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TRAVAIL PRATIQUE DE L’HELMINTHOLOGIE

LES REPONSES DE TP

Question

 Ascaris lombricoïdes

Les adultes vivent dans l'intestin grêle où leur longévité ne dépasse que
rarement un an. Après accouplement, les femelles pondent des œufs qui vont
être excrétés avec les selles. Ces œufs ne sont pas embryonnés et
nécessiteront une maturation dans l'environnement durant trois semaines.
L'auto infestation est ainsi rendue impossible. Une fois embryonnés, les œufs
ingérés à partir d'aliments souillés atteignent l'intestin grêle, éclosent et
libèrent une larve infestante qui va traverser la paroi intestinale. En suivant le
réseau sanguin veineux, les larves passent par le foie puis rejoignent le cœur
droit puis les poumons où elles pénètrent dans les alvéoles pulmonaires. Elles
remontent les voies respiratoires jusqu'au pharynx puis sont dégluties pour
redescendre dans le tube digestif. Elles atteignent leur maturité dans le
jéjunum où elles restent au stade adulte. Deux mois seront nécessaires aux
femelles pour pondre à nouveau des œufs.

 Ankylostoma duodenalis

Le cycle évolutif d’A. Duodénale

L’homme s’infeste par voie transcutanée. La pénétration active de la larve se


fait essentiellement au niveau des pieds, exceptionnellement par voie buccale.

Par la circulation générale, les larves atteignent successivement le cœur droit


puis traversent les alvéoles pulmonaires, remontent vers le pharynx où elles
sont dégluties dans l’œsophage. Elles deviennent adultes dans le duodénum
vers le quarantième jour. Les adultes présents dans le duodénum et le
jéjunum érodent la muqueuse, entraînant douleurs et saignements. Leurs
déplacements réguliers étendent le délabrement de la muqueuse et amplifient
l’anémie (hypochrome, hyposidérémique). Ancylostoma duodénale consomme
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dix fois plus de sang que Necator americanus.Les œufs sont éliminés avec les
fèces. Ces œufs, dans le milieu extérieur, s’embryonnent en 1 à 2 jours et
libèrent une larve rhabditoïde. En quelques jours, la larve subit deux mues et
devient une larve strongyloïde infestante. Elle peut résister de nombreux mois
en milieu humide. Les larves enkystées ont un tropisme pour la chaleur,
l’humidité et la peau, facilitant ainsi la poursuite du cycle naturel

 Strongyloides stercoralis

La femelle parthénogénétique vit profondément insérée dans la muqueuse


duodéno-jéjunale. Non hématophage, elle pond, dans la muqueuse, des œufs
ressemblant à ceux de l'ankylostome, mais longs de 50 µm seulement,
morulés dès la ponte, et qui évoluent très vite sur place. Les larves
(rhabditoïdes) qui en sortent peuvent évoluer selon trois cycles différents

Cycle indirecte sexué Cycle directe Cycle d’hyper-infection


(cycle long) parthénogénétique endogène (cycle d’auto-
(cycle court) infection)
un cycle indirect sexué un cycle direct un cycle hyper-
(cycle long) : la larve, parthénogénétique infectieux endogène
émise avec les selles, (cycle court) : trouvant (cycle d'auto-
donne, dans le milieu des conditions moins infestation) : la larve
extérieur, des adultes favorables, la larve, issue de l'œuf
mâles et femelles dont émise comme la parthénogénétique ne
la ponte aboutira à une précédente, évolue quitte pas la lumière
nouvelle génération de directement, dans le intestinale ; elle évolue
larves rhabditoïdes, milieu extérieur, pour sur place jusqu'au stade
puis strongyloïdes et donner la larve de larve strongyloïde
enfin strongyloïdes strongyloïde enkystée enkystée infectieuse
enkystées infectieuses infectieuse libre. qui, par voie
libres ; chacune de ces Infestation et évolution transmuqueuse cette
dernières, agissant ultérieure se font fois, suivra la même
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comme celle de comme dans le cycle migration organique


l'ankylostome, infestera indirect ; pour aboutir, dans le
le sujet neuf par voie duodénum, à la femelle
trans-cutanée et, après parthénogénétique.
une migration
organique semblable
(circulation, cœur droit,
poumon, trachée,
œsophage), arrivera au
duodénum où elle se
transformera en femelle
parthénogénétique
parasite. Ce cycle, par
sa phase sexuée
stercorale, aboutit à une
multiplication parasitaire
non négligeable ;

 Trichinella spiralis

Les adultes mâles et femelles vivent dans l'intestin grêle, enfouis dans les
cryptes glandulaires de Lieberkühn. Les femelles pondent des milliers de
larves qui, par voie lymphatique puis sanguine gagnent le cœur, la grande
circulation, et vont s'enkyster dans les muscles striés (sauf le cœur). Ces
larves attendent en état de vie ralentie, parfois pendant des années, que cette
viande soit ingérée par un hôte favorable (carnivore ou omnivore), chez qui
elles deviendront adultes. L'infestation se fait donc par consommation de
viande contaminée crue ou peu cuite. Les larves se libèrent de leur kyste et
deviennent adultes en quelques jours. Le même animal est ainsi d'abord hôte
définitif puis, rapidement, hôte intermédiaire. Les larves se retrouvent en
impasse parasitaire et vont s’enkyster au niveau des muscles pour se calcifier.
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 Onchocerca volvulus

Les adultes mâle et femelle vivent dans les espaces lymphatiques et


quelques uns sont pelotonnés en constituant un groupe de 2 sexes dans des
nodules du tissu sous-cutané. Les femelles pondent des embryons ou
microfilaires qui migrent vers les tissus conjonctifs. Attirés par la lumière, ils
s’accumulent dans le derme dans les zones où la peau est mince et exposée
au soleil avec un tropisme particulier pour les milieux oculaires. La simulie
femelle ingère les microfilaires lors d'une piqûre. Celles-ci subissent leur
maturation en larves infestantes L3 chez l'insecte et sont déposées sur la
peau lors d'une nouvelle piqûre; elles pénètrent par la plaie et donnent des
vers adultes mâles et femelles en quelques semaines.

 Faciola hepatica

Elles vivent dans les voies biliaires de l'hôte définitif (bœuf et autres
herbivores) où elles se nourrissent de fragments d'épithélium et surtout de
sang. Les œufs non matures sont éliminés dans la bile, puis dispersés dans la
nature avec les selles; premier impératif (commun à toutes les Douves), pour
poursuivre son évolution, l'œuf doit tomber dans l'eau pour que la larve puisse
se former (quelques semaines); il donne naissance à une première forme
larvaire, ciliée, le miracidium, qui nage à la recherche du Mollusque hôte
intermédiaire; et un second impératif, il faut que la collection d'eau contienne
le " bon Mollusque "; en effet, chaque espèce de Douve possède un
Mollusque hôte intermédiaire spécifique; c'est une limnée dans le cas de la
grande douve du foie (Limnaea truncatula); le miracidium pénètre dans la
cavité pulmonaire du mollusque, se fixe à l'épithélium qui la tapisse, et se
transforme en une seconde forme larvaire, le sporocyste. A l'intérieur du
sporocyste bourgeonnent des rédies, troisième forme larvaire, (parfois des
rédiesfilles en été), qui migrent vers l'hépato-pancréas. Dans le corps des
rédies, bourgeonnent des cercaires (pourvue d'une queue) qui quittent le
Mollusque, nagent dans l'eau puis s'enkystent sur un support (plante
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immergée par exemple). Cette quatrième forme larvaire enkystée est appelée
métacercaire ; c'est la forme infestante.

Les herbivores se contaminent en consommant les végétaux portant les


métacercaires (pour l'Homme, ce sont surtout le cresson sauvage et les
pissenlits poussant dans l'eau ou les prairies humides et consommés sous
forme de salade). Le kyste est lysé par les sucs digestifs, la jeune douve
traverse la paroi intestinale, rampe dans le péritoine, traverse la capsule de
Glisson, pénètre dans le parenchyme hépatique et s'installe dans les canaux
biliaires où elle devient adulte en quelques semaines.

 Schistosoma haematubium

Le couple monogame, femelle logée dans la gouttière du mâle, vit dans le


système porte. La femelle gravide (prête à pondre) migre vers le plexus
veineux péri-vésical, s'y bloque et pond des œufs caractéristiques, sans clapet
mais à éperon terminal, ovales allongés ; ces œufs se déplacent à travers les
tissus et gagnent la lumière vésicale, avant d'être éliminés avec les urines et
d'arriver dans l'eau où le cycle se poursuivra. Sorti de l’œuf, le miracidium
pénètre dans un gastéropode aquatique du genre Bulin (hôte intermédiaire),
d'où sortiront les furcocercaires infectieuses. L'infestation humaine se fait de
manière active, par voie transcutanée à l'occasion d'un bain, et le cycle se
boucle quand les jeunes schistosomes, après un périple organique compliqué,
deviennent adultes dans les veines du foie, s'accouplent et remonte le
système porte.

 Tænia solium

L’hôte intermédiaire est le porc, (les larves cysticerques sont particulièrement


bien visibles sous la langue). L’adulte vit dans l’intestin grêle où les anneaux
mûrs se détachent par groupes de 5 à 10 et sont éliminés passivement dans
les selles par fragment de chaîne. Le porc, volontiers coprophage s’infecte en
déglutissant les embryophores qui après digestion, traversent la paroi et par
voie sanguine vont s’enkyster au niveau des muscles pour former le
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cysticerque infectieux (=cysticercus cellulosae=). L’homme s’infecte en


consommant la viande du porc insuffisamment cuite. Le reste du cycle est
semblable au T.saginata.

Le ténia du porc peut également parasiter l'homme à l'état larvaire; c'est la


cysticercose humaine.

 Tænia bothriocéphale

Le ver adulte pond des œufs qui doivent séjourner dans l'eau pour que la larve
se forme. Cette larve nageuse (coracidium) est ensuite libérée et avalée par
un crustacé microscopique, le Cyclops. Dans l'organisme de ce crustacé, elle
perd ses cils et devient une larve procercoïde. Cette larve gagnera les
muscles du petit poisson qui aura avalé le Cyclops; elle est mobile, dite
plérocercoïde, et peut survivre ensuite, toujours dans les muscles, chez les
poissons plus gros qui auront dévoré le premier, et ainsi de suite.

Question 2

 Ascaris lombricoïdes
 Entérovirus vermicularis
 Trichuris trichuira
 Ankylostomes duodenalis
 Necatode americanus

Question 3

 Douves schistosomes
 Strongyloides stercoralis
 Toxocara canis
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Question 4

Syndrome de loeffler typique Atypique


cause Anguillule et Ascaris Ankylostome
signes  Toux quinteuse  Toux quinteuse
 Radio asthmatiforme
pulmonaire :  Radio
présence des pulmonaire :
opacités parce absence infiltrat
qu’il y a une pulmonaire (pas
effraction des d’opacité)
parois capillaires  Hyper
 Hyper éosinophilie
éosinophilie modéré avec
important associé hyperleucocytose
avec l’
hyperleucocytose

Question 5

Courbe de lavier : cas de l’ascaris


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Lors de la migration de la larve au niveau du poumon, nous constatons une


augmentation des Eosinophiles dès que la larve gagne la voix digestive, le
taux des Eosinophiles diminue

Question 6

KATAYAMA ; c’est un tableau de pseudo-typhoïdique et confusion mentale


causé par le schistosome japonicum qui se manifeste par la phase d’invasion.

Question 7

Elles vivent dans les voies biliaires de l'hôte définitif (bœuf et autres
herbivores) où elles se nourrissent de fragments d'épithélium et surtout de
sang. Les œufs non matures sont éliminés dans la bile, puis dispersés dans la
nature avec les selles; premier impératif (commun à toutes les Douves), pour
poursuivre son évolution, l'œuf doit tomber dans l'eau pour que la larve puisse
se former (quelques semaines); il donne naissance à une première forme
larvaire, ciliée, le miracidium, qui nage à la recherche du Mollusque hôte
intermédiaire; et un second impératif, il faut que la collection d'eau contienne
le " bon Mollusque "; en effet, chaque espèce de Douve possède un
Mollusque hôte intermédiaire spécifique; c'est une limnée dans le cas de la
grande douve du foie (Limnaea truncatula); le miracidium pénètre dans la
cavité pulmonaire du mollusque, se fixe à l'épithélium qui la tapisse, et se
transforme en une seconde forme larvaire, le sporocyste. A l'intérieur du
sporocyste bourgeonnent des rédies, troisième forme larvaire, (parfois des
rédiesfilles en été), qui migrent vers l'hépato-pancréas. Dans le corps des
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rédies, bourgeonnent des cercaires (pourvue d'une queue) qui quittent le


Mollusque, nagent dans l'eau puis s'enkystent sur un support (plante
immergée par exemple). Cette quatrième forme larvaire enkystée est appelée
métacercaire ; c'est la forme infestante.

Les herbivores se contaminent en consommant les végétaux portant les


métacercaires (pour l'Homme, ce sont surtout le cresson sauvage et les
pissenlits poussant dans l'eau ou les prairies humides et consommés sous
forme de salade). Le kyste est lysé par les sucs digestifs, la jeune douve
traverse la paroi intestinale, rampe dans le péritoine, traverse la capsule de
Glisson, pénètre dans le parenchyme hépatique et s'installe dans les canaux
biliaires où elle devient adulte en quelques semaines.

Question 8

Au niveau de l’intestin grêle l’ascaris réagit au système immunitaire que


l’organisme met en place du fait qu’il secrète des enzymes ci-après :

 Decarboxypeptidase : qui inhibe l’action des enzymes digestives.


 Phosphorylcoline : qui inhibe l’action des lymphocytes.

Question 9

a) Dans la lumière intestinale


b) Dans la muqueuse colique (colon fécal)
c) Ils vivent dans le duodeno-jujenum
d) Duodénum et iléon
e) Parasite profond de la muqueuse duodénale.

Question 10

Loa-Loa Wuchereria Onchocerca


Bancrofti volvulus
Périodicité Diurne Nocturne Sans périodicité
Gaine Gaine courte Gaine longue Absence de
gaine
Localisation Dans le sang Le sang Dans le suc
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périphérique périphérique dermique


(sanguicole) sanguicole
Présence du Noyau terminaux Noyau sub- Noyau sub-
noyau terminaux terminaux
Coloration Coloré par Coloré par Pas de coloration
l’hématoxyline Giemsa par le Giemsa

Question 11

Necator americanus : sont d’hématophages qui sont dotés des crochets


capable de dilacérer la muqueuse duodénale causant l’hémorragie qui
explique l’anémie.

Question 12

Œufs d’ascaris fécondé

Œufs d’ascaris embryonné

Œuf de trichocephale
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Œuf de l’ankylostome duodenalis

Œuf, de Necator americanis

Question 13

paramètres Ankylostoma Nécator americanus


Taille de l’œuf 60 à 65 micromètre 70 micromètre
Nombre de blastomères 4 blastomères 8 blastomères

Question 14
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a) Faciola hepatica : C’est une Linné (limnae truncatula)


b) Paragonimus westermani : c’est une Melania et le crabe ou écrivisse
c) Schistosoma mansoni : c’est une Planorbe
d) Schistosoma intercalatum : c’est un Bulin
e) Schistosoma japonicum : c’est un bulin
f) Schistosoma haematobium : c’est un oncomelanie

Question 15

Cycle de Schistosome
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Chez l'homme, les œufs contenant des miracidiums sont éliminés dans l'eau
par les excréments ou les urines.

Dans l'eau, les œufs éclosent et libèrent des miracidiums. Les miracidium
évoluent dans l'eau et pénètrent dans un mollusque (hôte intermédiaire).

À l'intérieur du mollusque, les miracidiums se transforment en cercaires en


passant par 2 stades de sporocystes.

Les cercaires sont excrétées par le mollusque et en nageant librement dans


l'eau, pénètrent la peau de l'homme.

Lors de la pénétration, les cercaires perdent leur queue fourchue, pour devenir
des schistosomules. Les schistosomules sont transportées par les vaisseaux
sanguins vers le foie. Là, elles deviennent des vers adultes

Question 16

En cas d’infestation de tænia saginata il y a l’absence totale du systercose par


ce que le systercose est causé par la forme larvaire, or le tænia saginata est
de forme adulte incapable de causé cette maladie.

Question 17

Tænia saginata Tænia solium Tænia nain


scolex Minuscule avec 4 Globulaires avec 4 ventouses avec
ventouses 4 ventouses et une couronne 20-
doubles 30 crochets
couronne de
crochets
corps Annaux avec une Annaux avec une Annaux avec des
répartition le long répartition le long pores génitaux
de la chaine de la chaine tous de même
irrégulière altérée régulière altérée coté

Question 18
14

a) Schistosoma mansonci
 Diarrhée sanglantes ou non entourées des glaires
 Douleurs colique parfois rectorragies, ténesme
b) Schistosoma intercalacum
 Diarrhée sanglantes ou non entourées des glaires
 Douleurs colique parfois rectorragies, ténesme
c) Schistosoma japonicum
 Syndrome takayama
 Diarrhée hépatomégalie
d) Schistosoma haetomacum
 Hématurie macroscopique du type vésicale

Question 19

Diagnostic biologique de Fasciola hepatica

 Présomption : hyperleucocytose sanguine (10000 à 40000 /


microlitre) hyper Eosinophilie très élevé (5000-20000/ml)
 Certitude : réaction immino-serologique positives
 La mise en évidence des œufs se fait par recherche dans les
liquides de tubage duodénal et par liquide coprologique

Diagnostic biologique de paragonimus westermanii

 La mise en évidence des œufs se faira par le prélèvement de crachat


hémoptoique, les lavages broncho-alvéolaire et dans le selle

Diagnostic biologique de schistosoma mansoni

 Diagnostic de présomption : hyper éosinophilie sanguine qui élevé qu’à


la phase de toxi-infection
 Diagnostic de certitude : la biopsie de muqueuse rectale (B.M.R)

Diagnostic biologique de schistosoma intercalatum

 B.M.R.
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 Dans les selles

Diagnostic biologique de schistosoma japonicum

 La mise en évidence se fera par le prélèvement de selle mais trop


tardive.

Diagnostic biologique de schistosoma harmatobuim

 Prélèvement des urines et épreuve de trois verres

Diagnostic biologique de l’ascaris lombricoides

 Diagnostic de présomption : hyper éosinophilie


 Diagnostic de certitude : examen parasitologique de selle

Diagnostic biologique de strangyloides stercoralis

 Diagnostic de présomption : hyper éosinophilie


 Diagnostic de certitude prélèvement de selle

Diagnostic biologique de enterobuis vermicularis

Scotch-test ou test de Graham

Diagnostic biologique de tænia saginata

Test de Graham ou scotch-test

Question 20

 Tænia saginata
 Enterobuis vermicularis

Question 21

Les cellules de kliffer attaque et lyse la membrane de l’œuf, et l’œuf libère


une toxine qui serai responsable de la fibrose hépatique qui bloque le passage
du sang de la veine porte au foie, qui refoule le sang vers les branches de la
veines porte à savoir : la veine splénique et la veine mésentérique supérieur.
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Au niveau de la rate le reflux du sang provoque la splénomégalie; La rate


étant chargée va renvoyer le sang vers l’artère splénique ensuite de l’artère
splénique vers le tronc cœliaque (comprend : artère stomachique, splénique,
et hématique commune). Le sang venant de l’aorte et ceux venant du reflux de
la rate vers le tronc cœliaque ses rencontre, il survient une forte charge de
sang que l’organisme cherchera à évacuer en empruntant l’artère
stomachique ou gastrique gauche étant donné que l’artère hépatique et
splénique sont pleines.

Or on sait que l’artère stomachique cravate la partie distale de l’œsophage ou


encore la partie antérieur de l’estomac (cardia) à ce niveau cela donne de
varices, et ce varice seront appelés à s’éclater qui va provoquer une
inondation du sang au niveau de l’estomac et c’est ce qui va pousser au
refoulement du sang vers la cavité buccale ce qu’on appelle hématémèse. ²

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