changes ne connait pas de frontières

Définition : Le marché des changes est le lieu de rencontre entre les offreurs et les
demandeurs en vue d’un échange de devise et qui aboutit à la fixation des prix de devise entre
elles le taux de changes

Une seul marché de change dan sle monde ou se mesure. marché en continue ou les taux de
change sont côté H24, ça veut qu’en raison des décalage horaire il y à des places financières.

2- Les intervenants sur le marché des changes

Il y a dabord les particulier et E qui transmettent au banque des acaht et des vente de devise,
les baque joue un role d'intermédiaire. Autre intervenant les banque centrale intervient sur le
marché des changes pour régulé les fluctution de cours et cotrolé des changes mais le marché
de chance c’est surtout un marché interbancaire dans le esns ou se sont surtout les banques
qui interviennent. Et les individu qui négocie sur le marché e sens sont les Gambiste, et
s’efforce d'obtenir des gain de change pour le compte de lieu change.

3- Marché au comptant, marché à terme

Sur le marché au comptant la liste se fait par transfert de compte à compte dans les deux jours
ouvrables qui suive la négo et sur le marché à terme, la livraison est reporté à une échéance et
un cours convenu à l’avance appelé cours à terme.

4- la couverture contre le risque de change

Le marché de changes permet aux agents éco de se couvrir contre le risque de change et de
spéculer.
“photo qualitative”

Deux possibilité de couverture ce rique de change

1 → acheter des devises sur le marché des changes au comptant ici un millions de dollars et
les places sur le marché monétaire pendant trois mois. L’E se prive en qq le délai de paiment
que lui a fournit le fournisseur américain.

2 → Acheter des devises à terme ici Un million de dollars à un cours fixé à l’avance. L’E peut
accepter de payer plus chère ses devise contre la certitude de payer encore plus chère. En gros
l’E présente une aversion pour le risque excessif de variation du taux de change

(photo de schéma avec les flèches là)

L’E doit trouver des agents éco pret à prendre le risque à sa place et se rôle est joué par les
spéculateur et pour eux le commerce de devise constitue une fin en soit, il cherche à profiter
des écrat de cours dans le temps et dans l’espace. Et peuvent aussi profiter des écart de cours
entre profit sur plusieurs place financières en même temps au total il apparaît que le marché
des changes est un marché spéculatif et la spéculation constitue au départ une contrepartie à
la volonté de se protéger contre le risque de change. Cependant elle est aussi un élément
essentiel de la variation des cours de changes

II- La détermination des taux de change

A) taux de change et échange de bien et service

1) Le taux de change dépend du solde des transaction courantes

Le taux de change d’une monnaie nationale varie tout d’abord en fonction de l’évolution de
la bance des transaction courante c’est à dire de l’ensemble des échange de bien et de services
et quand l’offre est suppérieur à la demande, le prix sur le marchéà tendance à baisser en
conséquence un excédent des transaction courante conduit à une hausse de la demande de la
monnaie nationale et amène à une appréciation du taux de change.

Le taux de change bilatérale est déterminé par le rapport au pouvoir d’achat interne et
considéré. l'égalité des pouvoirs d’achat entre les deux monnaies ça veut dire qu'avec 100 e
un agent eco doit pouvoir se procurer un même panier de bien dans la zone euro et hors de la
zone après les euros converti. Sur une longue période on constate que la ppa est une
explication satisfaisante d’un différentiel de change.

B- Taux de change et mouvement de capitaux

Les taux de change sont sensibles aux taux d’intérêt. Lorsque les taux d’intéret de la zone
euro sont supérieur à ceux proposés à l’étranger les capitaux afflux de l’étranger pour se
placer dans la zone. Pour cela il faut d’abord échanger sur le marché des changes, il en résulte
une hausse de la demande d’euro et donc une appréciation de l’euro. Et inversement pour
dépréciation de l’euro conduit souvent à une hausse des taux d’intérêts en europe alors que
une appréciation de l’euro permet de baisser les taux d’intérêts.
Si une monnaie est fragile des agents éco anticipe sa dépréciation et se manque de confiance
en la monnaie oblige à augmenter les taux d’intérpet si l’on veut stabiliser le taux de change.
On sait que les mouv de capitaux sont sensible au différentiel de taux d'intérêt entre l’éco
nationale et l’étranger.
Si le taux d’intérêt étranger y est I’(étoile) est suéprieur au taux d’intérêt nationale I les
agents éco nationaux préfère acheter des titres étrangers. On peut alors exprimer le solde des
flux de capitaux en fonction de I et I (étoile). Mais les flux de capitaux sont sensible au
anticipation de change des agents éco. En vertu de la parité des taux d’intérêt (PIDI) Keyns
1923 si les mouv internationaux de capitaux sont parfaitement libre uj placement financier
doit avoir la même rentabilité quelque soit la devise dans laquelle il est réalisé.

La spéculation déstabilise les taux de change. Le taux de change peut s’écarter durablement
de la valeur que l’on serait en droit d’attendre à la lecture des data fondamentale de l’éco. Et
cet écart peut s’expliquer du fait de la spé du marché des changes.
Lorsque les agents éco anticipés la dépréciation d’une monnaie il se débarrasse de cette
monnaie en la vendant sur le marché des changes et contribué à sa dépréciation effective.
PQ ? l’offre de cette augmente sur le marché des changes. → le cours d’une monnaie peut
baisser simplement pcq le spéculateur pense qu’elle va baisser. Alors oui les spéculateur
connait les fondamentaux des taux de change et ce qu’il sait également c’est que les
anticipations des autres spéculateurs peuvent modifier les taux de changes et donc les offre et
les demande de devise sur le marché des changes ne reflête pas nécessairement les idées que
se font les spéculateur sur les paramètre fondamentaux de l’économie mais plutot les idéee
qu’il se font des ipinion des autres spéculateurs. Donc ça peut généré une bulle spéculative
Def ; une bulle spécu → Est un phénomène de hausse ou de baisse de la valeur de’un tutre ou
de devise, qui résulte de l’agrégation des cmportement de mimétismes des acteurs sur le
marché (marché des chnafes et financier) : la hausse appelle la hausse la baisse appelle la
baisse.

Ces comportements de mimétismes renforce les anticipations.


Ex : lorsque l’€ se déprécie nombreux sont les spéculateurs qui interprettent la baisse comme
une info détenu par d’autres ils vendent alors les euros sur le marché des changes,
contribuanyt à la dépréciation de l’euro qu’ils avaient anticipés. De plus les spécu utilisent à
quelques varientes près les même logiciel d’aide à la décision pour passer leur ordre d’achat
et de leur devise se ui renforce le comportement de mimétisme. Et selon John Miniar Keyns
le mimétisme a un comportement rationnel en période d’incertitude car il peret de profiter de
l’info des opé mieux informer.

Parité des taux d’intérêt (PTI) (keynes, 1923)

III- Balance des paiements et politique de changes

A- La balance des paiements

La balance des paiement s’interesse des échanges de bien de service de calcule, les nations
comptabilise les échanges avec l’extérieur pour comparer l’ampleur des flux d’entrée à celle
des flux de sorti. Pour cela ils établissent des truc comptable conforme aux recommandation
de l’onu, c’est la balance des paiements, ce documents est établie par la banque de france e,
france.
Principe de la comptabilité → la balance des paiement. Une même opé est comptabilisé deux
fois une fois en tant que flux monétaire contre parti exacte de ce flux réel.
Ex : une vente de marchandise à l’étranger pour une somme de mille euros est enregistré d’un
côté de la balance en tant que exportation et de l’autre coté de la balance entend que
augmentation des réserve monétaire, c’est un flux monétaire. Il en résulte un nécessaire
équilibre de la balance des paiements, selon de la présentation en vigueur du 1er janvier
1996, la balance des paiement se divise en 3 comptes:
- Comptes des transaction courantes → enregistre l’ensemble des échange de bien et
services avec l’extérieur,
- compte de capital → le compte de capital enregistre essentielleùent le transfert de
capital alors ses transfère résulte par exemple de la crise de la dette des pays pauvres
qui ne peuvent onorer leur engagement. Il s’agit donc dans cette exemple des remise
de dette et de perte sur créance accorder à ces pays.
- Et enfin le compte financier enregistre différent de flux financier comme les flux
d'investissement directe et flux d'inves porte-feuille et des flux de près et empreint
entre agents éco résident et non résident.

B- Les politiques de change

Alors les poltique visent à maîtriser les variations de change pour que celle ci ne soit pas trop
néfaste à l’activité des agent éco, pour cela les autorité monétaires dispose d’un ensemble
d'instrument dont l’efficacité est parfois limiter selon le système de change pour laquelle elles
ont opté.
Le first pb à résoudre cest celui de la convertibilité de la monnaie. Si le taux de change
permet d’exprimer les valeurs des monnaies entre elles rien indique qu’elle se changeront
pour autant. Pour cela il faut les autorité monétaire de chaque pays accepte de garantir le
remboursement de leur monnaie parce que celle ci est présenter en échange d’une autre. Le
risque est grand si l’émission monétaire est trop importante de devoir s’endetter en monnaie
étrangère pour rembourser les détenteur non résident de monnaie nationale. Et donc la
convertibilité est largement lié à la dé-confiances des détenteur de la monnaie nationale pour
qu’il ne réclame pas tous ensemble sa conversion. Et cette confiance elle est lié à la situation
éco du pays. ex : certain pays limitent les possibilité de change au transaction courante
excluant les flux financiers. Et on repérer plusieur système selon la déclaration que le pays en
fait au fond monétaire internationale et ce panelle de système de change est degré plus ou
moins fort de flexibilité le premier cas est celui dans lequel le pays décide d'abandonner
l’utilisation de sa monnaie au profit d’une autre monnaie et la c’est le choix des pays de
l’union éco et monétaire qui ont décidé d'adopter l’euro comme monnaie et donc le degres de
flex d’échange entre les pays de l’UEN est donc nul puisque circule déormais une monnaie
untique en lieu et place des autres monnaie national mais c’est aussi le cas d’u pays qui
unilatéralement qui fait le chois d’utiliser comme monnaie nationale une devise étrangère
comme le Panama qui a choisi le dollar. premier cas : Il se prive alors de toute politique
monétaire.
Le second cas est celui du système dit de la caisse d’émission ou currency board, selon lequel
arrive arrive unilatéralement s’abonner a une devise étrangère de référence. Ca veut dire que
la monnaie national circule à l’intérieur du pays mais en quantité strictement proportionnel au
réserve au devise étrangère de ref détenu par la banque centrale. Ce système de change fixe
par rapport à la devise de ref, confère une forte crédibilité au niveau de la parié entre la
monnaie étrangère et la devise de ref. Ces système de change de dure que tant que les
politique éco suivi par le gouv apparaisse crédible. Une contraction des réserve en devise
conduit ç=à une contraction de la masse monétaire et donc a des effet récessionniste qui
peuvent contraindre les dirigeants politiques à modifier voir a abandonner la parité avec la
devise de ref.
3eme cas : c’est celui du système de change fixe, dans lequel les devises sont défini entre elle
par rapport a une devise de ref un panier de devise ou l’or avec des marges de fluctuation plus
ou moins large.
Ex : plus ou moin 1% par rapport au dollar dans le cadre des attentes de Bretton Woods en
1944.
Dans un tel système une banque central a obligation de fournir de sa propre monnaie a
quiconque en demande en contre partie en devise étrangère. Mais elle a également obligation
de racheter sa propre monnaie à partir de ses réserve de change en devise. Elle s’engage de
plus a défendre la parité de sa monnaie en intervenant sur le marché des changes pour le
cours demeure dans des limite d’ordre de fluctuation. Bien entendu ce système de change fixe
ne tien que tant la banque centrale, détient des réserve en devise et peut en empreinter auprès
du FMI par exemple pour défendre la parité de sa monnaie. Dans le cas contraire un
réaménagement des parités entre monnaie s'avère nécessaire évaluation ou dévalation.
Ex : les attaques contre le franc français en 1993 ont conduit les pays membres du système
monétaire européen d’alors a élargir les larges de fluctuation de plus ou moin 2.5% à plus ou
moins 15%.
Enfin un pays peut opter pour un système de change flexible dans lequel de taux de change
s’établit en fonction des offres et des demandes de la monnaie nationale sur le marché des
changes. Cependant même en système de change flexible les banques centrales interviennent
sur le marché des changes tant que le taux de change est uj facteur déterminant de l’activité
éco, via l'exportation et l'importation donc on peut etre amené un flottement administré et
flottement pure selon que ces intervention soit régulière ou non.

Se lon les tenants du flottement des monnaies ce système libère les autorité monétaires de
toute intervention pour la défense de la parité de la monnaie. Pour le flottement de la monnaie
se sont les méca de qui permette d’ajuster les taux de change et d’éliminer les déficit
extérieur sans obliger a une manipulation de taux d’intérêt qui peut être préjudiciable à
l’activité éco de la zone. La réalité éco nous conduit à relativisé sur la théorie du flottement
de la monnaie en effet on observe que les déséqulibre extérieur n’ont pas disparu, mais au
contraire se sont amplifier entre les USA le Japon, la Chine et l’Allemagne. Et donc le retour
à léquilibre extérieur au retour du marché des sens ne se vérifie difficilemnt. De plus forcé de
constaté que l’action sur les taux d’intérêt est loin d'être devenu autonome tant que les
évolution sur le marché des changes résulte des mouv de capitaux eux même très sensible au
variation du taux d’intérêt. Enfin la variabilité des taux de change, résultant du flottement
représente un coup supp pour les entreprises qui’ils doivent se couvrir contre les risque de
change . De plus la confiance en une monnaie internationale s’est disséminé puisque
apparaissent aujourd’hui pouvant prétendre à ce statut se qui est source de spéculation et donc
d’instabiluté des changes. On assite donc à un polycentrisme monétaire. autour du dollar
américain du Yen japonais et de l’euro principale monnaie de réserve.

On commence avec déficit extérieur importer plus que l’ont exporte, donc j'achète plus que je
ne vend. Plus la monnaie de déprécie pour on peut exporter pcq c’est moins chez les pays
étranger. (photo schéma 1)

La banque centrale européenne a des monnaie de réserve de toute les monnaie (voir photo
schéma deux)

(photo schéma 3)

(photo schéma 4)
Appréciation de l’euro → évite l’inflation des prix des produits à importer. Pour vendre l’inté
de la zone euro.
Si on achète à l’exté on peut baisser les prix à l’inté.

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