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* Blocage des canaux Sodique empêchant la AD agit via l'activation de récepteur kaïnate
naissance d'un potentiel d'action au niveau des (des récepteurs glutamatergiques du SNC,
Mécanisme d’action
* 5-30mn picotements et engourdissements de * Perte de mémoire à court terme, durée de * 30- 12h vomissements, 2 à 12 heures après le repas
la bouche, des doigts, grande faiblesse latence 48 h, nausées, diarrhées, douleurs On distingue des syndromes :
musculaire, pouvant aller jusqu’ à la paralysie Diarrhées, vomissements, abdominales céphalées vertiges gastro-intestinaux nausées, vomissements, diarrhée;
respiratoire et Ia mort par asphyxie douleurs musculaires, angoisses, amnésie, (parfois), pas de fièvre neurologiques troubles de la sensibilité (picotements
* 20x plus forte que le curare transpiration, une désorientation et une * Guérison 3 jours autour des lèvres et du nez,
* DM : 80ug/100g d'aliment mollusque confusion, une perte de mémoire et des fourmillements des mains et des pieds, Sensations
* Pas de traitement Spécifique dommages cérébraux confusion mentale Extrait des glandes digestives de brûlure au contact de l'eau
pouvant conduire au coma puis a la mort ou broyat de la chaire injection froide),démangeaisons, maux de tête, sueurs,
* Dommages causés au cerveau sont souris frilosité, fatigue;
irrémédiables cardio-vasculaires: hypotension, bradycardie,
* Norme FDA 20ppm hypotension artérielle
* 30 ppm Tolérée Etat de choc
musculaires et articulaires.
Symptômes
MYCOTOXINES
• Au cours de ces dernières décennies, la contamination alimentaire humaine et animale par les
champignons producteurs de mycotoxines est considérée parmi les préoccupations mondiales les
plus inquiétantes).
• Toxines produites par le métabolisme normal d’un ou de plusieurs champignons
• 932 millions de $
• Selon la FDA annuellement on estime à environ 25% la contamination des denrées alimentaires • Plus de 1000 mycotoxines sont recensés dont une trentaine sont douées
d’origine végétale,, notamment les céréales, les fruits, noix, les amandes, les ccacahuètes, les d’effets préoccupants sur la santé humaine et animale.
pistaches, les fourrages et tous les aliments composés et manufactures destinés à l’alimentation • Structure chimique très diversifiée
humaine et animale • Structure chimique et propriétés toxiques conservées au cours du stockage et
• Ce sont des métabolites secondaires normaux de champignons
• L’Émergence de nouvelles pathologies liées à ces mycotoxines : Mycotoxicoses de la transformation/ cuisson des aliments
• Découvertes en Grande Bretagne vers 1960 dans un élevage de dindes nourrie exclusivement avec Mycotoxines et chaine alimentaire
un tourteau d’arachides contaminés
Métabolisme de l’ochratoxine
- Acide iboténique et ces mét l’aldéhyde déshydrogénase (famille des tyramines), (probablement
(muscimol et muscazole) analogie structurale des AA
- Pilzatropine avec la sérotonine→Atg déclencheurs de
compétitif Rcp réactions
cérébraux ≈ action type allergiques)
LSD.
-Tbs digestifs isolés dont la Parasympathomimétique -Signes digestifs discrets En cas de consommation -Effets recherchés : -Tbs digestifs
gravité dépend du (Vomissements, diarrhée, - Stimulation centrale d’alcool on observe : effet euphorie, hallucinations, - Anémie
champignon hypersécrétion, (hallucination) antabuse avec rougeur de la distorsion Temps/espace. hémolytique, état
ingéré bradycardie, vertige, - Dépression centrale face, céphalées, sueurs - Effets indésirables : de choc, IR
Les signes varient d’une hypotension) (somnolence et sédation) tachycardie, hypotension, T. du angoisse, confusion,
simple gastro-entérite→ rythme, collapsus... épisodes de violence,
entérite cholériforme nausées, Vomissements,
Symptômes
***De nombreuses personnes consomment la Paxille sans problèmes alors que d’autres peuvent se sensibliser au cours d’un repas apparemment bien toléré et développent une réaction
allergique après un repas déclencheur
Symptômes tardifs
Syndrome phalloïdien Syndrome gyromitrien Syndrome oréllanien Syndrome proximien Sd acromélalgien Sd de Rhabdomyolyse Sd Cérébelleux
A.phalloïde et ses acolytes (Intoxication grave causée Surtout les Amanita poxima, A. Clitocybe Tricholoma auratum, Qq morilles
verna et virosa, Galères et par ingestion de cortinaires smithiana, amoenolens Tricholoma flavovirens
Champignon
responsable
démontrées
-Phase de latence>parfois à - Intoxication bénigne : Tbs - Tbs digestifs. -Variabilité -Erythermalgie -Principal risque : -Tremblements
48h (1er eft de De+) digestifs+ céphalées et - Déshydratation interindividuelle. (mains et pieds) : consommation - Tb de l’équilibre
-Phase gastro-intestinal fièvre. - Atteinte rénale - Tbs digestifs, fourmillement, abondante et une ébriété
cholériforme : hypovolémie, - Intoxication sévère : TD + toxique→IR→IRC et atteinte brûlures et répétée (≥3repas -Résolution en 12h
IR fonctionnelle et même un T.neurologique et terminale (dans les hépatorénale, douloureuses, consécutifs)
état de choc (en cas de tt : hépatique→ Formes graves) cytolyse œdème local... -Atteinte musculaire
amélioration trompeuse). IH et atteinte rénale ± (IIaire hépatique modérée, Pouvant persister diffuse notamment des
-Phase hépatique ou aux TD) tubulopathie aigue. plusieurs mois et muscles respiratoires.
parenchymateuse : ictère, -Evolution : conserver -Nausées,
cytolyse suivie de signes favorable sans des séquelles Vomissements,
d’Ihépatocellulaire + séquelles Rhabdomyolyse (CPK↑
rétention billiaire ↑)
-Formes graves et mortelles -Etats graves : décès
Symptômes
- spécifique : antidotique :
peni-G,
silymarine (légalon*), N-
acétylcystéine
+ Sd d’encéphalopathie
Aperçu sur quelques poisons chimiques : Autres produits alimentaires qui contiennent du lait et des ingrédients dérivés de lait :
Max de 2.5 ppm
Bisphenol A
Fabrication des polycarbonates et des résines époxy les biberons en plastique, la
vaisselle jetable, les bouteilles d’eau, les boites de conserve
Selon FDA : aucun risque pour les faibles taux
111 études réalisées sur des animaux : 81% ont démontré des effets nuisibles sur la santé
(bas niveaux d’exposition)
Perturbateur endocrinien (œstrogènes)
Cancer de sein (homme et souris)
Réduction de la fertilité chez le rat
Dioxines trouvés dans le beurre Altération de fonctionnement de système immunitaire
Action sur les neurones et comportement
HAPS (hydrocarbures aromatiques polycycliques) : *certains biberons en plastique et d’autres récipients destinés à l’alimentation des enfants
Famille de plus d’une centaine de molécules organiques rejettent de BPA (*55 fois si le récipient est chauffé)
-contamination des produits alimentaires par les HAP le plus souvent d’origine *Augmentation de 39% de la fréquence de certaines pathologies CV (*3) et le diabbète
environmentale ou en lien avec les procédés de transformation des aliments (séchage, (*2)
fumaison, cuisson)
-demi-vie très variable selon les molécules et les matrices considérées : rémanent dans Phtalates
l’environnement (en particulier dans le sol et les sédiments), facilement métabolisés chez UE : 23 phtalates (ME) plastifiants
les vertébrés (faiblement bioaccmumlables) La migration et la fonction d’utilisation (film souple, encre, plastifiant…µg-mg/j)
Réglementation sur : Mécanisme d’action ??? …les toxicités, les organes cibles et les doses requises pour
Benzo(a)pyrène l’exposition sont différents
Somme Benzo(a)pyrène Benzo(a)anthracène Proliférateurs de peroxysomes et cancérogènes
Benzo(a)fluoranthène et chrysène Perturbateurs endocriniens
Caractérisation du danger cancérigènes et génotoxiques Evaluation de risque lié à l’utilisation des phtalates dans les matériaux au contact des
Les poissons contribuent entre 2.2 et 4.3% à l’exposition par voie alimentaire d’un adulte aliments ???
Les mollusques et crustacés contribuent à hauteur de 7.8% pour un adulte ***emballages : la pollution des aliments, des boissons par les produits d’emballage est un
problème important qui a conduit bcp de pays à adopter une réglementation très stricte visant à
Mélamine (1,4,6 triamino-1,3,5 triazine) protéger le consommateur
-substance chimique de synthèse utilisée pour la production de résines synthétiques, de -Difficulté d’analyse (gd variété et complexité des aliments)/ durée importantes des tests réels
plastique et de mousses, de produits de nettoyage (>>mois)
-Méthodes d’évaluation de la contamination microbiologique des emballages : définir des seuils
, d’engrais (taux élevé de nitrogène) et de pesticides
contamination en fonction des aliments, évaluer l’impact des pdés de décontaminations utilisés
Les colles, ustensilles -Développement et évaluation de matériaux actifs :(emballage actif= incorporation d’élément qui ne
Retardateur de flamme font pas partie des constituants des matériaux), émission des sub bioactives, relargage contrôlé des
N’est pas une sub d’origine naturelle sub bioactives, modification des surface
Toxicité dépend de la cc, de la durée de l’exposition et du contact avec d’autres La contamination des aliments par les matériaux d’emballage est un problème
composants : Effets sur la vessie (calculs vésicaux), sur les reins (calculs rénaux), important pouvant entrainer : modification de la composition de la denrée ou de ses
inflammation chronique de rein propriétés organoleptiques (mauvaises odeurs ou gout) ; dégradation de produit
DJA :0.2mg/kg poids/j alimentaire ; génération de produits et des intermédiaires toxiques lors du cycle de vie
Les préparations pour nourrissons et les produits alimentaires qui constituent la seule emballages ou des transformations post ttt (stérilisation, cuisson, ionisation…)
source nutritive, dont les substituts de repas : Max de 0.5 ppm cytotoxicité, génotoxicité, perturbation endocrinienne…