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Marketing de La Grande Distribution Et S
Marketing de La Grande Distribution Et S
SEHLI Sara
Nous remercions également Mr. Ahmed Bouklata que nous a encadré durant
notre projet de fin d’étude, pour son soutien, ses conseils qui nous ont aidé
beaucoup pour réaliser ce travail, et surtout son suivi hebdomadaire et le temps
qu’il nous a consacré au nos études à l’ESTF.
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Ce modeste travail est dédié :
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Remerciements…………………………………………………………………..2
Dédicaces………………………………………………………………………...3
Glossaire………………………………………………………………………....5
Introduction……………………………………………………………………...7
Conclusion……………………………………………………………………...73
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Animation : toutes actions et moyens d’animer un produit, un rayon, un
magasin.
GM : grand magasin.
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Magasin de proximité : magasin vendant des articles banals et recrutant ses
clients dans un rayon de 500 à 1000 mètres.
PLV : Publicité sur le lieu de vente - ensemble des affiches et autres supports
servant à mettre en avant un produit
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Le secteur du commerce est l’un des piliers de l’économie marocaine, il
contribue à la création des richesses avec une part du PIB s’élevant à 12.8 % et
une participation à hauteur de 2.5% du volume des investissements étrangers.
1
http://www.invest.gov.ma/?Id=34519&lang=fr&RefCat=8&Ref=153
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D’où l’importance d’une stratégie de fidélisation, non seulement pour ne
pas avoir à payer le coût d’acquisition d’un nouveau client, mais surtout afin de
rentabiliser l’investissement de la prospection initiale des clients détenus en
portefeuille. Par ailleurs, le recours aux techniques promotionnelles est très
répandu, et le consommateur est vite devenu un zappeur de marques à la
recherche du produit le plus promotionné.2
Dans cela nous avons choisi notre thème qui est «Marketing de la Grande
Distribution et Stratégies de Fidélisation Cas „‟Marjane Fès-Saîss‟‟ ».
Le troisième chapitre on va traiter une étude de cas pratique sur Marjane Fès-
Saïss dont laquelle on va analyser les résultats d’un questionnaire et d’un
entretien individuel et on va déduire par les résultats obtenus, les stratégies de
fidélisation de Marjane Fès Saiss.
2
http://www.iquesta.com/telechargement/Comment-Concilier-La -Promotion-Et-La-Fidélisation
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Chapitre I- Le marketing de la grande distribution
SI- Généralités sur la grande distribution :
§1- Définition et historique :
A- Définition :
La grande distribution est un secteur d’activité développé sur le concept
libre-service. Il regroupe de multiples magasins qui se différencient par des
critères physiques et mercatiques. 3
La surface de vente ;
Le lieu d’implantation ;
Les méthodes de vente
La nature de l’assortiment ;
L’importance de cet assortiment ;
B- Historique :
Jusqu’au 18ème siècle, le commerce tel qu’on l’entend aujourd’hui se
réduit à quelques boutiques dans les villes et à quelques négociants. Le
commerce n’a alors qu’une fonction périphérique. De manière générale, les
fonctions de distribution et de vente sont mises en œuvre par les producteurs
eux-mêmes dans un schéma d’autoconsommation ou de consommation locale
des produits.
3
http//:www .wikipedia.com/définition_la_distribution
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comme le Bon Marché créé en 1852. Ce sont là les prémices de l’ère de la
grande distribution dite de « masse ».
4
http://www.persee.fr/doc/hes_0752-5702_2006_num_25_1_2581
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nombre de supermarchés détenus par des capitaux locaux ont vu le jour dans les
villes du pays. La grande distribution à capital étranger voit le jour à la fin des
années 90 avec la participation d’Auchan et l’arrivée de Casino. A l’origine, les
GMS se sont principalement concentrées dans la zone Casablanca-Rabat (60%
des unités et 66% de la surface de vente en 2001) qui bénéficie d’infrastructures
modernes et d’un pouvoir d’achat supérieur en moyenne au reste du pays.
Depuis 2003 cependant, les grandes surfaces se développent désormais dans des
villes considérées comme secondaires (Kenitra, Khouribga) ou au pouvoir
d’achat plus limité (Fès, Tanger).5
§1 - Politique d‟assortiment :
5
http://www.marketing_grand_distribution_cm_atv_.pdf
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opérations de classement, de stockage, de présentation… Ainsi, la structure d’un
Assortiment révèle cinq paramètres : les produits, les familles ou catégories de
produits, les modèles, la série ou la référence et la pièce ou l‟article.
6
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:http://emc-mag.over-blog.com/article-la structure-
d-un-assortiment-dans-une-grande-surface-109797996.html
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inventorie tous les produits présentes d’une parte et que d’autres parte on
distingue pour chaque produits des usages possibles.
La largeur: le nombre de modèles d’une famille de produits donnée
indique la largeur ou l’étroitesse de cette catégorie de biens, une telle
dimension mesure, en somme les différents besoins qui sont satisfaits par
l’assortiment.
La profondeur: elle exprime le nombre de références par modèle et le
nombre d’articles par référence, cette en colories en formes, en dessins ou
abondant en taille.
La hauteur : qui caractérise le niveau de prix offert.7
=> Elle offre une garantie assurance de qualité ou de sécurité pour le client qui
pense que la notoriété de la marque le protégé de tout sentiment d’insatisfaction.
=> Elle aide le client à s’identifier au modèle symbolisé par la marque choisie.
7
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:http://emc-mag.over-blog.com/article-les
caractères-d-un-assortiment-dans-une-grande-surface-109797996.htm
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On distingue trois concepts pour expliquer les relations entre consommateurs et
marques :
8
http://www.youscribe.com/catalogue/documents/ressources-professionnelles/marketing-et-
communication/le-marketing-de-la-grande-distribution-1371434
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Les assortiments se construisent autour d’une marque d’enseigne.
Carrefour construit généralement ses assortiments pour chacune des références
autour de cinq marques :
Une marque peu connue, d’une PME, avec des caractéristiques intéressantes ;
A- Le choix de collections :
La collection, rappelons-le, correspond à l’échantillonnage des produits
destinés à être présentés à la clientèle, la nature, les prix et la qualité de ces biens
qui vont composer l’assortiment ayant été déterminés. Il reste à étudier les
modalités de sélection de référence.
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a- La prospection :
C’est l’une des tâches essentielles du gestionnaire chargé des achats, deux
hypothèses sont possibles dans cette tâche. Dans la première, les fournisseurs
pouvant répondre aux besoins, font déjà partie du panel de l'entreprise. Dans ce
cas, ils sont connus, évalués et les risques sont maîtrisés. Dans la seconde
hypothèse, le besoin a évolué et il faut rechercher de nouveaux fournisseurs.
Une fois les fournisseurs ciblés, il faut les homologuer avant de pouvoir les
consulter. L'homologation passe par des RFI complémentaires et des audits des
fournisseurs. Le but de cette homologation est de minimiser les risques
financiers, les risques de fiabilité technique ou les capacités logistiques.11
11
http://www.decision-achats.fr/Decision-Achats-Le-guide/Article/La-fonction-achats-en-entreprise-politique-
et-strategie-d-achats-38759-1.htm#BBtHTzXE7SQxWYKE.97
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longs que possible (30, 60,90 jours) ou, à tout le moins, supérieur à la
vitesse de rotation des stocks, lorsque cela est possible,
3- Les réductions: on distingue ordinairement trois catégories de
réduction éventuellement accordées par le producteur au commerçant :
Le rabais correspond à une baisse de prix exceptionnelle qui
sert, par exemple à écouler des articles défraîchis ou de vente
lente.
La ristourne est évaluée en pourcentage du montant des
commandes de la période, ainsi une réduction de 2% des achats
annuels vient récompenser la fidélité d’un client.
La remise consiste en une réduction attribuée pour différents
motifs à partir du prix de base.
4- les délais de livraison: le non-respect des engagements du fournisseur
fait subir au commerçant un coût de rupture dont les conséquences
sont graves du point de vue commerciale, tel sera le cas, par exemple,
si l’article sélectionné a été retenu pour une promotion. Ainsi le
détaillant, s’agissant de livraisons éloignés dans le
temps en ameublement ou dans l’habillement par exemple, prend-il et
ouvrant la précaution de demander une confirmation écrite de la date
de livraison promise, au cas où le fournisseur ne respecte pas la
promesse, la commande risque alors d’être annulée.
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des options dépendent la répartition des tâches entre les services d’achat et les
services de vente,
1- L‟organisation centralisée :
De nombreuses modalités dans l’organisation de la fonction achat sont
observables d’une entreprise à l’autre, cependant, deux missions sont
généralement confiées acheteurs.
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autres le travail noble de conception dès les gammes de produits. Deux
principaux défauts résultent d’une telle scission :
1- L‟organisation décentralisée :
On ne supprime pas le service d’achat pour confier entièrement les achats
d’approvisionnement aux gestionnaires de ventes mais l’on cherche une formule
qui permette d’éviter les axes de la centralisation. La solution adaptée par la
plupart des entreprises de distribution au cours des derniers années a consisté a
enlever aux acheteurs La gestion financière de la marchandise, c’est-à-dire la
responsabilité du budget d’achat, de la marge brute et de la rotation des stocks. Il
ne leur revient plus que de prospecter les fournisseurs éventuels, puis de
préparer les gommes proposées à leurs collègues des magasins. Un tel travail
s’effectuer à partir des plans d’assortiments établis par les gestionnaires de
vente. Grâce à cette mesure. Les acheteurs, qui ne sont plus sur charges par les
travaux administratifs ni accapares par la gestion quotidienne de leur secteur de
marchandise, d’informations et à la sélection de produits. A partir des
collections composées par les acheteurs, les responsables de vente effectuent
leurs achats. S’ils ne trouvent pas les produits désirés, s’ils contactent
directement les fournisseurs, inversement, les vendeurs délèguent parfois aux
acheteurs une part du budget d’achat, afin de profiter d’occasions qu’il convient
de saisir sur le champ : chez les fournisseurs étrangers par exemple.
2- La portée de la décentralisation :
On a vu que la mesure a fait perdre à la fonction d’achat une grande partie
de ses prérogatives de gestion au profit de la fonction de vente. Les acheteurs se
sentent alors parfois réduit au modeste rôle d’échantillonneurs. En effet ils
reçoivent des responsables des magasins des consignes, des descriptions précisés
des articles à trouver, par conséquent, leur moyen d’initiative est mince, car s’ils
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peuvent encore proposer des nouveautés, il leur est, en revanche, interdit de
décider souverainement de la section des articles.
Face aux fournisseurs, les acheteurs perdent ainsi une grande partie de leur
prestige car les producteurs savent que maintenant la décision d’achat incombe
aux cadres de la vente. Lorsque le représentant d’un fabricant vient offrir un
nouveau produit, l’acheteur enregistre la proposition, mais il ne peut pas
négocier le prix d’achat, car il ne sait pas encore quelle quantité d’article
retiendront les vendeurs. Si toute fois même le modèle leur convient. Aussi les
acheteurs éprouvent_ ils souvent le sentiment de ne pas participer aux décisions
majeures de la firme ?.13
A- La politique de merchandising :
L’Académie des sciences commerciales en donc la définition suivante :
« Le merchandising est une partie du marketing englobant les techniques
marchandes, permettent de présenter, dans les meilleurs conditions matérielles,
et psychologiques, le produit ou le service à vendre à l’acheteur éventuel.
1- Les objectifs :
L’agencement de la surface de vente répond à trois types d’objectifs:
13
http://www.youscribe.com/catalogue/documents/ressources-professionnelles/marketing-et-
communication/le-marketing-de-la-grande-distribution-1371434
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Assurer un rendement optimal au distributeur en favorisant la vente, en
particulier de produits correspondant à des achats d’impulsion et de
produits à forte rentabilité;
Faciliter le déplacement du client à l’intérieur du magasin ;
Minimiser les manutentions pour l’approvisionnement des rayons.
2- Les contraintes :
La forme et la dimension de la surface de vente conditionnent
l’implantation de l’entrée et des caisses de sortie, ainsi que l’orientation et la
longueur des gondoles.
L’entrée est généralement située à droite des caisses, en entrant ; l’objectif étant
de séparer nettement les flux de clients entrant des files attendant aux caisses.
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1- Les techniques de présentation :
Le linéaire est à la fois une surface de stockage et d’exposition des produits
.Il possède trois dimensions : une dimension horizontale qui est la longueur au
solde la gondole, une dimension verticale matérialisée par le nombre d’étagères
que comporte la gondole, et enfin une profondeur qui sert au stockage plus ou
moins important de produits.
nature du packaging ;
lisibilité ;
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volume ;
poids ;
achat prémédité ou achat d’impulsion ;
fréquence d’achat ;
possibilité de présentation en vrac
Le niveau des pieds : sera privilégie pour les articles pondéreux, les gros
conditionnements, le vrac (panières) et les produits à lisibilité verticale
(par exemple les tapis-brosses !). C’est le niveau le moins favorable en
principe, sauf pour les ;
Article d’appel ;
Produits volumineux ;
Achat se lisant mieux du dessus ;
Achat utilitaires ;
Articles présentables en vrac ou palettes.
Le niveau des mains bas :
Tous produits indispensables ;
Produits complémentaires ;
Accessoires difficiles à ranger.
Le niveau des mains haut :
Plus le niveau est proche des yeux et facilement accessible,
meilleur il est ;
Produits dont la demande spontanée est élevée (par exemple
produits saisonniers, régionaux, publicités).
Le niveau des yeux :
Produits les plus susceptibles de déclencher un achat d’impulsion
(nouveaux ; à forte image de marque, forte notoriété) et les plus
rentables ;
Ou, a contrario, des produits dont les prix est particulièrement
intéressant pour le consommateur.
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Le niveau du chapeau obtient des résultats variables selon la hauteur de
la tablette. Au niveau des cheveux, les résultats sont encore bons, plus
haut, donc difficile à atteindre, les résultats sont faibles :
Produits dont le packaging est suffisamment évocateur pour être
repéré de loin ;
Ou présentation double de la tablette en dessous (stock de
sécurité).
B- La politique de prix :
La politique de prix d’un magasin se caractérise par la position du niveau
moyen des prix du magasin par rapport à celui des concurrents directs, par la
position du prix de chaque produit par rapport au prix pratiqué sur ce produit par
ses concurrents directs (deux magasins peuvent avoir le même niveau de prix
moyen sans pratiquer les même prix sur tous les produits) et par le nombre de
produits communs avec ceux des concurrents directs. La comparaison des prix
pratiqués par plusieurs points de vente n’a de sens que si les magasins rendent
14
Alain Wellhoff-Jean-Enile Masson livre « Le Merchandising : Bases, technique, nouvelle tendances ».
émé
Édition : Dunod, Paris, 2005 pour la 6 édition ISBN 210048902
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bien à leurs clients les mêmes services et si les échantillons d’articles choisis
sont bien représentatifs.
Marge brute unitaire sur un produit = prix de vente unitaire –Prix d’achat
unitaire.
Marge brute sur un ou plusieurs produits = marge brut unitaire sur le ou
des produit × nombre d’unités de chaque produit vendues.
Taux de marge sur un produit = (marge brute unitaire ÷ prix de vente
unitaire) × 100 ou (marge brute ÷ ventes) × 100
La marge brute sur l’ensemble du magasin ou de l’entreprise calculée a
posteriori par la comptabilité de l’entreprise dans le compte de résultat.
Cette marge est aussi qualifiée de marge commerciale.
Marge brute (ou commerciale) = vente de marchandises hors T.V.A
– cout direct d’achat = stock initial
+ Achat de marchandises hors T.V.A
+ Frais accessoires d’achat (primes d’assurances et frais de transport)
– rabais, remises et ristournes obtenus sur les achats
– stock final
Le taux de marque pour l’ensemble du magasin est égal à :
(Marge brute ÷ vente de marchandises hors T.V.A) × 100
Le taux de marge est égal au rapport entre la marge brute et le prix
d’achat hors T.V.A (×100).
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vitesse de rotation des stocks et l’intensité de la concurrence. Dans un même
magasin, ils varient selon les rayons, les produits et les types de marque. Pour
déterminer le prix de vente au détail d’un produit, les commerçants multiples le
prix d’achat hors taxe par un coefficient multiplication.
La marge nette est le résultat net (après impôts sur les bénéfices).
Le taux de marge nette est égale à : (marge nette ÷ ventes de
marchandises) × 100
N’est pas le seul objectif assigné à la politique des prix, d’autres objectifs
commerciaux ne manquent pas d’intervenir.
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une récompense financière appelée profit car, l’accroissement des profits et la
rentabilité des investissements assurent la pérennité de l’entreprise.
A- La politique de service :
Le distributeur propose des services, pour mieux vendre et aussi pour servir
le client, mais l’intérêt de proposer des services dépend de la nature des produits
proposée.
Une stratégie de plein service, non facturés au client, lié aux produits ou à
l’organisation du magasin.
Une stratégie de services limités dans laquelle on se préoccupe de vendre
le produit, cette réduction di niveau de services entraîne moins de frais et
parant des niveaux de marges et de prix réduits.
15
Jacques Vignu- Livre « La distribution : structure et pratique ». Edition : Dalloz-1997.
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b- Définition et classification des services :
Dans certaines grande surface ont des stratégies de services compris c’est à
dire inclus dans le prix de vente des produits ou service à la carte.
Le diagnostic des attentes des consommateurs doit être fait avec beaucoup
de prévision pour apprécier chaque service .ainsi les services de confort, en
l’occurrence l’organisation de vente, l’adoption des horaires et l’existence d’un
parking, services après ventes, et les méthodes de facturation. Le conseil et
l’accueil, l’ouverture en nocturne.
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Services utilisés après la vente :
la marchandise peut être emportée par le client grâce à un véhicule
Livraison : que l’on prête, ou être livrée à son domicile.
Garanties ; pour une durée déterminée
Répartitions pendant et après la période légale ou contractuelle de garantie
rapidité c’intervention et coût
Traitement des plaintes des clients.16
A- La politique de communication :
a- La communication du distributeur :
La communication fait partie intégrante du plan marketing du point de
vente. Pour augmenter la fréquentation de son magasin et son chiffre d'affaires,
le commerçant doit faire connaître ses atouts par rapport à ses concurrents et
conforter son image de professionnel de la vente dans le domaine qu 'il s'est
choisi.
16
http://www.youscribe.com/catalogue/documents/ressources-professionnelles/marketing-et-
communication/le-marketing-de-la-grande-distribution-1371434
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1.2- Les objectifs :
- Fidéliser.
- Associer à un événement
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2- Les contraintes de la communication :
2.1- Les caractéristiques du point de vente :
2.2- Le budget :
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sa légitimité : certaines enseignes font référence dans leur domaine en
raison de leur ancienneté, de la qualité de leur offre, de leur effort
d'innovation, etc. Par exemple, le consommateur positionne sans difficulté
Marjane comme une enseigne leader du hard discount;
l'effet de source : pour être accepté par la cible, le message doit être
conforme au positionnement et à l'image du distributeur. Une promesse
(les prix les plus bas) sera d'autant mieux prise en compte par le
consommateur que le point de vente a déjà fait la preuve de sa capacité à
développer une telle stratégie ;
son image : celle-ci peut être liée à l'expérience du consommateur, (client
actuel ou ancien) ou aux informations qu'il détient (vécu de son
entourage, publicité, etc.). Elle peut être positive ou négative.
La communication doit donc prendre appui sur les atouts du point de vente en
termes de légitimité, effet de source et image.
2- La communication externe :
Elle s'appuie sur des moyens de communication très variés et vise
essentiellement à créer une image positive de l'enseigne, à augmenter la
fréquentation du point de vente.
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2.3- La publicité hors médias :
3- La communication interne :
3.1- L‟information sur les lieux de vente
Elle recouvre tous les moyens mis en place par le commerçant pour
faciliter la circulation du client (signalétique), l'informer (points d'accueil,
affiches, messages sonores, étiquetage, affichage des prix, etc.), éventuellement
le conseiller (fiches conseils).
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loteries, animations à thèmes (mise en valeur d'un événement, d'une saison,
d'une fête, d'un rayon, d'une région, etc.).17
17
https:///v/t59.2708-21/16975889_1317971291619115_2697439671788503040_n.doc/cours-
naouiDISTmaster-2.doc?oh=cabc35df81a3a494b350756053a2ff91&oe=58C46266&dl=1
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Chapitre II- Les Stratégies de fidélisation
SI- La fidélisation : Définition, les avantages
§1- Définitions de la fidélisation :
Avant de définir le terme « fidélisation » on doit tout d’abord définir le
terme « fidélité » pour montrer la différence entre ces deux termes.
La fidélité :
La fidélisation :
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compte des remontées d’informations pouvant être émises, de façon
implicite ou explicite, par celui-ci. Enfin, au regard de la fidélisation, une
relation de long terme doit être établie. Plusieurs remarques et
compléments s’imposent pour clarifier et élargir le concept de la
fidélisation dans une optique d’intégration dans une stratégie marketing
client.18
Ils montrent que conquérir un nouveau client revient quatre à cinq fois plus
cher que de garder un client déjà actif. Certains auteurs comme Jones et Sasser
se sont penchés sur la relation satisfaction / fidélisation et ont montré qu'un
sentiment de satisfaction n'engendrait pas forcément la fidélité, car un client
fidèle peut, malgré tout, vouloir profiter d'une promotion auprès d'un autre
fournisseur, tester un autre produit ou se reporter sur une offre. Par contre, ils
montrent également qu'un sentiment d'insatisfaction peut provoquer l'infidélité si
l'insatisfaction n'est pas prise en compte par l'entreprise. Ces gains potentiels
doivent évidemment être pris avec précaution car ils sont fortement dépendants
des secteurs d'activité. Toutefois la fidélisation devient une véritable orientation
stratégique. Des spécialistes du marketing l'intègre d'ailleurs à part entière dans
le Mix au même titre que la politique de prix ou de communication. La
18
http://www.bibliothéque.cesag.sn/gestion/documents_numériques/M0052MS13.pdf
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fidélisation a incontestablement pris une nouvelle dimension dans l'organisation
globale de l'entreprise.19
a- La fidélisation offensive :
Une des finalités des programmes de fidélisation consiste à agir et à
modifier les comportements des clients de manière à accroître leur valeur
actualisée. Les moyens pour atteindre ce but général passent par le
développement du chiffre d'affaires espéré ou l'accroissement de la survie des
clients, deux niveaux d'actions sont possibles :
19
http://www.martindale-hubbell.fr/les -techniques-pour-fidéliser-sa-clientèle
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la valeur relationnelle est extérieure à celle des caractéristiques intrinsèques du
produit ou du service. Elle est liée au maintien de cette relation et peut prendre
des formes diverses. De manière primaire, elle peut se localiser dans le bénéfice
de certains services que l'on obtient à condition de maintenir la relation.
b- La fidélisation défensive :
Dans un environnement aussi concurrentiel que celui-ci, les entreprises
essaient avant de recruter de nouveaux clients, de maintenir d'abord les
consommateurs actuels. Cela consiste à verrouiller les clients et de créer des
marchés internes, captifs ou domestiqués. Cette idée n'est pas nouvelle. Dans le
domaine du marketing elle trouve une place certaine. Il sera ainsi de plus en plus
tentant d'engager des actions sur des segments étroits mais domestiqués car
l'ampleur de ces actions restant limitée, les risques de réaction de la concurrence
seront d'autant moins importants. Dans le centre de cette relation, se trouve la
relation individualisée fournisseur - client.
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certaine de ses primes d'assurance par une banque (bancassurance). Ainsi,
plus il y a multiplication de partenaires et d'adhérents, plus le programme
devient intéressant du point de vue du consommateur.
La 2éme idée peut être observée dans le domaine de la constitution de
communautés virtuelles. L'individu et l'identité de soi sont immergés dans
l'environnement social. Ainsi la fidélité résulterait d'un environnement
social favorable et incitatif. En matière de stratégie marketing, ceci ouvre
l'alternative entre une fidélité obtenue par la satisfaction du client et/ou
une fidélité obtenue par la création d'un lien spécifique qui se réalise dans
un sentiment fort de confiance et d'engagement. C'est l'approche
privilégiée par le constructeur de motos Harley Davidson.
La 3ème idée nous conduit à la question centrale de la définition des
marchés et de la compétition. En fin de compte, c'est par la construction
d'alliances de marques et le développement de réseaux que les firmes
pourront constituer ces communautés stratégiques qui risquent d'être en
réalité les véritables unités de base de la compétition. On pourra
s'interroger sur la nature de ces communautés stratégiques: seront-elles
internes (associant les enseignes ou marques d'un même groupe) ou
externes (associant les enseignes ou marques de groupes distincts) ?
La dernière idée induit la notion d'hétérogénéité. Principalement ici, on
trouve les programmes de fidélisation de la grande distribution qui
cherchent à mettre en œuvre une politique de discrimination, rendue
possible grâce à la connaissance des clients à travers des cartes de fidélité
en passant nécessairement par le stockage d'informations relatives au
comportement des clients. Le stockage des informations au niveau du
ticket, dans le cas des enseignes de la grande distribution permet de
segmenter la base de données clients d'après un certain nombre de critères
faisant ressortir le comportement global du client.
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c- L'identification des différentes catégories de clients :
Les clients diffèrent de 2 manières: soit par leur valeur pour l'entreprise,
soit par leurs besoins. Nous ne nous intéresserons qu'à leur valeur car un des
enjeux de la fidélisation est la reconnaissance des différentes catégories de
consommateurs afin de trouver quels sont ceux qui méritent le plus d'attention.
La valeur d'un client comparée à celle d'autres clients conduit l'entreprise à doser
ses investissements en concentrant ses efforts sur les meilleurs afin qu'ils restent
fidèles et que leur valeur progresse.
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3- Les clients non rentables (CNR) :
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définitivement le dos à la gestion du produit pour se consacrer à celle des
clients, véritable préoccupation de l'entreprise.
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création de valeur pour l'entreprise. Il ne suffit pas de satisfaire les clients, il faut
être préféré par les clients, voilà tout l'enjeu pour notre entreprise, qui veut et
doit résister à une concurrence accrue (SGBCI, BICICI, ECOBANK) dans le
secteur bancaire et séduire une clientèle aux exigences illimitées.20
20
Rapport projet de fin d’études “la fidélisation et la servuction dans le marketing des services: cas des
cabinets de transit’’
Page 43 sur 87
efficacement car cela montra l’intérêt que l’on peut porter pour eux et ainsi les
fidéliser.
a- Le merchandising :
Jean-Marc LEHU considère le merchandising comme un outil de
fidélisation dans ce sens où il supprime le phénomène de lassitude chez le
consommateur à travers un renouvellement suffisamment important du point de
vente. Ceci est d’autant plus vrai depuis l’essor du libre-service : le produit doit
désormais se vendre tout seul. Le rayon dispose alors d’un fort pouvoir
d’attraction. C’est au merchandising de mettre en forme ce rayon.
21
Jean-Marc lehu, stratégies de fidélisation. Nouvelle édition, édition d’organisation
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b- Les cartes de fidélité :
Une carte de fidélité (souvent nommée carte du magasin) est un outil
marketing permettant de fidéliser un client. Matérialisée sous forme de carte
nominative, elle permet d'identifier les clients les plus fidèles et de leur attribuer
des avantages sous forme de services, cadeaux ou de remises.
Pour d’autres enseignes, la carte n’est qu’un support utilisé pour recueillir
des informations sur les consommateurs, récupérer des données qualitatives au
moment où le client réclame sa carte, puis des données quantitatives lorsqu’il
l’utilise. Rassemblées, consolidées dans des bases de données, ces informations
permettent au distributeur de mieux cerner ses clients, de comprendre leurs
comportements et de les anticiper. Chez certaines enseignes, on constate que
finalement, les cartes de fidélité seraient devenues des cartes d’infidélité. Appâté
par les récompenses, le consommateur se mue en chasseur de promotions et
zappe d’une enseigne à l’autre. Un résultat en contradiction totale avec les
objectifs initiaux. Pour y remédier, les enseignes doivent apporter une véritable
valeur ajoutée à leur programme de fidélisation. L’une des solutions passe par
une offre de services afférents à la carte.
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Les avantages (facilité de passage en caisse, accès à une palette de
services élargie, facilités de paiement, courrier personnalisé pour profiter
avant tout le monde des meilleures opportunités en magasin…).
B- Chez le consommateur :
a- Marketing direct :
Les entreprises assignent clairement au marketing direct un objectif de
fidélisation et d’animation.
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En effet, l’approche marketing direct se fonde sur la possibilité d’agir
graduellement sur le comportement du consommateur individuel. Partant du
suspect (cible potentielle), le cheminement conduit au prospect (identification
des personnes susceptibles d’être consommatrices de produit), puis au client
occasionnel, puis au client régulier, et aboutit enfin au fidèle de la marque. Le
marketing direct a pour vocation de travailler sur ce schéma en l’affinant sans
cesse. Le raisonnement implique de connaître l’historique de chaque
consommateur. Créer et entretenir une relation continue entre produit et client,
entre marque et consommateur suppose de pouvoir, via des techniques de
marketing direct, identifier l’interlocuteur pour lui tenir le discours adéquat, et
maintenir ensuite le lien avec lui pour le valoriser en suivant ses comportements.
Mais pour identifier les clients, il faut d’abord les trouver, via des techniques
promotionnelles qui permettent, sur le terrain, d’établir le contact avec la cible,
qui amènent le consommateur à devenir le suspect. Il faut provoquer la
rencontre avec les consommateurs pour ouvrir la possibilité, à partir d’un fichier
ou d’une base de données, de « travailler » les clients fidèles ou moyennement
fidèles.
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1- Le mass-média :
L’utilisation de ces supports (le plus souvent la presse magazine) consiste à
y insérer des annonces comportant une offre spécifique accompagnée d’un
coupon-réponse que les lecteurs sont invités à renvoyer à l’entreprise. Ces
annonces visent à déclencher un passage à l’acte, c’est-à-dire une réponse
immédiate et concrète.
2- Le mailing :
C’est le média principal du marketing direct, au point qu’on le confond
parfois avec lui. Il est utilisé à la fois pour constituer un fichier et pour adresser
ensuite des messages à ses membres. Plusieurs centaines de millions de lettres
de marketing direct sont expédié chaque année en France, et il existe des
sociétés spécialisées dans la rédaction et la mise en page de ces lettres. Elles
utilisent des techniques assez élaborées.
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4- Le numéro vert :
Sur les dix millions de numéros verts recensés sur la planète en 1998, neuf
l’étaient aux Etats-Unis; la France n’en comptait que 20 000. Mais ceux-ci se
sont multipliés. Les numéros verts sont en effet utiles pour une opération limitée
dans le temps. Ils visent avant tout à générer du trafic et à fidéliser le client.
5- Le centre d‟appels :
Un centre d’appel est avant tout un centre de coût avant de devenir un
centre de profits. Seuls les distributeurs qui ont une certaine maturité dans la
gestion de la relation client et qui la considèrent comme une composante
stratégique de leur métier s’y lancent. Les centres d’appel ont cependant acquis
une plus grande dimension: il ne s’agit plus seulement de renseigner la clientèle
sur la localisation des magasins ou les horaires d’ouverture ; il faut être en
mesure de fournir à toute heure, ou presque, une réponse à des questions
techniques (descriptif d’un produit), logistiques (état d’une commande,
disponibilité produit), de gérer des réclamations, voire de conclure des ventes.
Autant de terrains où l’image de l’enseigne est en jeu. Les centres d’appel sont
désormais générateurs de valeur ajoutée. En effet, l’enseigne qui se donne
aujourd’hui les moyens de répondre à ses clients, par téléphone et en temps réel,
disposera demain d’un précieux avantage concurrentiel. L’accueil téléphonique
doit faire partie intégrante de la stratégie de fidélisation d’une enseigne.
b- Consumer magazines :
Outils de fidélisation, outils de recrutement ou les deux à la fois, les
«consumer magazines» ou magazines de clientèles, sont de plus en plus utilisés
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par les distributeurs. Ces revues, gratuites ou payantes, s’inscrivent aujourd’hui
au cœur des stratégies de marketing relationnel des enseignes, au point qu’on
considère ces dernières, à ce titre, comme de véritables éditeurs. L’objectif de
ces magazines est de faire rimer information et fidélisation.
c- Le club :
Le club est un outil de fidélisation qui doit s’inscrire dans une démarche à
long terme. Le club se définit comme une structure, réelle ou virtuelle, créée par
une entreprise, où tout ou partie des clients peuvent devenir membre, afin
d’obtenir des avantages particuliers. Le club est l’outil idéal de traitement de
cœur de cible, basé sur la notion de « privilège ». C’est aussi une opportunité
extraordinaire pour recueillir le maximum d’informations, notamment
comportementales.
le club « fictif » dont les membres ne sont pas réellement reliés entre eux.
L’entreprise gère en fait une base de données.
La deuxième forme de club est celle qui s’appuie sur un lien réel entre les
membres et l’entreprise ou la marque. Elle sous-entend souvent une
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adhésion (gratuite ou payante). Il y a choix des participants sur des
critères définis. C’est la notion de club de bons clients.
le troisième type de club est celui bâti autour d’une marque culte. On est
alors dans la logique où deux individus qui consomment le même produit
« se ressemblent ». La marque doit cependant être typée et avoir un
positionnement fort.
d- Le service après-vente :
L’objectif du SAV est de fournir des prestations au client, après la vente du
produit au vu des dispositions légales et/ou sur les bases d’un contrat. Le SAV
constitue ainsi un service supplémentaire favorable à la décision d’achat et crée
également une relation de confiance avec le consommateur/client. Il est
généralement caractérisé par sa souplesse d’utilisation (durée, couverture, ..). Il
offre également la possibilité de proposer au client des contrats d’extension de la
garantie.
e- Le service consommateur :
Dans les entreprises de distribution comme chez les fabricants de produits
de grande consommation, le service consommateur constitue une mine
d’informations sous-exploitées : dans 89% des entreprises, les bases de données
de ce service et du marketing ne sont pas en relation. Le service consommateur
est pourtant un outil très efficace pour développer le marketing relationnel. En
effet, sa vocation est d’établir un contact potentiel permanent entre une
entreprise et ses consommateurs, en étant à l’écoute de leurs remarques, leurs
critiques, leurs réclamations et de manière à les informer au mieux sur les
produits et les services de l’entreprise. C’est donc un outil d’anticipation,
d’écoute et de suivi ; il ne consiste pas seulement à collecter et à traiter les
réclamations. Il jour un rôle actif dans la politique de qualité au niveau des
produits, des services et de l’environnement des magasins. L’écoute des
consommateurs passe, entre autres, par l’étude du courrier, des suggestions et
des réclamations des clients, ce qui implique la mise en place de circuits
adéquats pour que l’information circule efficacement.
Page 51 sur 87
f- Internet :
Un site Web est un remarquable outil de fidélisation de la clientèle. En
effet, en mettant à la disposition des clients, 24 heures sur 24 et 365 jours sur
365, des fiches techniques qui permettent d’optimiser les performances et
l’utilisation des produits, un catalogue interactif, un système de calcul
automatique des devis, un système de téléchargement de documents ou logiciels,
une messagerie électronique…..les entreprises leur facilitent la tâche, et ainsi,
les fidélisent.
A l’ère du marketing relationnel, un site web est aussi très utile pour mieux
connaître les goûts, besoins, attentes des clients et prospects. En effet, il est
possible de mettre à la disposition des internautes un forum de discussion, un
formulaire de sondage sur la qualité des services de l’entreprise, et les inciter
ainsi à faire des remarques. C’est dans cette optique que Décathlon possède sur
son site un onglet intitulé « je dialogue avec Décathlon » qui permet d’envoyer
des e-mails et de recevoir des réponses à ses questions.
Un site web est également un média efficace pour l’entreprise pour fidéliser
ses clients en leur prodiguant des conseils pratiques afin qu’ils optimisent
l’utilisation de ses produits à l’aide de séquences multimédias (vidéos,
commentaires sonores, images 3D, …), de photos ou de schémas.
g- Cadeaux :
Le consommateur/client bénéficie d’un avantage se matérialisant par la
réception d’un cadeau, lié ou non à l’activité de l’entreprise. Souvent assimilés à
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une technique de fidélisation, les cadeaux n’en constituent pas une à proprement
parler, et doivent en réalité être considérés comme les supports potentiels
ponctuels d’une véritable technique (club, carte de fidélité…).
h- Parrainage :
L’entreprise incite ses consommateurs à se transformer en prospecteurs
potentiels et à recruter de nouveaux consommateurs. Chaque nouveau
consommateur acquis permet au prospecteur d’obtenir cadeaux et
avantages.
Le parrainage est considéré comme technique de fidélisation en raison de
l’implication des clients actuels, ainsi transformée en représentants de
l’entreprise.
Un consommateur prospecteur pour l’entreprise est un client fidèle qui
transmet naturellement, et à l’aide de ses propres arguments, les motifs de
sa fidélité.
Les supports du parrainage sont très variés. Les récompenses reposent le
plus souvent sur des cadeaux que le consommateur recevra en guise de
remerciements.
Atouts : cout peu élevé, implication des clients, bouche à oreille et
pouvoir de conviction.
Inconvénients : mise en place délicate, retour sur investissement difficile à
estimer.23
22
http://www.iquesta.com/telechargement/Comment-Concilier-La -Promotion-Et-La-Fidélisation
23
https://fr.slideshare.net/yhafid001/outils-de-fidélisation
Page 53 sur 87
Chapitre III- Etude de cas « Marjane Fès-Saïss »
SI- Présentation et historique de « Marjane »
§1- Présentation :
MARJANE est le pionnier de la grande distribution au Maroc, il répond à
des besoins précis de consommation en offrant des produits de bonne qualité à
des prix intéressants, son label a toujours été «MARJANE j'y vais, j'y gagne».
C'est ainsi qu'il a su garder et préserver sa place de leader dans un univers de
plus en plus concurrentiel
Ressources humaines
Embauche de plus de 700 personnes ;
Déploiement de vastes plans de formation à destination de 90 % des
collaborateurs.
Commerce
Poursuite du politique discount.24
§2- Historique :
1990 : Création de l’enseigne pionnière de la Grande Distribution au Maroc.
Marjane est alors l’enseigne commerciale de Cofarma, holding Grande
Distribution de ONA.
24
https://mail-attachement.googleusercontent.com/attachement/u/0/?ui=2&ik=1ede98bca
Page 54 sur 87
2000 : Marjane s’implante à Casablanca - Aïn Sebaâ, et Rabat - Hay Riad.
2001 : Ouverture d’un magasin Marjane à Agadir.
25
https://mail-attachement.googleusercontent.com/attachement/u/0/?ui=2&ik=1ede98bca
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SII- Questionnaire et guide d‟entretien au sien de Marjane Fès-
Saïss :
§1- Questionnaire sur la fidélisation des clients chez Marjane Fès Saïss :
A- La méthodologie de l‟enquête :
a- Objectif :
Faire une étude portée sur le degré de fidélisation des clients de Marjane
Fès Saïss, qui nous permet de savoir est-ce que les clients sont fidélisés par
Marjane ou non.
b- Population mère :
Notre étude est menée sur 30 personnes au sein de laquelle est prélevé
l’échantillon.
c- L‟échantillon à interroger :
20 personnes de la population mère qui ont répondu à notre questionnaire.
d- Mode d‟administration :
On a utilisé le face à face au seine de Marjane Fès Saisse pour répondre à
ce questionnaire.
B- Le questionnaire :
Dans le cadre d’une étude portée sur « la fidélisation des clients chez
Marjane Fès Saïss», nous (Etudiantes de l’école supérieure de technologie de
Fès ) vous prions de bien vouloir répondre à ce panier de questions afin de nous
aider à bien mener notre étude, et merci d’avance.
Homme
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D’après le graphique on constate que 55 % de l’échantillon à interroger sont
femme, et 45 % hommes.
- - - De 41-50
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Ce graphique présente la profession des clients de Marjane.
On constate que 45% des clients sont des étudiant(e), après il y a 20% pour les
employées et cadre, 10% pour les clients ayant une profession libérale et 5%
pour autre profession.
A partir de ce graphique on constate que 80% des clients faire leurs achats dans
les hypermarchés et 55% dans les supermarchés.
D’après le graphique on constate que 55% des clients faire leurs achats pour une
raison des promotions et 45% par rapport au grand choix, 25% pour la
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proximité du domicile, 15% pour la qualité de produit, 10% pour le service et la
rapidité aux caisses et 5% pour le prix.
Q7- Quels sont selon vous les principaux points forts du magasin ?
Q8- Quel sont selon vous les principaux points faibles du magasin ?
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D’après ce graphique on constate que les principaux points faibles du magasin
(Marjane) sont : l’attente aux caisses avec un pourcentage de 60%, les produits
manquants avec un pourcentage de45%, 20% pour le prix et autre points faibles
et 15% pour l’accueil peu agréable et l’absence d’alcool.
Pour ce graphique on n’observe que les deux rayons préférés par les clients sont:
50% pour le rayon électroménager et 45% pour le rayon marché
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Q10- Citez deux rayons que vous n‟appréciez pas ?
A partir de ce graphique on constate que les deux rayons que les clients
n’appréciez pas sont : textile avec un pourcentage de 85% et l’hygiène avec un
pourcentage de 40%.
D’après les résultats on constate que il n’y a pas une différence entre le prix de
Marjane qu’ailleurs (60%).
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Q12- Est-ce que c‟est facile d‟identifier les différents produits présents sur
les rayons ?
A partir du graphique on constate que 90% des clients trouve facilement les
produits qu’ils désirent, et 10% des clients ne trouve pas facilement les produits
qu’ils désirent.
Q13- Vous trouvez toujours du personnel disponible pour vous donner des
renseignements ?
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A partir de ce graphique on constate que le service de Marjane est bien avec un
pourcentage de 45%.
Les moyens de communication les plus connus par les clients sont : le TV avec
un pourcentage de 55% et les panneaux avec un pourcentage de 40%.
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§2- Guide d‟entretien individuel au sien de Marjane Fès-Saïss:
Prénom : Mourad
Ancienneté : 15 ans
B- Phase de question :
1) Comment animez-vous votre point de vente ?
2) Quelle est la période dans laquelle vous faites des promotions ?
3) Comment le personnel de Marjane arrive-t-il à fidéliser ses clients ?
4) Est-ce-que vous offrez des services spécifiques pour les clients fidèles ?
5) Si oui, pouvez-vous nous donner deux exemples ?
6) Est-ce que vous donnez des cartes de fidélité aux clients fidèles ?
7) Quel sont les critères sur lesquelles vous vous basez pour donner des
cartes de fidélité ?
8) Quels sont les principaux axes d’attraction de la clientèle ?
C- Phase de réponse :
1) « Nous animer notre point de vente via la distribution des flyers pour
les tops vente ou les articles promo, les panneaux d’affichage et les
médias (TV, Radio, Internet) ».
2) « Marjane fait la promotion pendant tous les mois soit les VSD
(Vendredi, Samedi et Dimanche) et début et fin de mois et selon la
saisonnalité (grandes opérations ‘’Ramadane, Châbane, Aachoura et Aîde
Kbir’’, anniversaire de Marjane et la fin d’année) ».
3) « Le personnel de Marjane arrivent à fidéliser ses clients par l’écoute
actif des clients, l’orientation des clients vers les promotions et les offres
et aider le client à choisir les articles et les caractéristiques de produit
qu’il veut et le accompagner jusqu’au la caisse ».
Page 65 sur 87
4) « Oui, Marjane organise des tombolas et des cadeaux pour tous les clients
que ça soit fidèle ou non. Pour les clients qui faisant des commandes des
articles spécialisés on fait des réductions de paiement ».
5) « Par exemple il y a :
des clients qui commandent des tartes pour les anniversaires.
Les poissant ».
6) « Oui, Marjane donne une carte de fidélité qui s’appelle El Faize par
laquelle les clients passent par une caisse spéciale ».
7) « Wafa-salaf qui est dans Marjane donne une carte de fidélité pour les
clients fidèles. Les avantages de cette carte sont : la réduction de prix et
le choix de période de paiement ».
8) « Les principaux axes d’attraction de la clientèle sont :
Offre promotionnel
Qualité et fraicheur de produit
Confort d’achat
Le climat
L’animation pour les enfants
L’ambiance du magazine»
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Pour « mettre en scène » l’offre commerciale, il est nécessaire d’étudier les
flux de circulation des clients dans le magasin. Le client circulera sans stress.
Une bonne circulation l’amènera à satisfaire des besoins primaires et
développera les ventes d’impulsion.
A- Réduction de prix :
Bon de réduction : coupon ou titre donnant droit à une réduction sur le prix
normal du produit
Offre spéciale : prix spécial consenti au public pendant une période donnée
3 pour 2 : technique consistant à proposer trois produits pour le prix de deux,
quatre pour le prix de trois, etc.
Vente groupée : ensemble de produits vendus en même temps.
Offre de remboursement : réduction différés sur le prix d’une marchandise
et donnée sur présentation d’une preuve d’achat.
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Prime directe : un article supplémentaire (prime) est associé à l’achat du
produit. La prime est dite »in pack » si elle est incorporée au produit ou « out
pack » si elle est fixée sur l’emballage ou donnée par le vendeur ou lors du
passage en caisse
Prime à échantillon : technique consistant à remettre en prime un produit
échantillon
Prime contenant : technique consistant à transformer le conditionnement
pour en faire un contenant réutilisable par l’acheteur.
Parmi produit ou prime girafe : offre d’une plus grande quantité de produit
pour le même prix.
C- Jeux et concours :
Le concours : épreuve faisant appel aux talents des participants sans notion de
hasard.
Le jeu gratuit : avec coupon réponse (avec notion de hasard / tirage au sort).
Le jeu avec ticket à gratter (instant Win)…
D- Essai et échantillonnage :
Echantillon : taille réduite d’un produit diffusé gratuitement pour faire
connaitre une nouveauté, c’est une distribution de petits conditionnements qui
contiennent le produit que l’on souhaite faire essayer. Un échantillon est
distribué gratuitement.
Essai gratuit : l’essai gratuit peut se faire sous la forme d’une utilisation
gratuite du service pendant une certaine période. Par exemple, le produit ne
sera facturé que si le client est satisfait des services.
Démonstration : présentation commentée des qualités d’un nouveau produit,
aves le cas échéant ; dégustation gratuite ou essai pratique. La relation qui
s’établit entre le démonstrateur et le consommateur crée une proximité qui
favorise l’achat.
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§3- La Publicité sur le Lieu de Vente (PLV) :
Parmi les principaux types de PLV et les plus i utilisés à Marjane on peut citer :
PLV de comptoir
PLV personnalisée
PLV de linéaire
PLV suspendue
B- Le fonctionnement de la PLV :
Les techniques de la PLV dérivent des techniques du merchandising : Elles
visent à assure de façon efficace les trois fonctions suivantes :
a- Attirer l‟attention :
Elle doit reposer sur un concept nouveau. Divertissant ou mystérieux pour
attirer les consommateurs dans le magasin. Il est prouvé que l’efficacité de la
PLV augments quand elle comporte des éléments visuels familiers pour le
consommateur (utilisés dans les compagnes médias par exemple) comme
l’emballage ou le logo, premiers éléments d’identification de la majorité des
produits.
b- Impliquer le consommateur :
La PLV doit donner à réfléchir et/ou à agir pour que le consommateur
s’approprie pleinement l’acte d’achat, qu’il en devienne acteur (et non simple
récepteur des informations et des offres) ; on observe, dans cet esprit, de plus en
plus d’interactivité dans les PLV de nouvelle générations.
c- Vendre le produit :
La PLV doit mettre en évidence, de manière simple, les avantages du
produit concerné : une accroche, un slogan ou un chiffre marquant (remise prix
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attractif, etc.) peuvent suffire à accroitre substantiellement les ventes d’un
produit, chez un détaillant ou dans une grande surface.
Certains points clefs sont à vérifier pour que la PLV soit efficace :
La PLV doit rendre le produit attractif. La vue est le sens le plus sollicité
sur les points de vente, et souvent, le client ne sait plus trop où regarder.
La PLV doit donner de bonnes informations. S’il est important qu’elle
soit attractive, une bonne PLV doit aussi procurer aux clients les bonnes
informations sur le produit exposé, ses avantages doivent être clairement
exposés grâce à des accroches simples et pertinentes.
La PLV doit générer des ventes. Une bonne PLV doit non seulement
attirer le client, mais aussi le pousser à acheter le produit (promotion mise
en valeur, couleurs flash…).
La tendance actuelle en matière de PLV est d’utiliser au maximum les
écrans et ceci est possible grâce aux nouvelle technologies : grâce à des
écrans plats, des images ou spots publicitaires vantant un produit défilent
au sien même des rayons. Ces écrans rendent les rayons attractifs : les
clients, curieux, s’intéressent aux images défilant.
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Présentation de masse, en tête de gondole ou ilots ; grande volumes,
grandes piles, grande affichage, mais avec une bonne accessibilité
des produits, sont de règle en vrac (panières, bacs, box palettes).
Présentation en vrac (panières, bacs, box palettes).
Les techniques psychologiques :
Le prix choc, le prix barré (dramatisation)
Les offres groupées : soit le même article par lots, soit deux articles
complémentaires
La présentation multiple (la même produit présenté en de multiples
endroit) ; la vente flash.
Les techniques spectacles :
Stand de démonstration
Animation sonores
Animations ludiques, présence d’une vedette
a- Couleur et éclairage :
Les couleurs ont codes prédéterminés : le rouge pour la viande, le bleu pour
poissons, le blanc pour les produits laitier et le vert pour les fruits et légumes.
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La couleur est indissociable de la lumière. La lumière fait vendre, ce qui est
important dans le choix de l’éclairage, c’est le confort visuel et sa conformité à
la mise en valeur des produits présentés.
b- Sonorisation :
La musique couvre l’ensemble des bruits de fonctionnement liés au point
de vente et crée une ambiance agréable et détendue qui prédispose les clients à
accueillir favorablement les propositions d’achat.
c- Décoration :
La décoration proprement dite a deux rôles :
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La grande distribution est un secteur en pleine croissance avec un énorme
potentiel à l’avenir.
Tous ces formats sont amenés à grignoter des parts de marchés aux circuits
traditionnels à travers la saturation des grandes villes et la multiplication des
ouvertures dans les petites et moyennes agglomérations.
26
https.//www.linkedin.com/pulse/grande-distribution-au-Maroc-le-rythme-des-ouverture-Said-Eddaoudi.
27
Presse : Les éco épargne et investissement- Lundi 19/08/2013.
Page 73 sur 87
transformation destiné à maximiser leurs achats et au marketing de fidélisation
ayant pour objectif de les faire revenir.28
Donc „‟Quel sont les nouvelles stratégies de fidélisation adaptés par les
distributeurs à l‟avenir ?‟‟
28
https://www.marketing-etudiant.fr/stratégie-de-distribution.
Page 74 sur 87
Annexe1 : Image tête de gondole
Annexe2 : Assortiment
Page 75 sur 87
Annexe4 : Questionnaire sur la fidélisation des clients chez Marjane Fès-Saïss
Q1- Quel est votre sexe ?
Femme Homme
ualité de produit
caisses ………………
Q7- Quels sont selon vous les principaux points forts du magasin ?
ygiène
Q8- Quel sont selon vous les principaux points faibles du magasin ?
Page 76 sur 87
x
:………………
enfants
Q12- Est-ce que c’est facile d’identifier les différents produits présents sur les
rayons ?
Oui Non
Q13- Vous trouvez toujours du personnel disponible pour vous donner des
renseignements ?
Oui Non
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Annexe5 : GUIDE D’ENTRETIEN INDIVIDUEL
Sujet :
Introduction :
Nom
Prénom
Poste
Fonction
Ancienneté
Phase de question :
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
.................................................................................................................................
4- Est-ce que vous offrez des services spécifiques pour les clients fidèles ?
……………………………………………………………………………………
Page 78 sur 87
……………………………………………………………………………………
6- Est-ce que vous donnez des cartes de fidélité aux clients fidèles ?
……………………………………………………………………………………
7- Quel sont les critères sur lesquels vous vous basez pour donner des cartes
de fidélité ?
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
Page 79 sur 87
I. Ouvrage :
Alain Wellhoff-Jean-Enile Masson livre « Le Merchandising : Bases,
technique, nouvelle tendances ». Édition : Dunod, Paris, 2005 pour la 6éme
édition ISBN 210048902
Jacques Vignu- Livre « La distribution : structure et pratique ». Edition:
Dalloz-1997
Jean-Marc lehu, stratégies de fidélisation. Nouvelle édition, édition
d’organisation
III. Webiographie
Http//:www .wikipedia.com/définition_la_distribution
http://www.persee.fr/doc/hes_0752-5702_2006_num_25_1_2581
http://www.marketing_grand_distribution_cm_atv_.pdf
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:http://emc-mag.over-
blog.com/article-la structure-d-un-assortiment-dans-une-grande-surface-
109797996.html
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:http://emc-mag.over-
blog.com/article-les caractères-d-un-assortiment-dans-une-grande-surface-
109797996.htm
Page 80 sur 87
http://www.youscribe.com/catalogue/documents/ressources-
professionnelles/marketing-et-communication/le-marketing-de-la-grande-
distribution-1371434
https://www.slideserve.fr/m13-marketing-grande-distribution-cm-atv-pdf
https://cadres.apec.fr/Emploi/Marche-Emploi/Fiches-Apec/Fiches-
metiers/Metiers-Par-Categories/Services-techniques/acheteur-distribution
http://www.decision-achats.fr/Decision-Achats-Le-guide/Article/La-fonction-
achats-en-entreprise-politique-et-strategie-d-achats-38759-
1.htm#BBtHTzXE7SQxWYKE.97
http://www.youscribe.com/catalogue/documents/ressources-
professionnelles/marketing-et-communication/le-marketing-de-la-grande-
distribution-1371434
http://www.youscribe.com/catalogue/documents/ressources-
professionnelles/marketing-et-communication/le-marketing-de-la-grande-
distribution-1371434
Page 81 sur 87
Chapitre I- Le marketing de la grande distribution ..................................... 9
SI- Généralités sur la grande distribution : ............................................... 9
§1- Définition et historique : ................................................................... 9
A- Définition :......................................................................................... 9
B- Historique :........................................................................................ 9
§2- Place et rôle de la grande distribution : ...........................................10
SII- Les relations avec les fournisseurs :...................................................11
§1 - Politique d‟assortiment : .................................................................11
A- La structure et les caractères d‟un assortiment : ........................ 11
a- La structure d‟un assortiment : .................................................11
b- Les caractères d‟un assortiment : ..............................................12
B- Les consommateurs et les marques: ............................................. 13
a- Les consommateurs face aux marques : ....................................13
b- Les consommateurs et les marques de distributeur :.................14
§2- la politique d‟achat : ........................................................................15
A- Le choix de collections : ................................................................. 15
a- La prospection : .........................................................................16
b- La négociation avec les fournisseurs : ........................................16
B- L‟organisation de la fonction d‟achat : ........................................ 17
a- La centralisation des achats : .....................................................18
1- L‟organisation centralisée :.....................................................18
2- La portée de cette organisation : .............................................18
b- La décentralisation des achats : .................................................19
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1- L‟organisation décentralisée : .................................................19
2- La portée de la décentralisation : ............................................19
SIII- Les relations avec la clientèle : .........................................................20
§1- La politique de merchandising et la politique du prix : ...................20
A- La politique de merchandising : ................................................... 20
a- Objectifs et contraintes de l‟aménagement : ..............................20
1- Les objectifs : ..........................................................................20
2- Les contraintes : ......................................................................21
b- L‟utilisation du linéaire de vente : .............................................21
1- Les techniques de présentation : .............................................22
2- La répartition de l‟espace sur les rayonnages : .......................24
B- La politique de prix : ...................................................................... 24
a- Fixation des prix et des marges : ................................................25
b- Les objectifs d‟une politique de prix et de marge : ....................26
1- Les objective rentabilités : ......................................................26
2- Les objectifs d‟image du magasin : .........................................27
§2- La politique de service et de communication : .................................27
A- La politique de service : ................................................................. 27
a- Les effets des clients en matière de services : .............................27
b- Définition et classification des services : ....................................28
1- Services endogènes et exogènes : .............................................28
2- Classement selon le moment d‟utilisation : .............................28
A- La politique de communication : .................................................. 29
a- La communication du distributeur : ..........................................29
1- Cibles et objectifs de la communication : ................................29
2- Les contraintes de la communication :....................................31
b- Les moyens de communications .................................................31
1- L'élaboration des messages publicitaires : ..............................31
2- La communication externe :....................................................32
3- La communication interne : ....................................................33
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Chapitre II- Les Stratégies de fidélisation ...................................................35
S1- La fidélisation : Définition, les avantages ...........................................35
§1- Définitions de la fidélisation :...........................................................35
§2- Les avantages de la fidélisation :......................................................36
SII- Les stratégies de fidélisation mises en place dans la grande
distribution : .............................................................................................37
§1- Comment élaborer une stratégie de fidélisation : ............................37
A- Les méthodes de fidélisation : ....................................................... 37
a- La fidélisation offensive : ...........................................................37
1- Accroître la valeur relationnelle : ...........................................37
2- Accroître le flux de transaction :.............................................38
b- La fidélisation défensive : ...........................................................38
c- L'identification des différentes catégories de clients : ...............40
1- Les clients les plus précieux ou profitables (CPP) : ................40
2- Les clients à croissance maximum (CCM) ou clients du 2éme
rang (CDR) : .................................................................................40
d- Le passage d'une orientation produit à une orientation client : 41
e- L'émergence de nouveaux outils de communication : ...............42
B- Les stratégies de la fidélisation : ................................................... 43
a- Pour fidéliser ses clients, il faut tout d‟abord fidéliser ses
collaborateurs. .................................................................................43
b- Evaluer le niveau de fidélité des clients. .....................................43
c- Il faut servir avant de vendre. ....................................................43
d- Permettre aux clients de se plaindre et répondre à leurs
sollicitations. .....................................................................................43
e- Il faut connaître la conception de la valeur selon les clients. .....44
f- Il faut ressembler toutes les données sur les clients. ..................44
§2- Les outils de fidélisation :.................................................................44
A- Sur le lieu de vente : ....................................................................... 44
a- Le merchandising :.....................................................................44
b- Les cartes de fidélité : ................................................................45
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1- Des cartes multi-services : .......................................................45
2- Des cartes aux services personnalisés : ...................................46
3- Les cartes multi-enseignes :.....................................................46
e- L‟extension des cartes de fidélité à l‟internet : ..........................46
B- Chez le consommateur : ................................................................. 46
a- Marketing direct : ......................................................................46
1- Le mass-média : ......................................................................48
2- Le mailing : .............................................................................48
3- Les prospectus et dépliants : ...................................................48
4- Le numéro vert : .....................................................................49
5- Le centre d‟appels : .................................................................49
b- Consumer magazines : ...............................................................49
c- Le club :......................................................................................50
d- Le service après-vente : ..............................................................51
e- Le service consommateur :.........................................................51
f- Internet : ....................................................................................52
g- Cadeaux : ...................................................................................52
h- Parrainage :................................................................................53
Chapitre III- Etude de cas « Marjane Fès-Saiss » : .....................................54
SI- Présentation et historique de « Marjane » : ........................................54
§1- Présentation : ...................................................................................54
§2- Historique : ......................................................................................54
SII- Questionnaire et guide d‟entretien au sien de Marjane Fès-Saiss .....56
§1- Questionnaire sur la fidélisation des clients chez Marjane Fès-Saïss :
................................................................................................................56
A- La méthodologie de l‟enquête : ..................................................... 56
a- Objectif : ....................................................................................56
b- Population mère : .......................................................................56
c- L‟échantillon à interroger : ........................................................56
d- Mode d‟administration : ............................................................56
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B- Le questionnaire : ........................................................................... 56
§2- Guide d‟entretien individuel au sien de Marjane Fès-Saïss: ...........65
A- Phase début d‟entretien : ............................................................... 65
B- Phase de question : ......................................................................... 65
C- Phase de réponse : .......................................................................... 65
SIII- Les stratégies de fidélisation chez Marjane Fès -Saiss : ...................66
§1- L‟organisation de l‟espace de vente au sein de Marjane: ................66
§2- Les techniques de promotion utilisées par Marjane : ......................67
A- Réduction de prix : ......................................................................... 67
B- Vente avec prime : .......................................................................... 67
C- Jeux et concours : ........................................................................... 68
D- Essai et échantillonnage : ............................................................... 68
§3- La Publicité sur le Lieu de Vente (PLV) : ........................................69
A- Les types les plus utilisés au sein de Marjane : ........................... 69
B- Le fonctionnement de la PLV : ..................................................... 69
a- Attirer l‟attention :.....................................................................69
b- Impliquer le consommateur : .....................................................69
c- Vendre le produit : .....................................................................69
§4- L‟animation au sien de Marjane :....................................................70
A- Les techniques d‟animation utilisées par Marjane : ................... 70
B- L‟influence de l‟animation sur l‟ambiance de vente : ................ 71
a- Couleur et éclairage : .................................................................71
b- Sonorisation : .............................................................................72
c- Décoration : ................................................................................72
...................................................................................................73
........................................................................................................75
Annexe1 : Image tête de gondole .................................................................. 75
Annexe2 : Assortiment ................................................................................... 75
Annexe3 : Image carte de fidélité ................................................................. 75
Annexe4 : Questionnaire sur la fidélisation des clients chez Marjane Fès-
Saîss.................................................................................................................. 76
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Annexe5 : GUIDE D‟ENTRETIEN.............................................................. 78
...................................................................................................... 80
I. Ouvrage : .................................................................................................. 80
II. Théses et mémoires .................................................................................. 80
III. Webiographie ........................................................................................... 80
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