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Ils ont consisté en la réduction de budgets consacrés à certains secteurs sociaux dont bénéficient les
citoyens, et à rééchelonner la dette extérieure, ce qui a entraîné une augmentation des intérêts de
la dette, et par conséquent une hausse du niveau de la dette pour les générations futures la dette, et
par conséquent une hausse du niveau de la dette pour les générations futures
Le régime de change fixe n’est plus en phase avec la politique d’ouverture adoptée par le Maroc
depuis quelques années, observe-t-elle, donc Le Maroc a donc opté pour une réforme afin de
migrer du réforme de change fixe vers un régime de change flexible
Ainsi, le dirham ne sera plus rattaché à un panier de devises, mais sera déterminé par les forces du
marché , c’est-à-dire en fonction de l’offre et de la demande
Ce passage intervient à moment où le Maroc remplit les conditions qui lui permettent de mettre en
œuvre cette réforme de manière progressive. Notre pays dispose actuellement de fondamentaux
macroéconomiques adéquats, à savoir un faible niveau d’inflation, de déficit budgétaire et de déficit
des comptes extérieurs, ainsi qu’un niveau acceptable de la dette extérieure, poursuit la banque
centrale
Cette transition vers un régime de change flexible se fera d’une manière graduelle et ordonnée
contrairement à certains pays ou ce régime a été exigé par FEM (fond monétaire internationale)
contre leurs grés .
Afin de résoudre les problèmes économique résultant de la crise égyptienne ; cette dernière
a été contraint de contracter des emprunts auprès de la Banque Monétaire Internationale, à
laquelle la politique de flottement a été imposée afin d'assurer le recouvrement de son
argent.
Cette crise a également conduit à une inflation des prix de 14% à 32% en Egypte, ainsi qu'à
une réduction des salaires des travailleurs et à l'imposition de plus de 20 taxes.
De plus, le prix du dollar a été augmenté de 98% pour atteindre 17,60 EGP.