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La conception des ponts est en constante évolution grâce à l’emploi de matériaux aux
performances rigoureusement contrôlées et sans cesse accrues, au développement de méthodes de
construction à la fois rapides et précises, à la création de formes originales apportant de nouvelles
solutions aux problèmes posés par le franchissement d’obstacles aux dimensions parfois proches de la
démesure, à des moyens de calcul permettant d’établir des modèles de comportement très
sophistiqués. La démarche de conception d’un pont particulier suppose, de la part de l’ingénieur, une
vaste culture technique lui permettant d’identifier les solutions les plus économiques, tirant le meilleur
parti des propriétés des matériaux dont il peut disposer, limitant au maximum les aléas prévisibles lors
de l’exécution et intégrant une préoccupation esthétique forte.
Notre étude a porté sur un pont à poutres précontraintes par pos-tension, un des principaux
avantages qu'offre la précontrainte aux constructeurs est le large éventail et la souplesse du mode de
construction.
et avec 𝐿𝑐 = 25 𝑚 , on obtient :
1.388 ≤ ℎ𝑝 ≤ 1.562
Le béton est par la valeur de sa résistance à la compression à l’âge de 28 j, dite valeur caractéristique
requise celle-ci est notée "ƒc28"elle est choisie à priori compte tenu des possibilités locales, et des règles
de contrôle qui permettent de vérifier qu’elle est atteinte.
.
• Résistance caractéristique à la compression
La résistance à la traction est liée à la résistance à la compression dans laquelle fcj et ftj sont exprimées en
MPa :
ftj = 0,6+0,06 fcj Selon les règles du BAEL et BPEL
b. Contrainte admissible
On fixe la valeur de contrainte qui ne peut être dépassée en aucun point de l’ouvrage, cette contrainte est
appelée contrainte admissible
c. Les armatures
Les armatures utilisées dans les ouvrages en béton précontrainte sont de deux natures différentes :
Les armatures de précontrainte ou bien les aciers actifs
Les armatures passives.
• Armatures de précontraintes :
Les armatures actives sont des armatures en acier à haute, résistance qu’on utilise pour les constructions
en béton précontraint par pré tension, ou post tension.
- Les armateurs actifs de précontrainte sont sous tension même sans aucune sollicitation
extérieure.
- Les aciers de précontraints ont été classés par catégories : fils, barres, Torons.
La précontrainte initiale à prendre en compte dans les calculs est données par la formule suivante :
𝐏𝟎 = (𝟎, 𝟖ƒ , 𝟎, 𝟗 ƒ𝐩𝐞𝐠)
Les armatures passives pa opposition aux armatures actives de précontrainte sont des armatures
comparables à celle de béton armé. On retrouve ainsi :
• Des armatures de traction pour la zone tendue de béton en classe II et III.
• Des armatures de peau et de montage
Les armatures utilisées sont de nuance FeE400 avec :
• Sa limite élastique égale à 400Mpa
• Un module d’élasticité longitudinale Es=200 000MPa
Contrainte limite
ELU : la contrainte admissible à la compression est donnée par la formule suivante :
σs = fₑ/ γs
Avec : s : coefficient de sécurité
ELS : la contrainte admissible de traction est donnée par les expressions suivantes :
Fissuration peu nuisible : s ≤ fₑ /γs
2
Fissuration préjudiciable : s
̅̅̅̅= min (3 𝑓𝑒 ; 110√𝑓𝑡28)
1
Fissuration très préjudiciable : s
̅̅̅= min (3 𝑓𝑒 ; 90√𝑓𝑡28 )
B(m2) 0,815
∑Msi (m2) 0,590
v (m) 0,724
v'(m) 0,776
IGi (m4) 0,250
ρ (%) 54,668%
1. Poids propre
g0 = 𝛾B * B = 0.815* 2.5 *10-2 = 0,020375 MN/ml
2. Superstructures
Elles entrent dans les éléments de second œuvre et de finition du tablier. Elles jouent un rôle important sur le
plan de l’esthétique, de la sécurité et de la durabilité de l’ouvrage. D’où l’importance de les prendre en
compte dans la conception transversale du tablier et le calcul de la structure.
Couche d’étanchéité
Son rôle est d’assurer l’imperméabilité à la surface supérieure du hourdis, elle doit présenter une bonne
adhérence au tablier, une résistance mécanique pour éviter le fluage et un allongement de rupture important
pour suivre les déformations du tablier sans se fissurer.
On utilisera une chape épaisse de densité 2.2 t/m3, d’épaisseur 7cm.
Couche de roulement
Elle est constituée d’un tapis d’enrobée d’épaisseur 5 à 10 cm, d’une densité égale à 2,2 t/m3. On adoptera
une épaisseur de 7 cm pour tenir compte des éventuels renforcements de chaussée.
Les corniches
Elles ont un rôle essentiellement esthétique. Situées à la partie haute du tablier, elles en dessinent la ligne.
Elles peuvent être coulées en place ou préfabriquées en éléments généralement de 1 m.
Dispositifs de sécurité
On distingue trois catégories de dispositifs de sécurité : les gardes corps, les glissières de sécurités et les
barrières de sécurité.
Les barrières de sécurité sont utilisées dans le cas où la chute des véhicules est dangereuse (brèches de
grandes hauteurs, passages supérieurs sur autoroutes ou chemins de fer…).
Et les glissières métalliques souple ont pour rôle de permettre un retour de véhicules sur la chaussée sous un
angle faible et à vitesse modérée.
Dans notre cas, nous optons pour les barrières de sécurité normales métalliques à lisses horizontales (type
BN4), de poids propre de 65 kg/ml et pour des glissières métalliques souples, de poids propre de 15
kg/m0. [1]
Désignation des charges Valeur en t/ml
Corniche + longrine 0.827
Etanchéité 0.957
Roulement 2.110
Dispositifs de sécurité 0,08
Total des superstructures 3,974
Tableau 4:Valeurs des charges dues aux superstructures
Système A(L) :
Ce système se compose des charges uniformément réparties d’intensité variable suivant la longueur
surchargée et qui correspondent à une ou plusieurs files de véhicules à l’arrêt sur le pont. Elles représentent
un embouteillage ou un stationnement, ou bien tout simplement une circulation continue à une vitesse à peu
prés uniforme d’un flot de véhicules composé de voitures légères et de poids lourds. A(L) est donnée par la
formule suivante :
36
𝐴𝐿 = 0,23 + 𝑒𝑛 𝑡⁄𝑚²
𝐿 + 12
AL(T/m2) 1,2030
La valeur obtenue sera par la suite multipliée par l’entraxe pour avoir une valeur en T/ml.
Figure 4:
ge max(MN/ml) 0,00485
ge min(MN/ml) 0,00277
1. Moments fléchissant :
Sollicitations vis-à-vis des états limites ultimes de résistance
Mu = ɣG *Mg0+Mge+ ɣELU *kc*Mq
Sollicitations vis-à-vis des états limites de service
Combinaisons quasi-permanentes Mqp= Mg0 + M ge min
Combinaisons fréquentes Mf = Mg0+Mge max+ kc*Mq* ψ1
Combinaisons rares Mr = Mg0+Mge max+ kc*Mq
Figure 5 : Coefficient
5,000
Moments fléchissants
4,500
4,000
3,500 Mqp(MN,m)
3,000
Mf(MN,m)
2,500
2,000 Mr(MN,m)
1,500
1,000 Mu(MN,m)
0,500
0,000
0,00 2,00 4,00 6,00 8,00 10,00 12,00 14,00
Figure 6:Courbe des moments fléchissant
Efforts tranchants
0,000
0,00 2,00 4,00 6,00 8,00 10,00 12,00 14,00
-0,100
-0,200 Vqp(MN)
-0,300 Vf(MN)
-0,400 Vr(MN)
-0,500 Vu(MN)
-0,600
-0,700
-0,800
Figure 7:Courbe de l’effort tranchant
IV. Précontrainte
1. Contraintes admissibles
𝐼 ∆𝑀 ∆𝑀
= ̅̅̅̅̅ = 𝜎𝑐𝑠
𝑎𝑣𝑒𝑐 ∆𝜎𝑠 ̅̅̅̅̅ =
̅̅̅̅̅ − 𝜎𝑡𝑠 ∶ 𝑒𝑛 𝑓𝑖𝑏𝑟𝑒 𝑠𝑢𝑝é𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟
̅̅̅̅̅
𝑉 ∆𝜎𝑠 𝐼
𝑉
𝐼 ∆𝑀 ∆𝑀
= ̅̅̅̅̅ = 𝜎𝑐𝑡
𝑎𝑣𝑒𝑐 ∆𝜎𝑡 ̅̅̅̅ =
̅̅̅̅̅ − 𝜎𝑡𝑙 ∶ 𝑒𝑛 𝑓𝑖𝑏𝑟𝑒 𝑖𝑛𝑓é𝑟𝑖𝑒𝑢𝑟𝑒
̅̅̅̅̅
𝑉′ ∆𝜎𝑡 𝐼
𝑉′
ΔM (Mr- Mqp)=1,734 MN.m (à mi-travée)
Δσs=21,600 Mpa
Δσi=17,400Mpa
I ΔM
En fibre supérieure : = 0,346 m3 > = 0,080m3 ➔ vérifié
V Δσs
I ΔM
En fibre inférieure : =0,323 m3 > = 0,100m3 ➔ vérifié
V′ Δσi
3. Détermination de la précontrainte
Cas supposé sous critique (PI) Cas supposé sur critique (PII)
∆𝑴 𝑩 ̅̅̅̅
𝑴𝒎𝒂𝒙+𝝆.𝑩.𝑽.𝝈𝒕𝒍
𝑷= + (𝒗. ̅̅̅̅
𝝈𝒕𝒍 + 𝒗′ . 𝝈𝒕𝒔
̅̅̅̅̅) 𝑷=
𝝆.𝒉 𝒉 𝝆.𝒗+𝒗′ −𝒅′
̅̅̅̅̅
𝑀𝑚𝑎𝑥+𝜌.𝐵.𝑉.𝜎𝑡𝑡
e0=𝜌. 𝑣 − 𝑃
e0= - (v’-d’)
𝑀𝑚𝑖𝑛+𝜌.𝐵.𝑉 ′ .𝜎𝑡𝑠
̅̅̅̅̅
e0=−𝜌. 𝑣 ′ − 𝑃
?V Cas supposé sous critique (PI) Cas supposé sur critique (PII)
Combinaisons ΔM P I (MN) e0(m) Mmax P II (MN) e0(m)
Quasi-permanente 0 -2,462 0 1,847 1,847 -0,676
Fréquente 1,106 -0,169 17,894 2,953 2,755 -0,676
Rare 1,734 -0,348 8,460 3,580 2,618 -0,676
• Pmax = 2,755 MN
• Perte de précontrainte totale ΔP estimée à 25 % (ΔP=0,25P0)
• Précontrainte nécessaire au vérin P0 =4,052MN (avec Pmax = 0,98P0 – 1,2 ΔP)
• L’excentricité e0= - 0,676m
Soit 7T13
P0
Nombre de câbles calculé n= F0 = 4,396 ➔ 5 câbles
Vérification du dimensionnement de la section du béton
I 𝑃𝜌.ℎ
Fibre supérieur = 0,346 m3 > ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
𝑣 = 0,143 m3 ➔ vérifié
V ̅̅̅̅̅+ .̅̅̅̅̅
𝜎𝑐𝑠 𝜎𝑡𝑙
𝑣′
̅̅̅̅̅
𝑀𝑚𝑎𝑥+𝜌.𝐵.𝑉.𝜎𝑡𝑡
Pour fuseau de passage e1 et e2 égale à : e1=𝜌. 𝑣 − 𝑃
′ 𝑀𝑚𝑖𝑛+𝜌.𝐵.𝑉 ′ .𝜎𝑡𝑠
̅̅̅̅̅
e2=−𝜌. 𝑣 − 𝑃
0,800 e0 e1 e2
0,600
0,400
0,200
0,000
0 5 10 15 20 25 30
-0,200
-0,400
-0,600
-0,800
-1,000
Figure 9: fuseau de passage de câble
L de courbe
α(x) = k × x avec k =
α
∆H
on a tan(α) =
L de courbe
𝑔.𝐸𝑝
avec : 𝜎0 − 𝜎2 = 2(𝜎0 − 𝜎3) et 𝜆 = √𝜎𝑝0(𝑓.𝑘+𝜑)
𝑛−1 𝜎𝑏(𝑥)
• Pertes par déformation instantanée : ∆𝜎𝑝𝑛(𝑥) = 2𝑛
. 𝐸𝑝. 𝐸𝑏𝑖
𝑃 𝑃𝑒0² 𝑀𝑔.𝑒0
Avec : 𝜎𝑏 = 𝐵 + 𝐼
+ 𝐼 et P=𝜎𝑝. 𝐴𝑝
0 0,1L 0,2L 0,3L 0,4L 0,5L
x(m) 0,00 2,50 5,00 7,50 10,00 12,50
P (MN) 4,286 4,339 4,392 4,425 4,411 4,391
b (Mpa) 5,26 6,82 8,85 9,01 8,50 8,28
Δ pinst (Mpa) 15,694 20,355 26,400 26,895 25,356 24,708
Les pertes différées sont dues à l’évolution dans le temps de l’état de contrainte des matériaux en
présence du retrait du béton, fluage du béton et la relaxation des aciers.
• Pertes dues au retrait du béton
∆ r = εr × [1 − r(t0)] × ep
𝑡0
r(t) =
𝑡0+9 𝑟𝑚
𝐵
rm =
𝜇
B : aire de section.
μ : périmètre de la section.
𝑟𝑚 : Rayon moyen de la section.
t0 : Âge du béton à la mise en tension des câbles.
𝐩𝐢(𝐱) = 𝟎 − 𝚫𝐩𝐢(𝐱)
Δ d = Δ r + Δ fl+ (5/6) Δ p
4.4 Conclusion
Nous remarquons que la perte totale varie entre 22% et 23%
2- Fréquente
3- Rares
4 HA 14
Soit As(cm²) 6,15
𝑷𝒎 915,796Mpa
pm= 𝑨𝒑
b(g) -4,826
∆′𝝈𝒑 9,21E-05
' p = 𝑬𝒑
b 3,498 Mpa
𝜺𝒃.𝒉𝒔
✓ Yu= 𝜺𝒃+𝜺𝒔 = 0,433m
✓ Hp =1,350 m
𝜺𝒃(𝒉𝒑−𝒚𝒖)
''p = 𝒚𝒖
4,33E-01 p 0,44
𝒇𝒑𝒆𝒓𝒈
p (Mpa) )= 1539,130
𝜸𝒑
𝒇𝒆
s (10- 3) 10 s (Mpa) = 347,826
𝜸𝒔
Ns(MN)= As . s 0,214
Nb > Np+Ns
''p(10- 3) 1,54E-02
Np+Ns 5,224
1. Sollicitations
• Angle de relevage du câble équivalent
✓ soit α° 8,00
✓ α(rd) 0,140
𝑰 0,4243m
ZG =𝑺(𝒚)
bn 0,2675m
b0 0,3m
⌀ gaine 65mm
nbre de files 1
2. Vérification à l'ELS
2
C1= 𝜏² − 𝜎𝑥. 𝜎𝑡 ≤ 0.4𝑓𝑡𝑗(𝑓𝑡𝑗 + 3 (𝜎𝑥 + 𝜎𝑡)
𝑓𝑡𝑖 2
C2 = 𝜏² − 𝜎𝑥. 𝜎𝑡 ≤ 2 𝑓𝑐𝑗 (0.6𝑓𝑐𝑗 − 𝜎𝑥 − 𝜎𝑡)(𝑓𝑡𝑗 + 3 (𝜎𝑥 − 𝜎𝑡))
𝑃𝐶𝑂𝑆𝛼
Avec : 𝜎𝑥 = 𝐵
𝐹𝑡𝑢
𝜎𝑡 = 𝑏0.𝑠𝑡′
• Ouvrage en charge
tg(2 βu)=𝝈𝒙−𝝈𝒕
𝟐𝝉𝒖 1,020 2 βu(rd) 0,770
2 βu(°) 44,11
βu(°) 22,06
At.fe 1 Ftn 1
✓ γs.bn st
sinα + bn s′t
sin α′ ≥ 0.6MPa
Au droit de la section
2 HA 10
Soit As(cm²) 1,57
Tableau 37 : Choix de la section
st(cm) stmax(cm)
Les ponts à poutres sous chaussée ont constitué une des premières applications de la précontrainte dans le
domaine des ponts. Leur conception, initialement inspirée de celle des ponts à poutres en béton armé, fait
largement appel à la préfabrication. On distingue deux types de tables, selon la technique de précontrainte
utilisée pour les poutres :
• les ponts à poutres précontraintes par pré-tension (PRAD) qui occupent une gamme de portées allant de 10
à 35 mètres.
• les ponts à poutres précontraintes par post-tension (VIPP), qui sont employés pour des portées comprises
entre 30 et 50 mètres.
A. les ponts à poutres précontraintes par pré-tension (PRAD)
I. Définition des ponts PRAD
Les ponts PRAD (ouvrages de type courant à poutres sous chaussées) sont constitués de poutres
précontraintes par adhérence (poutres précontraintes par pré tension*) solidarisées par un hourdis en béton
coulé en place (sur des coffrages perdus non participants). Les poutres sont reliées entre elles par des
entretoises uniquement au niveau des appuis. Les poutres préfabriquées en usine sont de hauteur constante et
leur espacement est de l’ordre de 80 cm à 1 m. Le hourdis a une épaisseur comprise entre 18 et 22 cm, pour
les ponts-routes, et de 25 cm, pour les ponts-rails.
II. Domaine d’utilisation privilégiée des ponts PRAD
Les ponts PRAD sont devenus, depuis de nombreuses années, une solution classique pour la
réalisation de ponts routiers ou autoroutiers dans la gamme des portées de 10 à 35 m (passage inférieur ou
passage supérieur).
Ils sont aussi utilisés désormais pour la réalisation d’ouvrages ferroviaires (à une travée isostatique
ou plusieurs travées hyperstatiques)
Préfabriquées précontraintes par post-tension) font partie de la famille des ponts à poutres sous chaussée en
béton. Les ouvrages de type VIPP ont également été largement utilisés dans la gamme des ponts de moyenne
portée. L'ouvrage, comportant une succession de travées indépendantes, a constitué une des premières
applications de la précontrainte dans le domaine des ponts, du fait de sa simplicité. Ce type d'ouvrage est
relativement massif du fait de son épaisseur importante, et cette impression est renforcée lorsque la brèche
est de faible hauteur ou que le tablier est large.
Ce projet dans le cadre du bureau d’études béton précontraint a été une formidable opportunité de
faire face à des cas pratiques de conception et de calcul des ponts à poutres en BP et d’essayer d’adapter nos
connaissances théoriques aux contraintes pratiques de construction.
Et bien sûr de savoir programmer notre propre fichier Excel qui va être valable un jour dont des grands
projets.