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L’économie est la science qui étudie le comportement humain en tant querelation entre
les fins et les moyens rare à usage alternatif.
= Science humaine, qui étudie le comportement des individus confrontés à la rareté.
è Pb économique fondamental : Besoins illimités ≠ ressources limitées.
Un besoin = manque / désir qui est satisfait par l’acte deconsommation.
L’économie consiste à allouer les ressources rares aux meilleures usages possibles, afin de saNsfaire
les besoins.
Ex : quel est l’effet de l’infla=on sur la consomma=on globale ? La croissancedu PIB conduit-
elle à la créa=on d’emplois ?
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B) L’économie est une science
2 types de sciences :
• Dures : physique, chimie, biologie, maths
• Humaines : économie, sociologie, histoire
Pour Karl Popper, une théorie est scienNfique quand elle peut être réfutée en la confrontant
aux faits.
Résultats des études : arNcles publiés dans des revues scienNfiques, ils doivent être validé après
des vérificaNons par d’autres chercheurs (anonymes).
Tous les pays de l’UE adoptent le même cadre depuis 1995, le SEC (Système Européen de
Comptabilité).
La compta nationale est née dans les années 1930, dans le prolongement des idées de John
Maynard Keynes. Elle représente schématiquement les grand flux.
AssociaSon
entreprises
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Rôle des secteurs institutionnels :
- Sociétés non financières : production B et S marchands (=vendu pour faire un
profit)
- Administrations publiques : productions B et S non marchands,
redistribution des richesses
- ISBLM (associations) : productions B et S non marchands
- Sociétés financières (banques) : financement des autres agents
- Ménages : consommation et épargne
SCHÉMA DES
GRANDS FLUX
Au niveau macroéconomique on a :
è Offre globale = production (PIB) + importations
= ressources de l’économie (biens produits + bien entrants depuis l’étranger)
Cet équilibre permet de comprendre l’impact des chocs économiques de demande à court
terme mais pas à long terme !
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3) CONSOMMATION ET ÉPARGNE
A) La consommation
Consommation : acquisition de biens destinés à être détruits =destruction(immédiatement
Cet
ou progressivement) par leur utilisation.
En microéconomie :
• Bien normal : consommation ➚
• Bien inférieur : consommation ➘
• Bien supérieur : augmentation + que proportionnelle
John Maynard Keynes suppose qu’il existe une relaNon linéaire entre consommaNon et revenu.
Milton Friedman èéconomiste libéral, critique aussi la fonction keynésienne. Selon lui, la
consommation dépend avant tout du revenu permanent (= revenu estimé à partir des
anticipations à long terme) et non pas que du revenu actuel.
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Deux conclusions opposés :
- Keynes : on peut relancer la consommation en augmentant le revenu courant
- Friedman : inutile de modifier le revenu courant, car la consommation dépend
surtout du revenu anticipé.
B) L’épargne
L’épargne est la part du revenu disponible (=après impôt) des ménages qui n’est pas
utilisée en dépense de consommation finale. (Selon l’INSEE)
1- LA FISCALITÉ
France ++, avec des intérêts soumis :
- Prélèvements sociaux : 17,2%
- Impôt sur le revenu : 0 à 45%
2- L’INFLATION
Peut diminuer la valeur de l’épargne.
Si taux d’inflaSon > intérêt, le capital épargné perd de la valeur.
3- LE SYSTÈME DE RETRAITE
Il existe 2 systèmes de retraites :
- Répartition : actifs cotisent pour payer les retraites
- Capitalisation : chacun épargne pour sa propre retraite
4) INVESTISSEMENT
L’investissement / Formation Brute de Capital Fixe (FBCF) est un flux qui vientaccroitre le
stock de capital fixe (immobilisations).
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Croissance en France :
- 4,5% en 1946 Tableau répar66on des mo6va6ons économiques des
- 3,2% en 1973 inves6ssements : renouvellement (30%), extension (15,5%),
modernisa6on (25%).
- 1,8% en 2000
PIB (Produit Intérieur Brut) : Production de richesse des agents sur unterritoire pendant
une période donnée.
2 CALCULS de PIB :
• En valeur/nominal : calculé en euro courant (aujourd’hui)
• En volume/réel : en euro constant, corrigé de l’inflation à bcp mieux