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L’économie des transports est l’étude de la façon dont les services de transport sont produits et consommés.
• Systèmes de transport
Un système de transport est l’ensemble des infrastructures permettant la mobilité des biens et
personnes, tous modes de déplacement confondus, auquel se superpose un ensemble de services de
transports, collectifs ou individuels. Ainsi :
les transports sont au cœur de la production (en amont de la fabrication et en aval pour la
distribution).
les transports sont aussi au cœur de l’activité économique (déplacement de la main d’œuvre-
domicile et travail-domicile)
enfin, ils permettent de consommer (loisirs, voyages, courses…).
Les transports sont aussi des gros producteurs d’effets externes (externalités). Cela nécessite
l’intervention des pouvoirs publics afin de les réguler (péages, taxes, interdictions, etc.).
Le pouvoir public doit également intervenir non seulement dans la construction des infrastructures de
transport (forts investissements), mais aussi dans la gestion de ces infrastructures car le transport est
considéré (pour combien de temps encore ?) comme un service public.
Dans la littérature, les auteurs s’accordent en général autour de quatre composantes essentielles, au
sein d’un système de transport :
un sous-système socio-économique qui est à l’origine même de la demande de transport. Il
s’agit de la société civile, des entreprises, finalement des usagers qui formulent et
matérialisent cette demande de mobilité ;
un sous-système politique – incarné par l’État et par tous les échelons décisionnaires inférieurs
– qui tente de répondre à cette demande en mettant en œuvre des politiques et des
réglementations en matière d’organisation et de gestion des déplacements ;
un sous-système spatial, qui par essence, engage à la mobilité et aux déplacements par son
caractère hétérogène. La distribution des populations ainsi que la répartition des fonctions
urbaines à travers l’espace géographique engendrent le mouvement ;
un ensemble de moyens physiques mis à la disposition des usagers pour accomplir leurs
déplacements. Ces moyens recouvrent à la fois les infrastructures, le réseau de voirie et de
voies ferrées, les aménagements sur voirie et les véhicules.
Ces quatre sous-systèmes rétroagissent les uns sur les autres : la différenciation spatiale fait naître
chez les usagers une demande de mobilité à laquelle l’État et les collectivités locales tentent d’apporter
une réponse par le biais de moyens physiques et réglementaires.
Essieu
Organe mécanique qui relie les roues d'un véhicule entre elles.
Charge à l’essieu
Dans le domaine du transport, la charge à l'essieu, ou charge par essieu, est la charge maximale qui
peut être admise sur chaque essieu du véhicule en fonction des caractéristiques de l'infrastructure de
transport.
Surcharge
Excédent de poids supporté par un véhicule en charge par rapport aux différentes normes prévues par
le Code de la Route, ou dans le cas de citernes par rapport au volume utile maximal admissible par la
citerne. Dans ce dernier cas, on parle alors de « surcharge volumétrique ».
C’est en Mésopotamie et dans le bassin méditerranéen que les historiens ont découvert les sites les
plus intéressants. Ils nous révèlent que, sur ces territoires, c’est au cours de la période néolithique que
les derniers hommes de la préhistoire changèrent radicalement leur mode de vie. De nomades, ils
devinrent sédentaires, d’où la naissance de l’agriculture et de l’élevage. Dès lors, les civilisations se
sont efforcées d’établir des voies de communication et de créer des moyens de déplacement. Les
premiers transports voyaient le jour.
Les premières grandes routes ne nous sont pas connues par des cartes, mais par des itinéraires dont
l’auteur donne la liste des étapes avec, parfois, le temps de trajet qui les sépare. Il devait s’agir
généralement de routes de terre, sans préparation ni entretien particulier, excepté sur de très courts
tronçons, empierrés ou asphaltés, utilisés pour des processions religieuses.
Mais ce sont les voies romaines qui ont le plus marqué l’imagination occidentale, dont la voie
Appienne, commencée vers 312 av. J.-C. et la voie Flaminienne, vers 220 av. J.-C. La voie Appienne est
la première route pavée. Construite par le censeur Appius Claudius Caecus, elle joignait Rome à
Capoue, puis fut allongée pour rejoindre Brindisi.
A son apogée, Rome disposait de voies rayonnant jusqu’aux confins de son empire, totalisant 80’000
kilomètres
Route de la soie
2.5 La navigation
Dans l’Histoire, les fleuves et la mer sont très tôt utilisés comme moyens de déplacement, tant
pour les hommes que pour les marchandises. Si les toutes premières embarcations
rudimentaires furent utilisées uniquement par des pêcheurs, des constructions plus grandes
et plus sûres ont permis, par la suite, de parcourir de plus longues distances.
Dès la préhistoire, l’Homme construisit des embarcations fluviales : pirogues creusées dans
un tronc d’arbre ou canoës en peau. Ces embarcations furent les ancêtres des navires de mer
que construisirent les peuples méditerranéens à partir de 2500 av. J.-C.
2.8.1 Transports
Tandis que le réseau routier romain disparaît, de nouvelles voies de communication adaptées à l’essor
du commerce se créent aux 11ème et 12ème siècles. Ces chemins nés des usages locaux constituent
un réseau secondaire dont l’absence d’entretien entraîne une lenteur considérable des parcours (10 à
15km par jour). Quand les charges sont trop importantes, les bateaux prennent le relais sur les canaux
et les rivières.
La marche est employée par les plus démunis ou par les pèlerins en quête de pénitence.
Une personne avec plus de moyens utilise des bêtes comme la mule, l’âne ou le cheval. Les chariots à
quatre roues luxueusement aménagés véhiculent les aristocrates, en particulier les femmes enceintes
et les personnes âgées.
2.8.3 Pèlerinages
Les pèlerins de toutes conditions sociales partent en Terre Sainte. Le voyage est long et périlleux,
certains doivent vendre leurs biens ou les mettre en gage. Le transport de ces excursionnistes zélés est
une entreprise lucrative : dès le XIIIème siècle des voyages organisés sont proposés de Venise à Jaffa
aller-retour, avec séjour à Jérusalem. Le voyageur plus fortuné ne se contente pas de visiter les lieux
saints : sur les pistes d’Egypte et de Syrie, il découvre le caravansérail. Ce type d’établissement,
construit autour d’une cour centrale, comporte des cellules à l’étage pour la nuit ; il abrite les
caravanes avec leurs bêtes et le gîte est souvent gratuit.
2.9 Les grandes découvertes de la Renaissance
2.9.1 Quelques dates :
1415 - les Portugais conquièrent Ceuta, au Maroc
1488 - Bartolomeu Diaz dépasse le cap de Bonne Espérance
1492 - Christophe Colomb débarque sur une île des Antilles
1494 - traité de Tordesillas entre Espagne et Portugal
1497 - Jean Cabot atteint le futur Canada
1500 - Cabral atteint le futur Brésil
1519-1522 - Magellan et le 1er tour du monde
1524 - Verrazano atteint les futurs États-Unis
1534 - Jacques Cartier fonde la Nouvelle-France
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«Après la chute de Byzance en 1453, le commerce vers l’Orient devient très difficile en raison
du blocage des voies terrestres par l’emprise turque sur le Moyen-Orient. Les marchands
italiens, qui sont les principaux relais en Méditerranée des richesses d’Asie (soieries, épices
et pierres précieuses) amenées par les caravanes arabes, ont de plus en plus de mal à
acheminer les marchandises.
Les États ibériques, qui ont achevé la Reconquista (1492,
chute de Grenade) se lancent à la découverte de voies
maritimes nouvelles, entraînant bientôt les autres nations
européennes dans leur sillage. L’objectif économique, auquel
s’ajoute une volonté d’évangéliser, va pouvoir être atteint par
des inventions scientifiques et techniques (boussole,
astrolabe, portulans, caravelle) facilitant la navigation au
large. Les Portugais (Vasco de Gama) ouvrent la route des
Indes par le contournement de l’Afrique et Christophe
Colomb, pour le compte de l’Espagne, découvre le Nouveau
Monde. Permettant la rencontre de civilisations qui vivaient
jusque-là en parallèle, les Grandes Découvertes ont aussi été
accompagnées de violences et de pillages. Les explorations
ont laissé place aux conquêtes et à la colonisation, qui le plus
souvent a vu l’Europe imposer son pouvoir économique et
politique.
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Machine à vapeur
C’est Denis Papin qui, en 1690, découvre le principe de la machine à vapeur. Après diverses
améliorations techniques (par James Watt notamment), la machine à vapeur s’imposera comme l’une
des principales techniques de la révolution industrielle.
La «North-Star» du PARIS-ORLÉANS 1830. Cette machine est typique des premières locomotives.
Passagers Marchandises
Individuel Voiture Camions
Deux roues Deux roues
Collectif Avion Avion
Trains Train
Cars Bateau
Transports urbains
(métro, tram, bus)
On pourrait aussi distinguer les modes de transport selon leur portée géographique (urbain, national,
international) et leur grille évolutive (covoiturage, autopartage…).
Routes nationales 6 697 6 697 6 697 6 728 6 728 6 728 6 728 6 728 6 728 6 728
Routes régionales 3 581 3 581 3 581 3 544 3 544 3 544 3 550 3 550 3 550 3 550
Routes départementales 4 994 4 994 4 994 5 015 5 016 5 017 5 026 5 026 5 026 5 026
Ensemble 15 272 15 272 15 272 15 287 15 288 15 289 15 304 15 304 15 304 15 304
Le transport routier est le mode de transport motorisé dominant en Afrique de l’Ouest et du Centre. Il représente
80% du trafic de marchandises et de passagers dans la zone. Il s’appuie sur un réseau routier d’environ 560 000
km dont 142 000 km en Afrique Centrale et 418 000 km dans la zone CEDEAO. Seul un cinquième de ces routes
est bitumé.
Le tronçon bitumé est peu ou prou praticable en toutes saisons. En plus de la mauvaise qualité du réseau routier
existant, les liaisons correspondent surtout aux anciennes routes Nord-Sud du commerce des matières premières
de l´époque coloniale.
Avec une part de 87% du trafic total, les routes nationales monopolisent l’essentiel des flux routiers au Burkina
Faso. La fonction de desserte des grandes agglomérations et le niveau d’aménagement relativement élevé du
réseau national sont à l’origine de cet important gap.
Hormis un nombre limité d’axes, les débits journaliers moyens sont relativement faibles, la moyenne sur
l’ensemble du réseau classé étant de 184 véhicules par jour.
En termes d’évolution de la demande, le trafic routier a cru d’une moyenne de 4,6 % par an sur la période 2000-
2008. Avec une part de 37 % du trafic géré par le réseau classé, la circulation lourde occupe une place importante
dans la structure des déplacements routiers au Burkina Faso, reflétant l’importance des flux marchandises et la
prédominance des déplacements économiques.
La répartition spatiale des flux met en exergue une large polarisation de la demande des transports par la région
Centre, sous l’impact de la capitale Ouagadougou.
Les sorties de la capitale enregistrent les plus importants niveaux de trafic, avec un pic de 1800 véhicules par jour
sur le tronçon Ouagadougou-Bretelle Bingo de la RN1. Les flux internationaux les plus importants sont observés
sur la liaison Togolaise, avec 550 véhicules par jour en 2008, suivis par ceux du Ghana (500 véhicules par jour).
A terme, l’axe Ouagadougou – Abidjan devrait faire partie de la boucle ferroviaire reliant Abidjan par
Cotonou via Niamey et Ouagadougou sur un tracé de 2 700 km. Ce projet mené par Africa Logistic est
estimé à 2,5 Md€.
4.1.3 L’aéroport
Un aéroport est destiné au trafic aérien commercial de passagers et/ou de fret ainsi que toutes les
activités commerciales et administratives (vente de billets, douane, etc.) qui s'y rattachent. Implanté
sur un aérodrome, il est constitué par l'ensemble des bâtiments et installations qui permettent
l'embarquement et le débarquement des passagers ou du fret. Les aéroports les plus importants ont
parfois plusieurs aérogares donnant elles-mêmes accès à des terminaux déportés où stationnent les
avions.
L'aérogare est l'ensemble des bâtiments par lesquels transitent les passagers et leurs bagages et où
sont également situés les guichets des compagnies aériennes, les services administratifs de l'aéroport,
les services de douane... C’est le lieu de transit entre les transports (publics ou privés) au sol et les
avions.
Aujourd’hui, le transport aérien contribue à hauteur d’environ 10 milliards USD au PIB du continent.
On estime que dans les 20 prochaines années, près de 6 millions d’emplois en Afrique dépendront du
transport aérien. En 2012, les aéroports africains ont traité 164 millions de passagers soit 7% de plus
qu’en 2011. 66% de ce trafic est un trafic intercontinental. La part de l’Afrique dans le transport aérien
mondial est cependant négligeable.
Elle se situe à 2,6% du trafic global. Et, celle de la région Afrique de l’Ouest et du Centre est mineure
dans le trafic aérien africain, même si quelques transporteurs, comme Asky ou Arik Air, émergent
depuis ces dernières années.
Tableau 1.28 : Nombre d’aéroports desservis par vol direct à partir du Burkina Faso
2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
Ouagadougou 12 12 13 18 18 17 16 17 20
Bobo-Dioulasso 1 1 1 1 1 1 1 1 2
Ensemble 13 13 14 19 19 18 17 18 22
Source : Agence nationale de l'aviation civile
Le Burkina Faso possède deux aéroports internationaux, celui de Ouagadougou et celui de Bobo-Dioulasso, ainsi qu’une
quinzaine d’aérodromes à l’intérieur du pays. Air Burkina est entièrement chargée des vols domestiques, tandis que d’autres
compagnies internationales (Air France en particulier) relient le pays aux capitales étrangères.
Air Burkina a été créée en 1967 et possède une flotte de 2 appareils. Depuis sa privatisation à la fin de la colonisation française,
la compagnie a connu des difficultés financières presque continues. L’actionnaire majoritaire de la compagnie est le fonds
Agha Khan avec 51 % du capital, le reste étant détenu par l’État. Les difficultés d’Air Burkina ont conduit à un plan de relance
amorcé en 2013 qui a abouti à l’achat du second appareil et l’augmentation du nombre de villes desservies dans la région.
Le nouvel aéroport de Donsin situé à 35 km de Ouagadougou est actuellement en construction pour mieux répondre aux
normes de sécurité internationale ainsi que pour désenclaver la capitale et permettre son développement.
4.1.4 Le port
Un port est une infrastructure construite par l'homme, située sur le littoral maritime, sur les berges
d'un lac ou sur un cours d'eau, et destinée à accueillir des bateaux et navires. Toutefois, il existe des
ports à sec installés en sus ou non d'un port maritime ou fluvial comme stationnement portuaire relié
à une infrastructure à terre permettant un stockage de petites unités, comme des voiliers, ainsi que
des transferts vers des réseaux ferroviaires et routiers. Il peut remplir plusieurs fonctions (commerce,
industrie, plaisance…).
Types de ports
Ports maritimes : Ils sont situés sur la côte d'une mer ou d'un océan ;
Ports fluviaux : Les ports fluviaux, ou ports intérieurs, sont situés sur le bord d'un fleuve, d'une
rivière ou d'un canal ;
Ports lacustres : Ils sont situés en bordure d'un lac. S'ils ne sont pas soumis aux aléas des
marées, les vagues peuvent poser problème sur les grandes étendues d'eau ;
Ports secs : L’expression « port sec » s’entend d’un lieu donné situé à l’intérieur des terres
pour le groupage et la distribution de marchandises, ayant des fonctions correspondant à
celles d’un port maritime, et comprenant des services de dédouanement.
Les États d’Afrique de l’Ouest et du Centre disposent de 28 ports maritimes et fluviaux principaux
(Cotonou, Abidjan, San-Pedro, Dakar, Lobito, Lomé, Bissau, Tema, Takoradi, Lagos, Conakry, Monrovia,
Buchanan, Douala, Libreville, Pointe Noire, Malabo, Matadi, Kinshasa, Kisangani, Kalemie). Ces ports
offrent des installations de stockage aux pays enclavés (Burkina, Niger, Mali, RCA, Tchad) pour attirer
le trafic de transit. Cependant, le coût de passage portuaire et d’attente des navires dans les ports
restent très élevés. Les raisons sont : l’insuffisance de l’informatisation des opérations douanières et
portuaires, l’absence d’interconnexion des systèmes informatiques existants et les contrôles à quai qui
demandent beaucoup d’espaces. Les ports subissent aussi des contraintes liées à l’état du réseau
routier pour l’acheminement des marchandises.
a) Les artisans – transporteurs : Ce sont les plus nombreux. Il est d'ailleurs impossible d'avoir un chiffre
précis sur ces artisans-transporteurs, quelque soit le pays considéré. L’une des conséquences de la
libéralisation du secteur dans les années 1990 fut l’entrée de personnes sans aucune qualification. On
assiste aujourd’hui à une très forte atomisation des acteurs, les formes sociétaires faisant exception.
75% au moins des transporteurs sont des artisans transporteurs qui ne disposent généralement que
de un ou deux véhicules et ignorent tout, des principes et techniques élémentaires de la gestion
moderne des activités de transport.
En parallèle de l’activité transport, ils ont une autre activité (commerce). Ils transportent aussi bien
leurs propres produits que ceux de la clientèle. L'obtention de leurs véhicules s'est faite selon plusieurs
filières (fonds propres, héritage, etc.).
La spécificité de ces artisans - transporteurs est qu'ils sont éleveurs/transporteurs,
commerçants/transporteurs ou l'inverse, transporteurs/commerçants ou tout simplement
artisans/transporteurs. La nuance s’observe dans le repérage du sens dans lequel s’opère la
complémentarité des activités.
b) Les entreprises moyennes : Elles sont très peu nombreuses et disposent entre 2 et 5 véhicules de
dimension et capacité différentes pour aussi bien le transport de fret international que le fret national
ou local/interurbain.
c) Les sociétés de transport : Elles détiennent presque toutes, des véhicules spécialisés que sont les
citernes, les porte-conteneurs, etc. Elles traitent avec un nombre restreint de gros chargeurs et sont
positionnées sur les segments de marchés nationaux et internationaux. Elles disposent de plus de 5
véhicules. Elles font appel aux techniques de gestion moderne et ont leur propre service de réparation.
4.2.1 L’Etat et les collectivités publiques
L’Etat par ses administrations est un agent essentiel du système de transport. On peut rattacher à l’Etat
les collectivités publiques territoriales ou locales qui varient avec l’organisation administrative des
pays. L’Etat peut déléguer à ces entités publiques territoriales tout ou partie de ses fonctions dans
certains secteurs des transports. C’est le cas du transport urbain en général.