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TROISIÈME SEMESTRE
LA MÉTHODE ABC
ACTIVITY BASED COSTING
2. Correction de l’application__________________________________________________ 12
Conclusion _______________________________________________________________ 17
Les techniques de calcul des coûts utilisées au début des années 1980 généraient des
insatisfactions croissantes. Comme le soulignent Johnson et Kaplan (1987), la complexification
de l’environnement économique des entreprises et de leurs processus productifs et
organisationnels conduisait bien souvent à des allocations de coûts indirects erronées.
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CHAPITRE I : FONDEMENTS CONCEPTUELS DE LA MÉTHODE ABC
Le premier chapitre de notre travail a pour objectifs de présenter les fondements conceptuels de
la méthode ABC, en traitant la terminologie des différents concepts lié à ladite méthode.
D’après Johnson et Kaplan (1987), cette technique se présente comme une réponse à l’arbitraire
lié à l’allocation des charges indirectes opérée lors du calcul des coûts complets de produits
dans la méthode usuelle des centres d’analyse.
Ainsi Cooper et Kaplan (1991), affirment qu’il s’agit de calculer des coûts de revient de
production plus représentatifs de la réalité industrielle que ne l’étaient les méthodes
traditionnelles fondées sur les centres de frais.
Ainsi, selon Lebas (1992), fondés sur une allocation d’activités requises pour mettre le bien ou
le service à disposition du client, les coûts calculés par l’ABC reflètent de façon lisible, malgré
des conventions inévitables, ce que l’entreprise fait pour satisfaire le client. La notion de
processus émerge de cette idée d’articulation d’activités au regard de la finalité poursuivie.
En résumé la méthode ABC permet de calculer des coûts complets en traitant les charges
indirectes, non plus dans une logique de réparation, mais dans une logique de consommation.
Selmer (2019)
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2. Le principe de la méthode à base d’activités
La méthode des coûts à base d’activités est fondée sur l’analyse transversale des différents
processus de l’entreprise plutôt que sur la division des coûts par fonctions. Elle intègre un
niveau de coût supplémentaire : le coût des activités, dont l’étude est prépondérante par rapport
à celle des produits.
La méthode des coûts à base d’activités permet de mieux comprendre l’origine des coûts.
L’analyse des charges indirectes est plus fine que dans la méthode classique des coûts complets.
Charges
directes
PRODUIT
Charges
Activités et Processus
indirectes
3. Du produit à l’activité
Dans le système du coût complet traditionnel l’analyse des charges s’opère sur la base de
la relation avec les produits. L’ensemble des consommations doit être alloué aux produits.
Dans la méthode ABC, les produits consomment des activités et les activités consomment des
ressources.
Il y a abandon du produit au profit de l’activité. Les charges indirectes deviennent dans le cadre
de la méthode «ABC» des charges directes par rapport à l’activité.
Une activité est un travail effectué dans une organisation utile pour les objectifs de la
comptabilité à base d’activité. Cela permet de décrire ce qui est fait dans l’entreprise.
Quelques auteurs définissent la notion d’activité comme suit :
Brimson : « L’activité est une combinaison de personne, de technologie, de matière, de méthode
et d’environnement qui fournit un produit ou un service donné »
Mevellec : « Une activité permet de traduire ce que l’on fait dans les organisations». «Va
constituer une activité ce que l’analyste décidera de considérer comme une activité »
3
Lebas : « Une activité est définie par un ensemble d’actions ou de tâches qui ont pour objectifs
de réaliser, à plus ou moins court terme, un ajout de valeur à l’objet ou de permettre cet ajout
de valeur »
Lorino : « L’activité comme un ensemble de tâches élémentaires : réalisée par un individu
ou un groupe d’individus, faisant appel à des savoirs spécifiques, homogènes du point de vue
de leur comportement de coût et de performance, permettant de fournir un output à un client
interne ou externe à partir d’un panier d’input (travail, matière, information) ».
4. Définition du processus
Le processus est un ensemble d’activités et il a une finalité externe. En revanche, plusieurs
points importants restent à éclaircir. Pour certains auteurs, le processus se déroule au sein d’une
même entité organisationnelle alors que, pour d’autres, il a la propriété de franchir les frontières
entre services, donc d’être transversal. (Alcouffe et Malleret, 2002)
Selon Mévellec (1990), Un processus est une chaîne d’activités déclenchées par un facteur
unique.
D’après Lebas (1991), Un processus doit posséder trois caractéristiques : avoir une finalité
c’est-à-dire avoir une production, avoir des moyens c’est-à-dire des consommations de
ressources et avoir un système de conduite, c’est-à-dire une manière non unique de mettre en
œuvre les moyens pour atteindre la finalité.
5. Inducteur de coût
À chaque activité doit être associé un inducteur de coût (cost driver), variable permettant de
mesurer l’activité. Cette notion est évidemment très proche de l’unité d’œuvre , mais l’optique
est différente : l’unité d’œuvre classique est essentiellement un moyen de répartir des charges,
de les faire supporter par des services ou des produits, alors que la notion d’inducteur de coût
met l’accent sur la relation causale qui existe entre un événement et la génération d’une charge.
En ce qui concerne le choix des inducteurs, la méthode ABC met l’accent sur la nécessité de ne
pas se limiter aux variables « volumiques » telles que le nombre de produits fabriqués ou le
nombre d’heures de main-d’œuvre. En effet, de très nombreuses charges sont induites, par
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exemple, soit par le lot ou la série (charges d’ordonnancement, de réglage, etc.), soit par
l’existence même d’un produit au catalogue (frais de conception, de gestion des nomenclatures,
etc.)
D’après P. Lorino (1995), un inducteur peut être caractérisé par :
- Son degré de contrôlabilité par l’entreprise, en effet les coûts dépendent des facteurs que
l’entreprise maîtrise (l’organisation de l’entreprise, planification, etc.) ou des facteurs
d’environnement sur les quels l’entreprise n’a aucun contrôle.
- Sa mesurabilité en utilisant un paramètre déterminé
- Sa position relativement à l’activité, un inducteur peut être contrôlé au sein même de l’activité
analysée (inducteur interne) ou par une autre activité que celle analysée. Les inducteurs externes
sont en général beaucoup plus nombreux et plus importants que les inducteurs internes, ce qui
illustre l’importance des indépendances au sein de l’entreprise.
6. Centre de regroupement
Le centre de regroupement est utilisé dans le cas où des activités élémentaires différentes sont
expliquées par un même inducteur.
L’objectif est de procéder au regroupement de ces activités au sein d’un même centre et ramener
le coût global de ce centre à ce même inducteur.
Le nombre de ces centres est bien sûr variable selon la complexité des tâches de l’entreprise et
selon le degré d’exactitude souhaité. Ces centres de regroupement ne doivent pas être
spécifiquement des centres à caractère volumique (main d’œuvre directe, consommation de
matières) mais aussi des centres non volumiques (exemple : les lots traités). (Kabbaj et Youssef,
2015)
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CHAPITRE II : LA MISE EN APPLICATION DE LA METHODE ABC
La mise en place de la méthode ABC nécessite de respecter quelques étapes clés :
• Étape 1 : l'identification des activités clés de l'entreprise ;
• Étape 2 : le choix des inducteurs de coût (cost drivers) ;
• Étape 3 : l'affectation des ressources aux activités ;
• Étape 4 : Le regroupement des inducteurs et le calcul du coût unitaire ;
• Étape 5 : le calcul du coût de revient à base d'activité.
Selon la méthode ABC, ce sont les coûts par activité qui compte le plus et non les coûts par
produit, il convient donc de déterminer le montant des charges indirectes (ressources
matérielles, humaines, financières) consommées pour chacune des activités identifiées, ensuite
il suffit d'affecter ces ressources aux activités concernées. Selon la méthode ABC, les produits
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consomment les activités, et ces activités consomment les ressources. Comme l’illustre la figure
suivante :
Figure 2 Affectation des ressources aux activités
Consomment Consomment
Les produits Les activités Les ressources
–
Source : Wegmann, G. (2006). Pilotage des coûts et des performances
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CHAPITRE III : APPLICATION
1. Énoncé et Travail à faire
Une société d'électronique est spécialisée dans l'assemblage de circuits électroniques (C1 et C2)
à partir de 3 composants A, B et C achetés auprès d'un fournisseur.
Environ un tiers du chiffre d'affaires est réalisé par la vente du circuit C1 à un important client
du secteur de l'électroménager qui l'utilise dans les programmateurs de lave-vaisselle.
Les circuits C2 sont fabriqués et vendus à la commande à un grand nombre de clients de divers
secteurs industriels : fabriques de jouets, menuiseries industrielles, horlogers, etc...
TRAVAIL A FAIRE :
En utilisant les documents et annexes ci-dessous :
1) Compléter le tableau de détermination des achats de composants.
2) Compléter le tableau de détermination des temps et du coût de la main d'œuvre directe.
3) Compléter le tableau de calcul du coût des unités d'œuvre.
4) Compléter le tableau de calcul des coûts de revient et du résultat - Méthode des coûts
complets.
5) Compléter le tableau de calcul des coûts de revient et du résultat - Méthode ABC.
6) Comparer et commenter les résultats obtenus.
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Document 1 : Informations relatives à la production et aux ventes
La nomenclature des composants utilisés pour la fabrication d’un circuit est la suivante :
Ces composants passent dans un atelier d’assemblage dans lequel ils nécessitent les temps de
main-d’œuvre suivants, en minutes :
Circuits C1 C2
Temps de main- d’œuvre 15 min 20 min
Le cout horaire de la main-d’œuvre directe, charges sociales comprises est évalué à 100 DH.
Pour le 1er semestre de l’année N, les charges indirectes sont actuellement réparties en 3 centres
d’analyse pour les montants suivants :
Centres Approvisionnement Assemblage Administration/
distribution
Total 2O2 500 DH 1 200 000 DH 480 000 DH
U. O ou assiette de 1 DH d’achat 1 min de main 1 DH de vente
frais d’œuvre (1)
(1) La société travaillant à flux tend, cette assiette de frais a été préférée au cout de production
des produits vendus normalement utilisé.
L’entreprise travaille en juste temps, pour ses approvisionnements et pour ses livraisons à la
clientèle. Ainsi on peut négliger les problèmes de stockage.
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Document 2 : Analyse de l’activité du centre « approvisionnement »
Une 1ere activité de ce centre englobe plusieurs taches relatives à la gestion des marchés :
recherche de fournisseurs, appels d’offre, négociation, suivi des contrats, etc…
Pour cette activité, l’inducteur peut être le dirham d’achat.
Une autre activité concerne la réception et le contrôle des composants achetés.
L’inducteur retenu peut être l’unité de matière achetée.
Après l’analyse, le partage des charges est le suivant :
Activités Montants
Gestion des marchés 81 000 DH
Réception et contrôle 121 500 DH
Total des charges d’approvisionnement 202 500 DH
• Une activité d’assemblage dont l’inducteur serait le temps de main d’œuvre directe.
La répartition des charges d’assemblage est la suivante :
Activités Montants
Préparation / Ordonnancement 360 000DH
Assemblage 840 000DH
Total des charges d’assemblage 1 200 000 DH
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Document 4 : Analyse de l’activité du centre « Administration / Distribution »
Il inclut deux activités:
• Les expéditions dont le montant de charge est évalué à 180 000 DH
Inducteur : nombre de séries fabriquées et vendus soit donc 120 (pas le stockage).
• L’administration des ventes et l’administration générale : 300 DH de charges.
Inducteur : le dirham de CA.
On remarque que le même inducteur (la série fabriquée) se trouve pour deux activités
appartenant à deux centres différents : l’ordonnancement et les expéditions.
Il s’agit de la transversalité de certains inducteurs comme à plusieurs activités.
Les activités ordonnancement et expédition ayant le même inducteur peuvent voir leurs couts
regroupés sur l’inducteur unique.
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2. Correction de l’application
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2.4 Coûts de revient et résultats (méthode des coûts complets)
Eléments C1 C2 total
Qté P.U Mt Qté P.U Mt
Prix d’achat 20 000 37.50 750 000 30 000 42.50 1 275 000 2 025 000
Frais d’approvisionnement 750 000 0.10 75 000 1 275 000 0.10 127 500 202 500
M.O.D (min) 150 000 100/60 250 000 150 000 100/60 250 000 500 000
Assemblage 150 000 4 600 000 150 000 4 600 000 1 200 000
Cout de production 10 000 167.50 1 675 00 7 500 300.33 2 252 500 3 927 500
Administration / Distribution 1 800 000 0.10 0 3 000 000 0.10 300 000 480 000
180 000
Cout de revient 10 000 185.50 1 855 7 500 340.33 2 552 500 4 407 500
000
CA 10 000 180 1 800 7 500 400 3 000 000 4 800 000
000
Résultat -55 000 447 500 392 500
% du CA -3% 15%
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2.5 Comparaison et commentaire des résultats obtenus
Avec la méthode de la comptabilité d’activités, le résultat apparaît plus équilibré entre les deux
produits. Ceci est dû à l’effet «taille des séries», de volume différent et qui modifie la répartition
des charges.
Ainsi, les charges d’ordonnancement et d’expédition sont réparties également entre les deux
séries fabriquées pour un montant de 4 500 DH.
Lorsque ces séries sont de grande taille (ce qui est le cas pour C1 avec 10 000 unités), le montant
imputé à chaque unité fabriquée est donc plus faible. Par conséquent, le résultat sur C1 est plus
élevé que pour C2 (7 500 unités) par rapport à l’autre méthode.
La prise en compte de cet effet permet à la comptabilité des activités de mieux rendre compte
de la réalité économique des coûts dans les entreprises de production.
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CHAPITRE IV : AVANTAGES ET LIMITES DE LA METHODE ABC
1. Avantages de la méthode ABC
Nous pouvons citer ses points positifs comme suit :
➢ Elle permet l’obtention de l’information exacte et pertinente pour la prise de décision
stratégique pour la gestion des portefeuilles des produits en se basant sur les liens de
causalité existants entre les produits et les ressources consommées.
➢ Analyse très poussée des processus conduisant à l’évaluation des coûts des produits.
➢ Met en lumière les activités qui sont marginalisées par les méthodes traditionnelles. Il s’agit
d’activités indirectes plus ou moins répétitives.
➢ Identifier les activités qui créent de la valeur au produit/service final de celles qui n’en
créent pas. Elle permet de connaître la part de chaque activité dans la création de cette
valeur.
➢ Permet de donner aux cadres opérationnels les moyens d’exercer un contrôle effectif sur
les opérations dont ils sont responsables.
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2. Limites de la méthode ABC
➢ En comparant ces inducteurs par rapport à celle utilisés dans les méthodes classiques qui
sont de nature volumiques et très signifiants dans le calcul du résultat final. Cependant leur
impact reste limité dans le cadre de la méthode ABC face aux inducteurs non volumiques
qui sont bien exprimés.
➢ La mise en place de la méthode ABC nécessite du temps afin que les informations
comptables soient les précis possibles.
➢ Les charges non sont pas toutes directes, et leur imputation n’est pas facile ; car cela
dépend de la nature d’activités choisis et les processus mise en œuvre. Ce qui rend la
consolidation des résultats plus difficiles. Et que certaines charges se trouvent hors du
champ de toutes analyse.(Alazard & Sépari, 2015)
➢ Le mode d’allocation des coûts de l’ABC ne serait pas plus pertinent que celui des
méthodes traditionnelles : ABC serait aussi construit sur une série d'allocations de coûts
ambiguës et subjectives.
➢ La méthode ABC semblerait trop compliquée : elle peut rapidement devenir ingérable, car
trop complexe et demandant beaucoup d'efforts de la part du personnel de l'entreprise.
➢ La méthode ABC ne résoudrait pas tous les problèmes. Elle ne permettrait notamment pas
une plus grande exactitude dans le calcul des coûts que les méthodes traditionnelles de
comptabilité de gestion du fait du faible nombre d’inducteurs utilisés dans les faits.
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CONCLUSION
Le déterminant majeur du système de pilotage des coûts, c’est le client. Autrement dit, ce
dernier constitue le facteur déterminant générique du comportement des coûts dans les
entreprises. Ce déterminant générique permet de déduire les catégories de coûts pertinentes. Il
est possible d’affiner ce raisonnement en considérant que les systèmes de calculs de coûts à
base d’activités peuvent être orientés sur tel ou tel facteur déterminant en fonction des
circonstances.
Cela nous permet de dire, que les couts calculés à base d’activités sont plus pertinents pour
différentes raisons notamment, La répartition des charges indirectes est plus crédible car elle
traduit mieux la consommation des différentes ressources, aussi bien qu’elle prend mieux en
compte la complexité des processus de production et la multiplicité des activités, et représente
mieux la complexité de certains produits lorsqu’on a par exemple de nombreux composants,
lots de fabrication …, et bien sûr qu’elle évite l’inconvénient de la méthode traditionnelle qui
implique parfois le subventionnement d’un produit au profit d’un autre.
Ce faisant, la comptabilité par activité s’inscrit dans l’éventail des méthodes qui cherchent à
satisfaire les besoins de connaissances des coûts de plus en plus diversifiés, allant de l’analyse
stratégique à la gestion courante, ce qui est déterminant dans le calcul des coûts ce n’est plus
seulement de trouver les meilleurs clés d’allocation des couts aux produits mais de choisir le
type d’information, de nature flexible et souple qui permet de répondre à des besoins différents
de mesure des coûts, en calquant l’analyse sur les activités et sur des inducteurs de coûts plus
diversifiés à la place des unités d’œuvres généralement limitées.
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REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Les ouvrages :
Alazard, C., & Sépari, S. (2015). DCG11 Contrôle de gestion (3Ed.). Dunod.
Kabbaj, S., & Youssef, S. (2015). Comptabilité de Gestion Calcul et maîtrise des coûts Edisoft.
Wegmann, G. (2006). Pilotage des coûts et des performances : Une lecture critique des innovations en
contrôle de gestion. EMS Editions.
Alcouffe, S., & Malleret, V. (2002). Les fondements conceptuels de l’ABC à la Française.
Comptabilité - Contrôle - Audit, 1–21.
Lebas, M., & Mévellec, P. (1999). Vingt ans de chantiers de comptabilité de gestion.
Comptabilité - Contrôle - Audit, 5(3), 77
Arena, L., & Solle, G. (2008). Apprentissage organisationnel et Contrôle de Gestion : Une
lecture possible de l ’ABC / ABM ? Comptabilité - Contrôle - Audit, 14(3), 67–86
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LISTE DES FIGURES
Figure 1 Principe de la méthode ABC ...................................................................................... 3
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TABLE DES MATIÈRES
Introduction : ______________________________________________________________ 1
Chapitre I : Fondements conceptuels de la méthode ABC __________________________ 2
1. L’ABC : restructuration des charges __________________________________________ 2
2. Le principe de la méthode à base d’activités ____________________________________ 3
3. Du produit à l’activité _______________________________________________________ 3
4. Définition du processus ______________________________________________________ 4
5. Inducteur de coût __________________________________________________________ 4
6. Centre de regroupement _____________________________________________________ 5
Chapitre II : La mise en application de la méthode abc ____________________________ 6
1. Première étape : l'identification des activités clés de l'entreprise ____________________ 6
2. Deuxième étape : le choix des inducteurs de coût (cost drivers) _____________________ 6
3. Troisième étape : l'affectation des ressources aux activités ________________________ 6
4. Quatrième étape : Le regroupement des inducteurs et le calcul du coût unitaire ______ 7
5. Cinquième étape : le calcul du coût de revient à base d'activité _____________________ 7
Chapitre III : Application ____________________________________________________ 8
1. Énoncé et Travail à faire ____________________________________________________ 8
2. Correction de l’application__________________________________________________ 12
2.1 Achats de composants (en quantité et en valeur) _________________________________________ 12
2.2 Temps et cout de main d’œuvre directe ________________________________________________ 12
2.3 Coûts des unités d’œuvre ___________________________________________________________ 12
2.5 Coût de revient et résultat (Méthode ABC) _____________________________________________ 13
2.5 Comparaison et commentaire des résultats obtenus _______________________________________ 14
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